Allocution midimairesse 23 septembre 2019

2. Longueuil incontournable :
attentes électorales envers
les partis fédéraux

3. Bonjour tout le monde,
Merci Charles Vaillancourt pour cette présentation.
Richard D’Amour, c’est toujours un plaisir d’être ici dans un événement de notre Chambre de
commerce.
Collègues de l’agglomération, maires et préfets des tables de la Couronne Sud et de la Montérégie,
et autres dignitaires de la table d’honneur, merci d’être avec nous aujourd’hui.
Collègues du conseil municipal, élus de tous les conseils des villes de notre agglomération, tout
autant que de l’ensemble de la région.
Élus fédéraux et surtout, candidats de tous les partis aux élections fédérales.
Élus provinciaux, représentants du gouvernement du Québec.
Et à tout le personnel de la CCIRS et les membres du CA qui avez fait de ce rendez-vous un nouveau
succès, merci!
Je suis bien heureuse d’être avec vous ce midi. C’est la deuxième fois qu’on se voit cette année –
en fait, c’est même la troisième fois en presque un an!
Ça doit être la magie des élections à date fixe… la prochaine fois qu’on se verra aussi souvent c’est
probablement l’année des prochaines élections municipales en 2021!
Vous êtes ici aujourd’hui parce que l’avenir de votre ville et de votre région vous intéresse.
Plusieurs d’entre vous êtes des gens d’affaires, vous savez qu’il est important de prendre sa place,
de lever la main quand c’est le temps et de saisir les opportunités.
C’est un peu pour ça qu’on est ici aujourd’hui.
En février dernier, je vous disais que Longueuil est une grande ville québécoise.
C’est la cinquième ville en importance au Québec.
Notre agglomération est même la troisième plus grande après celles de Montréal et de Québec.
Une ville avec plus de 360 ans d’histoire!

4. Une ville avec une population qui est en pleine croissance.
Je vous l’ai dit à cette même tribune l’hiver dernier : Longueuil est maintenant une ville incontournable.
Ce statut de grande ville vient avec des défis bien particuliers.
D’abord des défis économiques :
 Comment attirer chez nous encore plus d’entreprises?
 Comment développer le plein potentiel de nos zones industrielles ou de la zone aéroportuaire?
Des défis de planification :
 Comment mettre en place des quartiers, des milieux de vie stimulants et accueillants pour notre
population toujours grandissante?
 Comment densifier ces mêmes quartiers et inciter la population à utiliser encore plus le transport
collectif et la mobilité active afin de lutter contre les changements climatiques?
Et des défis sociaux :
 Comment repenser notre développement pour mieux assurer l’accessibilité au logement pour tous?
Longueuil est une grande ville québécoise.
Longueuil est aussi une grande ville canadienne.
Longueuil a d’ailleurs un siège au caucus des maires des grandes villes de la Fédération canadienne
des municipalités.
Un club select des 22 plus grandes villes au pays.
Dans le passé, Longueuil avait ce siège et n’y allait pas.
Dès le début de mon mandat, j’ai décidé que la politique de la chaise vide était terminée.
Ce caucus travaille, en partenariat avec le gouvernement fédéral, à renforcer notre pays de la façon la
plus efficace qui soit : en renforçant nos villes.

5. C’est donc à titre de mairesse d’une grande ville canadienne que je suis ici aujourd’hui.
Comme vous le savez, les électeurs de tout le pays iront aux urnes le 21 octobre pour choisir le
prochain gouvernement du Canada.
Les citoyens de Longueuil et de l’ensemble de l’agglomération voudront alors connaître les
engagements des candidats et candidates quant à certains projets qui auront un impact direct sur leur
quotidien.
On parle des électeurs des comtés de :
 Brossard-Saint-Lambert;
 Longueuil-Saint-Hubert;
 Longueuil-Charles-LeMoyne;
 Montarville;
 Et Pierre-Boucher-Les Patriotes-Verchères.
Candidats et candidates de tous les partis – J’en vois d’ailleurs plusieurs ici aujourd’hui – vous allez
entendre les attentes de Longueuil.
Les attentes de Longueuil en tant que ville, mais aussi en tant que ville qui a des responsabilités
d’agglomération.
Mais, d’ici le 21 octobre, c’est vous que nous voudrons entendre.
Aurez-vous compris notre message?
Quels engagements prendrez-vous à titre de futur député?
Comment cela se traduira-t-il si votre parti forme le prochain gouvernement?
Notre ville, notre agglomération et toute la région pourront-elles compter sur vous à Ottawa?
À peu près à la même date l’an dernier, j’étais à cette tribune et j’interpellais les candidats aux élections
québécoises.
Concrètement qu’est-ce que ça a donné?

6. Des rencontres fréquentes avec des ministres importants comme :
 Eric Girard aux Finances;
 François Bonnardel aux Transports;
 Andrée Laforest aux Affaires municipales;
 Benoit Charrette à l’Environnement;
 Christian Dubé, Président du conseil du Trésor, mais surtout ministre responsable de la Montérégie;
 Chantal Rouleau, ministre responsable de l’ARTM et de la Métropole;
 Et nos députés chez nous - d’abord Nathalie Roy à la Culture;
 Lionel Carmant ministre délégué à la Santé et aux Services sociaux;
 et bien sûr avec Ian Lafrenière, député de Vachon et Président du caucus gouvernemental de la
Montérégie.
Ça a donné une collaboration probablement jamais vue avec nos députés locaux.
Pour la première fois de l’histoire de notre ville, j’ai été invitée, à titre de mairesse de Longueuil, aux
importantes rencontres prébudgétaires du gouvernement du Québec.
De plus, notre ville et notre région, et plusieurs projets qui sont prioritaires pour nous ont été
mentionnés dans un budget provincial comme jamais auparavant.
Et pourquoi tout ça?
Parce que lorsque la région parle d’une seule voix ça donne 16 députés sur 23 en Montérégie.
20 % du caucus gouvernemental ça ne change pas le monde, mais…
Ça en fait du monde pour porter le message!
Après un an, on peut sentir que notre message n’a pas seulement été entendu à Québec, mais qu’il a
été relayé.
D’ailleurs, avec le recul, je me rends compte qu’on a attendu trop longtemps avant de se faire entendre.

7. Trop longtemps avant de prendre notre place.
Notre place dans des instances importantes comme la Table de concertation des préfets de la
Montérégie.
Mais aussi notre place sur la scène nationale.
Longueuil est une grande ville canadienne et doit se comporter comme tel.
Nous devons soumettre nos dossiers, nous devons lever la main quand c’est le temps.
Et ça commence aujourd’hui!
La balle est maintenant dans le camp des candidats et des partis fédéraux :
Longueuil fait partie des grandes villes canadiennes…
Longueuil est une ville incontournable…
Le prochain gouvernement fédéral devra poser des gestes concrets pour le reconnaître!
Je l’ai dit tantôt, Longueuil et son agglomération sont confrontés à plusieurs défis de grandes villes.
Notre population est grandissante, car de plus en plus de gens choisissent de s’établir chez nous.
Qu’ils soient attirés par la qualité de vie, l’effervescence économique, les institutions d’enseignements
de tous les niveaux, ou par notre situation géographique au cœur d’une région où ça bouge.
Ces gens ont besoin de services, de logements.
Ils veulent avoir accès à des espaces verts, ils veulent un accès aux commerces, ils veulent se divertir
- et tout cela, près de chez eux!
Les entreprises qui ont choisi Longueuil et notre région ont aussi des besoins.
Elles ont besoin d’avoir accès à des infrastructures pour transporter leurs produits, mais aussi pour
que leurs employés puissent se rendre facilement au travail.

8. Nos institutions d’enseignement supérieur - les Cégeps Édouard-Montpetit et Champlain, l’ÉNA ou
encore l’Université de Sherbrooke - ont aussi besoin que leurs étudiants puissent se rendre
facilement à leurs campus.
Il y a donc de plus en plus de monde à déplacer vers de plus en plus de destinations sur notre
territoire…
Parlant de défi, il serait difficile et surtout irresponsable de ne pas parler d’environnement et de lutte
aux changements climatiques.
On le sait, de plus en plus de citoyens sont préoccupés par cette question.
L’environnement prendra sûrement une place importante dans la campagne électorale fédérale et
dans celles qui suivront – à tous les niveaux de gouvernement.
Et à juste titre!
Il s’agit de problèmes complexes et il n’y a pas de solution miracle.
Tout le monde doit y mettre du sien.
Longueuil fait d’ailleurs déjà beaucoup à l’intérieur de ses champs de compétence.
Nous luttons contre les ilots de chaleur en investissant dans nos espaces verts et avons adopté notre
première politique de l’arbre afin de préserver et d’étendre la canopée.
Nous investissons dans le transport actif en développant notamment notre réseau cyclable.
Cela nous a d’ailleurs valu la certification Vélo Sympathique de Vélo-Québec.
Nous avons mis en place des solutions novatrices pour la gestion des matières organiques en
concluant un partenariat avec la SÉMECS
Et pour la gestion des matières résiduelles, nous avons annoncé récemment notre volonté de
construire notre propre centre de tri en partenariat avec des MRC de la couronne Sud.
La densification du territoire est aussi un des moyens par lequel une municipalité peut agir et nous y
travaillons avec les projets du Centre-Ville et du Pôle Roland-Therrien.

9. Ces quartiers seront hautement densifiés – donc plus de monde, qui occupe moins d’espace.
Ils seront aussi planifiés de manière écoresponsable et seront centrés sur le transport en
commun.
Mais nous voulons faire encore plus et cela passe par le principal levier que contrôle une ville
pour la lutte aux changements climatiques, soit le transport collectif.
Là, on est plus que dus.
Il n’y a pas eu d’investissement dans un mode de transport collectif structurant sur le territoire de
Longueuil depuis 1967.
L’année de l’Expo!
Depuis 50 ans, la population de l’agglomération de Longueuil s’est accrue d’environ 300,000
personnes…
Ça en fait du monde de plus à déplacer!
Le REM est en construction et changera la donne pour bien des résidents de la Rive-Sud,
particulièrement ceux de la partie ouest.
Mais le REM n’est qu’une étape. Ça ne doit pas s’arrêter là.
Dans son dernier budget, le gouvernement du Québec a reconnu l’importance de travailler sur
deux projets de modes de transport structurants sur notre territoire.
Dans l’axe de la ligne jaune et dans celui du boulevard Taschereau – notamment pour connecter
le REM avec la station de métro Longueuil.
Mon équipe et moi, avec la collaboration de plusieurs organisations municipales et
gouvernementales, travaillons quotidiennement à faire avancer ces deux projets.
Nous travaillons fort avec les députés et ministres du gouvernement du Québec, dont plusieurs
sont aussi des députés de notre région.
Et nous nous attendons à la même chose de la part de nos élus fédéraux.

10. Dans notre système de gouvernement, la planification de ce type de projet relève du
gouvernement du Québec, mais le financement est conjoint, car il est majoritairement issu des
programmes d’infrastructures.
Les choses pourraient bouger vite – c’est la volonté de l’ensemble des partenaires - et nous
aurons besoin d’un engagement ferme de la part du prochain gouvernement fédéral.
Longueuil demande donc aux candidats et candidates - ainsi qu’aux partis fédéraux - de
s’engager à confirmer rapidement la partie fédérale du financement des modes de transports
structurants sur les axes de la ligne jaune et du boulevard Taschereau.
Malgré ces importants projets de transport collectif, il ne faut quand même pas négliger notre
réseau routier.
Nous sommes déjà une des régions les plus mal en point en termes de capacité et d’état du
réseau routier :
 Une récente étude révélait d’ailleurs que notre région se heurte à un réel problème de
congestion routière et de fluidité avec - en moyenne - plus de 145 heures par année passées
dans les embouteillages.
 On dénombre plus d'un million de déplacements par jour en Montérégie, dont 600 000 à
l'intérieur du territoire de Longueuil.
 En 10 ans, les déplacements entre l'agglomération et la Couronne Sud ont augmenté de
30 %.
Pourtant, les infrastructures, elles, demeurent les mêmes.
Le transport collectif nous permet de réduire le nombre de véhicules sur le réseau, mais ne
règle pas les problèmes de fluidité à lui tout seul.
Et si on veut que le réseau routier et le transport en commun puissent être complémentaires et
efficaces, on doit aussi faire un effort de ce côté-là.
D’abord, et ce n’est pas une surprise pour personne, la croissance économique et
l’augmentation de notre population ont entraîné un achalandage plus important sur l’autoroute
30, particulièrement entre les autoroutes 10 et 20.

11. Et l’arrivée du REM viendra accroître encore plus cette problématique.
En mars 2018, nous étions 64 municipalités et organismes de la Couronne Sud, réunis par la
Chambre de commerce, à demander que des mesures soient prises afin d’y remédier.
Des solutions à court terme comme une voie réservée pour les autobus peuvent être rapidement
mises en place.
Mais des investissements plus importants seront aussi nécessaires afin d’adapter les
échangeurs et potentiellement élargir l’autoroute sur ce tronçon.
La situation est aussi compliquée autour de l’intersection du Chemin de Chambly et de la route
116.
Encore là, pas de solution magique.
Le trafic y est loin d’être fluide.
Pire, c’est régulièrement la congestion!
La configuration de la 116 dans ce tronçon implique que des travaux importants devront être
réalisés afin de reconfigurer les infrastructures routières et ferroviaires de ce secteur.
Longueuil demande donc aux candidats et candidates – ainsi qu’aux partis fédéraux - de
s’engager en faveur d’un financement fédéral des projets de reconfiguration de l’autoroute 30 et
de l’intersection 116/Chemin de Chambly.
J’en ai parlé brièvement plus tôt, Longueuil travaille sur deux pôles majeurs de redéveloppement
urbain.
Des projets uniques au Québec!
Les deux projets seront centrés sur les transports actifs et collectifs, miseront sur les
technologies vertes et les infrastructures écoresponsables, en plus d’inclure une diversité de
bâtiments résidentiels, commerciaux et institutionnels.

12. D’une part le pôle Roland-Therrien, un tout nouveau quartier situé dans un endroit facile d'accès,
tout près du fleuve, du centre-ville de Longueuil et de multiples institutions et services.
Cet ancien site industriel lourd de plus de 400,000 mètres carrés – l’équivalent de plus de cent
terrains de football! - sera, à terme, entièrement décontaminé.
Et surtout, le Centre-ville, un projet de plus de 3 milliards de dollars en investissements privés, où
cohabiterons hôtels, bureaux, commerces, institutions, habitations, un parc riverain et un pôle de
savoir avec des établissements d’enseignement supérieur.
Ce sera un important milieu de vie, avec plus de 8500 unités d’habitation, mais aussi un important
centre d’affaires avec plus de 150,000 mètres carrés d’espaces de bureau.
Tout ça en bordure du fleuve et relié au métro – et prochainement au REM!
La pierre d’assise du Centre-ville - le premier domino qui doit tomber! - est celle du nouveau
complexe culturel de Longueuil, au-dessus même de l’actuelle station de métro, un projet de plus
de 70 millions $.
Le prochain gouvernement fédéral devra rapidement confirmer sa part du financement du
complexe culturel, car nous voulons débuter la construction en 2020!
Ce faisant, il contribuera à mettre en marche un projet ambitieux qui changera à jamais la
configuration de notre ville!
Longueuil demande donc aux candidats et candidates – ainsi qu’aux partis fédéraux - de
s’engager à confirmer rapidement la partie fédérale de 10 millions $ du financement pour la
réalisation du complexe culturel.
Qui dit développement urbain dit nécessairement logement social et abordable.
Comme nous l’avons fait auprès du gouvernement du Québec lors de ses consultations
prébudgétaires, nous réitérons notre volonté de mieux contrôler la planification du développement
social sur le territoire de notre agglomération.

13. Concrètement, cela implique une plus grande autonomie lorsque vient le temps de décider
comment seront investis les budgets mis à notre disposition et surtout où seront construits les
logements sociaux.
Longueuil demande donc aux candidats et candidates – ainsi qu’aux partis fédéraux - de
s’engager à donner à l’agglomération l’autonomie nécessaire pour la gestion et la planification
du logement social sur son territoire.
Nous avons la chance d’avoir chez nous un outil de développement économique majeur, soit
l’Aéroport Montréal - Saint-Hubert - Longueuil.
Point d’ancrage de la zone aéroportuaire, cet actif est loin d’avoir atteint son plein potentiel de
développement, particulièrement en ce qui a trait au transport de passagers.
Or, notre région constitue déjà un bassin de population très important.
Ce n’est pas le fruit du hasard si la zone d’attraction de l’aéroport comprend 2,8 millions de
personnes qui peuvent s’y rendre dans un délai raisonnable.
Sans compter les 135 millions de consommateurs qui se retrouvent dans un rayon de 1 000
kilomètres comprenant de grandes métropoles nord-américaines comme Toronto, Boston et
New York.
Ai-je besoin d’en ajouter?
La localisation exceptionnelle de notre aéroport se traduit entre autres par une facilité d’accès
d’autant plus appréciable qu’elle permet d’éliminer des irritants comme les distances routières
et les pertes de temps dues à la congestion.
Notre aéroport est particulièrement bien placé pour devenir une plaque tournante pour des vols
régionaux vers des destinations comme l'Abitibi, la Côte-Nord ou la Gaspésie, mais aussi une
force d’attraction pour les vols commerciaux et les compagnies à bas prix.
Imaginez pouvoir prendre un vol pour New York ou la Floride à partir de Longueuil plutôt que
de Plattsburgh ou de Burlington.
Imaginez partir d’ici - dans notre cours ! - pour un voyage d’affaires à Toronto ou ailleurs au
Canada, ou encore pour des vacances bien méritées à l’occasion des fêtes ou de la semaine
de relâche scolaire.
Cela semble tellement évident qu’on peut se demander pourquoi ce n’est pas déjà fait.

14. Les gens de DASH-L travaillent déjà très fort au développement de l’aéroport et ils voient grand.
Je sais que plusieurs sont ici, avec nous, aujourd’hui; je les salue et les remercie pour leur
excellent travail.
Tout le monde reconnaît le grand potentiel de développement de l’Aéroport Montréal - Saint-
Hubert - Longueuil.
Le gouvernement fédéral aussi, j’en suis convaincue, mais le temps est maintenant venu de
passer de la parole aux actes.
Cela veut dire permettre à l’aéroport d’évoluer dans un environnement où il s’intègre pleinement
dans la planification de vols régionaux et nationaux ainsi que de vols vers les États-Unis et les
destinations soleil.
Cela veut aussi dire lui permettre de se doter des infrastructures nécessaires pour qu’il puisse
jouer pleinement et efficacement son rôle moteur dans le développement économique de
l’agglomération et de la région.
Longueuil demande donc aux candidats et candidates – ainsi qu’aux partis fédéraux - de
s’engager non seulement à permettre une complémentarité entre les aéroports, mais également
à contribuer à la mise en place des infrastructures et services nécessaires pour assurer le
développement et la croissance et l’Aéroport Montréal - Saint-Hubert - Longueuil.
Chers candidats et candidates.
Députés sortants et futurs députés.
Mais surtout chers partenaires.
Je vous ai présenté aujourd’hui certaines des priorités de notre ville et de notre agglomération.
Certains de nos projets ont un impact plus local, mais d’autres auront un impact sur l’ensemble
de notre région.
C’est maintenant à vous de jouer.
D’ici le 21 octobre, je compte recevoir les représentants de chacun des partis à l’hôtel de ville
afin de discuter des demandes que je vous ai présenté aujourd’hui.

15. Comme je l’ai toujours fait dans mes relations avec les autres paliers de gouvernement, je travaillerai
avec tous les représentants que nos électeurs auront choisis.
Alors que nos concitoyens sont à décider à qui il confieront la responsabilité de les représenter à
Ottawa au cours des quatre prochaines années, c’est à vous de leur montrer que vous les avez
entendus.
Que vous considérez que Longueuil, une grande ville canadienne, une ville incontournable, doit
avoir l’écoute et l’appui du gouvernement fédéral.
Que vous serez leurs porte-parole à la Chambre des communes, au sein de votre caucus et auprès
du gouvernement fédéral.
Et surtout que vous vous engagez à appuyer notre ville et notre région dans tous les aspects de
leur développement.
Sur ce, bonne campagne à tous.
Au plaisir de travailler avec chacun et chacune de vous!
Merci !