La Fritillaire pintade est une espèce liste rouge régionale de la flore rare et menacée de Poitou-Charentes et est protégée dans les régions voisines.
À la demande de LISEA-COSEA et dans le cadre des mesures de réduction d’impacts, Vienne Nature a réalisé en 2012 l’accompagnement des opérations de transplantation des pieds de Fritillaria meleagris L. mises en oeuvre par COSEA au niveau des prairies humides et de l’ancienne peupleraie au lieu-dit ‘les Prairies du Moulin Neuf’ à Marigny-Chemereau et assure le suivi de l’efficacité de ces opérations.
La première année de suivi s’est déroulée en 2013. Le présent document fait référence à la seconde année de suivi, à savoir 2014.
La Fritillaire pintade est une espèce liste rouge régionale de la flore rare et menacée de Poitou-Charentes et est protégée dans les régions voisines.
À la demande de LISEA-COSEA et dans le cadre des mesures de réduction d’impact, Vienne Nature a réalisé l’accompagnement et le suivi de la transplantation des pieds de Fritillaria meleagris L. présents dans les prairies humides et l’ancienne peupleraie au niveau des « Prairies du Moulin Neuf » à Marigny-Chémereau (86) et a constaté la mise en défens des pieds de Fritillaria meleagris L. mise en oeuvre par COSEA au sein de l’emprise LGV.
La fritillaire pintade (fritillaria meleagris L.) est une espèce protégée au niveau régional (arrêté du 12 mai 1993 relatif à la liste des espèces végétales protégées en région Centre).
En prévention de la destruction de son habitat dans le cadre de la construction de la LGV SEA, un transfert de fritillaire pintade a été effectué. Celui-ci a conduit à la recherche de sites d'accueil, ce dans l'urgence. L'évaluation de la réussite de ces mesures de réduction d'impact demande un suivi de ces sites.
Dans le cas de cette espèce, l'indicateur, qui nous permettra de suivre son implantation sur le site d'accueil, est le nombre de pieds. Le protocole a été établi en concertation avec toutes les associations de protection de la nature à l'échelle de la ligne.
Ce rapport concerne le site de transfert de Saint-Maure de Touraine (37)
Le projet de construction de la Ligne à Grande Vitesse SEA entre Tours et Bordeaux a fait l’objet d’un dossier de demande de dérogation exceptionnelle de destruction et/ou de déplacement des individus d’espèces animales et végétales protégées (CNPN) situées dans l’emprise projet. Cette demande de dérogation au titre du code de l’environnement se traduit par un arrêté inter-préfectoral datant du 24 février 2012. Celui-ci précise notamment les dispositions à prendre pour la transplantation d’une espèce végétale située dans les emprises du projet, l’Ail rose (Allium roseum). Les modalités de recueil, de stockage et de réimplantation des bulbes ont fait l’objet d’un protocole soumis pour approbation au Conservatoire Botanique National Sud Atlantique et à la DREAL Aquitaine en septembre 2012. Celui-ci intègre également des éléments de description et de gestion de la zone d’accueil ainsi qu’une méthode de suivi pour mesurer l’efficacité de l’opération de transplantation des pieds d’Ail rose réalisée en 2012 et le maintien des populations situées immédiatement en marge de l’emprise travaux. Ce document présente l’ensemble des données récoltées dans le cadre de la mise en œuvre des suivis sur la parcelle d’accueil des individus d’Ail rose déplacés lors des opérations de transplantation effectuées entre le 1er octobre 2012 et 5 octobre 2012.
Réaliser un état des lieux des maladies de la féverole sur cultures d’hiver et de printemps.
Etudier l’impact de différents facteurs sur la fréquence et la sévérité des maladies observées (itinéraire technique, système de culture, pédoclimat).
Suivi Flore : Odontite de Jaubert - 2016-2018 - CBNBPLISEA
Actualisation des stations d’Odontite de Jaubert (Odontites jaubertianus) en Indre-et-Loire. Bilan des prospections et programme d’actions.
Ce document a été réalisé par le Conservatoire botanique national du Bassin parisien, délégation Centre.
La fritillaire pintade (fritillaria meleagris L.) est une espèce protégée au niveau régional (arrêté du 12 mai 1993 relatif à la liste des espèces végétales protégées en région Centre).
En prévention de la destruction de son habitat dans le cadre de la construction de la LGV SEA, un transfert de fritillaire pintade a été effectué. Celui-ci a conduit à la recherche de sites d'accueil, ce dans l'urgence. L'évaluation de la réussite de ces mesures de réduction d'impact demande un suivi de ces sites.
Dans le cas de cette espèce, l'indicateur, qui nous permettra de suivre son implantation sur le site d'accueil, est le nombre de pieds. Le protocole a été établi en concertation avec toutes les associations de protection de la nature à l'échelle de la ligne.
Ce rapport concerne le site de transfert de Saint-Maure de Touraine (37)
Cette enquête réalisée par TNS Sofres pour Val'hor auprès de 1000 Français habitant dans des communes de plus de 20 000 habitants, porte sur les motivations, les envies de ces jardiniers, de plus en plus nombreux à l’heure où la majorité des Français vivent dans des villes.
Essai d’adaptation de deux variétés de pois inconnu (Vigna unguiculata (L.) W...JhonWadnerKersonPhan
Essai d’adaptation de deux variétés de pois inconnu (Vigna unguiculata (L.) Walp.) sous régime pluvial à Lalouère (4ème section de la commune Saint-Marc)
La Fritillaire pintade est une espèce liste rouge régionale de la flore rare et menacée de Poitou-Charentes et est protégée dans les régions voisines.
À la demande de LISEA-COSEA et dans le cadre des mesures de réduction d’impact, Vienne Nature a réalisé l’accompagnement et le suivi de la transplantation des pieds de Fritillaria meleagris L. présents dans les prairies humides et l’ancienne peupleraie au niveau des « Prairies du Moulin Neuf » à Marigny-Chémereau (86) et a constaté la mise en défens des pieds de Fritillaria meleagris L. mise en oeuvre par COSEA au sein de l’emprise LGV.
La fritillaire pintade (fritillaria meleagris L.) est une espèce protégée au niveau régional (arrêté du 12 mai 1993 relatif à la liste des espèces végétales protégées en région Centre).
En prévention de la destruction de son habitat dans le cadre de la construction de la LGV SEA, un transfert de fritillaire pintade a été effectué. Celui-ci a conduit à la recherche de sites d'accueil, ce dans l'urgence. L'évaluation de la réussite de ces mesures de réduction d'impact demande un suivi de ces sites.
Dans le cas de cette espèce, l'indicateur, qui nous permettra de suivre son implantation sur le site d'accueil, est le nombre de pieds. Le protocole a été établi en concertation avec toutes les associations de protection de la nature à l'échelle de la ligne.
Ce rapport concerne le site de transfert de Saint-Maure de Touraine (37)
Le projet de construction de la Ligne à Grande Vitesse SEA entre Tours et Bordeaux a fait l’objet d’un dossier de demande de dérogation exceptionnelle de destruction et/ou de déplacement des individus d’espèces animales et végétales protégées (CNPN) situées dans l’emprise projet. Cette demande de dérogation au titre du code de l’environnement se traduit par un arrêté inter-préfectoral datant du 24 février 2012. Celui-ci précise notamment les dispositions à prendre pour la transplantation d’une espèce végétale située dans les emprises du projet, l’Ail rose (Allium roseum). Les modalités de recueil, de stockage et de réimplantation des bulbes ont fait l’objet d’un protocole soumis pour approbation au Conservatoire Botanique National Sud Atlantique et à la DREAL Aquitaine en septembre 2012. Celui-ci intègre également des éléments de description et de gestion de la zone d’accueil ainsi qu’une méthode de suivi pour mesurer l’efficacité de l’opération de transplantation des pieds d’Ail rose réalisée en 2012 et le maintien des populations situées immédiatement en marge de l’emprise travaux. Ce document présente l’ensemble des données récoltées dans le cadre de la mise en œuvre des suivis sur la parcelle d’accueil des individus d’Ail rose déplacés lors des opérations de transplantation effectuées entre le 1er octobre 2012 et 5 octobre 2012.
Réaliser un état des lieux des maladies de la féverole sur cultures d’hiver et de printemps.
Etudier l’impact de différents facteurs sur la fréquence et la sévérité des maladies observées (itinéraire technique, système de culture, pédoclimat).
Suivi Flore : Odontite de Jaubert - 2016-2018 - CBNBPLISEA
Actualisation des stations d’Odontite de Jaubert (Odontites jaubertianus) en Indre-et-Loire. Bilan des prospections et programme d’actions.
Ce document a été réalisé par le Conservatoire botanique national du Bassin parisien, délégation Centre.
La fritillaire pintade (fritillaria meleagris L.) est une espèce protégée au niveau régional (arrêté du 12 mai 1993 relatif à la liste des espèces végétales protégées en région Centre).
En prévention de la destruction de son habitat dans le cadre de la construction de la LGV SEA, un transfert de fritillaire pintade a été effectué. Celui-ci a conduit à la recherche de sites d'accueil, ce dans l'urgence. L'évaluation de la réussite de ces mesures de réduction d'impact demande un suivi de ces sites.
Dans le cas de cette espèce, l'indicateur, qui nous permettra de suivre son implantation sur le site d'accueil, est le nombre de pieds. Le protocole a été établi en concertation avec toutes les associations de protection de la nature à l'échelle de la ligne.
Ce rapport concerne le site de transfert de Saint-Maure de Touraine (37)
Cette enquête réalisée par TNS Sofres pour Val'hor auprès de 1000 Français habitant dans des communes de plus de 20 000 habitants, porte sur les motivations, les envies de ces jardiniers, de plus en plus nombreux à l’heure où la majorité des Français vivent dans des villes.
Essai d’adaptation de deux variétés de pois inconnu (Vigna unguiculata (L.) W...JhonWadnerKersonPhan
Essai d’adaptation de deux variétés de pois inconnu (Vigna unguiculata (L.) Walp.) sous régime pluvial à Lalouère (4ème section de la commune Saint-Marc)
Afin d'évaluer l’impact de la ligne sur les populations à l'échelle du projet, l e suivi de la répartition du Castor sera assuré à large échelle sur les bassins versants interceptés dans le contexte jugé le plus contraint qu'est leur recolonisation des cours d'eau jusqu'i ci désertés. Il s'agira d'engager un suivi standardisé sur les réseaux hydrographiques du bassin de la Vienne (Vienne, Clain et affluents) dans le département 86.
Le Castor est en phase de « colonisation » du réseau hydrographique du bassin de la Vienne et notamment du sous bassin du Clain. À large échelle, la ligne peut potentiellement devenir un frein à cette colonisation dans le département de la Vienne si les aménagements réalisés n'assuraient pas correctement (en qualité et en quantité) la circulation de cette espèce à travers l'infrastructure.
Les suivis menés en 2018 sur le site du Bocage de Chaunay ont pour objectif de mettre en évidence les conséquences de la gestion menée sur le site pour la compensation des espèces impactées. Les groupes concernés par ces suivis sont les Oiseaux et le Damier de la succise. Le présent rapport fait état des résultats issus de ces suivis.
Suivi Nichoirs à Bergeronnette des ruisseaux - 2018 - PCNLISEA
En 2016, COSEA a sollicité la LPO en Vienne pour prospecter les ouvrages d’arts dans des secteurs de compensation pour la Bergeronnette des ruisseaux, espèce impactée par la construction de la ligne LGV Tours-Bordeaux.
Suite à ce travail de repérage 17 nichoirs ont pu être installés sur 10 ouvrages disposés en 2017 sur les cours d’eau de la Vonne, de la Longère et du Palais (Figure 1). Depuis 2018, la société LISEA intervient dans le maintien de ce suivi sur le long terme afin de répondre aux objectifs d’ évaluation de la plus value de la pose des nichoirs.
Il s’agit ici de la première année de suivi des nichoirs depuis leur pose. En parallèle du suivi des nichoirs, des points d’observations ont été placés le long de ces cours d’eau afin d’estimer le nombre de couples de Bergeronnette des ruisseaux dans la zone d’étude.
Les objectifs du suivi consistent à évaluer le succes de franchissement des ouvrages en évaluant la richesse spécifique (nombre d’espèces) et intra-spécifique (nombre d’individus) au niveau des ouvrages, et de mettre en évidence d’éventuels flux de migration pour les amphibiens.
Les hypothèses de travail sont les suivantes :
- Les passages petites faune prévus tout au long de la ligne permettront la traversée des individus de part et d'autre de la ligne
- Les ouvrages permettront de préserver des axes de migration (potentiels) transversaux à la ligne.
Ce suivi 2018 vient compléter les deux années précédentes de suivi.
En 2017 et en 2018, un suivi des gîtes à chiroptères a été réalisé. L’objectif de ce suivi est de vérifier l'efficacité de la création de gîtes artificiels dans les ouvrages d'art en évaluant le taux de colonisation par les chauves-souris des ouvrages aménagés en leur faveur et de suivre l’évolution de l’occupation des gîtes à différentes périodes de l’année. Ce suivi est basé sur l’identification des espèces présentes et le comptage des individus à intervalles réguliers sur une année complète.
Le suivi et l’analyse qui en découle visent également les objectifs suivants :
- distinguer s’il existe des différences d’utilisation suivant le type d’ouvrages mais également suivant le type de gîte.
- identifier et quantifier les différentes espèces présentes au sein de ces ouvrages et des gîtes ainsi que le type d’occupation (transit, mise bas...).
Les gîtes à chiroptères posés au niveau des ouvrages hydrauliques constituent des zones de haltes artificielles non négligeables pour le transit, voire la parturition (mise bas) des chiroptères. Les hypothèses de travail sont les suivantes :
- La pose de gîtes à chiroptères au niveau des ouvrages hydrauliques renforce leur potentiel d'accueil ;
- Le passage de la LGV sur l'ouvrage n'est pas un frein à l'occupation des gîtes par les chiroptères ;
- La fréquentation des ouvrages et des gîtes varie en fonction des typologies d'ouvrage et de gîte.
Afin de répondre aux objectifs fixés, un protocole spécifique a été élaboré et mis en place à l’échelle de 3 départements impactés par la ligne SEA : La Vienne, la Charente et la Charente maritime. L’année 2017 constitue la première année de ce suivi, qui constitue également l’année de mise en service de la ligne.
L’objectif du suivi paysager est, à l’échelle du projet, de s’assurer de l’efficacité des mesures retenues et d’évaluer les impacts résiduels réels sur l’environnement. D’une manière plus large, il a pour vocation d’améliorer la connaissance et d’assurer un retour d’expérience pour améliorer la prise en compte du paysage dans les projets d’infrastructures à venir.
L’outil mis en place pour le suivi paysager est un observatoire photographique portant sur environ 300 stations réparties sur les 12 sites.
En 2018, un an après la mise en service de la ligne, 5 campagnes photographiques ont déjà été effectuées :
3 en période de végétation et 2 en période hivernale (automne 2013, hiver 2013/2014, hiver 2015 printemps/été 2016, printemps/été 2018). La plupart des prestations environnementales et paysagères sont terminées.
Depuis 2017, la portion ferroviaire entre Tours et Bordeaux compte 340 km de lignes nouvelles. Ce projet a eu un impact sur la faune, la flore ou l’écoulement des eaux de pluie. Après avoir entrepris toutes les évolutions de tracé pour éviter les impacts majeurs, le projet a muté pour atténuer les impacts négatifs du tracé. Les impacts résiduels ont fait l’objet de mesures compensatoires. A ce titre, COSEA/LISEA a entrepris, le long du tracé, le creusement de plusieurs mares à vocation d’attractivité, de substitution ou de compensation. Cette mission a été confiée par COSEA au Conservatoire d’espaces naturels d’Aquitaine (CEN Aquitaine). Ainsi, quatre mares ont été réalisées en 2016, auxquelles s’ajoute la restauration d’une mare, sur la base des prescriptions techniques du CEN, et de deux supplémentaires creusées en 2017 qui sont venues grossir les effectifs.
Les mares font l’objet de suivi durant les trois premières années suivant leur création.
Ainsi cette année, le CEN Aquitaine a été missionné sur 7 mares pour mener les suivis de ces milieux conformément au protocole de suivi rédigé collégialement par l’ensemble des associations de protection de la nature travaillant à la mise en oeuvre des suivis écologiques sur la LGV SEA. Les quatre mares créées puis suivies en 2013 et 2014 ne sont plus intégrées aux suivis respectivement jusqu’en 2021 et 2022.
Le présent document fait le bilan du suivi 2018. Il a pour vocation d’évaluer la fonctionnalité des sites, d’apporter des éléments correctifs à la gestion des mares et à l’amélioration du suivi, ainsi que d’effectuer un retour d’expérience sur les mesures compensatoires.
Ce suivi vise à évaluer la colonisation et la fonctionnalité de ces mares créées. L'objectif principal est d'attester de l'efficience de ces entités pour les espèces à compenser.
Pour effectuer le suivi de la colonisation des mares, trois groupes taxonomiques sont étudiés : les amphibiens, les odonates et la flore, ce conformément au protocole transmis aux services de l'Etat pour validation.
Dans le cadre de la mise en oeuvre des actions de suivis des mesures de réduction liées à la réalisation de la Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique (LGV SEA), LISEA a missionné le Conservatoire d’espaces naturels d’Aquitaine (CEN Aquitaine) pour mener le suivi de la transplantation des pieds d’Ail rose (Allium roseum L.) sur la parcelle de transplantation de la commune de Cubzac-les-Ponts.
Ce suivi fait suite aux dispositions de transplantation de l’espèce située sur les emprises de la ligne.
Les modalités de recueil, de stockage et de réimplantation des bulbes ont fait l’objet d’un protocole soumis pour approbation au Conservatoire Botanique National Sud Atlantique (CBNSA) et à la Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement d’Aquitaine (DREAL Aquitaine) en septembre 2012. Ce protocole intègre également des éléments de description et de gestion de la zone d’accueil, ainsi qu’une méthode de suivi pour mesurer l’efficacité de l’opération de transplantation des pieds d’Ail rose réalisée en 2012. Des préconisations pour le maintien des populations situées immédiatement en marge de l’emprise travaux ayant fait l’objet d’une mesure d’évitement sont édictées.
Ce document fait suite à un suivi engagé par BIOTOPE en 2013 et par le CEN Aquitaine entre 2014 et 2017.
Ce projet, proposé dans le cadre du Contrat Territorial Vienne Aval, a pour objectif d’améliorer nos connaissances sur la répartition de l’espèce dans la Vienne (action A1.2 du PNA Grande Mulette) et notamment de rechercher de nouvelles stations abritant des individus vivants de cet invertébré qui est l’un des plus menacés au monde. Les prospections débutées en 2015 ont été menées sur la Vienne, en portant un effort plus important sur les secteurs localisés en aval de Châtellerault (Vienne Nature, 2015, 2016 et 2017). Ce rapport présente les résultats des inventaires menés sur la Vienne en 2018.
Le site d'étude "Prairies de Vouharte" a été acquis par le Conservatoire Régional d'Espaces Naturels du Poitou-Charentes dans le cadre des mesures compensatoires de la construction de la LGV SEA.
A l'heure de la mise ne place des mesures de gestion conservatoire, une série de suivis a été lancée sur les prairies humides et les ripisylves afin d'évaluer l'impact de la gestion proposée.
Le travail de suivi mené en 2017 par Charente Nature a concerné l'évaluation des habitats naturels de prairies humides et des ripisylves ainsi que le suivi de plusieurs taxons :
- suivi de la végétation des habitats naturels humides ouverts,
- suivi des Rhopalocères des prairies humides,
- suivi des communautés d'Orthoptères des prairies humides,
- suivi des oiseaux,
- suivi de la végétation des ripisylves,
- suivi des mammifères semai-aquatiques,
- suivi des odonates.
Ce rapport présente donc l'état des lieux des suivis réalisés en 2017.
Suivi IPR Veude de Poncay - 2018 - Fédération de pêche 37LISEA
Dans le cadre des mesures compensatoires, la Fédération d’Indre et Loire pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique a diagnostiqué différents linéaires de la Veude de Poncay. Après validation des services de l’Etat, un projet de restauration de la morphologie et de la continuité écologique de ce cours d’eau a été retenu. Les travaux ont eu lieu de septembre à octobre 2017.
C'est dans ce cadre que la fédération de pêche d’Indre-et-Loire a réalisé la pêche électrique du 12 septembre 2018 dont fait état ce rapport. Elle correspond à l'année N+1 après travaux.
Le présent rapport fait état des résultats de l’indice IPR (Indice Poisson Rivière) et de l’évolution par rapport à la pêche « avant travaux » réalisées en août 2017.
Le présent suivi vise à étudier les populations existantes de Busards Saint-Martin, de Fauvettes Pitchou et d'Engoulevents d’Europe, sur plusieurs secteurs le long de la LGV SEA et d’évaluer l’influence potentielle de la Ligne à Grande Vitesse SEA Tours-Bordeaux sur les populations nicheuses de ces espèces (répartition, densité, réussite de reproduction) à court, moyen et long terme.
Ce dossier porte sur le suivi d'une population d'agrion de Mercure impactée par le tracé de la LGV SEA réalisé en 2017. Cette espèce possède des caractéristiques éconologiques qui font d'elle un bon indicateur de la transparence des ouvrages et de la continuité écologique des corridors aquatiques et des habitats humides alluviaux. Cette analyse est basée sur un protocole de capture/marquage/recapture qui permet de modéliser les déplacements des individus et de caractériser le fonctionnement de la population.
La Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique de 340 kilomètres de long traverse 4 bassins versants (l’Indre, la Vienne, la Charente et la Dordogne) incluant chacun de nombreux cours d’eau, des zones humides ou encore des nappes d’eau souterraine.
Les bassins versants sont des entités hydrologiques cohérentes dans lesquels tous les écoulements des eaux convergent vers un même point, exutoire de ce bassin.
Les ressources en eau d’un bassin versant peuvent être soumises à de fortes pressions anthropiques (usages domestiques, agricoles, industriels, etc.) qui peuvent dégrader sa qualité et porter atteinte aux milieux aquatiques.
Potentiellement, la construction d’une infrastructure de transport comme la LGV SEA peut elle aussi avoir de nombreux impacts sur les ressources en eau aussi bien pendant la phase de travaux (2012-2016) que pendant la phase d’exploitation (à partir de 2017).
Afin d’évaluer ces impacts, des suivis des différentes ressources en eau sont nécessaires ; ils portent aussi bien sur des aspects quantitatifs que qualitatifs.
La Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique de 340 kilomètres de long traverse 4 bassins versants (l’Indre, la Vienne, la Charente et la Dordogne) incluant chacun de nombreux cours d’eau, des zones humides ou encore des nappes d’eau souterraine.
Les bassins versants sont des entités hydrologiques cohérentes dans lesquels tous les écoulements des eaux convergent vers un même point, exutoire de ce bassin.
Les ressources en eau d’un bassin versant peuvent être soumises à de fortes pressions anthropiques (usages domestiques, agricoles, industriels, etc.) qui peuvent dégrader sa qualité et porter atteinte aux milieux aquatiques.
Potentiellement, la construction d’une infrastructure de transport comme la LGV SEA peut elle aussi avoir de nombreux impacts sur les ressources en eau aussi bien pendant la phase de travaux (2012-2016) que pendant la phase d’exploitation (à partir de 2017).
Afin d’évaluer ces impacts, des suivis des différentes ressources en eau sont nécessaires ; ils portent aussi bien sur des aspects quantitatifs que qualitatifs.
La Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique de 340 kilomètres de long traverse 4 bassins versants (l’Indre, la Vienne, la Charente et la Dordogne) incluant chacun de nombreux cours d’eau, des zones humides ou encore des nappes d’eau souterraine.
Les bassins versants sont des entités hydrologiques cohérentes dans lesquels tous les écoulements des eaux convergent vers un même point, exutoire de ce bassin.
Les ressources en eau d’un bassin versant peuvent être soumises à de fortes pressions anthropiques (usages domestiques, agricoles, industriels, etc.) qui peuvent dégrader sa qualité et porter atteinte aux milieux aquatiques.
Potentiellement, la construction d’une infrastructure de transport comme la LGV SEA peut elle aussi avoir de nombreux impacts sur les ressources en eau aussi bien pendant la phase de travaux (2012-2016) que pendant la phase d’exploitation (à partir de 2017).
Afin d’évaluer ces impacts, des suivis des différentes ressources en eau sont nécessaires ; ils portent aussi bien sur des aspects quantitatifs que qualitatifs.
La Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique de 340 kilomètres de long traverse 4 bassins versants (l’Indre, la Vienne, la Charente et la Dordogne) incluant chacun de nombreux cours d’eau, des zones humides ou encore des nappes d’eau souterraine.
Les bassins versants sont des entités hydrologiques cohérentes dans lesquels tous les écoulements des eaux convergent vers un même point, exutoire de ce bassin.
Les ressources en eau d’un bassin versant peuvent être soumises à de fortes pressions anthropiques (usages domestiques, agricoles, industriels, etc.) qui peuvent dégrader sa qualité et porter atteinte aux milieux aquatiques.
Potentiellement, la construction d’une infrastructure de transport comme la LGV SEA peut elle aussi avoir de nombreux impacts sur les ressources en eau aussi bien pendant la phase de travaux (2012-2016) que pendant la phase d’exploitation (à partir de 2017).
Afin d’évaluer ces impacts, des suivis des différentes ressources en eau sont nécessaires ; ils portent aussi bien sur des aspects quantitatifs que qualitatifs.
Afin d'évaluer l’impact de la ligne sur les populations à l'échelle du projet, l e suivi de la répartition du Castor sera assuré à large échelle sur les bassins versants interceptés dans le contexte jugé le plus contraint qu'est leur recolonisation des cours d'eau jusqu'i ci désertés. Il s'agira d'engager un suivi standardisé sur les réseaux hydrographiques du bassin de la Vienne (Vienne, Clain et affluents) dans le département 86.
Le Castor est en phase de « colonisation » du réseau hydrographique du bassin de la Vienne et notamment du sous bassin du Clain. À large échelle, la ligne peut potentiellement devenir un frein à cette colonisation dans le département de la Vienne si les aménagements réalisés n'assuraient pas correctement (en qualité et en quantité) la circulation de cette espèce à travers l'infrastructure.
Les suivis menés en 2018 sur le site du Bocage de Chaunay ont pour objectif de mettre en évidence les conséquences de la gestion menée sur le site pour la compensation des espèces impactées. Les groupes concernés par ces suivis sont les Oiseaux et le Damier de la succise. Le présent rapport fait état des résultats issus de ces suivis.
Suivi Nichoirs à Bergeronnette des ruisseaux - 2018 - PCNLISEA
En 2016, COSEA a sollicité la LPO en Vienne pour prospecter les ouvrages d’arts dans des secteurs de compensation pour la Bergeronnette des ruisseaux, espèce impactée par la construction de la ligne LGV Tours-Bordeaux.
Suite à ce travail de repérage 17 nichoirs ont pu être installés sur 10 ouvrages disposés en 2017 sur les cours d’eau de la Vonne, de la Longère et du Palais (Figure 1). Depuis 2018, la société LISEA intervient dans le maintien de ce suivi sur le long terme afin de répondre aux objectifs d’ évaluation de la plus value de la pose des nichoirs.
Il s’agit ici de la première année de suivi des nichoirs depuis leur pose. En parallèle du suivi des nichoirs, des points d’observations ont été placés le long de ces cours d’eau afin d’estimer le nombre de couples de Bergeronnette des ruisseaux dans la zone d’étude.
Les objectifs du suivi consistent à évaluer le succes de franchissement des ouvrages en évaluant la richesse spécifique (nombre d’espèces) et intra-spécifique (nombre d’individus) au niveau des ouvrages, et de mettre en évidence d’éventuels flux de migration pour les amphibiens.
Les hypothèses de travail sont les suivantes :
- Les passages petites faune prévus tout au long de la ligne permettront la traversée des individus de part et d'autre de la ligne
- Les ouvrages permettront de préserver des axes de migration (potentiels) transversaux à la ligne.
Ce suivi 2018 vient compléter les deux années précédentes de suivi.
En 2017 et en 2018, un suivi des gîtes à chiroptères a été réalisé. L’objectif de ce suivi est de vérifier l'efficacité de la création de gîtes artificiels dans les ouvrages d'art en évaluant le taux de colonisation par les chauves-souris des ouvrages aménagés en leur faveur et de suivre l’évolution de l’occupation des gîtes à différentes périodes de l’année. Ce suivi est basé sur l’identification des espèces présentes et le comptage des individus à intervalles réguliers sur une année complète.
Le suivi et l’analyse qui en découle visent également les objectifs suivants :
- distinguer s’il existe des différences d’utilisation suivant le type d’ouvrages mais également suivant le type de gîte.
- identifier et quantifier les différentes espèces présentes au sein de ces ouvrages et des gîtes ainsi que le type d’occupation (transit, mise bas...).
Les gîtes à chiroptères posés au niveau des ouvrages hydrauliques constituent des zones de haltes artificielles non négligeables pour le transit, voire la parturition (mise bas) des chiroptères. Les hypothèses de travail sont les suivantes :
- La pose de gîtes à chiroptères au niveau des ouvrages hydrauliques renforce leur potentiel d'accueil ;
- Le passage de la LGV sur l'ouvrage n'est pas un frein à l'occupation des gîtes par les chiroptères ;
- La fréquentation des ouvrages et des gîtes varie en fonction des typologies d'ouvrage et de gîte.
Afin de répondre aux objectifs fixés, un protocole spécifique a été élaboré et mis en place à l’échelle de 3 départements impactés par la ligne SEA : La Vienne, la Charente et la Charente maritime. L’année 2017 constitue la première année de ce suivi, qui constitue également l’année de mise en service de la ligne.
L’objectif du suivi paysager est, à l’échelle du projet, de s’assurer de l’efficacité des mesures retenues et d’évaluer les impacts résiduels réels sur l’environnement. D’une manière plus large, il a pour vocation d’améliorer la connaissance et d’assurer un retour d’expérience pour améliorer la prise en compte du paysage dans les projets d’infrastructures à venir.
L’outil mis en place pour le suivi paysager est un observatoire photographique portant sur environ 300 stations réparties sur les 12 sites.
En 2018, un an après la mise en service de la ligne, 5 campagnes photographiques ont déjà été effectuées :
3 en période de végétation et 2 en période hivernale (automne 2013, hiver 2013/2014, hiver 2015 printemps/été 2016, printemps/été 2018). La plupart des prestations environnementales et paysagères sont terminées.
Depuis 2017, la portion ferroviaire entre Tours et Bordeaux compte 340 km de lignes nouvelles. Ce projet a eu un impact sur la faune, la flore ou l’écoulement des eaux de pluie. Après avoir entrepris toutes les évolutions de tracé pour éviter les impacts majeurs, le projet a muté pour atténuer les impacts négatifs du tracé. Les impacts résiduels ont fait l’objet de mesures compensatoires. A ce titre, COSEA/LISEA a entrepris, le long du tracé, le creusement de plusieurs mares à vocation d’attractivité, de substitution ou de compensation. Cette mission a été confiée par COSEA au Conservatoire d’espaces naturels d’Aquitaine (CEN Aquitaine). Ainsi, quatre mares ont été réalisées en 2016, auxquelles s’ajoute la restauration d’une mare, sur la base des prescriptions techniques du CEN, et de deux supplémentaires creusées en 2017 qui sont venues grossir les effectifs.
Les mares font l’objet de suivi durant les trois premières années suivant leur création.
Ainsi cette année, le CEN Aquitaine a été missionné sur 7 mares pour mener les suivis de ces milieux conformément au protocole de suivi rédigé collégialement par l’ensemble des associations de protection de la nature travaillant à la mise en oeuvre des suivis écologiques sur la LGV SEA. Les quatre mares créées puis suivies en 2013 et 2014 ne sont plus intégrées aux suivis respectivement jusqu’en 2021 et 2022.
Le présent document fait le bilan du suivi 2018. Il a pour vocation d’évaluer la fonctionnalité des sites, d’apporter des éléments correctifs à la gestion des mares et à l’amélioration du suivi, ainsi que d’effectuer un retour d’expérience sur les mesures compensatoires.
Ce suivi vise à évaluer la colonisation et la fonctionnalité de ces mares créées. L'objectif principal est d'attester de l'efficience de ces entités pour les espèces à compenser.
Pour effectuer le suivi de la colonisation des mares, trois groupes taxonomiques sont étudiés : les amphibiens, les odonates et la flore, ce conformément au protocole transmis aux services de l'Etat pour validation.
Dans le cadre de la mise en oeuvre des actions de suivis des mesures de réduction liées à la réalisation de la Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique (LGV SEA), LISEA a missionné le Conservatoire d’espaces naturels d’Aquitaine (CEN Aquitaine) pour mener le suivi de la transplantation des pieds d’Ail rose (Allium roseum L.) sur la parcelle de transplantation de la commune de Cubzac-les-Ponts.
Ce suivi fait suite aux dispositions de transplantation de l’espèce située sur les emprises de la ligne.
Les modalités de recueil, de stockage et de réimplantation des bulbes ont fait l’objet d’un protocole soumis pour approbation au Conservatoire Botanique National Sud Atlantique (CBNSA) et à la Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement d’Aquitaine (DREAL Aquitaine) en septembre 2012. Ce protocole intègre également des éléments de description et de gestion de la zone d’accueil, ainsi qu’une méthode de suivi pour mesurer l’efficacité de l’opération de transplantation des pieds d’Ail rose réalisée en 2012. Des préconisations pour le maintien des populations situées immédiatement en marge de l’emprise travaux ayant fait l’objet d’une mesure d’évitement sont édictées.
Ce document fait suite à un suivi engagé par BIOTOPE en 2013 et par le CEN Aquitaine entre 2014 et 2017.
Ce projet, proposé dans le cadre du Contrat Territorial Vienne Aval, a pour objectif d’améliorer nos connaissances sur la répartition de l’espèce dans la Vienne (action A1.2 du PNA Grande Mulette) et notamment de rechercher de nouvelles stations abritant des individus vivants de cet invertébré qui est l’un des plus menacés au monde. Les prospections débutées en 2015 ont été menées sur la Vienne, en portant un effort plus important sur les secteurs localisés en aval de Châtellerault (Vienne Nature, 2015, 2016 et 2017). Ce rapport présente les résultats des inventaires menés sur la Vienne en 2018.
Le site d'étude "Prairies de Vouharte" a été acquis par le Conservatoire Régional d'Espaces Naturels du Poitou-Charentes dans le cadre des mesures compensatoires de la construction de la LGV SEA.
A l'heure de la mise ne place des mesures de gestion conservatoire, une série de suivis a été lancée sur les prairies humides et les ripisylves afin d'évaluer l'impact de la gestion proposée.
Le travail de suivi mené en 2017 par Charente Nature a concerné l'évaluation des habitats naturels de prairies humides et des ripisylves ainsi que le suivi de plusieurs taxons :
- suivi de la végétation des habitats naturels humides ouverts,
- suivi des Rhopalocères des prairies humides,
- suivi des communautés d'Orthoptères des prairies humides,
- suivi des oiseaux,
- suivi de la végétation des ripisylves,
- suivi des mammifères semai-aquatiques,
- suivi des odonates.
Ce rapport présente donc l'état des lieux des suivis réalisés en 2017.
Suivi IPR Veude de Poncay - 2018 - Fédération de pêche 37LISEA
Dans le cadre des mesures compensatoires, la Fédération d’Indre et Loire pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique a diagnostiqué différents linéaires de la Veude de Poncay. Après validation des services de l’Etat, un projet de restauration de la morphologie et de la continuité écologique de ce cours d’eau a été retenu. Les travaux ont eu lieu de septembre à octobre 2017.
C'est dans ce cadre que la fédération de pêche d’Indre-et-Loire a réalisé la pêche électrique du 12 septembre 2018 dont fait état ce rapport. Elle correspond à l'année N+1 après travaux.
Le présent rapport fait état des résultats de l’indice IPR (Indice Poisson Rivière) et de l’évolution par rapport à la pêche « avant travaux » réalisées en août 2017.
Le présent suivi vise à étudier les populations existantes de Busards Saint-Martin, de Fauvettes Pitchou et d'Engoulevents d’Europe, sur plusieurs secteurs le long de la LGV SEA et d’évaluer l’influence potentielle de la Ligne à Grande Vitesse SEA Tours-Bordeaux sur les populations nicheuses de ces espèces (répartition, densité, réussite de reproduction) à court, moyen et long terme.
Ce dossier porte sur le suivi d'une population d'agrion de Mercure impactée par le tracé de la LGV SEA réalisé en 2017. Cette espèce possède des caractéristiques éconologiques qui font d'elle un bon indicateur de la transparence des ouvrages et de la continuité écologique des corridors aquatiques et des habitats humides alluviaux. Cette analyse est basée sur un protocole de capture/marquage/recapture qui permet de modéliser les déplacements des individus et de caractériser le fonctionnement de la population.
La Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique de 340 kilomètres de long traverse 4 bassins versants (l’Indre, la Vienne, la Charente et la Dordogne) incluant chacun de nombreux cours d’eau, des zones humides ou encore des nappes d’eau souterraine.
Les bassins versants sont des entités hydrologiques cohérentes dans lesquels tous les écoulements des eaux convergent vers un même point, exutoire de ce bassin.
Les ressources en eau d’un bassin versant peuvent être soumises à de fortes pressions anthropiques (usages domestiques, agricoles, industriels, etc.) qui peuvent dégrader sa qualité et porter atteinte aux milieux aquatiques.
Potentiellement, la construction d’une infrastructure de transport comme la LGV SEA peut elle aussi avoir de nombreux impacts sur les ressources en eau aussi bien pendant la phase de travaux (2012-2016) que pendant la phase d’exploitation (à partir de 2017).
Afin d’évaluer ces impacts, des suivis des différentes ressources en eau sont nécessaires ; ils portent aussi bien sur des aspects quantitatifs que qualitatifs.
La Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique de 340 kilomètres de long traverse 4 bassins versants (l’Indre, la Vienne, la Charente et la Dordogne) incluant chacun de nombreux cours d’eau, des zones humides ou encore des nappes d’eau souterraine.
Les bassins versants sont des entités hydrologiques cohérentes dans lesquels tous les écoulements des eaux convergent vers un même point, exutoire de ce bassin.
Les ressources en eau d’un bassin versant peuvent être soumises à de fortes pressions anthropiques (usages domestiques, agricoles, industriels, etc.) qui peuvent dégrader sa qualité et porter atteinte aux milieux aquatiques.
Potentiellement, la construction d’une infrastructure de transport comme la LGV SEA peut elle aussi avoir de nombreux impacts sur les ressources en eau aussi bien pendant la phase de travaux (2012-2016) que pendant la phase d’exploitation (à partir de 2017).
Afin d’évaluer ces impacts, des suivis des différentes ressources en eau sont nécessaires ; ils portent aussi bien sur des aspects quantitatifs que qualitatifs.
La Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique de 340 kilomètres de long traverse 4 bassins versants (l’Indre, la Vienne, la Charente et la Dordogne) incluant chacun de nombreux cours d’eau, des zones humides ou encore des nappes d’eau souterraine.
Les bassins versants sont des entités hydrologiques cohérentes dans lesquels tous les écoulements des eaux convergent vers un même point, exutoire de ce bassin.
Les ressources en eau d’un bassin versant peuvent être soumises à de fortes pressions anthropiques (usages domestiques, agricoles, industriels, etc.) qui peuvent dégrader sa qualité et porter atteinte aux milieux aquatiques.
Potentiellement, la construction d’une infrastructure de transport comme la LGV SEA peut elle aussi avoir de nombreux impacts sur les ressources en eau aussi bien pendant la phase de travaux (2012-2016) que pendant la phase d’exploitation (à partir de 2017).
Afin d’évaluer ces impacts, des suivis des différentes ressources en eau sont nécessaires ; ils portent aussi bien sur des aspects quantitatifs que qualitatifs.
La Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique de 340 kilomètres de long traverse 4 bassins versants (l’Indre, la Vienne, la Charente et la Dordogne) incluant chacun de nombreux cours d’eau, des zones humides ou encore des nappes d’eau souterraine.
Les bassins versants sont des entités hydrologiques cohérentes dans lesquels tous les écoulements des eaux convergent vers un même point, exutoire de ce bassin.
Les ressources en eau d’un bassin versant peuvent être soumises à de fortes pressions anthropiques (usages domestiques, agricoles, industriels, etc.) qui peuvent dégrader sa qualité et porter atteinte aux milieux aquatiques.
Potentiellement, la construction d’une infrastructure de transport comme la LGV SEA peut elle aussi avoir de nombreux impacts sur les ressources en eau aussi bien pendant la phase de travaux (2012-2016) que pendant la phase d’exploitation (à partir de 2017).
Afin d’évaluer ces impacts, des suivis des différentes ressources en eau sont nécessaires ; ils portent aussi bien sur des aspects quantitatifs que qualitatifs.
1. 14 rue Jean Moulin
86240 Fontaine-le-Comte
05 49 88 99 23
pc.nature@laposte.net
LGV SEA TOURS-BORDEAUX
Transplantation de la Fritillaire
pintade
Suivi année N+2, Marigny-Chemereau, Viaduc de La
Vonne
2.
3. Transplantation de la Fritillaire pintade, Marigny-Chemereau – 12 mai 2014
Vienne Nature 1
Transplantation de la Fritillaire pintade
Suivi année N+2
Marigny-Chemereau, Viaduc de la Vonne
Type de rapport :
Bilan de suivi
Lieu de l’intervention Commune Date
Viaduc de la Vonne, PK 114+600, Lot 6 Marigny-Chemereau (86) 17/04/2014
Association intervenante
Vienne Nature
Responsable expert Autre(s) intervenant(s)
David OLLIVIER /
Coordinateur PCN Destinataires LISEA / COSEA Date de transmission
Ludivine DELAMARE
Thierry Charlemagne
Delphine QUINTARD
Amandine SZURPICKI
David BECART
V1 le 14/05/2014
V2 le 04/06/2014
4. Transplantation de la Fritillaire pintade, Marigny-Chemereau – 12 mai 2014
2 Vienne Nature
Sommaire
1. Contexte.............................................................................................................. 3
2. Suivi de la transplantation................................................................................... 4
2.1. Méthode ...................................................................................................................... 4
2.2. Résultats ..................................................................................................................... 6
2.3. Discussion ................................................................................................................... 6
3. Suivi du semis ..................................................................................................... 7
3.1. Méthode ...................................................................................................................... 7
3.2. Résultats ..................................................................................................................... 7
3.3. Discussion ................................................................................................................... 8
4. Conclusion / Bilan ............................................................................................... 9
Bibliographie ............................................................................................................ 10
5. Transplantation de la Fritillaire pintade, Marigny-Chemereau – 12 mai 2014
Vienne Nature 3
Transplantation Fritillaire pintade
Suivi année N+2, Viaduc de la Vonne, Marigny-Chemereau
1. Contexte
La Fritillaire pintade est une espèce liste rouge régionale de la flore rare et
menacée de Poitou-Charentes et est protégée dans les régions voisines.
À la demande de LISEA-COSEA et dans le cadre des mesures de réduction
d’impacts, Vienne Nature a réalisé en 2012 l’accompagnement des opérations de
transplantation des pieds de Fritillaria meleagris L. mises en œuvre par COSEA au
niveau des prairies humides et de l’ancienne peupleraie au lieu-dit ‘les Prairies du
Moulin Neuf’ à Marigny-Chemereau et assure le suivi de l’efficacité de ces
opérations.
La première année de suivi s’est déroulée en 2013. Le présent document fait
référence à la seconde année de suivi, à savoir 2014.
Carte 1 : Localisation de la transplantation de Fritillaria meleagris L. à Marigny-Chemereau (86)
Photo 1: Fleur de
Fritillaire pintade (Vallée
de la Vonne, C. Dentz)
6. Transplantation de la Fritillaire pintade, Marigny-Chemereau – 12 mai 2014
4 Vienne Nature
2. Suivi de la transplantation
2.1. Méthode
Une visite de terrain a été réalisée le 17 avril 2014, dès obtention des autorisations par LISEA/COSEA pour un
démarrage du suivi.
L’objectif de cette visite était de retrouver les placettes de transplantation à l’aide d’un GPS et d’un décamètre
(à partir des coordonnées géographiques et des mesures de triangulation relevées en 2012 et 2013, cf.
Tableaux 1 et 2) et de compter le nombre de pieds de Fritillaire ayant réussi à se développer à partir des bulbes
transplantés.
Tableau 1: Localisation des placettes d’accueil des pieds transplantés (rayon 1,5 à 2 mètres)
Placette Longitude Latitude
Nombre de pieds
transplantés
Placette 1 E0°12'20,9 N46°25'21,0 15
Placette 2 E0°12'20,7 N46°25'21,0 15
Placette 3 E0°12'20,3 N46°25'20,9 21
Placette 4 E0°12'20,1 N46°25'20,9 21
Placette 5 E0°12'20,0 N46°25'21,0 18
Placette 6 E0°12'19,7 N46°25'21,2 13
Total 103
Tableau 2: Mesures utiles à la triangulation
Point A Placette 1 Placette 2 Placette 3 Placette 4 Placette 5 Placette 6
Point A 0 36 m 31,60 m 25,90 m 22,70 m 18,90 m 13,90 m
Point B 16,70 m 36 m 29,30 m 23,50 m 18,30 m 15,50 m 18,40 m
7. Transplantation de la Fritillaire pintade, Marigny-Chemereau – 12 mai 2014
Vienne Nature 5
Photo 2: Localisation des points de triangulation au nord des placettes
Point A
Point B
Point A Point B
8. Transplantation de la Fritillaire pintade, Marigny-Chemereau – 12 mai 2014
6 Vienne Nature
2.2. Résultats
Les résultats obtenus sont présentés dans le tableau 3 ci-dessous :
Tableau 3 : Comptage des pieds transplantés au sein des placettes d’accueil (rayon 1,5 à 2 mètres) en
2014
N°
Placette
Nb de
points de
transplantation
% de
recouvrement
de la
végétation
Nb de
points
retrouvés
Nb trous
avec
Fritillaire
(% de
réussite)
Nb de
pieds
feuillés
Nb de
pieds
feuillés
broutés
Nb de
pieds
fleuris
Nb de
pieds
en fleur
broutés
Nb de
pieds
en
fruit
Nb total
de pied
1 15 100% 1 0 (0%) 0 0 0 0 0 0
2 15 100% 1 0 (0%) 0 0 0 0 0 0
3 21 100% 4 0 (0%) 0 0 0 0 0 0
4 21 100% 0 0 (0%) 0 0 0 0 0 0
5 18 100% 0 0 (0%) 0 0 0 0 0 0
6 13 100% 0 0 (0%) 0 0 0 0 0 0
Total
103
(soit minimum
206 bulbes)
- 0 (0%) 0 0 0 0 0 0
0 0 0 0
6 points de transplantation ont été retrouvés sur 103 points de transplantation, au sein de 3 placettes
différentes (soit 6% des points retrouvés).
L’effort de prospection a été d’environ 30 minutes par placette et malgré une fouille méthodique de la
végétation, aucun pied de Fritillaire n’a été détecté (en 2013, 62 points de transplantation avaient été retrouvés
et tous présentaient un développement de Fritillaire).
2.3. Discussion
Plusieurs hypothèses peuvent être proposées pour expliquer les résultats obtenus:
- Hypothèse 1 : La date de passage sur le terrain est trop tardive et est à l’origine d’une très faible
détectabilité des pieds végétatifs ou des pieds fortement broutés par des animaux ;
- Hypothèse 2 : La végétation exubérante et couvrante, n’a pas permis à la Fritillaire de se développer et
de fructifier cette année;
- Hypothèse 3 : Les méthodes de transplantation utilisées ne sont pas adaptées et aucun pied n’a
survécu.
Dans tous les cas, même si on ne pas exclure que quelques pieds végétatifs aient pu échapper à l’expertise, il
est incontestable que la Fritillaire pintade n’a pas fleurie cette année ou a fleuri, s’est fait brouter et n’a pas pu
fructifier.
Un taux d’abroutissement des pieds de Fritillaire (plus de 50 %) avait déjà été signalé l’année dernière lors du
suivi.
Il est à noter que la Fritillaire a eu un développement normal au sein d'autres sites dans le département de la
Vienne cette année et était visible en fruit au sein de prairies inondables à la même période. Ces fruits
persistent et sont visibles secs, au moins jusqu'au mois de juin. On peut remarquer par ailleurs que lorsqu'elle
9. Transplantation de la Fritillaire pintade, Marigny-Chemereau – 12 mai 2014
Vienne Nature 7
est dominée par une strate arbustive dense et occultante (vis-à-vis de la lumière), la Fritillaire bloque son
développement et n'est présente que sous forme végétative.
La poursuite de cette étude les prochaines années permettra de confirmer ou d’infirmer certaines hypothèses.
Il est impératif, pour le suivi qui sera réalisé en 2015, que le passage se fasse en début de
floraison afin de s’affranchir de la disparition des pieds par abroutissement (hypothèse 1), soit
à partir de début mars.
La mise en œuvre d’une gestion par fauche et débroussaillage de cet espace, qui tend à se
fermer par le développement de la végétation herbacée et arbustive abondante, est également
à prévoir et permettra de vérifier l’hypothèse 2.
3. Suivi du semis
3.1. Méthode
Le semis des graines a été réalisé le 20 septembre 2012 par une journée ensoleillée (temps sec) au sein d’un
carré de de 4x4 mètres (Position GPS E0°12'20,5 ; N46°25'21,1). La densité du semis est d’environ 120
graines/m².
Le suivi de ce carré a consisté en la réalisation d’un relevé phytosociologique afin de décrire le type et la
structure de la végétation spontanée.
3.2. Résultats
Aucune germination, ni plantule, ni jeune pied de Fritillaire n’a été détecté lors de notre passage le 17/04/2014.
Cette placette présentait lors de notre passage un taux de recouvrement de la végétation de 100%.
La liste des espèces recensées et leur coefficient d’abondance sont présentés dans le tableau ci-dessous :
Tableau 4 : Liste des espèces recensées sur la placette à semis
Année de suivi 2013 2014
Placette 4x4 4x4
Taux de recouvrement
de la strate herbacée
90% 100%
Strate Nom scientifique Nom commun
Cotation
abond./soc.
Cotation
abond./soc
%
recouvrement
2014
H Agrostis stolonifera L. Agrostide stolonifère +
H Alopecurus pratensis L. Vulpin des prés + +
H Arctium lappa L. Bardane commune + +
H Arctium minus (Hill) Bernh. Petite Bardane +
H
Capsella bursa-pastoris (L.)
Medik.
Capselle bourse-à-pasteur +
H Cardamine hirsuta L. Cardamine hérissée + +
H Cardamine impatiens L. Cardamine impatiente +
H Cirsium arvense (L.) Scop. Cirse des champs +
10. Transplantation de la Fritillaire pintade, Marigny-Chemereau – 12 mai 2014
8 Vienne Nature
Année de suivi 2013 2014
Placette 4x4 4x4
Taux de recouvrement
de la strate herbacée
90% 100%
Strate Nom scientifique Nom commun
Cotation
abond./soc.
Cotation
abond./soc
%
recouvrement
2014
H Cirsium vulgare (Savi) Ten. Cirse commun 11 +
H Dactylis glomerata L. Dactyle aggloméré 11
H Dipsacus fullonum L. Cabaret-des-oiseaux + +
H
Epilobium tetragonum L. subsp.
tetragonum
Épilobe à quatre angles +
H Fraxinus excelsior L. Frêne élevé +
H Galium aparine L. Gaillet gratteron +
H Geranium columbinum L. Géranium colombin +
H Holcus lanatus L. Houlque laineuse +
H Iris pseudacorus L. Iris des marais +
H Lapsana communis L. Lapsane commune +
H Medicago arabica (L.) Huds. Luzerne tachée +
H Picris hieracioides L. Picride fausse épervière +
H Plantago major L. Grand Plantain +
H Poa trivialis L. Pâturin commun + +
H Ranunculus ficaria L. Renoncule ficaire 31 +
H Ranunculus repens L. Renoncule rampante 11 55 75%<<100%
H
Rubus sec. Fruticosii (Wimm. et
Grab.) Godr. s. sec. Sylvatici
Ronce des bois (section) +
H Rumex acetosa L. Oseille des prés +
H Rumex conglomeratus Murray Oseille agglomérée +
H Rumex obtusifolius L. Patience sauvage 11 5%< <10%
H
Scrophularia auriculata Loefl. ex
L.
Scrofulaire aquatique +
H Scutellaria galericulata L. Scutellaire à casque +
H Senecio vulgaris L. Séneçon commun +
H Sonchus asper (L.) Hill Laiteron piquant +
H Trifolium pratense L. Trèfle commun +
H Urtica dioica L. Ortie dioïque + +
3.3. Discussion
L’analyse des relevés ci-dessus nous indique tout d’abord que la végétation a complétement refermé le milieu,
mais également que des espèces fréquentes l’année dernière ne le sont plus cette année. Elles ont laissé la
place à la Renoncule rampante qui occupe quasiment tous l’espace. On note également l’arrivée de ronces et
de Frêne qui sont annonciateurs d’une fermeture du milieu par la strate arbustive, bientôt suivie de la strate
arborée.
11. Transplantation de la Fritillaire pintade, Marigny-Chemereau – 12 mai 2014
Vienne Nature 9
4. Conclusion / Bilan
Les résultats du suivi de la transplantation et des semis de Fritillaire pintade au niveau de la Vonne sont
décevants cette année puisqu’aucun pied n’a été détecté.
L’année prochaine le suivi devra être réalisé en début de floraison afin de vérifier
les différentes hypothèses pouvant expliquer ce mauvais résultat.
Un entretien régulier de l’espace de transplantation doit avoir lieu, sans quoi le
milieu va progressivement se boiser et ne plus être favorable à l’installation de la
Fritillaire pintade.
12. Transplantation de la Fritillaire pintade, Marigny-Chemereau – 12 mai 2014
10 Vienne Nature
Bibliographie
BOURNERIAS M., ARNAL G. & BOCK C., 2001. Guide des groupements végétaux de la région parisienne.
(Ed. : BELIN). Paris, 640p.
LAMBINON J., DELVOSALLE L., DUVIGNAUD J. et all., 2004. Nouvelle flore de Belgique, du Grand-
Duché de Luxembourg, du Nord de la France et des régions voisines. (Ptéridophytes et Spermaphytes)
Cinquième Edition. (Ed. : Jardin botanique national de Belgique). Meise. 1167 p.
VIENNE NATURE, 2009. Inventaire de la Fritillaire pintade (Fritillaria meleagris ssp. meleagris) dans le
département de la Vienne – Bilan année 2007-2009. Vienne Nature, Poitiers, 72 p.
VIENNE NATURE, 2012. Note technique. Mise en défens. Station de Fritillaria meleagris L. Prairie du
Moulin Neuf, Marigny-Chémereau (86). Vienne Nature, Fontaine-le-Comte, 10 p.
VIENNE NATURE, 2012. Compte-rendu. Mise en défens. Station de Fritillaria meleagris L. Prairie du
Moulin Neuf, Marigny-Chémereau (86). Vienne Nature, Fontaine-le-Comte, 14 p.
VIENNE NATURE, 2013. Transplantation de la Fritillaire. Suivi année N+1, Marigny-Chémereau, Viaduc de
la Vonne. Vienne Nature, Fontaine-le-Comte, 10 p.