Ame gallery le monde de l'art selon e.t.-030714 festival in situ aubervillier...Antoine Mercier-ame
dans la série "Le monde de l'art selon E.T.", un oeil nouveau sur l'art contemporain.
Nouvelle visite d’E.T de L’ In Situ Festival au Fort d’Aubervilliers le 3 juillet 2014
E.T., sculpture sociale et nomade d’Antoine Mercier (AME) va à la rencontre d’autres œuvres d’art, dans les ateliers d’artiste, les expositions, les musées et tout autre espace urbain ou l’art est présent.
Avec les artistes, Jef Aerosol, Jane&JS, Dan 23, Mygalo 2000, Gilbert Mazout, Sixo Santos, Btoy, FenX, RCF 1, Guy Denning, FKDL, On Off.
L'In Situ Art Festival rassemble les œuvres de 40 artistes urbains, réunis en secret pendant plusieurs semaines dans le Fort d'Aubervilliers. Leur mission : transfigurer cette friche industrielle mystérieuse et méconnue pour l'ouvrir au public.
Les artistes ont été invités à travers cette intervention In Situ à s'approprier le concept de transition, en écho au moment particulier que traverse actuellement ce site, vidé de ses anciens usages, dont la démolition de certains bâtiments est programmée pour cet automne.
plus d'infos sur le site www.ame-gallery.fr et la page facebook Ame-Gallery friends
Ame gallery le monde de l'art selon e.t.-030714 festival in situ aubervillier...Antoine Mercier-ame
dans la série "Le monde de l'art selon E.T.", un oeil nouveau sur l'art contemporain.
Nouvelle visite d’E.T de L’ In Situ Festival au Fort d’Aubervilliers le 3 juillet 2014
E.T., sculpture sociale et nomade d’Antoine Mercier (AME) va à la rencontre d’autres œuvres d’art, dans les ateliers d’artiste, les expositions, les musées et tout autre espace urbain ou l’art est présent.
Avec les artistes, Jef Aerosol, Jane&JS, Dan 23, Mygalo 2000, Gilbert Mazout, Sixo Santos, Btoy, FenX, RCF 1, Guy Denning, FKDL, On Off.
L'In Situ Art Festival rassemble les œuvres de 40 artistes urbains, réunis en secret pendant plusieurs semaines dans le Fort d'Aubervilliers. Leur mission : transfigurer cette friche industrielle mystérieuse et méconnue pour l'ouvrir au public.
Les artistes ont été invités à travers cette intervention In Situ à s'approprier le concept de transition, en écho au moment particulier que traverse actuellement ce site, vidé de ses anciens usages, dont la démolition de certains bâtiments est programmée pour cet automne.
plus d'infos sur le site www.ame-gallery.fr et la page facebook Ame-Gallery friends
JEAN-LUC BLANC Sans titre ; 2005
Notice sur les œuvres du FDAC Essonne, réalisée par
Michèle COMPAIN, Catherine DONNEFORT, Armelle SAMZUN,
avec le soutien de la Délégation Académique
à l'Action Culturelle (DAAC) - Rectorat de l'Académie de Versailles.
Dans le cadre de l'exposition «Autoportrait », en partenariat avec : l’Association « Saint-Louis pour la photo », l’Association « Les gens de la fontaine 68 » et le Cinéma « Palace » d’Altkirch, la Médiathèque Départementale du Haut-Rhin vous propose une bibliographie sur ce thème
JEAN-LUC BLANC Sans titre ; 2005
Notice sur les œuvres du FDAC Essonne, réalisée par
Michèle COMPAIN, Catherine DONNEFORT, Armelle SAMZUN,
avec le soutien de la Délégation Académique
à l'Action Culturelle (DAAC) - Rectorat de l'Académie de Versailles.
Dans le cadre de l'exposition «Autoportrait », en partenariat avec : l’Association « Saint-Louis pour la photo », l’Association « Les gens de la fontaine 68 » et le Cinéma « Palace » d’Altkirch, la Médiathèque Départementale du Haut-Rhin vous propose une bibliographie sur ce thème
Cette présentation a servi du fil rouge pour le discours de Cécile du blog Eclectic Gipsyland sur Yarnbombing pendant la 5ème édition des journées des créatrices Siandso le 18 juin 2012
Benchmark des événements et festivals Street Art en FranceRomy Hoeusler
A l'occasion du festival Halte! organisé à Lyon par La Face B et Pömz and Friends, réalisons un petit état des lieux des festivals, événements et lieux phares autour du street art en France.
The document is a short piece of graffiti containing a music credit to Vanessa Mae's version of the song "Cotton Eye Joe" labeled as a joke. It also thanks the viewer for watching and includes a website address.
Les Français et le #Big Data - Baromètre 2015Elia Consulting
Données personnelles, le paradoxe Français
Elia Consulting publie les résultats de la seconde édition de son baromètre « Les Français et leurs données personnelles », réalisé avec IPSOS.
A l'intérieur de ce baromètre :
Malgré une crainte diffuse sur l’utilisation de leurs données personnelles, les Français ne modifient pas leurs comportements. Ce manque d’information des consommateurs doit être pris en compte par les entreprises qui, par éthique, doivent aujourd’hui aller au delà de la réglementation en vigueur.
Mémoire Street art et médias numériques : opportunité de notoriété ou menace ...Hélène Faure
Mémoire de Master 1 sur la relation entre street art et médias numériques : opportunité de notoriété ou menace identitaire ?
Comment le street art peut-il tirer parti de la communication digitale alors que celle-ci représente un danger d’institutionnalisation contraire à son essence première ?
Street art is artwork created in public spaces, as opposed to traditional commercial galleries or museums. It includes murals, stencils, stickers and other media. Street art is sometimes seen as vandalism while others view it as a legitimate art form. Famous street artists include Banksy, who is known for his political and social commentary pieces done anonymously in public spaces. Banksy has achieved commercial success despite his anonymity and works comment on topics like consumerism, capitalism, and politics.
Ce mémoire de fin d'étude s'intéresse aux origines du street art et à son utilisation en termes de communication. L'analyse remonte plus loin que la majeure partie de celles présentent sur le web. Ce mémoire n'est pas juste une étude de secteur, c'est aussi un travail de plusieurs années réalisé par passion.
The document discusses Internet of Things (IoT) and how it is enabling smart cities. It describes technologies that enable IoT like cheap sensors, bandwidth, processing power, and wireless coverage. It discusses the history and challenges of IoT. It outlines how IoT can be used across various sectors and environments like transportation, infrastructure, manufacturing, agriculture and more. It discusses how IoT can provide benefits like improved efficiency, reduced costs, and new revenue streams for cities. Finally, it discusses how citizen engagement and mobile applications can help build smart cities and provide solutions using IoT.
Ame gallery -le monde de l'art selon e.t.- reportage photographique d'antoine...Antoine Mercier-ame
E.T. , sculpture « sociale » et nomade d’Antoine Mercier a décidé de découvrir sur son E.T. mobile électrique le monde de l’art, collectionneurs, galeries, ateliers d’artiste, monuments, musées et expositions.
A suivre photos, reportages, vidéos, interview sur le site www.ame-gallery.fr et sur la page Facebook « le monde de l’art selon E.T. » (en construction)
Le 28 septembre 2013: Reportage à l'exposition de photographies Photoquai, 2013 quai Branly à Paris
L’ailleurs vu de l’ailleurs (Source www.photoquai.fr)
Depuis sa création en 2007 à l’initiative du musée du quai Branly, la biennale de photographie Photoquai met en valeur une photographie du monde entier qui donne à voir un ailleurs vu de l’ailleurs. En quatre éditions, 200 photographes, la plupart inédits en France, ont été présentés au grand public international.
En 2013, Photoquai poursuit sa mission fondamentale : mettre en valeur et faire connaître des artistes non occidentaux dont l’œuvre reste inédite ou peu connue en France, susciter des échanges, des croisements de regards sur le monde.
Avec les photographies de Amit Madheshiya, Alejandro Cartagena, Gustavo Lacerda , Hein-Kuhn Oh, José Castrellón, Kechun Zhang, Sunmin Lee, Tamara Abdul Hadi, Thabiso Sekgala , Yaakov Israel , Estan Cabigas, Tarek Al-Ghoussein , Rongguo Gao, Anastasia Rudenko, Dow Wasiksiri, Shinya Arimoto, Stanley Fung, Rony Zakaria, Pedro David, Eric Bridgeman
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Ame gallery le monde de l'art selon e.t.-040614 festival in situ aubervillier...Antoine Mercier-ame
E.T visite sous une pluie battante L’ In Situ Festival au Fort d’Aubervilliers le 4 juin 2014
Partie 1/2
E.T., sculpture sociale et nomade d’Antoine Mercier (AME) va à la rencontre d’autres œuvres d’art, dans les ateliers d’artiste, les expositions, les musées et tout autre espace urbain ou l’art est présent.
Dans la série "Le monde de l'art selon E.T.", un oeil nouveau sur l'art contemporain.
Avec les artistes, Le CyClop , Collectif 13 bis, David Walker, Jorge Rodriguez-Gerada, Dan 23, Jef Aerosol, Laurence Favory, Skull, Kouka, Kram, Marko93, Nemi-UHU.
L'In Situ Art Festival rassemble les œuvres de 40 artistes urbains, réunis en secret pendant plusieurs semaines dans le Fort d'Aubervilliers. Leur mission : transfigurer cette friche industrielle mystérieuse et méconnue pour l'ouvrir au public.
Les artistes ont été invités à travers cette intervention In Situ à s'approprier le concept de transition, en écho au moment particulier que traverse actuellement ce site, vidé de ses anciens usages, dont la démolition de certains bâtiments est programmée pour cet automne.
www.insituartfestival.fr
Plus d'infos sur le site www.ame-gallery.fr et la page facebook Ame-Gallery friends
Wall of Art - Mur connecté pour le développement des pratiques artistiques da...Les Interconnectés
Le Wall Art Organic est un nouveau support artistique connecté répondant aux exigences majeures des pratiques contemporaines, qu'il s’agisse du Street Art, ou bien des Arts plastiques, de la Fresque murale, etc...
Il propose un cadre légal et valorisant aux artistes de rue, et de la sorte, rétablit dans la sérénité le dialogue avec les pouvoirs publics. Il complète l'offre existante des arts de la rue et s'inscrit dans l'esprit de la culture pour tous. Cette innovation doit être perçue comme un élément de modernité urbaine. Il a été conçu en partenariat avec le département du Génie civil et informatique de l'IUT de La Rochelle
Sabrina Laconi - Présidente
sabrina.laconi17@gmail.com - 07 82 31 75 37
Pour répondre à la proposition d’Hilde Teerlinck, Dan Perjovschi a choisi de présenter au MAGASIN des installations passées (de 1991 à 2014), ainsi qu’un travail in situ conçu spécialement pour le lieu. L’exposition « PRESSION LIBERTÉ EXPRESSION » de la commissaire d’exposition Hilde Teerlinck, a eu lieu du 10 avril au 29 juillet 2015 au MAGASIN à Grenoble.
Similaire à JR_un street-art qui crée la controverse (20)
Hilde Teerlinck - Dan Perjovschi « PRESSION LIBERTÉ EXPRESSION »
JR_un street-art qui crée la controverse
1. 1
Il n’est plus à présenter. Cet artiste street-art français a fait le tour du monde avec
notamment son projet “Inside Out” : des impressions de portraits accessibles à tous,
imprimés en grand format et en noir et blanc, que Jr et son équipe collent ensuite sur les
murs des villes. Ces dernières se retrouvent ainsi habillés d’énormes visages anonymes.
Il y a quelques semaines, le camion photographique itinérant avec lequel l’artiste récolte
le fruit de son travail s’est posé autour de huit monuments nationaux français, afin de
recueillir de nouveaux portraits, qui seront exposés fin avril sur la bâche du Panthéon.
Considérée comme une consécration, cette exposition nous permet de se pencher sur
les différents enjeux que Jr et son action soulèvent.
Quelle est l’identité artistique de ce Parisien trentenaire ? D’après son site, Jr
posséderait “la plus grande galerie du monde”. La technique utilisée est donc le collage
photographique exposé librement sur les murs du monde entier, accessibles aux yeux
de tous. On trouve donc là plusieurs des critères piliers du street-art : l’œuvre artistique
est exposée en plein air, dans des milieux urbains, dont la réalisation en elle-même est
illégale. L’environnement urbain devient création contemporaine, et l’art connaît une
véritable démocratisation : la sensibilité aux œuvres n’est plus réservée aux musées ou
autres installations labellisées, l’art est dans la rue, libre, rebelle, et à la portée de tous.
2. 2
Le street-art détient donc en
son sein depuis ses origines
(que l’on date du boom du
graffiti dans les années 1960 à
New York), cette notion
protestataire.
On connaît bien la jolie histoire
de Jr qui, après avoir trouvé un
appareil photo dans le métro
parisien un jour, immortalise
ensuite les visages des gens
qu’il rencontre à travers toute
l’Europe. Un de ses premiers
projets, Portrait d’une
génération (2006) est alors
d’afficher des visages de jeunes de banlieues parisiennes dans différents quartiers
bourgeois de la capitale. Le souci de mélange des classes, d’affirmation des identités est
ici évident. Cependant on pourrait se poser la question lorsque, près de dix années plus
tard, Jr continue d’afficher ses portraits anonymes à Paris.
Certes, entre temps, ce dernier à parcouru un beau chemin. Il réalise en 2010 le film
“Women Are Heroes” qui comme vous l’avez compris à pour but de mettre à la lumière la
force des femmes à travers le monde. Il a récemment été invité par le prestigieux New
City Ballet pour réaliser une installation en collaboration avec les danseurs et
danseuses... Ce projet en particulier d’ailleurs, ne peut être véritablement considéré
comme une “action” dans les codes de l’art urbain, puisque qu’il s’agit ici pour l’artiste
d’utiliser ses talents de photographe à des fins d’appréciation purement esthétique. Il
serait donc facile de déplorer le manque de revendication et de profondeur d’œuvres
comme celle-ci.
Mais en poussant plus loin, on se rends compte que Jr a transformé la pratique sauvage
du collage street-art depuis ses débuts. En effet, son exposition “Portrait d’une
génération“ avait à l’époque été accepté par la Mairie de Paris, qui avait reçu les dits
portraits sur ses propres murs.
Aujourd’hui, cette romanisation du street-art, ce passage d’un illégal à officiel est à son
apogée lorsque celui-ci se retrouve en façade d’un monument aussi politiquement
certifié que le Panthéon. L’artiste alternatif s’est rapidement fait une place au soleil.
3. 3
L’accessibilité est, comme nous l’avons dit, une caractéristique forte du street-art. Mais
cette dernière peut-elle desservir un artiste ? Lorsqu’utilisée à son paroxysme, il
semblerait bien. Avec Inside Out, Jr défends l’idée d’un sujet qui n’est plus passivement
utilisé comme modèle, mais qui a également une emprise sur l’objet crée : les
communautés du monde entier participent à l’élaboration des fresques, en collant eux-
mêmes leurs photographies afin de défendre une idée, une opinion. Son travail prends
alors les traits d’œuvre collective, et lorsque les petits enfants démunis d’Afrique ou des
favelas brésiliennes s’y collent, on frôle l’action humanitaire.
L’art de Jr est ouvert est accessible à tous, et cela même au travers de sa qualité
plastique. L’immense visage collé sur une des façades de la Bibliothèque François
Mitterrand est impressionnant à voir, mais pas pour sa valeur esthétique, mais plutôt en
raison de cet emplacement géographique. Jr et son équipe ne sont pas montés en haut
du bâtiment en pleine nuit (froide) pour déverser son message au grand nombre en
utilisant ses talents de dessinateur/graffeur, comme on peut imaginer que certaines
fresques de street-art inaccessibles ont été effectuées. Non, il s’agit ici de photographies
de portraits, imprimées en noir et blanc et en grand format. On peut donc discuter de la
rapidité de définition d’un projet tel qu’Inside Out par exemple, et donc du manque cette
fois de savoir-faire particulier. Jr est bien loin de son envie de “changer le monde”.
Une chose est sûre cependant,
l’homme qui se cache derrière ses
initiales - qui n’est d’ailleurs que
simulation d’un anonymat qui tombe
à l’eau lorsqu’on le retrouve sur des
plateaux télés - est un fin
observateur, et de ce fait un bon
photographe. Son travail est
esthétiquement très attrayant, et la
façon dont il utilise Instagram comme
portfolio ouvre les portes d’un atelier parcourant le monde entier et qui nous offre un
magnifique spectacle quotidien. Il semblerait que ce talent devrait être primordial (et
pourquoi pas transporté à d’autres medium artistiques), car malgré l'acceptation de ses
portraits par les hauts rangs de la société, ces visages anonymes commencent à devenir
trop anodins, et l’intérêt de son idée, s’essouffler à travers le dangereux jeu de la
répétition.