3. L’Apologie de Socrate :
une analyse rhétorique
Présentation orale de Claude Filimenti
dans le cadre du séminaire
FLIT 601 - Études des objets littéraires et du discours
dirigé par le professeur Sophie Marcotte
Programme de maîtrise en littératures francophones et résonances médiatiques
Département d’études françaises, Université Concordia
Professeur Marcotte, chers collègues,
Merci de m'offrir ces quelques minutes pour vous présenter une courte analyse rhétorique de l'Apologie de Socrate.
Professeur Marcotte, chers collègues,
Merci de m'offrir ces quelques minutes pour vous présenter une courte analyse rhétorique de l'Apologie de Socrate.
J’aimerais d’abord attirer votre attention sur cette citation appropriée au sujet que nous allons couvrir aujourd’hui.
Je vous demanderais de laisser courir votre imagination, ne serait-ce que pour un instant.
[lire les éléments de la diapo]
Gardez cela en tête, nous y reviendrons plus tard.
Je vous demanderais de laisser courir votre imagination, ne serait-ce que pour un instant.
[lire les éléments de la diapo]
Gardez cela en tête, nous y reviendrons plus tard.
Je vous demanderais de laisser courir votre imagination, ne serait-ce que pour un instant.
[lire les éléments de la diapo]
Gardez cela en tête, nous y reviendrons plus tard.
Je vous demanderais de laisser courir votre imagination, ne serait-ce que pour un instant.
[lire les éléments de la diapo]
Gardez cela en tête, nous y reviendrons plus tard.
Je vous demanderais de laisser courir votre imagination, ne serait-ce que pour un instant.
[lire les éléments de la diapo]
Gardez cela en tête, nous y reviendrons plus tard.
• Je me sers ici principalement de deux textes, dont le premier dont vous avez reçu une copie sur Moodle.
• Veuillez excuser le document PDF moins que parfait, mais comme me l’a exprimé Madame Marcotte, il est plus facile à lire à l’écran qu’à l’imprimé ce qui cadre dans notre démarche sur les nouveaux documents, et aussi avec les questions de sauvegarde de l’environnement.
• J’ai choisi ce texte car il représente un cours de niveau avancé sur la rhétorique et que je l’avais en main. Désolé de n’avoir pas eu en main un texte en français.
• À la surprise de plusieurs parmi vous, je vais aussi utiliser un article du Wikipédia et de plusieurs citations de cette encyclopédie.
J’adopte ici la position présentée par le professeur Ollivier Dyens de l'Université Concordia qui voit en Wikipédia une source valable de connaissances.
• D'ailleurs, le contenu de l’article que j’utilise ici se défend entièrement par rapport aux autres documents que nous avons à lire pour le présent séminaire. De plus, il a l’avantage d’offrir de nombreux liens utiles pour l’exploration additionnelle.
•Ma présentation en format PDF, avec toutes les notes, sera postée sur Moodle par Madame Marcotte pour les personnes s’y intéressant.
• Je me sers ici principalement de deux textes, dont le premier dont vous avez reçu une copie sur Moodle.
• Veuillez excuser le document PDF moins que parfait, mais comme me l’a exprimé Madame Marcotte, il est plus facile à lire à l’écran qu’à l’imprimé ce qui cadre dans notre démarche sur les nouveaux documents, et aussi avec les questions de sauvegarde de l’environnement.
• J’ai choisi ce texte car il représente un cours de niveau avancé sur la rhétorique et que je l’avais en main. Désolé de n’avoir pas eu en main un texte en français.
• À la surprise de plusieurs parmi vous, je vais aussi utiliser un article du Wikipédia et de plusieurs citations de cette encyclopédie.
J’adopte ici la position présentée par le professeur Ollivier Dyens de l'Université Concordia qui voit en Wikipédia une source valable de connaissances.
• D'ailleurs, le contenu de l’article que j’utilise ici se défend entièrement par rapport aux autres documents que nous avons à lire pour le présent séminaire. De plus, il a l’avantage d’offrir de nombreux liens utiles pour l’exploration additionnelle.
•Ma présentation en format PDF, avec toutes les notes, sera postée sur Moodle par Madame Marcotte pour les personnes s’y intéressant.
J’ai choisi de vous présenter la rhétorique car on y fait référence dans plusieurs textes théoriques que nous étudions pour ce séminaire.
La rhétorique avec la poétique sont les éléments fondateurs codifiés par Socrate, même s’il ne les a pas inventés, et qui permettent la compréhension du discours occidental, tant à l’oral qu’à l’écrit. Ces théories, ont permis de développer presque toutes les autres théories d’analyse du texte, soit par opposition, soit par ajout.
Dans son livre « La Rhétorique: Livre premier », Socrate indique et je cite:
« Rapports de la rhétorique et de la dialectique. - Utilité et rôle de la rhétorique.
1. La rhétorique se rattache à la dialectique (01). L'une comme l'autre s'occupe de certaines choses qui, communes par quelque point à tout le monde, peuvent être connues sans le secours d'aucune science déterminée. Aussi tout le monde, plus ou moins, les pratique l'une et l'autre; tout le monde, dans une certaine mesure, essaie de combattre et de soutenir une raison, de défendre, d'accuser.
II. Les uns font tout cela au hasard (02), et d'autres par une habitude contractée dans leur condition. Comme ces deux moyens sont admissibles, il est évident qu'il y aurait lieu d'en diriger l'application et de considérer la cause qui fait réussir soit une action habituelle, soit une action spontanée. Or tout le monde conviendra que cette étude est le propre de l'art. »
Source: http://fr.wikisource.org/wiki/La_Rhétorique_-_Livre_premier
Avec le regain d’intérêt récent sur la rhétorique et avec de nouvelles études ethnographiques et culturelles, on sait aussi que des pratiques rhétoriques, quoique moins codifiées que celles des Grecs, se sont développées indépendamment dans d’autres cultures, notamment en Chine, en Afrique, en Australasie, en Inde, en Égypte, et chez les hébreux.
Je vous en reparlerai lors de ma prochaine présentation orale.
J’ai choisi de vous présenter la rhétorique car on y fait référence dans plusieurs textes théoriques que nous étudions pour ce séminaire.
La rhétorique avec la poétique sont les éléments fondateurs codifiés par Socrate, même s’il ne les a pas inventés, et qui permettent la compréhension du discours occidental, tant à l’oral qu’à l’écrit. Ces théories, ont permis de développer presque toutes les autres théories d’analyse du texte, soit par opposition, soit par ajout.
Dans son livre « La Rhétorique: Livre premier », Socrate indique et je cite:
« Rapports de la rhétorique et de la dialectique. - Utilité et rôle de la rhétorique.
1. La rhétorique se rattache à la dialectique (01). L'une comme l'autre s'occupe de certaines choses qui, communes par quelque point à tout le monde, peuvent être connues sans le secours d'aucune science déterminée. Aussi tout le monde, plus ou moins, les pratique l'une et l'autre; tout le monde, dans une certaine mesure, essaie de combattre et de soutenir une raison, de défendre, d'accuser.
II. Les uns font tout cela au hasard (02), et d'autres par une habitude contractée dans leur condition. Comme ces deux moyens sont admissibles, il est évident qu'il y aurait lieu d'en diriger l'application et de considérer la cause qui fait réussir soit une action habituelle, soit une action spontanée. Or tout le monde conviendra que cette étude est le propre de l'art. »
Source: http://fr.wikisource.org/wiki/La_Rhétorique_-_Livre_premier
Avec le regain d’intérêt récent sur la rhétorique et avec de nouvelles études ethnographiques et culturelles, on sait aussi que des pratiques rhétoriques, quoique moins codifiées que celles des Grecs, se sont développées indépendamment dans d’autres cultures, notamment en Chine, en Afrique, en Australasie, en Inde, en Égypte, et chez les hébreux.
Je vous en reparlerai lors de ma prochaine présentation orale.
J’ai choisi de vous présenter la rhétorique car on y fait référence dans plusieurs textes théoriques que nous étudions pour ce séminaire.
La rhétorique avec la poétique sont les éléments fondateurs codifiés par Socrate, même s’il ne les a pas inventés, et qui permettent la compréhension du discours occidental, tant à l’oral qu’à l’écrit. Ces théories, ont permis de développer presque toutes les autres théories d’analyse du texte, soit par opposition, soit par ajout.
Dans son livre « La Rhétorique: Livre premier », Socrate indique et je cite:
« Rapports de la rhétorique et de la dialectique. - Utilité et rôle de la rhétorique.
1. La rhétorique se rattache à la dialectique (01). L'une comme l'autre s'occupe de certaines choses qui, communes par quelque point à tout le monde, peuvent être connues sans le secours d'aucune science déterminée. Aussi tout le monde, plus ou moins, les pratique l'une et l'autre; tout le monde, dans une certaine mesure, essaie de combattre et de soutenir une raison, de défendre, d'accuser.
II. Les uns font tout cela au hasard (02), et d'autres par une habitude contractée dans leur condition. Comme ces deux moyens sont admissibles, il est évident qu'il y aurait lieu d'en diriger l'application et de considérer la cause qui fait réussir soit une action habituelle, soit une action spontanée. Or tout le monde conviendra que cette étude est le propre de l'art. »
Source: http://fr.wikisource.org/wiki/La_Rhétorique_-_Livre_premier
Avec le regain d’intérêt récent sur la rhétorique et avec de nouvelles études ethnographiques et culturelles, on sait aussi que des pratiques rhétoriques, quoique moins codifiées que celles des Grecs, se sont développées indépendamment dans d’autres cultures, notamment en Chine, en Afrique, en Australasie, en Inde, en Égypte, et chez les hébreux.
Je vous en reparlerai lors de ma prochaine présentation orale.
J’ai choisi de vous présenter la rhétorique car on y fait référence dans plusieurs textes théoriques que nous étudions pour ce séminaire.
La rhétorique avec la poétique sont les éléments fondateurs codifiés par Socrate, même s’il ne les a pas inventés, et qui permettent la compréhension du discours occidental, tant à l’oral qu’à l’écrit. Ces théories, ont permis de développer presque toutes les autres théories d’analyse du texte, soit par opposition, soit par ajout.
Dans son livre « La Rhétorique: Livre premier », Socrate indique et je cite:
« Rapports de la rhétorique et de la dialectique. - Utilité et rôle de la rhétorique.
1. La rhétorique se rattache à la dialectique (01). L'une comme l'autre s'occupe de certaines choses qui, communes par quelque point à tout le monde, peuvent être connues sans le secours d'aucune science déterminée. Aussi tout le monde, plus ou moins, les pratique l'une et l'autre; tout le monde, dans une certaine mesure, essaie de combattre et de soutenir une raison, de défendre, d'accuser.
II. Les uns font tout cela au hasard (02), et d'autres par une habitude contractée dans leur condition. Comme ces deux moyens sont admissibles, il est évident qu'il y aurait lieu d'en diriger l'application et de considérer la cause qui fait réussir soit une action habituelle, soit une action spontanée. Or tout le monde conviendra que cette étude est le propre de l'art. »
Source: http://fr.wikisource.org/wiki/La_Rhétorique_-_Livre_premier
Avec le regain d’intérêt récent sur la rhétorique et avec de nouvelles études ethnographiques et culturelles, on sait aussi que des pratiques rhétoriques, quoique moins codifiées que celles des Grecs, se sont développées indépendamment dans d’autres cultures, notamment en Chine, en Afrique, en Australasie, en Inde, en Égypte, et chez les hébreux.
Je vous en reparlerai lors de ma prochaine présentation orale.
J’ai choisi de vous présenter la rhétorique car on y fait référence dans plusieurs textes théoriques que nous étudions pour ce séminaire.
La rhétorique avec la poétique sont les éléments fondateurs codifiés par Socrate, même s’il ne les a pas inventés, et qui permettent la compréhension du discours occidental, tant à l’oral qu’à l’écrit. Ces théories, ont permis de développer presque toutes les autres théories d’analyse du texte, soit par opposition, soit par ajout.
Dans son livre « La Rhétorique: Livre premier », Socrate indique et je cite:
« Rapports de la rhétorique et de la dialectique. - Utilité et rôle de la rhétorique.
1. La rhétorique se rattache à la dialectique (01). L'une comme l'autre s'occupe de certaines choses qui, communes par quelque point à tout le monde, peuvent être connues sans le secours d'aucune science déterminée. Aussi tout le monde, plus ou moins, les pratique l'une et l'autre; tout le monde, dans une certaine mesure, essaie de combattre et de soutenir une raison, de défendre, d'accuser.
II. Les uns font tout cela au hasard (02), et d'autres par une habitude contractée dans leur condition. Comme ces deux moyens sont admissibles, il est évident qu'il y aurait lieu d'en diriger l'application et de considérer la cause qui fait réussir soit une action habituelle, soit une action spontanée. Or tout le monde conviendra que cette étude est le propre de l'art. »
Source: http://fr.wikisource.org/wiki/La_Rhétorique_-_Livre_premier
Avec le regain d’intérêt récent sur la rhétorique et avec de nouvelles études ethnographiques et culturelles, on sait aussi que des pratiques rhétoriques, quoique moins codifiées que celles des Grecs, se sont développées indépendamment dans d’autres cultures, notamment en Chine, en Afrique, en Australasie, en Inde, en Égypte, et chez les hébreux.
Je vous en reparlerai lors de ma prochaine présentation orale.
• J’ai d’abord étudié La République de Platon en 1982 dans le cours «History of political theories» ici à Concordia. J’ai été frappé par l’efficacité de la technique de Socrate. J’ai aussi été frappé par son apologie.
Surtout par le fait qu’être philosophe expérimenté, orateur chevronné et qu’avoir raison en plus de dire la vérité ne sont pas des garants du succès dans le monde dominé par la bêtise humaine, la jalousie, l’appât du gain et la soif de puissance et du pouvoir. Si on peut tuer un Socrate, un Jésus, un Ghandi, quel est l’espoir d’amélioration pour l’humanité?
•Dans le cadre du cours de «Introduction to political philosophy» donné à Yale University à l’automne 2008, on présente l’Apologie de Platon comme « the best introductory text to the study of political philosophy. The focus remains on the Apology as a symbol for the violation of free expression, with Socrates justifying his way of life as a philosopher and defending the utility of philosophy for political life.» (http://www.youtube.com/watch?v=oFglU_ED4h0)
•Les grands textes philosophiques et politiques d’Aristote, de Socrate, de Locke, de Moores, de Rousseau, de Marx, pour ne nommer que ceux-là, ont influencé la pratique littéraire, comme la littérature s’est elle-même inspirée de ces textes.
•Toutes les systèmes parlementaires modernes, de même que leur systèmes judiciaires, sont gouvernées par des principes qu’on retrouve déjà dans la rhétorique de Socrate.
•Alors, on en sort pas. Personnellement, je regrette énormément ne pas avoir suivi une formation rhétorique. Et vous?
• J’ai d’abord étudié La République de Platon en 1982 dans le cours «History of political theories» ici à Concordia. J’ai été frappé par l’efficacité de la technique de Socrate. J’ai aussi été frappé par son apologie.
Surtout par le fait qu’être philosophe expérimenté, orateur chevronné et qu’avoir raison en plus de dire la vérité ne sont pas des garants du succès dans le monde dominé par la bêtise humaine, la jalousie, l’appât du gain et la soif de puissance et du pouvoir. Si on peut tuer un Socrate, un Jésus, un Ghandi, quel est l’espoir d’amélioration pour l’humanité?
•Dans le cadre du cours de «Introduction to political philosophy» donné à Yale University à l’automne 2008, on présente l’Apologie de Platon comme « the best introductory text to the study of political philosophy. The focus remains on the Apology as a symbol for the violation of free expression, with Socrates justifying his way of life as a philosopher and defending the utility of philosophy for political life.» (http://www.youtube.com/watch?v=oFglU_ED4h0)
•Les grands textes philosophiques et politiques d’Aristote, de Socrate, de Locke, de Moores, de Rousseau, de Marx, pour ne nommer que ceux-là, ont influencé la pratique littéraire, comme la littérature s’est elle-même inspirée de ces textes.
•Toutes les systèmes parlementaires modernes, de même que leur systèmes judiciaires, sont gouvernées par des principes qu’on retrouve déjà dans la rhétorique de Socrate.
•Alors, on en sort pas. Personnellement, je regrette énormément ne pas avoir suivi une formation rhétorique. Et vous?
• J’ai d’abord étudié La République de Platon en 1982 dans le cours «History of political theories» ici à Concordia. J’ai été frappé par l’efficacité de la technique de Socrate. J’ai aussi été frappé par son apologie.
Surtout par le fait qu’être philosophe expérimenté, orateur chevronné et qu’avoir raison en plus de dire la vérité ne sont pas des garants du succès dans le monde dominé par la bêtise humaine, la jalousie, l’appât du gain et la soif de puissance et du pouvoir. Si on peut tuer un Socrate, un Jésus, un Ghandi, quel est l’espoir d’amélioration pour l’humanité?
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•Les grands textes philosophiques et politiques d’Aristote, de Socrate, de Locke, de Moores, de Rousseau, de Marx, pour ne nommer que ceux-là, ont influencé la pratique littéraire, comme la littérature s’est elle-même inspirée de ces textes.
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•Alors, on en sort pas. Personnellement, je regrette énormément ne pas avoir suivi une formation rhétorique. Et vous?
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Surtout par le fait qu’être philosophe expérimenté, orateur chevronné et qu’avoir raison en plus de dire la vérité ne sont pas des garants du succès dans le monde dominé par la bêtise humaine, la jalousie, l’appât du gain et la soif de puissance et du pouvoir. Si on peut tuer un Socrate, un Jésus, un Ghandi, quel est l’espoir d’amélioration pour l’humanité?
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•Toutes les systèmes parlementaires modernes, de même que leur systèmes judiciaires, sont gouvernées par des principes qu’on retrouve déjà dans la rhétorique de Socrate.
•Alors, on en sort pas. Personnellement, je regrette énormément ne pas avoir suivi une formation rhétorique. Et vous?
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Surtout par le fait qu’être philosophe expérimenté, orateur chevronné et qu’avoir raison en plus de dire la vérité ne sont pas des garants du succès dans le monde dominé par la bêtise humaine, la jalousie, l’appât du gain et la soif de puissance et du pouvoir. Si on peut tuer un Socrate, un Jésus, un Ghandi, quel est l’espoir d’amélioration pour l’humanité?
•Dans le cadre du cours de «Introduction to political philosophy» donné à Yale University à l’automne 2008, on présente l’Apologie de Platon comme « the best introductory text to the study of political philosophy. The focus remains on the Apology as a symbol for the violation of free expression, with Socrates justifying his way of life as a philosopher and defending the utility of philosophy for political life.» (http://www.youtube.com/watch?v=oFglU_ED4h0)
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•Toutes les systèmes parlementaires modernes, de même que leur systèmes judiciaires, sont gouvernées par des principes qu’on retrouve déjà dans la rhétorique de Socrate.
•Alors, on en sort pas. Personnellement, je regrette énormément ne pas avoir suivi une formation rhétorique. Et vous?
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Surtout par le fait qu’être philosophe expérimenté, orateur chevronné et qu’avoir raison en plus de dire la vérité ne sont pas des garants du succès dans le monde dominé par la bêtise humaine, la jalousie, l’appât du gain et la soif de puissance et du pouvoir. Si on peut tuer un Socrate, un Jésus, un Ghandi, quel est l’espoir d’amélioration pour l’humanité?
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•Toutes les systèmes parlementaires modernes, de même que leur systèmes judiciaires, sont gouvernées par des principes qu’on retrouve déjà dans la rhétorique de Socrate.
•Alors, on en sort pas. Personnellement, je regrette énormément ne pas avoir suivi une formation rhétorique. Et vous?
• J’ai d’abord étudié La République de Platon en 1982 dans le cours «History of political theories» ici à Concordia. J’ai été frappé par l’efficacité de la technique de Socrate. J’ai aussi été frappé par son apologie.
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•Toutes les systèmes parlementaires modernes, de même que leur systèmes judiciaires, sont gouvernées par des principes qu’on retrouve déjà dans la rhétorique de Socrate.
•Alors, on en sort pas. Personnellement, je regrette énormément ne pas avoir suivi une formation rhétorique. Et vous?
• J’ai d’abord étudié La République de Platon en 1982 dans le cours «History of political theories» ici à Concordia. J’ai été frappé par l’efficacité de la technique de Socrate. J’ai aussi été frappé par son apologie.
Surtout par le fait qu’être philosophe expérimenté, orateur chevronné et qu’avoir raison en plus de dire la vérité ne sont pas des garants du succès dans le monde dominé par la bêtise humaine, la jalousie, l’appât du gain et la soif de puissance et du pouvoir. Si on peut tuer un Socrate, un Jésus, un Ghandi, quel est l’espoir d’amélioration pour l’humanité?
•Dans le cadre du cours de «Introduction to political philosophy» donné à Yale University à l’automne 2008, on présente l’Apologie de Platon comme « the best introductory text to the study of political philosophy. The focus remains on the Apology as a symbol for the violation of free expression, with Socrates justifying his way of life as a philosopher and defending the utility of philosophy for political life.» (http://www.youtube.com/watch?v=oFglU_ED4h0)
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•Toutes les systèmes parlementaires modernes, de même que leur systèmes judiciaires, sont gouvernées par des principes qu’on retrouve déjà dans la rhétorique de Socrate.
•Alors, on en sort pas. Personnellement, je regrette énormément ne pas avoir suivi une formation rhétorique. Et vous?
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•Les grands textes philosophiques et politiques d’Aristote, de Socrate, de Locke, de Moores, de Rousseau, de Marx, pour ne nommer que ceux-là, ont influencé la pratique littéraire, comme la littérature s’est elle-même inspirée de ces textes.
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•Dans le cadre du cours de «Introduction to political philosophy» donné à Yale University à l’automne 2008, on présente l’Apologie de Platon comme « the best introductory text to the study of political philosophy. The focus remains on the Apology as a symbol for the violation of free expression, with Socrates justifying his way of life as a philosopher and defending the utility of philosophy for political life.» (http://www.youtube.com/watch?v=oFglU_ED4h0)
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•Toutes les systèmes parlementaires modernes, de même que leur systèmes judiciaires, sont gouvernées par des principes qu’on retrouve déjà dans la rhétorique de Socrate.
•Alors, on en sort pas. Personnellement, je regrette énormément ne pas avoir suivi une formation rhétorique. Et vous?
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•Dans le cadre du cours de «Introduction to political philosophy» donné à Yale University à l’automne 2008, on présente l’Apologie de Platon comme « the best introductory text to the study of political philosophy. The focus remains on the Apology as a symbol for the violation of free expression, with Socrates justifying his way of life as a philosopher and defending the utility of philosophy for political life.» (http://www.youtube.com/watch?v=oFglU_ED4h0)
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•Toutes les systèmes parlementaires modernes, de même que leur systèmes judiciaires, sont gouvernées par des principes qu’on retrouve déjà dans la rhétorique de Socrate.
•Alors, on en sort pas. Personnellement, je regrette énormément ne pas avoir suivi une formation rhétorique. Et vous?
• J’ai d’abord étudié La République de Platon en 1982 dans le cours «History of political theories» ici à Concordia. J’ai été frappé par l’efficacité de la technique de Socrate. J’ai aussi été frappé par son apologie.
Surtout par le fait qu’être philosophe expérimenté, orateur chevronné et qu’avoir raison en plus de dire la vérité ne sont pas des garants du succès dans le monde dominé par la bêtise humaine, la jalousie, l’appât du gain et la soif de puissance et du pouvoir. Si on peut tuer un Socrate, un Jésus, un Ghandi, quel est l’espoir d’amélioration pour l’humanité?
•Dans le cadre du cours de «Introduction to political philosophy» donné à Yale University à l’automne 2008, on présente l’Apologie de Platon comme « the best introductory text to the study of political philosophy. The focus remains on the Apology as a symbol for the violation of free expression, with Socrates justifying his way of life as a philosopher and defending the utility of philosophy for political life.» (http://www.youtube.com/watch?v=oFglU_ED4h0)
•Les grands textes philosophiques et politiques d’Aristote, de Socrate, de Locke, de Moores, de Rousseau, de Marx, pour ne nommer que ceux-là, ont influencé la pratique littéraire, comme la littérature s’est elle-même inspirée de ces textes.
•Toutes les systèmes parlementaires modernes, de même que leur systèmes judiciaires, sont gouvernées par des principes qu’on retrouve déjà dans la rhétorique de Socrate.
•Alors, on en sort pas. Personnellement, je regrette énormément ne pas avoir suivi une formation rhétorique. Et vous?
• du nom latin rhetorica provenant du nom grec rhêtorikê = technique, art oratoire = l'art de bien parler = l'art ou la technique de persuader au moyen du langage = théorie de la parole efficace liée à une pratique oratoire
•But = vise à persuader un auditoire sur des sujets les plus divers
• progressivement = art de bien dire plutôt qu'un art de persuader, se restraignant à un inventaire de figures relevant des ornements du discours.
• À la fois: science = étude structurée, art = (savoir éprouvé ou technique) qui se rapporte à l'action du discours sur les esprits
• historiquement = étude du discours politique oral, depuis, intérêt textes écrits surtout littéraires et dramatiques, aujourd'hui discipline nommée stylistique
• différent de l'argumentation et de la dialectique par usage effets pathétiques ou éthiques du discours sur la réception par le public
• du nom latin rhetorica provenant du nom grec rhêtorikê = technique, art oratoire = l'art de bien parler = l'art ou la technique de persuader au moyen du langage = théorie de la parole efficace liée à une pratique oratoire
•But = vise à persuader un auditoire sur des sujets les plus divers
• progressivement = art de bien dire plutôt qu'un art de persuader, se restraignant à un inventaire de figures relevant des ornements du discours.
• À la fois: science = étude structurée, art = (savoir éprouvé ou technique) qui se rapporte à l'action du discours sur les esprits
• historiquement = étude du discours politique oral, depuis, intérêt textes écrits surtout littéraires et dramatiques, aujourd'hui discipline nommée stylistique
• différent de l'argumentation et de la dialectique par usage effets pathétiques ou éthiques du discours sur la réception par le public
• du nom latin rhetorica provenant du nom grec rhêtorikê = technique, art oratoire = l'art de bien parler = l'art ou la technique de persuader au moyen du langage = théorie de la parole efficace liée à une pratique oratoire
•But = vise à persuader un auditoire sur des sujets les plus divers
• progressivement = art de bien dire plutôt qu'un art de persuader, se restraignant à un inventaire de figures relevant des ornements du discours.
• À la fois: science = étude structurée, art = (savoir éprouvé ou technique) qui se rapporte à l'action du discours sur les esprits
• historiquement = étude du discours politique oral, depuis, intérêt textes écrits surtout littéraires et dramatiques, aujourd'hui discipline nommée stylistique
• différent de l'argumentation et de la dialectique par usage effets pathétiques ou éthiques du discours sur la réception par le public
• du nom latin rhetorica provenant du nom grec rhêtorikê = technique, art oratoire = l'art de bien parler = l'art ou la technique de persuader au moyen du langage = théorie de la parole efficace liée à une pratique oratoire
•But = vise à persuader un auditoire sur des sujets les plus divers
• progressivement = art de bien dire plutôt qu'un art de persuader, se restraignant à un inventaire de figures relevant des ornements du discours.
• À la fois: science = étude structurée, art = (savoir éprouvé ou technique) qui se rapporte à l'action du discours sur les esprits
• historiquement = étude du discours politique oral, depuis, intérêt textes écrits surtout littéraires et dramatiques, aujourd'hui discipline nommée stylistique
• différent de l'argumentation et de la dialectique par usage effets pathétiques ou éthiques du discours sur la réception par le public
• du nom latin rhetorica provenant du nom grec rhêtorikê = technique, art oratoire = l'art de bien parler = l'art ou la technique de persuader au moyen du langage = théorie de la parole efficace liée à une pratique oratoire
•But = vise à persuader un auditoire sur des sujets les plus divers
• progressivement = art de bien dire plutôt qu'un art de persuader, se restraignant à un inventaire de figures relevant des ornements du discours.
• À la fois: science = étude structurée, art = (savoir éprouvé ou technique) qui se rapporte à l'action du discours sur les esprits
• historiquement = étude du discours politique oral, depuis, intérêt textes écrits surtout littéraires et dramatiques, aujourd'hui discipline nommée stylistique
• différent de l'argumentation et de la dialectique par usage effets pathétiques ou éthiques du discours sur la réception par le public
D’abord comprenons que le texte étudié ici n’est pas complet.
Cet extrait est pourtant suffisant pour vous présenter sa forme rhétorique.
Cette apologie met en relief le droit d’expression individuelle mis en opposition à l’exercice du pouvoir collectif.
Nous allons examiner la démarche du rhétien Socrate dans sa course entre la vie et la mort.
La rhétorique nous offre le cadre qui permet plusieurs autres types d’analyses.
D’abord comprenons que le texte étudié ici n’est pas complet.
Cet extrait est pourtant suffisant pour vous présenter sa forme rhétorique.
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Nous allons examiner la démarche du rhétien Socrate dans sa course entre la vie et la mort.
La rhétorique nous offre le cadre qui permet plusieurs autres types d’analyses.
D’abord comprenons que le texte étudié ici n’est pas complet.
Cet extrait est pourtant suffisant pour vous présenter sa forme rhétorique.
Cette apologie met en relief le droit d’expression individuelle mis en opposition à l’exercice du pouvoir collectif.
Nous allons examiner la démarche du rhétien Socrate dans sa course entre la vie et la mort.
La rhétorique nous offre le cadre qui permet plusieurs autres types d’analyses.
D’abord comprenons que le texte étudié ici n’est pas complet.
Cet extrait est pourtant suffisant pour vous présenter sa forme rhétorique.
Cette apologie met en relief le droit d’expression individuelle mis en opposition à l’exercice du pouvoir collectif.
Nous allons examiner la démarche du rhétien Socrate dans sa course entre la vie et la mort.
La rhétorique nous offre le cadre qui permet plusieurs autres types d’analyses.
Voici les cinq éléments du plan de l’Apologie de Socrate.
À quoi cela vous fait-ils penser?
Exactement : au plan de presque touts nos travaux universitaires.
Voici les cinq éléments du plan de l’Apologie de Socrate.
À quoi cela vous fait-ils penser?
Exactement : au plan de presque touts nos travaux universitaires.
Voici les cinq éléments du plan de l’Apologie de Socrate.
À quoi cela vous fait-ils penser?
Exactement : au plan de presque touts nos travaux universitaires.
Voici les cinq éléments du plan de l’Apologie de Socrate.
À quoi cela vous fait-ils penser?
Exactement : au plan de presque touts nos travaux universitaires.
Voici les cinq éléments du plan de l’Apologie de Socrate.
À quoi cela vous fait-ils penser?
Exactement : au plan de presque touts nos travaux universitaires.
Voici les cinq éléments du plan de l’Apologie de Socrate.
À quoi cela vous fait-ils penser?
Exactement : au plan de presque touts nos travaux universitaires.
Voici les cinq éléments du plan de l’Apologie de Socrate.
À quoi cela vous fait-ils penser?
Exactement : au plan de presque touts nos travaux universitaires.
« Comment vous, O Athéniens. avez été affecté par mes accusateurs, je ne peux dire;
mais je sais qu’ils m’ont fait oublier qui j’étais—si persuasifs étaient-ils;
pourtant à date, ils on à peine prononcés un mot de vrai. »
Entrée en matière directe.
On démontre une tromperie si grave que vous et moi y avons succombé, donc empathie réciproque, nous sommes communément victimes.
Technique que Socrate reprendra lors de la réfutation.
Passant immédiatement du général au particulier
« ils vous ont dit que vous deviez vous tenir sur vos gardes et ne pas vous permettre d’être trompés par la force de mon éloquence. »
Voilà son crime, il est d’une telle éloquence qu’on doit en prévenir les autres.
Socrate atténue d’abord une telle force
« dès que j’ouvrirai la bouche et que sera prouvé que je suis tout, tout sauf un grand orateur »
utilisant sa typique technique d’ironie pour se rabaisser.
Et dans la même phrase il se redresse
« à moins que par la force de l’éloquence ils veuillent dire la force de la vérité. »
Qu’il ponctue de
« car si telle est leur intention. j’admet que je suis éloquent.  »
retournant à son avantage l’accusation même qu’on porte contre son talent.
Technique auto-référentielle qu’il utilisera aussi dans sa réfutation en s’abaissant en paroles pour mieux être relevé par les faits démontrés.
et nous ne sommes qu’au début du premier paragraphe dans lequel il fera son seul appel émotionnel, son seul pathos, pour plutôt privilégier l’appel à la raison dans le reste de sa démonstration élocutoire.
« Comment vous, O Athéniens. avez été affecté par mes accusateurs, je ne peux dire;
mais je sais qu’ils m’ont fait oublier qui j’étais—si persuasifs étaient-ils;
pourtant à date, ils on à peine prononcés un mot de vrai. »
Entrée en matière directe.
On démontre une tromperie si grave que vous et moi y avons succombé, donc empathie réciproque, nous sommes communément victimes.
Technique que Socrate reprendra lors de la réfutation.
Passant immédiatement du général au particulier
« ils vous ont dit que vous deviez vous tenir sur vos gardes et ne pas vous permettre d’être trompés par la force de mon éloquence. »
Voilà son crime, il est d’une telle éloquence qu’on doit en prévenir les autres.
Socrate atténue d’abord une telle force
« dès que j’ouvrirai la bouche et que sera prouvé que je suis tout, tout sauf un grand orateur »
utilisant sa typique technique d’ironie pour se rabaisser.
Et dans la même phrase il se redresse
« à moins que par la force de l’éloquence ils veuillent dire la force de la vérité. »
Qu’il ponctue de
« car si telle est leur intention. j’admet que je suis éloquent.  »
retournant à son avantage l’accusation même qu’on porte contre son talent.
Technique auto-référentielle qu’il utilisera aussi dans sa réfutation en s’abaissant en paroles pour mieux être relevé par les faits démontrés.
et nous ne sommes qu’au début du premier paragraphe dans lequel il fera son seul appel émotionnel, son seul pathos, pour plutôt privilégier l’appel à la raison dans le reste de sa démonstration élocutoire.
• Socrate organise sa défense (son argumentation) en deux parties
1 les accusations passées
2 les accusations présentes
Dans la première partie il défendra sa réputation à l'aide démonstrations raisonnables faisant appel au bon sens de son auditoire.
Dans la deuxième partie il se défendra des accusations portées contre lui avec de grandes touches ironiques, voire sarcastiques, prenant à témoin son auditoire.
Il confondra même son principal accusateur en rendant ses positions ridicules.
Passé (il veut ici, réfuter les impressions sur lui qui peuvent avoir nui à sa réputation)
1. il est un étudiant de la philosophie naturelle
2. il fait en sorte que la cause moins bonne semble meilleure que la bonne cause
3. il est enseignant de ces doctrines et il en tire un revenu
Tout en maintenant le lien entre lui et l'auditoire, soutenant le fait qu'ils ont été tropmpés, et ça depuis bien des années, Socrate demande à l'auditoire si aucune des personnes présentes peuvent affirmer qu'il ait jamais dit quoi que ce soit sur la philosophie naturelle.
«Parlez, vous qui m'avez entendu, et dites à vos voisins si vous m'avez jamais entendu dire en peu de mots ou bien en de longues paroles à propos de telle matière… [imaginons les murmures de l'audience exprimant son désaccord, puis son accord avec Socrate]
[S'adressant aux juges] Vous entendez leur réponse. Et de ce qu'ils disent de cette partie de l'accusation, vous serez en mesure de juger du reste»
En deux temps trois mouvements, à l'aide de simples figures de style, Socrate fait la démonstration de la fausseté de la charge contre lui.
Puisque personne présent ne peux affirmer qu'il l'a fait, c'est donc qu'il ne l'a pas fait. Donc la charge est mensongère, donc Socrate dit la vérité et il est donc innocent. Et notez bien que puisque ce qu'il vient de réfuter est la vérité, le reste qui s'en vient sera donc aussi la vérité.
La logique argumentaire en condensé.
Exemples modernes
La même technique est utilisée pour manipuler facilement l'opinion publique aujourd'hui en publicité:
Une affirmation est faite comme si elle ne représentait que la seule vérité. Plus elle est répétée, plus elle devient efficace. C'est la technique utilisée dans les annonces publicitaires "tout le monde en mange parce qu'elles sont meilleures, elles sont meilleures parce que tout le monde en mange".
C'est aussi comme ça qu'on cré l'opinion publique avec l'utilisation des bulletins de nouvelles par exemple:
Avant le dernier référendum, Jean Chrétien du parti Libéral fédéral avait dit «les gens en ont assez des référendums» (avec un taux de participation au delà de 90%, je ne sais pas où il avait pris cette idée). C'est devenu un «sound byte» fétiche.
Depuis, cette formule est répétée ad nauseam par la classe politique et par les journalistes sous la forme «les gens en ont assez des élections» qui est leur façon de garantir l'apathie du peuple sur la question politique, de leur enlever au préalable le droit de parole, et donc de miner la démocratie.
Ayant habilement utilisé le paradoxe philosophique ultime de celui qui est au dessus de tous parce qu'il se rend compte qu'il ne sait absolument rien, en montrant tout ses efforts pour essayer de trouver quelqu'un qui lui est supérieur (on pourrait voir là un Voltaire, un Hugo, un Tolstoï, et surtout un VLB),
Socrate va passer du passé au présent.
Il devient moins sérieux, démontre sa recherche presque épique pour prouver que le dieu Oracle avait tort en affirmant que Socrate était l’homme le plus sage.
Tous ses efforts pour trouver plus sage que lui, car l’Oracle ne peut pas avoir raison. N’est-ce-pas? Pour finalement découvrir que l’Oracle n’avait pas tort.
Même en voulant prouver que je n’étais pas le plus sage, par tous les moyens possibles, force m’a été faite, à mon grand désespoir, de constater que le dieu Oracle avais raison. Et s’il avait raison, vous devez donc conclure de même, non?
Cette forme d’ironie était chère à Socrate dans sa glorification auto-référentielle.
C’est d’ailleurs ce qui l’a mis dans le pétrin. :)
Il va ici exposer le ridicule de son opposant pour réfuter les accusations, et afin de continuer à détendre l'auditoire (ça fait partie du spectacle, non?) pour le gagner à son point de vue.
Il va ici utiliser plusieurs interjections ironiques dans son interrogatoire de Meletus
«Alors, par tous les dieux de qui nous parlons, Meletus » (41)
« Quelle déclaration extraordinaire! » (43)
« Meletus mon ami, […] Avez-vous une si piètre opinion des juges, que vous croyez qu’il sont si illettrés qu’ils ne savent pas que » (45)
« Je ne peux pas croire, hommes d'Athènes, que Meletus soit insouciant et imprudent et qu’il n’ait porté ces accusations suivant l’esprit d’un seul caprice de jeunesse et de bravade. » (47)
« de telles absurdités de votre part, Meletus, ne peuvent que démontrer votre intention de me faire un procès. » (53)
L’appellation ironique de « mon ami » et l’usage répété de son prénom, comme on parle parfois à un enfant difficile, sera répétée à plusieurs reprises comme pour tourner le fer dans la plaie du ridicule.
Ici Socrate se sert d'un court paragraphe. Il veut ponctuer rapidement, comme s'il balayait d'un revers de la main tout cette procédure.
Faisant référence à sa démonstration raisonnable préalable, au fait qu'il se soit fait de nombreux ennemis, il annonce qu'il ne croit pas en la possibilité d'une réelle justice en son cas.
Bien mal lui en pris.
Il est possible que ce choix minimaliste ait pu être efficace dans une cause ou la vie et la mort n'éaient pas en jeux.
Il est possible que Socrate aurait peut-être été plus efficace s'il était ici retourné aux notions de pathos qu'il avait à peine amorcé en introduction.
Corbett mentionne que Socrate se méfiait des émotions.
Mais comme les accusations étaient basées sur des perceptions, émotionnelles plutôt que rationales, Socrate aurait mieux fait d'attaquer cet aspect.
Contrairement à l'usage rhétorique, il n'a pas su émouvoir les juges.
Structuralisme car rhétorique représente un ensemble de structures permettant de créer le discours (quoique approche bâtissante plutô que déconstructive)
« Le structuralisme est un courant des sciences humaines qui s'inspire du modèle linguistique et appréhende la réalité sociale comme un ensemble formel de relations. […] d'appréhender toute langue comme un système dans lequel chacun des éléments n'est définissable que par les relations d'équivalence ou d'opposition qu'il entretient avec les autres, cet ensemble de relations formant la « structure » »
Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Structuralisme
Stylistique car rhétorique se sert abondamment des figures de styles pour bâtir le discours (stylistique donc sous-composante de la rhétorique)
« La stylistique est une discipline issue de la rhétorique et de la linguistique. Elle vise à étudier le caractère de littérarité d'un texte, c'est-à-dire la fonction du texte qui va au-delà de la simple transmission d'informations. Par exemple, elle s'interrogera sur la pertinence et l'efficacité des figures de style employées telles les métaphores, métonymies, litotes ainsi que sur l'agencement du texte, le vocabulaire et les temps verbaux employés. »
Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Stylistique
Poétique = complément à la rhétorique, l'habillement sur les structures = le bien dire (poétique = ajout puissant à la rhétorique)
« La poétique est l'étude des formes littéraires et plus particulièrement de la stylistique, de la narratologie, des figures de style. Elle est "l'étude de l'art littéraire en tant que création verbale" »
Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Poétique_(discipline)
Discours est l'objet même de la rhétorique (avec la rhétorique on produit un discours, qui permettra ultérieurement l'analyse du méta-discours)
« C’est le terme de rhétorique le plus général pour désigner les diverses espèces de compositions considérées surtout par rapport au discours. Il comprend toute suite de paroles prononcées avec une certaine méthode, avec un dessein déterminé, et adressées soit à une assemblée, soit à quelques personnes ou même à une seule. »
Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Discours
À toutes ces approches il manque toutefois un élément capital au discours, particulièrement au discours oral: les données extra-textuelles qui font pourtant partie intrinsèque du discours (le discours du corps, la gestuelle emphatique, les tons et modulations de la voix, la communication visuelle avec l’auditoire en général, la communication visuelle avec des cibles particulières dans l’auditoire, les silences spontanés de l’orateur pour laisser libre cours aux réactions de l’auditoire, par exemple)
Condamné dans l’opinion, bien avant son procès, comme il le mentionne lors de son ouverture.
Malgré le fait d’avoir raison (ou du moins de n’avoir pas tort)
Malgré le non-fondé des calomnies servant à appuyer son accusation
Malgré l’injustice que serait lui enlever le droit à la libre parole (droit incompatible avec l’exercice du pouvoir, semble-t-il)
Socrate perd, et peut-on s’en surprendre
C’est pourquoi les romains à venir institueront dans le droit la notion de diffamation
« La diffamation (ou calomnie) est un concept juridique désignant le fait de porter de fausses accusations contre une personne physique ou morale. La plupart du temps, il ne peut y avoir de diffamation que si l'accusation est appuyée par des contre-vérités. Ce type d'infraction existe depuis le droit romain. Le délit de diffamation peut être rapproché du droit à la vie privée, qui est équilibré avec le respect du droit à la liberté d'expression. Les gouvernements qui abusent des procédures de diffamation sont accusés de manier celle-ci comme moyen de censure. »
Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Calomnie
Notons d'ailleurs cette citation de Nicolas de Chamfort dans laquelle on pourrait presque lire une justification pour le duel:
« La calomnie est comme la guêpe qui vous importune, et contre laquelle il ne faut faire aucun mouvement, à moins qu’on soit sûr de la tuer, sans quoi elle revient à la charge, plus furieuse que jamais. »
Chamfort, «Extrait des Maximes et pensées, caractères et anecdotes»
Source: http://www.evene.fr/citations/mot.php?mot=calomnie
On connaît tous le résultat final de cette joute Athénienne.
Socrate a bu la coupe contenant le poison mortel, entouré de ses amis, disciples et serviteurs.
La vérité n’y était pour rien, le droit et la justice non plus.
La raison n’a pas pu vaincre les forces extra-contextuelles comme le mentionne Corbett.
Je crois que même si Socrate avait utilisé l’appel aux émotions, desquelles il se méfiait, il n’aurait rien pu obtenir d’une cause jugée d’avance.
Je crois qu’il en était tout à fait conscient si l’on en juge les dernières remarques de l’Apologie.
J’en ai suffisamment dit en réponse aux accusations de Meletus:
tout moyen de défense élaboré est inutile.
Vous connaissez bien la vérité de ma déclaration
d’avoir engagé de nombreuses inimitiés violentes et
c’est ce qui sera ma perte.
Je suis détruit, non pas Mélétos, ni Anytos,
mais l’envie et la calomnie du monde,
qui a été la mort de grands hommes,
et sera probablement la mort de beaucoup d’autres;
il n’y a pas de danger que mon être soit le dernier d’entre eux.
Toutes les traductions de Socrate de l’anglais vers le français sont de moi d’après le texte de Corbett.
Toutes les traductions de Socrate de l’anglais vers le français sont de moi d’après le texte de Corbett.
Toutes les traductions de Socrate de l’anglais vers le français sont de moi d’après le texte de Corbett.