Etude comparative d'un "doublet" de Baudelaire : La Chevelure, poème versifié extrait des Fleurs du mal, et "Un hémisphère dans une chevelure", poème en prose extrait du Spleen de Paris.
Etude comparative d'un "doublet" de Baudelaire : La Chevelure, poème versifié extrait des Fleurs du mal, et "Un hémisphère dans une chevelure", poème en prose extrait du Spleen de Paris.
Livre de l'Exposition réalisée à l'esprit d'atelier à Versailles, en octobre et novembre 2017, dans le cadre de la semaine des Galeries d'Artistes.
Ce livre contient toutes les 72 photographies exposées, quelques inédits, un propos et plusieurs poèmes également, clins d'oeil aux sourires à la Vie.
#Dialogues #Interculturels #Médiation
"La nuit il y a toujours quelque chose qui brille" disait Boris Cyrulnik, pour "transformer nos blessures en énergie vivent". Quand l'écriture nous permet de remplir le vide par une créativité. En puisant à la source de notre enfance, celle qui a "imprégné en nous, les facteurs de protection", et qui fait aujourd'hui, notre cocon sensoriel pour traverser les crises... C'est aussi faire ECOLOGIE “Un texte est, un paysage inscrit sur le papier. Un paysage est, un texte inscrit sur la terre” ZHANG CHAO, L’Ombre d’un rêve,97
C'est la fête des amoureux et pour changer nous avons choisi de vous parler de notre AMOUR pour les livres. 2 livres en écho à une belle citation, et vous quels auraient été vos choix ?...
Présentation des gagnants - Rallyeinsta 5Rallyeinsta
Voici les gagnants de la 5 édition du Rallyeinsta ; un concours de photographies instantanées pour les adeptes de la communauté Instagram.
40 équipes // 30 catégories // 30 photos // 9 jours
Livre de l'Exposition réalisée à l'esprit d'atelier à Versailles, en octobre et novembre 2017, dans le cadre de la semaine des Galeries d'Artistes.
Ce livre contient toutes les 72 photographies exposées, quelques inédits, un propos et plusieurs poèmes également, clins d'oeil aux sourires à la Vie.
#Dialogues #Interculturels #Médiation
"La nuit il y a toujours quelque chose qui brille" disait Boris Cyrulnik, pour "transformer nos blessures en énergie vivent". Quand l'écriture nous permet de remplir le vide par une créativité. En puisant à la source de notre enfance, celle qui a "imprégné en nous, les facteurs de protection", et qui fait aujourd'hui, notre cocon sensoriel pour traverser les crises... C'est aussi faire ECOLOGIE “Un texte est, un paysage inscrit sur le papier. Un paysage est, un texte inscrit sur la terre” ZHANG CHAO, L’Ombre d’un rêve,97
C'est la fête des amoureux et pour changer nous avons choisi de vous parler de notre AMOUR pour les livres. 2 livres en écho à une belle citation, et vous quels auraient été vos choix ?...
Présentation des gagnants - Rallyeinsta 5Rallyeinsta
Voici les gagnants de la 5 édition du Rallyeinsta ; un concours de photographies instantanées pour les adeptes de la communauté Instagram.
40 équipes // 30 catégories // 30 photos // 9 jours
NAONECT: Contrôler un robot humanoïde par des gestes en temps réelTom Mens
Présentation par Anthony Rouneau (étudiant Master 1 Sciences Informatiques) sur son projet d'été 2015: comment contrôler un robot humanoide NAO à l'aide de l'interaction gestuelle, détecté par un Microsoft Kinect V2. Sous la direction de Tom Mens, Service de Génie Logiciel, Faculté des Sciences, Université de Mons (UMONS), Belgique
Ce livre est un recueil de poèmes d'amour inspirantes et attractives, avec des images descriptif adapter à chaques poèmes.
J'ai eu un énorme plaisir à l'écrire et j'en ai aussi appris.
De plus l'importance primaire de ce recueil est qu'elle nous fait voir et comprendre que tout n'est réminiscence.
J'espère qu'elle vous plaira comme ça m'a plu de l'écrire et de le partager.
Bonne Lecture !
Je voudrais te dire les secrets de ma vie
Les secrets de mon cœur et de mon âme aussi
Je voudrais te dire tous mes rêves interdits
Et que Toi je t'aime - Je t'aime à l'infini
Que nos premiers moments sont à jamais gravés
Nos cœurs se sont trouvés - Tu m'as ensorcelée
Tout a changé soudain - Ma vie s'est illuminée
Table rase du passé - Ton Amour m'a comblé
...
2. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
3. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
4. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
5. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
6. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
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8. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
9. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
10. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
11. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
12. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
13. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
14. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
15. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
16. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
17. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
18. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
19. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
20. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
21. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
22. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
23. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
24. Que l'on m'ôte la vue je te vois encore autant, Que l'on voile mes yeux, constamment je perçois L'essence de ton âme ; mon cœur jamais ne ment. Privée de ma lumière, pourtant je t’entrevois. J’ai besoin de toi, poète, De ton regard sur moi ; mon soleil du matin De tes lèvres si douces, un bonheur, des câlins Mes doigts sur ton visage, pour des instants de fête, Pour des instants de fête, Que l’on m’enlève aussi la lumière de vie Que l’on m’enterre ainsi la vue de mes chéris L'obscurité assèche mon fleuve de chagrin Mais je sens la chaleur, conservée de ta main. J’ai besoin de toi, poète, De ta solide épaule, pour partager ma peine De ton cœur attentif, pour des nuits plus sereines De tes mains amoureuses, pour relever la tête, Pour relever la tête. Que le malheur occulte la clarté de mes jours, Mon coeur te restera, fidèle pour toujours Que l'obscurcissement me vole ton visage, Je saurais ton regard, tel une douce image. J’ai besoin de toi, poète, De tes yeux si aimants, pour me voir et me lire, De tes lèvres, les miennes, les touchers d’un sourire, De ton cou pour m'enfouir, cette tendre cachette, Cette tendre cachette. J’ai besoin de toi, poète, De ta fine mémoire, couvrant mes souvenirs De ta voix chaleureuse, pour taire l’avenir De tes doigts caressants, qui bercent ma tristesse, Qui bercent ma tristesse, J’ai besoin de toi, poète, De tes bras secourables, pour reposer ma tête De ce calme refuge, qu’est le fond de ton cœur De cette forteresse, pour y cacher mes pleurs, Pour y cacher mes pleurs,
25. J’ai besoin de toi, poète Auteur de chanson : Saysamone AMPHONESINH