Dossier de Presse IMCAS - PB Communication - Février 2012
1. Bureau
de
presse
IMCAS
:
Patricia
Bénitah
-‐
PB
Communication
7
Villa
des
Sablons
–
92200
Neuilly
sur
Seine
–
Tel
:
01
47
31
11
06-‐
Mail
:
pbcom@wanadoo.fr
http://www.imcas.com
DOSSIER
DE
PRESSE
Vendredi
27
Janvier
2012
2. DOSSIER
DE
PRESSE
Janvier
2012
Bureau
de
presse
IMCAS
:
Patricia
Bénitah
-‐
PB
Communication
7
Villa
des
Sablons
–
92200
Neuilly
sur
Seine
–
Tel
:
01
47
31
11
06-‐
Mail
:
pbcom@wanadoo.fr
http://www.imcas.com
2
IMCAS
PARIS
2012
–
14e
Congrès
annuel,
du
26
au
29
janvier
Congrès
européen
leader
dédié
aux
chirurgiens
plasticiens,
aux
dermatologues,
et
aux
différents
experts
de
l’esthétique
médicale
et
chirurgicale,
l’IMCAS
est
devenu
en
14
ans
l’un
des
plus
importants
rendez-‐vous
mondiaux
de
la
profession.
C'est
aujourd'hui
un
congrès
institutionnel
d'enseignement
post-‐universitaire,
heureux
de
travailler
en
concertation
avec
plusieurs
sociétés
savantes
telles
la
SOFCEP
(Société
Française
des
Chirurgiens
Esthéticiens
Plasticiens),
l'ESLD
(European
Society
for
Laser
Dermatology)
et
l'ASDS
(American
Society
for
Dermatologic
Surgery).
Cette
manifestation
reçoit
chaque
année
plus
de
4
000
participants
en
provenance
de
60
pays.
Le
docteur
Benjamin
ASCHER,
Chirurgien
plasticien,
directeur
scientifique
des
congrès
IMCAS.
Les
docteurs
Olivier
GERBAULT,
David
J.GOLDBERG,
Anne
LE
PILLOUERT
PROST,
Bernard
MOLE
et
Bernard
ROSSI
coordinateurs
et
secrétaires
scientifiques
du
Congrès.
IMCAS
2012
:
sentinelle
de
la
cosméto
et
matério
vigilance
En
2012,
l’IMCAS
vous
convie
à
un
programme
particulièrement
novateur,
loin
des
avis
consensuels,
dont
le
mot
clef
sera
"controverse".
Bon
nombre
d'interventions
seront
centrées
sur
le
sujet
des
complications
et
des
techniques
permettant
de
les
prévenir,
d'autres
auront
pour
thématique
la
question
des
alertes
en
cosméto-‐
et
materio
vigilance,
et
seront
communiqués
et
commentés
les
résultats
d'un
sondage
mondial
sur
les
complications
des
injectables
et
leur
prévention.
Le
programme
proposera
également
des
analyses
comparatives
et
objectives
des
produits
(Acides
hyaluroniques,
toxines,
Laser
CO2,
Implants
mammaires),
loin
des
arguments
des
firmes...
Bien
sûr
l'IMCAS
ne
serait
pas
l'IMCAS
sans
l’Industrie
Tribune,
premier
Observatoire
économique
mondial
du
marché
de
l'esthétique
médicale,
et
ses
manifestations
dédiées
à
l'innovation
qui,
succès
des
premières
éditions
de
2011
oblige,
vont
créer
l’événement
:
La
NUIT
des
IMCAS
AWARDS
et
l’IMCAS
Business
INCUBATOR.
"La
Nuit
des
IMCAS
Awards"
récompensera
les
meilleures
études
cliniques
de
l'année,
soumises
anonymement
à
un
jury
totalement
indépendant,
tandis
que
l'IMCAS
Incubateur
permettra
à
tout
praticien,
jeune
ou
expérimenté
de
présenter
ses
idées
à
l'industrie
de
manière
professionnelle.
Pour
en
savoir
plus
cliquez
sur
:
LA
NUIT
DES
IMCAS
AWARDS
IMCAS
INCUBATEURS
IMCAS
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3. DOSSIER
DE
PRESSE
Janvier
2012
Bureau
de
presse
IMCAS
:
Patricia
Bénitah
-‐
PB
Communication
7
Villa
des
Sablons
–
92200
Neuilly
sur
Seine
–
Tel
:
01
47
31
11
06-‐
Mail
:
pbcom@wanadoo.fr
http://www.imcas.com
3
SOMMAIRE
Rajeunissement
du
visage
et
du
cou
Les
traitements
validés
et
ceux
qui
doivent
encore
faire
leurs
preuves
:
les
tops
et
les
flops
Garder
un
visage
jeune
en
intervenant
sur
des
zones
clés
:
la
vallée
des
larmes
et
les
pommettes
:
chirurgie
ou
produits
de
comblement
(volumateurs).
Philippe
KESTEMONT
–
Chirurgien
cervico-‐facial,
France
L’acide
hyaluronique
:
lifter,
volumiser,
bloquer.
Les
principaux
produits
de
marché
:
comparaison
des
caractéristiques
liées
à
chaque
fabricant,
ses
atouts
et
ses
limites.
Ce
que
nous
réserve
la
toxine
botulique,
demain…
Benjamin
ASCHER
-‐
Chirurgien
plasticien,
France
Lifting
:
injectables
ou
chirurgie
?
Lifting
du
cou
:
focus
sur
les
méthodes
non-‐invasives.
Bajoues
:
comment
maintenir
le
résultat
dans
le
temps.
Benjamin
ASCHER
-‐
Chirurgien
plasticien,
France
Comment
prévenir
les
effets
secondaires
liés
à
l’injection
de
produits
de
comblement
?
Michel
ROUIF
-‐
Chirurgien
plasticien,
France
Pierre
NICOLAU
-‐
Chirurgien
plasticien,
France
Laser
CO2
ablatif
mode
fractionnel
et
IPL
:
des
résultats
validés
et
éprouvés
:
best-‐of
comparatif.
Anne
LE
PILLOUER
PROST
–
Dermatologue,
France
La
Radiofréquence
:
effet
tenseur
et
coup
d’éclat…
ses
atouts
et
ses
limites
?
Jean
Michel
MAZER
-‐
Dermatologue,
France
La
sécurisation
des
traitements
par
Lasers,
lumières
et
radiofréquences…
les
bons
protocoles
et
les
compétences
requises
pour
prévenir
les
éventuels
effets
secondaires
Anne
LE
PILLOUER
PROST
–
Dermatologue,
France
Bernard
ROSSI
–
Dermatologue,
France
4. DOSSIER
DE
PRESSE
Janvier
2012
Bureau
de
presse
IMCAS
:
Patricia
Bénitah
-‐
PB
Communication
7
Villa
des
Sablons
–
92200
Neuilly
sur
Seine
–
Tel
:
01
47
31
11
06-‐
Mail
:
pbcom@wanadoo.fr
http://www.imcas.com
4
Le
corps
remodelé
en
2012
Les
précautions
et
boucliers
de
sécurité
mis
en
place
par
la
profession
En
raison
de
l’actualité,
une
communication
officielle
de
l’IMCAS
et
du
Syndicat
National
de
Chirurgie
Plastique,
Reconstructive
et
Esthétique
sera
faite
au
sujet
de
l’affaire
des
prothèses
PIP
Lipolyse
:
une
approche
clinique
et
légale
des
techniques
réellement
efficientes,
des
techniques
autorisées
et
des
autres,
suite
à
la
suspension
du
décret
sur
les
méthodes
de
Lipolyse.
Bernard
MOLE
-‐
Chirurgien
plasticien,
France
L'injection
de
graisse
:
atouts
et
limites
comparée
à
la
pose
d’un
corps
étranger
(Lipofilling,
greffes
de
graisse)
Les
cellules
souches
:
la
panacée
de
l’éternelle
jeunesse
?
Bernard
MOLE
-‐
Chirurgien
plasticien,
France
Ali
MOJALLAL
–
Chirurgien
plasticien,
France
Avoir
de
belles
fesses
:
leur
donner
du
volume
et
les
rajeunir,
une
chirurgie
désormais
courante.
Raul
GONZALEZ
–
Chirurgien
plasticien,
Brésil
Les
Matrices
dermiques
acellulaires
(les
M.D.A)
:
une
révolution
en
chirurgie
esthétique.
Olivier
GERBAULT
–
Chirurgien
plasticien,
France
LED,
un
choix
irrationnel
pour
un
effet
éphémère
?
Hugues
CARTIER
–
Dermatologue,
France
Cosméto-‐vigilance
et
matério-‐vigilance
:
la
profession
se
mobilise
et
crée
ses
propres
cellules
de
vigilance
dans
un
objectif
de
sécurisation
maximum
vis
à
vis
des
patients.
Michel
ROUIF
–
Chirurgien
plasticien,
France
Martine
BASPEYRAS
–
Dermatologue,
France
PIP
crise
sanitaire
internationale:
position
de
l’IMCAS
et
du
Syndicat
Benjamin
ASCHER
-‐
Chirurgien
plasticien,
France,
Directeur
Scientifique
des
congrès
IMCAS
Olivier
GERBAULT
–
Chirurgien
plasticien,
France
Bernard
MOLE
–
Chirurgien
plasticien,
France
Bruno
ALFANDARI
-‐
Chirurgien
plasticien,
France
Président
du
Syndicat
National
de
Chirurgie
Plastique,
Reconstructive
et
Esthétique
L’imagerie
et
l’exploration
des
seins
a
atteint
un
niveau
de
sophistication
tel,
qu’elle
peut
garantir
une
qualité
et
une
définition
d’image
fiable
et
sécurisée
surtout
dans
le
cas
d’implants
mammaires.
Sébastien
GARSON
–
Chirurgien
plasticien,
France
Conclusion
L’IMCAS,
c’est
aussi
le
laboratoire
des
innovations
avec
l’IMCAS
Business
Incubator
et
l’IMCAS
AWARDS.
Benjamin
ASCHER
-‐
Chirurgien
plasticien,
France,
Directeur
Scientifique
des
congrès
IMCAS
5. DOSSIER
DE
PRESSE
Janvier
2012
Bureau
de
presse
IMCAS
:
Patricia
Bénitah
-‐
PB
Communication
7
Villa
des
Sablons
–
92200
Neuilly
sur
Seine
–
Tel
:
01
47
31
11
06-‐
Mail
:
pbcom@wanadoo.fr
http://www.imcas.com
5
Garder
la
Jeunesse
de
son
visage
en
intervenant
sur
des
zones
clés,
la
vallée
des
larmes
et
les
pommettes
:
Chirurgie
ou
produits
de
comblement
?
Philippe
KESTEMONT-‐
Chirurgien
cervico-‐facial,
France
Les
concepts
actuels
du
rajeunissement
du
visage
intègrent
systématiquement
la
notion
de
«
Volumétrie
».
Il
est
acquis
dans
l’analyse
du
vieillissement
de
la
face
que
la
détente
des
tissus
et
la
ptôse
des
structures
cutanéo-‐musculaires
ne
sont
qu’un
des
éléments
à
corriger.
La
migration
du
tissu
graisseux
au
cours
du
temps,
modifie
les
reliefs
du
visage
;
on
admet
le
rôle
primordial
des
muscles
peauciers,
dits
«
muscles
d’expression
»,
dans
cette
répartition
disharmonieuse
des
volumes,
par
une
action
répétée,
en
diaphragme,
au
niveau
de
la
région
centro-‐faciale,
(autour
des
yeux,
du
nez,
de
la
bouche).
La
pommette
de
l’enfant,
ou
de
l’adolescent,
est
en
position
haute,
donnant
l’illusion
que
la
paupière
inférieure
est
très
courte.
La
projection
de
cette
région
«
malaire
»
est
surtout
le
fait
d’un
épaississement
graisseux
particulièrement
important,
posé
sur
une
base
osseuse,
qui
elle
sera
plus
stable
dans
le
temps.
Cette
«
graisse
malaire
»
migre
schématiquement
vers
le
bas,
et
se
sépare
en
deux,
en
diagonale
à
partir
du
cerne,
pour
former
la
«
vallée
des
larmes
».
Cette
modification
des
reliefs
diminue
l’aspect
juvénile
du
regard,
en
définissant
des
creux,
des
zones
d’ombre,
qui
donnent
un
aspect
«
fatigué
»
classiquement
décrit
par
nos
patients.
Si
l’on
admet
que
cette
notion
de
volume
doit
être
restaurée,
et
que
l’on
cherche
à
diminuer
l’action
néfaste
des
muscles
peauciers
de
la
région,
une
question
se
pose
alors
logiquement
:
les
produits
injectables,
«
volumateurs
et
toxine
botulique
»,
peuvent-‐ils
remplacer
la
chirurgie
dans
cette
région
?
Il
est
aujourd’hui
indéniable
que
le
premier
traitement
à
proposer
dans
ce
type
de
rajeunissement
est
«
médical
»
!
Dans
une
grande
majorité
de
nos
patientes
qui
voient
se
former
une
vallée
de
larmes
sous
leurs
paupières
inférieures,
ou
qui
manquent
de
«
pommettes
»,
l’association
«
Toxine
Botulique
–
Acide
Hyaluronique
»
est
devenue
le
traitement
de
référence
:
il
est
progressif,
réversible,
sécurisant,
efficace
et
surtout
«
dose/dépendant
».
Cela
veut
dire
qu’à
chaque
personne,
à
chaque
visage
correspond
une
dose
efficace
de
toxine
botulique,
et
un
nombre
de
seringues
d’acide
hyaluronique,
pour
l’obtention
d’un
résultat
qui
sera
jugé
naturel
par
la
patiente
elle
même.
La
simplicité
de
ces
traitements
proposés
«
au
cabinet
»,
et
leur
efficacité,
relèguent
la
chirurgie
aux
cas
plus
avancés,
avec
des
déformations
palpébrales
liées
à
l’âge,
nécessitant
une
blépharoplastie,
voire
un
lifting
malaire
vertical,
associé
à
une
auto-‐
transplantation
de
graisse,
appelée
«
lipofilling
»
Le
caractère
plus
«
durable
»
de
la
chirurgie
est
un
élément
à
prendre
en
compte,
mais
l’immobilisation
et
le
contexte
opératoire
font
souvent
choisir
l’option
de
la
simplicité
et
de
la
reproductibilité
du
résultat
par
ces
nouveaux
procédés
injectables.
6. DOSSIER
DE
PRESSE
Janvier
2012
Bureau
de
presse
IMCAS
:
Patricia
Bénitah
-‐
PB
Communication
7
Villa
des
Sablons
–
92200
Neuilly
sur
Seine
–
Tel
:
01
47
31
11
06-‐
Mail
:
pbcom@wanadoo.fr
http://www.imcas.com
6
L’acide
hyaluronique
:
lifter,
volumiser,
bloquer
Les
principaux
produits
de
marché
:
comparaison
des
caractéristiques
liées
à
chaque
fabricant,
ses
atouts
et
ses
limites
Ce
que
nous
réserve
la
toxine
botulique,
demain…
Benjamin
ASCHER
-‐
Chirurgien
plasticien,
France
Acide
Hyaluronique
:
lifter,
volumiser,
bloquer
Que
peuvent
faire
les
fillers?
Les
fillers,
principalement
les
acides
hyaluroniques,
sont:
• soit
des
injectables,
d'épaisseur
modérée,
pour
le
comblement
des
rides
• soit
des
injectables
plus
épais
pour
donner
du
volume
(volumiser)
Ils
peuvent:
Ø stopper
modérément
ou
ralentir
le
glissement
de
la
peau
et
des
muscles:
en
effet
il
existe
3
zones
du
visage
situées
en
avant,
où
les
tissus,
qui
glissent
vers
le
bas,
basculent
en
formant
des
sillons
:
sillons
naso
génien
(entre
le
nez
et
la
lèvre),
plis
d'amertume
(entre
la
lèvre
et
le
menton),
encoche
mandibulaire
(entre
menton
et
ovale).
Un
volumateur
bien
placé
en
avant
de
ces
sillons,
peut
lutter
contre
le
glissement
dans
une
certaine
mesure.
Ø Volumiser
les
creux:
les
volumateurs
vont
alors
agir
pleinement
dans
des
zones
situées
au
milieu
du
visage:
vallée
des
larmes,
tempes,
cernes,
creux
orbitaire,
et
également
pommettes
et
nez.
Elle
consiste
à
recréer
les
volumes
et
les
contours
perdus
ou
manquants.
Ø Il
faut
proscrire
2
excès
qui
aboutissent
à
des
caricatures:
les
visages
«
ballonisés
»,
les
visages
triangulaires
qui
deviennent
"carrés".
Si
la
graisse
reste
l'un
des
meilleurs
implants,
les
volumateurs
présentent
de
nombreux
avantages,
à
savoir
:
pas
de
passage
au
bloc
opératoire,
pas
de
zones
de
prélèvement,
injection
indolore
par
anesthésie
locale
ou
par
crème,
peu
d’œdèmes
et
de
bleus,
surtout
grâce
à
l'emploi
quasi
systématique
des
micro
canules
souples
à
bout
mousse.
Ø Lifter
modérément
la
ptose:
les
fillers
peuvent
remonter
modérément
certains
endroits
situés
à
l'arrière
du
visage,
qui
ont
glissé
vers
le
bas
:
le
sourcil
externe,
la
tempe,
la
joue
et
le
début
de
bajoue
;
et
également
la
pointe
du
nez.
Mais
quand
une
réelle
descente
des
tissus
s'est
produite
:
regard
tombant,
vraie
bajoue,
l'injection
ne
peut
rien
isolément.
Elle
peut
masquer
la
bajoue
sans
la
traiter
réellement.
Seul
un
lifting
(ou
si
le
patient
n'est
pas
prêt,
des
fils
crantés)
peuvent
produire
la
remontée
et
donc
le
rafraichissement
recherché.
Si
l'on
injecte
trop
c'est
l'effet
ballon.
7. DOSSIER
DE
PRESSE
Janvier
2012
Bureau
de
presse
IMCAS
:
Patricia
Bénitah
-‐
PB
Communication
7
Villa
des
Sablons
–
92200
Neuilly
sur
Seine
–
Tel
:
01
47
31
11
06-‐
Mail
:
pbcom@wanadoo.fr
http://www.imcas.com
7
Lifting
:
injectables
ou
chirurgie
?
Lifting
du
cou
:
focus
sur
les
méthodes
non
-‐
invasives
Bajoues
:
comment
maintenir
le
résultat
dans
le
temps
Benjamin
ASCHER
-‐
Chirurgien
plasticien,
France
Lifting
:
injectables
ou
chirurgie
?
Ø L'évolution
du
lifting
chirurgical
:
que
ce
soit
pour
le
haut
ou
la
bas
du
visage,
les
bras
ou
les
cuisses,
le
lifting
est
devenu
moins
global,
moins
invasif.
On
décolle
moins
les
tissus,
les
gestes
sont
plus
concentrés,
plus
durables,
plus
dissimulés,
les
cicatrices
plus
courtes.
Un
lifting
réussit
c'est
un
lifting
qui
ne
fait
pas
"lifté"
ou
"tiré",
c'est
un
lifting
naturel.
Ø Les
volumateurs
:
Ø Si
la
graisse
reste
l’un
des
meilleurs
volumateurs,
les
acides
hyaluroniques
présentent
de
nombreux
avantages
;
les
micro
canules
mousses
améliorent
encore
ce
confort.
Mais
le
lipofilling
(injection
de
graisse)
est
de
plus
en
plus
développé,
avec
une
nouvelle
tendance
:
celle
d’injecter
superficiellement
la
graisse,
ce
qui
améliore
la
texture
de
la
peau.
-‐ Attention
aux
excès
qui
produisent
des
visages
«
ballonisés
»
Ø Pour
un
traitement
global:
Ø Quand
la
chirurgie
n'est
pas
nécessaire
ou
pas
souhaitée
:
toxine
botulique,
fillers,
radio
fréquence
et
lasers
doux
produisent
un
effet
global
très
performant.
Ø Quand
la
chirurgie
est
nécessaire
:
regard
tombant
ou
vrai
bas
joues
:
le
lifting
est
la
solution.
Ø Associées
au
lifting,
les
injections,
les
lasers
en
surface
vont
diminuer
le
coté
invasif
de
cette
chirurgie,
à
l'heure
où
les
patients
désirent
des
traitements
actifs
mais
peu
invalidant.
En
fait
la
révolution
tient
au
fait
d'agir
par
étapes
:
on
choisit
d'abord
un
traitement
réellement
actif
mais
le
moins
invasif
possible.
Si
une
chirurgie
est
décidée,
elle
s'intègre
dans
un
plan
thérapeutique
:
• préparer
par
la
toxine
botulique,
et
les
fillers
• lifter
au
bon
moment,
en
associant
les
fillers
ou
la
graisse
• entretenir
et
maintenir
par
les
fillers
et
la
toxine,
pour
éviter,
ce
qui
est
tout
à
fait
possible,
un
deuxième
lifting.
Loin
de
s'opposer
entre
eux
les
traitements
s'optimisent,
il
suffit
de
choisir
le
bon
plan
et
le
bon
moment.
Les
fillers
et
la
toxine
peuvent
permettre
de
faire
reculer
certaines
chirurgies
(comme
les
liftings
du
tiers
supérieur
du
visage).
Les
ont-‐elles
remplacées
?
Non,
mais
ils
en
optimisent
les
résultats
tant
immédiats
qu'à
distance.
Et
dans
la
plus
part
des
cas,
ils
peuvent
produire
à
eux
seuls
un
ralentissement,
voir
une
véritable
prévention
du
vieillissement.
Ce
que
nous
réservent
la
toxine
botulique
pour
demain
:
3
toxines
existent
en
Europe
et
sont
performantes
et
fiables
;
ailleurs
les
toxines
Chinoises
et
Coréennes,
et
la
toxine
américaine
sont
également
utilisées.
Les
nouveautés
:
-‐ une
toxine
employée
en
crème
:
le
Revance
(de
Californie)
sera
opérationnelle
en
2013.
Il
s’agit
d’une
vraie
«
crème
médicament
«
qui
n’a
rien
à
voir
avec
des
crèmes
cosmétiques
«
magiques
«
et
en
faite
inactives
,
avec
des
noms
en
OX
(Bosuelox,
retinox…)
juste
pour
faire
rêver.
-‐ l’acide
hyaluronique
mélangé
immédiatement
à
de
très
faibles
quantités
de
toxine
peut
être
injecté
superficiellement
dans
des
régions
jusqu’alors
contre-‐indiquées
pour
la
toxine,
comme
les
pommettes
et
les
joues.
-‐ le
cryoneuro-‐modulateur
réalise
une
réfrigération
du
nerf
du
front
qui
produit
un
effet
durable
«
botox
like
».
Son
lancement
est
prévu
en
Septembre
2012.
-‐ les
toxines
semblent
gardées
une
croissance
importante,
aux
alentours
de
10%
en
Europe
jusqu’en
2016.
8. DOSSIER
DE
PRESSE
Janvier
2012
Bureau
de
presse
IMCAS
:
Patricia
Bénitah
-‐
PB
Communication
7
Villa
des
Sablons
–
92200
Neuilly
sur
Seine
–
Tel
:
01
47
31
11
06-‐
Mail
:
pbcom@wanadoo.fr
http://www.imcas.com
8
Focus
sur
:
cou
et
bajoues
les
méthodes
douces
Radiofréquence,
injections
d’acide
hyaluronique
dans
les
rides
horizontales,
traitement
des
cordes
musculaires
verticales
par
la
toxine
peuvent
produire
des
résultats
partiels
mais
durables
s’ils
sont
répétés
régulièrement,
mais
:
-‐ s’il
existe
un
amas
graisseux
réel
:
seule
la
lipoaspiration
peut
le
traiter,
les
injections
de
désoxicholate
pourront
être
un
bon
traitement
pour
les
petits
amas
d'ici
un
an.
-‐ s’il
existe
un
vrai
relâchement
de
la
peau
et
des
muscles,
le
lifting
du
cou
est
la
bonne
solution.
Les
fils
crantés
ne
traitent
pas
le
cou,
mais
uniquement
le
bas
du
visage
et
ce
pour
deux
ans
au
maximum.
-‐ Le
lifting
du
cou
inclus
systématiquement
l’ovale
:
la
remise
en
tension
du
cou
par
lifting
est
toujours
associée
à
une
remontée
harmonieuse
de
l’ovale.
C’est
la
même
unité
qu’il
faut
traiter
pour
avoir
un
résultat
naturel.
Quand
l’ovale
manque
de
définition,
le
lipofilling
renforce
nettement
les
contours
et
donc
le
résultat.
9. DOSSIER
DE
PRESSE
Janvier
2012
Bureau
de
presse
IMCAS
:
Patricia
Bénitah
-‐
PB
Communication
7
Villa
des
Sablons
–
92200
Neuilly
sur
Seine
–
Tel
:
01
47
31
11
06-‐
Mail
:
pbcom@wanadoo.fr
http://www.imcas.com
9
Comment
prévenir
les
effets
secondaires
liés
à
l’injection
de
produits
de
comblement
?
Michel
ROUIF
–
Chirurgien
plasticien,
France
Pierre
NICOLAU-‐
Chirurgien
plasticien,
France
La
prévention
repose
sur
la
compréhension
des
risques.
Ils
ne
sont
pas
tous
évitables,
mais
leur
survenue
peut
être
limitée.
La
conjonction
d’une
bonne
pratique
médicale
et
d’une
collaboration
de
la
patiente
constitue
une
garantie
de
qualité.
Le
Rôle
du
praticien
La
prévention
des
complications
peut
être
améliorée
en
consultant
des
praticiens
habitués
à
ces
pratiques
qui
paraissent
pourtant
simples
à
première
vue.
Une
formation
sérieuse
des
praticiens
est
essentielle.
La
connaissance
de
l’anatomie
de
la
face
permet
de
bien
comprendre
les
mécanismes
qui
aboutissent
aux
rides
de
la
face
mais
aussi
les
risques
liés
aux
injections
dans
certaines
localisations
délicates
comme
la
région
inter
sourcilière,
les
lèvres
ou
les
cernes.
Les
propositions
de
traitement
s’articulent
comme
toujours
sur
l’équilibre
bénéfices/risques
considérant
éventuellement
d’autres
techniques
en
particulier
chirurgicales.
La
connaissance
des
techniques
d’injection
doit
permettre
de
choisir
le
produit
de
comblement
le
mieux
adapté.
Le
choix
du
produit,
résorbable
ou
permanent,
sa
viscosité,
sa
réticulation
doivent
être
fonction
des
localisations
à
traiter,
de
l’épaisseur
cutanée
ou
de
l’effet
recherché
soit
de
comblement
de
la
ride
soit
volumateur.
Le
choix
d’aiguilles
ou
de
micro
canules,
un
meilleur
confort
pour
la
patiente
(anesthésie
locale,
crème
anesthésiante,
produit
de
comblement
associé
à
de
la
lidocaine),
une
méthodologie
rigoureuse
avec
des
photographies,
une
asepsie
bien
adaptée,
la
chorégraphie
de
l’injection
(rythme,
direction),
l’usage
éventuellement
de
loupe,
des
recommandations
de
soins
post
opératoires
sont
autant
de
précautions
permettant
d’éviter
certaines
complications
ou
imperfections
de
traitement.
Enfin
l’interrogatoire
de
la
patiente,
précisant
sa
demande,
nécessite
de
prendre
le
temps
à
chaque
fois
pour
refaire
le
point
sur
ses
attentes.
Le
rôle
de
la
patiente
Les
patientes
doivent
comprendre
qu'elles
ont
un
rôle
majeur
à
jouer
dans
cette
prévention.
Concernant
les
risques
médicaux,
elles
doivent
comprendre
l'importance
de
bien
signaler
toutes
les
maladies
dont
elles
pourraient
souffrir,
y
compris
et
surtout
les
allergies,
les
maladies
auto
immunes
(thyroïde,
lupus,
polyarthrite,
etc…),
toutes
pathologies
qui
pourraient
pourtant
leur
sembler
sans
grand
rapport
avec
un
soin
apparemment
anodin.
Les
traitements
qu'elles
pourraient
prendre,
même
ceux
qui
semblent
si
banals,
comme
l'aspirine
ou
les
anti-‐inflammatoires,
peuvent
provoquer
des
complications
sérieuses:
hémorragies,
hématomes.
Les
injections
antérieures
peuvent
déclencher
des
réactions
inflammatoires
majeures,
notamment
avec
certains
produits
non
résorbables.
Une
nouvelle
injection
au
même
endroit,
même
avec
un
produit
très
sûr,
se
traduira
par
des
phénomènes
parfois
incontrôlables.
Il
est
donc
indispensable
que
les
patientes
sachent
très
exactement
quel
produit
leur
a
été
injecté.
C'est
d'ailleurs
pour
cela
que
chaque
seringue
est
fournie
avec
des
étiquettes
permettant
d'identifier
le
produit
utilisé.
Il
est
indispensable
que
les
patientes
demandent
qu'une
de
ces
étiquettes
leur
soit
remise,
idéalement
collée
dans
un
carnet
qu'elle
présentera
à
chaque
médecin,
pour
éviter
tout
risque.
Ce
«
passeport
esthétique
»
assurera
en
plus
du
dossier
médical
un
élément
de
traçabilité
supplémentaire
en
cas
de
complication.
10. DOSSIER
DE
PRESSE
Janvier
2012
Bureau
de
presse
IMCAS
:
Patricia
Bénitah
-‐
PB
Communication
7
Villa
des
Sablons
–
92200
Neuilly
sur
Seine
–
Tel
:
01
47
31
11
06-‐
Mail
:
pbcom@wanadoo.fr
http://www.imcas.com
10
Laser
CO2
ablatif
mode
fractionnel
et
IPL
:
des
résultats
validés
et
éprouvés
:
best-‐of
comparatif
Anne
LE
PILLOUER
PROST
–
Dermatologue,
France
IPL
et
rajeunissement
• Résultats
«
éprouvés
»
-‐ 12-‐13
voire
15
ans
de
recul
-‐ Composantes
superficielles
de
l’héliodermie
• Teint
• Taches
et
vaisseaux
-‐ Résultats
objectifs,
visibles,
reproductibles
-‐ Peu
d’échec:
taches
trop
claires,
appareil
pas
assez
puissant
pour
le
vasculaire
-‐ Effets
secondaires
maîtrisables,
brefs
et
maquillables:
taches
plus
foncées
et
croûtelles,
œdème,
érythème
quelques
heures
à
quelques
jours
/paramètres
utilisés,
nombre
de
séances
• Résultats
«
éprouvés
»
-‐ Limites
:
Pas
d’effet
prouvé
de
«
remodelage
collagénique
»
Œdème
transitoire,
pas
de
diminution
des
rides
Histologies
:
contradictoires
-‐ Coût
:
120-‐150
euros/séance;
1
à
4
séances
espacées
de
3-‐4
semaines
CO2
mode
fractionné
et
rajeunissement
• Résultats
«
éprouvés
»
-‐ 6-‐7
ans
de
recul
-‐ Amélioration
globale
autour
de
30-‐40%
• Tous
les
composants
:
teints,
taches,
texture,
rides,
laxité
-‐ Résultats
visibles,
objectifs,
reproductibles
-‐ Peu
d’échec:
tabagisme
important
-‐ Effets
secondaires
maîtrisables
/
fonction
paramètres
utilisés
:
érythème
et
œdème
(2-‐4-‐5j)
puis
microcroûtes
et
aspect
«
bronzé
»
et
desquamation
(3-‐4
j),
généralement
maquillables
au
3
ème
jour.
-‐ Traitements
personnalisés
-‐ Coût:
350-‐800
euros/séance;
1
à
3
séances.
Traitements
personnalisés
Densité
micro
points
Effets
en
surface
Energie
/
MAZ
Profondeur
variable
11. DOSSIER
DE
PRESSE
Janvier
2012
Bureau
de
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IMCAS
:
Patricia
Bénitah
-‐
PB
Communication
7
Villa
des
Sablons
–
92200
Neuilly
sur
Seine
–
Tel
:
01
47
31
11
06-‐
Mail
:
pbcom@wanadoo.fr
http://www.imcas.com
11
«
Gamme
»
possible
de
traitements
-
Effet
«
peeling
»
/
Taches,
teint
:
densité
élevée,
faible
énergie/MAZ.
-
Texture,
ridules
:
densité
moyenne,
énergie
moyenne.
- Relissage
fractionnel
ablatif
profond
/
Laxité,
rides:
densité
et
énergie
élevées.
- Toujours
sécuritaires
(îlots
de
peau
saine
pour
cicatrisation
et
défense
anti-‐infectieuse).
- Plus
ou
moins
d’éviction
sociale.
Lequel
choisir
?
Au-‐delà
:
Laser
CO2
«
traditionnel
»!
Ne
pas
oublier
+++
Bien
maîtrisé,
préparé
et
suivi
:
complications
Exceptionnelles
(hypochromies)
Améliorations
constantes
supérieures
60-‐70%
:
texture,
Laxité,
rides
profondes
Visage
uniquement
Pansements
car
écoulements…3
jours
puis
vaseline
Eviction
sociale
:
10-‐12
jours.
Teint,
taches,
couperose
IPL
possibles
Souhait
/
texture,
rides,
laxité
IPL
insuffisantes
Laser
CO2
mode
fractionné
1
ou
2
séances
Amélioration
de
tous
les
paramètres
vieillissement
superficiel
et
profond
Teint,
taches
Rides
et
texture,
pores
dilatés
Laxité
12. DOSSIER
DE
PRESSE
Janvier
2012
Bureau
de
presse
IMCAS
:
Patricia
Bénitah
-‐
PB
Communication
7
Villa
des
Sablons
–
92200
Neuilly
sur
Seine
–
Tel
:
01
47
31
11
06-‐
Mail
:
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http://www.imcas.com
12
La
Radiofréquence
:
effet
tenseur
et
coup
d’éclat…
ses
atouts
et
ses
limites
?
Jean
Michel
MAZER
–
Dermatologue,
France
L’utilisation
des
radiofréquences
en
médecine
n’est
pas
récente
:
les
techniques
d’électrocoagulation,
(«
bistouri
électrique
»)
et
d’épilation
électrique
sont
des
radiofréquences…
Mais
elles
se
multiplient
en
médecine
esthétique,
devenant
plus
sophistiquées,
pour
une
meilleure
efficacité.
En
médecine
esthétique,
il
était
habituel
de
les
classer
en
Radiofréquences
monopolaires,
bipolaires,
ou
multipolaires.
Cette
classification
n’avait
pas
de
grande
visibilité,
ni
de
sens
pratique.
Il
faut
aujourd’hui
leur
préférer
une
autre
classification
:
1
–
Les
radiofréquences
à
effet
superficiel,
dont
l’action
repose
sur
l’induction
d’une
néosynthèse
de
collagène
assez
superficielle
dans
le
derme,
responsable
d’une
action
antirides.
2
–
Les
radiofréquences
à
effet
profond
(Radiofréquence
monopolaire
Thermage
et
certaines
radiofréquences
multipolaires,
type
Endymed
3D
Deep.
Leur
action
est
beaucoup
plus
profonde
dans
le
derme,
voire
les
travées
de
collagène
présentes
dans
l’hypoderme.
Il
en
résulte
un
effet
tenseur,
utilisable
sur
le
visage,
le
cou
et
le
corps,
pour
lutter
contre
le
relâchement
cutané.
3
–
Les
radiofréquences
subablatives
fractionnées
(E-‐Matrix
et
Endymed)
qui
créent
des
lésions
ablatives
dermiques,
avec
un
minimum
d’effet
sur
l’épiderme.
Ceci
prend
toute
son
importance
si
l’on
souhaite
traiter
le
vieillissement
du
cou
et
du
décolleté,
pour
lesquels
nous
étions
jusqu’alors
assez
démunis,
de
nombreuses
techniques
étant
soit
inefficaces,
soit
trop
agressives
sur
cette
région
si
délicate.
Les
inconvénients
des
techniques
de
radiofréquence
sont
dominés
par
l’inconstance
de
la
réponse
des
patients
en
terme
d’efficacité,
problème
néanmoins
commun
à
l’ensemble
des
techniques
de
la
médecine
esthétique.
Les
avantages
communs
aux
radiofréquences
sont
la
relative
simplicité
des
suites,
la
bonne
tolérance,
et
le
fait
que
tous
les
phototypes
peuvent
être
traités.
13. DOSSIER
DE
PRESSE
Janvier
2012
Bureau
de
presse
IMCAS
:
Patricia
Bénitah
-‐
PB
Communication
7
Villa
des
Sablons
–
92200
Neuilly
sur
Seine
–
Tel
:
01
47
31
11
06-‐
Mail
:
pbcom@wanadoo.fr
http://www.imcas.com
13
La
sécurisation
des
traitements
par
Lasers,
lumières
et
radiofréquences…
Les
bons
protocoles
et
les
compétences
requises
pour
prévenir
les
éventuels
effets
secondaires
Anne
LE
PILLOUER
PROST
–
Dermatologue,
France
Bernard
ROSSI
–
Dermatologue,
France
Sécurité
technique
• Matériel
à
risque
optique:
normes
européennes
Numéro
et
marquage
de
conformité
CE
-‐(Dispositif
médical-‐
sécurité
électrique…)
-‐Notice
d’instruction
en
français
-‐Accessoires
de
sécurité
(lunettes
de
protection
oculaire,
aspirateur
de
fumée)
-‐Maintenance
et
contrôle
de
qualité
annuels
(émission
faisceau,
calibration,
refroidissement,
alignements…)
• Local
de
traitement
-‐
Règles
en
fonction
des
actes
pratiqués
(anesthésie
ou
non),
S²,
forme
en
L,
sas…
-‐
Signalétique
spécifique
«
zone
à
risque
optique
-‐
accès
réglementé
»,
lumineuse
-‐
Ventilation
si
particules
tissulaires
et
fumées
-‐
Accès
tête
du
patient
si
anesthésie
-‐
Champ
ignifuge,
contrôle
du
taux
O2,
exclusion
produits
inflammables
si
laser
CO2….
• Personnel
soignant
Respect
des
limites
d’exposition,
suivi
médical,
formation,
lunettes
norme
EN
207…
• Côté
patient
– Protection
des
yeux
+++
Lunettes
protectrices
Couleur
spécifique
en
fonction
du
laser
utilisé
Norme
EN
207
Impact,
rayure,
modification
de
couleur:
à
changer
Coques
extra
oculaires
(Métalliques
ou
non)
Idéales
dès
que
le
patient
est
d’accord
Coques
intraoculaires
(Métalliques
ou
non)
Plus
compliqué
Collyre
anesthésiant
et
protecteur
14. DOSSIER
DE
PRESSE
Janvier
2012
Bureau
de
presse
IMCAS
:
Patricia
Bénitah
-‐
PB
Communication
7
Villa
des
Sablons
–
92200
Neuilly
sur
Seine
–
Tel
:
01
47
31
11
06-‐
Mail
:
pbcom@wanadoo.fr
http://www.imcas.com
14
• Elevée
pour
les
lasers
:
principe
de
photo
thermolyse
«
sélective
»
(Anderson
et
Parrish,
1983-‐Science)
– Appareil
(longueur
d’onde)
est
«
spécifique
»
d’une
cible
:
mélanine,
hémoglobine,
pigment
de
tatouage
– Au
niveau
de
la
cible
qui
l’absorbe
la
lumière
va
se
transformer
en
chaleur
– Effet
:
Destruction
de
la
cible
MAIS
respect
des
tissus
avoisinants:
sélectivité=sécurité
• Différence
entre
épilation
électrique
et
épilation
laser
=
sélectivité
• Différence
entre
électrocoagulation
des
petits
vaisseaux
et
laser
vasculaire
=
sélectivité
– Systèmes
de
refroidissement
performants:
protection
supplémentaire
de
l’épiderme
=
augmentation
de
la
sélectivité.
• IPLs:
bande
spectrale
mais
même
principe
de
sélectivité
élevée
que
les
lasers
dans
les
domaines,
épilatoires,
vasculaires,
pigmentaires
• Lasers
ablatifs
et
infra-‐rouges
:
cible
=
eau,
perte
de
sélectivité,
vaporisation
ou
échauffement
d’un
volume
tissulaire
pour
stimulation
fibroblastique
• Radiofréquences
:
différentes,
pas
de
sélectivité,
échauffement
modéré
et
prolongé
d’un
volume
tissulaire
entre
2
électrodes
pour
effet
stimulation
fibroblastique
• LEDs
:
lumière
«
froide
»,
énergies
extrêmement
faibles
:
signaux
intracellulaires,
pas
d’échauffement
tissulaire
Principales
complications
lasers
et
TA
• Douleurs,
rougeurs,
gonflements,
purpura…
«
attendus
»
-‐
recherchés
pour
effet
thérapeutique
• Brûlures
superficielles
-‐ Compétition
mélanine
épidermique
:
sujet
bronzé
ou
trop
mat
/
paramètres
utilisés,
pas
assez
de
refroidissement…
-‐ Mauvais
contact
entre
électrodes
de
RF
• Troubles
pigmentaires
hypo
ou
hyper
:
transitoires
(Brûlures
profondes
et
cicatrices
:
exceptionnelles)
• Infections
bactériennes
ou
virales
–
candida
• Allergies
• Complications
oculaires
:
rarissimes
• Insatisfaction
/
résultats
-‐
effets
paradoxaux
Principales
«
sources
»
possibles
de
complications
• Mauvaise
sélection
du
patient
• Mauvaise
information
du
patient
• Erreur
technique
• Erreur
paramètres
• Défaillance
technique
appareil
ou
système
de
refroidissement
+
«
Aléa
»
thérapeutique
:
sans
faute
médicale
ni
responsabilité
fabricant
15. DOSSIER
DE
PRESSE
Janvier
2012
Bureau
de
presse
IMCAS
:
Patricia
Bénitah
-‐
PB
Communication
7
Villa
des
Sablons
–
92200
Neuilly
sur
Seine
–
Tel
:
01
47
31
11
06-‐
Mail
:
pbcom@wanadoo.fr
http://www.imcas.com
15
Brûlures
superficielles
• Prévention
– Choix
longueur
d’onde
/
phototype
Exemple
:
laser
Nd-‐YAG
ou
diode
pour
épilation
phototype
mat
– Respect
des
paramètres
sécuritaires/
phototype
mat
et
quantité
de
cible
– Traitement
rapide
pour
cicatriser
en
<
3
semaines
=
pas
de
séquelles
– Pommade
ou
tulle
neutre
cicatrisant
– Protection
solaire
Troubles
pigmentaires
post
inflammatoires
• Transitoires
• Hypochromies
:
attendre
un
été
(exposition
solaire)
ou
faire
quelques
séances
d’UV
• Hyperpigmentations
:
attendre…parfois
plusieurs
mois!
Infections
• Prévention
Selon
l’acte
:
shampooing/douche
Bétadine,
désinfection
des
narines,
anti
herpétique,
crème
dépigmentante
pour
mise
au
repos
des
cellules
pigmentaires
des
phototypes
mats.
• Traitement
Antibiotique
crème
ou
per
os,
antiviral…
Allergies
• Interrogatoire
/
antécédents
allergie,
terrain
• Utilisations
topiques
«
neutres
»
en
post-‐opératoire
– Peu
de
composants,
«
hypoallergéniques
»
Oculaires
• Protection
de
rigueur
• Ne
pas
épiler
sous
le
sourcil
Insatisfaction
du
patient
• Sélection
du
patient
:
– ne
pas
hésiter
à
récuser
– Parfois
temporairement
le
temps
d’un
bilan,
prise
en
charge
médicale
globale
• Information
du
patient
– Informer
sur
les
difficultés
liées
au
terrain
personnel
du
patient,
résultats
uniquement
transitoires
ou
partiels,
nécessitant
des
séances
d’entretien,
risques
d’aggravation
Par
exemple
pour
épilation
quand
trouble
hormonal
associé
Prévention-‐gestion
• Formation
– Niveau
approprié
pour
tout
utilisateur
de
laser
(Norme
EN
6085-‐1),
avant
achat
– Diplômes
universitaires
• Formation
médicale
continue:
congrès,
associations,
revues
scientifiques…
– Compagnonnage
– Assurances
en
responsabilité
civile
professionnelle
(RCP)
/
indemnisation
éventuelle
16. DOSSIER
DE
PRESSE
Janvier
2012
Bureau
de
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IMCAS
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Patricia
Bénitah
-‐
PB
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des
Sablons
–
92200
Neuilly
sur
Seine
–
Tel
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47
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11
06-‐
Mail
:
pbcom@wanadoo.fr
http://www.imcas.com
16
Information
du
patient
:
contrat
de
soin
• Complète,
loyale,
claire
/
technique
proposée
et
ses
alternatives
thérapeutiques
(ANAES
Mars
2002)
• Remise
d’un
devis
et
d’un
consentement
éclairé
aux
soins,
signé
(lu,
approuvé
et
compris)
avant
l’acte
et
après
un
délai
de
réflexion
de
15
jours
Pas
une
«
décharge
»
du
tout
de
la
part
du
médecin
mais
juste
un
élément
pour
prouver
sa
volonté
de
respecter
son
devoir
d’information
avec
possibilité
de
2
ème
consultation
pré-‐thérapeutique
si
le
patient
le
désire
et
veut
un
complément
d’information
Doivent
y
figurer
la
liste
de
toutes
les
complications
connues
de
la
technique
(Fiches
d’information
sociétés
savantes).
17. DOSSIER
DE
PRESSE
Janvier
2012
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Patricia
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-‐
PB
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92200
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47
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Mail
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17
Le
corps
remodelé
en
2012
Les
précautions
et
boucliers
de
sécurité
mis
en
place
par
la
profession
En
raison
de
l’actualité,
une
communication
officielle
de
l’IMCAS
et
du
Syndicat
National
de
Chirurgie
Plastique,
Reconstructive
et
Esthétique
sera
faite
au
sujet
de
l’affaire
des
prothèses
PIP
Lipolyse
:
une
approche
clinique
et
légale
des
techniques
réellement
efficientes,
des
techniques
autorisées
et
des
autres,
suite
à
la
suspension
du
décret
sur
les
méthodes
de
Lipolyse
Bernard
MOLE
-‐
Chirurgien
plasticien,
France
En
avril
2010
un
décret
pris
sous
la
pression
d'une
seule
personne
a
condamné
dans
un
même
élan
l'ensemble
des
méthodes
de
lipolyse
;
or,
à
l'exception
d'une
seule
d'entre
elles
(la
lipolyse
hyperosmolaire),
aucune
de
ces
méthodes
n'avait
apporté
la
moindre
preuve
de
sa
dangerosité
potentielle.
Les
accidents
observés
étaient
avant
tout
la
conséquence
de
manquements
élémentaires
à
des
règles
d'hygiène
et
aurait
pu
affecter
n'importe
quel
geste
médical.
Depuis,
ce
décret
a
été
suspendu
mais
il
n'est
pas
abrogé.
Se
débarrasser
de
la
graisse
superflue
par
des
méthodes
non
invasives
reste
encore
du
domaine
de
l'utopie.
Les
seules
méthodes
réellement
efficaces
(Cryolipolyse,
injections
de
Phosphatidycholine)
comportent
deux
écueils
:
l’inconstance
de
leur
efficacité
et
la
nécessité
de
répétition
des
séances
pour
parvenir
à
un
éventuel
résultat.
Néanmoins,
on
a
observé
ces
dernières
années
le
développement
de
méthodes
non
invasives
ou
micros
invasives
capables
d'une
efficacité
limitée
à
de
petites
zones,
d'autant
plus
qu'elles
sont
associées,
comme
la
carboxythérapie
et
l'utilisation
des
radiofréquences
externes.
L'affaire
des
implants
PIP
qui
succède
à
celle
du
Mediator
va
forcément
entraîner
de
la
part
des
autorités
de
santé
une
vigilance
accrue
ce
qui
n'est
pas
forcément
un
mal
:
la
référence
du
marquage
CE
va
enfin
nous
l’espérons
être
remise
en
cause
au
profit
de
méthodes
de
contrôle
plus
sérieuses.
Néanmoins
l'effet
inverse
n'est
pas
souhaitable
car
tous
ces
procédés
n'ont
rien
à
voir
avec
des
médicaments
pour
lesquels
l’AMM
reste
la
référence
incontournable
bien
que
parfois
transgressée.
L'aspect
le
plus
déplorable
de
toutes
ces
affaires
est
la
crise
de
confiance
que
les
patients
inéluctablement
ressentiront
vis-‐à-‐vis
de
l'ensemble
des
dispositifs
médicaux
alors
que
ceux-‐ci
en
une
vingtaine
d'années
ont
totalement
bouleversé
le
paysages
thérapeutiques
au
profit
de
méthodes
de
plus
en
plus
sophistiquées,
de
moins
en
moins
risquées
é
et
de
plus
en
plus
efficaces.
18. DOSSIER
DE
PRESSE
Janvier
2012
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de
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IMCAS
:
Patricia
Bénitah
-‐
PB
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11
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18
L'injection
de
graisse
:
atouts
et
limites
comparée
à
la
pose
d’un
corps
étranger
(Lipofilling,
greffes
de
graisse)
Bernard
MOLE
-‐
Chirurgien
plasticien,
France
Au
sein
d'une
tendance
générale
vers
l'adoption
des
méthodes
de
plus
en
plus
écologiques,
l'injection
de
graisse
est
sans
conteste
le
geste
idéal
dans
la
réparation
d'une
perte
de
substance
tissulaire
superficielle
:
la
graisse
est
un
matériau
vivant,
issu
de
son
propre
corps,
renouvelable
et
à
l'efficacité
«
éternelle
»
en
théorie.
Le
lipofilling
a
néanmoins
ses
limites
d'une
part
parce
que
les
volumes
exigés
parfois
n'existent
pas
chez
certains
patients
dont
le
métabolisme
ou
la
maladie
(VIH)
a
épuisé
les
réserves,
d'autre
part
par
ce
que
la
richesse
de
la
graisse
en
facteur
de
croissance
entraîne
en
théorie
des
interrogations
sur
son
innocuité
à
long
terme
dans
des
tissus
ciblés
particulièrement
sensibles
comme
le
sein.
Il
existe
parmi
nos
sociétés
savantes
une
opposition
frontale
entre
les
partisans
de
cette
méthode
qui
ont
depuis
10
ans
scrupuleusement
étudié
les
conséquences
de
cet
acte
et
ceux
qui,
obnubilé
par
le
«
principe
de
précaution
inscrit
dans
la
constitution
»
recommandent
une
attitude
plus
attentiste.
Néanmoins,
une
timide
avancée
a
eu
lieu
lors
du
dernier
congrès
avec
l'adoption
d'une
recommandation
concernant
les
femmes
jeunes
(25
ans
et
moins),
sans
aucun
antécédent
familial
de
cancer
du
sein,
et
désireuses
d'une
augmentation
modérée
de
la
poitrine
à
qui
un
lipofilling
peut-‐être
désormais
proposé.
L'affaire
PIP
va
peut-‐être
accélérer
le
mouvement
car
on
observe
depuis
quelques
semaines
une
véritable
défiance
de
beaucoup
de
patientes
vis-‐à-‐vis
des
implants
mammaires
remplis
de
gel
de
silicone.
Cette
défiance
prend
sa
raison
à
diverses
sources
dont
un
déferlement
médiatique
extrêmement
mal
contrôlé
dont
vous,
les
médias,
êtes
directement
responsables…
L'affolement
de
la
population
féminine,
ces
dernières
semaines
est
indescriptible
et
ne
repose
sur
aucune
donnée
objective.
C’est
les
chirurgiens
plasticiens
qui
doivent
assumer
les
conséquences
de
cette
ambiance
extrêmement
alarmiste
dont
rien
n'a
jamais
trouvé
les
fondements.
Parmi
les
porteuses
d'implants
éventuellement
défectueux
(30
000
femmes),
3
000
souffriront
inéluctablement
de
l'apparition
d'un
cancer
du
sein,
avec
ou
sans
implants…
Dans
ces
conditions
il
vaut
mieux
supprimer
définitivement
l'automobile
responsable
annuellement
d'un
nombre
de
décès
bien
plus
élevé…
19. DOSSIER
DE
PRESSE
Janvier
2012
Bureau
de
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IMCAS
:
Patricia
Bénitah
-‐
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–
92200
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19
Les
cellules
souches
:
la
panacée
de
l’éternelle
jeunesse
?
Ali
MOJALLAL
–
Chirurgien
plasticien,
France
Une
cellule
souche
est
une
cellule
capable
de
s’auto-‐renouveler
(donner
des
cellules
filles
identiques
à
elle)
et
de
se
différencier
en
différentes
lignées
cellulaires.
Par
exemple
une
cellule
souche
mésenchymateuse
(la
cellule
mère)
est
capable
de
se
transformer
en
cellules
de
graisse,
de
muscle,
de
cartilage,
d’os
ou
même
de
vaisseaux.
Depuis
environ
une
décennie,
nous
savons
que
le
tissu
adipeux
(la
graisse
de
l’organisme)
est
la
source
la
plus
importante
de
cellules
souches
mésenchymateuses.
Ces
cellules
servent
à
l'ingénierie
tissulaire
et
à
la
médecine
régénérative.
Par
conséquent,
lorsque
nous
faisons
une
greffe
de
tissu
adipeux
(un
lipofilling
ou
un
lipo-‐comblement),
nous
injectons
en
même
temps
une
certaine
quantité
de
cellules
souches.
Les
avantages
de
l’utilisation
des
cellules
souches
de
la
graisse
sont
:
(1)
la
capacité
de
continuer
à
proliférer
après
leur
transplantation,
car
ces
cellules
sont
plus
résistantes
(2)
la
différenciation
de
ces
cellules
en
de
multiples
lignées
cellulaires
en
fonction
de
la
zone
receveuse,
(3)
la
libération
de
facteurs
de
croissance
angiogéniques
et
la
transformation
des
cellules
souches
en
lignée
endothéliales
augmentant
la
néo-‐vascularisation
c’est-‐à-‐dire,
améliorant
la
perfusion
sanguine
des
tissus
receveurs.
Ces
avantages
seraient
particulièrement
attrayant
chez
les
patients
âgés
car
les
cellules
souches
permettraient
d'améliorer
la
vascularisation
des
tissus
et
par
conséquent
permettrait
d’améliorer
la
qualité
des
tissus
à
l’endroit
de
l’injection.
La
combinaison
de
l'augmentation
du
volume
et
les
capacités
régénératrices
de
la
graisse
via
les
cellules
souches
est
un
élément
primordial
en
chirurgie
esthétique
de
rajeunissement
et
en
médecine
régénérative.
20. DOSSIER
DE
PRESSE
Janvier
2012
Bureau
de
presse
IMCAS
:
Patricia
Bénitah
-‐
PB
Communication
7
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des
Sablons
–
92200
Neuilly
sur
Seine
–
Tel
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47
31
11
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http://www.imcas.com
20
Avoir
de
belles
fesses
:
leur
donner
du
volume
et
les
rajeunir,
une
chirurgie
désormais
courante
Raul
GONZALEZ
–
Chirurgien
plasticien,
Brésil
Avant
Il
y
a
trente
ans,
dans
les
années
70,
il
n’y
avait
aucune
intervention
esthétique
particulière
visant
à
améliorer
l’apparence
du
fessier,
à
l’exception
de
quelques
procédés
de
lifting
de
l'interfessier
laissant
des
cicatrices.
Il
n’y
avait
pas
de
liposuccion
ou
de
greffe
de
graisse,
et
90%
des
interventions
de
chirurgie
esthétiques
étaient
pratiquées
sur
la
moitié
antérieure
du
corps.
Aussi,
la
chirurgie
esthétique
du
corps
était-‐elle
très
limitée.
Les
premiers
implants
de
buttocks
En
1980,
le
chirurgien
mexicain
Gonzalez-‐Ulloa
a
tenté
de
placer
un
implant
fessier
à
l’intérieure
même
de
la
graisse.
Cet
implant
a
généré
de
multiples
complications,
et
a
donc
été
rapidement
oublié.
En
1984,
le
chirurgien
argentin
Jose
Robles
a
mis
en
place
la
technique
de
l’implant.
L’expérience
brésilienne
:
les
premières
greffes
de
graisse
pour
remodeler
le
buttocks
En
1984,
j’ai
commencé
à
utiliser
la
graisse
des
liposucions
afin
de
remodeler
le
fessier,
augmentant
le
volume
et
comblant
les
creux
latéraux.
C’est
une
première
mondiale
:
des
opérations
de
fessier
pratiquées
sans
incisions.
Ma
méthode
a
été
publiée
en
1986,
et
a
été
le
premier
article
médical
sur
ce
sujet.
Le
Brésil
est
un
pays
tropical,
les
plages
sont
fréquentées
toute
l’année.
Les
Bikinis
font
partie
de
la
garde
robe
brésilienne.
Les
chirurgiens
brésiliens
étaient
très
réceptifs
à
cette
nouvelle
technique,
et
ont
très
vite
développé
“
le
lifting
brésilien
du
Buttocks
”,
qui
est
le
nom
qu’a
reçue
cette
procédure
aux
Etats
Unis.
Les
implants
interfessiers,
la
technique
brésilienne
En
1986,
j’ai
commencé
à
réaliser
des
implants
fessiers
sous-‐musculaires,
soit
la
technique
argentine.
Avec
de
l’expérience,
j’ai
commencé
à
relever
les
limites
de
cette
technique,
et
je
l'ai
changée
en
mettant
les
implants
à
l’intérieur
du
muscle
interfessier,
soit
de
façon
intramusculaire.
Quelques
années
plus
tard,
je
publiais
un
article
médical
présentant
ma
méthode,
intitulé
“
La
technique
Gonzalez
XYZ”
Un
livre
pour
enseigner
le
remodelage
fessier”
En
1989
j’ai
commencé
à
publier
plusieurs
articles
médicaux
afin
de
répandre
mes
techniques
concernant
l’amélioration
du
fessier,
incluant
la
greffe
de
la
graisse,
le
lipofilling,
les
implants,
le
lifting,
le
traitement
des
rétractions
gluteales,
et
tant
d’autres
techniques
que
j’ai
développées.
J’ai
regroupé
toutes
ces
contributions
en
un
livre
appelé
“
Gluteoplasty,
ou
le
remodelage
du
fessier”,
qui
a
été
traduit
en
plusieurs
langues,
telles
que
le
Coréen,
Italien,
Espagnol,
Portugais,
Anglais
ou
Chinois.
Le
livre
a
été
publié
en
2006,
et
immédiatement
les
chirurgiens
à
travers
le
monde
ont
répondu
présents.
Dans
quelques
pays
comme
le
Brésil,
la
Colombie
et
le
Venezuela,
le
nombre
d’implants
fessiers
a
doublé
en
moins
de
deux
ans
après
la
sortie
du
livre.
21. DOSSIER
DE
PRESSE
Janvier
2012
Bureau
de
presse
IMCAS
:
Patricia
Bénitah
-‐
PB
Communication
7
Villa
des
Sablons
–
92200
Neuilly
sur
Seine
–
Tel
:
01
47
31
11
06-‐
Mail
:
pbcom@wanadoo.fr
http://www.imcas.com
21
L’importance
du
fessier
sur
les
êtres
humains
Parmi
des
milliers
d’espèces
mammifères
et
environ
200
espèces
de
primates
;
l’homme
est
le
seul
à
avoir
un
fessier,
ou
du
moins
un
joli
volume
projeté
à
la
base
de
la
colonne
vertébrale
L’explication
la
plus
plausible
à
ce
phénomène,
est
que
lorsque
nos
ancêtres
ont
appris
à
garder
leur
équilibre
sur
deux
jambes,
ils
ont
du
développer
les
muscles
postérieurs
de
leurs
hanches,
afin
de
rester
debout.
L’importance
du
fessier
pour
la
silhouette
féminine
Il
y
a
une
différence
fondamentale
entre
le
corps
humain
masculin
et
féminin.
Le
corps
humain
féminin
se
caractérise
par
des
lignes
et
des
courbes,
et
des
volumes
ronds,
tandis
que
le
corps
humain
masculin
se
caractérise
par
des
lignes
régulières
et
des
volumes
carrés.
Aussi,
des
volumes
proéminents
et
projetés
tels
que
le
fessier
et
la
poitrine
sont
des
caractéristiques
exclusives
au
corps
de
la
femme.
L’importance
du
fessier
sur
la
sexualité
Chez
les
humains,
les
différences
entre
les
hommes
et
les
femmes
sont
essentielles
pour
la
stimulation
de
leurs
relations
sexuelles.
Les
pôles
opposés
s’attirent,
et
les
différences
sont
l’atout
majeur
d’attirance
pour
une
femme,
dans
sa
relation
avec
un
homme.
Aussi,
les
atouts
sexuels
les
plus
évidents
du
corps
humain
de
la
femme
sont
lies
à
la
procréation:
les
seins
pour
l’allaitement,
et
le
bassin
large
pour
donner
naissance.
Ce
sont
précisément
les
deux
atouts
sexuels
du
corps
humain
de
la
femme
qui
révèlent
les
plus
grandes
différences
entre
un
corps
féminin
et
un
corps
masculin,
et
qui
sont
justement
formés
de
courbes
et
de
projections.
La
chirurgie
esthétique
moderne
du
fessier
Les
implants,
le
lipofilling,
les
liftings,
la
liposuccion
et
d’autres
interventions
esthétiques
travaillant
l’apparence
du
fessier
font
partie
de
la
routine
dans
la
plupart
des
centres
d’esthétique
de
nos
jours,
dans
certains
pays
plus
que
d’autres.
Ils
continuent
de
gagner
en
popularité
à
travers
le
monde.
Les
implants
restent
cependant
la
meilleure
façon
d’obtenir
un
joli
derrière
courbé.
22. DOSSIER
DE
PRESSE
Janvier
2012
Bureau
de
presse
IMCAS
:
Patricia
Bénitah
-‐
PB
Communication
7
Villa
des
Sablons
–
92200
Neuilly
sur
Seine
–
Tel
:
01
47
31
11
06-‐
Mail
:
pbcom@wanadoo.fr
http://www.imcas.com
22
Les
Matrices
dermiques
acellulaires
(les
MDA),
une
révolution
en
chirurgie
esthétique
Olivier
GERBAULT-‐
Vincennes,
Paris
Les
matrices
dermiques
acellulaires
(MDA)
ont
profondément
bouleversé
divers
aspect
de
la
chirurgie
esthétique
et
réparatrice
mammaire,
mais
aussi
les
rhinoplasties
et
pourraient
jouer
un
rôle
important
en
rajeunissement
facial.
Les
MDA
sont
un
feuillet
souple
de
collagène
reproduisant
la
structure
tridimensionnelle
du
derme,
mais
vidé
de
toutes
ces
cellules.
Ces
véritables
dermes
naturels
peuvent
être
d’origine
humaine,
porcine
ou
bovine.
Leur
antigénicité
a
été
supprimée
par
un
procédé
chimique,
rendant
impossible
tout
rejet
de
ce
derme
par
l’organisme.
La
MDA
s’intègre
progressivement
à
l’organisme,
comme
si
l’on
greffait
le
propre
derme
du
patient
là
où
on
le
souhaite.
Les
MDA
sont
utilisés
dans
différents
types
de
chirurgie
depuis
plus
de
10
ans.
Leur
application
à
la
chirurgie
plastique
et
esthétique
est
récente,
et
en
plein
essor.
L’inconvénient
majeur
actuel
des
MDA
est
leur
coût,
mais
celui-‐ci
devrait
fortement
diminuer
du
fait
du
nombre
croissant
de
laboratoires
qui
se
lancent
dans
la
commercialisation
de
ce
produit.
Cette
matrice
dermique
a
un
triple
intérêt
:
Renforcement
d’une
région
anatomique
faible
:
cette
propriété
est
utilisée
en
reconstruction
mammaire
par
prothèse,
afin
de
renforcer
la
peau
du
sein
opéré
qui
a
été
traumatisée
par
la
chirurgie,
les
rayons…
Ce
renfort
rend
beaucoup
plus
fiable
et
simples
les
reconstructions
mammaires
par
prothèses.
Les
MDA
sont
aussi
utiles
dans
des
cas
de
résultats
esthétiques
insatisfaisants
après
augmentation
mammaire,
lorsque
les
prothèses
ont
été
mal
positionnées
lors
de
la
première
opération,
ou
bien
lorsque
la
peau
est
très
fine
afin
d’éviter
(ou
de
traiter)
la
trop
grande
visibilité
ou
la
palpabilité
de
plis
liés
aux
prothèses.
Camouflage
d’irrégularités
visibles
après
une
chirurgie
:
cette
propriété
est
désormais
utilisée
en
rhinoplastie,
notamment
pour
les
personnes
ayant
une
peau
fine
au
niveau
du
nez,
mais
aussi
en
cas
de
ré-‐opération
du
nez.
Ce
feuillet
positionné
entre
les
os
et
cartilages
remodelés
et
la
peau,
permet
d’éviter
de
voir
des
imperfections
après
une
rhinoplastie,
ou
également
de
les
traiter.
Augmentation
de
volume
:
cette
propriété
est
utilisée
en
rhinoplastie
(quand
le
nez
a
été
trop
creusé
après
une
rhinoplastie,
ou
en
cas
de
nez
trop
plat,
ce
qui
se
voit
souvent
pour
les
rhinoplasties
ethniques
:
chez
les
africains,
antillais,
asiatiques,
etc.),
mais
aussi
en
rajeunissement
facial
pour
compenser
la
perte
de
volumes
avec
l’âge,
mais
aussi
pour
augmenter
les
volumes
de
visages
trop
creux,
ou
manquant
de
relief.
En
définitive,
les
MDA
bouleversent
d’ores
et
déjà
certains
domaines
de
la
chirurgie
esthétique
et
réparatrice,
et
seront
probablement
les
nouvelles
prothèses
naturelles
de
demain
en
chirurgie
esthétique.
23. DOSSIER
DE
PRESSE
Janvier
2012
Bureau
de
presse
IMCAS
:
Patricia
Bénitah
-‐
PB
Communication
7
Villa
des
Sablons
–
92200
Neuilly
sur
Seine
–
Tel
:
01
47
31
11
06-‐
Mail
:
pbcom@wanadoo.fr
http://www.imcas.com
23
LED,
un
choix
irrationnel
pour
un
effet
éphémère
?
Hugues
CARTIER
–
Dermatologue,
France
Si
les
LEDs
se
sont
banalisées
dans
le
domaine
domestique
comme
les
écrans
TV,
elles
tardent
à
trouver
leurs
places
en
dermatologie,
car
les
LEDs
sont
un
appareil
de
luminothérapie
tellement
singulier
que
ce
choix
en
devient
irrationnel.
Cependant,
on
a
des
certitudes…
-‐ Mode
de
fonctionnement
opto-‐électronique
identique
à
tous
les
appareils
disponibles.
La
différence
porte
essentiellement
sur
la
puissance
unitaire
mais
la
plupart
des
diodes
font
1
watt
de
toute
façon.
-‐ Large
palette
de
longueur
d’onde
s'étirant
des
UV
aux
IR
mais
avec
un
spectre
étroit
de
quelques
nanomètres
en
faisant
un
appareil
plus
proche
des
lasers
au
rayon
monochromatique
que
d'une
Lumière
Polychromatique
Pulsée.
-‐ Durée
de
vie
de
plusieurs
dizaines
de
milliers
d'heures
d'utilisation
des
diodes.
…
Et
des
incertitudes!
Les
LEDs
ne
sont
absolument
pas
indispensable
pour
l'art
dermatologique
au
quotidien,
mais
on
pourrait
écrire
de
même
pour
la
pratique
des
lasers
ou
une
activité
esthétique.
Pourtant
dès
que
le
dermatologue
en
acquiert,
il
n’a
de
cesse
de
l'utiliser
dans
un
but
différent
de
celui
d'une
rentabilité
désespérée.
Avec
l'arrivée
de
la
PDT
carcinologique,
on
aurait
pu
penser
que
les
dermatologues
allaient
s’investir
massivement
dans
la
technologie
des
LEDs
Après
tout,
prendre
en
charge
les
cancers
cutanés,
fait
partie
de
notre
quotidien
dermatologique.
Et
pourtant
à
peine
150
centres
ou
cabinets
dermatologiques
français
sur
plus
de
3000
dermatologues,
centres
hospitaliers
confondus,
pratiquent
la
PDT
carcinologique.
A
cela,
plusieurs
réponses
non
exhaustives:
-‐ Technique
chronophage
et
douloureuse,
cotation
officielle
en
attente
depuis
3
ans,
alternatives
topiques
dont
le
service
rendu
est
au
moins
équivalent...
Mais
pour
de
petites
surfaces
de
traitement.
On
peut
s'étonner
toutefois
que
nous
soyons
en
bas
de
l'échelle
au
niveau
européen
alors
que
la
PDT
carcinologique
est
utilisé
«larga
manu»
chez
nos
confrères
étrangers.
Comment
déterminer
le
choix
d’une
LED
?
-‐ Large
palette
de
longueurs
d’onde
disponibles
(bleu,
vert,
jaune,
orange,
rouge,infra-‐rouge
et
même
blanche
)
avec
des
phénomènes
de
photomodulation
qui
vont
en
découler
en
mode
pulsé
continu
ou
non
et
l’
association
de
différentes
couleurs
de
diodes
dans
une
même
indication.
-‐ La
puissance
exprimée
en
watt,
en
lumen
ou
en
Joules/cm2
-‐ La
durée
d'exposition
par
séance
rapportée
aux
indications
précises
-‐ La
distance
étalon
à
la
peau
minimale
le
faisceau
d'une
diode
de
panneau
de
LED
n'étant
pas
collimaté.
On
peut
énumérer
ainsi
des
indications
recensées
par
de
nombreuses
publications
en
dehors
de
la
PDT
carcinologique
:
-‐ acné
inflammatoire
ou
mixte
car
il
s'agit
d'une
réaction
photodynamique
endogène,
le
P.Acnes
produisant
lui-‐même
une
porphyrine.
Papageorgiou
et
al.
ont
publié
il
y
a
déjà
près
de
10
ans
l'action
anti-‐infectieuse
des
diodes
bleues
associée
à
l'effet
anti-‐inflammatoire
des
diodes
rouges
ou
infra-‐rouges
(1).
-‐ réduction
des
processus
inflammatoires,
des
ridules,
modification
du
teint
(2).
-‐ accélération
du
processus
de
cicatrisation
après
une
effraction
cutanée
y
compris
celle
provoquée
par
nos
lasers
ablatifs,
non
ablatifs,
vasculaires
et
les
peelings.
Weiss
et
al.ont
montré
dès
2007
que
l'utilisation
des
LEDs
oranges
pouvait
réduire
la
survenue
des
radiodermites
(dermite
de
grade
o
ou
1
chez
94%
des
patients
versus
14%
dans
le
groupe
contrôle).
(3).
En
2009
Alster
et
al.
ont
mis
en
évidence
que
l'usage
de
ce
même
type
de
panneau
de
LED
pouvait
réduire
douleur,
risque
infectieux
et
accélérer
le
processus
de
cicatrisation
après
laser
fractionné
1550nm.
(4).
Pour
ce
qui
est
du
rajeunissement
avec
uniquement
une
exposition
sous
des
panneaux
de
LEDs,
la
discussion
reste
ouverte
et
les
publications
très
controversées
avec
des
améliorations
identiques
au
groupe
placebo
à
des
taux
supérieurs
70%,
entament
nettement
sa
crédibilité.
L'utilisation
de
principes
actifs
topiques
potentialisés
par
l'illumination
sous
LEDs
par
contre
ouvre
de
nouvelles
voies
de
prises
en
charge
du
vieillissement
cutané.