Les partisans du paradigme du GIEC affirment que le réchauffement climatique, le moteur principal du changement climatique mondial est une conséquence de l'augmentation du CO2 dans l'atmosphère causée par l'action humaine et il est toujours en cours et augmentera dans les années à venir. Déjà partisans de la thèse révisionniste affirment que le réchauffement climatique actuel est un phénomène naturel qui a cessé et que la Terre Terre fait face aujourd'hui pour un processus de refroidissement.

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QUESTIONS RELATIF AU CHANGEMENT CLIMATIQUE MONDIAL
Fernando Alcoforado *
À l'heure actuelle, il y a deux lignes ou des tendances scientifiques traitant des questions
liées au changement climatique mondial: la tendance scientifique de GIEC (Groupe
d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) or IPCC en anglais de l'ONU
que in concept de Thomas Kuhn est la science normale présenté dans son livre The
Structure of Scientific Revolutions (Chicago: University of Chicago Press, 1970) or
paradigme du GIEC accepté par la plupart de la communauté scientifique et la tendance
scientifique de les sceptiques éco, également connu comme négationniste. Le paradigme
du GIEC considère que, plus de carbone accumule dans l'atmosphère et les températures
moyennes globales continuent d'augmenter, les chances d'augmentation des
performances environnementales désastreuses, par exemple, des villes et des îles
submergées par niveau de la mer plus, multiplication des ouragans, pandémies, etc.
Cependant, ni le paradigme du GIEC et le négationniste de l'Holocauste, conviennent
que la Terre a connu un réchauffement d'environ 0,6 °C au XXe siècle, il y a,
cependant, une grande divergence entre les scientifiques en ce qui concerne la cause de
ce réchauffement, leur conséquences, et si elle se produit encore. Les partisans du
paradigme du GIEC affirment que le réchauffement climatique, le moteur principal du
changement climatique mondial est une conséquence de l'augmentation du CO2 dans
l'atmosphère causée par l'action humaine, qui est, les êtres humains et il est toujours en
cours et augmentera dans les années à venir. Déjà partisans de la thèse révisionniste
affirment que le réchauffement climatique actuel est un phénomène naturel qui a cessé
et que la Terre Terre fait face aujourd'hui pour un processus de refroidissement.
Le grand écart qui sépare les deux lignes de pensée est guidé dans le fait qu'il ya des
idées très différentes sur les origines de l'augmentation de la température de
l'atmosphère terrestre. Alors que les partisans de paradigme du GIEC affirment que le
réchauffement climatique par lequel a passé et / ou passe la Terre est causée par des
éléments naturels et, surtout, par les êtres humains, les négationnistes ont une autre vue,
parce que pour eux, les humains ont très peu ou pas d'influence sur le réchauffement
climatique. Pour les négationnistes, on ne peut ignorer la complexité qui entoure le
climat de la Terre et de tenir à une seule théorie explicative est au moins discutable,
c'est la théorie du CO2 comme une cause du réchauffement climatique.
Les principaux facteurs qui influent sur les changements climatiques sont sans ordre
d'importance: 1) l'intensité de l'activité solaire, que plus intense plus aidera pour qu'il y
ait le chauffage de la Terre; 2) le champ magnétique terrestre et les rayons cosmiques,
parce qu'ils gardent une relation, et quand les premières intensifie, la deuxième
fragilisent, ce qui favorise l'augmentation des températures terrestres; 3) éruptions
volcaniques, qui, avec ses nuages de poussière, aident à réduire la température moyenne
de la planète; 4) l'orbite terrestre qui exerce une grande influence sur le climat de la
Terre, parce que la distance entre la Terre et le Soleil varie en fonction de la force
gravitationnelle exercée par Jupiter et Saturne. Lorsque cette distance est plus petite, la
Terre reçoit plus d'énergie et chauffe quand elle est plus grande, l'effet inverse se
produit; 5) l'action anthropic, c'est, l´action de les êtres humains.

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Compte tenu les 5 raisons décrites ci-dessus pour l'apparition de variations de
température et des changements dans le climat de la Terre, il est clair que les gaz à effet
de serre augmentation découlant des activités humaines ne peut pas être considérée
comme la seule cause et principale du réchauffement climatique et le changement
consécutif de climat. Les partisans du paradigme du GIEC estiment que l'action
humaine est le plus responsable pour le changement climatique actuels tandis que les
négationnistes considèrent seulement les quatre premiers facteurs et les activités
humaines comme sans importance. Un autre point de discorde entre les partisans du
paradigme du GIEC et négationnistes concerne la relation entre l'augmentation du CO2
et d'augmenter la température parce que les partisans du paradigme du GIEC sont
véhémentes de dire que l'augmentation du CO2 est la cause de augmentation de la
température, les négationnistes revendication qui la première est simplement une
conséquence de ce dernier, à savoir d'abord la température monte, pour avoir un niveau
élevé de CO2.
Il y a une autre confrontation idéologique entre les scientifiques en ce qui concerne les
déclarations prospectives, car alors que le GIEC dit qu'il y aura une augmentation
progressive des températures absolues et moyenne de l'année 2100, pour les
scientifiques opposés à ce d'idées cette affirmation en disant que la nature réagit avec
effet d'amortissement des chocs, ce qui est un mécanisme de défense puissant: le
système agirait comme auto-régulation du climat sur la Terre, ne permettant pas, par
conséquent, il y avait un manque de contrôle généralisée de la température qui
provoquerait certainement une catastrophe planétaire des proportions gigantesques qui
est ce qui fournit les défenseurs du paradigme du GIEC.
Un thème qui remet en question la fiabilité de la théorie du réchauffement climatique et
le changement climatique concerne le problème des prévisions des modèles de
projection climatique du GIEC. Les négationnistes affirment que ne pas être en mesure
de prédire avec une certaine précision, l'état de l'atmosphère dans un mois, ils soulèvent
des questions quant à la possibilité de savoir quoi que ce soit au sujet du temps au cours
du prochain siècle ou au cours du prochain millénaire. Les négationnistes affirment que
l'évolution future de l'atmosphère dépend non seulement des équations qui régissent leur
comportement, mais aussi les conditions aux limites qui sont de deux types: les
conditions initiales en définissant l'état en trois dimensions de l'atmosphère à un
moment donné, et les conditions dans les limites spatiales, définissant l'interaction
future entre l'atmosphère et l'extérieur. Cet argument repose sur le fait que le système
climatique mondial est essentiellement un système non linéaire, relié à des facteurs
intrinsèques et extrinsèques à l'atmosphère de la Terre. Cette déclaration renforce la
position de nombreux autres auteurs qui mettent l'accent sur la « complexité » du
fonctionnement du système atmosphère de surface et des difficultés de prévision
climatique à long terme.
Il est important de noter que le paradigme du GIEC a le soutien de la plupart de la
communauté scientifique mondiale. Lorsque cela se produit, on peut dire que ce
paradigme constitue la science normale dans la vue de Thomas Kuhn. En dépit d'avoir
le soutien de la plupart de la communauté scientifique mondiale, les prévisions sur
l'avenir des changements climatiques sont considérés comme une possibilité, mais pas
aussi sûr. Même face à l'incertitude quant à l'avenir du changement climatique, il est
prudent de le considérer en adoptant le principe de précaution pour contrer les
événements indésirables de l'avenir.

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Il est important de noter que, lorsqu'ils traitent avec l'avenir probable avec une grande
probabilité, des mesures préconisées concernent la prévention. Le principe de
prévention serait destiné, à strictement, pour éviter les menaces selon une logique
prospective, l'anticipation des événements futurs susceptibles de se produire. En cas
d'imprévu ou futur improbable, de doute ou l'incertitude quant à son apparition, comme
dans le cas du changement climatique, nous devons agir sur la base du principe de
précaution. Dans ce processus, nous devons faire des plans pour faire face aux
événements imprévus ou peu probables de l'avenir. La précaution est sur les risques
potentiels et la prévention sur les risques avérés. Le risque potentiel correspond à un
événement qui peut se produire ou non qui ne peut être attribué probabilité [DUPUY,
Jean-Pierre. O tempo das catástrofes (Temps des catástrofes). São Paulo: Realizações
Editora, 2011].
L'Accord de Paris, qui adopte des mesures de précaution contre les changements
climatiques catastrophiques, a pour objectif déclaré d'empêcher l'augmentation de la
température moyenne mondiale bien en dessous de 2 °C au-dessus des niveaux pré-
industriels et les efforts visant à limiter l'augmentation de la température moyenne
globale de 1,5 °C au-dessus du niveau pré-industriel. Ne pas signer l'Accord de Paris,
les États-Unis mis en cause l'avenir de l'humanité si le scénario catastrophique pour
l'environnement mondial ont lieu.e.
* Fernando Alcoforado, 77, membre de Bahia Académie de l'éducation, ingénieur avec doctorat en
planification du territoire et du développement régional pour l'Université de Barcelone, professeur
d'université et consultant en planification stratégique, la planification régionale et la planification des
systèmes énergétiques, est auteur de livres Globalização (Editora Nobel, São Paulo, 1997), De Collor a
FHC- O Brasil e a Nova (Des)ordem Mundial (Editora Nobel, São Paulo, 1998), Um Projeto para o
Brasil (Editora Nobel, São Paulo, 2000), Os condicionantes do desenvolvimento do Estado da Bahia
(Tese de doutorado. Universidade de Barcelona,http://www.tesisenred.net/handle/10803/1944, 2003),
Globalização e Desenvolvimento (Editora Nobel, São Paulo, 2006), Bahia- Desenvolvimento do Século
XVI ao Século XX e Objetivos Estratégicos na Era Contemporânea (EGBA, Salvador, 2008), The
Necessary Conditions of the Economic and Social Development- The Case of the State of Bahia (VDM
Verlag Dr. Müller Aktiengesellschaft & Co. KG, Saarbrücken, Germany, 2010), Aquecimento Global e
Catástrofe Planetária (Viena- Editora e Gráfica, Santa Cruz do Rio Pardo, São Paulo, 2010), Amazônia
Sustentável- Para o progresso do Brasil e combate ao aquecimento global (Viena- Editora e Gráfica,
Santa Cruz do Rio Pardo, São Paulo, 2011), Os Fatores Condicionantes do Desenvolvimento Econômico
e Social (Editora CRV, Curitiba, 2012), Energia no Mundo e no Brasil- Energia e Mudança Climática
Catastrófica no Século XXI (Editora CRV, Curitiba, 2015) et As Grandes Revoluções Científicas,
Econômicas e Sociais que Mudaram o Mundo (Editora CRV, Curitiba, 2016.