1. 3 Le Mag JHM du Dimanche13 juillet 2014
S ommaireommaire
La citation du dimancheLa citation du dimancheLa citation du dimanche
A lire cette semaine...A lire cette semaine...A lire cette semaine...
4- Solidarité
Vaccination
à Madagascar
DIRECTEUR DE PUBLICATION - Le Journal de la Haute-Marne - Jean BLETNER
8- Passion
Des souvenirs
et des bus
12- Automobile
Une Fiat
grand large
14- Il y a dix ans
en Haute-Marne
16- Dans ma
bibliothèque
Le coup de coeur de Gil
19- Coin de table
Ma menthe sous toutes
ses formes
20- A la carte
en Haute-Marne
27- Multimedia
Saints Row IV
8
Dans votre MAG cette semaine... Entre deux
contemporaines lectures du magazine numé-
rique JHM +, Guide du chineur en poche, petits
et grands auront l’occasion de s’imprégner des
charmes d’autrefois dans le cadre de l’animation
estivale Chinez chez nous ! lancée par le Jour-
nal de la Haute-Marne. Chaque semaine, nos
experts vous proposeront de dénicher à moindre
coût un objet trônant au beau milieu des étals et
allées des vide-greniers et brocantes organisés
dans le département. Manifestement habités du
patriotisme économique cher à Arnaud Monte-
bourg, nos experts vous proposent cette semaine
de dénicher un objet Made in France datant des
fifties et sixties. A vous de jouer !
A mille lieues des charmes d’une Haute-Marne
abondante, Caroline Crépin vous transporte à
Madagascar. Prisée de nombreux touristes, cette
île souffre de mille maux comme en témoigne
une espérance de vie plafonnant à 64 ans.
Chaque année, des centaines de milliers de nou-
veaux nés, enfants et adolescents décèdent pré-
maturément faute de soins appropriés. A l’image
du docteur Mélin, des hommes et des femmes
apportent soutien et expertise à une population
démunie. Des centaines de Haut-Marnais patien-
teront aux Urgences ce dimanche. Des centaines
de Malgaches décèderont sans avoir avoir eu
accès au moindre soin...
Particulièrement exposés aux maladies cardio-
vasculaires et douleurs dorsales, les chauffeurs
des Autobus langrois auront au fil des décennies
profité d’une juste prise en charge. Passionné,
Pascal Louet conserve précieusement les souve-
nirs d’une épopée familiale. Des dizaines de mil-
liers de Haut-Marnais auront découvert France
et autres terres installés dans PCK 7 D Faurax
et Chaussende et autocars d’un autre temps.
Les estivants du nouveau siècle préfèrent le
confort moderne d’une Fiat 500 de beau gaba-
rit. Les glaçons de menthe fraîche sont à bonne
température, GIL médaille Field et Victor est
au chevet de vos jardins... Tutto va bene. Bon
dimanche !
Thomas Bougueliane
Chinez chez nous ! Chez vous !
L’amour, c’est comme la brocante. C’est dans la
remise qu’on fait les meilleures affaires.
Simon Berryer, alias Sim
18 - Chinez chez nous
Le jeu estival du JHM débute dés aujourd’hui
dans les brocantes et vide-greniers haut-marnais.
2. 4 Le Mag JHM du Dimanche13 juillet 2014
S olidarité
«Les différentes compétences des membres
d’Amsolid tant sur l’éducatif que sur le social et
la santé ont permis de faire évoluer et de mener
à bien ce projet débuté en 2011, explique Chris-
tian Huard, président d’Amsolid Nord. Deux ans
ont été nécessaires pour peaufiner cette cam-
pagne de vaccinations et réfléchir aux finan-
cements possibles. Un voyage en mars 2013 a
permis de mettre en commun le travail des par-
tenaires Nord et Sud. Il a été décidé d’organi-
ser une campagne d’information pour tous les
élèves, ainsi que des Tests rapides d’orientation
diagnostic (TROD) avant de proposer une vac-
cination. Nous avions tous beaucoup de craintes
tant sur l’organisation pratico pratique que sur
le déroulement de cette opération. La crainte
majeure était : combien allions-nous avoir de
résultats positifs chez les enfants et comment
allions-nous gérer cette situation ?» ...
Un projet “hépato épatant”
à Madagascar
Porté par les associations Amsolid Nord et Sud, le projet d’organiser une campagne
de dépistage et de vaccination contre l’hépatite B dans le collège de Antananarivo
de Madagascar, a vu le jour il y a près de deux ans, à l’initiative de l’un des membres,
le Docteur Pascal Mélin, médecin au centre hospitalier de Saint-Dizier.
Cette maladie reste très présente sur l’île rouge.
3. Chacun mobilise alors ses forces, ses compé-
tences. Après la signature d’une convention
avec SOS hépatites, l’équipe s’est consacrée à
la recherche de budget, tout en formant les fu-
turs militants qui allaient faire des TROD une
fois sur place. De nombreux partenaires ont été
contactés, dont les ministères de la Santé et de
l’Education qui, tous deux, ont validé et ratifié
ce projet.
En octobre 2013, toutes les démarches admi-
nistratives sont abouties et le projet peut enfin
entrer dans sa phase concrète : treize membres
de l’association ancervilloise s’envolent vers
l’île de l’océan indien et procèdent aux premiers
tests. «De par le travail de réflexion important
fourni par l’équipe d’Amsolid Sud, les pédago-
gues du collège 67 Ha et par nous mêmes, Amso-
lid nord, le déroulement de l’action a été plus
que positif, constate Christian Huard. Les pro-
positions des uns et des autres ont pu être prises
en considération, permettant à chacun de trou-
ver sa place dans ce projet. La mise en place de
binômes franco-malgache s’est avérée être une
expérience riche pour tous et nécessaire pour
rassurer les enfants mais aussi les adultes que
nous sommes. Plus de 400 jeunes filles de 6e,
5e et 4e ont ainsi pu être dépistées et vaccinées
durant cette campagne.»
Caroline Crépin
Informer, former et dépisterLes enseignants du collège des 67 hectares ont pu, grâce aux données fournies par SOS hépatites
France dont Pascal Mélin est le président, préparer et informer les élèves à cette action. Celui-
ci témoigne : «En entrant dans le collège, nous avons observé des affiches d’information sur
l’importance de l’hygiène dans la lutte contre les infections ainsi
que des affiches créées à partir de nos documents. Mais les élèves
ont également produit leurs propres affiches avec leurs propres mes-
sages et là nous découvrons que, dans les modes de protection cités
contre l’hépatite B, figure l’abstinence !» Devant le faible nombre
de vaccins obtenus (500), l’équipe a décidé de recentrer son action et
de ne faire un test qu’aux filles. Car en cas de test négatif, elles
seront alors accompagnées vers une vaccination immédiate avec
l’assurance de pouvoir ainsi protéger également les futurs bébés
qu’elles porteront. Dans cette décision, il n’y avait pas la de volonté
de sexisme, mais simplement d’optimisation.
5Le Mag JHM du Dimanche13 juillet 2014
Chacun mobilise alors ses forces, ses compé- positions des uns et des autres ont pu être prises
«Une action positive»
«Je sais aujourd’hui que notre message est
vivant et que les enfants le transmettront»,
souligne le Dr Mélin.
Amsolid, la solidarité
au service de l’amitié
L’association Amsolid est une association
bicéphale avec une représentation Nord, en
France et une équipe dans le Sud, à Mada-
gascar. Cette association s’inscrit dans des
projets en lien avec le collège 67 hectares
d’Antananarivo (ou Tana), la capitale, depuis
2007. Initiés en 2004 à la suite d’un premier
envoi, par container, de matériel pédago-
gique et informatique, des échanges entre le
collège malgache et le collège Emilie-Carles
de Ancerville se mettent en place, soutenus
par l’association de parents d’élèves de l’éta-
blissement ancervillois et l’ancien principal,
George Voirnesson. Différents projets ont
été réalisés comme la création et l’ouverture
d’une infirmerie sur le CEG, la réfection des
sanitaires ainsi que le réseau d’assainisse-
ment. En 2010, le collège malgache crée sa
propre association Amsolid 67 hectares pour
renforcer le travail de partenariat.SOS hépatites et Amsolid volent au secours
d’une génération sacrifiée face à l’hépatite.
4. 6 Le Mag JHM du Dimanche13 juillet 2014
S olidarité
Le collège 67 hectares
«SOS hépatites ne se contentera plus de dénon-
cer, maintenant nous agirons, avec nos faibles
moyens, mais nous agirons», clame le docteur
Mélin. Depuis toujours SOS hépatites réclame
la vaccination universelle contre l’hépatite B
dans tous les pays et ce dès la naissance. Pour
le gouvernement malgache, la priorité sanitaire
reste la lutte contre le paludisme qui est toujours
présent en 2013. Lors de l’appel de Madagascar
(il y a deux ans), l’état des lieux avait montré
que même dans les pays où la vaccination contre
l’hépatite B était réalisée, elle intervenait le plus
souvent à six mois et donc trop tard par rapport
à l’exposition des nourrissons et à leur risque
de contamination par leur mère, si ces dernières
étaient infectées. Avec 0,3 % de la population
infectée par le VIH, Madagascar se situe dans
la fourchette basse des pays africains, pour au-
tant de nombreuses actions sont menées via les
ONG.
Mais qui parle des 10 à 20 % de la population
infectée par le virus de l’hépatite B et des mil-
liers de morts silencieux ? «Je rêve d’une stèle à
leur mémoire», souligne le docteur Mélin.
Une population frappée de plein fouet
Madagascar est une île intéressante d’un point de vue épidémiologique : les conditions socio-
économiques se sont dégradées depuis quelques années, 45 % de la population a moins de 15 ans
et l’on estime à 2,3 millions la proportion de personnes infectées par
l’hépatite B sur 22 millions d’habitants (la population a été multipliée
par 5 en 50 ans mais l’espérance de vie ne dépasse pas 60 ans), avec
une prévalence variant de 5 % à 35 % selon les régions. Pourtant,
l’existence de dispensaires a permis de maintenir un taux de couver-
ture de la vaccination proche de 90 %.Alors qu’en 1992, l’OMS avait
demandé que la vaccination contre l’hépatite B puisse se généraliser
à Madagascar, en 2012, 20 ans après, l’état malgache a recommandé
la vaccination contre l’hépatite B à partir de six semaines mais la gra-
tuité n’est pas de mise. Malheureusement, les moyens n’étant pas au
rendez-vous, bon nombre de nourrissons ne sont pas vaccinés et les
adolescents qui vont entrer en sexualité vont mener leur vie d’adulte
en jouant à la roulette russe avec l’hépatite B ; de plus, les jeunes
femmes qui se contamineront et déclareront une maladie chronique
contamineront probablement leurs enfants.
Le collège 67 hectares de Tana à Madagascar est
un CEG exceptionnel. Il est situé dans un quar-
tier que nous qualifierions de sensible en France.
En 2013-2014, il accueille plus de 1900 enfants
de la 6e à la 3e et son équipe pédagogique a dû
refuser des inscriptions faute de places et de
moyens.
A Madagascar, tous les enfants d’une même
école ont le même tablier et dans la cour
de l’école flotte
le drapeau na-
tional.
Les élèves sont
de 45 à 55 par
classe et la dis-
cipline est par-
ticulièrement de
rigueur.
Pascal Mélin s’étonne : «Lorsque vous entrez
dans une classe, les élèves se lèvent et d’une
même voix déclament : “Bonjour monsieur”.
Ce n’est tellement plus ou pas dans nos habi-
tudes que lorsque vous rentrez dans une telle
classe, vous ne vous rendez pas compte que ce
“bonjour” vous est destiné. Chaque classe est
constituée de bancs en bois, d’un tableau noir,
d’une seule ampoule au plafond sans prise de
courant. De
plus, les élèves
assurent à
tour de rôle
l’entretien des
locaux et des
sanitaires ainsi
que de la cour
principale.»Les affiches informatives, support primordial de la campagne.
Le combat de SOS Hépatites
5. 7Le Mag JHM du Dimanche13 juillet 2014
Quand Pascal Mélin a rencontré les infirmières
locales pour les intégrer au projet, il n’imaginait
pas découvrir qu’elles n’avaient jamais été ni
dépistées, ni vaccinées.
«En France, tous les professionnels de santé
(entre autres) ont l’obligation d’être vaccinés.
Mais ici à Madagascar, cela reste une recom-
mandation, un luxe que bon nombre ne peuvent
se permettre de réaliser, souligne le médecin.
Une dose de vaccin contre l’hépatite B repré-
sente la valeur d’une semaine du travail d’un
ouvrier. Dans le cadre d’un projet de dévelop-
pement durable, il était juste inacceptable d’en-
voyer ces jeunes femmes face à la contamina-
tion possible alors que des vaccins existent.»
L’Eat accepte de vacciner ses nourrissons mais
abandonne ses professionnels de santé les lais-
sant jouer à la roulette russe en prodiguant des
soins de première urgence. Et si, par malheur,
une infirmière se contaminait, n’y aurait-il pas
meilleur vecteur de contamination secondaire
via les soins ? Sans aucune hésitation, l’équipe
humanitaire a pris quelques lots de vaccins pour
protéger les infirmières en leur proposant au pré-
alable de les dépister pour voir si le pire n’était
pas arrivé...
L’opération a commencé par une première ren-
contre entre le Dr Mélin, assisté de Monique,
militante et présidente d’Amsolid sud, et tous les
élèves, classe par classe, permettant une “forma-
tion-information” avec un quiz de sept questions
sur leurs représentations de l’hépatite B, un dia-
porama sur l’épidémie d’hépatite B et une pré-
sentation des TROD. «Nous avions convenu que
je faisais mon intervention en français (que tous
les élèves comprennent) et qu’ensuite Monique
reprenait en malgache, explique Pascal Mélin.
J’ai compris alors rapidement que notre binôme
était une vraie valeur ajoutée et Monique, un
vrai clown qui savait traduire mes propos en
parler vrai avec les enfants qui éclataient tou-
jours de rire en l’écoutant. C’est ainsi qu’elle
expliquait qu’il y avait un premier petit “pic”
pour récupérer trois gouttes de sang et savoir si
le corps hébergeait le virus de l’hépatite B. Puis
il fallait ensuite vacciner ce qu’elle mimait par
pic pic pic. Trois piqûres pour une protection
à vie. Les enfants éclataient de rire devant ce
clown sanitaire qu’ils nommaient madame pic-
pic. Ils repartaient heureux et fiers d’exhiber le
stylo que nous leur avions donné pour remplir
le quiz.»
Au-delà de cette satisfaction immédiate, les
chiffres ont parlé d’eux mêmes. Trois-cent-
quatre-vingt-une filles avaient fourni l’autorisa-
tion parentale soit 61 %. Mais sur les 243 qui
avaient refusé, après quelques diapositives d’ex-
plication et une traduction accessible, 77 chan-
gèrent d’avis (31,3 %). Au final, ce sont 458 col-
légiennes qui ont été vaccinées soit 73,4 %.
La colère du docteur Mélin
Des infirmières ambassadrices
de la vaccination.
Madame pic-pic
Une explication simple sur la rupture
des barrières d’hygiène et l’explication
de la diffusion virale.
Monique, alias
madame Pic Pic.
6. 8Le Mag JHM du Dimanche 10 novembre 2013
P assion
Si la passion se conjugue pour certains avec sport ou activité manuelle,
pour Pascal Louet c’est l’histoire des autobus langrois qui occupe
son temps libre. Quand la passion rejoint l’histoire familiale.
“Des machines et des hommes”
la mémoire des autobus langrois
On pourrait presque dire de lui qu’il est né dans
un bus, tant il a grandi entouré de ces véhi-
cules. Pascal Louet raconte volontiers l’épo-
pée des autobus langrois, car chez les Louet,
les bus sont une affaire de famille depuis 1927.
«Mon grand-père dirigeait une entreprise en
Côte d’Or, puis une opportunité s’est présen-
tée à Langres et nous nous sommes installés
ici en 1967-68», raconte ce dernier. «J’avais
12-13 ans. J’allais trainer avec mon grand-père
pour acheter des cars, plus grand, je brico-
lais. Puis j’ai commencé en étant conducteur à
22 ans et j’ai fait toute ma carrière profession-
nelle dans cette entreprise, en m’occupant plus
du côté technique, avec l’entretien des véhi-
cules», se remémore le Langrois.
Chemin faisant, Pascal s’est peu à peu mis à
collecter les photos et les vieux documents
relatifs à l’histoire de cette entreprise, mêlant
anecdotes familiales. Sur l’une des photos, on
remarque ainsi ses parents qui posent devant
un bus de l’entreprise, lors d’une excursion, et
Pascal est déjà sur la photo, dans le ventre de sa
mère....
Pascal Louet a
accumulé
les documents
à l’image de
cette photo de
chauffeurs des
années 1950
posant devant le
GLA.
7. 9Le Mag JHM du Dimanche13 juillet 2013
A l’aube de la retraite, Pascal envisage d’écrire
un petit opuscule grâce aux documents retrou-
vés. «J’ai une pièce entière avec les archives de
l’entreprise et aussi quelques objets comme des
plaques de véhicules ou des logos de marques»,
souligne le passionné. Les données historiques
côtoient une multitude d’informations tech-
niques. Chaque photo de bus mentionne par
exemple la marque et le type du véhicule, son
numéro de série et son immatriculation. Ces
données sont soigneusement classées par année
dans de précieux classeurs. «Sur cette photo,
on voit un des premiers bus qui est entré dans
le parc de l’entreprise, c’était le 10 septembre
1920. Il était de la marque Berliet, type CBA2,
n° de série 25419, immatriculation 1000N.
C’était un camion de déménagement 4TS qui
suivait les bus pour transporter les bagages.
Il a été réquisitionné le 14 juin 1940», précise
Pascal Louet. ...
Un véritable inventaire
Le garage de 1920 installé, à Langres, dans la cour du Sacré Cœur.
Modèle des années cinquante, le PLB est confortable et performant.
8. 10Le Mag JHM du Dimanche 10 novembre 2013
P assion
La note la plus ancienne mentionnant
des autobus à Langres dans les journaux
date de 1911 ; il s’agit des itinéraires des
lignes. Les statuts de la société “Autobus
langrois”, datent quand à eux de 1919.
Parmi les photos qui retracent son his-
toire, des vues aériennes de la ville, assez
insolites, montrent les bus de l’entreprise
garés sur le rempart derrière l’école du Sa-
cré Cœur... «Jusqu’en 1972, les autobus
étaient garés dans un hangar dans la cour
de l’Ecole, derrière la Cathédrale. C’était
difficile de circuler dans le centre ville ; à
cette époque, la rue Diderot était encore
à double sens», détaille Pascal Louet. Et
quand on demande à Pascal quel véhicule
lui tient le plus à cœur, il répond : «Dans
les anciens, un des plus marquants a été
“La Une”, un Berliet de 1951. C’est avec
lui que l’on a commencé à numéroter les
bus du parc. Et pour les véhicules récents,
je me souviens particulièrement des trois
bus à deux étages que nous avons eu en
1985, ils étaient beaux, c’était le mieux à
l’époque et les seuls dans les environs»,
souligne le professionnel. Et pour sauve-
garder des éléments rares, le passionné
langrois n’a pas hésité à faire don d’un
vieux Setra à une association alsacienne
qui souhaite ouvrir un musée. ...
La note la plus ancienne mentionnant
Sur le rempart
Une photo émouvante avec les parents de Pascal,
lors d’une excursion en bus.
Sa mère était alors enceinte.
1940, ligne Selongey-Dijon, bus PCK 7 D Faurax et Chaussende
doté d’une galerie et d’une remorque à bagages.
Les premiers
bus, dans les
années 1930.
9. 11Le Mag JHM du Dimanche13 juillet 2014
Pascal Louet conserve dans ses classeurs,
des données qui touchent à l’histoire de la
ville. «Dès l’arrivée de l’armée allemande à
Langres, les bâtiments des autobus ont été im-
médiatement occupés, souligne Pascal Louet.
Cette occupation a duré du 15 juin 1940 au
12 septembre 1944. Après le départ de l’occu-
pant, le constat des dommages subis a pu être
réalisé : onze véhicules perdus ou détruits,
il manquait des pneus et des chambres à air,
le stock carburant, une quantité d’outillage
et les bureaux se trouvaient dans un état la-
mentable». Aussi, on apprend grâce au rap-
port d’expertise, les dommages particuliers
engendrés par l’explosion de la poudrière des
Franchises le 12 septembre 1943, qui toucha
les bâtiments et les douze véhicules : toiture
arrachée, véhicules endommagés, plafonds et
cloisons effondrées, cheminées fendues. Tout
un pan de l’histoire locale se met en lumière
dans les phares des autobus langrois.
Angélique Roze
Pascal Louet conserve dans ses classeurs, et les bureaux se trouvaient dans un état la-
La période noire
L’histoire de l’entreprise
ne manque pas d’anecdotes,
à l’image de cet accident
survenu en 1967.
Des centaines
de chauffeurs auront
œuvré au sein
de l’entreprise au cours
des XXe et XXIe siècles.
10. 12 Le Mag JHM du Dimanche13 juillet 2013
A utomobile
ll y a quelques années de cela, une publicité van-
tait les mérites d’un petit biscuit et un enfant dé-
clarait : «Vous ne pouvez pas les faire un peu plus
grands ?» Ce slogan publicitaire n’est pas pour
Fiat. En effet, avec la dernière née de la firme ita-
lienne, Fiat voit grand ! Et, comme l’ont déclaré
unanimement les personnes chargées de vanter
les mérites de la 500L Living : «Elle a tout pour
séduire... large !»
En premier lieu par son gabarit (4,35 m), lui per-
mettant d’accueillir non pas cinq mais sept per-
sonnes ! Plus large de 20 cm que la 500L, elle de-
meure cependant plus courte que les monospaces
compacts concurrents. Entièrement reporté sur le
porte-à-faux arrière, cet allongement autorise la
présence d’une troisième rangée de sièges, dont
l’accès est possible par le coulissement de la
banquette arrière. Unique dans ce segment, cette
configuration sept places est livrée de série, donc
sans supplément de prix.
Pour être honnête, les deux sièges ne peuvent ac-
cueillir que des enfants. Un essai avec un adulte
a été fait, mais il faut être très souple ! Une fois
installer, non sans mal, impossible de bouger les
jambes... si vous pouvez les mettre. «La 500L
Living est avant tout un cinq places, plus deux,
précise Ludovic Fenvarc’h, de Fiat. Ce sont deux
sièges d’appoint.»
L’avantage, c’est que lorsqu’ils ne sont pas uti-
lisés, ils peuvent se replier et disparaître com-
plètement pour former
le plancher du coffre. Le
volume de chargement est
alors supérieur de 100 litres
à celui de la 500L normale,
pour un total de 493 litres.
Pas mal !
Il convient de noter que la
Living est également dispo-
nible en version cinq places
uniquement. Non seule-
ment elle est vendue 700 €
de moins, mais le volume
de coffre (638 litres) est un
record pour la catégorie.
...
Fiat
voit
grand
500L Living :
La famille Fiat ne cesse de s’agrandir. Après la 500L, la baroudeuse Trekking,
voici la petite dernière de la gamme, la 500L Living, qui peut accueillir
jusqu’à sept personnes. Un beau et grand bébé !
Le rabattement de la banquette arrière permet d’accéder
aux deux sièges d’appoint, permettant ainsi à la Living
d’être une “cinq plus deux places”.
11. Le Mag JHM du Dimanche 13 juillet 2014
13
Reprenant l’aménagement intérieur de la 500L,
la version Living “exhibe” des commandes bien
rondes, des fonds de cadrans blancs et des inserts
peints, çà et là, sur la planche de bord. Sympa et
jeune à la fois. Au centre de la planche de bord,
il y a un écran tactile très simple à utiliser. Il
est doté du système UConnect, permettant non
seulement de téléphoner, mais également d’en-
voyer des sms. Disponible en deux niveaux de
finition (Easy et Lounge), la 500L Living pro-
pose un équipement proche de celui de la 500L.
En revanche, la finition Lounge dispose d’une
lunette arrière et de vitres latérales surteintées.
La Fiat 500L Living hérite des mêmes motori-
sations que la 500L, à l’exception du bloc 1,4 l
95 ch essence. Elle se contente de deux moteurs
essence : le bicylindre TwinAir (0,9 l 105 ch) et
le 1,4 l T-Jet 120 ch, également disponible en
bicarburant essence/GPL.
En diesel (motorisation la plus vendue chez
Fiat), la Living donne le choix entre trois blocs
multijet (1,3 l 85 ch ; 1,6 l 105 ch et 120 ch), le
premier pouvant être associé à la boîte robotisée
Dualogic. Il faut noter que, quel que soit le mo-
teur, l’écart de prix avec la 500L (1 400 euros)
demeure inchangé.
Lors de notre essai, nous avons testé la version
diesel 1,6 l 105 ch. La consommation est cor-
recte (environ 5,6 l), sur des routes alternant
voies rapides, virages, montées et descentes.
La tenue de route est impeccable, les reprises
intéressantes, notamment dans les montées et
pour les dépassements. En revanche, le moteur
est relativement bruyant, surtout si on “tire” sur
les rapports... Quoi qu’il en soit, grâce aux mul-
tiples combinaisons de couleurs (huit au total)
et aux différents packs d’options disponibles,
chaque client peut concevoir la 500L Living qui
lui ressemble. Que demander de plus ?
Essai Yves Tainturier
Reprenant l’aménagement intérieur de la 500L,
Une 500L Living
personnalisée
La Fiat 500L Living est la dernière née
de la gamme 500. Ce modèle a été rallongé
de 20 centimètres, à l’arrière.
La planche de bord de la Fiat 500L Living avec ses divers équipements
et ses teintes, est du plus bel effet
12. Dix ans en Haute-Marne
Semaine du 6 au 13 juillet 2004
14 Le Mag JHM du Dimanche13 juillet 2014
Série de feux intentionnels à Chaumont
La nuit du dimanche 4 au lundi 5 juillet 2004 a
été pour le moins agitée dans le quartier Gaga-
rine. En effet, cinq départs de feux intentionnels
ont été constatés dans la nuit et tous sont l’œuvre
d’individus dont l’inconscience n’a d’égale que
l’imbécillité du geste. Fort heureusement, les
dégâts ont été limités par la rapidité d’interven-
tion des pompiers. Tous ces feux se sont produits
dans le même quartier, entre la rue du Patro-
nage- Laïque, le parking de la piscine et la rue
Albert-Camus.
La Haute-Marne marraine du Téméraire
Depuis hier mercredi 7 juillet, la Haute-Marne
est marraine du fleuron de la flotte militaire fran-
çaise : le sous-marin nucléaire Le Téméraire.
Reste à concrétiser les intentions, notamment en
matière d’image, de nouvelles technologies, le
tout en direction de la jeunesse.
Sécheresse : alerte orange
en Haute-Marne
Compte tenu de la situation hydro-climatique,
le préfet a déclaré le niveau d’alerte séche-
resse “orange” sur l’ensemble du département.
L’alerte orange s’applique dès ce vendredi
9 juillet 2004 et jusqu’au 31 octobre. Il pres-
crit un certain nombre d’interdiction des usages
de l’eau. Parmi ceux-ci, sont interdits, de 11 h
à 18 h l’arrosage des pelouses, fleurs, jardins
et espaces sportifs de toute nature appartenant
aux collectivités publiques. Selon les circons-
tances locales, les maires peuvent prendre, si
nécessaire, des arrêtés municipaux prescrivant
d’autres restrictions ou aggravant celles prévues
par l’arrêté préfectoral.
Chiffres trompeurs
pour le festival de l’affiche
Alors que la fréquentation de la manifestation
enregistre une hausse de plus de 5 000 visiteurs,
nombre de commerces ont constaté des retom-
bées économiques moins importantes que l’an
passé pendant la programmation du Festival de
l’affiche.
Le multiplex bragard en avant-première
Sept salles, 1 100 fauteuils, un plus grand
nombre de séances chaque semaine, plus de
films, le projet de multiplex à Saint-Dizier vient
de sortir de l’ombre. Construit autour de la tour
Miko, il devrait être livré fin 2005. Il s’appellera
“Ciné-quai”. Le complexe cinématographique
de Saint-Dizier qui sera situé en face du centre
nautique, sur le site de l’îlot Miko a déjà un nom,
et même un visage. Le projet est bouclé, les sub-
ventions décrochées. Bref, le multiplex est dé-
sormais une réalité.
Un motard décède sur la D 417
dans le sud haut-marnais
Un motard, originaire de Chaumont, s’est tué
vendredi 9 juillet sur la D 417 entre Montigny-
le-Roi et Bourbonne-les-Bains. Dans sa chute, il
a fauché deux motards allemands qui circulaient
en sens inverse. En train de saluer les motards
d’outre-Rhin, le Chaumontais percute la Re-
nault Clio qui roule devant lui. Ce choc le pro-
jette violemment sur le côté gauche de la route.
Son engin fauche les deux derniers motards du
groupe allemand. La collision avec la voiture,
l’une puis l’autre moto est d’une extrême vio-
lence. Le motard chaumontais est projeté dans
les roues d’une Peugeot 309 qui arrivait derrière
le groupe.
Carrefour franco-britannique
de la mémoire à Giey-sur-Aujon
Haut-Marnais et citoyens du Royaume-Uni
étaient réunis dimanche 11 juillet pour rendre
hommage aux cinq aviateurs alliés morts dans
la nuit du 12 au 13 juillet 1944, lors du crash de
leur bombardier à Giey-sur-Aujon. Un rendez-
vous du souvenir exceptionnel par son audience.
13. 15Le Mag JHM du Dimanche 10 novembre 2013
La réclame de la semaine
Sélection Véronique BIRCKEL
Il y a100 ans
dans L'EstSemaine du 7 au 13 juillet 1914
Les costumes de bain
Paris,le7juillet1914.Lescostumesdebain,
je ne parle pas de nageuses, prennent tous les
ansuneallureplushabillée.N’étaitleurjupefort
écourtée,certainsdecescostumespourraientse
porter à la rue. En voici un en lainage rouge, à
haut de robe tout plat descendant jusqu’au bas
deshanches,etsefermantdansledosdanstoute
sahauteur.Lajupeestendroitfiletplisséeàplis
plats bien marqués, et part du bas de la partie
étroite de la robe et s’arrête aux genoux.
Surlehautderobe,unravissantpetitbolérofixé
par trois boutons, est orné de galons blancs.
Un autre de ces modèles est de forme princesse
avec,aubas,unvolantcoupéenformeondulant
gracieusement. Une ceinture écharpe sort de la
jupe devant, de deux grandes boutonnières, et
se noue très bas derrière.
Un col rabattu de lainage blanc contourne le
décolleté en cœur.
Enfin,voilàencoreunerobedeformeprincesse,
marine toute brodée de tissu de couleur plus
claire, découpé et appliqué sur la robe au point
de boutonnière.
Mais, pour les nageuses, ce qu’il y a de plus
pratique c’est la combinaisonculotte en serge
anglaise formée de galons sur laquelle on jette
un peignoir en tissu éponge que l’on enlève au
moment d’entrer dans l’eau, et dont on
s’enveloppe en en sortant.
Courses à Vittel
La première réunion de Vittel, qui comportait
uniquement des épreuves pour officiers et
gentlemen, s’est déroulée au milieu d’une
assistancenombreuseetélégante,paruntemps
tout à fait propice.
Commetoujours,lescrosscountrycourusdans
le cadre merveilleux que l’on sait, ont soulevé
l’admiration des spectateurs et ces derniers ont
assisté à de magnifiques luttes aux arrivées.
Lagranderéunionoùnousverronslesplusfines
cravaches monter les représentants des
meilleures écuries parisiennes, aura lieu les
dimanches10,jeudi23,etdimanche26juilletà
2 heures.
Ces trois journées offrent aux concurrents un
programme de prix de 80.000 francs. Le Grand
Prix de Vittel sera couru le dimanche 26 juillet,
pour clôturer le meeting.
Nul doute que ces réunions ne soient aussi
suiviesetaussibrillantesqueleursdevancières.
Les pangermanistes
et le défunt archiduc
Depuis longtemps, on savait que les
pangermanistes d’Allemagne et d’Autriche
étaient hostiles à l’archiduchéritier François
Ferdinand ; mais la presse allemande n’osait
l’avouer ouvertement.
Et maintenant que cet archiduc n’est plus, la
« Germania » et le « Bayerischekurier »,
organes du Centre, nous rappellent cette
hostilité latente, qui se traduisait quelquefois
par des attaques sournoises, par des
appréciations malveillantes.
Et comme, d’après ces organes, les Serbes
n’avaient aucune raison sérieuse de supprimer
cet archiduc, on peut se demander si le prince
défunt n’aurait pas été victime, indirectement
du moins, de quelque machination
pangermaniste.
Pavoisons
LeComitédesfêtesdes12,13et14juilletfaitun
appelpressantauxpatriotiquespopulationsde
Nancy et de Villers, leur demandant de bien
vouloirpavoiserpendantcestroisjoursdefêtes
quinousprocurentl’honneurdeposséderdans
nos murs un ministre qui vient officiellement
inaugurer les Hangars militaires du Centre
d’aviation de Nancy, la Colonie scolaire de
Gentilly et NancyThermal.
Les revendications
des mineurs
Une délégation de mineurs a été reçue
récemment au ministère des Affaires
étrangères,parM.Viviani,présidentduConseil,
et par M. Couyba, ministre du Travail. La
délégation a été présentée aux ministres par
MM. Jaurès, Albert Thomas, Durafour,
Lamendin, Lafont, Briquet, Bouveri, Durre,
Cabrol, Thivrier et autres députés représentant
les centres miniers. La délégation a exposé au
gouvernement que la question des retraites
était posée et que les mineurs lui demandaient
d’assurer l’égalité de traitement entre les
anciens et les nouveaux pensionnés.
Après discussion, le président du Conseil a
promis d’assurer cette égalité. Toutes les
retraites des anciens et des nouveaux
pensionnés se balanceront entre 640 et
740 francs, toute majoration comprise, étant
entenduquelamoyenneseraitfixéeauxabords
de 700 francs.
Lesmesuresnécessairesserontproposéesavant
la fin de la présente session des Chambres.
14. 16Le Mag JHM du Dimanche13 juillet 2014
D ans ma bibliothèque
Est-ce parce que je me pose des questions quant
au devenir des milliers de livres qui ont envahi
mon chez moi ? Est-ce l’envie de découvrir un
auteur que je n’ai jamais abordé ? C’est sans
doute pour l’une comme pour l’autre raison,
qu’avec délice je me suis plongée dans cet ou-
vrage paru en février 2014. J’y ai découvert la
philosophie du liseur.
“Au fond, chaque lecteur était une sorte d’au-
tostoppeur, pouce levé devant la couverture
d’un livre, et acceptant par avance de s’em-
barquer sans rien savoir de qui le conduirait,
pour quelle destination, selon quel trajet”.Avec
cette phrase l’essentiel est posé. Car le liseur
se laisse souvent envouter par une couverture
interrogative, une critique sympathique, une
présentation tonitruante, une mise en bouche
alléchante, ou par le suivi inconditionnel d’un
improvisateur aimé. Aussi entasse-t-on mille et
un ouvrages et, parfois, ne sait-on plus qu’en
faire. Trier, répertorier, vendre tous ces trésors
est souvent un arrache-cœur.
Avant d’être déposé dans un carton, chacun de
ses livres replonge le narrateur dans des rémi-
niscences précises, des rencontres superbes
ou déconcertantes, des minutes d’intense bon-
heur. On suit pas à pas, les engagements, les
rencontres, les découvertes d’une vie dédiée
en partie à la littérature et beaucoup à la phi-
losophie. S’y ajoute la promesse d’une attente
sentimentale qui se noue lors de cette première
visite au “soldeur”. Elle devient l’élément fa-
buleux de l’histoire.
Qui est cette jeune-fille androgyne observée
parmi cette misérable clientèle ? Pourquoi
vient-elle dans cet endroit sinistre ? La retrou-
vera-t-il à la prochaine visite ? Toutes ces
questions entraînent le héros dans une prome-
nade où se côtoient souvenirs livresques, sou-
venirs pédestres, souvenirs culinaires, sucré,
salé, étonné. Balades en mots, attente plaisir,
promenades en capital, Paris des passages
“mieux : la ville n’était que le palimpseste,
constante recréation, perpétuelle récréation”.
Une bibliothèque est-elle à l’image de l’exis-
tence de son propriétaire ? Reflète-t-elle sa vie
de l’enfance au déclin ? Et questionnement...
Pourquoi conserver tous ces livres ?
A chacun d’y apporter sa réponse.
Le soldeur (349 pages) Editions Julliard
Les coups de cœur de Gil
Le soldeur - Michel Field
15. 17Le Mag JHM du Dimanche 13 juillet 2014
Il arrive de confondre le tamier
(Dioscorea communis) avec
la bryone, mais pour ce qui
vous concerne, je n’ai pas trop
de doute : au moins les vrilles
spiralées caractéristiques et les
feuilles alternes à grosses ner-
vures nous certifient que nous
avons affaire à une cucurbita-
cée. Il en existe plus de 800,
mais très peu sont sauvages
sous nos latitudes en dehors
de la Bryone, donc, et du cor-
nichon d’âne (Ecballium ela-
terium). les feuilles que pré-
sentent votre photo n’ayant
pas l’aspect grumeleux de ce
dernier, je vais repousser cette
hypothèse pour l’instant. Mais
il va falloir attendre un petit
peu pour que les fruits de cette
plante nous en apprenne da-
vantage. Aussi, à moins qu’elle
ne parte en courge ou autre
citrouille, elle devrait fructifier
en petites boules rouge vif, et
là plus de
doute, c’est
bien à l’en-
vahissante
b r y o n e
dioïque que
vous avez à
faire.
Victor
- DÉCOUVERTE DE LA SEMAINE -
Habitat et jardin
Juillet au jardin
L’été est bien installé, les fleurs sont bien épanouies.
Quels sont les gestes utiles à apporter
au jardin décoratif pour en profiter
le plus longtemps possible ?
Le composteur à culbuter Draper
Le composteur sur pied à
culbuter de marque Draper
est un baril de stockage de
matière organique permet-
tant d’obtenir un compost de
bonne qualité sous quelques
semaines grâce à l’action
de culbutage accélérant de
la décomposition. Facile à
utiliser avec ses poignets en
polypropylène.
Plus d’informations sur
drapertools.com
Plante mystère
Dans la vieille maison que nous
avons récemment achetée, le jar-
din n’a pas été entretenu depuis
des dizaines d’années. Entre
deux dalles, sous un abri, nous
avons trouvé cette racine, qui
depuis le printemps fait quelques
pousses. Bien que semblable à
la bryone que nous avons trou-
vée ailleurs dans le jardin, je ne
crois pas que cela en soit et me
demande bien ce que c’est !
Christophe
Au niveau de l’entretien, sur-
veillez l’apparition des para-
sites et maladies afin de prépa-
rer une contre-attaque efficace.
Dans le même ordre d’idée,
débroussaillez les zones délais-
sées et envahies de mauvaises
herbes coriaces. Attaquées en
pleine végétation, elles seront
plus sûrement éradiquées. Ar-
rosez les hortensias avec un
produit bleuissant, traitez-les
éventuellement avec un anti-
cochenille. Traitez contre l’oï-
dium (traitement total) et les
pucerons (avec des coccinelles
ou de l’anti-puceron).
Concernant les fleurs, il est
temps de terminer les semis
de plantes bisannuelles. Vous
pouvez également commen-
cer à bouturer les plantes semi
rustiques à hiverner hors-gel
(pélargoniums, abutilons, ver-
veines, penstemons, solanums,
dentelaire du Cap, fuchsias,
lantanas...). Et tant qu’à bou-
turer, n’oubliez pas les grim-
pantes telles que Podraena et
chèvrefeuille géant, les lauriers
roses, l’abutilon et la lavande,
les cestrums et orangers du
Mexique, les fusains, daphnés,
viornes, kerrias, troènes, wei-
gelas, cistes.
Pour les rosiers, spécifique-
ment, il faudra supprimer les
gourmands prenant naissance
sous le point de greffe. Tail-
lez et palissez les rosiers non
remontants et épandez un en-
grais riche en magnésie pour
les autres. Cela assurera leur
refloraison.
Pour les arbres et arbustes,
taillez les spécimens défleuris
(seringats, kolkwitzia, coto-
neasters, pyracanthas et roma-
rins), et supprimez les pousses
apparaissant sur les troncs des
arbres conduits en tige.
Surveillezl’apparitiondesarai-
gnées rouges sur les conifères
qui, alors, jaunissent. Arrosez
abondamment le feuillage à
l’eau claire en prévention ou
traitez avec un acaricide. Les
conifères les plus sensibles
sont le Picea albertiana Conica
et les sapins bleus.
17. 19Le Mag JHM du Dimanche13 juillet 2014
Coin de table
Conserver et utiliser
la menthe du potager
Liqueur de menthe
Préparation et cuisson : 10 mn + 20 mn
1 grosse poignée de menthe fraiche + 2
branches 15 jours après,
3/4 de litre d’eau de vie à 45°, 3 cl
d’alcool de menthe, sirop: 500 gr de sucre
et 3 verres d’eau.
Laver, sécher et mettre les feuilles dans un
bocal.
Les faire infuser dans l’eau de vie pendant
15 jours.
Après ce temps, filtrer la préparation,
ajouter un sirop de sucre refroidi
et l’alcool de menthe.
Mettre deux branches de menthe fraiches
dans une carafe, verser la liqueur dessus
et boucher.
Les glaçons
de menthe fraiche
La création de glaçons avec des herbes
fraiches est une technique qu’on utilise
depuis longtemps avec les aromatiques
classiques (ciboulette, persil, coriandre
ou basilic). Elle est très facile à mettre en
oeuvre. Placez tout simplement quelques
petites feuilles (entre 5 et 10) dans un
compartiment du bac à glaçons, remplis-
sez avec de l’eau et mettez au congélateur.
Pour ne pas monopoliser vos bacs à gla-
çon, démoulez-les et conservez-les dans
des sacs de congélation.
La menthe séchée
Le séchage est une méthode de conserva-
tion utilisable avec une grande quantité de
végétaux. Pourquoi la menthe ferait-elle
exception?
Après quelques jours les feuilles vont s’as-
sombrir et s’enrouler sur elle-même, c’est
tout à fait normal. Ce sera le moment de les
mettre en bocal en verre. Attention, elles
seront alors très cassantes, manipulez-les
avec précaution.
La menthe congelée
L’idéal pour congeler la menthe est de pro-
céder feuille à feuille, pour ne pas qu’elles
collent entre elles. Pour cela, disposez-les
sur un plateau que vous mettrez au congé-
lateur. Une fois que les feuilles sont bien
dures, vous pouvez les conditionner en sac.
Comme pour la version séchée, elles sont
très fragiles à ce stade et cassent comme du
verre, faites donc très attention !
Tisane à la menthe
Proportions pour : 1 tasse
25 cl de l’eau minerale
Une douzaine de feuilles de menthe bien
fraiche
1 morceau de sucre
Préparation : 5 mn - Cuisson : 5 mn
Faire bouillir l’eau et éteindre le feu
Ajouter les feuilles de menthe et laisser
infuser les feuilles pendant une dizaine de
minutes
Remettre un peu sur le feu mais sans faire
bouillir. Eteindre le feu et ajouter le sucre
et servir de suite.
18. SAINT-DIZIER
CHAUMONT
JOINVILLE
WASSY
MONTIER EN DER
COLOMBEY LES
DEUX EGLISES
CHÂTEAUVILLAIN
LANGRES
BOURBONNE LES BAINS
NOGENT
ANDELOT
CHAUMONT
Jeudi 17 juillet, dans
le cadre des Estivales,
soirée concerts-ciné
en plein air dans le quar-
tier du Cavalier à partir
de 19 h 30. Pique-nique
géant, concert et projec-
tion du film “De l’autre
côté du Périph’”.
SAINT-CIERGUES
Retour au Moyen-Age
les 19 et 20 juillet au fort
de la Pointe de diamant.
De nombreuses animations
à caractère familial
seront organisées.
Renseignements au
06.98.23.39.62.
SAINT-DIZIER
Rencontre des voitures
de cinéma au parc
du Jard, samedi 19
et dimanche 20 juillet.
Entrée libre et gratuite.
MONTIER-EN-DER
Fête brassicole
à la brasserie du Der,
dimanche 13 juillet,
de 11 h à 20 h.
JOINVILLE
? Les Bulles Chorégra-
phiques au Grand-Jardin,
dimanche 13 juillet à 17h.
LANGRES
Tous les jours, du 15 juillet au 15 août,
à 18 h 30, les Arquebusiers accueilleront
le public pour une démonstration de tirs
d’arquebuses.
Ala carte
20 Le Mag JHM du Dimanche13 juillet 2014
côté du Périph’”.
CHÂTEAUVILLAIN
Marché artisanal nocturne
de 18 h à 22 h, samedi 19
juillet. Rendez-vous avec
les producteurs
et les artisans d’art
de cette jolie cité
de caractère.
19. 21Le Mag JHM du Dimanche13 juillet 2014
Sortir ailleurs
Fête nationale oblige, la cité ducale résonnera
au son des feux d’artifices tirés à l’occasion du
14 juillet. Les festivités débuteront dimanche
après-midi. De nombreuses animations fami-
liales et sportives seront proposées à Hausson-
ville, Chiennerie et sur le Plateau de Haye. De
18 h à minuit, la ville dansera au rythme des bals
traditionnels organisés dans les quartiers Trois-
Maisons, Beauregard - Boufflers - Buthégne-
mont, et Saint-Pierre – René II – Bonsecours. Le
lendemain, un concert-bal agrémentera le début
de soirée à partir de 20 h 30 et le feu d’artifice
sera tiré depuis le Pôle Nautique à 22 h 30. Le
spectacle musical et pyrotechnique pourra être
admiré dans les reflets de la Meurthe. Pour les
plus curieux, le spectacle « son et lumière » de
la ville, Rendez-vous place Stanislas, sera ex-
ceptionnellement projeté à 23 h 15 et clôturera
la soirée.
Fête nationale oblige, la cité ducale résonnera
Nancy brille de milles feux
La 23ème édition de Ville en Musiques se
déroulera au centre-ville de Troyes jusqu’au
27 juillet inclus. Au total, 52 concerts gratuits
ont été programmés, pour que chaque week-end
soit aussi festif que musical. Du 18 au 20, les
Troyens accueillent des musiciens de tous hori-
zons afin que les visiteurs et amateurs de bonne
musique passent un agréable moment.
Rendez-vous vendredi avec un trio piano, vio-
lon et violoncelle à 20 h 30, à l’Eglise Sainte
Madeleine, pendant que le funk brazilian,
d’Alusao résonnera sur la place de l’Hôtel de
Ville et que Franck Derivault fera danser ses
spectateurs grâce à ses variétés aussi bien fran-
çaises qu’internationales, place Vernier, à 21h.
Samedi, flûte à bec, basson baroque et viole
de gambe seront à l’honneur à l’Eglise Saint
Nicolas tandis qu’un bal sera donné à partir de
20 h 30, place Jean Jaurès. A 21 h, voyage au
quatre coins du monde, place Saint Jean. Et di-
manche, musette rétro au Kiosque du Jardin du
Rocher, à 11h et musique pour orgue, à 17 h, à
la cathédrale.
Programme complet sur http://www.maison-
duboulanger.com/evenements/ville-en-mu-
siques.html
La 23ème édition de Ville en Musiques se
Le cœur de Troyes bat
au rythme de la musique
20. 22 Le Mag JHM du Dimanche 13 juillet 2014
Le routard
Les bons plans du Routard
Oùdormir?
AuxP’titsBoulas,4,placeduTilleul.
Tél.03.29.27.10.06.
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sanscharme,pasimmenses
maisbienrénovéesetbienentrete-
nues.Atmosphèreconviviale.
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spécialitésrégionales.
LesMyrtilles,102,chemin
desBas-Rupts.Tél.03.29.63.21.38.Un
siteenpleinenature,à850md’altitu-
de,prèsducoldesBas-Rupts,en
borduredesrivièresetaupied
despistes.Unecinquantained’empla-
cementsenterrasse.Petitbarsympa
(parfoisdesconcertsdegroupes
locaux).Accueilsupersympa
etchaleureux.
Chambresd’hôtesChaletl’Épi-
nette,chezClaudineetGisèlePoirot-
Scherrer,70,chemindelaTrinité.
Tél.03.29.63.40.06.Cinqchambres
cosyetcoquettesdansunsuperbe
chalet.Chaleureusedécorationenbois.
Leschambresenterrasseoubalcon
etdeuxontunlitàbaldaquin.Ondîne
dansunesalledontlesvastesbaies
vitréesouvrentsurlamontagne.Forêt
touteproche.Sauna,hammametspa.
HôteldeParis,11-13,rueFrançois-
Mitterrand.Tél.03.29.63.10.66.
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simpleàl’excellentrapportqualité-
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deFrance»et«CampingQualité»
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Oùmanger?
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est l’épicentre
de la vallée
des lacs,
la reine
de la Vologne
et la capitale
de la jonquille.
Gérardmer
PhotoPhilippeBRIQUELEUR
23. 25Le Mag JHM du Dimanche 13 juillet 2014
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20
1 1
2 2
3 3
4 4
5 5
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9 9
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1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20
Horizontalement
1. Dont le contact est agréable, comme
celui de la brise. Contrôler la balle en progressant.
2. Acclamations. Héraclès en nettoya de vastes.
Baguette pour enfiler des harengs à fumer.
3. Nuremberg en fut une citadelle.
4. Relatif à un os auquel sont reliées des côtes.
Raclées. Humaniste français.
5. Remet d’aplomb. Despote cruel.
Ancienne unité de travail. Donner de la bande.
6. Aux couleurs de l’arcenciel. Fait consister.
Acquis. Sans embarras.
7. Saillie rocheuse.
Prince qui fut un grand homme de guerre.
8. Poète chilien. Dans des noms de formats.
Plante à fleurs très parfumées. Mine de sel.
9. Un centimètre. On s’en sert pour présenter
des statues. Où il y a de l’érudition.
10. À quoi l’on ne peut résister.
On les dit religieuses.
11. Marque un embarras. Manière de voir
les choses. Murs d’appui de fenêtres.
12. Aurochs. Peut être une envie. Leurs habitants
sont des rapaces. Fait des étincelles.
13. Qui sent la vieillesse. Sur la rose des vents.
Comme ça. Est au courant.
14. Usées peu à peu. Le lama en fournit.
Corps de l’Ancien Régime.
15. Plat. Coquillages. Sa maîtresse l’entretient.
16. Est sous les drapeaux. Son odeur annonce
la mer. Qui manque de finesse. Mine de sel.
17. Station balnéaire française.
Qui n’est pas régulière.
18. Sans mouvement.
Son application fait l’objet de décrets. Suffixe.
19. Colonnes. Ville de Lituanie (en allemand).
Sans difficulté.
20. Avait plusieurs emplois à Rome. Domaine.
Orphée en était un. Déposée comme enjeu.
21. Nom d’une riche civilisation africaine.
Agent double. Cantatrice célèbre. Ville du Maroc.
Un grade.
22. S’assurer, avec précaution, des possibilités
d’action. Ivan IV et ses successeurs.
23. Très grand reptile fossile. Elan.
Grand oiseau coureur.
24. Répartit dans le temps. Adepte d’une secte
religieuse hindoue. Se dit d’une chose extravagante.
25. Bande de papier peint. Très difficile à lire.
Préposition.
26. Bramer. Statue de l’art grec archaïque.
Cri d’encouragement.
Roman de la série des RougonMacquart.
27. Cela va de soi. D’un emploi courant.
Sert à la décoration.
28. Certains sont dits sacrés. Qui s’est égaré.
Explétif. Article. Est rond.
29. Fibre textile. Héraclès s’y fit brûler sur un
bûcher. Couleur dominante. Avant toute expérience.
30. Paradis. Sorte de croyance aveugle.
Verticalement
1. Qui cherchent à bien faire. Se fait du souci.
2. Métamorphose. Enfermer de façon définitive.
Assouvie. Au même endroit.
3. Place d’armes. Faramineux.
Vulcain y avait ses forges.
Proserpine était celle des Enfers.
4. Allongés. Plus ou moins malade.
Qui ont trait aux astres.
Un des peuples de la Grèce ancienne.
5. Ville de Suisse. Hôtes de côtes.
Satire sous la forme d’une correspondance
imaginaire. Ennui.
6. Pièce de musique.
Des femmes qui ont perdu la tête.
Cité légendaire qui inspira un opéra à Lalo.
Sert à appeler. Fruit charnu.
7. Précède une synthèse. Fleuve de Sibérie.
Ville de Côted’Or. Une femme de tête. Piège.
8. Se dit d’images reproduisant des sujets religieux.
Ruiner. Un pli, au bridge. Ancien État arabe.
9. Les notaires en reçoivent. Champ de courses.
Écrivain belge.
10. Entamer. Faute commise par un joueur
immobilisant trop longtemps le ballon.
Fait pâlir. Docteur. En bataille.
11. Prive peu à peu quelqu’un de ses ressources.
Moulures. Petite brosse d’orfèvre. Informe.
Se dit d’un rouge. Se dit d’un jaune.
12. La queue des vers. Éclos. Fit entrer.
Vague. Rivière d’Autriche.
13. Aux couleurs vives et variées.
N’a pas les pieds sur terre. Nigaud. Liste.
14. Mises à l’écart. Son odeur entête.
Maison communale. Cactus. Hôte de forêts.
15. Mère d’Horus. Les Andines en font partie.
L’enveloppe d’un cigare. Ville de Vaucluse.
16. On y soumet des oies. Prénom féminin.
Diffuse. Article arabe. Aigri.
17. Petite fille. Bourriques. Son plaintif.
Fille d’Inachos.
18. Gradés. Substances odoriférantes.
On perd tout quand elle nous quitte.
Frère aîné de Moïse.
19. Pronom. Pièce d’une arme à feu.
Ancienne monnaie d’or française. Auxiliaire.
Un lieu où l’existence est insupportable.
20. Partie de manche. Aide.
Ne pas obtenir autant que l’on attendait.
24. 26 Le Mag JHM du Dimanche 13 juillet 2014
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1 F I C H E R L E C A M P E F F A C E R 1
2 E C R A B O U I L L E A L E U R I T E 2
3 T O I L I N G U A L E S Y S E R N 3
4 I S S U E D E B R I C E T D E B R O C 4
5 C A E N T I R M A L H E R R E R A 5
6 H E F E R S T E A L E A O S E R 6
7 E D W I G E A A O T E U B U I D 7
8 R O L A N D F U R I E U X A S I L E 8
9 D E L A T E U R A S D E M I S E L 9
10 O F L E T O C I S E A L E N E S 10
11 S T R A S P I L A F S V U P I T T 11
12 D R A P E I D E R S L A R I O S T E 12
13 A I M A B L E P M M I N I M I S E R 13
14 N O T U N G S T E N E N A B L E C 14
15 E M O T T E R O M A R I C E I S O 15
16 P R E T I M M E R I T E R P O R 16
17 P H I E T E A N T S I R A B E N A 17
18 L E G E A C A N T H E S V E L A N I 18
19 U A P A T H I E E S S O R L I E R 19
20 T U N I S I E N A X E M I S E R E 20
21 A N E S E E M U P R E L E I L 21
22 U T E R I N E E T R O I T M I S E R 22
23 C E T S L O R R A I N G E N E S E 23
24 I R R E E L L E E M S L E S A R C S 24
25 E W E S O I T A E S S O R P A L I 25
26 L A P O M P A G E E A U F A N O N 26
27 L I E U E S A M O S E T A I C I 27
28 A D O R E E X C E S Q U E T S C H E 28
29 G T E S T S E R E B U S A E R E R 29
30 A P A R T E T R I S A I E U L U S E 30
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20
D M A T T C E
R A G O U T A I R A I N S
G A U L T E T M I L L A U
P U R N I D A P I V S
E B R A S E T E T R A
E T U I E N A S A U R A
R I N
A C E E N D
A O
E S T E C U
S I R I
B O A B O L
U N P S O T I L
I L S R E A B R E S S E
E B O C U S E T E S T
A T R E A V A I T M A T
I T E R E R E B E N E
S U Z E T T E F L U E T S
Mots fléchés Sudoku
Equajeux
8 1 4 7 2 3 9 5 6
3 7 6 4 9 5 1 8 2
5 9 2 6 8 1 4 7 3
7 2 3 9 1 4 8 6 5
4 6 5 3 7 8 2 9 1
9 8 1 5 6 2 3 4 7
6 3 7 2 4 9 5 1 8
1 5 9 8 3 7 6 2 4
2 4 8 1 5 6 7 3 9
Solutions des jeux
Comme dit
le proverbe
AUTANT CROÎT LE DÉSIR QUE
LE TRÉSOR.
Clip-clap
PAR AMOUR POUR GILLIAN.
5 erreurs
1. La boîte de céréales, à
l’arrière-plan, est différente.
2. Il y a un motif en plus sur le
carrelage mural.
3. Le tapis, à droite, est plus
large.
4. Il y a un bol de céréales sur
la table.
5. L’anse de la bouilloire est plus
courte.
Ex æquo
a. 5 + 3 + 2 + 7 + 9 = 26
b. 1 + 9 + 6 + 2 + 8 = 26
1- 186
2- 093
3- 372
}}Mots croisésSolutions du 6 juillet 2014