Document de travail - Les facteurs de localisation des investissements direct...France Stratégie
La mondialisation a très largement renforcé en quelques décennies les possibilités de servir un marché national à partir de sites à l’étranger et donc d’optimiser les coûts de production des différents composants, ce qui a contribué à la fragmentation des chaînes de valeur.
Attractivité, développement territorial, emploi : des correspondances possibl...Jeremy ABDILLA
Article rédigé par Jérémy Abdilla et publié dans le journal Sud-Ouest du samedi 28 janvier, rubrique "Emploi" (http://www.sudouest-emploi.com).
Cet article aborde la situation de l’économie et de l’emploi à Bordeaux et fait la liaison avec la mise en service le 2 juillet 2017 de la LGV Paris-Bordeaux.
Cet article est lié à la tenue de l'After "Affaires & Connexions" du CAC33, prévu le 31 janvier à Bordeaux et au cours duquel aura également lieu une conférence sur l'emploi des nouveaux arrivants à Bordeaux" : http://cacgironde.fr/after-cac33-affaires-connexions/
Premier panorama economique des industries culturelles et créatives sacem @ ...ACTUONDA
1er panorama des industries culturelles et créatives en France
Par Laurent Coulon (Sacem)
Présentation donnée aux IV Rencontres Radio 2.0 Paris, le 13 octobre 2014 dans le prestigieux Studio 105 de la Maison de la Radio de Radio France.
Info/inscriptions: www.RR20.fr
Pour rester informé, suivez-nous sur :
- Facebook : Radio 2.0 Paris
- Twitter : @Radio_20 #rr20
- LinkedIn : Radio 2.0
Organisateurs : Nicolas Moulard / Actuonda, Xavier Filliol / Editions de l'Octet, Radio France, Ina Expert
Partenaires :
- Partenaires Platinum : Mediametrie, Limelight
- Autres Partenaires : Music Story, Triton Digital, Targetspot, RCS, Spotify, Netia, Deezer, Kantar
- Partenaires Média : La Lettre Pro de la Radio, RadioPub, Media +, Edition Multimedia, Satellinet, French Web
- La Radio des Rencontres : Broadcast Associés, Radioline
Avec le soutien du Ministère de la Culture et de la Communication, Geste, ESML, Syrol, Sacem, UDA-Union des Annonceurs, IRMA, Salon de la Radio, URTI
Membres du Comité de Pilotage : Actuonda, Broadcast Associés, Deezer, Editions de l’Octet, Havas Media, INA, IndésRadio, irma, Kantar Media, Ministère de la Culture & de la Communication, MédiaMétrie, Orange, Radio France, Radioline, RFI, RTL, Sacem , Spotify Targetspot , Triton Digital, UDA-Union des Annonceurs, Warner Music France.
Document de travail - Les facteurs de localisation des investissements direct...France Stratégie
La mondialisation a très largement renforcé en quelques décennies les possibilités de servir un marché national à partir de sites à l’étranger et donc d’optimiser les coûts de production des différents composants, ce qui a contribué à la fragmentation des chaînes de valeur.
Attractivité, développement territorial, emploi : des correspondances possibl...Jeremy ABDILLA
Article rédigé par Jérémy Abdilla et publié dans le journal Sud-Ouest du samedi 28 janvier, rubrique "Emploi" (http://www.sudouest-emploi.com).
Cet article aborde la situation de l’économie et de l’emploi à Bordeaux et fait la liaison avec la mise en service le 2 juillet 2017 de la LGV Paris-Bordeaux.
Cet article est lié à la tenue de l'After "Affaires & Connexions" du CAC33, prévu le 31 janvier à Bordeaux et au cours duquel aura également lieu une conférence sur l'emploi des nouveaux arrivants à Bordeaux" : http://cacgironde.fr/after-cac33-affaires-connexions/
Premier panorama economique des industries culturelles et créatives sacem @ ...ACTUONDA
1er panorama des industries culturelles et créatives en France
Par Laurent Coulon (Sacem)
Présentation donnée aux IV Rencontres Radio 2.0 Paris, le 13 octobre 2014 dans le prestigieux Studio 105 de la Maison de la Radio de Radio France.
Info/inscriptions: www.RR20.fr
Pour rester informé, suivez-nous sur :
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- Twitter : @Radio_20 #rr20
- LinkedIn : Radio 2.0
Organisateurs : Nicolas Moulard / Actuonda, Xavier Filliol / Editions de l'Octet, Radio France, Ina Expert
Partenaires :
- Partenaires Platinum : Mediametrie, Limelight
- Autres Partenaires : Music Story, Triton Digital, Targetspot, RCS, Spotify, Netia, Deezer, Kantar
- Partenaires Média : La Lettre Pro de la Radio, RadioPub, Media +, Edition Multimedia, Satellinet, French Web
- La Radio des Rencontres : Broadcast Associés, Radioline
Avec le soutien du Ministère de la Culture et de la Communication, Geste, ESML, Syrol, Sacem, UDA-Union des Annonceurs, IRMA, Salon de la Radio, URTI
Membres du Comité de Pilotage : Actuonda, Broadcast Associés, Deezer, Editions de l’Octet, Havas Media, INA, IndésRadio, irma, Kantar Media, Ministère de la Culture & de la Communication, MédiaMétrie, Orange, Radio France, Radioline, RFI, RTL, Sacem , Spotify Targetspot , Triton Digital, UDA-Union des Annonceurs, Warner Music France.
MyFrenchStartup - Analyse des deals StartUps, 2ème trimestre 2014Hamadi LANOUAR
Cette étude donne un éclairage sur l’évolution de l’activité des StartUps françaises, et ce sous l’angle Financement.
Elle porte sur les « Deals » réalisés lors du 2ème trimestre 2014, sur la base des opérations ayant fait l’objet d’une communication publique.
L’étude est réalisée à partir de la base de données analytique de MyFrenchStartup :
- cette base est constituée des entreprises ayant été incubées, accélérées, labellisées JEI, lauréates d’un concours d’innovation, reconnues comme StartUp par l’écosystème français (notamment les media spécialisés)
ces données sont vérifiées, qualifiées agrégées puis croisées avec les données de Capital Finance, CF News, Fusacq…
Cette étude donne un éclairage sur l’évolution de l’activité des StartUps françaises, et ce sous l’angle Financement.
Elle porte sur les « Deals » réalisés lors du 1er trimestre 2014, sur la base des opérations ayant fait l’objet d’une communication publique.
MyFrenchStartup - Analyse des Deals Startups, 4ème trimestre 2014Hamadi LANOUAR
Un 4ème trimestre en baisse en Levées de fonds et en Acquisitions par rapport à la même période en 2013. Aucune entrée en bourse réalisée durant ce trimestre.
L’évolution en valeur est notamment liée à la levée de fonds d’ERYTECH [30M€] qui a eu lieu en Octobre.
De manière générale, le montant moyen est en hausse sur Octobre et Novembre, et ce de manière plus importante que l’érosion en volume à partir de Novembre ; en revanche, Décembre voit une double baisse en volume & valeur.
Par rapport au 4ème trimestre 2013, l’Ile-de-France est en nette progression ce trimestre (65% des levées de fonds vs 53% en 2013) ; PACA, Rhône-Alpes, Aquitaine et Pays de La Loire sont les régions leaders après l’Ile-de-France.
La baisse en volume des levées de fonds s’explique par les secteurs « non internet » ; en effet, dans ce contexte baissier, le secteur Internet voit ses levées de fonds augmenter de 35% en volume.
Seules le segment des Startups légèrement matures (5 à 10 personnes) est en croissance de levées de fonds; ceci se confirme par une croissance des levées de fonds de série A uniquement .
Note de synthèse - Les facteurs d’attractivité des sites de production, d’in...France Stratégie
La mondialisation a très largement renforcé en quelques décennies les possibilités de servir un marché national à partir de sites à l’étranger et donc d’optimiser les coûts de production des différents composants, ce qui a contribué à la fragmentation des chaînes de valeur.
MyFrenchStartup - Analyse des deals StartUps, 3ème trimestre 2014Hamadi LANOUAR
Un 3ème trimestre en forte baisse en Levées de fonds et en Acquisitions par rapport à la même période en 2013. Seules les IPO ont progressé grâce aux entrées en bourse de Lucibel et de Viadeo.
Une nette progression du montant moyen par levée de fonds, malgré un montant global qui recule.
La baisse globale du 3ème trimestre porte sur Juillet et Août, bien que Juillet ait été boosté par le tour de table exceptionnel de BLABLACAR [73M€].
Septembre est bien reparti avec un nombre de levées de fonds équivalent à septembre 2013.
Par rapport au 3ème trimestre 2013, l’Ile-de-France est en net recul ce trimestre (43% des levées de fonds vs 68% en 2013) ; PACA et Rhône-Alpes sont les deux régions leader après l’Ile-de-France.
Tous les secteurs d’activités sont en net recul. Le secteur du Transport est le seul à progresser avec un nombre de levées de fonds qui a augmenté de 75% par rapport au 3ème trimestre 2013.
Si les investissements dans les startups de 5 à 50 personnes restent stables, les levées de fonds des startups de moins de 5 personnes et de plus de 50 personnes ont chuté lors du 3ème trimestre 2014.
Nouvelle donne fiscale 2015 points clefs et perspectivesEY
Supports de présentation de notre événement du jeudi 8 janvier 2015 : présentation des Lois de Finances 2015.
Pour plus d'informations : http://www.ey-avocats.com
L’environnement budgétaire et fiscal de la France : points clés et perspectivesEY
EY publie les résultats de l'Observatoire des politiques budgétaires et fiscales 2016. La France y confirme sa position singulière sur la scène internationale.
Plus d'informations sur www.ey-avocats.com/OPBF
Réflexions programmatiques, du MEDEF, de la CGPME et de la CCI Paris Ile-de-France pour les élections régionales 2015 et pour mieux vivre, travailler et entreprendre dans notre région.
L'emploi et l'investissement en france en 2012 par trendeoTrendeo
Les tendances de l'économie française en 2012. Fermetures d'usines, filières vertes (solaire, éolien, méthanisation, recyclage...) créations d'emplois en régions et dynamiques régionales.
Enjeux n° 174 - juin 2015 - Auteure : Bénédicte GUALBERT.
Après avoir connu une croissance rapide, les centres d’appels ont dû faire face à d’importantes évolutions ces dernières années : les nouvelles technologies, multipliant les canaux de relation avec le consommateur, ont fait d’eux des centres de contacts, tandis que le bouleversement du marché de la téléphonie imposait le modèle low-cost et son corollaire l’offshore.
MyFrenchStartup - Analyse des deals StartUps, 2ème trimestre 2014Hamadi LANOUAR
Cette étude donne un éclairage sur l’évolution de l’activité des StartUps françaises, et ce sous l’angle Financement.
Elle porte sur les « Deals » réalisés lors du 2ème trimestre 2014, sur la base des opérations ayant fait l’objet d’une communication publique.
L’étude est réalisée à partir de la base de données analytique de MyFrenchStartup :
- cette base est constituée des entreprises ayant été incubées, accélérées, labellisées JEI, lauréates d’un concours d’innovation, reconnues comme StartUp par l’écosystème français (notamment les media spécialisés)
ces données sont vérifiées, qualifiées agrégées puis croisées avec les données de Capital Finance, CF News, Fusacq…
Cette étude donne un éclairage sur l’évolution de l’activité des StartUps françaises, et ce sous l’angle Financement.
Elle porte sur les « Deals » réalisés lors du 1er trimestre 2014, sur la base des opérations ayant fait l’objet d’une communication publique.
MyFrenchStartup - Analyse des Deals Startups, 4ème trimestre 2014Hamadi LANOUAR
Un 4ème trimestre en baisse en Levées de fonds et en Acquisitions par rapport à la même période en 2013. Aucune entrée en bourse réalisée durant ce trimestre.
L’évolution en valeur est notamment liée à la levée de fonds d’ERYTECH [30M€] qui a eu lieu en Octobre.
De manière générale, le montant moyen est en hausse sur Octobre et Novembre, et ce de manière plus importante que l’érosion en volume à partir de Novembre ; en revanche, Décembre voit une double baisse en volume & valeur.
Par rapport au 4ème trimestre 2013, l’Ile-de-France est en nette progression ce trimestre (65% des levées de fonds vs 53% en 2013) ; PACA, Rhône-Alpes, Aquitaine et Pays de La Loire sont les régions leaders après l’Ile-de-France.
La baisse en volume des levées de fonds s’explique par les secteurs « non internet » ; en effet, dans ce contexte baissier, le secteur Internet voit ses levées de fonds augmenter de 35% en volume.
Seules le segment des Startups légèrement matures (5 à 10 personnes) est en croissance de levées de fonds; ceci se confirme par une croissance des levées de fonds de série A uniquement .
Note de synthèse - Les facteurs d’attractivité des sites de production, d’in...France Stratégie
La mondialisation a très largement renforcé en quelques décennies les possibilités de servir un marché national à partir de sites à l’étranger et donc d’optimiser les coûts de production des différents composants, ce qui a contribué à la fragmentation des chaînes de valeur.
MyFrenchStartup - Analyse des deals StartUps, 3ème trimestre 2014Hamadi LANOUAR
Un 3ème trimestre en forte baisse en Levées de fonds et en Acquisitions par rapport à la même période en 2013. Seules les IPO ont progressé grâce aux entrées en bourse de Lucibel et de Viadeo.
Une nette progression du montant moyen par levée de fonds, malgré un montant global qui recule.
La baisse globale du 3ème trimestre porte sur Juillet et Août, bien que Juillet ait été boosté par le tour de table exceptionnel de BLABLACAR [73M€].
Septembre est bien reparti avec un nombre de levées de fonds équivalent à septembre 2013.
Par rapport au 3ème trimestre 2013, l’Ile-de-France est en net recul ce trimestre (43% des levées de fonds vs 68% en 2013) ; PACA et Rhône-Alpes sont les deux régions leader après l’Ile-de-France.
Tous les secteurs d’activités sont en net recul. Le secteur du Transport est le seul à progresser avec un nombre de levées de fonds qui a augmenté de 75% par rapport au 3ème trimestre 2013.
Si les investissements dans les startups de 5 à 50 personnes restent stables, les levées de fonds des startups de moins de 5 personnes et de plus de 50 personnes ont chuté lors du 3ème trimestre 2014.
Nouvelle donne fiscale 2015 points clefs et perspectivesEY
Supports de présentation de notre événement du jeudi 8 janvier 2015 : présentation des Lois de Finances 2015.
Pour plus d'informations : http://www.ey-avocats.com
L’environnement budgétaire et fiscal de la France : points clés et perspectivesEY
EY publie les résultats de l'Observatoire des politiques budgétaires et fiscales 2016. La France y confirme sa position singulière sur la scène internationale.
Plus d'informations sur www.ey-avocats.com/OPBF
Réflexions programmatiques, du MEDEF, de la CGPME et de la CCI Paris Ile-de-France pour les élections régionales 2015 et pour mieux vivre, travailler et entreprendre dans notre région.
L'emploi et l'investissement en france en 2012 par trendeoTrendeo
Les tendances de l'économie française en 2012. Fermetures d'usines, filières vertes (solaire, éolien, méthanisation, recyclage...) créations d'emplois en régions et dynamiques régionales.
Enjeux n° 174 - juin 2015 - Auteure : Bénédicte GUALBERT.
Après avoir connu une croissance rapide, les centres d’appels ont dû faire face à d’importantes évolutions ces dernières années : les nouvelles technologies, multipliant les canaux de relation avec le consommateur, ont fait d’eux des centres de contacts, tandis que le bouleversement du marché de la téléphonie imposait le modèle low-cost et son corollaire l’offshore.
Evaluation of metadata enrichment practices in digital libraries:steps toward...Valentine Charles
Presentation presented on November 25th at the SeamnticWeb for Libraries conference (http://swib.org/swib15/programme.html)
In large cultural heritage data aggregation systems such as Europeana, automatic and manual metadata enrichments are used to overcome the issues raised by multilingual and heterogeneous data. Enrichments are based on linked open datasets, which can be very beneficial for enabling retrieval across languages, adding context to cultural heritage objects and for improving the overall quality of the metadata. However, if not done correctly, the enrichments may transform into errors, which propagate to several languages and impacting the retrieval performance and user experience. To identify the different processes that impact the quality of enrichments, Europeana and affiliated projects’ representatives have organised a series of experiments applying several enrichment techniques on a particular dataset constituted of random metadata samples from several data providers from several domains, but mainly from library held cultural heritage digital objects. Comparing and analysing the results shows that selecting appropriate target vocabularies, fine-tuning enrichment rules are as important as defining evaluation methods. The development of flexible workflows will contribute to better interoperability between enrichment services and data, but might make individual enrichment processes more ambivalent. Efforts where users evaluate and correct enrichments as well as the enrichments’ impact on retrieval and user experience also need to be considered. The presentation will show how a better understanding of enrichment methodologies will help cultural heritage institutions and specifically libraries to get the semantics right.
Ce document permet d'apprécier la capacité de la France à attirer des activités productrices d'emploi à partir de deux types d'indicateurs quantitatifs : des indicateurs de résultat et des indicateurs relatifs aux principaux déterminants des choix de localisation des activités économiques et des individus. Pour chacun de ces indicateurs, la France est comparée à 14 autres pays de l'OCDE.
Tableau de bord de l’attractivité de la France 2012PARIS
La France est un acteur de premier rang de l’investissement
international. Plus de 20 000 sociétés étrangères y développent
aujourd’hui leurs activités, emploient près de deux millions de salariés. Elles
contribuent pour un tiers aux exportations, et sont à l’origine
de 20 % des dépenses de R&D consenties par les entreprises.
Les nouveaux investissements étrangers génèrent environ
30 000 emplois chaque année. Ce nouveau tableau de bord 2012 sur l\'attractivité de la France retient une
autre approche, en séparant l’analyse des données objectives
concernant les investissements et les déterminants des choix
de localisation de l’étude des jugements portés sur l’attractivité
française.
La comparaison entre la France et onze pays de l’OCDE (neuf
Etats-membres de l’Union européenne, les Etats-Unis et le
Japon) s’enrichit, dans cette troisième édition, de l’inclusion
de la Suède et de l’Autriche.
L’analyse des indicateurs économiques souligne l’attractivité de
notre territoire, qui bénéficie de son positionnement géographique
en Europe, de la taille du marché domestique, de la qualité de ses
infrastructures et de la qualification de la main-d’œuvre, comme
de la qualité du cadre de vie.
Simplifier et numériser les procédures d’étude des demandes de visas touristiques
Permettre l’ouverture des principaux sites touristiques 24h/24 et 7j/7
Créer un ministère du Tourisme chargé du rayonnement international de la France
Demander à Atout France d’unifier, simpl
ifier et renforcer la promotion de la destination France
Réorienter la communication autour de l’état d’urgence et impliquer les OTAs
Renforcer l’encadrement et le soutien des touristes
Créer une «académie française de l’excellence de l’hôtellerie et de la restauration» et des filières de formation d’excellence pour les métiers du tourisme
Promouvoir et adapter l’enseignement en alternance aux spécificités de l’activité touristique
Réguler davantage la location meublée touristique
Instaurer une obligation pour les plateformes de transmission automatique des revenus de leurs utilisateurs à l’administration fiscale
Les entreprises françaises ont depuis dix ans un niveau d’investissement plus élevé que leurs homologues dans la plupart des autres pays européens, sans que cela ne produise les bénéfices économiques attendus. La Fabrique de l’industrie, en collaboration avec France Stratégie, propose une synthèse pour décrypter ce paradoxe.
Dans cette étude, Knight Frank dresse le bilan complet du marché de l'investissement en France, bureaux, commerces et locaux industriels au troisième trimestre 2020.
L’Etude annuelle « Les Marchés Immobiliers Français » dresse le bilan des 12 derniers mois des marchés des bureaux, des commerces, de la logistique et de l'investissement, et dessine un panorama des perspectives pour l'année 2014.
Toutes l'actualités de la Roumanie rédigées par Eastrategies, société de conseil et d’accompagnement opérationnel spécialisée sur les marchés d’Europe de l’Est : #Roumanie, #Bulgarie, #Moldavie et #Serbie.
L’Europe est le principal client en termes d’exportations de biens et services locaux, plus de 60% des exportations de la ville sont dirigées vers l’Europe. Par ailleurs, le marché européen constitue le principal émetteur pour le secteur touristique où il couvre 80% des arrivées et des nuitées, contre seulement 1% pour les pays de l’Asie et une part très négligeable des pays du Moyen Orient et des pays de l’Afrique.
Aujourd'hui Les crises économiques vécus par les pays d’Europe se répercutent sur celle de la ville de Sousse et fragilise les rapports de partenariats.
L’objectif gouvernemental de faire de la France une « start-up nation » a plusieurs desseins. D’abord, faire naître les grandes entreprises de demain qui créeront de l’emploi et de l’activité économique. Ensuite, s’assurer souveraineté et légitimité technologiques à long terme. Enfin, véhiculer à l’étranger l’image d’un pays dynamique et innovant et modifier la perception qu’ont d’eux-mêmes les Français sur le terrain économique.
Notamment, la faculté des start-up françaises à irriguer tous les secteurs d’activité est régulièrement mise en doute. Les services à la consommation ou à la personne ne sont pourtant pas les seuls à produire des start-up : l’industrie est également un terrain très fertile pour ces jeunes pousses.
Autres idées reçues tenaces : seuls les investisseurs étrangers rachètent des start-up et, lorsque ces acquisitions concernent nos jeunes entreprises, ce sont des pertes sèches pour la France. En réalité, les flux de rachats entrants et sortants sont au contraire très équilibrés et les acquisitions de start-up françaises par des étrangers alimentent un cercle vertueux pour l’économie nationale et son « écosystème start-up ».
La crise de la zone euro a révélé l’ampleur des désajustements de compétitivité et a montré l’importance des efforts nécessaires pour les corriger. Dans ce contexte, la France a mis en oeuvre ces dernières années une politique visant à rétablir sa compétitivité.
C’est devenu une habitude. Depuis désormais cinq ans, la prudence est de mise lorsque l’on évoque, à cette période de l’année, le numéro un mondial des salons de sous-traitance industrielle. L’industrie, et au premier chef la sous-traitance, n’est-elle pas pointée du doigt comme la principale victime et le symbole de la crise durable que traverse l’Europe en général et la France en particulier ?
Cette 43ème édition du MIDEST, qui se tiendra du 19 au 22 novembre au Parc des Expositions de Paris Nord Villepinte, ne fait pas exception à la règle. Mais, ses organisateurs sont à ce stade résolument optimistes, enregistrant de bons résultats en France comme à l’international et travaillant à faire en sorte que leur événement soit plus que jamais au service des sous-traitants, non seulement pour les aider à traverser cette période mais, bien plus, à renforcer leur activité et à la développer en attirant des visiteurs issus en particulier de secteurs nouveaux ou en développement pouvant offrir des débouchés concrets et rémunérateurs. Les exposants semblent d’ailleurs bien conscients des opportunités que leur offre cette manifestation puisqu’au 23 mai, le taux de réservation est supérieur de 7% à celui de 2012 à la même période avec 70% de la surface fermement réservée.
Afin de les accompagner au mieux, le salon lance, cette année encore, de nombreuses nouveautés. Il réalisera ainsi un focus sur un secteur d’avenir, l’énergie, et mettra pour la première fois à l’honneur une nation non-européenne, l’Afrique du Sud, ouvrant des perspectives de coopération nouvelles pour les
sous-traitants tournés vers l’export. Des actions accompagnées par le lancement, ces dernières semaines, d’un tout nouveau site Internet destiné à favoriser les recherches des internautes tout au long de l’année et valorisant mieux les différents secteurs de la sous-traitance industrielle et l’actualité des marchés.
Le dernier Baromètre de l'attractivité de la France 2013 du cabinet Ernst & Young montre le recul de la France cette année écoulée. Néanmoins, elle souligne l'attractivité grandissante de certaines régions françaises. Parmi elles, Rhône Alpes et son agglomération Lyonnaise entre dans le top 10 européen pour son attractivité économique. Une première dans son histoire.
Baromètre de l'attractivité de la France 2013 France : Dernier appelChristophe Robinet
Résultats de l'étude Ernst and Young 2013
Alors que l’Europe n’enregistre, dans un contexte économique et financier pourtant mouvementé, qu’un léger fléchissement des implantations internationales, la France accuse un net recul, non seulement en termes d’implantations (471 projets d’implantation en 2012, en diminution de 13%), mais aussi, et surtout, en termes d’emplois créés (-20%).
Les facteurs susceptibles d’expliquer cette perte de vitesse sont connus : faible compétitivité, inquiétudes des investisseurs quant aux perspectives de croissance ou à l’instabilité fiscale, posture attentiste doublée d'un effet retard de la crise…
1. Direction des Affaires Economiques 1
jnormand@cgpme.fr - 01 47 62 73 30
L’ATTRACTIVITE DE LA FRANCE
1. Qu’est-ce que l’attractivité ?
Lorsqu’un investisseur choisit de localiser un projet au
sein d’une zone géographique, il aura tendance à analyser
l’ensemble des coûts, des risques et
des avantages qu’importe chacun des
territoires au sein de cette zone.
Les territoires sont fortement intéres-
sés par ces investissements car ils sont
créateurs d’emplois et de valeur ajou-
tée. Leur rôle, alors, est de proposer les
meilleures conditions d’accueil, et no-
tamment de rendre l’environnement
fiscal et juridique aussi favorable que
possible, afin de répondre aux besoins
et aux objectifs des investisseurs.
Ainsi, l’attractivité (hors tourisme et flux migratoires) peut
être définie par la capacité d’un territoire à attirer des res-
sources (facteurs de production, nouvelles activités) pro-
venant d’investisseurs étrangers.
2. Quels sont les atouts et handicaps de la
France ?
La taille du marché français est un attrait pour les
investisseurs étrangers, du fait d’une population et d’un
pouvoir d’achat par habitant significatifs. Par ailleurs, le
pays constitue une porte d’entrée pour les investisseurs
sur le marché européen, l’Union Européenne étant en
effet le premier marché mondial, devant les Etats-Unis.
Au niveau européen, la France dispose du premier réseau
routier et du second réseau ferroviaire (derrière l’Alle-
magne). De plus, l’aéroport Paris Charles de Gaulle est à
la première place pour le fret et à la seconde place pour
le transport de passagers en Europe1
. Ces infrastructures
sont cruciales pour les entreprises car elles permettent
une meilleure circulation des marchandises. Cependant,
si la France truste les premières places au niveau euro-
péen, cela est dû à la spécificité de son territoire. En effet,
le pays est, de loin, le plus étendu de l’Union Européenne.
1 La logistique en France ; Agence française pour les
investissements internationaux.
La mise en place du Crédit d’Impôt Recherche (CIR) et du
Crédit d’Impôt Innovation (CII) sont également des incita-
tions fortes pour les investisseurs car ils permettent de
déduire les coûts de recherche et de développement.
Ainsi entre 2008 et 2013, 250 investis-
sements nouveaux dans la R&D ont été
décidés par des entreprises étrangères2
.
Inversement, l’attractivité de la France
est pénalisée par son coût du travail et
sa fiscalité sur les entreprises. Le coût
horaire français dans l’industrie et les
services marchands est en effet le
deuxième plus élevé dans la zone euro,
et ce malgré l’instauration du Crédit
d’impôt pour la compétitivité et l’emploi
(CICE).
Les recettes totales provenant des impôts et cotisations
sociales sont également élevées. Avec un taux de 47,3 %
du PIB en 2013, la France se situe en troisième position au
sein de l’Union européenne (UE), derrière le Danemark et
la Belgique. A titre de comparaison, le taux global dans
l’UE est de seulement 39,9 %.
3. Comment les investisseurs étrangers
perçoivent-ils l’attractivité française ?
En adéquation avec les atouts et handicaps mentionnés
ci-dessus, les investisseurs louent la qualité des infra-
structures de transport et logistiques, ainsi que celles de
communication. La formation et la qualification des sala-
riés sont également vues comme des forces de notre pays.
A contrario, le droit et le coût du travail, la fiscalité sur les
entreprises sont clairement identifiées comme des fai-
blesses (voir figure 1).
L’attractivité de la France, liée aux infrastructures de
transport, risque cependant de faiblir à l’avenir. Alors que
la France était classée au premier rang mondial en 2011
et 2012 pour la qualité de ses routes, le pays ne se
retrouve plus qu’au septième rang en 2015. Par ailleurs,
l’Agence de financement des infrastructures de transport
2 Investir en France ; Agence Française pour les
investissements internationaux.
12 577
emplois ont été créés en
2014 suite aux investisse-
ments étrangers.
Novembre 2015
# 02
Le point sur …
2. 2 Direction des Affaires Économiques
jnormand@cgpme.fr - 01 47 62 73 30
DEFINITIONS
- Facteurs de production : travail, capital techni-
que (installations, machines, outillages), capi-
taux engagés, consommations intermédiaires,
savoir-faire accumulé.
de France (AFITF) verra une baisse de 37 % de ses dota-
tions en 2016, selon le Projet de loi de finances.
Fig. 1 : Attractivité de la France par rapport aux autres
pays européens
Par ailleurs, une majorité d’investisseurs étrangers estime
que la France est une localisation satisfaisante. En revan-
che, près des deux tiers pensent que le pays ne met pas
en œuvre une politique efficace de promotion de ses
atouts à l’international. Dès lors, des efforts supplémen-
taires, de la part de l’Etat, des collectivités et des
entreprises, sont nécessaires afin d’attirer davantage
d’investissements étrangers3
.
4. Combien d’entreprises et d’emplois ont-ils été
créés en 2014 suite à ces investissements ?
L’année dernière, le nombre de projets d’investissements
étrangers en France s’est élevé à 608, ce qui positionne le
pays à la troisième place en Europe, derrière le Royaume-
Uni (887) et l’Allemagne (763). Dès lors, la progression par
rapport à 2013 est de 18 %, soit une croissance supérieure
à celle des pays européens pris dans leur ensemble (+ 10
%).
Parallèlement, la France demeure la première destination
européenne concernant les projets industriels, avec 231
implantations en 2014 (+ 39 % par rapport à 2013). Par
secteurs manufacturiers, le nombre de projets s’est forte-
ment accru dans l’automobile et la fabrication de métaux.
En revanche, depuis une décennie, la France est en perte
de vitesse vis-à-vis de ses partenaires européens dans
l’attraction des investissements étrangers. Alors qu’en
3 Baromètre de l’attractivité du site France 2015,
Ernst & Young.
2005, le pays attirait autant de projets que le Royaume-
Uni et le triple de l’Allemagne, la situation est bien diffé-
rente en 2014. En effet, la France affiche cette année-là
un déficit de 31 % de projets d’investissements étrangers
vis-à-vis du Royaume-Uni, et de 20 % vis-à-vis de l’Alle-
magne.
De plus, cette progression du nombre de projets d’inves-
tissements étrangers en 2014 ne s’est pas traduite par
une hausse des emplois créés dans notre pays. Ceux-ci
s’élèvent à 12 577 l’année dernière, soit une baisse de 11
% par rapport à 2013. La France recule alors à la qua-
trième place dans le classement des pays européens.
Ce problème est d’autant plus significatif que le nombre
d’emplois créés pour chaque projet d’investissements
étrangers est faible en France par rapport à la moyenne
européenne (21 emplois contre 43). Le pays représente
dès lors 14 % des projets européens liés aux implantations
internationales, mais seulement 7 % des emplois créés.
5. Quelle est la position de la CGPME ?
La principale priorité de la CGPME est de s’attaquer au
niveau trop élevé de l’Impôt sur les Sociétés (IS). Une
baisse du taux serait attractive pour les investisseurs
internationaux désireux de s’implanter en Europe.
En s’appliquant à l’ensemble des entreprises présentes
sur le territoire, la diminution de l’IS aurait également un
effet sur les entreprises locales. Celles-ci auraient alors la
capacité d’investir en France, au lieu de rester dans l’im-
mobilisme ou de réserver les investissements au sein de
pays plus accueillants fiscalement.
Le passage du taux sous les 30 % serait un signal fort pour
toutes les entreprises, d’autant que la taxe à 75 % sur les
hauts salaires a été perçue négativement.
Enfin, un taux réduit de l’IS à 19 %, appliqué aux PME qui
s’engageraient à incorporer dans leur capital une partie
de leurs bénéfices, les soutiendrait dans leur activité. Ce
traitement spécial, accordé aux PME, leur permettrait de
compenser un taux de marge inférieur à celui des entre-
prises de plus grandes tailles.
76 72 72
58
6 5 5
9 11 18 18
81 83 85
0
20
40
60
80
100
Forces Equivalent Faiblesses NSP
Source:Enquêted’opinionSofres-AAFII,2014