Présentation de l'avis "les énergies renouvelables Outre- mer: laboratoire pour notre avenir" par Patrick Galenon au Conseil Economique Social et Environnemental
Méthodologies d évaluation du potentiel hydroélectricité en PACARéseau Tepos
ENERGIES RENOUVELABLES
EVALUER LE POTENTIEL DU TERRITOIRE ET ENGAGER RAPIDEMENT DES PROJETS
Pour un territoire, l’identification des ressources mobilisables est un préalable à une politique énergies renouvelables efficace.
Cerner au mieux les opportunités pour engager rapidement les bons projets c’est réussir à faire la part entre les potentiels physiques identifiables et la capacité du territoire à les mobiliser effectivement.
Notre atelier tentera de situer l’évaluation des potentiels énergies renouvelables entre ces deux dimensions : approche « experte » d’un côté, approche « concertée » de l’autre. En cherchant notamment à en montrer les complémentarités et à identifier les conditions nécessaires pour une transformation des potentiels en projets !
Dans un contexte de variabilité des paramètres économiques, quels outils mobiliser pour démarrer rapidement? A quelle(s) échelle(s) travailler ? Quelles expertises mobiliser ? Comment valider localement les priorités et impliquer les acteurs dès l’amont ?
Animé par Joseph BOUREZ, directeur de Polénergie, et Stéphanie PRADINES, Polénérgie, pour le réseau IERA (espaces Info-Energie de Rhône-Alpes) avec les intervenants :
Marc THERY, Consultant en stratégie énergétique et chargé de mission énergie, Communauté de communes du Mené
Jean-François VEILLE, chargé de mission bois-énergie, URACOFRA
Oriane ASSALI, GERES, chargé de mission "énergies propres", GERES
André VERMOREL, élu de la Communauté de communes DRAGA (07)
Christian COUTURIER, directeur du Pôle énergie, SOLAGRO
Cet atelier s'est déroulé le jeudi 27 septembre 2012 à Die (Biovallée), dans le cadre des 2è rencontres nationales "énergie et territoires ruraux, vers des territoires à énergie positive".
Plus d'informations: www.territoires-energie-positive.fr
Méthodologies d évaluation du potentiel hydroélectricité en PACARéseau Tepos
ENERGIES RENOUVELABLES
EVALUER LE POTENTIEL DU TERRITOIRE ET ENGAGER RAPIDEMENT DES PROJETS
Pour un territoire, l’identification des ressources mobilisables est un préalable à une politique énergies renouvelables efficace.
Cerner au mieux les opportunités pour engager rapidement les bons projets c’est réussir à faire la part entre les potentiels physiques identifiables et la capacité du territoire à les mobiliser effectivement.
Notre atelier tentera de situer l’évaluation des potentiels énergies renouvelables entre ces deux dimensions : approche « experte » d’un côté, approche « concertée » de l’autre. En cherchant notamment à en montrer les complémentarités et à identifier les conditions nécessaires pour une transformation des potentiels en projets !
Dans un contexte de variabilité des paramètres économiques, quels outils mobiliser pour démarrer rapidement? A quelle(s) échelle(s) travailler ? Quelles expertises mobiliser ? Comment valider localement les priorités et impliquer les acteurs dès l’amont ?
Animé par Joseph BOUREZ, directeur de Polénergie, et Stéphanie PRADINES, Polénérgie, pour le réseau IERA (espaces Info-Energie de Rhône-Alpes) avec les intervenants :
Marc THERY, Consultant en stratégie énergétique et chargé de mission énergie, Communauté de communes du Mené
Jean-François VEILLE, chargé de mission bois-énergie, URACOFRA
Oriane ASSALI, GERES, chargé de mission "énergies propres", GERES
André VERMOREL, élu de la Communauté de communes DRAGA (07)
Christian COUTURIER, directeur du Pôle énergie, SOLAGRO
Cet atelier s'est déroulé le jeudi 27 septembre 2012 à Die (Biovallée), dans le cadre des 2è rencontres nationales "énergie et territoires ruraux, vers des territoires à énergie positive".
Plus d'informations: www.territoires-energie-positive.fr
Polyadès, optimisation des systèmes solaires thermiques par une innovation j...minergie-romande
Présentation de M. Sébastien Faivre, Ingénieur HES en Génie Thermique et Directeur de Faivre Energie SA, à l'occasion de la remise de certificat Minergie-P au bâtiment Polyadès, le 28 mai 2015 à Delémont
Support de présentation de cours d'adduction en eau potable, à application pour l'ingénieur hydraulicien. Aborde la conception et le dimensionnement des ouvrages constitutifs des réseaux d'AEP
Quelques semaines après leur retour du voyage de promotion à Taïwan, les élèves du mastère OSE ont continué leur pèlerinage d’apprentissage énergétique durant trois jours de visites industrielles dans le sud de la France. Accompagnés par Gilles Guerassimoff, responsable du mastère, nous avons eu l’opportunité de visiter le centre de recherche du commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) à Cadarache, la centrale photovoltaïque de Puyloubier, l’usine-écluse de Pierre-Bénite et le siège de la Compagnie Nationale du Rhône (CNR) à Lyon, le chantier d’agrandissement de la centrale STEP de la Coche situé à Le Bois et les locaux d’Energy Pool au sein de la technopole « Savoie Technolac » au Bourget du Lac.
Entre la découverte du fonctionnement du réacteur WEST racontée par Benoit Lacroix, chercheur au CEA, l’insertion au cœur de la roue et des injecteurs de la turbine Pelton, permise par le chef de projet du site Emmanuel Mordefroid, les anecdotes de Claude Eymery, ancien directeur de la centrale Pierre-Bénite de la CNR, la présentation du cockpit permettant d’optimiser la production de la CNR par Helena Wagret, les discussions partagées avec Alexandre Levy d’EDF Renouvelables sur le site d’une centrale photovoltaïque et les éclaircissements des ingénieurs d’Energy Pool, ces visites auront été l’occasion d’échanger avec des passionnés de l’énergie. Elles nous auront enrichis en précieuses connaissances et permis de réfléchir à notre avenir professionnel. Pour cela, les élèves tiennent à adresser leurs remerciements aux différentes entreprises et à tous les intervenants nous ayant ouvert leurs portes. En plus des exposés de nos visites et des habituelles actualités énergétiques, vous trouverez également dans ce numéro un dossier sur les liens entre les tensions politiques et énergétiques au Venezuela et en Algérie.
Il est temps maintenant pour nous de rejoindre nos entreprises respectives pour six mois de stage, afin de continuer notre apprentissage et acquérir une expérience que nous pourrons à notre tour, un jour, transmettre.
Bonne lecture à tous !
Innhotep - Energies marines renouvelables en France - 2011Innhotep
Définition des Energies Marines Renouvelables (EMR) et zoom sur les énergies éolienne offshore, hydrolienne et houlomotrice en France
Pour plus d'informations et de publications : http://www.innhotep.com/fr/publications/
Le concept de démocratie culturelle s’est progressivement développé face au constat que l’accès à la culture pour tous n’est pas encore une réalité.
En donnant une place à tous les acteurs pour qu’ils s’impliquent dans les politiques culturelles, le projet d'avis du CESE propose quatre axes de préconisations pour permettre à tou.te.s de participer à la vie culturelle et à la co-construction des politiques culturelles : mettre en œuvre la démocratie culturelle en renforçant la diversité, l’égalité, la participation de tou.te.s ; mettre à disposition de tou.te.s les ressources culturelles et les outils qui permettent de se les approprier ; conforter les professionnel.le.s de la culture ; diversifier les sources de financement de la Culture.
Les séparations parentales concernent un nombre croissant de familles. Tous types d’union confondus, un couple sur trois se sépare avec, dans la moitié des cas, un enfant à charge. La loi pose, au nom de l’intérêt supérieur de l’enfant, le principe de la permanence de la parentalité, par-delà les aléas du couple. Dans la très grande majorité des cas, les parents parviennent à un accord sur le mode de résidence de leur.s. enfant.s. Mais cette question est loin de représenter l’ensemble des décisions qu’ils devront prendre dans l’exercice concret de la coparentalité.
La manière dont se déroule la séparation, les tensions familiales qui l’entourent ainsi que l’environnement de vie après la rupture peuvent avoir des conséquences importantes sur la santé, le bien-être et la scolarité des enfants. Si des enfants peuvent se trouver en situation de risques, c’est, bien souvent parce que le conflit entre les parents s’est installé et aggravé au point de capter toute leur attention.
Revenu de solidarité active (RSA), Allocation de solidarité pour les personnes âgées (ASPA), Allocation aux adultes handicapés (AAH), Allocation supplémentaire d’invalidité (ASI), Allocation de solidarité spécifique (ASS), Allocation veuvage (AV)… Alors que près de 9 millions de personnes vivent toujours sous le seuil de pauvreté, la complexité de notre architecture des minima sociaux soulève un enjeu d’accessibilité et d’acceptabilité.
Notre système de minima sociaux doit mieux favoriser l’accès de chacun.e à l’emploi et aux droits fondamentaux (éducation, santé, logement, participation citoyenne…). Dans cet avis, le CESE propose la mise en oeuvre d’un revenu minimum social garanti qui constitue le socle de la solidarité nationale à l’égard des personnes en situation de fragilité économique et sociale. Le CESE formule en outre des propositions précises pour simplifier l’accès à ce revenu garanti, l’inscrire dans une démarche d’accès à l’emploi et agir pour une meilleure acceptabilité.
L’habitat intègre les espaces de vie que constituent les logements (immeubles ou maisons), aux quartiers, villes ou communes rurales, ainsi qu’un ensemble de services, comme les transports ou l’offre de santé. Sa qualité est une condition environnementale du bien-être de la population et du mieux vivre ensemble.
La bioéconomie est en plein essor. Elle est appelée à remplacer en partie l’utilisation de ressources fossiles par celle de ressources renouvelables.
Le CESE rappelle que pour relever les défis environnementaux et sociétaux sans remettre en cause ni la qualité de vie des populations ni les capacités de développement des générations futures, il faut adopter de nouveaux modes de production et de consommation. C’est dans cet objectif qu’il présente ses propositions pour une bioéconomie durable.
Polyadès, optimisation des systèmes solaires thermiques par une innovation j...minergie-romande
Présentation de M. Sébastien Faivre, Ingénieur HES en Génie Thermique et Directeur de Faivre Energie SA, à l'occasion de la remise de certificat Minergie-P au bâtiment Polyadès, le 28 mai 2015 à Delémont
Support de présentation de cours d'adduction en eau potable, à application pour l'ingénieur hydraulicien. Aborde la conception et le dimensionnement des ouvrages constitutifs des réseaux d'AEP
Quelques semaines après leur retour du voyage de promotion à Taïwan, les élèves du mastère OSE ont continué leur pèlerinage d’apprentissage énergétique durant trois jours de visites industrielles dans le sud de la France. Accompagnés par Gilles Guerassimoff, responsable du mastère, nous avons eu l’opportunité de visiter le centre de recherche du commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) à Cadarache, la centrale photovoltaïque de Puyloubier, l’usine-écluse de Pierre-Bénite et le siège de la Compagnie Nationale du Rhône (CNR) à Lyon, le chantier d’agrandissement de la centrale STEP de la Coche situé à Le Bois et les locaux d’Energy Pool au sein de la technopole « Savoie Technolac » au Bourget du Lac.
Entre la découverte du fonctionnement du réacteur WEST racontée par Benoit Lacroix, chercheur au CEA, l’insertion au cœur de la roue et des injecteurs de la turbine Pelton, permise par le chef de projet du site Emmanuel Mordefroid, les anecdotes de Claude Eymery, ancien directeur de la centrale Pierre-Bénite de la CNR, la présentation du cockpit permettant d’optimiser la production de la CNR par Helena Wagret, les discussions partagées avec Alexandre Levy d’EDF Renouvelables sur le site d’une centrale photovoltaïque et les éclaircissements des ingénieurs d’Energy Pool, ces visites auront été l’occasion d’échanger avec des passionnés de l’énergie. Elles nous auront enrichis en précieuses connaissances et permis de réfléchir à notre avenir professionnel. Pour cela, les élèves tiennent à adresser leurs remerciements aux différentes entreprises et à tous les intervenants nous ayant ouvert leurs portes. En plus des exposés de nos visites et des habituelles actualités énergétiques, vous trouverez également dans ce numéro un dossier sur les liens entre les tensions politiques et énergétiques au Venezuela et en Algérie.
Il est temps maintenant pour nous de rejoindre nos entreprises respectives pour six mois de stage, afin de continuer notre apprentissage et acquérir une expérience que nous pourrons à notre tour, un jour, transmettre.
Bonne lecture à tous !
Innhotep - Energies marines renouvelables en France - 2011Innhotep
Définition des Energies Marines Renouvelables (EMR) et zoom sur les énergies éolienne offshore, hydrolienne et houlomotrice en France
Pour plus d'informations et de publications : http://www.innhotep.com/fr/publications/
Le concept de démocratie culturelle s’est progressivement développé face au constat que l’accès à la culture pour tous n’est pas encore une réalité.
En donnant une place à tous les acteurs pour qu’ils s’impliquent dans les politiques culturelles, le projet d'avis du CESE propose quatre axes de préconisations pour permettre à tou.te.s de participer à la vie culturelle et à la co-construction des politiques culturelles : mettre en œuvre la démocratie culturelle en renforçant la diversité, l’égalité, la participation de tou.te.s ; mettre à disposition de tou.te.s les ressources culturelles et les outils qui permettent de se les approprier ; conforter les professionnel.le.s de la culture ; diversifier les sources de financement de la Culture.
Les séparations parentales concernent un nombre croissant de familles. Tous types d’union confondus, un couple sur trois se sépare avec, dans la moitié des cas, un enfant à charge. La loi pose, au nom de l’intérêt supérieur de l’enfant, le principe de la permanence de la parentalité, par-delà les aléas du couple. Dans la très grande majorité des cas, les parents parviennent à un accord sur le mode de résidence de leur.s. enfant.s. Mais cette question est loin de représenter l’ensemble des décisions qu’ils devront prendre dans l’exercice concret de la coparentalité.
La manière dont se déroule la séparation, les tensions familiales qui l’entourent ainsi que l’environnement de vie après la rupture peuvent avoir des conséquences importantes sur la santé, le bien-être et la scolarité des enfants. Si des enfants peuvent se trouver en situation de risques, c’est, bien souvent parce que le conflit entre les parents s’est installé et aggravé au point de capter toute leur attention.
Revenu de solidarité active (RSA), Allocation de solidarité pour les personnes âgées (ASPA), Allocation aux adultes handicapés (AAH), Allocation supplémentaire d’invalidité (ASI), Allocation de solidarité spécifique (ASS), Allocation veuvage (AV)… Alors que près de 9 millions de personnes vivent toujours sous le seuil de pauvreté, la complexité de notre architecture des minima sociaux soulève un enjeu d’accessibilité et d’acceptabilité.
Notre système de minima sociaux doit mieux favoriser l’accès de chacun.e à l’emploi et aux droits fondamentaux (éducation, santé, logement, participation citoyenne…). Dans cet avis, le CESE propose la mise en oeuvre d’un revenu minimum social garanti qui constitue le socle de la solidarité nationale à l’égard des personnes en situation de fragilité économique et sociale. Le CESE formule en outre des propositions précises pour simplifier l’accès à ce revenu garanti, l’inscrire dans une démarche d’accès à l’emploi et agir pour une meilleure acceptabilité.
L’habitat intègre les espaces de vie que constituent les logements (immeubles ou maisons), aux quartiers, villes ou communes rurales, ainsi qu’un ensemble de services, comme les transports ou l’offre de santé. Sa qualité est une condition environnementale du bien-être de la population et du mieux vivre ensemble.
La bioéconomie est en plein essor. Elle est appelée à remplacer en partie l’utilisation de ressources fossiles par celle de ressources renouvelables.
Le CESE rappelle que pour relever les défis environnementaux et sociétaux sans remettre en cause ni la qualité de vie des populations ni les capacités de développement des générations futures, il faut adopter de nouveaux modes de production et de consommation. C’est dans cet objectif qu’il présente ses propositions pour une bioéconomie durable.
Les PME/TPE sont un levier important de création d’emplois. Réparties au coeur du pays, dans tous les territoires, ces plus de 2,5 millions d’entreprises sont abordées dans leur diversité.
Articuler financement et développement des PME/TPE pour le bien commun – à savoir l’emploi et la valeur ajoutée dans l’efficacité – est crucial. Cela demande une ambition à la fois économique, sociale et culturelle et de sortir d’une certaine méfiance qui nuit à la relation entre PME/TPE et système bancaire et financier.
Nombre de ménages ne trouvent pas, en France métropolitaine et dans les Outre-mer, un logement de qualité adapté à leurs besoins, à leur mobilité ou à leur pouvoir d’achat. Le logement est un bien complexe, au carrefour de contraintes économiques, sociales, environnementales, urbanistiques et politiques. Le rôle de l’Etat, justifié au titre de la solidarité nationale et par l’importance du secteur, a évolué avec la décentralisation. Les acteurs locaux, faute d’une connaissance suffisamment précise des besoins et de l’offre de logements, en quantité et en qualité, peinent à apporter des solutions appropriées.
Découvrez les préconisations du CESE.
Le niveau très élevé des prix demandés par les industriels pour certains traitements innovants a interpellé la communauté médicale et l’opinion publique. Le cas le plus connu en France est celui du Sovaldi® (sofosbuvir), pour soigner l’hépatite C chronique, vendu 41 000 euros pour un traitement curatif standard de trois mois. Mais l’augmentation des prix concerne en réalité de nombreux autres médicaments, utilisés notamment dans le traitement du cancer.
Les prix demandés par les industriels sur certains produits sont trop élevés et non soutenables et le régulateur n’a pas encore tous les outils pour limiter les hausses de prix au regard de l’enveloppe budgétaire disponible.
Le Premier ministre a saisi le Conseil économique, social et environnemental (CESE) en vue d’une réflexion prospective afin d’identifier des pistes d’avenir pour la fonction publique.
Après deux mois d’auditions et de concertation, le CESE qui réunit les principales composantes de la société civile, a construit ses recommandations autour de trois grandes idées directrices :
conduire un travail de fond sur ses missions. Les choix qui seront faits par la suite devront être pris en compte pour déterminer les moyens à consacrer à leur exécution ;
valider les principes fondateurs de la fonction publique, dont le principe statutaire ;
favoriser l’adaptation de la fonction publique aux attentes de la société (besoins sociaux, transformation numérique, demande de proximité, de simplification, de réactivité…).
Avis corapporté par Emelyn Weber au nom de la section du travail et de l’emploi présidée par Sylvie Brunet, et Etienne Caniard au nom de la section des affaires sociales et de la santé présidée par Aminata Koné.
Renouer avec le projet européen, telle est l’ambition d’un socle de droits sociaux robustes, effectifs et universels.
Outil au service d’une Europe solidaire, compétitive, inclusive et qui donne confiance dans l’avenir, ce socle doit permettre de répondre à différents enjeux majeurs au sein de l’Union européenne : conception de politiques publiques plus proches des citoyen.ne.s et de leurs besoins, articulation nouvelle entre politiques macro-économiques et sociales, protection contre les risques sociaux pour améliorer la cohésion sociale et renforcer la compétitivité des entreprises et la qualité de l’emploi.
Avis présenté par Mme Cécile Claveirole, au nom de la section de l'agriculture, de la pêche et de l'alimentation.
Dans un contexte profondément marqué par la dérégulation de certains marchés et la mondialisation, l’agriculture française fait aujourd’hui face à des défis majeurs : économiques, sociaux, alimentaires, sanitaires, environnementaux, sociétaux, territoriaux et techniques. Discipline scientifique au carrefour de l’agronomie et de l’écologie, l’agroécologie peut, à travers les pratiques qu’elle promeut, contribuer à relever ces défis en transformant l’agriculture pour aller vers des systèmes alimentaires plus durables.
A partir d’une analyse des freins et des leviers à son développement, le CESE formule un ensemble de préconisations en matière de recherche, de formation, d’adaptation des filières agroalimentaires, de réorientation des politiques publiques pour accompagner les agriculteur.rice.s dans la transition agroécologique.
Avis rapporté par Mme Martine Derobert-Masure, au nom de la section des activités économiques présidée par Mme Delphine Lalu.
La répartition des rôles entre producteur.rice.s et consommateur.rice.s, qui prévaut dans le modèle de consommation de masse, devient aujourd’hui plus floue. Dans une économie de plus en plus numérique, le.la client.e est aujourd’hui toujours plus impliqué.e et sollicité.e dans sa consommation. Cette évolution a des effets sur l’ensemble de la société.
Avis présenté par M. Philippe Jahshan au nom de la section des affaires européennes et internationales présidée par M. Jean-Marie Cambacérès.
La France doit se doter d’une stratégie de mise en oeuvre des Objectifs de développement durable (ODD) et des engagements de l’Accord de Paris, ce qui implique qu’elle réexamine et, si nécessaire, adapte les priorités de sa politique de coopération internationale qui avaient été décidées en 2013 lors du dernier Comité interministériel de la coopération internationale et du développement (CICID) et inscrites dans la Loi d’orientation et de programmation relative à la politique de développement et de solidarité internationale (LOPDSI) de juillet 2014.
Avis rapporté par M. Jean Jouzel et Mme Agnès Michelot, au nom de la section de l'environnement présidée par Mme Anne-Marie Ducroux.
L’objectif de la justice climatique est de tout faire pour que le réchauffement n’accroisse pas les inégalités. Elle est apparue comme une thématique centrale au moment de l’ouverture de la COP 21. Revendication forte de la société civile à l’échelle internationale depuis 2003, elle est également utilisée en amont des négociations par les responsables politiques des pays en développement.
Le CESE soutient la lutte contre toutes les formes d’inégalités. L’avis souhaite contribuer par ses propositions à des politiques publiques qui permettront à l’échelle nationale de limiter et si possible de réduire les inégalités sociales et économiques générées par le réchauffement planétaire.
Avis présenté par M. Allain Bougrain Dubourg au nom de la section de l'environnement présidée par Mme Anne-Marie Ducroux.
Préserver la biodiversité et développer les emplois de demain sont deux des défis majeurs de la transition écologique. Élargir le cercle des quelques dizaines de milliers d’emplois existants dédiés à la biodiversité, en impliquant tous les secteurs de l’activité économique concernés par son maintien et sa restauration, voilà l’objectif à atteindre.
Pour accroître ce potentiel, il est nécessaire de réaffirmer et renforcer les emplois et les métiers dont la biodiversité constitue le cœur d’activité. Il importe aussi de mieux décrire et cartographier ceux qui contribuent déjà pour une part à la biodiversité, d’en augmenter le nombre par des efforts de formation, de recherche, et une mobilisation plus forte de la société.
En plus des créations d’emplois que suscitera la reconquête de la biodiversité, plusieurs centaines de milliers pourraient évoluer ou s’enrichir de compétences nouvelles dans de nombreux secteurs d’activité, comme l’agriculture.
Avis présenté par M. Dominique Gillier au nom de la section du travail et de l'emploi présidée par Mme Sylvie Brunet.
Le CESE souhaite favoriser à travers des recommandations concrètes, la visibilité, les convergences, la qualité méthodologique et la reconnaissance dans la relation de travail des certifications professionnelles.
Le Premier ministre a saisi le CESE pour avis sur le titre 1er de l’avant-projet de loi de programmation en faveur de l’égalité réelle outre-mer et sur l’étude d’impact de ce projet. L’objectif visé est, dans le respect du statut de chaque collectivité ultramarine, de réduire les écarts de développement avec l’hexagone à un horizon de 10 à 20 ans
Le CESE approuve l’esprit de l’avant-projet de loi de programmation et précise que l’extrême diversité des outre-mer conduit à ce que ce projet s’applique, au-delà des onze collectivités ultra-marines, aux 2,7 millions de citoyens français y résidant, en application de l’article 72.3 de la Constitution, qui stipule : « la République reconnaît, au sein du peuple français, les populations d’outre-mer dans un idéal commun de liberté, d’égalité et de fraternité ». Le CESE soutient également l’esprit de la méthode d’élaboration du projet de loi consistant à définir à l’échelle de chacune des onze collectivités un projet de société à long terme, puis un contrat de convergence, en appliquant des démarches de démocratie participative et le principe de subsidiarité.
Rapport présenté par M. Pierre-Antoine Gailly et M. Benedict Donnelly, au nom de la section de l'économie et des finances.
Prévu par la loi organique qui régit le CESE, le rapport sur l’état de la France a fait l’objet cette année d’une profonde refonte. Le CESE a fait, en effet, le choix de s’appuyer sur les dix nouveaux indicateurs de richesse retenus par le gouvernement. Complémentaires du PIB, ces indicateurs ont été choisis de manière concertée par France Stratégie et le CESE.
Ils traitent de trois enjeux essentiels, perçus comme tels par les Français.e.s : la cohésion sociale, la préparation de l’avenir et la qualité de vie.
Projet d'avis rapporté par M. Luc Bérille et M. Jean-François Pilliard au nom de la section du travail et de l'emploi, présidée par Mme Sylvie Brunet.
Il est essentiel pour notre société que le dialogue social joue pleinement son rôle. Pour y parvenir, le préalable est que son appréhension soit plus positive sur ce qu’il est et sur ce qu’il doit être. Contribuer à forger et développer une culture du dialogue social dans notre pays est donc fondamental. Plus qu’une simple option, il s’agit d’une obligation démocratique.
Plus de Conseil Economique Social et Environnemental (20)
Européennes. Valérie Hayer et Raphaël Glucksmann au coude-à-coude, selon le d...Jihel1976
Alors que la large victoire aux européennes du RN apparaît certaine, l’incertitude est totale pour la deuxième place, au soir du 9 juin. Le candidat PS-PP n’est plus qu’à un point de la tête de liste de la majorité présidentielle, selon Odoxa qui, pour « La Voix du Nord », augure d’une abstention semblable à celle de 2019.
Intentions de vote pour les élections européennes de 2024 - 7 juin 2024Ipsos France
A 48h du scrutin, Ipsos prend une dernière fois pour Le Monde le pouls de l'électorat avant le vote du 9 juin.
En savoir plus : https://www.ipsos.com/fr-fr/europeennes-2024-hayer-et-glucksmann-au-coude-coude-deux-jours-du-scrutin
Présentation concernant la modification du règlement de zonage visant à permettre les remises de jardins pour certains usages et modification du règlement de zonage visant à permettre des usages dans la zone P-800 dans le secteur de l'île Saint-Bernard.
Européennes 2024 : Enquête électorale - Vague 5 - Mai 2024Ipsos France
Pour mieux comprendre les logiques de la décision électorale et dans la perspective des élections européennes de juin 2024, Ipsos, le Cevipof, La Fondation Jean Jaurès, l'Institut Montaigne et le Monde ont mis en place un dispositif d'enquête exceptionnel basé sur un panel de plus de 10 000 personnes : l'Enquête électorale Européennes.
En savoir plus : https://www.ipsos.com/fr-fr/europeennes-2024-le-rassemblement-national-en-tete-une-semaine-du-vote
Européennes 2024 : Intentions de vote - Mai 2024Ipsos France
Selon le sondage Ipsos réalisé du 5 au 6 juin pour Le Parisien et Radio France, la liste du Rassemblement National menée par Jordan Bardella rassemblerait 32% des intentions de vote, devant la liste Renaissance, LREM, Modem, Horizons et UDI de Valérie Hayer à 15,5% et la liste PS-Place Publique de Raphaël Glucksmann à 13,5%.
En savoir + : https://www.ipsos.com/fr-fr/europeennes-2024-les-dynamiques-3-jours-du-scrutin
Européennes 2024 : Comprendre le vote des FrançaisIpsos France
La grande enquête réalisée par Ipsos pour ses partenaires de l'audiovisuel public auprès de près de 9000 électeurs détaille les déterminants et les motivations du vote. Dans un climat de forte inquiétude, les enjeux nationaux et le thème de l'immigration ont énormément compté. L'étude nous projette aussi sur l'après-scrutin, avec des Français relativement partagés sur ce qu'il conviendrait de faire. La tentation de "tout changer", par un remaniement ou une dissolution de l'Assemblée, est loin de faire l'unanimité.
En savoir plus : https://www.ipsos.com/fr-fr/europeennes-2024/comprendre-le-vote-des-francais-2024