Cultures numériques et trajectoires d’insertion professionnelle chez les 16-2...Jezabel Roullee
Comment les jeunes de 16 à 24 ans utilisent les ressources numériques dans leurs trajectoires d'insertion professionnelle ?
Cette étude réalisée en 2013 par ISEN, INGEMEDIA et ITEMS comprend 3 documents : l'étude complète et ses annexes ainsi qu'une synthèse de l'enquête. En téléchargement sur le site de la Région PACA : http://emergences-numeriques.regionpaca.fr/observatoire-tic-et-animation/barometres.html
Cultures numériques et trajectoires d’insertion professionnelle chez les 16-2...Jezabel Roullee
Comment les jeunes de 16 à 24 ans utilisent les ressources numériques dans leurs trajectoires d'insertion professionnelle ?
Cette étude réalisée en 2013 par ISEN, INGEMEDIA et ITEMS comprend 3 documents : l'étude complète et ses annexes ainsi qu'une synthèse de l'enquête. En téléchargement sur le site de la Région PACA : http://emergences-numeriques.regionpaca.fr/observatoire-tic-et-animation/barometres.html
Par rapport à une population témoin comparable, les jeunes bénéficiaires de l’accompagnement intensif jeunes (AIJ) sont plus souvent en emploi 8 mois après leur entrée (+10 points), soit une hausse de 28%, et plus souvent en emploi durable (+5 points). Ils expriment également une satisfaction plus élevée de leur accompagnement.
Cette forme d’accompagnement leur permet d’être plus motivés (+27 points) et mieux outillés dans leur recherche d’emploi. Les jeunes sont plus mobilisés et utilisent de façon plus intensive les différents canaux de recrutement.
Présentation révisée de Danielle Vidal de SSQ Groupe Financier lors du Colloque La santé en entreprise...c'est payant! tenu les 12 et 13 novembre dernier à Rouyn-Noranda et Amos.
Présentation de Pierre-Paul Vaudreuil, directeur en prévention-inspection à la CSST, région de Montréal et de
Manon Gravel, Chef d'équipe, Direction du partenariat - Dossier Jeunesse, Direction générale de la prévention-inspection et du partenariat, CSST.
Malgré les nombreux dispositifs résultant de réformes successives, près de 10 % des 750 000 jeunes sortant chaque année du système éducatif se retrouvent sans qualification, quand le taux de chômage des 15-24 ans avoisine les 20 %. L’accent porté récemment sur un accompagnement plus intensif des jeunes demandeurs d’emploi et sur l’apprentissage n’a pas permis une amélioration décisive de leur situation. Pour y remédier, la Cour invite à porter une attention particulière à quatre leviers : une action plus résolue en direction des jeunes les plus éloignés de l’emploi, une meilleure orientation vers les dispositifs adaptés aux besoins, un renforcement de la qualité des parcours d’insertion, et la nécessité de mieux coordonner les multiples acteurs impliqués dans leur accompagnement jusqu’à l’emploi.
Le concept de démocratie culturelle s’est progressivement développé face au constat que l’accès à la culture pour tous n’est pas encore une réalité.
En donnant une place à tous les acteurs pour qu’ils s’impliquent dans les politiques culturelles, le projet d'avis du CESE propose quatre axes de préconisations pour permettre à tou.te.s de participer à la vie culturelle et à la co-construction des politiques culturelles : mettre en œuvre la démocratie culturelle en renforçant la diversité, l’égalité, la participation de tou.te.s ; mettre à disposition de tou.te.s les ressources culturelles et les outils qui permettent de se les approprier ; conforter les professionnel.le.s de la culture ; diversifier les sources de financement de la Culture.
Les séparations parentales concernent un nombre croissant de familles. Tous types d’union confondus, un couple sur trois se sépare avec, dans la moitié des cas, un enfant à charge. La loi pose, au nom de l’intérêt supérieur de l’enfant, le principe de la permanence de la parentalité, par-delà les aléas du couple. Dans la très grande majorité des cas, les parents parviennent à un accord sur le mode de résidence de leur.s. enfant.s. Mais cette question est loin de représenter l’ensemble des décisions qu’ils devront prendre dans l’exercice concret de la coparentalité.
La manière dont se déroule la séparation, les tensions familiales qui l’entourent ainsi que l’environnement de vie après la rupture peuvent avoir des conséquences importantes sur la santé, le bien-être et la scolarité des enfants. Si des enfants peuvent se trouver en situation de risques, c’est, bien souvent parce que le conflit entre les parents s’est installé et aggravé au point de capter toute leur attention.
Revenu de solidarité active (RSA), Allocation de solidarité pour les personnes âgées (ASPA), Allocation aux adultes handicapés (AAH), Allocation supplémentaire d’invalidité (ASI), Allocation de solidarité spécifique (ASS), Allocation veuvage (AV)… Alors que près de 9 millions de personnes vivent toujours sous le seuil de pauvreté, la complexité de notre architecture des minima sociaux soulève un enjeu d’accessibilité et d’acceptabilité.
Notre système de minima sociaux doit mieux favoriser l’accès de chacun.e à l’emploi et aux droits fondamentaux (éducation, santé, logement, participation citoyenne…). Dans cet avis, le CESE propose la mise en oeuvre d’un revenu minimum social garanti qui constitue le socle de la solidarité nationale à l’égard des personnes en situation de fragilité économique et sociale. Le CESE formule en outre des propositions précises pour simplifier l’accès à ce revenu garanti, l’inscrire dans une démarche d’accès à l’emploi et agir pour une meilleure acceptabilité.
L’habitat intègre les espaces de vie que constituent les logements (immeubles ou maisons), aux quartiers, villes ou communes rurales, ainsi qu’un ensemble de services, comme les transports ou l’offre de santé. Sa qualité est une condition environnementale du bien-être de la population et du mieux vivre ensemble.
La bioéconomie est en plein essor. Elle est appelée à remplacer en partie l’utilisation de ressources fossiles par celle de ressources renouvelables.
Le CESE rappelle que pour relever les défis environnementaux et sociétaux sans remettre en cause ni la qualité de vie des populations ni les capacités de développement des générations futures, il faut adopter de nouveaux modes de production et de consommation. C’est dans cet objectif qu’il présente ses propositions pour une bioéconomie durable.
Les PME/TPE sont un levier important de création d’emplois. Réparties au coeur du pays, dans tous les territoires, ces plus de 2,5 millions d’entreprises sont abordées dans leur diversité.
Articuler financement et développement des PME/TPE pour le bien commun – à savoir l’emploi et la valeur ajoutée dans l’efficacité – est crucial. Cela demande une ambition à la fois économique, sociale et culturelle et de sortir d’une certaine méfiance qui nuit à la relation entre PME/TPE et système bancaire et financier.
Nombre de ménages ne trouvent pas, en France métropolitaine et dans les Outre-mer, un logement de qualité adapté à leurs besoins, à leur mobilité ou à leur pouvoir d’achat. Le logement est un bien complexe, au carrefour de contraintes économiques, sociales, environnementales, urbanistiques et politiques. Le rôle de l’Etat, justifié au titre de la solidarité nationale et par l’importance du secteur, a évolué avec la décentralisation. Les acteurs locaux, faute d’une connaissance suffisamment précise des besoins et de l’offre de logements, en quantité et en qualité, peinent à apporter des solutions appropriées.
Découvrez les préconisations du CESE.
Le niveau très élevé des prix demandés par les industriels pour certains traitements innovants a interpellé la communauté médicale et l’opinion publique. Le cas le plus connu en France est celui du Sovaldi® (sofosbuvir), pour soigner l’hépatite C chronique, vendu 41 000 euros pour un traitement curatif standard de trois mois. Mais l’augmentation des prix concerne en réalité de nombreux autres médicaments, utilisés notamment dans le traitement du cancer.
Les prix demandés par les industriels sur certains produits sont trop élevés et non soutenables et le régulateur n’a pas encore tous les outils pour limiter les hausses de prix au regard de l’enveloppe budgétaire disponible.
Le Premier ministre a saisi le Conseil économique, social et environnemental (CESE) en vue d’une réflexion prospective afin d’identifier des pistes d’avenir pour la fonction publique.
Après deux mois d’auditions et de concertation, le CESE qui réunit les principales composantes de la société civile, a construit ses recommandations autour de trois grandes idées directrices :
conduire un travail de fond sur ses missions. Les choix qui seront faits par la suite devront être pris en compte pour déterminer les moyens à consacrer à leur exécution ;
valider les principes fondateurs de la fonction publique, dont le principe statutaire ;
favoriser l’adaptation de la fonction publique aux attentes de la société (besoins sociaux, transformation numérique, demande de proximité, de simplification, de réactivité…).
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Similaire à Sécuriser les parcours d'insertion des jeunes (avis de suite)
Par rapport à une population témoin comparable, les jeunes bénéficiaires de l’accompagnement intensif jeunes (AIJ) sont plus souvent en emploi 8 mois après leur entrée (+10 points), soit une hausse de 28%, et plus souvent en emploi durable (+5 points). Ils expriment également une satisfaction plus élevée de leur accompagnement.
Cette forme d’accompagnement leur permet d’être plus motivés (+27 points) et mieux outillés dans leur recherche d’emploi. Les jeunes sont plus mobilisés et utilisent de façon plus intensive les différents canaux de recrutement.
Présentation révisée de Danielle Vidal de SSQ Groupe Financier lors du Colloque La santé en entreprise...c'est payant! tenu les 12 et 13 novembre dernier à Rouyn-Noranda et Amos.
Présentation de Pierre-Paul Vaudreuil, directeur en prévention-inspection à la CSST, région de Montréal et de
Manon Gravel, Chef d'équipe, Direction du partenariat - Dossier Jeunesse, Direction générale de la prévention-inspection et du partenariat, CSST.
Malgré les nombreux dispositifs résultant de réformes successives, près de 10 % des 750 000 jeunes sortant chaque année du système éducatif se retrouvent sans qualification, quand le taux de chômage des 15-24 ans avoisine les 20 %. L’accent porté récemment sur un accompagnement plus intensif des jeunes demandeurs d’emploi et sur l’apprentissage n’a pas permis une amélioration décisive de leur situation. Pour y remédier, la Cour invite à porter une attention particulière à quatre leviers : une action plus résolue en direction des jeunes les plus éloignés de l’emploi, une meilleure orientation vers les dispositifs adaptés aux besoins, un renforcement de la qualité des parcours d’insertion, et la nécessité de mieux coordonner les multiples acteurs impliqués dans leur accompagnement jusqu’à l’emploi.
Similaire à Sécuriser les parcours d'insertion des jeunes (avis de suite) (12)
Le concept de démocratie culturelle s’est progressivement développé face au constat que l’accès à la culture pour tous n’est pas encore une réalité.
En donnant une place à tous les acteurs pour qu’ils s’impliquent dans les politiques culturelles, le projet d'avis du CESE propose quatre axes de préconisations pour permettre à tou.te.s de participer à la vie culturelle et à la co-construction des politiques culturelles : mettre en œuvre la démocratie culturelle en renforçant la diversité, l’égalité, la participation de tou.te.s ; mettre à disposition de tou.te.s les ressources culturelles et les outils qui permettent de se les approprier ; conforter les professionnel.le.s de la culture ; diversifier les sources de financement de la Culture.
Les séparations parentales concernent un nombre croissant de familles. Tous types d’union confondus, un couple sur trois se sépare avec, dans la moitié des cas, un enfant à charge. La loi pose, au nom de l’intérêt supérieur de l’enfant, le principe de la permanence de la parentalité, par-delà les aléas du couple. Dans la très grande majorité des cas, les parents parviennent à un accord sur le mode de résidence de leur.s. enfant.s. Mais cette question est loin de représenter l’ensemble des décisions qu’ils devront prendre dans l’exercice concret de la coparentalité.
La manière dont se déroule la séparation, les tensions familiales qui l’entourent ainsi que l’environnement de vie après la rupture peuvent avoir des conséquences importantes sur la santé, le bien-être et la scolarité des enfants. Si des enfants peuvent se trouver en situation de risques, c’est, bien souvent parce que le conflit entre les parents s’est installé et aggravé au point de capter toute leur attention.
Revenu de solidarité active (RSA), Allocation de solidarité pour les personnes âgées (ASPA), Allocation aux adultes handicapés (AAH), Allocation supplémentaire d’invalidité (ASI), Allocation de solidarité spécifique (ASS), Allocation veuvage (AV)… Alors que près de 9 millions de personnes vivent toujours sous le seuil de pauvreté, la complexité de notre architecture des minima sociaux soulève un enjeu d’accessibilité et d’acceptabilité.
Notre système de minima sociaux doit mieux favoriser l’accès de chacun.e à l’emploi et aux droits fondamentaux (éducation, santé, logement, participation citoyenne…). Dans cet avis, le CESE propose la mise en oeuvre d’un revenu minimum social garanti qui constitue le socle de la solidarité nationale à l’égard des personnes en situation de fragilité économique et sociale. Le CESE formule en outre des propositions précises pour simplifier l’accès à ce revenu garanti, l’inscrire dans une démarche d’accès à l’emploi et agir pour une meilleure acceptabilité.
L’habitat intègre les espaces de vie que constituent les logements (immeubles ou maisons), aux quartiers, villes ou communes rurales, ainsi qu’un ensemble de services, comme les transports ou l’offre de santé. Sa qualité est une condition environnementale du bien-être de la population et du mieux vivre ensemble.
La bioéconomie est en plein essor. Elle est appelée à remplacer en partie l’utilisation de ressources fossiles par celle de ressources renouvelables.
Le CESE rappelle que pour relever les défis environnementaux et sociétaux sans remettre en cause ni la qualité de vie des populations ni les capacités de développement des générations futures, il faut adopter de nouveaux modes de production et de consommation. C’est dans cet objectif qu’il présente ses propositions pour une bioéconomie durable.
Les PME/TPE sont un levier important de création d’emplois. Réparties au coeur du pays, dans tous les territoires, ces plus de 2,5 millions d’entreprises sont abordées dans leur diversité.
Articuler financement et développement des PME/TPE pour le bien commun – à savoir l’emploi et la valeur ajoutée dans l’efficacité – est crucial. Cela demande une ambition à la fois économique, sociale et culturelle et de sortir d’une certaine méfiance qui nuit à la relation entre PME/TPE et système bancaire et financier.
Nombre de ménages ne trouvent pas, en France métropolitaine et dans les Outre-mer, un logement de qualité adapté à leurs besoins, à leur mobilité ou à leur pouvoir d’achat. Le logement est un bien complexe, au carrefour de contraintes économiques, sociales, environnementales, urbanistiques et politiques. Le rôle de l’Etat, justifié au titre de la solidarité nationale et par l’importance du secteur, a évolué avec la décentralisation. Les acteurs locaux, faute d’une connaissance suffisamment précise des besoins et de l’offre de logements, en quantité et en qualité, peinent à apporter des solutions appropriées.
Découvrez les préconisations du CESE.
Le niveau très élevé des prix demandés par les industriels pour certains traitements innovants a interpellé la communauté médicale et l’opinion publique. Le cas le plus connu en France est celui du Sovaldi® (sofosbuvir), pour soigner l’hépatite C chronique, vendu 41 000 euros pour un traitement curatif standard de trois mois. Mais l’augmentation des prix concerne en réalité de nombreux autres médicaments, utilisés notamment dans le traitement du cancer.
Les prix demandés par les industriels sur certains produits sont trop élevés et non soutenables et le régulateur n’a pas encore tous les outils pour limiter les hausses de prix au regard de l’enveloppe budgétaire disponible.
Le Premier ministre a saisi le Conseil économique, social et environnemental (CESE) en vue d’une réflexion prospective afin d’identifier des pistes d’avenir pour la fonction publique.
Après deux mois d’auditions et de concertation, le CESE qui réunit les principales composantes de la société civile, a construit ses recommandations autour de trois grandes idées directrices :
conduire un travail de fond sur ses missions. Les choix qui seront faits par la suite devront être pris en compte pour déterminer les moyens à consacrer à leur exécution ;
valider les principes fondateurs de la fonction publique, dont le principe statutaire ;
favoriser l’adaptation de la fonction publique aux attentes de la société (besoins sociaux, transformation numérique, demande de proximité, de simplification, de réactivité…).
Avis corapporté par Emelyn Weber au nom de la section du travail et de l’emploi présidée par Sylvie Brunet, et Etienne Caniard au nom de la section des affaires sociales et de la santé présidée par Aminata Koné.
Renouer avec le projet européen, telle est l’ambition d’un socle de droits sociaux robustes, effectifs et universels.
Outil au service d’une Europe solidaire, compétitive, inclusive et qui donne confiance dans l’avenir, ce socle doit permettre de répondre à différents enjeux majeurs au sein de l’Union européenne : conception de politiques publiques plus proches des citoyen.ne.s et de leurs besoins, articulation nouvelle entre politiques macro-économiques et sociales, protection contre les risques sociaux pour améliorer la cohésion sociale et renforcer la compétitivité des entreprises et la qualité de l’emploi.
Avis présenté par Mme Cécile Claveirole, au nom de la section de l'agriculture, de la pêche et de l'alimentation.
Dans un contexte profondément marqué par la dérégulation de certains marchés et la mondialisation, l’agriculture française fait aujourd’hui face à des défis majeurs : économiques, sociaux, alimentaires, sanitaires, environnementaux, sociétaux, territoriaux et techniques. Discipline scientifique au carrefour de l’agronomie et de l’écologie, l’agroécologie peut, à travers les pratiques qu’elle promeut, contribuer à relever ces défis en transformant l’agriculture pour aller vers des systèmes alimentaires plus durables.
A partir d’une analyse des freins et des leviers à son développement, le CESE formule un ensemble de préconisations en matière de recherche, de formation, d’adaptation des filières agroalimentaires, de réorientation des politiques publiques pour accompagner les agriculteur.rice.s dans la transition agroécologique.
Avis rapporté par Mme Martine Derobert-Masure, au nom de la section des activités économiques présidée par Mme Delphine Lalu.
La répartition des rôles entre producteur.rice.s et consommateur.rice.s, qui prévaut dans le modèle de consommation de masse, devient aujourd’hui plus floue. Dans une économie de plus en plus numérique, le.la client.e est aujourd’hui toujours plus impliqué.e et sollicité.e dans sa consommation. Cette évolution a des effets sur l’ensemble de la société.
Avis présenté par M. Philippe Jahshan au nom de la section des affaires européennes et internationales présidée par M. Jean-Marie Cambacérès.
La France doit se doter d’une stratégie de mise en oeuvre des Objectifs de développement durable (ODD) et des engagements de l’Accord de Paris, ce qui implique qu’elle réexamine et, si nécessaire, adapte les priorités de sa politique de coopération internationale qui avaient été décidées en 2013 lors du dernier Comité interministériel de la coopération internationale et du développement (CICID) et inscrites dans la Loi d’orientation et de programmation relative à la politique de développement et de solidarité internationale (LOPDSI) de juillet 2014.
Avis rapporté par M. Jean Jouzel et Mme Agnès Michelot, au nom de la section de l'environnement présidée par Mme Anne-Marie Ducroux.
L’objectif de la justice climatique est de tout faire pour que le réchauffement n’accroisse pas les inégalités. Elle est apparue comme une thématique centrale au moment de l’ouverture de la COP 21. Revendication forte de la société civile à l’échelle internationale depuis 2003, elle est également utilisée en amont des négociations par les responsables politiques des pays en développement.
Le CESE soutient la lutte contre toutes les formes d’inégalités. L’avis souhaite contribuer par ses propositions à des politiques publiques qui permettront à l’échelle nationale de limiter et si possible de réduire les inégalités sociales et économiques générées par le réchauffement planétaire.
Avis présenté par M. Allain Bougrain Dubourg au nom de la section de l'environnement présidée par Mme Anne-Marie Ducroux.
Préserver la biodiversité et développer les emplois de demain sont deux des défis majeurs de la transition écologique. Élargir le cercle des quelques dizaines de milliers d’emplois existants dédiés à la biodiversité, en impliquant tous les secteurs de l’activité économique concernés par son maintien et sa restauration, voilà l’objectif à atteindre.
Pour accroître ce potentiel, il est nécessaire de réaffirmer et renforcer les emplois et les métiers dont la biodiversité constitue le cœur d’activité. Il importe aussi de mieux décrire et cartographier ceux qui contribuent déjà pour une part à la biodiversité, d’en augmenter le nombre par des efforts de formation, de recherche, et une mobilisation plus forte de la société.
En plus des créations d’emplois que suscitera la reconquête de la biodiversité, plusieurs centaines de milliers pourraient évoluer ou s’enrichir de compétences nouvelles dans de nombreux secteurs d’activité, comme l’agriculture.
Avis présenté par M. Dominique Gillier au nom de la section du travail et de l'emploi présidée par Mme Sylvie Brunet.
Le CESE souhaite favoriser à travers des recommandations concrètes, la visibilité, les convergences, la qualité méthodologique et la reconnaissance dans la relation de travail des certifications professionnelles.
Le Premier ministre a saisi le CESE pour avis sur le titre 1er de l’avant-projet de loi de programmation en faveur de l’égalité réelle outre-mer et sur l’étude d’impact de ce projet. L’objectif visé est, dans le respect du statut de chaque collectivité ultramarine, de réduire les écarts de développement avec l’hexagone à un horizon de 10 à 20 ans
Le CESE approuve l’esprit de l’avant-projet de loi de programmation et précise que l’extrême diversité des outre-mer conduit à ce que ce projet s’applique, au-delà des onze collectivités ultra-marines, aux 2,7 millions de citoyens français y résidant, en application de l’article 72.3 de la Constitution, qui stipule : « la République reconnaît, au sein du peuple français, les populations d’outre-mer dans un idéal commun de liberté, d’égalité et de fraternité ». Le CESE soutient également l’esprit de la méthode d’élaboration du projet de loi consistant à définir à l’échelle de chacune des onze collectivités un projet de société à long terme, puis un contrat de convergence, en appliquant des démarches de démocratie participative et le principe de subsidiarité.
Rapport présenté par M. Pierre-Antoine Gailly et M. Benedict Donnelly, au nom de la section de l'économie et des finances.
Prévu par la loi organique qui régit le CESE, le rapport sur l’état de la France a fait l’objet cette année d’une profonde refonte. Le CESE a fait, en effet, le choix de s’appuyer sur les dix nouveaux indicateurs de richesse retenus par le gouvernement. Complémentaires du PIB, ces indicateurs ont été choisis de manière concertée par France Stratégie et le CESE.
Ils traitent de trois enjeux essentiels, perçus comme tels par les Français.e.s : la cohésion sociale, la préparation de l’avenir et la qualité de vie.
Projet d'avis rapporté par M. Luc Bérille et M. Jean-François Pilliard au nom de la section du travail et de l'emploi, présidée par Mme Sylvie Brunet.
Il est essentiel pour notre société que le dialogue social joue pleinement son rôle. Pour y parvenir, le préalable est que son appréhension soit plus positive sur ce qu’il est et sur ce qu’il doit être. Contribuer à forger et développer une culture du dialogue social dans notre pays est donc fondamental. Plus qu’une simple option, il s’agit d’une obligation démocratique.
Plus de Conseil Economique Social et Environnemental (20)
3. LE CONSTAT
SÉCURISER LES PARCOURS D’INSERTION DES JEUNES
25 mars 2015
Rappel des recommandations et des grandes orientations
retenues
Projet de clause d’impact jeunesse
Nomination d’un délégué interministériel
Relance des Comités interministérielsà la jeunesse
Des avancées en matière de concertation et de dialogue
La mise en œuvre des recommandations du CESE est inégale
4. SÉCURISER LES PARCOURS D’INSERTION DES JEUNES
25 mars 2015
Enchevêtrement des dispositifs
Emploidans
lesecteurmarchand
horsalternance
Emploidans
lesecteur
nonmarchand
5. SÉCURISER LES PARCOURS D’INSERTION DES JEUNES
25 mars 2015
DISPOSITIFS ET DROITS OUVERTS AUX JEUNES ENTRE18 ET 25 ANS
7. SÉCURISER LES PARCOURS D’INSERTION DES JEUNES
25 mars 2015
Les conditionsde vie desjeunes se
dégradentet tousles indicateurs
traduisentune situationplus que
préoccupante
Des données alarmantes
8. LES PRÉCONISATIONS
SECURISER LES PARCOURS D’INSERTION DES JEUNES
25 mars 2015
Investir dans la jeunessepour permettre à chaque
jeune d’avoir confiance en l’avenir
Politiquementet financièrement, les jeunes doivent
être une priorité
9. SÉCURISER LES PARCOURS D’INSERTION DES JEUNES
25 mars 2015
Première étape : le service public régional de l’orientation
Seconde étape : le compléter par un service public de
l’information et de l’accompagnement
Les enjeux d’orientation
10. SÉCURISER LES PARCOURS D’INSERTION DES JEUNES
25 mars 2015
Faire de la garantie jeunes un droit
Systématiser le contrat jeune majeur pour les jeunes confiés à
l’aide sociale à l’enfance
Garantir à chaque jeune un accompagnement
dans son parcours vers la vie active
12. SÉCURISER LES PARCOURS D’INSERTION DES JEUNES
25 mars 2015
Ouvrir la prime d’activité aux jeunes ayant un contrat de travail et
informer les jeunes de ce nouveau droit
Engager une réflexion et une étude d’impact sur un éventuel
assouplissement des critères du RSA socle pour qu’il soit
accessible aux jeunes dès 18 ans
Rendre effectif le droit à la qualification et à la formation
Pour un accès des jeunes à de nouveaux droits
13. SÉCURISER LES PARCOURS D’INSERTION DES JEUNES
25 mars 2015
En matière de santé
Renforcer la prévention, faire de la santé des jeunes une priorité
de la stratégie nationale de santé,
Faciliter l’accès à un professionnel de santé initiant une réflexion
une réflexion pour assortir de droits propres les jeunes à partir de
16 ans dans le cadre d’un statut d’ayant droit autonome
Étendre le champ de la protection sociale individuelle des jeunes et
garantir l’effectivité de l’accès à ces droits
14. SÉCURISER LES PARCOURS D’INSERTION DES JEUNES
25 mars 2015
Améliorer l’efficacité des aides personnelles au logement
Permettre le maintien du bénéfice des aides et du rattachement
fiscal des parents
Adapter l’offre du logement y compris dans le cadre de
l’hébergement d’urgence
Le logement est la clé de l’accès à l’autonomie
15. SÉCURISER LES PARCOURS D’INSERTION DES JEUNES
25 mars 2015
Pour une politique de jeunesse concertée réduisant le
non-recours aux droits
La région doit être le chef de file de la coordination des politiques
de jeunesse
Développer une coordination des acteurs territoriaux au niveau
des bassins de vie
Assurer une représentation et une participation effectives des
jeunes