Les financements pour le mouvement "Roll Back Malaria" - Présentation de la 4e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - Grah Worro Elisabeth BEUGRE - Médecin/Chercheur - Institut Pasteur de Côte d'Ivoire - beugregrah@yahoo.fr
Développement durable et solidarité nord sudActeurDurable
Cette étude menée par l’ARENE Île-de-France et la Fondation Nicolas Hulot montre l’évolution de l’aide au développement ces dernières années, et met en évidence ses nouvelles modalités de financement.
Les financements pour le mouvement "Roll Back Malaria" - Présentation de la 4e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - Grah Worro Elisabeth BEUGRE - Médecin/Chercheur - Institut Pasteur de Côte d'Ivoire - beugregrah@yahoo.fr
Développement durable et solidarité nord sudActeurDurable
Cette étude menée par l’ARENE Île-de-France et la Fondation Nicolas Hulot montre l’évolution de l’aide au développement ces dernières années, et met en évidence ses nouvelles modalités de financement.
Donateurs traditionnels et nouveaux - La nécessité d'un développement plus ef...Euforic Services
Presentation par Christoph Langenkamp (Global Donor Platform for Rural Development) au 6ième Briefing sur le Développement à Bruxelles - 2 juillet 2008
Le présent rapport a été établi par le Groupe de réflexion sur le retard pris dans la réalisation des
objectifs du Millénaire pour le développement créé par le Secrétaire général de l’Organisation
des Nations Unies afin d’améliorer le suivi de la réalisation du huitième objectif en resserrant la
coordination interorganisations. Plus de 30 organismes des Nations Unies et d’autres organisations sont représentés au Groupe de réflexion, y compris la Banque mondiale et le Fonds moné-
taire international, ainsi que l’Organisation de coopération et de développement économiques
et l’Organisation mondiale du commerce. Le Programme des Nations Unies pour le développement et le Département des affaires économiques et sociales du Secrétariat de l’Organisation
des Nations Unies ont joué le rôle d’organismes chefs de file pour coordonner les activités du
Groupe de réflexion. Le Groupe a été coprésidé par Shamshad Akhtar, Sous-Secrétaire générale
chargée du développement économique, et Olav Kjørven, Sous-Secrétaire général et directeur
du Bureau des politiques de développement au Programme des Nations Unies pour le développement; et ses activités ont été coordonnées par Pingfan Hong, Directeur par intérim, et Keiji
Inoue, économiste au Département des affaires économiques et sociales du Secrétariat de l’Organisation des Nations Unies
Mémoire sur Aide Publique au Développement (APD) et Aide pour le Commerce du cadre intégré renforcé (CIR). Cela fait partie de la série Trade Funding Insights.
Discours liminaire : Les transitions économiques dans le domaine de la santé ...HFG Project
Présenté à l'atelier «La Protection Financière et L’Accès Amélioré aux Soins de Santé: Apprentissage par les Pairs Trouve des solutions aux défis communs» à Accra, Ghana en février 2016. Pour savoir plus, visitez : https://www.hfgproject.org/ghana-uhc-atelier
Innover par la mobilisation des acteurs_ rapport completFatimata Kone
Innover par la mobilisation des acteurs : 10 propositions pour une nouvelle approche de l’aide au développement
rapport complet remis
par Emmanuel Faber et Jay Naidoo
Campagne de Vulgarisation des Objectifs de Développement Durable.
Facilitateurs:
Ibrahima Sory Youla
Ibrahima sory Kaba
David Simporé
Ibrahima Sory Camara
Comment réindustrialiser la France et « sauver l’humanité » grâce à un club c...Nicolas Meilhan
Huit ans après la COP21, la transition énergétique est en panne sèche. Malgré les bonnes volontés, des normes de plus en plus sévères et des investissements pharaoniques dans les énergies renouvelables, nous échouons à décarboner l’économie mondiale. Huit ans après Le Bourget, l’Humanité persiste dans sa schizophrénie climatique. Alors que le réchauffement s’accélère en rythmant notre quotidien, la consommation mondiale de combustibles fossiles bat des records d’année en année.
Et le ciel continue de s’assombrir. Tandis que les pays émergents, Chine et Inde en tête, continuent de privilégier légitimement leur développement en augmentant significativement leur consommation de fossiles, une « bulle verte » est en train d’exploser en Europe. Eoliennes, panneaux solaires, hydrogène, voitures électriques et même Pompes à Chaleur tous les indicateurs sont dans le rouge vif. La faute notamment au prix des matières premières et aux taux d’intérêts qui ont érodé un peu plus la rentabilité déjà faible de projets verts.
Les politiques publiques aujourd’hui engagées nous dirigent vers le scénario SSP4 du GIEC correspondant à un réchauffement de 2,7° à l’horizon 2100. Un scénario principalement dans les mains des pays émergents. Comptant aujourd’hui pour 82% de la population mondiale, ils représenteront 90% des émissions à l’horizon 2050.
Face à cette situation il est impératif de changer de logiciel s’attaquant en priorité à l’électricité charbonnière (27% des émissions mondiales) concentrée à 93% dans un « club » de 14 pays produisant plus de 100 TWh/an. Parallèlement il faudrait constituer un « fonds climat » permettant d’aider les pays les plus pauvres à s’adapter aux conséquences du réchauffement dont 90% des victimes se situent dans les pays émergents.
Pour conjuguer les deux objectifs, nous proposons d’instaurer une taxe à l’importation égale à un quart du pourcentage électrique charbonnier sur les biens en provenance du « club des 14 ». Collectés par un organisme international, les fonds seraient ensuite redistribués aux pays les plus pauvres pour qu’ils puissent à la fois assurer leur transition et surtout s’adapter au réchauffement.
La méthode est triplement vertueuse. Renchérissant le prix des produits exportés, elle encouragerait le « Club 14 » à déplacer rapidement son électricité charbonnière vers des sources décarbonées, elle inciterait le consommateur à réorienter ses achats vers
des produits à empreinte carbone plus faible, elle permettrait aux pays les plus pauvres de financer massivement leurs projets d’atténuation et surtout d’adaptation indispensables à leur survie face au réchauffement climatique. Elle ne pourrait toutefois s’appliquer qu’avec un assentiment mondial voté au niveau de la Conférence des Parties.
Dans un marché du travail tendu, les demandeurs d'emploi acquièrent un pouvoir de négociation qui leur permet d'améliorer la qualité de leurs emplois — c'est du moins ce que l'on croit généralement.
Michael Willcox, économiste, CIMT, a présenté des résultats qui révèlent un affaiblissement de la relation entre le resserrement du marché du travail et les indicateurs de qualité de l'emploi à la suite de la pandémie. Le resserrement du marché du travail a coïncidé avec la croissance des salaires réels pour une partie seulement des travailleurs : ceux qui occupent des emplois peu rémunérés nécessitant peu d'éducation. Plusieurs facteurs — notamment la composition du marché du travail, le comportement des travailleurs et des employeurs, et les pratiques du marché du travail — ont contribué à l'absence d'avantages pour les travailleurs. Ces facteurs feront l'objet d'une étude plus approfondie dans le cadre de travaux futurs.
Donateurs traditionnels et nouveaux - La nécessité d'un développement plus ef...Euforic Services
Presentation par Christoph Langenkamp (Global Donor Platform for Rural Development) au 6ième Briefing sur le Développement à Bruxelles - 2 juillet 2008
Le présent rapport a été établi par le Groupe de réflexion sur le retard pris dans la réalisation des
objectifs du Millénaire pour le développement créé par le Secrétaire général de l’Organisation
des Nations Unies afin d’améliorer le suivi de la réalisation du huitième objectif en resserrant la
coordination interorganisations. Plus de 30 organismes des Nations Unies et d’autres organisations sont représentés au Groupe de réflexion, y compris la Banque mondiale et le Fonds moné-
taire international, ainsi que l’Organisation de coopération et de développement économiques
et l’Organisation mondiale du commerce. Le Programme des Nations Unies pour le développement et le Département des affaires économiques et sociales du Secrétariat de l’Organisation
des Nations Unies ont joué le rôle d’organismes chefs de file pour coordonner les activités du
Groupe de réflexion. Le Groupe a été coprésidé par Shamshad Akhtar, Sous-Secrétaire générale
chargée du développement économique, et Olav Kjørven, Sous-Secrétaire général et directeur
du Bureau des politiques de développement au Programme des Nations Unies pour le développement; et ses activités ont été coordonnées par Pingfan Hong, Directeur par intérim, et Keiji
Inoue, économiste au Département des affaires économiques et sociales du Secrétariat de l’Organisation des Nations Unies
Mémoire sur Aide Publique au Développement (APD) et Aide pour le Commerce du cadre intégré renforcé (CIR). Cela fait partie de la série Trade Funding Insights.
Discours liminaire : Les transitions économiques dans le domaine de la santé ...HFG Project
Présenté à l'atelier «La Protection Financière et L’Accès Amélioré aux Soins de Santé: Apprentissage par les Pairs Trouve des solutions aux défis communs» à Accra, Ghana en février 2016. Pour savoir plus, visitez : https://www.hfgproject.org/ghana-uhc-atelier
Innover par la mobilisation des acteurs_ rapport completFatimata Kone
Innover par la mobilisation des acteurs : 10 propositions pour une nouvelle approche de l’aide au développement
rapport complet remis
par Emmanuel Faber et Jay Naidoo
Campagne de Vulgarisation des Objectifs de Développement Durable.
Facilitateurs:
Ibrahima Sory Youla
Ibrahima sory Kaba
David Simporé
Ibrahima Sory Camara
Comment réindustrialiser la France et « sauver l’humanité » grâce à un club c...Nicolas Meilhan
Huit ans après la COP21, la transition énergétique est en panne sèche. Malgré les bonnes volontés, des normes de plus en plus sévères et des investissements pharaoniques dans les énergies renouvelables, nous échouons à décarboner l’économie mondiale. Huit ans après Le Bourget, l’Humanité persiste dans sa schizophrénie climatique. Alors que le réchauffement s’accélère en rythmant notre quotidien, la consommation mondiale de combustibles fossiles bat des records d’année en année.
Et le ciel continue de s’assombrir. Tandis que les pays émergents, Chine et Inde en tête, continuent de privilégier légitimement leur développement en augmentant significativement leur consommation de fossiles, une « bulle verte » est en train d’exploser en Europe. Eoliennes, panneaux solaires, hydrogène, voitures électriques et même Pompes à Chaleur tous les indicateurs sont dans le rouge vif. La faute notamment au prix des matières premières et aux taux d’intérêts qui ont érodé un peu plus la rentabilité déjà faible de projets verts.
Les politiques publiques aujourd’hui engagées nous dirigent vers le scénario SSP4 du GIEC correspondant à un réchauffement de 2,7° à l’horizon 2100. Un scénario principalement dans les mains des pays émergents. Comptant aujourd’hui pour 82% de la population mondiale, ils représenteront 90% des émissions à l’horizon 2050.
Face à cette situation il est impératif de changer de logiciel s’attaquant en priorité à l’électricité charbonnière (27% des émissions mondiales) concentrée à 93% dans un « club » de 14 pays produisant plus de 100 TWh/an. Parallèlement il faudrait constituer un « fonds climat » permettant d’aider les pays les plus pauvres à s’adapter aux conséquences du réchauffement dont 90% des victimes se situent dans les pays émergents.
Pour conjuguer les deux objectifs, nous proposons d’instaurer une taxe à l’importation égale à un quart du pourcentage électrique charbonnier sur les biens en provenance du « club des 14 ». Collectés par un organisme international, les fonds seraient ensuite redistribués aux pays les plus pauvres pour qu’ils puissent à la fois assurer leur transition et surtout s’adapter au réchauffement.
La méthode est triplement vertueuse. Renchérissant le prix des produits exportés, elle encouragerait le « Club 14 » à déplacer rapidement son électricité charbonnière vers des sources décarbonées, elle inciterait le consommateur à réorienter ses achats vers
des produits à empreinte carbone plus faible, elle permettrait aux pays les plus pauvres de financer massivement leurs projets d’atténuation et surtout d’adaptation indispensables à leur survie face au réchauffement climatique. Elle ne pourrait toutefois s’appliquer qu’avec un assentiment mondial voté au niveau de la Conférence des Parties.
Dans un marché du travail tendu, les demandeurs d'emploi acquièrent un pouvoir de négociation qui leur permet d'améliorer la qualité de leurs emplois — c'est du moins ce que l'on croit généralement.
Michael Willcox, économiste, CIMT, a présenté des résultats qui révèlent un affaiblissement de la relation entre le resserrement du marché du travail et les indicateurs de qualité de l'emploi à la suite de la pandémie. Le resserrement du marché du travail a coïncidé avec la croissance des salaires réels pour une partie seulement des travailleurs : ceux qui occupent des emplois peu rémunérés nécessitant peu d'éducation. Plusieurs facteurs — notamment la composition du marché du travail, le comportement des travailleurs et des employeurs, et les pratiques du marché du travail — ont contribué à l'absence d'avantages pour les travailleurs. Ces facteurs feront l'objet d'une étude plus approfondie dans le cadre de travaux futurs.
Les données d’offres d’emplois en ligne d'entreprises telles que Vicinity Jobs servent de plus en plus de complément aux sources traditionnelles de données sur la demande de main-d'œuvre, telles que les enquêtes sur les postes vacants et les salaires (EPVS). Ibrahim Abuallail, candidat au Ph. D., Université d’Ottawa, a présenté la recherche relative aux biais dans les offres d’emploi en ligne et une approche proposée pour rajuster efficacement les données de ces offres d’emploi afin de compléter les données officielles existantes (telles que celles des EPVS) et d'améliorer la mesure de la demande de main-d'œuvre.
Les données de Vicinity Jobs englobent plus de trois millions d'offres d'emploi en ligne pour 2023 ainsi que des milliers de compétences. La plupart des compétences apparaissent dans moins de 0,02 % des offres d'emploi, de sorte que la plupart des offres reposent sur un petit sous-ensemble de termes couramment utilisés, comme le travail en équipe.
Laura Adkins-Hackett, économiste, CIMT, et Sukriti Trehan, scientifique de données, CIMT, ont présenté leurs recherches sur les tendances relatives aux compétences répertoriées dans les offres d’emploi en ligne afin de mieux comprendre les compétences les plus en demande. Ce projet de recherche utilise l'information mutuelle spécifique et d'autres méthodes pour extraire davantage d'informations sur les compétences communes à partir des relations entre les compétences, les professions et les régions.
Les offres d’emploi en ligne deviennent une ressource essentielle pour les décideurs et les chercheurs qui étudient le marché du travail. Le CIMT continue de travailler avec les données de Vicinity Jobs tirées des offres d’emploi en ligne, qui peuvent être analysées dans notre
tableau de bord des tendances de l'emploi au Canada. Notre analyse des données provenant des offres d’emploi en ligne a permis d'obtenir des informations précieuses, notamment le
récent rapport
de Suzanne Spiteri sur l'amélioration de la qualité et de l'accessibilité des offres d'emploi afin de réduire les obstacles à l'emploi pour les personnes neurodivergentes.