Avec l'affaire WikiLeaks, il ne faudrait pas se tromper de débat. En effet, parler de culture de la transparence en matière de données publiques n'a rien à voir avec le fait de recueillir et de diffuser illégalement des données volées concernant les questions de défense, de sécurité intérieure ou de diplomatie. Ce qui relève d'un anarchisme high-tech et de la piraterie informatique est en complète opposition avec la mise en place d'une politique officielle et généralisée de mise en ligne de données publiques à caractère fiscal, statistique, économique, social, démographique ou juridique, concernant l'économie et le secteur public.
Or, nombreux sont ceux qui, en France, dans la haute administration, voient d'un mauvais œil cette « révolution de l'Open Data » et pourraient être tentés d'assimiler l'un à l'autre pour en refuser le principe. Il semble d'ailleurs que l'État et ses administrations entendent « valoriser » le patrimoine immatériel de l'État à leur propre profit, quitte à en détourner la finalité par rapport à la politique de gratuité qui prévaut partout ailleurs.
La question de l'accès et de la réutilisation des données publiques en France comme dans le monde représente aujourd'hui un enjeu crucial. Il s'agit en effet de permettre au citoyen, et plus globalement à la société civile dans son ensemble, d'avoir un accès le plus large possible aux informations produites par les administrations. À la clé, le développement d'un double potentiel :
- un potentiel économique permettant au secteur privé d'enrichir et de recouper les données publiques de façon à fournir de nouveaux services susceptibles d'avoir un impact sur la croissance. De ce point de vue, l'exploitation des données publiques représente une source de richesses valorisables particulièrement importante au sein des pays développés caractérisés par le poids de leur secteur public. Une étude européenne parle à ce sujet d'un potentiel de 27 milliards en Europe (étude Mepsir, juin 2006) ;
- un potentiel politique, dans la mesure où la diffusion massive de données publiques auprès du public devrait permettre à la société civile et à ses émanations (chercheurs, think tanks, fondations, etc.) de rétablir un dialogue plus équilibré avec le secteur public sur ses performances et la dépense publique. Cela suppose de renforcer la culture de la transparence de l'administration et mettre en place les instruments pour cela.
Chasser les gaspillages, redéfinir le périmètre de l'État, trouver des alternatives privées ou caritatives aux services publics administratifs, tel est l'enjeu de la réforme du Big Government vers la Big Society qu'est en train de mettre en place le gouvernement Cameron en Grande-Bretagne et qui s'appuie précisément sur l'accès libre aux données publiques (ou politique d'Open Data).
Présentation d'un vin atypique de Bordeaux né sur les coteaux de Cotes de Castillon.
Du bordeaux dans une bouteille de Bourgogne.
Un nom évocateur pour des jours de fêtes
EA Foundation est une solution Casewise qui intègre plusieurs dimensions complémentaires pour accélérer vos démarches d'architecture d'entreprise tout en tirant le meilleur parti des produits Casewise. www.casewise.fr
Episode I : https://youtu.be/vNRouPdhCzw
Avec l'affaire WikiLeaks, il ne faudrait pas se tromper de débat. En effet, parler de culture de la transparence en matière de données publiques n'a rien à voir avec le fait de recueillir et de diffuser illégalement des données volées concernant les questions de défense, de sécurité intérieure ou de diplomatie. Ce qui relève d'un anarchisme high-tech et de la piraterie informatique est en complète opposition avec la mise en place d'une politique officielle et généralisée de mise en ligne de données publiques à caractère fiscal, statistique, économique, social, démographique ou juridique, concernant l'économie et le secteur public.
Or, nombreux sont ceux qui, en France, dans la haute administration, voient d'un mauvais œil cette « révolution de l'Open Data » et pourraient être tentés d'assimiler l'un à l'autre pour en refuser le principe. Il semble d'ailleurs que l'État et ses administrations entendent « valoriser » le patrimoine immatériel de l'État à leur propre profit, quitte à en détourner la finalité par rapport à la politique de gratuité qui prévaut partout ailleurs.
La question de l'accès et de la réutilisation des données publiques en France comme dans le monde représente aujourd'hui un enjeu crucial. Il s'agit en effet de permettre au citoyen, et plus globalement à la société civile dans son ensemble, d'avoir un accès le plus large possible aux informations produites par les administrations. À la clé, le développement d'un double potentiel :
- un potentiel économique permettant au secteur privé d'enrichir et de recouper les données publiques de façon à fournir de nouveaux services susceptibles d'avoir un impact sur la croissance. De ce point de vue, l'exploitation des données publiques représente une source de richesses valorisables particulièrement importante au sein des pays développés caractérisés par le poids de leur secteur public. Une étude européenne parle à ce sujet d'un potentiel de 27 milliards en Europe (étude Mepsir, juin 2006) ;
- un potentiel politique, dans la mesure où la diffusion massive de données publiques auprès du public devrait permettre à la société civile et à ses émanations (chercheurs, think tanks, fondations, etc.) de rétablir un dialogue plus équilibré avec le secteur public sur ses performances et la dépense publique. Cela suppose de renforcer la culture de la transparence de l'administration et mettre en place les instruments pour cela.
Chasser les gaspillages, redéfinir le périmètre de l'État, trouver des alternatives privées ou caritatives aux services publics administratifs, tel est l'enjeu de la réforme du Big Government vers la Big Society qu'est en train de mettre en place le gouvernement Cameron en Grande-Bretagne et qui s'appuie précisément sur l'accès libre aux données publiques (ou politique d'Open Data).
Présentation d'un vin atypique de Bordeaux né sur les coteaux de Cotes de Castillon.
Du bordeaux dans une bouteille de Bourgogne.
Un nom évocateur pour des jours de fêtes
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Episode I : https://youtu.be/vNRouPdhCzw
Unidad didáctica en PowerPoint esquematizada por sesiones (séance) para exponer y trabajar con los alumnos el segundo tema de introducción a la segunda lengua extranjera (francés) en tercer ciclo, 5º curso. Se expone en cada sesión cada una de las actividades que se va a realizar, transcripciones de grabaciones, notas culturales… todo ello debidamente ilustrado con dibujos y/o fotografías. La última sesión se dedica al trabajo de los contenidos a través de Internet, por lo que se facilitan algunos enlaces para facilitar su acceso directo.
De uso manual, para poder ir explicando el tiempo que sea necesario cada actividad.
1. +
Les animaux du Jardin
Scullion
Dara et Kendra
2. +
Agenda
Objectifs:
Les élèves identifient et revoient le vocabulaire concernant les
animaux au Jardin Scullion (et les animaux canadiens)
Les étudiants comparent les termes francophones (de France) et
québécois
Grammaire et vocabulaire : adjectifs, couleurs et accord
Pratique orale : formuler les phrases de manière spontanée
Pratique écrite guidée: formuler des phrases en employant les noms
des animaux et les adjectifs.
Age visé: 10-15 ans
Niveau: Français 1 (débutants)
3. +
Activités
Identification et description (présentation des images avec
PowerPoint.) Les élèves prendront des notes sur une feuille avec
les images des animaux et des trous pour les noms/phrases.
Grammaire: adjectifs, couleurs et accord
http://www.youtube.com/watch?v=7lZM0ksexdY&feature=related
(présentation des animaux de la ferme)
Charades
Qui suis-je (avec un partenaire)
Sketch
4. +
Exemple de fiche de travail
_Le/la__________________.
Je suis __________________.
5. +
Animaux de la ferme
La vache
Je suis grosse Je dis « meuh »
Je suis brune (noire, blanche)
6. +
Les animaux, suite
Je suis petit
Je suis blanc
Je bêle/je dis
« bâââââ »
Le mouton
7. +
Les animaux, suite
Le chien
Je suis mignon
Je suis gris
(J’aboie)
8. +
Les animaux, suite
Le cheval, le poulain
J’hennis
Je suis grand/je suis petit
Je suis brun
14. +
Exemple de Qui suis-je
Je suis noir et petit
Je vole
J’aime le caca
Qui suis-je?
15. +
Extension
Les bâtiments sur une ferme
http://www.youtube.com/watch?v=_VBFxFxB-Mw&feature=related
(les trois petits cochons)
Le cercle de la vie
Les plantes
Les fables
Masques, déguisements, marionnettes….
Créer leur propre animal et puis décrire pourquoi ils ont choisi
les caractéristiques
16. +
Exemple de “sketch”
Tufais du travail pour ton papa. Il t’ademandé de nourrir son
cochon Wilbur, maisquandtuluiapportes de la nourriture, tu
notes qu’iln’est pas là! Qu’est-ce qui estarrivé à Wilbur et
qu’est-cequetu vas faire?!
http://www.youtube.com/watch?v=NYRCsUmJP8E
Notes de l'éditeur
Dara
Dara, Kendra-age
Kendra-ident, film Dara- le reste
Dara-fiche
Kendra-expliquer le fonctionnement/lederoulement (deviner)
Dara
Kendra
Dara
Kendra
Dara
Kendra (PAS de couleur)
Dara
Kendra
Dara- qui suis-je
Kendra- (cercle de vie-cours de science)Les photos du jardinDara- La tortue et la lièvre, le corbeau et le renard….-ils connaissent deja en langue maternelle)