Notre priorité est d’aider tous les Drômois à vieillir dignement
dans un environnement sûr et adapté, selon leur choix,
que ce soit à domicile ou dans un établissement spécialisé.
La grogne des élus dans le Lot. Plusieurs mairies de la Communauté de communes des Causses et Vallée de la Dordogne sont fermées ce lundi. Une façon pour les élus d'exprimer leur inquiétude pour l'avenir de leurs collectivités.
Notre priorité est d’aider tous les Drômois à vieillir dignement
dans un environnement sûr et adapté, selon leur choix,
que ce soit à domicile ou dans un établissement spécialisé.
La grogne des élus dans le Lot. Plusieurs mairies de la Communauté de communes des Causses et Vallée de la Dordogne sont fermées ce lundi. Une façon pour les élus d'exprimer leur inquiétude pour l'avenir de leurs collectivités.
Présentation des résultats d'une étude conduite par le Département du Rhône sur le maintien à domicile et les TIC. Et les 3 expérimentations numériques qui en découlent.
Table ronde 1 gérontechnologie et maintien sur le lieu de vie Fred balardHarel Fabien
contribution des sciences huamines Frédéric Balard - journée gérontechnologies et maintien sur le lieu de vie - Gap hautes-Alpes Région PACA - 30 mars 2012
Le Centre Médico-Social (CMS) de Saint-Sébastien-sur-Loire a pris, depuis le 25 avril, ses quartiers au rez-de-chaussée du 15, rue Mainguet.
Ses nouveaux locaux, spacieux et accessibles, répondent mieux à l’accueil du public, de plus en plus nombreux à se déplacer dans le centre sébastiennais (+12,8% de personnes reçues l’année dernière par rapport à 2011).
Vaccins, examens, visites à domicile auprès des familles d’enfants âgés de moins de 6 ans, attribution d’aides financières aux familles en situation de précarité, accompagnement des allocataires du RSA… : neuf professionnels de l’action sociale (4 assistantes sociales, 2 puéricultrices, 2 secrétaires médico-sociales et 1 médecin) y écoutent, informent et aident les habitants de la commune.
L'expérience au service du territoire avec 3 maires et 1 adjoint. Chantal Carlioz, Maire de Villard de Lans et Conseillère générale sortante, Christian Coigné, Maire de Sassenage, Vice-président de l’Association des Maires de l’Isère, Denis Roux, Maire de Noyarey, Vice-président du Parc Naturel Régional du Vercors et Véronique Riondet, Adjointe au Maire de Lans-en-Vercors, Conseillère communautaire CCMV pour les élections cantonales du Dimanche 22 mars 2015.
Présentation des résultats d'une étude conduite par le Département du Rhône sur le maintien à domicile et les TIC. Et les 3 expérimentations numériques qui en découlent.
Table ronde 1 gérontechnologie et maintien sur le lieu de vie Fred balardHarel Fabien
contribution des sciences huamines Frédéric Balard - journée gérontechnologies et maintien sur le lieu de vie - Gap hautes-Alpes Région PACA - 30 mars 2012
Le Centre Médico-Social (CMS) de Saint-Sébastien-sur-Loire a pris, depuis le 25 avril, ses quartiers au rez-de-chaussée du 15, rue Mainguet.
Ses nouveaux locaux, spacieux et accessibles, répondent mieux à l’accueil du public, de plus en plus nombreux à se déplacer dans le centre sébastiennais (+12,8% de personnes reçues l’année dernière par rapport à 2011).
Vaccins, examens, visites à domicile auprès des familles d’enfants âgés de moins de 6 ans, attribution d’aides financières aux familles en situation de précarité, accompagnement des allocataires du RSA… : neuf professionnels de l’action sociale (4 assistantes sociales, 2 puéricultrices, 2 secrétaires médico-sociales et 1 médecin) y écoutent, informent et aident les habitants de la commune.
L'expérience au service du territoire avec 3 maires et 1 adjoint. Chantal Carlioz, Maire de Villard de Lans et Conseillère générale sortante, Christian Coigné, Maire de Sassenage, Vice-président de l’Association des Maires de l’Isère, Denis Roux, Maire de Noyarey, Vice-président du Parc Naturel Régional du Vercors et Véronique Riondet, Adjointe au Maire de Lans-en-Vercors, Conseillère communautaire CCMV pour les élections cantonales du Dimanche 22 mars 2015.
Le Mouton Noir de juin 2018 - Cahier spécial. Les centres de femmes des incon...Cybersolidaires
Publié en vue du congrès annuel des centres de femmes du Québec qui avait lieu à Rimouski en juin 2018. Celui-ci portait sur les nouvelles formes de mobilisation sociales et féministes, comme celles de #metoo, #moiaussi, #agressionsNondénoncées. Ce cahier spécial est le fruit d'une collaboration avec les neuf centres de femmes du Bas-Saint-Laurent : http://www.rcentres.qc.ca/public/bas-st-laurent.html
Réalisé par La Marie Debout, ce répertoire s'adresse aux Montréalaises qui désirent s'impliquer dans leur milieu et dans les décisions qui les concernent. Il vise également à convaincre celles qui douteraient de leur capacité d'influencer.
L’ACW est à l’écoute des préoccupations des gens et s’efforce d’y apporter une réponse.
Il y a trop de déchets dans les rues, les enfants n’ont pas d’endroit où jouer, les personnes âgées ne trouvent pas de maison de repos à un prix abordable… L’ACW
recherche toujours des solutions équitables et durables afin que chacun ait sa place dans la société.
Dans certains cas, il est impossible de résoudre seul et par soi-même les problèmes
que nous rencontrons. Il appartient alors aux décideurs d’apporter une solution. L’ACW
exerce une pression sur ces derniers et influence ainsi la politique. Ceci dans le but de
faire émerger des solutions valables, à savoir des solutions sociales et durables qui
tiennent compte de tous.
Ensemble, on est plus fort. Cela vaut certainement pour l’ACW. Le fait de collaborer
avec d’autres organisations augmente les possibilités d’atteindre des solutions positives.
Le travail de l’ACW, c’est aussi présenter des cahiers de revendications à tous les partis émocratiques, ou encore discuter de solutions concrètes avec des hommes politiques favorables au projet social
de l’ACW.
Innovations et santé; la santé à quel prix ? | LIEGE CREATIVE, 16.05.2019LIEGE CREATIVE
L’adage est bien connu : « La santé n’a pas de prix ! ». Mais elle a pourtant un coût... Et dans ce coût, la part consacrée aux nouveaux médicaments fait de plus en plus débat, pour ne pas dire polémique.
Comment sont déterminés les prix des médicaments ? Et surtout, comment fixe-t-on les conditions et les niveaux de remboursement de ces médicaments ?
Quelles sont les prérogatives de l’Etat par rapport aux objectifs « commerciaux » des entreprises pharmaceutiques ?
Toutes ces questions seront abordées par Olivier Ethgen, Economiste de la Santé et Professeur associé (ULiège).
Si l’on parle d’ « économie de la santé », il faut toutefois avoir à l’esprit que la santé n’est pas un « produit » comme un autre. Faisant partie du bien public, elle amène inévitablement à certaines questions éthiques. Par exemple : les médicaments innovants sont généralement chers ; quel est dès lors le coût maximal que la société peut prendre en charge pour une unité de santé supplémentaire, au détriment d’autres utilisations de ces ressources ?
Ou encore : les gains en santé ont-ils tous la même valeur, indépendamment de la situation des individus (plus ou moins vulnérable)?
Edouard Delruelle, Professeur de philosophie politique (ULiège) partagera son approche et ses réflexions portant sur l’accessibilité financière aux soins de santé et aux médicaments en Belgique, en mettant cette question en perspective tant sur le plan historique que politique.
Cette séance présentera un survol d’une revue exploratoire rapide, réalisée en 2022 par le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils (CCNMO) en collaboration avec le Centre de collaboration nationale des maladies infectieuses (CCNMI), sur le rôle de la santé publique en partenariat avec des refuges offrant des services aux personnes en situation d’itinérance. La revue fait état d’exemples de collaborations entre la santé publique et des refuges pour offrir des programmes et des services de santé publique, ou pour soutenir le personnel des refuges relativement à des sujets de santé publique. Le CCNMI a utilisé cette revue dans le cadre d’un Institut explorant les possibilités d’améliorer les communications et les programmes afin qu’ils soient utiles aux clients et au personnel des refuges. Joignez-vous à nous pour en apprendre davantage sur les résultats de cette revue exploratoire rapide et pour discuter des moyens d’accroître la collaboration entre la santé publique et les refuges.
Mémoire présenté par l'Ordre des travailleurs sociaux et des thérapeutes conjugaux et familiaux, dans le cadre des
Consultations particulières sur le livre blanc sur la création d'une assurance autonomie intitulé L'autonomie pour tous.
La vision clinique que nous avons adoptée à l’égard des personnes qui font appel à nos services repose sur l’exercice de la pleine citoyenneté. Au sein d’une collectivité, l’expression de la pleine citoyenneté consiste, pour les individus qui la composent, en la possibilité de jouer un rôle actif dans le respect de leurs droits, devoirs et capacités. L’exercice de la pleine citoyenneté fait donc appel à la solidarité et à la place que notre collectivité accorde à chaque individu.
Programmation de l'hiver et du printemps 2023Cybersolidaires
Le Centre d'éducation et d'action des femmes (CÉAF) est un centre de femmes situé à Montréal. Pour en savoir plus, consultez : https://www.ceaf-montreal.qc.ca
2. Qu’Est-cE Qu’un cEntrE dE fEmmEs ? J O U R N É E N AT I O N A L E
Les centres de femmes sont des ressources dynamiques
DES CENTRES DE FEMMES
gérées par et pour des femmes. Les centres offrent des DU QUÉBEC • LE PREMIER MARDI D’OCTOBRE
services d’aide individuelle et de groupe ainsi que des activités
qui favorisent notamment l’autonomie des femmes et l’atteinte
d’une réelle égalité entre les sexes. Les centres participent journée nationale
également à des actions politiques sur le plan local et national
afin d’obtenir une véritable justice sociale. Écoute, entraide, Depuis 2003, la Journée nationale
ateliers, références et activités de mobilisation sont donc au des centres de femmes est soulignée
cœur de la mission des centres de femmes. partout à travers la province.
Ils sont ouverts à toutes les femmes et on vous y attend! Chaque 1er mardi d’octobre, L’R des
centres de femmes du Québec et ses
CONSuLtEz LE SItE INtERNEt de L’R des centres de femmes
L
Lt 102 membres vous invitent à des
du Québec pour trouver le centre près de chez vous! activités pour mieux les découvrir
www.rcentres.qc.ca et connaître leurs revendications.
E n s E mo n E
bl
DAns LA COnTInUITÉ DE LEURs LUTTEs COnTRE LA PAUvRETÉ ET POUR
LACCès à DE MEILLEUREs COnDITIOns En sAnTÉ, L’R ET LEs CEnTREs
L’
r E frifs atios
DE fEMMEs UnIssEnT AUjOURD’hUI LEUR fORCE POUR COnTRER LA
u ic n TARIfICATIOn ET LA PRIvATIsATIOn DU sysTèME DE sAnTÉ.
v
vATI
lata • Parce que toutes n’ont pas les moyens de payer pour être
dans lE systèmE
malades, nous voulons conserver un accès à des soins de santé
gratuits, de qualité et dans un délai raisonnable.
dE santé ! Avec la tarification des soins de santé, nos gouvernements
contreviennent à l’article 12 du PIDESC (Pacte international relatif
aux droits économiques, sociaux et culturels) qui les oblige à
«la création de conditions propres à assurer à tous des services
médicaux et une aide médicale en cas de maladie».
Les droits à La santé et à La dignité sont des droits non négociabLes!
• Parce que le gouvernement marche bras dessus bras dessous avec les intérêts financiers privés.
Les réductions et exemptions d’impôts diminuent Les ressources économiques du gouvernement.
De 1964 à 2004, la proportion des impôts du Québec payés par les entreprises est passée de 38% à 12%.
Ces fleurs qu’offre le gouvernement aux entreprises le condamnent à réduire les services gratuits à la
population. En se déresponsabilisant progressivement des soins et des services de base, le gouvernement
ouvre grand la porte à la tarification et à la privatisation qui nous prive de notre santé.
• Parce qu’on veut maintenir un système de santé qui accueille tout le monde à bras ouverts !
L’État doit conserver les moyens de rendre effectif l’application du droit à la santé reconnu par les organisations
internationales, telles l’Organisation mondiale de la Santé et l’Organisation des Nations unies. On ne veut
pas retourner à l’époque de l’endettement pour les soins, les accouchements et les séjours à l’hôpital.
iL est hors de question de se demander si on a Les moyens de se soigner et de Le faire à crédit!
• Engageons un réel bras de fer avec le gouvernement et refusons toute forme
de tarification en ce qui a trait aux soins de santé.
Joignons notre voix aux nombreux groupes et coalitions qui luttent afin que les principes
fondamentaux, comme l’universalisme, l’accessibilité et la gratuité, à la base du système de
santé et de la Loi canadienne sur la santé, soient respectés et appliqués intégralement.
notre santé, c’est un enjeu pubLic et non une marchandise!
r d notrE droit à la santé !
dE
L’ R D E S C E N T R E S D E F E M M E S D U Q U É B E C
110, rue ste-Thérèse, bureau 507 Montréal (Québec) h2y 1E6
www.rcentres.qc.ca • 514.876.9965