Réaliser un état des lieux des maladies de la féverole sur cultures d’hiver et de printemps.
Etudier l’impact de différents facteurs sur la fréquence et la sévérité des maladies observées (itinéraire technique, système de culture, pédoclimat).
Flavescenza dorata e gestione collettiva del territorio. Esperienza della Bor...Millevigne
François-Michel Bernard, Institut Français de la Vigne et du Vin (IFV).
F.M. Bernard è coordinatore del comitato scientifico europeo Winetwork sulla Flavescenza dorata e vive e opera in Borgogna. La sua testimonianza evidenzia come la gestione collettiva condivisa tra i viticoltori abbia potuto tenere a freno e far regredire la diffusione della malattia in una delle più celebri regioni viticole del mondo.
Relazione presentata il 21 Ottobre 2016 a Moncalvo nel workshop "Flavescenza Dorata e gestione del territorio: ruolo dell'associazionismo e delle pubbliche amministrazioni" organizzato da Società Italiana di Viticoltura ed Enologia, nell'ambito del progetto europeo WINETWORK.
Améliorer la connaissance sur l’écologie des taupins et leur nuisibilité sur culture de maïs.
Identifier et hiérarchiser les facteurs déterminant les niveaux d’infestation.
Comprendre la relation entre niveaux d’infestation et nuisibilité sur maïs.
Développer des stratégies innovantes pour la maîtrise des dégâts.
Tomates: le rapport de l'ANSES sur le nouveau virusGuyon Jacky
un nouveau virus particulièrement dangereux menace certains légumes et notamment les très populaires tomates aussi bien en culture professionnelle que particulières. L'ANSES (agence de sécurité alimentaire) lance une sérieuse mise en garde.
Voici son rapport complet sur ce virus.
Flavescenza dorata e gestione collettiva del territorio. Esperienza della Bor...Millevigne
François-Michel Bernard, Institut Français de la Vigne et du Vin (IFV).
F.M. Bernard è coordinatore del comitato scientifico europeo Winetwork sulla Flavescenza dorata e vive e opera in Borgogna. La sua testimonianza evidenzia come la gestione collettiva condivisa tra i viticoltori abbia potuto tenere a freno e far regredire la diffusione della malattia in una delle più celebri regioni viticole del mondo.
Relazione presentata il 21 Ottobre 2016 a Moncalvo nel workshop "Flavescenza Dorata e gestione del territorio: ruolo dell'associazionismo e delle pubbliche amministrazioni" organizzato da Società Italiana di Viticoltura ed Enologia, nell'ambito del progetto europeo WINETWORK.
Améliorer la connaissance sur l’écologie des taupins et leur nuisibilité sur culture de maïs.
Identifier et hiérarchiser les facteurs déterminant les niveaux d’infestation.
Comprendre la relation entre niveaux d’infestation et nuisibilité sur maïs.
Développer des stratégies innovantes pour la maîtrise des dégâts.
Tomates: le rapport de l'ANSES sur le nouveau virusGuyon Jacky
un nouveau virus particulièrement dangereux menace certains légumes et notamment les très populaires tomates aussi bien en culture professionnelle que particulières. L'ANSES (agence de sécurité alimentaire) lance une sérieuse mise en garde.
Voici son rapport complet sur ce virus.
La Fritillaire pintade est une espèce liste rouge régionale de la flore rare et menacée de Poitou-Charentes et est protégée dans les régions voisines.
À la demande de LISEA-COSEA et dans le cadre des mesures de réduction d’impacts, Vienne Nature a réalisé en 2012 l’accompagnement des opérations de transplantation des pieds de Fritillaria meleagris L. mises en oeuvre par COSEA au niveau des prairies humides et de l’ancienne peupleraie au lieu-dit ‘les Prairies du Moulin Neuf’ à Marigny-Chemereau et assure le suivi de l’efficacité de ces opérations.
La première année de suivi s’est déroulée en 2013. Le présent document fait référence à la seconde année de suivi, à savoir 2014.
La maladie occasionnée par le microcoque de Morel est encore assez peu connue notamment en caprin. Au regard des observations rapportés dans le cadre de l'Observatoire des Maladies Caprines, il semble que son incidence ait augmenté de manière récente dans le bassin de production Poitou-Charentes. Les éleveurs concernés sont démunis en l'absence de recommandations précises aussi bien en termes de mesures préventives que curatives. Une étude pilotée par l'OMACAP a donc été mise en place pour commencer à estimer la prévalence de la maladie et décrire les aspects épidémiologiques et cliniques. Un suivi plus approfondi dans un élevage a permis de suivre l'évolution de la maladie et d'observer l'intérêt des mesures de parage des abcès mises en place. L'intervention réalisée par Nicolas Ehrhardt dans le cadre d'un webinaire coanimé par l'UMT Pilotage de la Santé des Ruminants et l'OMACAP permet de revenir sur les différents résultats obtenus
Publications de l'Unité de Recherche INRA Agroécologie de Dijon. Communiqués de presse, poster, liste des publications. Cellule d'ingénierie des connaissances et d'assistance à la publication scientifique (CICAP).
Oz et Pumagri sont des robots testés ou développés par les Chambres d'agriculture pour désherber mécaniquement les cultures et réduire la pénabilité.
Intervenant / Structure : Frédéric Gauhtier Chambres d'agriculture
"L’Evo Cleaner, fabriqué par la société Suédoise Envirologic, est un robot de lavage connecté qui fonctionne en mode «par apprentissage». Bien
programmé, il pourra laver jusqu’à 95 % d’une salle (plafond compris). Moyennement programmé, il lavera tout de même au moins 70 %."
Intervenant / Structure : Yannick HERVÉ RV BIOTECH
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La première année de suivi s’est déroulée en 2013. Le présent document fait référence à la seconde année de suivi, à savoir 2014.
La maladie occasionnée par le microcoque de Morel est encore assez peu connue notamment en caprin. Au regard des observations rapportés dans le cadre de l'Observatoire des Maladies Caprines, il semble que son incidence ait augmenté de manière récente dans le bassin de production Poitou-Charentes. Les éleveurs concernés sont démunis en l'absence de recommandations précises aussi bien en termes de mesures préventives que curatives. Une étude pilotée par l'OMACAP a donc été mise en place pour commencer à estimer la prévalence de la maladie et décrire les aspects épidémiologiques et cliniques. Un suivi plus approfondi dans un élevage a permis de suivre l'évolution de la maladie et d'observer l'intérêt des mesures de parage des abcès mises en place. L'intervention réalisée par Nicolas Ehrhardt dans le cadre d'un webinaire coanimé par l'UMT Pilotage de la Santé des Ruminants et l'OMACAP permet de revenir sur les différents résultats obtenus
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Intervenant / Structure : Frédéric Gauhtier Chambres d'agriculture
"L’Evo Cleaner, fabriqué par la société Suédoise Envirologic, est un robot de lavage connecté qui fonctionne en mode «par apprentissage». Bien
programmé, il pourra laver jusqu’à 95 % d’une salle (plafond compris). Moyennement programmé, il lavera tout de même au moins 70 %."
Intervenant / Structure : Yannick HERVÉ RV BIOTECH
Le Peek enregistre des images et vidéos des animaux, et est équipé de capteurs : température, hygrométrie, pression atmosphérique, CO2, NH3, vitesse d’air, luminosité. Ces données de capteurs sont
transmises en permanence sur la plateforme de Copeeks pour élaborer des synthèses enrichies de l’exploitation. Un système de notification permet d’alerter des dépassements de seuil.
Les contenus multimedia permettent de garder un oeil à distance
Intervenant/Structure : Julie Champion COPEEK
"Par analyse d’images, le smart Tracking permet de géolocaliser les porcs en temps réel dans leurs
parcs. Il est ainsi possible d’analyser le comportement des porcs : calculer la distance parcourue par chacun, déterminer leur vitesse de déplacement, mesurer le temps passé à se nourrir, à dormir et déclencher une alerte quand des signes avant-coureurs de problèmes
(agressions, maladies, blessures…) ont été détectés."
Intervenant/Structure :Yannick HERVÉ RV BIOTECH
La traite est une activité majeure en élevage laitier et elle est source de questionnement. Elle constitue l’astreinte prioritaire et a un impact sur la santé du trayeur, la santé des animaux, et l’économie de l’exploitation. Son automatisation totale est possible et réalisée depuis de nombreuses années. Cela n’est pas sans conséquence sur l’organisation du travail, la pression mentale liée au fonctionnement continu, sur les coûts de fonctionnement et la possibilité de maintenir une part de pâturage importante.
Intervenant/Structure : Sébatien Guiocheau Chambres d'agriculture
Le Pig’insight est un concept regroupant plusieurs automates commercialisé par la société Asserva. Co-developpé avec l’Ifip, le premier objectif est de rendre possible la détection précoce de pathologie. Le concept est basé sur l’enregistrement des comportements individuels d’abreuvement et d’alimentation des porcelets, en plus de leur poids.
Intervenant/Structure : Michel Marcon - IFIP
Avec l’émergence de l’agriculture de précision, un certain nombre de techniques sont déjà devenues accessibles. Par exemple, le GPS-RTK qui équipe les tracteurs est de plus en plus courant. Cependant, pour
passer vers une autonomie totale des équipements, des verrous techniques existent encore : comme la gestion de la sécurité en environnement ouvert.
Intervenant/Structure : Frédéric Gauthier Chambres d'agriculture
"Le numérique n’est pas en reste dans le projet de ce jeune éleveur. Comptage de l’eau et de l’aliment, pesage automatique des volailles, températures, hygrométrie, dioxyde de carbone, sont autant d’indicateurs qu’il faut prendre en compte dans le pilotage d’un tel élevage. Un gros travail d’analyse statistique des données issues des capteurs reste à faire pour faire progresser la filière et cette révolution numérique devrait permettre de mettre au point de nouveaux outils prédictifs.
Intervenant/Structure : Jeremy Choquet ELEVEUR
"Les évolutions en cours sur la station de Crécom vont dans le sens de collecter un maximum de données sur les animaux et les bâtiments . Cet objectif repose sur
l’identification individuelle de tous les animaux pour générerdes fichiers de performance sindividuelles en lien avec les équipements connectés. L’installation de logiciels de supervision permet également de piloter finement les bâtiments. L’accès permanent aux données est possible depuis des smartphones. "
Intervenant/Structure : Frédéric Kergourlay Chambres d'agriculture
Applifarm est une plateforme permettant la collecte, l’organisation et l’exploitation des données agricoles. Applifarm a souhaité proposer une plateforme de traçabilité dédiée au bien-être anima. Elle permet de simplifier la mise en oeuvre des projets consacrés au bien-être animal, de numériser les audits terrain qui peuvent êtreautoalimentés par les données de fournisseurs de service ou d’objets connectés, de suivre l’avancement des audits, de piloter des plans de progrès ou des tableaux de bord.
Intervenant/Structure : Emmanuel Etesse APPLIFARM
En maitrisant toute la chaine de valeur (du capteur à l’éleveur), Tuffigo Rapidex a développé tout un panel de services sécurisés à destination de l’éleveur et de ses partenaires. Permettant d’accéder aux données, l’éleveur dispose d’un tableau de bord disponible sur smartphone ou ordinateur lui permettant de suivre en temps réel plusieurs paramètres clés de son élevage : mesures d’ambiance, stock d’aliment, consommations (aliment, eau, gaz, électricité) et poids des animaux. L’éleveur peut aussi piloter à distance ses bâtiments et envoyer des instructions aux ordinateurs.
Intervenant/Structure : Philippe ROSLAGADEC TUFFIGO RAPIDEX
ALAMO est une Gateway IoT (Internet of Things pour objetsconnectés), une passerelle, un concentrateur multi-protocole radio, évolutive, en d’autres termes une centrale de raccordement pourtous les équipements connectés de l’exploitation quelle quesoit la marque.
Intervenant/Structure : Christophe Le Gouestre - Euro Process
Passionné par le numérique et les objets connectés, Olivier PENN s’est équipé de différents capteurs et systèmes de surveillance des cultures, afin de réduire les intrants et optimiser les rendements sur des sols hétérogènes. Ces divers équipements ont un coût, qui est couvert par la réduction d’intrants de synthèse. Cette agro technologie sert à l’environnement, améliore le confort en réduisant le temps de travail, et donc à la multi-performance de l’entreprise.
Intervenant/Structure : Olivier Penn -AGRICULTEUR
"L’identification des boucles électroniques fait partie des instruments de
modernisation de l’élevage : automatisation, fiabilisation, sécurité et
rapidité des prises de données, gestion d’un individu, etc."
Intervenant/Structure : Rémi Monnet – ALLFLEX Livestock Intelligence
Le projet Kemtag a débuté lors d’une rencontre avec la FRCUMA et des responsables de CUMA. Pour répondre au besoin du terrain, la société Kemtag a décidé de concevoir un système complet de suivi d’activité des outils agricoles.
Intervenant/ Structure : David Vandenberghe KEMTAG
Le choix des capteurs par un même intervenant pourra répondre à différents besoins pour : un contrôle ponctuel ou un enregistrement en continu ; un seul bâtiment ou mobilisable sur plusieurs sites d’élevage et le pilotage ou une vérification règlementaire. Une bonne définition des besoins conditionnera la bonne valorisation des données collectées
Intervenant / structure : Paul Robin et Melinda Hassouna INRA
En s'inscrivant dans l'agriculture de précision, les agriculteurs abordent l'approche systémique de l'exploitation. Où en sommes-nous sur l'acquisition des données #IOT, sur le stockage #BIGDATA et l'utilisation de l'intelligence artificielle #IA.
Intervenant / structure: Xavier l'hostis ADVENTIEL
Le maraîchage se caractérise par la production d’une gamme importante de légumes sur une petite surface de production et est en général basé sur un mode de commercialisation en circuits courts.
Les maraîchers étant au contact direct des consommateurs sont très régulièrement ques-tionnés sur leurs pratiques phytosanitaires. Ils souhaitent pour la plupart réduire l’usage des produits de traitement pour répondre à cette demande sociétale ainsi qu’aux enjeux environne-mentaux et de santé dont ils ont pleinement conscience.
S’engager dans des projets de 3 ans pour modifier ou consolider les pratiques et viser à la fois des objectifs économiques, environnementaux et sociaux.
Utiliser le groupe et les échanges entre agriculteurs comme source d’innovations, de solutions et de progrès.
Travailler sur une thématique prioritaire et chercher les solutions adaptées aux contraintes et objectifs des exploitations.
S’enrichir d’apports extérieurs et diffuser les résultats du groupes le plus largement possible.
Concevoir, expérimenter et évaluer des systèmes de vergers agroécologiques visant la double performance économique et environne-mentale.
Réduire les fongicides qui représentent la part la plus importante des traitements.
L’équipe du projet BeBoP a proposé un webinaire le 30 mai 2024 pour découvrir comment la technologie vidéo, combinée à l’intelligence artificielle, se met au service de l’analyse du comportement des taurillons.
Quelles rotations dans les systèmes caprins de Nouvelle-Aquitaine et Pays de ...
Observatoire des maladies de la feverole
1. Colloque Vers des systèmes de culture agroécologiques, 29 novembre 2018
Organisé par les Chambres d’agriculture de Bretagne
0
20
40
60
80
100
0 20 40 60 80
Sévéritéenpost-
floraison(%)
Sévérité de botrytis en sortie hiver (%)
Groupe 3
Objectifs
Réaliser un état des lieux des maladies de la féverole sur cultures d’hiver et de printemps.
Etudier l’impact de différents facteurs sur la fréquence et la sévérité des maladies observées (itinéraire technique, système de culture, pédoclimat).
Observatoire des maladies de la féverole
en Bretagne - Pays de Loire
Brier C.1,3, Baranger A.2,3 et Moussart A.1,3
1 Terres Inovia, Avenue Lucien Bretignières, 78850 Thiverval Grignon
2 UMR IGEPP, INRA, Agrocampus Ouest, Université Rennes1, 35650 Le Rheu, France
3 UMT PISOM, Terres Inovia-INRA, 35650 Le Rheu, France
Méthodologie
3 années de suivi terrain. Au total :
- 47 parcelles de féverole d'hiver en culture pure conventionnelle,
- 36 parcelles de féverole d'hiver en association biologique avec des céréales,
- 13 parcelles de féverole de printemps en culture pure conventionnelle.
Deux visites sur parcelles (avant et après floraison)
- Notations maladies (incidence et sévérité).
- Caractéristiques du couvert.
Données sur les itinéraires techniques, les historiques…
- Questionnaire aux agriculteurs.
Féverole d’hiver
Culture pure
conventionnelle
Féverole
d’hiver
Association
biologique
Féverole de
printemps
Culture pure
conventionnelle
2015 2016 2018 2015 2016 2016 2018
Botrytis
Botrytis fabae
Fréquence
Incidence
Sévérité
Rouille
Uromyces fabae
Fréquence
Incidence
Sévérité
Mildiou
Peronospora viciae
Fréquence
Incidence
Sévérité
Ascochytose
Ascochyta fabae
Fréquence
Incidence
Sévérité
Résultats
Etat des lieux des maladies
Tableau I. Fréquence d’observation des maladies sur le réseau en post-floraison (% de
parcelles), Incidence de maladie moyenne sur parcelle (% plantes malades) et sévérité
(% de surface nécrosée) associées [n 0-24%, n 25-49%, n 50-74%, n ≥75]
Figure 1. Réseau parcellaire 2015, 2016 et 2018 Féverole d’hiver, Féverole de printemps,
m culture pure conventionnelle, r association biologique
0
20
40
60
80
8/10 28/10 17/11 7/12 27/12
Surfacenécrosée(%)
Date de semis
Figure 3. Effet de la date de semis sur la sévérité de botrytis
observée en sortie hiver. Féverole en association biologique,
Féverole en culture pure conventionnelle, | Début de
période préconisée pour le semis
0
1/2
1
Temperatur
es (somme
>880°C)
Jours doux (
>70)
Jours
pluvieux
(>5)
Jours gris
(>62)0
1/5
2/5
3/5
4/5
1
Temperatur
es (somme
>880°C)
Jours doux (
>70)
Jours
pluvieux
(>5)
Jours gris
(>62)0
1/2
1
res
(somme
>880°C)
Jours doux
( >70)
Jours
pluvieux
Jours gris
(>62)
0
10
20
30
40
Groupe 1 Groupe 2 Groupe 3
pl.m²
a
ab
b
Figure 5. Sévérité du botrytis en post-floraison en fonction de la
sévérité en sortie hiver
Figure 6. Densité moyenne du couvert pour
chaque groupe de sévérité (ANOVA, α=5%)
Figure 4. Fréquence d'années à risque (dépassant le seuil) pour 4 facteurs climatiques
Période de semis préconisée
4 périodes levée-sortie hiver ± longues
4 dates de levée estimées* à partir de 4 dates de
semis différentes
Fréquence de dépassement de ces seuils sur 20 ans
Seuil de risque** estimé pour 4 facteurs climatiques
Analyse du climat moyen enregistré pour ces 4
périodes sur 20 ans
*estimation de la levée : date de semis + 260°J
** risque d’observer une sévérité forte (>10%) en sortie hiver
Conclusions
Trois maladies fréquentes : botrytis, rouille et mildiou.
Botrytis : particulièrement nuisible sur féverole d’hiver.
Botrytis/féverole d’hiver : facteurs de risque
- culture en zone Nord-Ouest (climat plus favorable),
- semis antérieur à la période préconisée,
- densité de couvert supérieure à 25 plantes/m².
Semis antérieur à la période préconisée : risque élevé
La zone Nord-Ouest enregistre les fréquences d’années à risque les plus importantes pour les 4 facteurs climatiques considérés.
Risque élevé lorsque la densité de couvert est supérieure à 25 pl.m²
Trois maladies principales :
botrytis, rouille et mildiou.
Botrytis particulièrement nuisible sur
féverole d’hiver
→ facteurs explicatifs recherchés
pour cette maladie
0
5
10
15
20
25
30
35
40
45
50
≤40% (n=6) ]40-60] (n=10) >60 (n=7)
Rendement(q/ha)
Sévérité botrytis post-floraison (%)
Figure 2. Rendements en fonction de la sévérité du
botrytis en post-floraison (ANOVA, α=5%)
Résultats botrytis – féverole d’hiver : facteurs climatiques et risque en sortie hiver
Résultats botrytis – féverole d’hiver
Facteurs de risque en post-floraison en culture pure conventionnelle
Résultats botrytis – féverole d’hiver
Date de semis et risque en sortie hiver
Groupe
2
Groupe 1
a
ab
b