>>>> L'AVIS CONTINU
Paul Mac Cartney utilise l'IA "Artificially Live or Let Die"
En annonçant que le dernier membre des FAB4 allait utiliser l'IA pour commercialiser un morceau jusque là inachevé, j'ai eu véritablement le ressentiment d'une communication ratée et la confirmation que de vendre ses prestations comme étant le fruit de l'IA était a rebours de la demande de la clientèle autant en B2B qu'en B2C.
les valeurs d'authenticité, de proximité, de crédibilité restent primordiales depuis le début des années 20. Elles sont nées de la désillusion de tous face à la découverte des agissements des GAFAM à travers les réseaux sociaux, du traitement de nos données, de la crise du marketing d'influence qui a poussé des pays comme la france a légiféré et a sanctionné des influenceurs.
La crise de la COVID qui est a l'origine du confinement, de l'obligation de se vacciner et de faire une confiance aveugle aux autorités politiques et sanitaires, a renforcé ce désir de transparence, de réalité et d'authenticité.
Quand une agence de marketing met en avant le fait que les influenceurs qu'elles vous proposent sont nés du choix d'un logiciel d'intelligence artificielle ou quand un artiste vous confesse qu'il préfère s'en remettre à une machine qu'a son talent pour produire une chanson, on sent bien que ce ne sont pas des arguments de communication convaincants...
Au contraire, ils laissent le gout amer d'une certaine forme d'incapacité à agir, à créer, à inventer et à prendre des risques. l'intelligence artificielle nous est présentée là comme le gage d'une certaine forme de sécurité dans la rigueur... c'est surtout une façon de se désengager de toute prise de risque en se remettant à ce que tout le monde dit comme le producteur d'une synthèse parfaite....
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