1. « La Maison Nucingen » : Balzac<br />I. Un Incipit ‘In Medias Res’ pour dresser le portrait de Rastignac<br />- Directement dans une conversation sur Rastignac (l. 14 – 18 – 38)<br />- Le narrateur-personnage écoute la conversation entre Blondet et Finot<br />- Il qualifie cette conversation de « pot-pourri des choses sinistres qui peint notre temps »<br />- Chaque personnage a son importance<br />Comment a-t-il fait fortune ?Il était : pauvre, misérable<br />« lui » (l. 32-33)- jalousie plus que critique<br />Blondit : moins négatif, mais intéressé (hypocrisie)<br />- (l.35-36) Aidé par le baron Nucingen<br />La Médisence -> tiraille, fusille<br />• Une réelle ironie qui ouvre le sujet de critiquer les comportements : une satire sociale<br />- Registres polémiques : tragique et comique<br />L’auteur va dresser La Comédie Humaine<br />II. Analyse des portraits objectifs / subjectifs<br />- Jugement de valeurs<br />Objectif : - héritier (l. 18-19) (l. 35-36)<br />- pauvre, misérable (l. 20-24)<br />- chemin parcouru (l. 25-27)<br />- pauvre (l. 28)<br />Subjectif :- futur (l.30-34)De façon jalouse<br />Conclusion<br /> Il ne s’agit pas de chercher l’objectivité / subjectivité, tout est subjectif car les gens jugent.<br />* La place des femmes<br />- Intéressante, peu flatteuse (l. 38-39)<br />Elle doit de montrer aimable.<br />Réifiction (≠ personnification)[ Res : chose, latin ]<br />Aucune valeur, aucun pouvoir (marche-pied)<br />* Discours Direct<br />Il entends – une devinette des personnages<br />Bixiou : cynique Finot : jalouxBlondet : critique<br />(l. 20-24) Passé de Balzac<br />