1. COMMUNIQUÉ
DE PRESSE
www.michepeters.be passe à l’heure du Web 2.0 et de la
démocratie numérique.
2 avril 2009
Quelques jours après le passage à l’heure d’été, je vous invite à passer, avec moi à l’heure du Web
2.0.
Après près de 8 ans de bons et loyaux services, mon site initial, bien que relifté, avait pris quelques
rides qu’il importait de corriger. L’opération a été confiée à des amis, déjà concepteurs du premier
site, Laurent Kinet et Serge Fontinoy, de SINOPLE, entreprise liégeoise en pleine expansion.
Les interfaces Web 2.0 permettent aux citoyens internautes d'interagir à la fois avec le contenu des
pages, mais aussi entre eux. Le Web 2.0, c’est le web communautaire et interactif.
interactif.
Dans sa conception initiale, un site web comprenait des pages web statiques, rarement ou jamais
mises à jour. La première évolution intégrait des systèmes de gestion de contenu permettant des
pages web dites « dynamiques ».
Le web restait néanmoins une vitrine, un outil de diffusion et de visualisation de données, le
nombre de visites et l'esthétique étaient d’une très grande importance.
Les spécialistes du Web 2.0 estiment que l'utilisation du web s'oriente de plus en plus vers
l'interaction entre les utilisateurs et la création de réseaux sociaux, pouvant servir du contenu et
exploitant les effets de réseau en place. Les sites web 2.0 agissent plus comme des points de
présence dont l’approche est plus centralisée sur le contenu généré par les utilisateurs, que sur
l'aspect purement graphique. Dans le Web 2.0, le citoyen internaute est acteur Il contribue à
acteur.
alimenter en contenu les sites, blogs, etc.
S’inscrivant dans cette évolution, le site www.michelpeters.be est un blog ouvert : tous les billets
qui y sont publiés sont automatiquement envoyés sur les plateformes sociales où je dispose d’une
présence : Facebook, LinkedIn, Netvibes. Pareillement, différents outils Web sont utilisés de façon
systémique, les uns renvoyant aux autres : intégration du flux Twitter, des galeries photos Flickr,
liste de liens Delicious, chaîne vidéo Youtube, diffusion de documents Slideshare, etc.
De l’ensemble nait une interaction facile et efficace entre les différents espaces Web, et un
« renversement copernicien » : ce n’est plus le contenu qui attend sagement que l’internaute le
visite ; au contraire c’est le contenu qui se déplace là où évoluent les citoyens.
Les premiers retours et commentaires ont été très positifs, signe que l’internaute, qui comprend et
assimile ces nouveaux modes de relation, est ouvert à la conversation citoyenne, et que l’acteur
politique, s’il veut conserver un espace de dialogue, doit l’adopter sans retenue et, pour en tirer
parti sur le long terme, en respecter les codes.
Je vous invite à me retrouver sur www.michelpeters.be...
Michel Péters
Conseiller communal