Brief de la conférence NumNow 3 dont l'objectif est de définir ce qui permettrait à la France d'être en pointe dans le développement des startups du numérique à l'instar des pays comme les Etat-Unis et l'Angleterre.
Dans moins d’un mois s’ouvre le Consumer Electronic Show de Las Vegas, le grand rendez-vous annuel mondial de l’électronique grand public, qui fête cette année ses 50 ans.
Le CES est un temps fort pour les startups de la French Tech. Il s’est imposé comme le salon mondial BtoB aujourd’hui incontournable pour toutes les entreprises et startups qui veulent lancer leurs produits, pénétrer le marché américain, rencontrer des distributeurs et investisseurs du monde entier, se faire repérer par les medias internationaux…
Comment mieux défendre la France
et l'Europe dans la compétition
mondiale ? A la suite de nombreux
entretiens avec des économistes, des
chefs d'entreprise, des consultants,
des responsables politiques et des
syndicalistes, L'Expansion a élaboré
10 propositions. Deux ministres de
l'Industrie les discutent : le plus
récent, Christian Estrosi (UMP), et le dernier
socialiste à avoir occupé le poste,
Christian Pierret (PS).
Brief de la conférence NumNow 3 dont l'objectif est de définir ce qui permettrait à la France d'être en pointe dans le développement des startups du numérique à l'instar des pays comme les Etat-Unis et l'Angleterre.
Dans moins d’un mois s’ouvre le Consumer Electronic Show de Las Vegas, le grand rendez-vous annuel mondial de l’électronique grand public, qui fête cette année ses 50 ans.
Le CES est un temps fort pour les startups de la French Tech. Il s’est imposé comme le salon mondial BtoB aujourd’hui incontournable pour toutes les entreprises et startups qui veulent lancer leurs produits, pénétrer le marché américain, rencontrer des distributeurs et investisseurs du monde entier, se faire repérer par les medias internationaux…
Comment mieux défendre la France
et l'Europe dans la compétition
mondiale ? A la suite de nombreux
entretiens avec des économistes, des
chefs d'entreprise, des consultants,
des responsables politiques et des
syndicalistes, L'Expansion a élaboré
10 propositions. Deux ministres de
l'Industrie les discutent : le plus
récent, Christian Estrosi (UMP), et le dernier
socialiste à avoir occupé le poste,
Christian Pierret (PS).
L’objectif gouvernemental de faire de la France une « start-up nation » a plusieurs desseins. D’abord, faire naître les grandes entreprises de demain qui créeront de l’emploi et de l’activité économique. Ensuite, s’assurer souveraineté et légitimité technologiques à long terme. Enfin, véhiculer à l’étranger l’image d’un pays dynamique et innovant et modifier la perception qu’ont d’eux-mêmes les Français sur le terrain économique.
Notamment, la faculté des start-up françaises à irriguer tous les secteurs d’activité est régulièrement mise en doute. Les services à la consommation ou à la personne ne sont pourtant pas les seuls à produire des start-up : l’industrie est également un terrain très fertile pour ces jeunes pousses.
Autres idées reçues tenaces : seuls les investisseurs étrangers rachètent des start-up et, lorsque ces acquisitions concernent nos jeunes entreprises, ce sont des pertes sèches pour la France. En réalité, les flux de rachats entrants et sortants sont au contraire très équilibrés et les acquisitions de start-up françaises par des étrangers alimentent un cercle vertueux pour l’économie nationale et son « écosystème start-up ».
L'Accélérateur PME est unprogramme d’accompagnement complet et personnalisé sur 24 mois est destiné à répondre aux besoins d’entreprises dynamiques et ambitieuses dans leur parcours vers le statut d’ETI. Retrouvez les alumni de ce programme.
Nouvelle France industrielle : 34 plans de reconquêteechangeurba
Le président de la République a présenté les priorités de la politique industrielle de la France en présence d’Arnaud Montebourg, le 12 septembre 2013 à l’Elysée. A cette occasion, 34 plans de reconquête ont été présentés par François Hollande
Cette journée a pour objectif principal de rapprocher ingénierie et entreprises ENR pour des actions conjointes
ou concertées ; en y associant les acteurs institutionnels français du commerce extérieur et du financement.
La responsabilité sociale et environnementale ne relève pas uniquement des États mais aussi des entreprises. Ces dernières courent un double risque juridique et d’image si elles n’ont pas recours à des outils d’autorégulation. Parmi eux, les accords d’entreprise transnationaux (AET) apparaissent prometteurs. Cette Note, fondée sur l’analyse de 267 accords et un grand nombre d’entretiens, propose aux acteurs sociaux et aux dirigeants des modèles de négociation et d’amélioration de leur effectivité.
Étude sur le secteur de la photonique
La photonique est l’une des 6 technologies génériques d’avenir (KET) identifiées par la Commission européenne.
http://www.entreprises.gouv.fr/secteurs-professionnels/etude-sur-secteur-la-photonique
2015 année de la lumière en France : http://www.lumiere2015.fr
Key Enabling Technologies : technologies clés génériques, considérées comme étant à la source de l’innovation et de la compétitivité pour un grand nombre de secteurs industriels.
Rapport Annuel sur evolution des PME en 2015 - BPI et Observatoire des PMESébastien Marchipont
Cette 11ème édition du Rapport annuel sur l’évolution des PME révèle des tendances économiques et financières encourageantes en 2014 chez les PME.
Alors que la conjoncture atone se prolongeait, la dynamique d’innovation et d’exportation était et demeure plus que jamais le sésame choisi par les PME, notamment par les plus petites, pour sortir de la crise par le haut.
Cependant, l’activité des PME est encore très contrastée, et progresse trop faiblement pour parler de reprise. Les microentreprises, tournées essentiellement vers des marchés locaux, peinent encore.
La croissance française enregistrée en 2015 pourrait renforcer les évolutions positives de 2014 et contribuer au redémarrage des TPE et des PME qui n’ont pas encore franchi le cap de la crise.
Le secteur industriel connaît actuellement des bouleversements profonds. L’introduction de nouvelles technologies de production et l’utilisation massive d’outils numériques de pointe au sein des usines changent la manière de produire et de travailler. La prolifération des objets connectés fait évoluer les modes de consommation et conduit les industriels à adapter leur offre de produits et de services. Les espoirs à l’égard de ce que certains appellent déjà la quatrième révolution industrielle sont immenses. Pour un pays comme la France, cette « industrie du futur » représente une opportunité pour enrayer le phénomène de délocalisation massive de ces dernières décennies.
Les pouvoirs publics prennent conscience de ces enjeux. La France s’est lancée dans la course à partir de 2013 mais elle n’est pas la seule. L’Allemagne a construit dès 2011 une stratégie nationale autour de cet enjeu majeur et de nombreux autres pays ne sont pas en reste (Etats-Unis, Chine, Corée du Sud, Royaume-Uni…).
Cet ouvrage vous propose une comparaison des programmes mis en place par ces différents pays. Elle explore également quelques-uns des atouts sur lesquels l’industrie française peut s’appuyer pour réussir sa transformation.
Bpifrance le lab plateformes innovation en regionBpifrance
L’innovation doit être au cœur des stratégies d’entreprises quels que soient leur taille, leur secteur d’activité, leurs cibles géographiques. Cette assertion fait consensus dans un système économique mondialisé dont les fondamentaux technologiques et sociaux changent profondément.
Le propos de Bpifrance Le Lab en choisissant de travailler sur ce sujet des nouvelles plateformes d’innovation en régions était d’appréhender leur bien-fondé pour les entreprises petites, moyennes et intermédiaires, pour promouvoir l’innovation, sa diffusion, pour favoriser également de nouvelles formes de management et d’organisation. C’est « l’ADN » de Bpifrance.
Les enjeux spécifiques de ces plateformes dans les écosystèmes régionaux sont mis en évidence et analysés par les chercheurs qui soulignent in fine au vu de la multiplication de ces lieux et de l’implication des collectivités locales, la nécessité de l’évaluation de leurs impacts.
Etude - L'investissement étranger , moteur de la réindustrialisation au Royau...La Fabrique de l'industrie
À l’heure où la France s’interroge sur les rachats étrangers d’entreprises, cette note analyse la politique de promotion d’investissements directs étrangers (IDE) du Royaume-Uni mise en place afin d’enrayer sa désindustrialisation. Quels sont les effets sur son économie ? Quels enseignements pouvons-nous en tirer ?
La start-up toulousaine Unitag, éditrice d’une plateforme de marketing mobile à destination des professionnels, vient de réaliser sa première levée de Fonds, afin d’accompagner sa croissance. Membre du Cluster DigitalPlace, c’est auprès du Fonds d’amorçage DP Invest (17 % de la levée de Fonds) et de Capitole Angels (83 %) que cette pépite TIC a levé 230 000 €.
DP Invest et Capitole Angels poursuivent ainsi ensemble leurs investissements dans le marché particulièrement actif du mobile.
11e édition du Truffle 100 : Palmarès des éditeurs de logiciels français – Av...yann le gigan
11e édition du Truffle 100 : Palmarès des éditeurs de logiciels français – Avril 2015
[truffle.com 01.04.15]
En basculant les logiciels dans le cloud pour les rendre accessibles aux entreprises sous forme de services, les éditeurs ont contribué à simplifier la transformation numérique de leur activité.
Le SaaS tire la croissance
http://www.truffle100.fr/downloads/2015/Truffle100-15-v8.pdf
Dossier de presse conférence Nicolas TENZER Le Monde à l'Horizon 2030Yannick Quentel
Géopolitique et numérique, le monde à l'horizon 2030.
« Qui envisage le monde de demain en se limitant aux tensions d'aujourd'hui – islamisme radical, guerre en Afghanistan, conflits gaziers et pétroliers, expansion économique de la Chine – risque de se priver de toute faculté d'anticipation ».
Nicolas Tenzer n'entend pas prédire l'avenir, mais essaie de comprendre comment une multitude de dynamiques permettent de dessiner un système mondial qui n'aura rien à voir avec celui que nous connaissons, un système fondé sur sept piliers :
- un monde sans pôles ni grandes régions structurées (le monde multipolaire est un leurre) ;
- la nouvelle répartition des richesses (la Chine ne représentera plus un danger mais sera un élément déterminant de stabilisation du monde, la Russie, qui aura disparu de la scène, encore moins) ;
- le retour des États (et donc l'affaiblissement des organisations internationales) ;
- le nouveau pouvoir d'influence, qui ne passera plus par les canaux diplomatiques classiques ;
- la nouvelle hiérarchie, sinon oligarchie, des puissances ;
- la réinvention des peuples (les nouveaux acteurs majeurs des relations internationales, eux aussi paradoxalement facteurs de paix) ;
- de nouveaux leaders (bouleversant l'équilibre des forces), marginalisant les hommes politiques occidentaux.
Intellectuel de renommée internationale, haut fonctionnaire et directeur de la revue "Le Banquet", Nicolas Tenzer est notamment l'auteur de « Les valeurs des Modernes, France : la réforme impossible ? » et « Quand la France disparaît du monde ».
Actuellement président d'Initiative pour le développement de l'expertise française à l'international et en Europe (Idefie), il parcourt la planète depuis plusieurs années.
L’objectif gouvernemental de faire de la France une « start-up nation » a plusieurs desseins. D’abord, faire naître les grandes entreprises de demain qui créeront de l’emploi et de l’activité économique. Ensuite, s’assurer souveraineté et légitimité technologiques à long terme. Enfin, véhiculer à l’étranger l’image d’un pays dynamique et innovant et modifier la perception qu’ont d’eux-mêmes les Français sur le terrain économique.
Notamment, la faculté des start-up françaises à irriguer tous les secteurs d’activité est régulièrement mise en doute. Les services à la consommation ou à la personne ne sont pourtant pas les seuls à produire des start-up : l’industrie est également un terrain très fertile pour ces jeunes pousses.
Autres idées reçues tenaces : seuls les investisseurs étrangers rachètent des start-up et, lorsque ces acquisitions concernent nos jeunes entreprises, ce sont des pertes sèches pour la France. En réalité, les flux de rachats entrants et sortants sont au contraire très équilibrés et les acquisitions de start-up françaises par des étrangers alimentent un cercle vertueux pour l’économie nationale et son « écosystème start-up ».
L'Accélérateur PME est unprogramme d’accompagnement complet et personnalisé sur 24 mois est destiné à répondre aux besoins d’entreprises dynamiques et ambitieuses dans leur parcours vers le statut d’ETI. Retrouvez les alumni de ce programme.
Nouvelle France industrielle : 34 plans de reconquêteechangeurba
Le président de la République a présenté les priorités de la politique industrielle de la France en présence d’Arnaud Montebourg, le 12 septembre 2013 à l’Elysée. A cette occasion, 34 plans de reconquête ont été présentés par François Hollande
Cette journée a pour objectif principal de rapprocher ingénierie et entreprises ENR pour des actions conjointes
ou concertées ; en y associant les acteurs institutionnels français du commerce extérieur et du financement.
La responsabilité sociale et environnementale ne relève pas uniquement des États mais aussi des entreprises. Ces dernières courent un double risque juridique et d’image si elles n’ont pas recours à des outils d’autorégulation. Parmi eux, les accords d’entreprise transnationaux (AET) apparaissent prometteurs. Cette Note, fondée sur l’analyse de 267 accords et un grand nombre d’entretiens, propose aux acteurs sociaux et aux dirigeants des modèles de négociation et d’amélioration de leur effectivité.
Étude sur le secteur de la photonique
La photonique est l’une des 6 technologies génériques d’avenir (KET) identifiées par la Commission européenne.
http://www.entreprises.gouv.fr/secteurs-professionnels/etude-sur-secteur-la-photonique
2015 année de la lumière en France : http://www.lumiere2015.fr
Key Enabling Technologies : technologies clés génériques, considérées comme étant à la source de l’innovation et de la compétitivité pour un grand nombre de secteurs industriels.
Rapport Annuel sur evolution des PME en 2015 - BPI et Observatoire des PMESébastien Marchipont
Cette 11ème édition du Rapport annuel sur l’évolution des PME révèle des tendances économiques et financières encourageantes en 2014 chez les PME.
Alors que la conjoncture atone se prolongeait, la dynamique d’innovation et d’exportation était et demeure plus que jamais le sésame choisi par les PME, notamment par les plus petites, pour sortir de la crise par le haut.
Cependant, l’activité des PME est encore très contrastée, et progresse trop faiblement pour parler de reprise. Les microentreprises, tournées essentiellement vers des marchés locaux, peinent encore.
La croissance française enregistrée en 2015 pourrait renforcer les évolutions positives de 2014 et contribuer au redémarrage des TPE et des PME qui n’ont pas encore franchi le cap de la crise.
Le secteur industriel connaît actuellement des bouleversements profonds. L’introduction de nouvelles technologies de production et l’utilisation massive d’outils numériques de pointe au sein des usines changent la manière de produire et de travailler. La prolifération des objets connectés fait évoluer les modes de consommation et conduit les industriels à adapter leur offre de produits et de services. Les espoirs à l’égard de ce que certains appellent déjà la quatrième révolution industrielle sont immenses. Pour un pays comme la France, cette « industrie du futur » représente une opportunité pour enrayer le phénomène de délocalisation massive de ces dernières décennies.
Les pouvoirs publics prennent conscience de ces enjeux. La France s’est lancée dans la course à partir de 2013 mais elle n’est pas la seule. L’Allemagne a construit dès 2011 une stratégie nationale autour de cet enjeu majeur et de nombreux autres pays ne sont pas en reste (Etats-Unis, Chine, Corée du Sud, Royaume-Uni…).
Cet ouvrage vous propose une comparaison des programmes mis en place par ces différents pays. Elle explore également quelques-uns des atouts sur lesquels l’industrie française peut s’appuyer pour réussir sa transformation.
Bpifrance le lab plateformes innovation en regionBpifrance
L’innovation doit être au cœur des stratégies d’entreprises quels que soient leur taille, leur secteur d’activité, leurs cibles géographiques. Cette assertion fait consensus dans un système économique mondialisé dont les fondamentaux technologiques et sociaux changent profondément.
Le propos de Bpifrance Le Lab en choisissant de travailler sur ce sujet des nouvelles plateformes d’innovation en régions était d’appréhender leur bien-fondé pour les entreprises petites, moyennes et intermédiaires, pour promouvoir l’innovation, sa diffusion, pour favoriser également de nouvelles formes de management et d’organisation. C’est « l’ADN » de Bpifrance.
Les enjeux spécifiques de ces plateformes dans les écosystèmes régionaux sont mis en évidence et analysés par les chercheurs qui soulignent in fine au vu de la multiplication de ces lieux et de l’implication des collectivités locales, la nécessité de l’évaluation de leurs impacts.
Etude - L'investissement étranger , moteur de la réindustrialisation au Royau...La Fabrique de l'industrie
À l’heure où la France s’interroge sur les rachats étrangers d’entreprises, cette note analyse la politique de promotion d’investissements directs étrangers (IDE) du Royaume-Uni mise en place afin d’enrayer sa désindustrialisation. Quels sont les effets sur son économie ? Quels enseignements pouvons-nous en tirer ?
La start-up toulousaine Unitag, éditrice d’une plateforme de marketing mobile à destination des professionnels, vient de réaliser sa première levée de Fonds, afin d’accompagner sa croissance. Membre du Cluster DigitalPlace, c’est auprès du Fonds d’amorçage DP Invest (17 % de la levée de Fonds) et de Capitole Angels (83 %) que cette pépite TIC a levé 230 000 €.
DP Invest et Capitole Angels poursuivent ainsi ensemble leurs investissements dans le marché particulièrement actif du mobile.
11e édition du Truffle 100 : Palmarès des éditeurs de logiciels français – Av...yann le gigan
11e édition du Truffle 100 : Palmarès des éditeurs de logiciels français – Avril 2015
[truffle.com 01.04.15]
En basculant les logiciels dans le cloud pour les rendre accessibles aux entreprises sous forme de services, les éditeurs ont contribué à simplifier la transformation numérique de leur activité.
Le SaaS tire la croissance
http://www.truffle100.fr/downloads/2015/Truffle100-15-v8.pdf
Dossier de presse conférence Nicolas TENZER Le Monde à l'Horizon 2030Yannick Quentel
Géopolitique et numérique, le monde à l'horizon 2030.
« Qui envisage le monde de demain en se limitant aux tensions d'aujourd'hui – islamisme radical, guerre en Afghanistan, conflits gaziers et pétroliers, expansion économique de la Chine – risque de se priver de toute faculté d'anticipation ».
Nicolas Tenzer n'entend pas prédire l'avenir, mais essaie de comprendre comment une multitude de dynamiques permettent de dessiner un système mondial qui n'aura rien à voir avec celui que nous connaissons, un système fondé sur sept piliers :
- un monde sans pôles ni grandes régions structurées (le monde multipolaire est un leurre) ;
- la nouvelle répartition des richesses (la Chine ne représentera plus un danger mais sera un élément déterminant de stabilisation du monde, la Russie, qui aura disparu de la scène, encore moins) ;
- le retour des États (et donc l'affaiblissement des organisations internationales) ;
- le nouveau pouvoir d'influence, qui ne passera plus par les canaux diplomatiques classiques ;
- la nouvelle hiérarchie, sinon oligarchie, des puissances ;
- la réinvention des peuples (les nouveaux acteurs majeurs des relations internationales, eux aussi paradoxalement facteurs de paix) ;
- de nouveaux leaders (bouleversant l'équilibre des forces), marginalisant les hommes politiques occidentaux.
Intellectuel de renommée internationale, haut fonctionnaire et directeur de la revue "Le Banquet", Nicolas Tenzer est notamment l'auteur de « Les valeurs des Modernes, France : la réforme impossible ? » et « Quand la France disparaît du monde ».
Actuellement président d'Initiative pour le développement de l'expertise française à l'international et en Europe (Idefie), il parcourt la planète depuis plusieurs années.
2015 : le Groupe Cerise internationalise ses activitésgroupe_cerise
Le Groupe Cerise est l’éditeur des sites de divertissement gentside.com et ohmymag.com. Avec environ 1 million de visites par jour, il est devenu l’un des tous premiers groupes de médias digitaux de divertissement en France.
En 2014, le groupe - basé à Tourcoing et Paris - est passé de 30 à 60 salariés. Il a réalisé un chiffre d’affaires de 4,5 millions d’euros (+ 100% par rapport à 2013) avec un Ebitda de l’ordre de 30%.
En 2015, grâce à sa forte rentabilité, le Groupe entame l’internationalisation de ses activités.
Cette étude donne un éclairage sur l’évolution de l’activité des StartUps françaises, et ce sous l’angle Financement.
Elle porte sur les « Deals » réalisés lors du 1er trimestre 2014, sur la base des opérations ayant fait l’objet d’une communication publique.
PROPOSITIONS EN FAVEUR DU DEVELOPPEMENT DE L'INDUSTRIE DU LOGICIEL EN FRANCE,...PARIS
L’innovation industrielle est aujourd’hui principalement portée par le numérique : omniprésence du logiciel embarqué, rôle stratégique des systèmes d’informations dans la productivité des entreprises, renouvellement des modèles économiques… Plus directement, l’industrie du logiciel, qui connaît une croissance trois fois supérieure à celle du PIB constitue l’un des principaux leviers de croissance en France. L'AFDEL propose dans ce guide 16 mesures pour réformer l'écosystème innovant de la France.
Panorama des candidats start-up de l'édition 2015 du Prix de l'Entrepreneur d...EY
L’édition 2015 du Prix de l’Entrepreneur de l’Année a rassemblé 182 candidats start-up, fers-de-lance de l’économie dans leur région ou jeunes pousses innovantes. Ce prix permet de mettre en lumière les parcours remarquables et l’envie d’entreprendre des hommes et des femmes qui innovent et créent de l’emploi en France et à l’étranger.
Hypercroissance, international, disruption : voici les principales caractéristiques des start-up qui brillent aujourd’hui.
Plus d'informations sur le Prix de l'Entrepreneur de l'Année : ey.com/FR/EOY
Etude PwC, AFDEL et SNJV sur "Les 100 digital"PwC France
PwC, l’AFDEL et le SNJV dévoilent l’édition 2015 du GSL 100, classements des principales entreprises de l’édition de logiciels, des services Internet et du jeu vidéo français, dans le cadre de l’étude « Les 100 digital » qui décrypte les tendances et les progressions des entreprises de la French tech.
Les 100 Digital : Le palmarès 2015 des champions de la French Tech ! yann le gigan
Les 100 Digital : Le palmarès 2015 des champions de la French Tech !
[afdel.fr 19.05.15]
PwC, l’AFDEL et le SNJV dévoilent l’édition 2015 du GSL 100, classement des principales entreprises de l’édition de logiciels, des services Internet et du jeu vidéo Français, dans le cadre de l’étude « Les 100 digital » qui décrypte les tendances et les progressions des entreprises de la French tech. Le Top 100 Digital des acteurs français présents sur le secteur du Logiciel, des Services Internet et du Jeu Vidéo pèse 8,8 milliards d’euros (hors services de conseil & d’intégration) en croissance de 13% par rapport à l’an passé. Le 100ème acteur français réalise désormais 14 M€ de revenu en logiciel et services internet contre 10 M€ l’an dernier.
http://www.afdel.fr/static/2015/05/19/etude-global-software-leaders-2015-mai2015.pdf?xtfBBmixGJTJHcDFzTvWfA:7G9w_Fr1m2yEPvbg7NBQyA:sTjvF9omLudbrrAo3nbT6Q
One innovation - TF1 s’acoquine avec de...rt-up et mise sur l’avenir | L'Opinion
1. 05/07/2016 One innovation : TF1 s’acoquine avec des start-up et mise sur l’avenir | L'Opinion
http://www.lopinion.fr/edition/economie/one-innovation-tf1-s-acoquine-start-up-mise-l-avenir-106040 1/2
Prêt pour demain
One innovation : TF1 s’acoquine avec des start-up et
mise sur l’avenir
La prise de pouvoir de Gilles Pélisson marque un changement de culture d’entreprise
et une plus forte volonté d’investir sur le numérique
Les faits — La chaîne du groupe Bouygues, leader du paysage télévisuel français, accélère
ses investissements dans le numérique et entend se positionner comme un partenaire
privilégié des start-up.
Dans le hal du parc des expositions du salon Viva Technology, les grands médias se font
rares. Sauf TF1, qui a convié une cinquantaine de start-up sur son stand pour venir faire la
démonstration de leur technologie. La chaîne vient d’annoncer le lancement d’un « véhicule
d’investissement » auprès de jeunes entreprises innovantes. Une manière de se positionner
auprès de leaders de l’innovation.
Cofondateur de Flamefy, Cédric Monnier propose des solutions d’acquisition d’audience.
« Quand on parle de TF1, on pense à cette grande tour où les entreprises comme les nôtres
ont beaucoup de mal à entrer. Intégrer cet incubateur nous a permis de discuter avec de
nombreux métiers différents et de nous installer plus vite sur notre marché », raconte
l’entrepreneur qui emploie aujourd’hui une trentaine de personnes. L’incubation doit durer
un an, à l’issue duquel Cédric Monnier entend installer un partenariat durable avec la chaîne,
mais aussi avec d’autres partenaires médias, faisant valoir le tampon « Testé avec TF1 ».
Après avoir levé 700 000 euros en décembre, Flamefy cherche désormais de 3 à 5 millions
dans l’objectif de s’internationaliser.
Du côté de TF1, on regarde cette émancipation avec un œil bienveillant. Pas question pour la
chaîne de « vouloir tout racheter », prévient Olivier Abecassis, son directeur innovation et
digital, maître d’œuvre de ces nouvelles opérations. « Nous voulons créer des portes d’entrée
avec un message clair : investir sur nos deux métiers, les contenus et leur monétisation. » Et
si le rythme s’accélère, c’est selon lui la conjugaison de deux facteurs : un marché des start-up
plus mature et l’ambition de Gilles Pélisson, le nouveau PDG du groupe, d’investir sur le
numérique.
Gagnantgagnat. Annoncé vendredi dans le cadre de Viva Technology, One Innovation
n’est doté que de 2 millions d’euros de budget. A priori pas de quoi bouleverser l’écosystème.
La chaîne assume et préfère faire des choix plutôt que de s’éparpiller. Ainsi une dizaine de
start-up recevront quelques centaines de milliers d’euros avant leur première levée de fonds.
Pour Olivier Abecassis, « l’innovation est dehors. Ces jeunes entreprises ont moins de
barrières, moins de pression financière que TF1, qui a donc tout intérêt à travailler avec
elles ».
Un rapport gagnant-gagnant qui va très bien à Quentin Lhomme, à l’origine de Nunki :
2. 05/07/2016 One innovation : TF1 s’acoquine avec des start-up et mise sur l’avenir | L'Opinion
http://www.lopinion.fr/edition/economie/one-innovation-tf1-s-acoquine-start-up-mise-l-avenir-106040 2/2
« Nous gagnons un temps colossal car tout ce que nous faisons est validé par un des groupes
les plus experts du secteur et parce que nos interlocuteurs savent que notre produit répond
aux besoins de pros. » Alors que les rédactions s’appuient de plus en plus sur les réseaux
sociaux pour dénicher leurs informations, Nunki propose d’y faire le tri pour permettre aux
journalistes de récupérer ce qui s’y passe de manière géolocalisée. Une manière, dit le jeune
homme de « réduire le bruit des réseaux sociaux ».
Un travail d’agence de presse 2.0 qui n’est pas pour déplaire à Jean-François Mulliez,
directeur général de LCI, qui ne « veut plus se contenter des acteurs estampillés. Sans
renoncer aux agences comme le font certains médias américains, nous devons nous ouvrir à
d’autres sources. D’où l’importance de marier le meilleur des deux mondes : média et
innovation ». A l’instar du travail mené par le groupe Amaury avec l’Amaury Lab, TF1 compte
bien faire fructifier ce travail de fourmis, avec aussi en ligne de mire, la possibilité de
renouveler son image de marque auprès de ces jeunes entrepreneurs et potentiels
téléspectateurs.