TISSUS EPITHELIAL

1. B.P. 570/Bukavu
TRAVAIL PRATIQUE D’HISTOLOGIE
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO
ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET UNIVERSITAIRE
UNIVERSITE OFFICIELLE DE BUKAVU
FACULTE DE MEDECINE ET PHARMACIE
DEPARTEMENT DE BIOMED
Promotion : G2 BIOMED
DIRIGE PAR : prof Yassa PIERRE

2. Les cellules de l’épithélium ont chacune
un coté apical faisant face à la surface
de la feuille et un coté basal faisant face
à une membrane basale et au tissus
conjonctif sous-jacent.

3. Les épithéliums sont souvent
spécialisés pour l’absorption ou
la transcytose, la pinocytose du matériel
du coté apical et l’éxocytose du coté
basolatéral (ou vice versa).

4. Les cellules de la plupart des
épithéliums présentent
un renouvellement continu, les positions
des cellules souches et les taux de
renouvellement cellulaire étant variables
dans divers épithélium spécialisés.

6. La membrane basale
La membrane basale de tous les
épithéliums est une mince couche
extracellulaire de protéines spécialisées
, généralement à deux parties :
 Une lame basale
 Une lame réticulaire plus fibreuse

7. La lame basale est un mince réseau
de collagène de type IV et de lamine
produite par les cellules épithéliales.

8. La lame réticulaire contient du
collagène de type III et des fibrilles
d’encrage du collagène VII, toutes
secrétées, par les cellules du tissu
conjonctif immédiatement adjacent.

9. Ensemble, ces composants attachent
les épithéliums au tissu conjonctif,
régulent (filtrantes) qui passent du
tissu conjonctif dans l’épithélium,
fournissent un guide ou un échafaudage
pendant la régénération tissulaire après
la blessure, et compartimentent les
cellules épithéliales des autres tissus.

11. Les jonctions intercellulaires
•Les jonctions intercellulaires sont bien
développées dans les épithéliums et consistant
en : trois types principaux, avec des fonctions
différentes.
•Des jonctions serrées ou occlusives sont
formées par l’interaction transmembranaire des
protéines telles que la claudine et l’occludine ;
arrangement linéaire de ces protéines liées
entourent les extremites apicales des cellules et
empêcher le passage para cellulaire de
substances.

12. •Jonctions adhérentes ou d’ancrages, formés
par des protéines inter agissantes de la famille
des cadherins, sont des points d’attachement fort
qui tiennent ensemble les cellules de
l’épithélium.
•Les jonctions adhérentes peuvent former des
zonales adhérentes qui entourent l’épithélium,
cellules juste au-dessus de leurs jonctions
serrées ou de l’attachement diffus, sites appelés
desmosomes ou maculae adherens, dont sont
attaches à des kératines cytoplasmique.

13. •Hemidesmosomes composés d’intégrités
transmembranaires attachent les cellules aux
protéines de la lame basale.
•Les jonctions ou jonctions communicantes
sont des points des contacts cellulaires où les
deux membranes plasmiques ont de nombreux
complexes hexamèriques de connexions
transmembranaires, formant chacun un canal
permettant le passage de petites molécules d’une
cellule à l’autre.

17. Structures apicales des cellules
épithéliales
•Les microvillosités sont des petites
projections membranaires avec des noyaux
d’actine, filaments qui fonctionnent
généralement pour augmenter les cellules
apathiques apicales, surface spécifique
pour l’absorption.

18. •Les stereocils sont des microvillosités longues
avec un mécanisme mecanosensoriel spécialise ;
fonction dans les cellules de l’oreille interne et
pour l’absorption dans les tissus de l’appareil
reproducteur male.

20. •Les cils sont les plus grandes structures
en saillie avec un noyau bien organisé de
microtubules (dans un arrangement 9+2
appelé axone dans lequel le glissement
restreint des microtubules à base de
dyneine provoquent un mouvement
cellulaire qui propulsent le matériau le
long d’une surface épithéliale.

22. Types morphologiques d’épithélium
•Un épithélium dans lequel la
membrane basale a une couche
cellulaire est simple, les cellules de
différents épithéliums simples ont une
grande amplitude en hauteur, à peu
près cubique, très grand ou colonne.

23. •Les épithéliums avec deux ou plusieurs
couches de cellules sont stratifiés et
presque tous ces épithéliums sont
stratifiés pavimenteux, dans lesquels la
cellule externe, les couches sont minces et
aplaties.

25. •Les cellules des épithéliums squameux
stratifiés se déplacent progressivement à
partir du basal aux couches de surface, en
changeant la forme et de se remplir des
filaments intermédiaires de kératine.
•Des épithéliums squameux stratifiés tels
que l’épiderme couvrent la surface du
corps, protégeant les tissus sous-jacents de
la perte d’eau excessive (déshydratation et
invasion microbienne.

27. •Les épithéliums pseudo stratifiés sont épais
et semblent avoir plusieurs cellules en couche,
toutes les cellules s’attachent à la membrane
basale, mais s’étendent pas toutes à la surface
épithéliale libre.

29. Epithélium de transition ou urothelium, que
l’on trouve seulement dans la paroi du système
urinaire, est stratifié, avec de grandes cellules de
surface arrondies protectrice contre l’urine.

31. Secrétions épithéliales / Glandes
•La fonction majeure de nombreuses cellules
epithelilales est la synthèse et la secrétions des
produits spécialises ; les organes composés
principalement de tels épithéliums sont appelés
glandes.
•Les glandes exocrines ont des canaux
épithéliaux porteurs de secrétions spécifiques
des sites; les conduits des glandes simples sont
non ramifiés et ceux des composés, les glandes
sont ramifiées.

32. •Les parties sécrétoires des glandes exocrines
peuvent se former en forme de sac acini
(également appelés alvéoles ou tubules
allongés); les deux types de secrétions, les
unités peuvent elles-mêmes se ramifier.
•Les glandes endocrines manquent de canaux ;
les substances sécrétées sont des hormones
portées dans tout le corps par le liquide
interstitiel et le sang avec spécificité produite
par les récepteurs hormonaux des cellules cible.

33. •Les glandes ont trois mécanismes de sécrétion
basique : le merocrine, qui utilise l’exocytose ;
holocrine, dans lequel les cellules différenciées
terminales rempli de produits lipidiques sont
libérés ; et apocrine, dans lequel les zones de
cellules remplies de produit sont extrudées.
Les glandes exocrines produisant du mucus, ou
des cellules individuelles similaires appelées
cellules calciformes, sont appelées les glandes
muqueuses ; composants

34. oligosaccharidiques de mucus se colore mal
avec es colorants de routine mais se colore
mieux avec la coloration PAS.
•Les glandes exocrines produisant
principalement des enzymes (protéines) sont
appelées les glandes séreuses et les taches
sombres avec H &E en raison du contenu des
cellules de RER et granules sécrétoires.

38. GROUPE 2
•BACHIRHONDE KABA Francine
•BAHATI BAFUNYE MBAKA Prince
•BAHATI LWAMUNGU Innocent
•BAHATI RUTEGA Ephraim
•BAHATI TUMBA Judith
•BALUME HANGI Alain
•BANDIBUZYA NULA Héritier
•BANGA MUFIRA Steves
•BANGOMA BITHA Pirès
Cours dispensé Par le Prof. Dr. YASSA Pierre