La réponse n’est pas facile pour la simple raison qu’elle est une activité génératrice de revenus pour les populations locales qui la pratiquent. Les services des douanes a beau saisi nous constatons une augmentation croissante des points de vente à travers le continent africain.
1. Comment lutter contre « les Faux médicaments »
La réponse n’est pas facile pour la simple raison qu’elle est une activité
génératrice de revenus pour les populations locales qui la pratiquent.
Les services des douanes a beau saisi nous constatons une augmentation
croissante des points de vente à travers le continent africain.
Les patients qui en achètent ont souvent des moyens financiers limités
pour acheter les produits certifiés dans les pharmacie officiellement
connus par les autorités.
On les appelle « les pharmacies parterre » au Mali, elles ont d’autres
appellations selon les pays.
Nous n’ignorons pas les dégâts que causent ces faux médicament mais
en l’absence d’autopsie des corps le nombre de morts causé par ces
produits reste inconnu..
Quelle solution?
Ceux sont des gens qui ont une connaissance des produits qu’ils vendent
pour subvenir aux besoins d’une partie importante de la population, qui a
des moyens financiers limités, j’insiste sur ce caractère parce qu’elle est
très importance dans l’utilisation des faux médicaments.
Il faut les organiser en Association selon les régions, les secteur pour les
expliquer les dangers que les personnes encourent qui utilisent ces faux
médicaments.
Cette association permet de les recenser et de monter avec eux des
pharmacies de proximité dans leur lieux d’activités. Elles peuvent être
dans les villes, villages, hameaux où les vraies pharmacies sont
inexistantes.
L’essentiel qu’ils ont des produits certifiés donc la vente et l’utilisation
sont connues par les autorités locales, régionales et nationales.
2. Comment les faire gagner leur quotidien?
Il faut les intégrer à la fonction public comme des pharmaciens de l’état,
une frange importante de la population est exclue, de la prise en charge
des Etas, pour la simple raison qu’elle n’a pas de diplômes alors que
ceux sont des citoyens qui payent en majorité des impôts pour les
activités qu’ils mènent.
Cette option doit cibler certains produits pharmaceutiques ou pas parce
qu’ils ont des connaissances des produits qu’ils utilisent et des
maladies qu’ils soignent.
Leurs termes sont propres à eux à seul, il faut commencer à leur faire des
petites formation avec les pharmaciens au sens propre du terme.
Beaucoup de maladies font leur apparition sur le continent sans
connaitre leur causes qui souvent ne donnent aucune chance aux
patients.
Ceux qui veulent rester à leur propre compte s’engagent à n’utiliser que
des produits connus officiellement avec des contrôles réguliers par les
pharmaciens que l’Etat délèguent, afin qu’ils n’utilisent plus les faux
médicaments.
La voie officielle, de lutte contre les faux médicaments, n’est pas efficace
pour la simple raison que le laboratoire ou les laboratoires indiqués sur le
médicaments peuvent dirent qu’ils ont été contrefaits par x, y, z.
Ce qui peut désengager leur responsabilités.
Que désormais tous les produits pharmaceutiques transitent par des voies
officielles et les Etats doivent s’engager à respecter, de la source à la
destination.
Il ne faut pas confondre les soigneurs traditionnels et les vendeur de
faux médicaments…