1. 3ème Comité de pilotage, La Cantine, 26 octobre 2009
Action d’évaluation et de diffusion
de la plateforme d’innovation «!La Cantine par Silicon Sentier!»
Réalisée par
Soutenue par
2. Seront abordés aujourd’hui les points suivants:
1.! Les nouveaux espaces de travail et collaboration. Analyse et enseignements.
2.! Les enseignements tirés de La Cantine par Silicon Sentier
3.! Pourquoi d’autres Cantines en régions, et pourquoi un réseau de Cantines?
4.! De l’idée d’un réseau
5.! Programme de préfiguration et de lancement du réseau
10 minutes de questions et discussions entre chaque partie
3. PARTIE 1
Les nouveaux espaces de travail et collaboration. Analyse
et enseignements.
Page 7 à 13
4. Nouveaux modes d’organisation du travail
•! Une série de transformations dans les modes d’organisation intra et inter entreprise
afin de répondre aux exigences concurrentielles en matière d’innovation.
•! Deux changements principaux :
–! Sur le fond: Ce sont les informations, les idées et la créativité qui créent la valeur ajoutée:
–! Sur la forme: Mode d’organisation hiérarchique ! mode d’organisation en réseau
•! Principe de concurrence (compétition) et celui de collaboration (coopération) se
retrouvent dans l’écosystème sous une «! association de comportements
d’alliance stratégique!» qui s’inscrivent dans un processus de coopétition
•! Présentant une alternative croissante et opérationnelle, les espaces de co-
working réunissent les conditions matérielles (espaces, équipement de travail,
etc.) ainsi qu’immatérielle (réseau, savoir, etc.) à ces nouveaux modes
d’organisation du travail.
4
9. Tiers-lieux: plus qu’un espace physique
•! Le terme «! tiers-lieu! » est employé pour désigner les nouveaux espaces, de travail
collaboratif,
–! Sont semi-publics , ne sont ni des bureaux, ni des cafés mais qui accueillent de plus en plus les
activités socioprofessionnelles.
–! Ont toujours existé,! en tant que forme spécifique de configuration spatiale aspirant à un
environnement social différent de celui de l’espace privé (le domicile et le travail) et celui public (la
rue, le parc)
–! Permettent les rencontres informelles et favorisant la créativité des interactions sociales, notamment
à travers l’ouverture, la flexibilité, la viabilité, la convivialité et l’accessibilité
•! Ce sont des lieux dits « de passage » et de croisement des réseau qui permettent et la
croissance des communautés
Plus qu’une simple caractéristique spatiale, les tiers-lieux sont donc en grande partie le produit
des relations humaines, des interactions créatives et des modes d’organisation sociale et
professionnelle dominant les sociétés contemporaines (ex. Jelly).
9
10. Les quatre dimensions des coworking space
Dimension économique Dimension spatiale/
•! Mutualisation des ressources matérielles et territoriale
immatérielles
•! Importance de l’interactivité et de l’environnement
social dans le monde nomade et hyperconnecté
•! Motivation initiale de partager les moyens pour
survivre individuellement
•! Jonction de différents réseaux socioprofessionnels
(re)génèrent un « localisme cosmopolite » (ex.
•! Collaboration et interaction comme stratégie pour
systèmes productifs locaux, grappes d’entreprise,
atteindre des buts lucratifs
clusters comme résonances de l’effet de proximité)
•! Concept de co-working utilisé soit dans le cadre de
•! Territoires de la créativité qui encadrent /
location d’espace(perspective commerciale), soit
accélèrent les processus de sérendipité en favorisant
comme un atout pour économiser des coûts pour
les rencontres hasardeuses et non-linéaires
investir dans d’autres actions utiles pour la croissance
Dimension culturelle Dimension
•! Mouvement socioculturel dans lequel la socioprofessionnelle
collaboration est le lien structurant de la communauté
•! Modes de travail plus flexible afin d’améliorer les
conditions de la créativité et de (par) l’interaction
•! Collaboration pas uniquement une fin en soi mais un
mode d’organisation intrinsèquement lié au lieu •! Espaces de co-working : un cadre de travail
approprié aux travailleurs en mobilité
•! Influence des communautés de l’open source :
assimilation de la « culture du libre » •! Accent mis sur le réseau social qui se forme autour
de l’organisation du travail et/ou de l’espace
•! Une série de valeurs et de principes liés au partage
et à l’ouverture: “coworkers of the world, unite!”
10
14. Remarques méthodologiques
•! Deux modes d’enquête de terrain ont été employés:
–! Veille continue sur l’activité menée par ces lieux
–! Questionnaire réalisé en ligne, dédié aux fondateurs/gérants des espaces les plus actifs
et représentatifs repérés à l’avance
•! Les modes de gouvernance ont été déduits à travers une série d’indicateurs
–! Autodéfinition des fondateurs/gérants de ces espaces,
–! Nombre et activités des personnes travaillant dans l’équipe, nombre de personne
prennant les décisions relatives au fonctionnement de l’espace,
–! Type d’activité d’animation, d’activité à but non-lucratif et les types de partenariat pour
ces activités,
•! Représentativité de l’échantillon
–! Lieux de travail et de rencontre, ouverts au public
–! Lieux suffisamment structurés pour proposer un site internet dans lequel leur activité peut
être suivie
–! Représentativité de la forte concentration aux Etats-Unis.
14
15. •! Ce modèle alternatif d’organisation du travail est fondé et porté essentiellement
par des travailleurs indépendants, des entrepreneurs, des collectifs, des artistes.
•! Le public de ces co-working space est essentiellement constitué de
développeurs, designers, consultants, écrivains/rédacteurs, artistes.
Il existe cependant une double dynamique :
–! celle des coworkeurs au quotidien et,
–! celle des participants aux évènements ponctuels.
15
16. En plus d’être des lieux de partage et de
travail, la plupart des espaces de co-working
de notre échantillon sont aussi des lieux
d’évènement, où des communautés
spécifiques organisent, participent et se
rassemblent, partagent leurs savoirs et
compétences professionnelles
Ce sont les évènements qui rassemblent
ponctuellement un grand nombre de
personne qui partagent les mêmes intérêts
(selon les thèmes de ces évènements) et qui
d’une certaine manière permettent de tisser
des réseaux sociaux autour des activités
professionnelles.
16
17. Le lieu est cohabité par un plus
petit nombre de coworkers qui se
rencontrent et se connaissent sur
une durée plus longue et
potentiellement collaborent sur
des projets.
17
18. •! Chaque espace s’adapte à son environnement socioculturel ainsi qu’aux
spécificités des réseaux locaux et des activités économiques du territoire sur
lequel il est implémenté.
•! Les modèles de gouvernance sont donc multiples: il existe autant de modèles
valables que de coworking space.
•! Néanmoins, nous avons identifié 3 critères de différenciation entre les
coworking space:
1.Structure fondatrice 2.Profit eco/bénef social 3.Intégration des communautés
Modèle de propriété Profit économique est Coeur des modèles de
nécessaire gouvernance
Statut et stratégie du
fondateur Réinvestir dans la capital humain et réseau
(bottom-up / top-down) communauté?
! buts lucratifs
Motivation ! Action Complémentarité,
interdépendance
Relation / esprit
« Raison sociale » collaboratif (confiance)
Profit: terme polyvalent
18
19. –! Complexité du “dispositif” du
coworking: il ne peut engager le profit
sans la communauté et vice versa.
–! Il met en œuvre un continuum
construit sur une équilibre délicate entre
le capital humain et le capital
économique.
19
20. Modèle coopératif
Modèle franchisé
Modèle communautaire
Tous les travailleurs sont responsables du
Priorité des dimension lieu et sont considérés comme les « Clients » considérés comme
économique et spatiale propriétaires propriétaires
Fonctionnement sur la base Espace d’entreprenariat : accent mis sur Communauté en soi se crée
d’un intérêt économique / la dimension sociale des relations et autour du lieu: structuration
commercial (location des activités professionnelles plutôt “bottom-up”
postes de travail + paiement
des services associés)
Fonctions d’incubateur et/ou de Facilite les collaborations
catalyseur pour les communautés: socioprofessionnelles en
Rentabilité positive (co- approche “top-down” vis-à-vis des formant des micros-
working space fonctionne processus d’innovation entreprises informelles
comme un service quelconque,
type café ou pub dédié aux Notion de réseau mise en valeur à
besoins immédiats) et Collectif d’indépendant
travers les activités d’animation et travaillant dans le même
négative (ressources sont événementielles
mutualisées) espace (bureau où l’on peut
choisir ses collègues)
Objectif de soutenir indépendants,
Dimensions sociales et entreprenariat en contribuant à
communautaires quasi- l’animation de la communauté : activités Formalisation et
absentes commerciales restent une motivation spécialisation (ex. espaces «
secondaire laboratoire » ou récréatifs)
" Modèle économique
marchand comme celui d’une " Equilibre entre le modèle " Modèle économique
entreprise ou d’un café, soit économique marchand et non- principalement non-
à une mutualisation de marchand: profit exploité dans et marchand prenant compte
l’espace afin de réduire les par le réseau socioprofessionnel qui les activités marchandes.
coûts, soit une prestation de se créé et recréé autour de Profit, s’il existe, est
service. l’espace. Capital économique exploité dans et par la
converti, par l‘animation / communauté.
événement, en socioprofessionnel 20
21. •! Un modèle qui traverse le coopératif et le communautaire
–! Les dimensions « Structuration », « Animation », « Communauté » sont présentes.
–! Les revenus générés par l’exploitation commerciale du lieu sont réinvestis soit
dans La Cantine même, soit dans des projets portés par les communautés.
•! Un coworking space particulier :
–! Gouvernance: partenaires publics et privés
–! Animation: une équipe dédiée et flexible ayant l’expérience des formats
d’animation originaux
–! Trois types de public :
•! les adhérents du Silicon Sentier, l’association porteuse,
•! les coworkers, pas forcement adhérents de l’association.
•! Les participants aux événements.
•! Les producteurs d’événements
21
25. Un modèle économique spécifique mélant public et privé
En 2009:
Charges: 490 000 euros annuels
Revenus: 493 000 euros annuels
•! Dont 333 000 euros annuels de revenus privés d’exploitation et de sponsoring.
•! Dont 160 000 euros annuels de subventions publiques issues de Région Ile-de-France, Ville de
Paris, Cap Digital.
Exigence forte, au quotidien, de générer des revenus privés d’exploitation
MAIS
Nécessité de réduire cette tension en augmentant les subventions publiques
POUR
Augmenter « marges de manœuvre créative » et créer de la valeur
26. La dynamique “Marchande” et “Non marchande”
Livraison de la prestation de service
Secteur marchand Demande entrante «!simple!» Chef
de location d’espace Devis Facturation
de Projet
De l’ordre de 20% de demande entrantes
Resp. La Cantine «!simples!» nécessitant un accompagnement de
Silicon Sentier
Flux entrant
Ecosystème
Demande d’appui à Chef Membres de La Cantine par
l’organisation d’événements de Projet de Silicon Sentier Silicon Sentier
Secteur non marchand thématiques
Création de valeurs
Ingénierie et Micro-sponsoring par
montage du projet, les membres et/ou
de l’événement l’ecosystème
Réalisation collaborative du projet
27. Les dynamiques à l’oeuvre à La Cantine
Une manière de Une manière de se Un mode de vie:
DYNAMIQUES travailler: rassembler:
Hyperconnecté – Mobilité
CULTURELLES Collectif – contributif Tribu – Communauté réseaux sociaux –
Ouverture et partage Système de valeurs partagé «!devices!»
(open source)
Faire ensemble un S’impliquer dans le
Créer à La Cantine
événement à La Cantine Silicon Sentier
Fondateurs
DYNAMIQUES Collaborateurs Type de relation: Adhérent
Type de relation:
COLLECTIVES affichage de partenariats,
engagement fort, Type de relation:
relations associatives, création Logique adhésion,
enjeu commercial, participation à la vie de
d’association,
partenariats, amorçage de coproduction, .. l’association
dynamiques collectives
Participer à un Utiliser La Cantine
S’informer à La
évènement
DYNAMIQUES Cantine
INDIVIDUELLES Spectateur
Participant !Client
Type de relation: Type de relation:
Type de relation: Rencontre, échange,
Connexion quasi nulle Connexion quasi nulle
28. Silicon Sentier travaille l’émérgence grace à La Cantine
•! Le collectif peut produire soit: un événement, un projet de R&D, une
Spin off association, une entreprise.
E
M
E Diversification
•! Silicon Sentier sollicité pour contribuer à la création de Co-hacking space,
pépinière, à l’essaimage des Cantine, FabLab.
R
G
E •! Matérialiser une idée en un projet prégnant, structuré par un collectif
N Amorçage légitime.
•! Silicon Sentier met à disposition des ressources matérielles et immatérielles.
C
E
•! La Cantine, lieu de référence pour un secteur, lieu inscrit sur le territoire.
Détection •! Foisonnement d’événements, de rencontres, à l’intérieur de ses murs.
•! Silicon Sentier permanent du lieu détecte les idées et les tendances.
30. Rappel des objectifs liés à l’étude
•! A partir du modèle « la Cantine par Silicon Sentier » : tirer les enseignements et
définir les valeurs et les fonctionnements reproductibles
•! Apporter, au travers d’une dynamique collective interterritoriale, de la
cohérence à l’ensemble des projets, et dans le respect de leurs spécificités
=> idée émergente d’un label
•! Eprouver l’idée d’un outil d’animation de réseau interterritorial
=> à travers l’idée d’un réseau des Cantines, et d’une programmation
partagée
30
32. Les raisons spécifiques à chacun et communes à tous
Favoriser l’innovation ouverte, et soutenir les nouveaux modes de travail
•!Volonté d’animer la filière «!différemment!» : renforcer les transversalités, les
collaborations avec la recherche, les publics usagers, la culture, le secteur associatif…
•!Faire travailler les entrepreneurs «!hors les murs!», créer un flux permanent de
rencontres, entre grands comptes et PME, entre porteurs de projets, chercheurs,
industriels
•!Proposer des « murs » aux travailleurs indépendants, travailleurs nomades
Renforcer l’identité de la filière TIC, la visibilité des entreprises, la compétitivité des
territoires
•!Un lieu physique qui matérialise la filière du numérique (multiforme), et qui met en
valeur les acteurs locaux
•!Une vitrine de l’innovation (lieu de démonstration, de tests des produits, des services),
et un lieu de proximité directe avec les publics « usagers » ;
•!Une mise en visibilité des métiers et des savoir-faire de chacun des territoires
•!Une forme d’animation dynamisant le développement économique ;
Pour renforcer les coopérations croisées, les dynamiques interterritoriales
•!Favoriser la circulation des idées, des innovations
•!Aider des projets d’envergure à prendre forme entre plusieurs territoires,
•!Mutualiser les moyens, les outils
•!Enrichir collectivement et partager la « programmation » (veille, événements,
tendances technologiques, personnalités, etc.)
•!Emulation territoriale, économique, technologique.
=> Chaque projet de lieu renforce les autres …
32
33. Les différences apparentes
Le portage envisagé
Associations d’entrepreneurs, associations agissant dans le champ de l’e-
inclusion / de la création numérique / du graphisme et design, pôles de
compétitivité, acteurs publics (agglomérations, régions)
Les partenaires associés
Associations / Recherche / Formation supérieure /
Les entreprises concernées
Orientations données par les grands comptes, pré-dominance de certains
secteurs d’activités, de recherche
L’implantation du lieu et le rayonnement géographique
Implantation en centre ville / en périphérie = accessibilité variable
Rayonnement à l’échelle d’une agglomération, d’un département, d’une ville =
densité et proximité variables
=> Des différences encore peu « incarnées », qui se révèleront au fur et à mesure
de la mise en œuvre des espaces en régions, et des partenariats contractés
33
34. Un label pour affirmer des valeurs, et partager des modes
d’animation
34
35. Les critères attachés au label
1 - Un lieu aux multiples fonctions et une modularité de l’espace
•!un espace de convivialité type café, ouvert et accessible au plus grand
nombre.
•!Des salles de réunions.
•!Des espaces de travail partagé (espace de co-working ouvert à la
location).
•!Un espace de démonstration de technologies.
2 - Une animation structurée
•!Une équipe d’animation dédiée (+ d’1 personne).
•!Une diversité de formats d’animation (conférence, ateliers de travail,
barcamp, petit déjeuner débat, etc.
•!Un accompagnement personnalisé des porteurs de projet.
•!Une programmation de contenus de qualité.
•!Une implication dans le futur réseau des cantines.
3 – Une ouverture vers une diversité de publics
Représentatifs de la chaîne de la filière, et son ecosystème (porteurs de
projet, chefs d’entreprise, développeurs, communicants, journalistes,
graphistes, designers, chercheurs, commerciaux, bloggueurs, étudiants etc.)
35
36. Les critères attachés au label
4 - Un porteur / animateur fédérateur
•! Légitimité du porteur basée sur son ancienneté, son statut, son caractère
représentatif et fédérateur.
•! Doit faire prévaloir l’intérêt général et non pas les intérêts spécifiques.
5 - Une gouvernance multipartenariale du dispositif
•! Une gouvernance construite au croisement des acteurs publics, privés,
associatifs et de la recherche.
6 - Un modèle économique mixte
•! Basé sur des revenus propres, subventionnements publics, privés,
•! Adapté aux évolutions des flux, et des animations.
•! Importance des fonds publics pour garantir l’intérêt général.
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37. Les critères attachés au label
Les indicateurs d’activité
•! Un nombre d’événements minimum
•! Une qualification des participants.
•! Un taux de remplissage atteint (générer du flux).
•! Un certain nombre de projets accompagnés comprenant un suivi
quantitatif et
•! qualitatif.
•! Une ou plusieurs tendances, des idées fortes à faire ressortir
Les droits et devoirs attachés au label
•! S’investir dans le futur réseau des Cantines (cotisation ou participation
équivalente).
•! Etre présent dans le cadre des dispositifs de gouvernance, avec un
principe : «
•! un lieu, une voix »
•! Participer à et bénéficier d’une programmation tournante (circulation des
intervenants, des manifestations, etc.). Chaque Cantine, devra proposer au
moins un événement par an qui circulera dans le réseau des Cantines.
•! Droit d’entrée et de services dans chacun des lieux labellisés «!La Cantine!»
•! Solution de visioconférence partagée
37
39. Fédérer les acteurs autour d’une association
Pour faire jouer les synergies :
-! Construire une programmation annuelle partagée.
-! Partager la veille et l’identification des innovations émergentes.
-! Construire une base de données adhérents partagée, offrant une
cartographie en temps réel des compétences métiers par territoires, et
pourquoi pas à terme un place de marché (offres d’emploi ?)
-! Partager des outils de communication (visioconférence) et des outils de
gestion (outil de reporting), des outils de réseau (réseau social).
Pour dynamiser le développement économique :
-! Assurer une veille sur les opportunités d’appel à projets nationaux et
européens.
-! Venir en soutien aux dispositifs labellisés Cantine pour le montage de
dossier, la recherche de financement, etc.!
-! Assurer une visibilité et une représentativité auprès des instances
nationales.
-! Emulation territoriale, économique et technologique.
39
40. Proposer un mode de gouvernance équitable et structurant
-! « Un espace une voix »?
-! un président élu pour un an?
-! un vice-président qui succède au président en place l’année suivante?
-! un secrétaire général!: pour commencer le secrétaire pourra être issu
d’un des lieux labellisés cantine, puis il pourra à terme être permanent
de l’association dédiée?
40
41. Ouvrir le réseau à d’autres partenaires
Penser dès l’amont l’hybridation du réseau (innovation ouverte)
Le Réseau Echangeur, la FING, le réseau des Carrefours des possibles, les réseaux
des Mobile Monday, La Ruche, ETD, ACIDD, ECOTER, Réseau Idéal
Mais aussi : les chambres de commerce et d’industrie, les écoles de Design, les
associations de création numérique, etc.
Les espaces de co-working américains, londoniens, les FabLab, etc.
Anticiper les modes de collaboration, de partenariat
Collaborations rapprochées, conventions de partenariat, constitution d’un
« collège de partenaires », membre du réseau à part entière et éligible au
conseil d’administration … ?
41
43. Programme de préfiguration et de lancement du réseau
Six mois de travail collectif, réunissant les projets les plus avancés:
Définissant :
-! les objectifs de l’association
-! ses statuts,
-! les outils mutualisés (cahier des charges) de réseau, de gestion, de
communication à distance
-! les modes de partenariats spécifiques, et les acteurs et réseaux
partenaires
-! Un nom pour « le réseau »
Identifiant les sponsoring privés, mécénats, subventionnements publics,
nationaux et européens possibles.
Aidant les projets locaux à voir le jour, en mutualisant les informations, les
éléments de diagnostics, les argumentaires…
Préparant la communication et le lancement de ce projet d’animation
interterritoriale du réseau des « cantines ».
43
45. Indyhall
Philadelphie, E.U.
Instances Ecoles &
Aucun Association Entreprises Start-ups Clusters Particuliers Autre
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Les évènements
Les projets
46. New York City
New York, E.U.
Instances Ecoles &
Aucun Association Entreprises Start-ups Clusters Particuliers Autre
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Les évènements
Les projets
47. Citizenspace
San Francisco, E.U.
Instances Ecoles &
Aucun Association Entreprises Start-ups Clusters Particuliers Autre
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Les projets
48. Parisoma
San Francisco, E.U.
Instances Ecoles &
Aucun Association Entreprises Start-ups Clusters Particuliers Autre
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Les évènements
Les projets
49. Affinity Lab.
Washington D.C., E.U.
Instances Ecoles &
Aucun Association Entreprises Start-ups Clusters Particuliers Autre
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Les projets
50. Gangplank
Phoenix, E.U.
Instances Ecoles &
Aucun Association Entreprises Start-ups Clusters Particuliers Autre
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Les projets
51. Ignition Alley
Atlanta, E.U.
Instances Ecoles &
Aucun Association Entreprises Start-ups Clusters Particuliers Autre
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Les projets
52. Station C
Montreal, Canada
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Aucun Association Entreprises Start-ups Clusters Particuliers Autre
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Les projets
53. Co-work central
Buenos Aires, Argentine
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Aucun Association Entreprises Start-ups Clusters Particuliers Autre
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Les projets
54. CoWo Milano
Milan, Italie
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55. The Hub Kings
Londres, Angleterre
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56. L-Office
Budapest, Hongrie
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57. X1
Kharkov, Ukraine
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58. Eclau
Lausanne, Suisse
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59. Nomadz
La Haye, Pays-Bas
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60. Micro office
Moscou, Russie
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