Chaque année en France, 130 000 jeunes entrent sans qualification ni diplôme sur le marché du travail. Le nombre de jeunes entrant en apprentissage diminue, et l’offre de formation existante n’est parfois pas en adéquation avec les besoins des entreprises qui ont considérablement évolué. Dans ce contexte pénalisant pour l’emploi et la compétitivité, des entreprises s’organisent et développent des dispositifs de formation innovants.
Et les lauréats du concours étudiants et jeunes chercheurs de La Fabrique de ...La Fabrique de l'industrie
Parmi les soixante-quinze candidatures en lice, le jury présidé par Louis Gallois a retenu huit finalistes qui se sont succédé sur scène. Après avoir vulgarisé leurs travaux de recherche en cinq minutes, les jeunes ont débattu avec les membres du jury et le public.
Dialogue professionnel et dialogue social existent dans la plupart des organisations, mais souvent de façon disjointe voire opposée, en raison de différentes méfiances ou tensions entre les acteurs. Pourtant, leur coordination a des effets positifs sur la qualité du travail et la performance des organisations, l’intensité du dialogue professionnel pouvant rejaillir sur la qualité du dialogue social.
Dans cet ouvrage, des exemples issus de trois pays européens (Pays-Bas, Suède, France) montrent que des articulations entre ces modes de participation sont possibles et souhaitables, tout en éclairant la complexité et la fragilité de leur mise en œuvre. Ces nouvelles approches permettent de créer des convergences entre les parties prenantes autour de la qualité du travail, mais supposent un engagement soutenu des directions et des syndicats. Le dialogue professionnel, loin de menacer l’action syndicale, pourrait au contraire se révéler la source de son renouveau, en lui permettant de renouer avec sa base.
Cette approche novatrice des relations professionnelles et sociales s’adresse aux dirigeants d’entreprises, directions des ressources humaines, managers, aux organisations syndicales et aux représentants des salariés. Elle a vocation à les inspirer dans leur action quotidienne en faveur du progrès économique et social.
Cet ouvrage est le résultat d’une collaboration entre des chercheurs, consultants, praticiens, syndicalistes de trois pays européens qui ont partagé leurs connaissances sur les systèmes de négociation et le syndicalisme.
Chaque année en France, 130 000 jeunes entrent sans qualification ni diplôme sur le marché du travail. Le nombre de jeunes entrant en apprentissage diminue, et l’offre de formation existante n’est parfois pas en adéquation avec les besoins des entreprises qui ont considérablement évolué. Dans ce contexte pénalisant pour l’emploi et la compétitivité, des entreprises s’organisent et développent des dispositifs de formation innovants.
Et les lauréats du concours étudiants et jeunes chercheurs de La Fabrique de ...La Fabrique de l'industrie
Parmi les soixante-quinze candidatures en lice, le jury présidé par Louis Gallois a retenu huit finalistes qui se sont succédé sur scène. Après avoir vulgarisé leurs travaux de recherche en cinq minutes, les jeunes ont débattu avec les membres du jury et le public.
Dialogue professionnel et dialogue social existent dans la plupart des organisations, mais souvent de façon disjointe voire opposée, en raison de différentes méfiances ou tensions entre les acteurs. Pourtant, leur coordination a des effets positifs sur la qualité du travail et la performance des organisations, l’intensité du dialogue professionnel pouvant rejaillir sur la qualité du dialogue social.
Dans cet ouvrage, des exemples issus de trois pays européens (Pays-Bas, Suède, France) montrent que des articulations entre ces modes de participation sont possibles et souhaitables, tout en éclairant la complexité et la fragilité de leur mise en œuvre. Ces nouvelles approches permettent de créer des convergences entre les parties prenantes autour de la qualité du travail, mais supposent un engagement soutenu des directions et des syndicats. Le dialogue professionnel, loin de menacer l’action syndicale, pourrait au contraire se révéler la source de son renouveau, en lui permettant de renouer avec sa base.
Cette approche novatrice des relations professionnelles et sociales s’adresse aux dirigeants d’entreprises, directions des ressources humaines, managers, aux organisations syndicales et aux représentants des salariés. Elle a vocation à les inspirer dans leur action quotidienne en faveur du progrès économique et social.
Cet ouvrage est le résultat d’une collaboration entre des chercheurs, consultants, praticiens, syndicalistes de trois pays européens qui ont partagé leurs connaissances sur les systèmes de négociation et le syndicalisme.
Avant 2020, le télétravail restait une pratique très limitée dans la plupart des entreprises françaises. Il faisait en outre l’objet de nombreux préjugés que l’expérience, forcée par la crise sanitaire, aura en partie permis de lever. Une page se tourne…
Cet ouvrage entend poser la question du travail à distance au-delà de l’épisode pandémique, de ses effets et de ce qu’il nous enseigne. Il dessine le futur du travail à la lumière de cette expérience inédite. Fondé sur des auditions d’experts (sociologues, ergonomes, DRH, managers, aménageurs) et sur des centaines d’enquêtes et études académiques, il fournit des points de repère et de vigilance à toutes les entités qui doivent repenser l’organisation du travail : management, espaces, temps du travail, outils numériques, communication… Au passage, l’ouvrage met au jour des débats qui ne sont pas encore tranchés, comme l’épineuse question de l’éligibilité au télétravail et des inégalités qui en résultent, la productivité qu’il permet mais également sa compatibilité avec la QVT, son impact sur le lien social, la confiance, la collaboration, l’innovation et la créativité... C’est bien un travail hybride – sur site et à distance – qu’il s’agit dès aujourd’hui de préparer.
Cet ouvrage intéressera les entreprises confrontées à ces transformations organisationnelles et managériales, et plus particulièrement les DRH, les directions immobilières, les directions de la transformation numérique, les syndicalistes et représentants du personnel, les consultants, mais aussi tous les managers quotidiennement en prise avec ces défis.
L’INNOVATION PAR LES NOUVEAUX MODÈLES ÉCONOMIQUESUtopies
Une démarche de développement durable n’a de sens que si elle est pleinement intégrée à l’activité de l’entreprise – dans sa mission et son modèle économique, son offre de produits et services, ses objectifs stratégiques et critères d’investissement, etc.
Dans la continuité de nos précédents travaux sur la convergence entre innovation et développement durable, l’étude « L’innovation par les nouveaux modèles économiques » entend répondre à trois objectifs :
1/ faire œuvre de pédagogie dans la compréhension de ce contexte et de ces nouvelles formes d’économie (fonctionnelle, collaborative et circulaire) qui, même si elles sont analysées séparément, se complètent parfaitement pour illustrer le sujet de l’innovation par les modèles économiques.
2/ montrer en quoi une intégration « globale et en profondeur » de ces nouvelles formes d’économie dans les modèles économiques permet de garantir une innovation « durable » – prenant en compte les externalités négatives et positives de ces modèles, leurs impacts au-delà du client sur l’ensemble des parties prenantes concernées, et donnant aux entreprises qui les portent une vraie différenciation dans leur performance comme leur pérennité.
3/ proposer des pistes concrètes pour intégrer ces nouveaux modèles à toutes les entreprises ouvertes, engagées et agiles qui y voient à juste titre de nouvelles opportunités de créer de la valeur avec des valeurs !
Cette étude vous présente le fruit de ces réflexions. Elle influera également sur l’évolution du séminaire NOÉ - suivre l'actualité du séminaire d'innovation et de leadership sur programmenoe.com - et fera l’objet de journées de formation à l’innovation par les modèles économiques - voir agenda sur utopies.com/events.
G9+ rencontre 2017 - présentation sans vidéoPurpose4Good
Quel que soit l’espace-temps, le monde du travail a toujours été bouleversé par l’apparition de nouvelles technologies qui n’avaient pour objectif premier que d’accroitre l’efficacité dans les tâches, et le pouvoir sur la nature et les hommes. Mais jusqu’à présent les transformations technologiques se faisaient sur des temps suffisamment longs pour pouvoir les intégrer culturellement, économiquement et socialement.
Avec la révolution numérique qui s’exerce actuellement, la transformation est globale. Culturelle et sociétale, économique et sociale. Et le rythme de cette révolution ne cesse de s’accélérer : il ne s’agit plus de résister mais d’accompagner ce changement, de comprendre « en courant ». Les entreprises doivent revoir leur organisation en fonction de modèles d’affaire en mutation. Cela change leur Métier (leur raison d’être), mais aussi leurs métiers (les salariés). Cela change les relations entre acteurs de l’entreprise, les modes de travail évoluent vers le collaboratif et de nouveaux métiers apparaissent et viennent s’insérer dans des organisations en transformation.
Cette conférence annuelle va donc s’intéresser aux conséquences macro-économiques, sociétales et sociales de l’impact des nouvelles technologies qui portent la révolution numérique.
Ce document présente les idées-clés qui ressortent de ses cinq premières années de travaux. Elles sont organisées autour de trois principaux axes de réflexion : Compétitivité et politiques industrielles ; Travail, emploi et dialogue social ; Mondialisation et regards sur des expériences étrangères.
Vision prospective partagée des emplois et des compétences - La filière numér...France Stratégie
Dans un contexte d’incertitude forte, dresser un diagnostic partagé et partageable sur l’évolution de l’emploi, des métiers et des compétences dans la filière numérique peut s’avérer difficile. Le rapport tente de répondre à ce défi en présentant une analyse des évolutions et enjeux des métiers cœur du numérique.
En savoir plus :
http://www.strategie.gouv.fr/rapport/vision-prospective-partagee-emplois-competences-filiere-numerique
Avant 2020, le télétravail restait une pratique très limitée dans la plupart des entreprises françaises. Il faisait en outre l’objet de nombreux préjugés que l’expérience, forcée par la crise sanitaire, aura en partie permis de lever. Une page se tourne…
Cet ouvrage entend poser la question du travail à distance au-delà de l’épisode pandémique, de ses effets et de ce qu’il nous enseigne. Il dessine le futur du travail à la lumière de cette expérience inédite. Fondé sur des auditions d’experts (sociologues, ergonomes, DRH, managers, aménageurs) et sur des centaines d’enquêtes et études académiques, il fournit des points de repère et de vigilance à toutes les entités qui doivent repenser l’organisation du travail : management, espaces, temps du travail, outils numériques, communication… Au passage, l’ouvrage met au jour des débats qui ne sont pas encore tranchés, comme l’épineuse question de l’éligibilité au télétravail et des inégalités qui en résultent, la productivité qu’il permet mais également sa compatibilité avec la QVT, son impact sur le lien social, la confiance, la collaboration, l’innovation et la créativité... C’est bien un travail hybride – sur site et à distance – qu’il s’agit dès aujourd’hui de préparer.
Cet ouvrage intéressera les entreprises confrontées à ces transformations organisationnelles et managériales, et plus particulièrement les DRH, les directions immobilières, les directions de la transformation numérique, les syndicalistes et représentants du personnel, les consultants, mais aussi tous les managers quotidiennement en prise avec ces défis.
L’INNOVATION PAR LES NOUVEAUX MODÈLES ÉCONOMIQUESUtopies
Une démarche de développement durable n’a de sens que si elle est pleinement intégrée à l’activité de l’entreprise – dans sa mission et son modèle économique, son offre de produits et services, ses objectifs stratégiques et critères d’investissement, etc.
Dans la continuité de nos précédents travaux sur la convergence entre innovation et développement durable, l’étude « L’innovation par les nouveaux modèles économiques » entend répondre à trois objectifs :
1/ faire œuvre de pédagogie dans la compréhension de ce contexte et de ces nouvelles formes d’économie (fonctionnelle, collaborative et circulaire) qui, même si elles sont analysées séparément, se complètent parfaitement pour illustrer le sujet de l’innovation par les modèles économiques.
2/ montrer en quoi une intégration « globale et en profondeur » de ces nouvelles formes d’économie dans les modèles économiques permet de garantir une innovation « durable » – prenant en compte les externalités négatives et positives de ces modèles, leurs impacts au-delà du client sur l’ensemble des parties prenantes concernées, et donnant aux entreprises qui les portent une vraie différenciation dans leur performance comme leur pérennité.
3/ proposer des pistes concrètes pour intégrer ces nouveaux modèles à toutes les entreprises ouvertes, engagées et agiles qui y voient à juste titre de nouvelles opportunités de créer de la valeur avec des valeurs !
Cette étude vous présente le fruit de ces réflexions. Elle influera également sur l’évolution du séminaire NOÉ - suivre l'actualité du séminaire d'innovation et de leadership sur programmenoe.com - et fera l’objet de journées de formation à l’innovation par les modèles économiques - voir agenda sur utopies.com/events.
G9+ rencontre 2017 - présentation sans vidéoPurpose4Good
Quel que soit l’espace-temps, le monde du travail a toujours été bouleversé par l’apparition de nouvelles technologies qui n’avaient pour objectif premier que d’accroitre l’efficacité dans les tâches, et le pouvoir sur la nature et les hommes. Mais jusqu’à présent les transformations technologiques se faisaient sur des temps suffisamment longs pour pouvoir les intégrer culturellement, économiquement et socialement.
Avec la révolution numérique qui s’exerce actuellement, la transformation est globale. Culturelle et sociétale, économique et sociale. Et le rythme de cette révolution ne cesse de s’accélérer : il ne s’agit plus de résister mais d’accompagner ce changement, de comprendre « en courant ». Les entreprises doivent revoir leur organisation en fonction de modèles d’affaire en mutation. Cela change leur Métier (leur raison d’être), mais aussi leurs métiers (les salariés). Cela change les relations entre acteurs de l’entreprise, les modes de travail évoluent vers le collaboratif et de nouveaux métiers apparaissent et viennent s’insérer dans des organisations en transformation.
Cette conférence annuelle va donc s’intéresser aux conséquences macro-économiques, sociétales et sociales de l’impact des nouvelles technologies qui portent la révolution numérique.
Ce document présente les idées-clés qui ressortent de ses cinq premières années de travaux. Elles sont organisées autour de trois principaux axes de réflexion : Compétitivité et politiques industrielles ; Travail, emploi et dialogue social ; Mondialisation et regards sur des expériences étrangères.
Vision prospective partagée des emplois et des compétences - La filière numér...France Stratégie
Dans un contexte d’incertitude forte, dresser un diagnostic partagé et partageable sur l’évolution de l’emploi, des métiers et des compétences dans la filière numérique peut s’avérer difficile. Le rapport tente de répondre à ce défi en présentant une analyse des évolutions et enjeux des métiers cœur du numérique.
En savoir plus :
http://www.strategie.gouv.fr/rapport/vision-prospective-partagee-emplois-competences-filiere-numerique
Livre Blanc - Atelier de la compétitivité numérique - Sept. 2012
Lettre trimestrielle du printemps 2017 - La Fabrique de l'industrie
1. LA LETTRE
TRIMESTRIELLE
#printemps 2017
En bref
Le début de l’année 2017 aura été marqué par une campagne électorale singulière, au cours de
laquelle se sont affrontées plusieurs visions de l’économie et du progrès technique. On a pu
mesurer à quel point de larges segments de notre population doutaient aujourd’hui des
bénéfices économiques de l’ouverture des frontières, de l’innovation et du soutien à la
compétitivité des entreprises. S’il ne fallait en retenir que cet exemple, le nombre de fois où
nous sommes sollicités pour débattre des effets de la robotisation ou du numérique sur
l’emploi est frappant. D’où l’importance pour La Fabrique de poursuivre ses travaux, à la fois
analytiques et pédagogiques, sur l’industrie du futur, l’investissement industriel et les
différents moyens techniques et humains qu’ont les entreprises et les territoires de monter en
gamme et en compétitivité.
Publications de l’hiver 2017
Où va l’industrie américaine ?
Donald Trump doit son élection au basculement des swing states dans
le camp républicain, séduits par sa rhétorique protectionniste et la
promesse du retour de millions d’emplois industriels détruits. Sa prise
de fonction le 20 janvier 2017 marque le point de départ d’un chantier
colossal, sur fond d’essoufflement industriel et de tensions
commerciales notamment avec le Mexique et la Chine.
Télécharger
2. Numérique et emploi : quel bilan ?
Des chiffres plus ou moins alarmistes circulent sur les effets du
numérique sur l’emploi. La Fabrique de l’industrie propose une
synthèse pour comprendre les termes de ce débat. L’incertitude des
projections chiffrées est grande ; la seule assurance est qu’une
« transformation numérique » est bien à l’œuvre. La priorité est de
savoir l’accompagner, notamment en s’appuyant sur la formation
initiale et continue.
Télécharger
Travaux 2012-2017
Retrouvez la synthèse des productions de La Fabrique entre 2012 et
2017. Ce document présente, dans une première partie, nos résultats-
clés organisés autour de trois axes de réflexion : compétitivité et
politiques industrielles ; travail, emploi et dialogue social ;
mondialisation et regards sur des expériences étrangères. La
deuxième partie présente un panorama des publications. Enfin, la
troisième partie se concentre sur les actions de sensibilisation des
jeunes et du grand public aux enjeux de l’industrie.
Télécharger
Les limites des allègements de charges sur les bas salaires
La théorie énonce depuis longtemps que, dans les pays développés, accorder des allégements
de cotisations sociales aux employeurs peut réduire le chômage, surtout si ces allégements
sont assis sur les bas salaires ou sur les postes non qualifiés. La Fabrique a réalisé, dans un
working paper disponible en ligne, un examen de la littérature empirique sur ce sujet. Celui-ci
montre que la mise en œuvre de cette théorie a connu des résultats variables, ce qui nourrit de
longs débats sur l’efficacité et le ciblage optimal de ces mesures.
Télécharger
3. Manifestations et débats publics
Conférences
Le 23 janvier 2017 – Célébration des 170 ans de Thuasne à la Cité des sciences et de
l’industrie (Louis Gallois, avec Jean-Louis Fréchin, Jean-Michel Besnier, François Gérin,
Romain Marmot, Paul Calmels, Claudie Haigneré, Erik Orsenna et Elizabeth Ducottet).
Le 26 janvier 2017 – « (Re)construire les parcours de formation professionnelle », soirée-
débat organisée par La Fabrique et l’Académie des technologies (Louis Gallois et Denis
Ranque, avec Marie-Stéphane Pefferkorn, Florence Rambaud, Simon Colas, Marine
Brochard, Nathalie Mons, Pierre Pariente, Florence Poivey et Alain Bravo).
Le 2 février 2017 – Conférence « Transformer l’emploi, redonner du sens au travail »
organisée par le Labo de l’ESS (Émilie Bourdu, avec Elie Prevevral, Brigitte Lesot).
Le 13 février 2017 – Réunion du club des grandes entreprises industrielles de la Dordogne
(CCI) sur les nouvelles méthodes de management (Émilie Bourdu, en téléconférence).
Le 14 février 2017 – Séminaire Aventures industrielles avec Michel de Nonancourt
d’Alliansys : « Articuler numérisation et RSE dans l’usine du futur », co-organisé avec
l’École de Paris du management.
Le 15 février 2017 – Présentation des travaux de Philippe Frocrain et Pierre-Noël Giraud sur
les emplois exposés et abrités au séminaire doctoral du centre d’économie industrielle de
MinesParisTech.
Le 16 février – Conférence-débat : « Les robots au travail : œuvrer avec les hommes ou à leur
place ? » pour le festival Science et manga de l’université de Lyon 1 (Thibaut Bidet-Mayer et
Louisa Toubal).
Le 21 février 2017 – Table-Ronde « Construire l’industrie française du futur » aux Rencontres
parlementaires de l’industrie, La Fabrique de l’industrie était partenaire. (Vincent Charlet et
Louis Gallois, avec Corinne Erhel (†), Patrick Hetzel et Christophe Sirugue).
Le 7 mars 2017 – Réunion SGEN-CFDT sur l’autonomie du chef d’établissement et la
gouvernance (Émilie Bourdu).
Le 8 mars 2017 – Session régionale de l’INTEFP sur l’avenir du travail dans l’industrie
(Vincent Charlet).
Le 16 mars 2017 – Rencontres entre industriels et étudiants d’HEC pour « Industry and
Innovation Day », en présence de Louis Gallois.
Le 24 mars 2017 – Clôture de la Semaine de l’industrie au ministère de l’Économie et des
Finances (Louis Gallois, Philippe Darmayan, Jean-Pierre Fine et Christophe Sirugue).
4. Les Voix de l’économie
Dix-sept institutions de réflexion, organisations citoyennes et think tanks, dont La Fabrique de
l’industrie, ont débattu régulièrement de questions économiques qu’ils jugeaient primordiales
dans la perspective de l’élection présidentielle de 2017. Les conférences des Voix de
l’économie étaient réalisées en partenariat avec Le Cercle des économistes et Le Monde.
Le 18 janvier 2017 – Conférence « Où va le travail ? » (Vincent Charlet, avec Jean-Hervé
Lorenzi, Emmanuelle Barbara, Erell Thevenon-Poullennec, Marc Deluzet, Gilles de Margerie,
Bertrand Martinot, Anna-Christina Chaves, Emmanuel Jessua, Thomas Coutrot, Alexandre
Jost).
Le 28 mars 2017 – Conférence « Quel nouveau contrat entre générations ? » (Bernard Spitz,
Hippolyte D’Albis, Henri Sterdyniak, Jennifer Pizzicara, Frédéric Montlouis-Félicité,
Dominique Meurs, Gaspard Koenig, Béatrix Jounault, Xavier Ragot).
Le Printemps de l’économie
La Fabrique de l’industrie était partenaire du Printemps de l’économie, qui s’est tenu du 20 au
23 mars 2017. Ce festival permet aux lycéens et au grand public d’échanger avec des
économistes, des chefs d’entreprises, des politiques, des philosophes, etc. Cette année, La
Fabrique a organisé deux conférences, le jeudi 23 mars, au Lycée Turgot de Paris.
• Conférence « La mondialisation, ennemie de l’emploi ? » (Philippe Frocrain avec Marie-
José Kotlicky, Mathilde Mesnard, Christophe Pineau).
• Conférence « Travailler autrement » (Émilie Bourdu avec Gabriel Artero, Constance-Aurore
Dubo, Titouan Lejeune, Jean-Luc di Paola Galloni, Yves Trousselle).
Actions tournées vers les jeunes et les enseignants
Cycle de rencontres École-Entreprise
Nous avons lancé, en partenariat avec Universcience, notre premier cycle de rencontres
École-Entreprise. Organisé autour de trois séances à la Cité des sciences et de l’industrie, il
visait à favoriser les échanges entre les jeunes, les enseignants et formateurs et les industriels.
• Le 23 février 2017 – Rencontre-débat sur le thème : « Le robot tue-t-il l’emploi ? », avec
Serge Tisseron (psychiatre et membre de l’Académie des technologies), Laurent Braquet
(enseignant de SES) et Vincent Cheminel (Stäubli Robotics). Plus de 350 lycéens de classes
ES et STMG ont assisté à la séance à la Cité des sciences et de l’industrie et en visio-
conférence.
5. • Le 16 mars 2017 – Clôture de l’atelier pédagogique de La Fabrique avec le lycée Jules
Siegfried, en partenariat avec l’association C’Possible. Les élèves ont fait le bilan du projet en
présence de l’équipe pédagogique, des partenaires et des industriels.
• Le 21 mars 2017 (Semaine de l’industrie) – Ateliers de formation à l’industrie du futur pour
enseignants-formateurs, avec des représentants de la Plateforme de la filière de l’automobile,
ABB, Festo, Saint-Gobain, Schneider Electric et Thales.
Concours pour étudiants et jeunes chercheurs
La Fabrique de l’industrie a lancé la première édition d’un concours destiné à valoriser des
travaux de recherche originaux d’étudiants et de jeunes chercheurs, en partenariat avec la
Direction générale des entreprises du ministère de l’Économie et des Finances et les Échos
Start. Au total, dans les trois catégories proposées (thèses, mémoires et article ou working
papers), soixante-quinze candidatures ont été reçues. Le jury, présidé par Louis Gallois (et
composé d’Emmanuel Bezy, Sarah Guillou, François Pellerin, Ulrike Steinhorst et Jean-Marc
Vittori), a désigné huit nominés. Ils présenteront leurs travaux lors de la cérémonie de remise
des prix le jeudi 8 juin 2017 aux Salons de l’Aveyron à Paris entre 18h et 20h30. Pour y
participer, n’hésitez pas à vous inscrire : http://bit.ly/2pXpHGX.
Atelier pédagogique de La Fabrique
Durant l’année scolaire 2016-2017, La Fabrique de l’industrie et l’association C’Possible ont
mené conjointement un atelier pédagogique avec une classe de première STMG du lycée
Jules Siegfried. Il visait à faire découvrir aux jeunes l’industrie, ses métiers et ses perspectives
de carrière.
• Le 12 janvier 2017 – Visite de l’usine PSA à Poissy.
• Le 27 janvier 2017 – Visite de la concession Peugeot SVICA Créteil
• Le 16 mars 2017 – Clôture de l’atelier à la Cité des sciences et de l’industrie, dans le cadre
du cycle de rencontres École-Entreprise.
Concours « De l’objet aux métiers »
Le concours « De l’objet aux métiers », organisé chaque année par la Fédération des
industries mécaniques et l’Onisep en partenariat avec La Fabrique, a connu sa troisième
édition cette année. Destiné aux classes de collège, de la 6e à la 3e, il vise à montrer une
industrie mécanique innovante, omniprésente dans notre quotidien et recouvrant de multiples
métiers.
6. • Le 22 mars 2017 (Semaine de l’industrie) – La Fabrique a organisé une visite du site
Dassault Aviation d’Argenteuil pour les lauréates.
• Le 22 mars 2017 (Semaine de l’industrie) – Remise des prix en présence de Philippe Contet,
directeur général de la FIM, Marie-Claude Gusto, directrice adjointe de l’Onisep et Vincent
Charlet, directeur de La Fabrique de l’industrie.
Projets et études en cours
Avenir professionnel des jeunes ouvriers : la voie pro, et après ?
Comment convaincre des jeunes de s’engager dans les filières de formation professionnelles
si celles-ci n’offrent pas des trajectoires de carrières stimulantes ? Nous avons demandé au
centre d’études et de recherches sur les qualifications (Céreq) d’analyser les trajectoires des
ouvriers qui débutent dans l’industrie.
Qualité de vie au travail : pour une approche quantitative
Le laboratoire de recherche en informatique de l’université Paris-Sud (équipe mixte avec le
CNRS et l’INRIA) travaille à partir de diverses bases de données sur la qualité de vie au
travail et la performance économique des entreprises, dans la cadre d’un partenariat avec La
Fabrique et grâce à un financement de l’Institut de la société numérique (institut d’excellence
de l’université Paris-Saclay). Les premières exploitations sont consultables à l’adresse
suivante : http://bit.ly/2dTOeWR.
L’industrie au Royaume-Uni : quel rôle des IDE ?
De nombreux fleurons industriels britanniques en difficulté ont été achetés par des entreprises
étrangères. Certains se sont bien redressés, d’autres non. Nous tentons d’analyser les effets de
long terme de la politique britannique d’attraction d’investissements étrangers.
Publications thématiques sur les ETI
Après Paroles d’ETI (publié en septembre 2015), nous poursuivons notre série de
publications thématiques sur les ETI. Celles-ci sont réalisées à partir des témoignages de
dirigeants, notamment ceux recueillis dans le cadre des séances du séminaire « Aventures
industrielles », organisé avec l’École de Paris du management et l’UIMM. Rebondir et se
7. réinventer, la résilience des ETI industrielles est publié le 10 mai, à l’occasion de la soirée
annuelle de la Fondation du Collège des Bernardins consacrée aux ETI.
Les déterminants de l’investissement industriel
Les entreprises industrielles françaises ont pu reconstituer leurs marges grâce au CICE et aux
niveaux temporairement favorables de la parité euro/dollar et du prix des énergies fossiles.
Est-ce suffisant pour qu’elles investissent dans la modernisation de l’outil de production ?
Beaucoup d’observateurs jugent les équipements industriels vieillissants, alors que les
statistiques montrent un niveau d’investissement des entreprises françaises comparable ou
supérieur à celui des pays voisins. Comment expliquer ce paradoxe ?
Principales retombées presse
Synthèse « Où va l’industrie américaine ? »
19/01. L’Usine Nouvelle & .fr « Le principe de réalité… »
19/01. La Correspondance économique « Le président élu Trump face au déclin industriel
américain »
24/01. BFM Business TV « Le Cercle des Économistes : Donald Trump signe l’ordonnance
retirant les États-Unis du partenariat transpacifique »
24/01. Slate.fr « L’abandon des industries, la faute originelle de la crise politique actuelle »
Synthèse « Numérique et emploi : quel bilan ? »
23/03. AFP « L’impact du numérique sur l’emploi difficile à mesurer »
23/03. Le Figaro.fr « L’impact du numérique sur l’emploi difficile à mesurer »
24/03. La Correspondance économique « Impact du numérique : la création d’emplois est la
grande inconnue »
Les Voix de l’économie
17/01. Le Monde & .fr « La robotisation ne tue pas le travail, elle le transforme »
18/01. Le Monde & .fr « Les voix de l’économie : quel avenir pour le travail ? »
28/01. Le Monde & .fr « Les voix de l’économie : quel contrat entre les générations ? »
28/01. Le Monde & .fr « Nous ne pouvons faire l’économie d’une réforme de la formation
professionnelle des jeunes »
8. 29/01. Le Monde & .fr « Trois débats pour la présidentielle »
Cycle de rencontres École-Entreprise
7/02. Le Parisien étudiant.com « Débat : le robot tue-t-il l’emploi ? »
8/02. Alternatives Économiques.fr « Robots et emploi »
21/03. Quotidien de la Formation « Industrie du futur : quelle réponse formation ? »
Affaire Cahuc et Zylberberg
16/01. Challenges.fr « Pourquoi le livre sur le ‘négationnisme économique’ est injurieux et
prétentieux », tribune de Thierry Weil.
9/02. Challenges.fr « Sortons du bas de gamme » tribune de Vincent Charlet.
Tribunes libres
24/01. TheConversation.fr « Ne taxez pas les robots, formez les salariés », chronique de
Thierry Weil.
13/02. Les Echos Start.fr « Les robots vont-ils vraiment voler des emplois dans
l’industrie ? », tribune de Louisa Toubal.
15/02. TheConversation.fr « La société hyper-industrielle : enjeux du nouveau capitalisme
productif », chronique de Thierry Weil (compte-rendu de l’ouvrage de Pierre Veltz)
01/03. TheConversation.fr « Revenu universel : évitons les discours simplistes », chronique
de Thierry Weil.
21/03. La Tribune & .fr « La mondialisation, ennemie de l’emploi ? », tribune de Philippe
Frocrain.
23/03. Alternatives économiques & .fr « La modération du coût du travail doit être au
service de la montée en gamme », tribune de Vincent Charlet.
25/03. La Tribune & .fr « Voulons-nous des entreprises plus obéissantes ou plus
intelligentes ? », tribune d’Émilie Bourdu.
Autres
05/01. BFM Business TV « Principe de précaution, principe de déraison ? », Thierry Weil
était l’invité d’Hedwige Chevrillon.
26/01. France Info TV « Raréfaction du travail », Thierry Weil était l’invité.
06/02. Le Parisien économie « Techniciens : des postes de plus en plus valorisées »
20/02. France Culture « Le numérique va-t-il sauver l’industrie ? », Louisa Toubal était
l’invitée de l’émission « Du grain à moudre ».