Tunisie: Lutter contre les violences de genre – Quels defis?Jamaity
Les violences de genre ne sont donc pas des actes isolés, imputables à leurs auteurs déviants, mais une donnée structurelle et systémique d’un ordre global.
Cette violence touche toutes les femmes, indépendamment de leur âge, de leur statut socio-économique,de leur niveau d’éducation, elle est diversement vécue. Car aux discriminations de genre, s’ajoutent et s’imbriquent les discriminations et les différenciations sociales de race, de classe et d’ethnie, vis-à-vis des groupes et des personnes des milieux défavorisés, tenus dans une altérité synonyme de rejet.
Cette publication vise à analyser les violences à l’égard des femmes dans le contexte de la Tunisie contemporaine, caractérisée depuis l’indépendance du pays par un paradoxe : d’une part, la prégnance du modèle patriarcal, réinterprété et réactualisé dans les structures modernes du politique et de l’économique, d’autre part, la conquête par les Tunisiennes d’une nouvelle place sociale et de nouveaux droits politiques, économiques, sociaux et culturels.
En juin 2011, le Conseil a adopté la résolution 17/19, qui est la première résolution
des Nations Unies sur les droits de l’homme, l’orientation sexuelle et l’identité
de genre. La résolution a été approuvée par une faible majorité, mais, ce qui est
significatif, elle a bénéficié de l’appui des membres du Conseil de toutes les régions.
Son adoption a ouvert la voie au premier rapport officiel des Nations Unies sur ce
sujet, préparé par le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme1.
Le rapport de la Haut-Commissaire montre qu’il existe une tendance à la violence
et à la discrimination systématiques dans toutes les régions à l’égard de certaines
personnes en raison de leur orientation sexuelle et de leur identité de genre : de la
discrimination dans l’emploi, les soins de santé et l’éducation, à la criminalisation
et des attaques physiques ciblées, voire des assassinats. Dans le rapport figurait un
ensemble de recommandations adressées aux États en vue de renforcer la protection
des droits fondamentaux des lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres (LGBT 2).
Les conclusions du rapport ont constitué la base d’une table ronde qui a eu lieu au
Conseil le 7 mars 2012; c’était la première fois qu’un organe intergouvernemental
des Nations Unies avait un débat formel sur cette question.
Tunisie: Lutter contre les violences de genre – Quels defis?Jamaity
Les violences de genre ne sont donc pas des actes isolés, imputables à leurs auteurs déviants, mais une donnée structurelle et systémique d’un ordre global.
Cette violence touche toutes les femmes, indépendamment de leur âge, de leur statut socio-économique,de leur niveau d’éducation, elle est diversement vécue. Car aux discriminations de genre, s’ajoutent et s’imbriquent les discriminations et les différenciations sociales de race, de classe et d’ethnie, vis-à-vis des groupes et des personnes des milieux défavorisés, tenus dans une altérité synonyme de rejet.
Cette publication vise à analyser les violences à l’égard des femmes dans le contexte de la Tunisie contemporaine, caractérisée depuis l’indépendance du pays par un paradoxe : d’une part, la prégnance du modèle patriarcal, réinterprété et réactualisé dans les structures modernes du politique et de l’économique, d’autre part, la conquête par les Tunisiennes d’une nouvelle place sociale et de nouveaux droits politiques, économiques, sociaux et culturels.
En juin 2011, le Conseil a adopté la résolution 17/19, qui est la première résolution
des Nations Unies sur les droits de l’homme, l’orientation sexuelle et l’identité
de genre. La résolution a été approuvée par une faible majorité, mais, ce qui est
significatif, elle a bénéficié de l’appui des membres du Conseil de toutes les régions.
Son adoption a ouvert la voie au premier rapport officiel des Nations Unies sur ce
sujet, préparé par le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme1.
Le rapport de la Haut-Commissaire montre qu’il existe une tendance à la violence
et à la discrimination systématiques dans toutes les régions à l’égard de certaines
personnes en raison de leur orientation sexuelle et de leur identité de genre : de la
discrimination dans l’emploi, les soins de santé et l’éducation, à la criminalisation
et des attaques physiques ciblées, voire des assassinats. Dans le rapport figurait un
ensemble de recommandations adressées aux États en vue de renforcer la protection
des droits fondamentaux des lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres (LGBT 2).
Les conclusions du rapport ont constitué la base d’une table ronde qui a eu lieu au
Conseil le 7 mars 2012; c’était la première fois qu’un organe intergouvernemental
des Nations Unies avait un débat formel sur cette question.
Ce rapport sur la situation des personnes LGBTQI en Tunisie a été présenté le lundi 27 février 2017 lors d'une conférence. Il sera soumis pour examen périodique universel auprès du conseil des droits de l'homme des Nations Unies en mai 2017
Présentation du Forum Mondial des Droits de l'HommeFMDH
Tous ce que vous devez savoir sur le Forum Mondial des Droits de l'Homme. L'évènement qui réunit personnalités, organismes, associations et institutions des quatres coins du monde, impliquées dans les droits de l'Homme.
L'expérience tunisienne dans la lutte contre la violence basée sur le Genre d...Jamaity
Cet article vise à faire connaître la problématique de la
violence basée sur le genre en Tunisie, à travers des données et témoignages recueillis lors de nos missions en tant
qu’assistante sociale et membre de la société civile, et nos
interventions pour les femmes victimes de violence dans le
cadre de notre travail au sein d’une cellule d’écoute. Notre
objectif est de mettre la lumière sur les procédures juridiques
faites par l’état et les initiatives de la société civile pour faire
face à la violence basée sur le genre, et de voir dans quelle
mesure ces démarches adoptées aident à réduire le phénomène étudié.
En d’autres termes, quel sens donner à cette violence? S’agit-elle des simples fautes commises par l’homme lors de sa
communication avec la femme ou c’est une perturbation dans
le processus de socialisation ou est –elle un signe de la
naissance d’un système de dialogue moderne avec la femme
constituant une véritable réaction surtout avec la promotion du
statut de la femme et l’amélioration de ses droits après la
révolution? L’entrée en vigueur de la loi N58 de Juillet 2017 et
le soutien de la femme par la société sont- ils suffisants pour
faire face à la violence basée sur le genre?
Egalité de genre et droits des femmes - Normes du Conseil de l'Europe Council of Europe (CoE)
L’égalité de genre est capitale pour la protection des droits de l’homme, le fonctionnement de la démocratie, le respect de l’État de droit, la croissance économique et la compétitivité. Les travaux du Conseil de l’Europe dans les domaines des droits humains et de l’égalité de genre ont permis l’adoption d’un ensemble de normes juridiques et d’orientations politiques visant à assurer la promotion et l’autonomisation des femmes ainsi qu’à parvenir à une réelle égalité de genre dans les États membres du Conseil de l’Europe et au-delà.
LA TRAITE DES PERSONNES EN TUNISIE Lecture de dossiers judiciaires Etat des l...Jamaity
Le décret beylical du 23 janvier 1846 relatif à l'abolition de l'esclavage en Tunisie n'était pas le premier texte interdisant l'esclavage. Le 6 septembre 1841, Ahmed Bey publiait un décret interdisant le trafic de la vente des esclaves sur les marchés de la Régence et ordonna la fermeture des marchés
des esclaves dont celui d’al-Birka c’est-à-dire le marché des Bijoutiers. Il publia par la suite le décret de décembre 1842 qui annonçait que « toute
personne née dans le pays est désormais libre ». Un autre décret relatif à l’abolition de l’esclavage est promulgué en 1890 pendant la période du protectorat français, à la suite des résistances observées au premier décretpar des populations à Djerba.
L'esclavage en Tunisie a nettement diminué et ce malgré un cadre juridiquequi n’a pas connu de réelle évolution. La constitution tunisienne de juin 1959 ne prévoit pas explicitement l’interdiction de la traite des êtres humains.
Toute fois l’article 5 stipule que « la République Tunisienne œuvre pour la dignité humaine ». De même, l’article 23 de la Constitution tunisienne du 27 janvier 2014 stipule que «L’État protège la dignité de l’être humain et son intégrité physique ». Par ailleurs, la prévention de la traite des êtres humains
est liée à plusieurs droits consacrés par la Constitution tels que le droit à la vie, le droit à la dignité humaine et le droit de travailler dans des conditions décentes. De plus, la Tunisie a ratifié plusieurs conventions qui renforcent la
protection juridique contre la traite des êtres humains. Ces Conventions ratifiées font partie du droit tunisien et doivent être appliquées2 . Les plus importantes de ces conventions sont la Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée de 20003
, et le Protocole visant à prévenir et punir la traite des personnes, en particulier les femmes et les enfants4
, et le Protocole contre le trafic illicite de migrants par terre, air et mer .
Brochure de présentation.
Ma vie, ma santé, mon éducation, mon choix, mon corps, mes droits.
il faut agir maintenant
Dans le monde entier, des hommes et des femmes subissent des contraintes et des discriminations ou sont traités comme des criminels simplement à cause de leurs choix concernant leur corps et leur vie. Face à ces atteintes continuelles à leurs droits, Amnesty International lance une nouvelle campagne mondiale intitulée "MON CORPS , MES DROITS , pour défendre les droits sexuels et reproductifs de tous."
Index : ACT 35/001/2014, Français, mars 2014
EN DÉFENSE DES FEMMES CONTRE LE FÉMINICIDE AU BRÉSIL ET DANS LE MONDEFernando Alcoforado
Cet article vise à défendre les femmes contre le féminicide au Brésil et dans le monde, en présentant les mesures nécessaires pour surmonter ce problème. Le mot féminicide fait référence au meurtre de femmes pour des raisons de genre, c'est-à-dire en raison du mépris ou de la discrimination contre la condition féminine. Il s'agit d'un crime de haine, dans lequel la motivation de la mort doit être liée au fait que la victime est une femme.
Ce rapport est une plongée dans une année de mobilisations et de combats pour le respect de la personne humaine et sa dignité. Un combat qui ne connaît aucun répit et qui exige une vigilance de tous les instants au coeur des interventions d’Amnesty International
Ce Toolkit est le fruit d’un travail collaboratif, qui a integré la plupart des parties prenantes. Il s’agit d’un ensemble d’outils au
profit des acteurs.trices des coalitions pour les aider dans l’identification et la formulation de projet de développement humain
à fort impact.
Ce Toolkit est le fruit d’un travail collaboratif, qui a integré la plupart des parties prenantes. Il s’agit d’un ensemble d’outils au
profit des acteurs.trices des coalitions pour les aider dans l’identification et la formulation de projet de développement humain
à fort impact.
Ce rapport sur la situation des personnes LGBTQI en Tunisie a été présenté le lundi 27 février 2017 lors d'une conférence. Il sera soumis pour examen périodique universel auprès du conseil des droits de l'homme des Nations Unies en mai 2017
Présentation du Forum Mondial des Droits de l'HommeFMDH
Tous ce que vous devez savoir sur le Forum Mondial des Droits de l'Homme. L'évènement qui réunit personnalités, organismes, associations et institutions des quatres coins du monde, impliquées dans les droits de l'Homme.
L'expérience tunisienne dans la lutte contre la violence basée sur le Genre d...Jamaity
Cet article vise à faire connaître la problématique de la
violence basée sur le genre en Tunisie, à travers des données et témoignages recueillis lors de nos missions en tant
qu’assistante sociale et membre de la société civile, et nos
interventions pour les femmes victimes de violence dans le
cadre de notre travail au sein d’une cellule d’écoute. Notre
objectif est de mettre la lumière sur les procédures juridiques
faites par l’état et les initiatives de la société civile pour faire
face à la violence basée sur le genre, et de voir dans quelle
mesure ces démarches adoptées aident à réduire le phénomène étudié.
En d’autres termes, quel sens donner à cette violence? S’agit-elle des simples fautes commises par l’homme lors de sa
communication avec la femme ou c’est une perturbation dans
le processus de socialisation ou est –elle un signe de la
naissance d’un système de dialogue moderne avec la femme
constituant une véritable réaction surtout avec la promotion du
statut de la femme et l’amélioration de ses droits après la
révolution? L’entrée en vigueur de la loi N58 de Juillet 2017 et
le soutien de la femme par la société sont- ils suffisants pour
faire face à la violence basée sur le genre?
Egalité de genre et droits des femmes - Normes du Conseil de l'Europe Council of Europe (CoE)
L’égalité de genre est capitale pour la protection des droits de l’homme, le fonctionnement de la démocratie, le respect de l’État de droit, la croissance économique et la compétitivité. Les travaux du Conseil de l’Europe dans les domaines des droits humains et de l’égalité de genre ont permis l’adoption d’un ensemble de normes juridiques et d’orientations politiques visant à assurer la promotion et l’autonomisation des femmes ainsi qu’à parvenir à une réelle égalité de genre dans les États membres du Conseil de l’Europe et au-delà.
LA TRAITE DES PERSONNES EN TUNISIE Lecture de dossiers judiciaires Etat des l...Jamaity
Le décret beylical du 23 janvier 1846 relatif à l'abolition de l'esclavage en Tunisie n'était pas le premier texte interdisant l'esclavage. Le 6 septembre 1841, Ahmed Bey publiait un décret interdisant le trafic de la vente des esclaves sur les marchés de la Régence et ordonna la fermeture des marchés
des esclaves dont celui d’al-Birka c’est-à-dire le marché des Bijoutiers. Il publia par la suite le décret de décembre 1842 qui annonçait que « toute
personne née dans le pays est désormais libre ». Un autre décret relatif à l’abolition de l’esclavage est promulgué en 1890 pendant la période du protectorat français, à la suite des résistances observées au premier décretpar des populations à Djerba.
L'esclavage en Tunisie a nettement diminué et ce malgré un cadre juridiquequi n’a pas connu de réelle évolution. La constitution tunisienne de juin 1959 ne prévoit pas explicitement l’interdiction de la traite des êtres humains.
Toute fois l’article 5 stipule que « la République Tunisienne œuvre pour la dignité humaine ». De même, l’article 23 de la Constitution tunisienne du 27 janvier 2014 stipule que «L’État protège la dignité de l’être humain et son intégrité physique ». Par ailleurs, la prévention de la traite des êtres humains
est liée à plusieurs droits consacrés par la Constitution tels que le droit à la vie, le droit à la dignité humaine et le droit de travailler dans des conditions décentes. De plus, la Tunisie a ratifié plusieurs conventions qui renforcent la
protection juridique contre la traite des êtres humains. Ces Conventions ratifiées font partie du droit tunisien et doivent être appliquées2 . Les plus importantes de ces conventions sont la Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée de 20003
, et le Protocole visant à prévenir et punir la traite des personnes, en particulier les femmes et les enfants4
, et le Protocole contre le trafic illicite de migrants par terre, air et mer .
Brochure de présentation.
Ma vie, ma santé, mon éducation, mon choix, mon corps, mes droits.
il faut agir maintenant
Dans le monde entier, des hommes et des femmes subissent des contraintes et des discriminations ou sont traités comme des criminels simplement à cause de leurs choix concernant leur corps et leur vie. Face à ces atteintes continuelles à leurs droits, Amnesty International lance une nouvelle campagne mondiale intitulée "MON CORPS , MES DROITS , pour défendre les droits sexuels et reproductifs de tous."
Index : ACT 35/001/2014, Français, mars 2014
EN DÉFENSE DES FEMMES CONTRE LE FÉMINICIDE AU BRÉSIL ET DANS LE MONDEFernando Alcoforado
Cet article vise à défendre les femmes contre le féminicide au Brésil et dans le monde, en présentant les mesures nécessaires pour surmonter ce problème. Le mot féminicide fait référence au meurtre de femmes pour des raisons de genre, c'est-à-dire en raison du mépris ou de la discrimination contre la condition féminine. Il s'agit d'un crime de haine, dans lequel la motivation de la mort doit être liée au fait que la victime est une femme.
Ce rapport est une plongée dans une année de mobilisations et de combats pour le respect de la personne humaine et sa dignité. Un combat qui ne connaît aucun répit et qui exige une vigilance de tous les instants au coeur des interventions d’Amnesty International
Ce Toolkit est le fruit d’un travail collaboratif, qui a integré la plupart des parties prenantes. Il s’agit d’un ensemble d’outils au
profit des acteurs.trices des coalitions pour les aider dans l’identification et la formulation de projet de développement humain
à fort impact.
Ce Toolkit est le fruit d’un travail collaboratif, qui a integré la plupart des parties prenantes. Il s’agit d’un ensemble d’outils au
profit des acteurs.trices des coalitions pour les aider dans l’identification et la formulation de projet de développement humain
à fort impact.
porté par des individus déterminés à défendre des causes qui leur tiennent à cœur. Que ce soit pour l’égalité des droits, la justice sociale, ou la protection de l’environnement, les activistes consacrent leur énergie, leur temps et souvent leur propre bien-être à la réalisation de leur vision d’un monde meilleur.
porté par des individus déterminés à défendre des causes qui leur tiennent à cœur. Que ce soit pour l’égalité des droits, la justice sociale, ou la protection de l’environnement, les activistes consacrent leur énergie, leur temps et souvent leur propre bien-être à la réalisation de leur vision d’un monde meilleur
Le guide de plaidoyer, est un document né d’une collaboration entre l’association JAMAITY et son partenaire la fondation CIDEAL dans le cadre du projet « Renforcement des capacités des réseaux, plateformes et autres collectifs pour la promotion des Droits Humains et des Libertés Fondamentales en Tunisie par la formation, l'échange d'expériences et la dynamisation» financé par la coopération Espagnole en Tunisie.
GUIDE ON MAIN FUNDING OPPORTUNITIES FOR STARTUPS AND NON PROFIT ORGANIZATIONS...Jamaity
In Tunisia, Community-Based Organizations, grassroots organizations, and social impact businesses have contributed to a variety of initiatives aimed at advancing human rights and incorporating the Humanitarian-Peace-Development nexus. They play a significant role in fostering peace in the country, but face at the same time numerous challenges and constantly changing circumstances.
Financial viability is one of these challenges threatened by the lack of fundraising expertise, and access to available opportunities.
This guide aims to inform community-based organizations, grassroots organizations, and social impact businesses about available funding and technical opportunities and equip them with data and tools to better secure funds.
2021 CIVIL SOCIETY ORGANIZATION SUSTAINABILITY INDEX (ENG)Jamaity
In 2021, countries in the Middle East and North Africa (MENA) began to chart their path toward recovery from the myriad impacts of the COVID-19 pandemic. Yet, the process of recovery—social, economic, and political proved to be both gradual and halting. Over the course of the year, CSOs in the region faced not only the ongoing impact of the pandemic, but also political unrest and financial uncertainty, yet continued to adapt to the difficult and shifting environment. The 2021 CSO Sustainability Index for MENA, which reports on the state of CSO sectors
in Egypt, Iraq, Jordan, Lebanon, Libya, Morocco, Tunisia, and Yemen, outlines CSOs’ successes and obstacles in carrying out their missions.
L’intervention de l’UICN a également permis d’accompagner les partenaires dans la mise en oeuvre
de leurs Plans d’Actions Stratégiques.
Les résultats et réalisations présentés dans ce rapport donnent une photographie de la dynamique
de l’UICN dans la région et de sa contribution à la conservation, gestion durable du capital naturel et
aux objectifs du développement durable.
Le guide de plaidoyer, est un document né d’une collaboration entre l’association JAMAITY et son partenaire la fondation
CIDEAL dans le cadre du projet « Renforcement des capacités des réseaux, plateformes et autres collectifs pour la promotion
des Droits Humains et des Libertés Fondamentales en Tunisie par la formation, l'échange d'expériences et la dynamisation»
financé par la coopération Espagnole en Tunisie.
Ce guide vise à renforcer les connaissances des coalitions ciblées par le projet en plaidoyer ainsi de leur fournir des outils
et des moyens pratiques pour leur faciliter la mise en oeuvre des actions de plaidoyer efficaces.
Étant donné que le plaidoyer constitue l’une des grandes missions des coalitions dans leur travail quotidien, l’équipe du
projet a pensé à créer ce document d’une manière simple et pratique, permettant aux membres d’enrichir leurs bases de
connaissance mais aussi pouvoir pratiquer et appliquer ce qui est mentionner dans leurs activités ainsi que leur vie
associative quotidienne.
La levée des fonds ou la recherche de financements dénommé en anglais « Fundraising » consiste en un processus de
collecte de contributions sous forme d’argent ou d’autres ressources en sollicitant des dons à des particuliers, des entreprises,
des fondations caritatives ou des agences gouvernementales.
La levée des fonds est l’une des pièces les plus importantes du puzzle organisationnel, en effet en l’absence de financement,
une organisation ne pourra pas servir efficacement la cause qu’elle défend et répondre aux besoins de la communauté et
elle serait amenée à terme à disparaître.
La levée de fonds est une démarche stratégique à long terme laquelle engage l’ensemble de l’organisation, administrateurs,
permanents et bénévoles autour d’un projet.
En substance, le fundraising n’est pas une finalité en soi mais plutôt un moyen pour concrétiser des idées/ actions.
تسلط هذه الدراسة الضوء على الحق في السكن في تونس من خلال النظر في واقع وظروف عيش
المهاجرين من جنوب الصحراء في تونس. تعتمد الدراسة على مقاربة أنثروبولوجية وتستقي معطيات
الميدانية من جملة من المقابلات شبه المهيكلة مع عدد من المهاجرين المقيمين في احياء تونس
العاصمة، ما ساعد على استخلاص مادة كيفية للإجابة على الأسئلة التي تضعها الدراسة.
وتنظر الدراسة الى ديناميكيات السكن الخاصة بالمهاجرين سعيا الى مناقشة حدود وصولهم إلى هذا
الحق على مستويات مختلفة )سياسية، مؤسساتية، اجتماعية، شخصية، إلخ(، من خلال تحليل سرديات
فردية لفهم ظروف السكن وعوامل اختياره، بما في ذلك المحيط العمراني المباشر للمسكن. وتعتمد
الدراسة أساسا على مقاطعة مسارات البحث عن مسكن والولوج الى هذا الحق مع مسارات الهجرة
والعلاقة بين المهاجر والمجتمع المحلي، وصولا الى تقاطع الهامش الذي يشغله المهاجرون مع
الهوامش الاجتماعية المحلية والدور الذي تلعبه شبكات الأمان المجتمعي.
يمهد هذا العمل الى نشر نسخة أشمل للدراسة والتي ستجمع عملا ميدانيا موسعا )ولايتي صفاقس
ومدنين الى جانب تونس الكبرى(، ويضع في مرحلة اولى جملة من التوصيات كما يلي:
إطلاق حملة لتسوية الوضعيات الإدارية للمهاجرين المتواجدين في تونس
ادماج المهاجرين في السياسات العمومية واشراكهم في التخطيط لها وتنفيذها
الدفع نحو مزيد من المساءلة وتحمل المسؤولية في ما يتعلق بدور المنظمات الأممية في
حماية واسناد اللاجئين وطالبي اللجوء والمهاجرين
تحسين وتعميم آليات وبرامج ادارة المساعدات المالية التي تقدمها المنظمات الإنسانية
دعم المبادرات المجتمعية في الأحياء المستهدفة
تحسيس الرأي العام لتعزيز التضامن مع وبين التونسيين والمهاجرين واللاجئين وطالبي اللجوء
مراجعة القانون رقم 7 المؤرخ في 8 مارس 1968 والمتعلق بوضع الأجانب في تونس )قانون
تصريح الإقامة( لجعله متوافقًا مع المعاهدات الدولية
إعادة النظر في شروط إيواء الأجنبي واجبارية اعلام أقسام الشرطة بذلك
دعم واسناد دور جمعيات المجتمع المدني في توفير المرافقة القانونية للمهاجرين بما في ذلك
الأطر المتعلق بحقهم في السكن ومرافقة توقيع العقود )فحص البنود التعاقدية مع صاحب
المسكن( والمبادرة باقتراح نموذج عقد موحد خاص باللاجئين والمهاجرين
تسهيل اجراء ات منح تصريح الإقامة وإزالة العقوبات المتعلقة بانقضاء مدتها
ضمان الوصول إلى العدالة فيما يتعلق بالحق في السكن في حالة التجاوز
مراعاة الوضع الهش للمهاجرين في كافة برامج وزارة الشؤون الاجتماعية
مراجعة محتوى البرامج التعليمية لجعلها أكثر شمولية واحترامًا للمهاجرين
دعم عمل منظمات المجتمع المدني على تسليط الضوء على مسألة الوصول إلى العدالة فيما
يتعلق بالحق في السكن للمهاجرين وإدراج هذه النقطة ضمن أوليات ومخاوف المنظمات عند
اصدار تقاريره
La présente étude a été conduite par Maram Tebbini pour le FTDES, membre du Arab Hub for Social Protection, et ce dans le cadre du projet de recherche « Social Protection in (post)Covid MENA ».
Il s’agit de la première partie d’un travail plus élaboré qui couvrira d’autres villes Tunisiennes à paraître en septembre 2022.
Rattaché au principe de la dignité, avoir droit à un logement signifie protéger la dignité et l’intégrité physique et psychique de l’individu. Ce droit implique l’accès à un logement sécurisé, habitable, doté de services nécessaires et situé à proximité des possibilités d’emploi, des services de santé, des écoles, des moyens de transports, etc. Le logement doit aussi être adapté à l’expression de l’identité culturelle des habitants. Ces conditions sont pourtant difficilement réunies même pour une bonne partie de Tunisiens marginalisés. La situation empire clairement pour d’autres groupes marginalisés, à savoir les migrants « subsahariens ». La visée de cette étude serait de décrire et de discuter les conditions de l’habitat de ces derniers.
Ce Toolkit est le fruit d’un travail collaboratif, qui a integré la plupart des parties prenantes. Il s’agit d’un ensemble d’outils au
profit des acteurs.trices des coalitions pour les aider dans l’identification et la formulation de projet de développement humain à fort impact.
Pourquoi:
Pour innover dans l’identification
des actions
• Pour faciliter les choses aux acteurs.
trices de la société civile
• Pour développer des projets basés
sur les besoins spécifiques des citoyens.nes
• Pour la mise en oeuvre des projets à fort impact
Quoi:
Une démarche innovative et
participative en quatre étapes
• Un ensemble d’outils adaptés et
inspirés par les approches de
l’innovation
• Un toolkit avec des résultats
tangibles
Comment: Des outils guidés étape par étape
afin d’aboutir à un résultat concret
dans le process d’identification et
de formulation des projets
Bulletin 200 days after Article 80-Concentration of powers (2).pdfJamaity
Two hundred days after the triggering of Article 80 by the President of the Republic Kais Saied, the hypotheses raised by the two previous bulletins -issued respectively 50 and 100 days after the onset of the state of exception- namely that of a “break in continuity”1, an “erosion of the rule of law and a threat to freedoms”2 are becoming more and more confirmed every day.
The authoritarian nature of the practice of power introduced by the President, who, since the so-called Decree 117, has had all the executive and legislative powers in his hands, is becoming established.
The Covid-19 pandemic & the evolution of migration intentions among Tunisian ...Jamaity
This study was carried out as part of the participation of the Tunisian Forum for Economic and Social Rights (FTDES) in the research project "Social Protection in (post) Covid MENA" as member of the "Arab Hub for Social Protection" Consortium.
تنطلق هذه الدراسة من جملة من الاستفهامات النظرية والميدانية التي لا نروم الإجابة عليها بقدر ما نروم استحثاث التفكير فيها. أمّا هويّتها التحرّرية المواطنية وخلفيتها الحقوقية باعتبار الإطار الجمعياتي الذي أنجزت فيه فانّه يجعل الغاية كذلك من هذا البحث هو تزويد القارئ عموما والفاعلين الاجتماعيين بشكل خاص بأليّات تفكير مختلفة ليكونوا خاصة أكثر وعيا بالقضايا وأكثر نجاعة في طرحها واستشراف نتائجها
تهدف هذه الدراسة أساسا الى
تحديد كيفية تفاعل الأسر مع الجائحة من حيث أشكال التأقلم واستراتيجيات المقاومة والصمود
تحديد مدى تأثير الجائحة على الأفراد داخل الأسرة وخارجها وخاصة في مستوى الرضا العام
دراسة مستويات تطوّر النوايا الهجرية في ظل الجائحة
دراسة مستويات تغيّر المشاريع الهجرية ومساهمة الأسر فيها وامكانيات تحقيقها مستقبلا
Normal life came to an abrupt halt in the first quarter of 2020 as the COVID-19 virus spread around the globe. Confronted by myriad unprecedented challenges, including political and economic unrest, the closure of civic space, and a decline in financial viability, CSOs in the Middle East and North Africa (MENA) demonstrated remarkable resilience. They reacted quickly to the constantly changing circumstances by providing critical services, thereby demonstrating their value to the societies in which they are based. In addition, CSOs increasingly adopted new technologies, allowing them to develop new ways of working, providing services to their constituents, and increasing their own capacities. The pandemic thus served as a litmus test, both exposing CSOs’ vulnerabilities and highlighting their resilience. This year’s CSO Sustainability Index for MENA, which reports on the state of CSO sectors in Egypt, Iraq, Jordan, Lebanon, Libya, Morocco, Tunisia, and Yemen, describes both these opportunities and challenges.
Diaspora organizations and their humanitarian response in tunisiaJamaity
How has the Tunisian diaspora responded when COVID-19 hit their country of origin? How did they support and engage with families, communities back in Tunisia? And did they coordinate with the wider humanitarian system when delivering humanitarian aid?
DEMAC has conducted a Real-time review between July and September 2021, providing a rapid analysis of the humanitarian response of Tunisian diaspora organizations to the fourth and most severe wave of the COVID-19 pandemic.
Deconstruire le mythe de la surete en TunisieJamaity
Le droit d’asile constitue un droit fondamental consacré tant par la Charte des droits fondamentaux de l’Union
européenne15 que par le droit italien.
Cependant, force est de constater la multiplication des obstacles pour limiter l’accès aux procédures d’asile.
Le concept de « pays d’origine sûr » permet ainsi de déclarer irrecevable une demande d’asile et de renvoyer le demandeur vers l’Etat concerné, sous prétexte que ce pays est sûr pour lui. Or, la Tunisie ne peut être
considérée comme absolument « sûr » pour toutes et tous ses ressortissants. Ce concept est donc incompatible avec le droit d’asile et les garanties à fournir à la population migrante.
L’utilisation de la notion de « sûreté » pour justifier la mise en place d’une procédure accélérée d’examen d’une demande d’asile implique non seulement un abaissement des garanties procédurales indispensables pour
assurer la qualité de cet examen, mais méconnait également la réalité de la situation particulière de nombreux tunisiens demandeurs d’asile.
En outre, l'instrumentalisation de ce concept permet une certaine standardisation des rapatriements vers la Tunisie – 1.997 Tunisiens en 2020 et 1.655 jusqu'à mi-novembre 2021 – qui reste le pays vers lequel l'Italie effectue le plus d'opérations de rapatriement.
Les organisations signataires entendent souligner la gravité de la situation vécue par de nombreux tunisien.ne.s victimes de violations graves de droits humains et appellent le gouvernement italien à renoncer à la notion de « pays d’origine sûr » qui vide le droit d’asile de sa substance.
1. Séminaire international:
« Les violences contre les femmes : Harmoniser les lois avec la constitution »
17 et 18 octobre 2015 à la Cité des sciences - Tunis
Argumentaire
La violence contre les femmes représente au plan mondial une véritable pandémie. Selon
les données internationales, une femme sur trois subirait au moins une fois dans sa vie des
violences, en particulier dans sa vie privée. Les violences représenteraient des risques plus
grands que le cancer, les accidents de la route ou la guerre, pour les femmes âgées de 15 à
44 ans. Selon les données nationales (enquête de 2010), une femme sur deux est, en
Tunisie, victime de violence.
La violence contre les femmes est une discrimination et une atteinte à leurs droits humains
fondamentaux et a des impacts non seulement sur les victimes et leur entourage, en
particulier les enfants, mais aussi sur la société entière, en termes de dépenses de santé
publique et d’atteintes à la sécurité.
Depuis la transition politique, aucune enquête n’a été publiée sur les violences faites aux
femmes et peu de mesures ont été prises pour la combattre alors que la constitution du 27
janvier 2014 met à la charge de l’Etat l’adoption des mesures nécessaires pour y mettre fin.
Le projet de loi intégrale de lutte contre les violences faites aux femmes, en cours
d’élaboration, tarde à voir le jour.
Depuis 2014, l’Association Tunisienne des Femmes Démocrates et ses partenaires ont mis
en œuvre un processus d’harmonisation des législations nationales avec la Constitution, à
travers différents ateliers relatifs aux modifications du Code du Statut Personnel, du Code
Pénal, du Code du Travail et du statut de la fonction publique.
2. Le séminaire organisé les 17 et 18 octobre est une étape nouvelle pour consolider ce
processus et poser des perspectives de travail vers l’élaboration d’une stratégie de
plaidoyer pour l'égalité et la non discrimination en Tunisie.
Dans ce cadre, nous souhaitons écouter et échanger avec des représentantes de différents
pays (Algérie, Maroc, Lybie, France, Espagne) sur la réponse législative des Etats aux
violences faites aux femmes : lois intégrales, mesures législatives et mécanismes. Nous
ferons aussi un état des lieux des instruments internationaux pertinents de lutte contre les
violences et de leur ratification.
Le séminaire devrait aussi permettre de développer un plaidoyer pour la remise à l’ordre du
jour du projet de loi intégrale de lutte contre la violence à l’égard des femmes et des
enfants en mettant l’accent sur la nécessaire réforme des lois discriminatoires, en
particulier dans les domaines du statut personnel et des droits pénal et social.
3. Programme
17 octobre 2015
9h00 – 09h30 : Accueil des participant-e-s
Séance d’ouverture
Présidente : Saida Rached, Association Tunisienne des Femmes Démocrates(ATFD)
Rapporteur général: Moutaa El Waaed
Rapporteure : Samia Fraouis
09h30-10h00 : Mots d’ouverture : Association Tunisienne des Femmes Démocrates(ATFD), Association des
Femmes Tunisiennes pour la recherche sur le Développement(AFTURD), Oxfam-Région Maghrébine,
Association Beity, EuroMed Droits, Ligue des électrices tunisiennes(LET), Fédération Internationale des
Droits de l'Homme (FIDH).
10h00-10h15 : Présentation du processus d'élaboration d'une stratégie de plaidoyer pour
l'harmonisation des lois avec la Constitution, Hafidha Chékir
10h15-10h30 : Questions-Réponses
10h30-10h45 : Pause café
Première séance : Violences à l’égard des femmes : La réponse des Etats
Les violences à l’égard des femmes : la réponse des Etats au Maghreb
Présidente : Lilia Rebaï , EuroMed Droits
Rapporteure : Najet Ben Mansour
10h45-11h00 : Tunisie, Sana Ben Achour
11h00-11h15 : Algérie, Soumaya Salhi
11h15-12h30 : Débat
12h30-13h30 : Déjeuner
Les violences à l’égard des femmes : la réponse des Etats au Maghreb
Présidente : Mounira Hammami, Association des Femmes Tunisiennes pour la recherche sur le
Développement(AFTURD)
Rapporteure : Sonia Ben Yahmed
13h30 -13h45: Maroc, Asma El Mahdi
4. 13h45-14h00 : Libye, Manal Ragheb Rabaj
14h00-15h15 : Débat
15h15-15h30 : Pause café
Les violences à l’égard des femmes : la réponse des Etats en Europe
Présidente : Emmanuelle Hassairi, Association Tunisienne des Femmes Démocrates(ATFD)
Rapporteure : Halima Jouini
15h30-15h45 : Espagne, Magaly Thill
15h45-16h00 : France, Maryvonne Bin-Heng
16h00-17h15: Débat
18 octobre 2015
Deuxième séance : Les Conventions internationales et régionales
Présidente : Manal Warde, OXFAM
Rapporteure : Amal Yacoubi
Etat des ratifications des Conventions internationales
Les Conventions régionales en attente de ratification
Convention d’Istanbul «Convention sur la prévention et la lutte contre les violences à l’égard des
femmes et la violence domestique»
Protocole de Maputo « Protocole additionnel à la Charte Africaine des droits de l des peuples relatif
aux droits des femmes en Afrique»
09h00 – 09h30 : les conventions internationales et régionales, Monia Ben Jémia
09h30 – 10h00 : Débat
10h00 – 10h30 : Pause café
Troisième séance : Discussion d’une plate forme commune éventuelle pour un plaidoyer pour l’égalité, la
non discrimination et la lutte contre les violences à l’égard des femmes
Travail en ateliers
Présidente : Khadija Chérif, Fédération Internationale des Droits de l’Homme(FIDH)
Rapporteure : Najoua Baccar, Amira Nefzaoui, Dorsaf Hmaied
10h30 – 12h30 : Atelier : Rôle de l’Etat dans la conduite du processus, Ahlem Belhadj
Atelier : Rôle de la société civile dans la conduite du processus, Hedia Jrad
Atelier : Les standards minimums pour le contenu du projet de loi, Imed Zouari
12h30 – 13h30 : Déjeuner
13h30 – 14h30 : Restitution et discussion des travaux des ateliers
5. Clôture
Présidente : Anoir Mnasri, Ligue des Electrices Tunisiennes(LET)
Rapporteure : Fathia Hizem
14h30-15h30 : Clôture et perspectives futures de travail pour une stratégie de plaidoyer inter-associative
15h30 – 16h00 : Pause café