Quelle motorisation choisir pour son automobileMake Me VIP
Les particuliers qui se rendent chez un concessionnaire automobile de Lyon peuvent sérieusement s’intéresser aux nouveaux modèles des voitures électriques. Car leurs prix ne cessent de chuter et en ville, il n’y a plus d’inquiétudes à avoir.
Flyer qui sera distribué au grand prix de F1 2010 de Montréal afin de sensibiliser la population à la fermeture de la raffinerie Shell de Montréal-Est.
Trouver le point d’équilibre.
Les pouvoirs publics ont incontestablement un rôle à jouer
pour inciter les acteurs privés à embrasser la cause de la
logistique urbaine dont les modèles ne se pérenniseront qu’à
condition d’être rentables.
Retrouvez quelques chiffres clés et indicateurs de notre Classement "Villes françaises & Mobilité" réalisée par une étude terrain auprès des 75 plus grandes villes de France qui nous a permis d'établir un Top10 des villes championnes en termes de mobilité.
Présentation du développement du transport roulant au gaz par GRDFInterconsulaire 909
Vision du marché et des perspectives de développement du GNV et BIOGNV pour alimenter les véhicules (lourds, légers, VP). La tendance au remplacement du diesel par le gaz dans les véhicules urbains lourds type bennes ordures ménagères et bus est significative. En Pays de la Loire, Nantes Métropole via la SEMITAN et Le Mans Métropole via la SETRAM font de plus en plus ce choix pour réduire les polluants dans l'air et les émissions de CO2.
Quelle motorisation choisir pour son automobileMake Me VIP
Les particuliers qui se rendent chez un concessionnaire automobile de Lyon peuvent sérieusement s’intéresser aux nouveaux modèles des voitures électriques. Car leurs prix ne cessent de chuter et en ville, il n’y a plus d’inquiétudes à avoir.
Flyer qui sera distribué au grand prix de F1 2010 de Montréal afin de sensibiliser la population à la fermeture de la raffinerie Shell de Montréal-Est.
Trouver le point d’équilibre.
Les pouvoirs publics ont incontestablement un rôle à jouer
pour inciter les acteurs privés à embrasser la cause de la
logistique urbaine dont les modèles ne se pérenniseront qu’à
condition d’être rentables.
Retrouvez quelques chiffres clés et indicateurs de notre Classement "Villes françaises & Mobilité" réalisée par une étude terrain auprès des 75 plus grandes villes de France qui nous a permis d'établir un Top10 des villes championnes en termes de mobilité.
Présentation du développement du transport roulant au gaz par GRDFInterconsulaire 909
Vision du marché et des perspectives de développement du GNV et BIOGNV pour alimenter les véhicules (lourds, légers, VP). La tendance au remplacement du diesel par le gaz dans les véhicules urbains lourds type bennes ordures ménagères et bus est significative. En Pays de la Loire, Nantes Métropole via la SEMITAN et Le Mans Métropole via la SETRAM font de plus en plus ce choix pour réduire les polluants dans l'air et les émissions de CO2.
Présentation par l'AFGNV du déploiement infrastructures et véhicules gazInterconsulaire 909
Présentation par l'Association Française du GNV (AFGNV) du de la vision marché France/Monde, réglementaire et technologique pour le développement du GNC et GNL dans la chaîne de mobilité, en alternative au diesel/essence.
Présentation du SERS sur les éco-quartiers, dans le cadre de la Mission exploratoire AWEX-WBI: Cap sur les Villes intelligentes françaises. (Volet Strasbourg-Issy-les-Moulineaux : du 19 au 23 octobre 2015).
La SFEN adhère aux intentions du projet sur :
• Le choix d’une démarche pragmatique : opposer les énergies n’a pas de sens, surtout lorsqu’il s’agit d’énergies bas carbone, précisément le nucléaire et les renouvelables.
• La reconnaissance du fait que l’énergie nucléaire est une énergie d’avenir, « nécessaire pour réaliser la transition énergétique ».
• La volonté de réduire massivement les émissions de gaz à effet de serre en diminuant de 30% la consommation des énergies carbonées (pétrole et gaz).
La SFEN réaffirme ses positions sur :
• (art. 2) Les objectifs de long terme de la politique énergétique : L’objectif prioritaire de la transition énergétique reste avant tout la réduction des émissions de gaz à effet de serre et donc de la part des énergies carbonées dans le transport et l’habitat. Celles-ci représentent encore 70% de la consommation énergétique de la France, et sont à l’origine de l’essentiel des émissions de CO2 et du déficit de la balance commerciale du pays.
• (art. 2 et 55) Les autorisations d’exploiter les centrales nucléaires : Limiter la capacité de production d’énergie nucléaire à 63,2 GW suggère une fermeture prématurée deux réacteurs nucléaires au démarrage de l’EPR de Flamanville. Ce qui irait à l’encontre des objectifs écologiques et économiques poursuivis par la transition énergétique.
• (art. 19) La prévention et la gestion des déchets radioactifs : La filière nucléaire a développé et maîtrise les solutions techniques et des méthodes qui permettent le retraitement les combustibles nucléaires usés pour séparer les matières (plutonium et uranium) des déchets, pour lesquels est conçu le projet CIGEO. En France, 90% des déchets radioactifs produits chaque année disposent d’une solution de gestion à long terme.
• (art. 31) La sûreté nucléaire et l’information des citoyens : Le devoir de toujours progresser ne doit pas faire oublier que la filière nucléaire française est exemplaire dans sa culture et son dispositif réglementaire. Les nouvelles mesures doivent rester proportionnées au regard des objectifs poursuivis.
• (art. 53) La recherche et l’innovation : Pour atteindre les objectifs de la transition énergétique et préparer la rupture technologique des centrales nucléaires, l’Etat doit garantir l’effort de recherche dans le nucléaire.
• (art. 55) Les moyens de pilotage du mix électrique : Rénover les centrales nucléaires pour les exploiter au-delà de 40 ans est la solution bas carbone la plus compétitive pour les années à venir. Ce choix permettra d’éviter de « re-carboner » le mix énergétique (ce qui se passe en Allemagne).
• (art. 63 à 67) Le financement de la transition énergétique : La performance économique actuelle de la filière nucléaire est un des leviers permettant de financer la transition énergétique.
Dans le cadre du colloque de l'ORT à la CCI le 18 juin 2015, labellisé TRIA, retrouvez les perspectives de développement du GNV carburant pour les flottes de camions, bus, car, bennes OM en alternative au pétrole et avec des réductions de CO2, émissions de COV, NOx, vues par GRDF.
Retours d'expériences de plus en plus important sur la compétitivité de la filière globale (TCO) et conversion de flottes de bus fréquente, notamment en Pays de la Loire : SEMITAN à Nantes, SETRAM (100%) au Mans, projets en Vendée ...
Présentation par l'AFGNV du déploiement infrastructures et véhicules gazInterconsulaire 909
Présentation par l'Association Française du GNV (AFGNV) du de la vision marché France/Monde, réglementaire et technologique pour le développement du GNC et GNL dans la chaîne de mobilité, en alternative au diesel/essence.
Présentation du SERS sur les éco-quartiers, dans le cadre de la Mission exploratoire AWEX-WBI: Cap sur les Villes intelligentes françaises. (Volet Strasbourg-Issy-les-Moulineaux : du 19 au 23 octobre 2015).
La SFEN adhère aux intentions du projet sur :
• Le choix d’une démarche pragmatique : opposer les énergies n’a pas de sens, surtout lorsqu’il s’agit d’énergies bas carbone, précisément le nucléaire et les renouvelables.
• La reconnaissance du fait que l’énergie nucléaire est une énergie d’avenir, « nécessaire pour réaliser la transition énergétique ».
• La volonté de réduire massivement les émissions de gaz à effet de serre en diminuant de 30% la consommation des énergies carbonées (pétrole et gaz).
La SFEN réaffirme ses positions sur :
• (art. 2) Les objectifs de long terme de la politique énergétique : L’objectif prioritaire de la transition énergétique reste avant tout la réduction des émissions de gaz à effet de serre et donc de la part des énergies carbonées dans le transport et l’habitat. Celles-ci représentent encore 70% de la consommation énergétique de la France, et sont à l’origine de l’essentiel des émissions de CO2 et du déficit de la balance commerciale du pays.
• (art. 2 et 55) Les autorisations d’exploiter les centrales nucléaires : Limiter la capacité de production d’énergie nucléaire à 63,2 GW suggère une fermeture prématurée deux réacteurs nucléaires au démarrage de l’EPR de Flamanville. Ce qui irait à l’encontre des objectifs écologiques et économiques poursuivis par la transition énergétique.
• (art. 19) La prévention et la gestion des déchets radioactifs : La filière nucléaire a développé et maîtrise les solutions techniques et des méthodes qui permettent le retraitement les combustibles nucléaires usés pour séparer les matières (plutonium et uranium) des déchets, pour lesquels est conçu le projet CIGEO. En France, 90% des déchets radioactifs produits chaque année disposent d’une solution de gestion à long terme.
• (art. 31) La sûreté nucléaire et l’information des citoyens : Le devoir de toujours progresser ne doit pas faire oublier que la filière nucléaire française est exemplaire dans sa culture et son dispositif réglementaire. Les nouvelles mesures doivent rester proportionnées au regard des objectifs poursuivis.
• (art. 53) La recherche et l’innovation : Pour atteindre les objectifs de la transition énergétique et préparer la rupture technologique des centrales nucléaires, l’Etat doit garantir l’effort de recherche dans le nucléaire.
• (art. 55) Les moyens de pilotage du mix électrique : Rénover les centrales nucléaires pour les exploiter au-delà de 40 ans est la solution bas carbone la plus compétitive pour les années à venir. Ce choix permettra d’éviter de « re-carboner » le mix énergétique (ce qui se passe en Allemagne).
• (art. 63 à 67) Le financement de la transition énergétique : La performance économique actuelle de la filière nucléaire est un des leviers permettant de financer la transition énergétique.
Dans le cadre du colloque de l'ORT à la CCI le 18 juin 2015, labellisé TRIA, retrouvez les perspectives de développement du GNV carburant pour les flottes de camions, bus, car, bennes OM en alternative au pétrole et avec des réductions de CO2, émissions de COV, NOx, vues par GRDF.
Retours d'expériences de plus en plus important sur la compétitivité de la filière globale (TCO) et conversion de flottes de bus fréquente, notamment en Pays de la Loire : SEMITAN à Nantes, SETRAM (100%) au Mans, projets en Vendée ...
Debat sur ouverture des concessions hydroelectriques a Heches le 14 mai
1. GARDONS NOS
BARRAGES !
Nos biens publics sont mis à mal : après les autoroutes, les aéroports,
c’est au tour de nos barrages d’être dans la ligne de mire de l'Europe avec
leur ouverture à des opérateurs financiers.
Nicolas HULOT, alors ministre de la Transition écologique du
gouvernement Macron, a remis le 31 janvier 2018 à la Commission
Européenne une liste de150 concessions à renouveler dans les trois ans.
Lors d’une réunion de Gilets Jaunes à Lannemezan, avec des militants
associatifs, syndicaux et politiques nous avons mis en place une convergence
de lutte contre le renouvellement des concessions hydrauliques et leur
ouverture à des concessionnaires privés.
Actuellement les concessions sont détenues par 3 sociétés (EDF, SHEM,
CNR) mais les infrastructures et l’eau contenue sont encore sous le
« contrôle » de l’État et des collectivités territoriales grâce à une gestion
optimisée et durable définie dans un cahier des charges public.
• Si les barrages sont mal entretenus, quels sont les risques ?
• Avec une gestion libérale, quelles incidences sur le coût de l’énergie ?
• L’EAU sera-t-elle toujours une ressource garantie comme Bien
Commun Vital ?
Cela vous inquiète ? Alors venez en discuter avec nous le :
Quelques chiffres :
•662 barrages hydro-électriques en France.
•12 % de la production d’électricité et 68 % de l’énergie renouvelable produite.
•7 milliards de mètres cubes d’eau, soit 75 % des réserves d’eau de surface.
•400 gros barrages gérés en concession, dont 80 % par EDF.
MARDI 14 MAI
18h30 Salle des Fêtes
HÈCHES