4. Environnement favorable :
Très forte demande en
formations
Présence massive des nouveaux
médias
La biennale de Dak'Art
Coopération culturelle
internationale
Village des Arts
Ecole des Arts
Musées et espaces d'expo
L'influence de l'école sur la
création contemporaine
sénégalaise, africaine et
internationale
Un rayonnement au plan africain
et international
Environnement artistique
dynamique
Ressources humaines en qualité
disponibles
Atelier de communication depuis
1978
Arts graphiques depuis 1978
Acquis pédagogiques
Réalité historique
A contribué à définir "l'Ecole de
Dakar" comme manière de
travailler
Disponibilité des anciens élèves
et élèves-professeurs
Existence et fonctionnement de
l'E.N.A
Enseignement de l'Education
Artistique depuis 1970
Etudiants boursiers
Existence d'un environnement
pluridisciplinaire des Arts
Environnement audiovisuel
favorable
Environnement institutionnel
favorable
Environnement universitaire
favorable
Un environnement Institutionnel
favorable
Volonté politique toujours
réaffirmée
Existence d'un patrimoine bâti
…… de l'Etat et du privé m2
6. Faille dans le système d'éducation artistique
et de formation dans les Arts
Faible visibilité et communication de l'E.N.A
Absence de bourses matérielles au D.A.P
Absence de diplômes
Pas d'indemnités pour les formateurs, chefs de département, surveillants, stagiaires
fonctionnaires
Absence de leadership au niveau de la Direction de l'Ecole
Inexistence de cellules pédagogiques dans les régions
Manque de professeurs
Système éducatif désuet
Absence de corps de contrôle pédagogique
Corps enseignant et personnel administratif et technique non défini
Professeurs démotivés
8. Ressources humaines
Scinder l'E.N.A en 2 structures : Niveau Bac/université et Niveau BFEM
Enseignement professionnel
Le recyclage des artistes intervention à l'école
Intégrer l'Ecole des Arts à l'Université
Renforcer les formats d'encadrement
Régulation et réinsertion des professeurs vacataires
Se rapprocher de l'université
Instaurer des intervenants missionnaires (coopérant???)
Associer l'Ecole des Arts et les universités pour formation de critiques d'Art
Encourager la transversalité pédagogique
Mise à niveau par rapport à la demande contemporaine
Recruter des enseignants
9. Pédagogie
Profiter d'avantage de la biennale
Intégrer la propriété intellectuelle dans la formation
Ateliers spécialisés
Des stages de formations des formateurs
Soutien exclusif financier des élèves en année de diplôme
Des séminaires techniques pour renforcer les capacités des artistes
Local adéquat
Créer un institut, une instance avec tous les métiers d'Art et d'architecture
Nouvelles technologies, Photo, arts numériques
Organiser rencontres professionnelles, artistiques, curateurs, critiques…
Evaluer la réforme actuellement mise en œuvre à l'E.N.A
L'intégration réel du numérique à l'Ecole > Créer un fonds pédagogique
Faire se connecter les différents Arts (arts visuels, Musiques, danse, décors, urbanisme etc.)
11. Les ambitions et projections de l'Ecole
A repenser totalement
Assise sur l'Ecole des Arts
Augmenter le budget et définir un cahier de
charges
Renforcer et affirmer l'ouverture de l'E.N.A au
monde
Potentiel offre d'emplois
Remplacer l'attestation par un diplôme reconnu et
homologué
14. Acquis
Volonté d'appropriation des acteurs
La loi du 1% qui existe
La loi d'orientation de l'architecture
Le code général des impôts
Existence d'un code du travail au Sénégal et de l'urbanisme
Projet de la loi sur le statut
La loi sur le mécénat
La reconnaissance de la liberté de se syndiquer au Sénégal
Préoccupation au niveau sous régional et continental
Environnement politique favorable
Evocation de l'Art dans la constitution
Loi 2008-2009 sur les droits d'auteurs et les droits voisins
Existence de bureaux dédiés (BSDA, OAPI, OMPI)
16. Défis
Idée 1 : Insuffisance du
contrôle de l'application de
la loi du 1%
•La loi du 1% insuffisamment
appliquée
•Rompre la main mise des
architectes sur la déco des
édifices publics
Idée 2 : Faible organisation
entrainant une faible
communication
•Absence de prise en compte
dans les sessions de formation et
d'information
pour les nouvelles lois de finance
et d'impôts
•Difficulté d'accès au nouveau
code des impôts
•Les acteurs ne sont suffisamment
pas informés sur les lois, les
dispositions juridiques et
institutionnelles
•Absence d'une association forte
regroupant les plasticiens
•Implication insuffisante des
auteurs dans la gestion de leur
droits
•Communication insuffisante avec
les auteurs
Idée 3 Statut juridique
•Absence du mot "artiste" ou "Art"
dans le code du travail
•Incohérence entre les
dispositions constitutionnelles et
les lois organiques
•Difficulté à dissocier
professionnel et amateur
•Absence de cotation des œuvres
et des artistes eux-mêmes
•Absence de prise en charge des
malades
19. Études
Commanditer une étude sur
l'environnement juridique
Relancer l'étude du statut de
l'artiste (projet de loi)
Disposer d'ouvrages de
référence
juridiques, historiques, esthéti
ques et sociologiques
Règlementer et encourager la
profession d'agents artistiques
agrées
21. Organisation structurelle
Créer un ordre
Application de la loi du 1% sur la construction
Elargir le champ d'application de la loi du 1% à la conception de l'œuvre de l'architecte
Promouvoir l'idée de la tenue d‘états généraux sur les Arts
Création d'un C.G.A
Créer un bureau "export" des Arts visuels ou de la "création contemporaine"
Rejoindre les plateformes existentes
Chercher des partenaires qui maîtrisent le secteur
Créer une mutuelle de santé
Impliquer les auteurs dans la gestion de leur Droits (restitution régulière)
Faire prendre les décrets d'application de la loi 2008-2009
Campagne de plaidoyer auprès des institutions
Implications journalistes culturels et critiques d'Art formés
Formation de critiques d'Art
Nécessité d'une reconnaissance comme corps d'Etat de l'artiste dans l'application de la loi du 1%
24. Potentiel: lieux publics et infrastructures
Existence de métiers à valoriser
Existence de relais possible avec les ASC
Ressources humaines existantes
Existence de partenaire potentiels
(architectes, sociologues, collectionneurs, religieux…)
Existence de grands artistes assez représentatifs
Espaces publiques à exploiter
Jardins et monuments aménagés
Jardins et bancs publics
Eclairage public
Ramassage ordures (voirie)
Tout à l'égout
25. Interventions existantes
Evènements socioculturels (lamb, xoy, bois sacrés, …)
Une vie artistique intense
Signes visuelles dans l'environnement urbain (lieux publiques, cars
rapides, calèches, pirogues, …)
Préoccupation artistique affirmée historiquement (sicap, HLM->années 70)
Ecole Nationale des Arts
Existence de la biennale
Travaux décoratifs de l'ANOCI
Patrimoine artistique des institutions privées et publiques
L'existence de galeries
26. Volonté politique
Existence d'une législation réglementant la palette des couleurs des édifices publiques
(ravalement des façades)
Budget d'acquisition existant pour
les organismes de l'Etat
Préoccupation politique existante
Volonté politique exprimée par
les institutions publiques et privées
Existence d'une politique urbaine
Loi d'orientation sociale (handicap) passerelles prévues
Loi du 1% Existence d'une politique d'hygiène et de santé publique
Existence organismes publics et privés
(ONG, GEEP, ENDA, UAGU, etc.)
Structures administratives publiques existantes
27. Environnement professionnel
Existence de
structures de
formation
Lieux culturels
publics et privés
Volonté artistique
Biennale et autres
évènements
Ressources
humaines existantes
(artistes, architectes
sociologues, urbanis
tes, démographes)
Existence d'une
jeunesse disponible
29. Manque d'efficience et d'intervention de
l'Etat
Nébuleuse dans l'attribution des marché de décoration
Absence de politique de loisirs
Absence d'instances de régulation contraignantes
Insuffisance des financements
Méconnaissance par les artistes du code de l'environnement
La cooptation des représentations des acteurs culturels dans les instances
comme le CNRA et le CESE
Manque d'espaces verts et de détente publics
On ne sait pas qui est habilité à acheter pour l'Etat
Absence de traçabilité du patrimoine artistique de l'Etat
Manque de pertinence et de transparence dans l'acquisition et la gestion du
patrimoine artistique de l'Etat
30. Occupation anarchique de l'espace
publique
Affichage public non réglementé
Absence de sensibilisation des populations sur
les interventions existantes
Affichage sauvage sur les édifices publiques et
privées
La formation artistique n'est pas suffisamment
pris en compte par les politiques
31. Insuffisance d'expertise
Manque d'expertise dans la médiatisation (TV, radio etc.)
Manque d'expertise dans la décoration publique
Dévalorisation du patrimoine artistique de l'Etat
La vétusté des bâtiments publics et leur manque de fraîcheur (sur
les façades)
Non conformité de la palette des couleurs (ravalements des
façades) par rapport à l'environnement
Non implication des artistes dans la définition des options
esthétiques, artistiques et techniques
Potentiel du patrimoine insuffisamment valorisé dans les espaces
publics et privées (TV, cinéma, espace urbain, célébrités, espace
familial…)
32. Manque de civisme
Insuffisance d'émissions éducatives
sur le cadre de vie
Elevage des bêtes dans les quartiers
Environnement pollué (ordures)
Environnement toxique
(mécaniciens, pompes à eau
artisanales)
Corruption
Non respect des normes dans les
constructions
Insécurité et délinquance
Vandalisme (ex: couvercle des
égouts) Indiscipline
Détournement des biens et deniers
publics
Occupation sauvage de l'espace
publique
Les quartiers traditionnellement
structurés se …………………….
Investissement sauvage des trottoirs
et espace communs
Non respect des règles de vie
Bouchage canalisations
Pollution sonore
Affichage sauvage
33. Manque de rigueur dans l'application des
lois et règlements
Débordements des
marchés (souks, cantines)
Les canaux à ciel ouvert
Infrastructures publiques
obsolètes
PSQE - des populations
sans qualification et sans
éducation
Manque de volonté et de
courage de la part de l'Etat
Absence de planification
urbaine
Manque d'éducation
esthétique à la base
Faiblesse de la vision
politique
Urbanisation sauvage Loi
du 1% non appliquée
Insuffisance
d'aménagement pour
handicapés
35. Gestion de la visibilité artistique
Être présent dans l'univers médiatique
Mise en place d'un cadre de réglementation de
l'esthétique dans l'environnement et dans les
média
Se rapprocher des TV pour améliorer les plateaux
d'émission
Favoriser l'éducation en milieu ouvert (EMO) :
visites diverses vers les Arts mais même en
pourcentage
avec l'environnement (au sens écologique)
Prévoir des espaces d'affichage publique
nombreux surtout en veille d'élection appliquer la
loi en cas de violation
Instaurer discipline er civisme Impliquer les
artistes dans la production de contenu audiovisuel
portant sur les arts visuels
Possibilité de mettre en place l'ordre des artistes
visuels notamment pour avoir un droit de regard
sur
les plateaux de télé et sur autres aspects
36. Transversalité pédagogique
Organiser des rencontres professionnelles
Audace dans la créativité (valorisation des matériaux locaux) Créer des
espaces d'expressions publiques renouvelables (6mois par exemple)
Amplifier l'existence des mobiliers urbains (abris-bus, poubelles, toilettes
publiques, etc.) Présence d'œuvres dans les lieux de travail
Présence esthétique dans les résidences
Augmenter le coefficient de l'éducation artistique à l'école + coefficient
horaire au niveau éducatif
Rencontre périodique des artistes sur l'environnement Responsabilité
sociale (art thérapie et milieu carcéral)
Contribution volontaire dans l'éducation du public par des actes de
générosité
Générosité de la part des artistes
Visite de musées et ateliers
Occuper l'espace public par des fresques à vocation éducative et civique Et
même en matière de santé
et de bien-être
37. Gouvernance esthétique
Affecter espace à des artistes Mettre à la
disposition des ministères, directions etc.
les œuvres qui souffrent à la direction du
patrimoine
Financement par l'inscription dans les
budgets de l'Etat, des municipalités et le
privé
(R.S.E, loi sur le mécénat, application loi
du 1% , …)
Confier l'acquisition du patrimoine, des
donations, prêts et échanges à un
guichet unique
Impliquer les artistes dans la définition
des choix esthétiques, artistiques et
techniques dans la réalisation
des projets d'aménagement à Dakar et
dans les régions
Meilleure visibilité des œuvres du
patrimoine privé de l'Etat Rapatriement
Tenir compte de l'avis d'expert dans le
choix des palettes (ravalement des
façades)
Tenir compte de l'avis du conseil national
de Arts avant validation des projets
Audit du patrimoine artistique de l'Etat
Mettre en place une inspection d'Etat
chargée du contrôle, de l'évaluation et
de la préservation du patrimoine
artistique de l'Etat au plan national et
international
Créer un conseil national des Arts
Plan structuré d'embellissement des
lieux publics
(regroupement des conseils des villes)
Créer un espace de concertation entre le
conseil national des arts et les
parlementaires
+ conseil économique social
environnemental
Concertation avec les conseillers
municipaux
Pratiquer le merchandising avec les
objets et mobiliers urbains
Créer des espaces de labellisation
Evaluer l'existant en terme
d'aménagement à Dakar et dans le reste
du pays
Se rapprocher de l'ordre des architectes
Faire l'état des lieux pour le patrimoine
artistique
Représentations de toutes les disciplines
artistiques dans les instances de
décisions/régulations
du patrimoine prêté/volé
38. Amendes
Emprisonnements
(travail forcé!)
Responsabilité
engagement citoyen
Rapprochement entre
artistes et politiques
Education à la base
Concertation sur
l'esthétique publique
Mise en place de
projets
d'aménagement
L'éducation esthétique
des populations
Appliquer la loi du 1%
Faire participer les
artistes étrangers à
l'aménagement urbain
Assurer une formation
correcte aux étudiants
et élèves
Investissement
humain communautés
Rénovation, embelliss
ement, valorisation de
l'espace scolaire
Promouvoir
l'éducation civique
Renforcer pouvoir du
Service d'hygiène
Généraliser service
civique
42. Plateforme d'échanges
Espace de prise de parole des artistes
Volonté politique existente
Espace de dialogue entre les artistes et les autorités publiques
La communication et la visibilité
Opportunité d'avoir une critique nationale
Opportunité de visibilité d'une création artistique nationale
44. Défis
Défaut de la prise en charge des œuvres du salon par le patrimoine
national public et privé
La perte du principe de l'acquisition des œuvres pour le compte de la collection
artistique privée de le l'Etat
Irrégularité dans son organisation
Absence de professionnalisme
Manque d'espace d'organisation (Galerie Nationale d'Art devenue trop exiguë)
Absence de professionnalisation de son organisation
Désaffection du salon
Inorganisation des artistes
46. Professionnalisation organisationelle
Une représentativité générationnelle
Missions de mise à niveau dans les régions après chaque salon
Le salon national peut tenir compte de sélections régionales éventuelles
Régler sa périodicité
Revoir les modalités de son organisation
Clarifier la création contemporaine
Reformer le salon national à travers une démarche de concertation
Inscription dans l'agenda culturel national
Impliquer ou l'élargir aux autres artistes des régions
Mettre en place une structure en rapport avec les artistes
Repenser le salon et rétablir le salon , en faire une vitrine
Revaloriser le salon des artistes plasticiens
Chercher des partenaires pour lui donner plus de visibilité et de crédit
Sélection très rigoureuse des artistes
47. Nouvelle géographie des lieux d'exposition
Recherche
d'espaces appropriés
Eclatement des pôles de
monstration
Galerie nationale, la question des
décharges
Eclater selon affinités
48. Stratégie de communication
Développer
les
Susciter
des
visites des
espaces de
scolaires lors
dialogues dans
des expositions les journaux
Créer des
émissions dans
les médias
50. Initiative Arts Visuels Octobre 2013
Avec le soutien de Adafest/Arterial.
Equipe : Oumar Sall, Mouhamed Toure, Alassane Babylass Ndiaye. Création visuel M.L.