DISPOSITIF DE COMMUNICATION DE PREVENTION 2017 CHIKUNGUNYA/DENGUE/ZIKA -METRO...Jan-Cedric Hansen
Ce dispositif s’applique à toutes les maladies transmises par les moustiques vecteurs du genre Aedes. Il détermine la stratégie de communication (objectifs, partis-pris et messages clés) à mettre en œuvre dans les départements ou régions concernés pendant la période à risque (mai à novembre), en matière de lutte contre la dissémination du moustique Aedes albopictus en métropole. L’objectif est de prévenir l’apparition de cas autochtones de chikungunya, de dengue ou de zika et, le cas échéant, d’empêcher la transmission de la maladie au sein de la population.
Comment aborder la catastrophe du coronavirus : Le plan mondial de santé publ...Jamaity
Le coronavirus a un impact sur le monde entier. On craint pour sa propre santé et pour celle de ses proches. Le virus s’attaque surtout aux populations vulnérables et pauvres, chez soi comme partout ailleurs. Il menace de faire des millions de victimes et de plonger des milliards dans la pauvreté.
Oxfam propose deux initiatives que le G20 et les autres dirigeants peuvent prendre simultanément.
La première consiste à élaborer un plan mondial de santé publique et une intervention d’urgence pour lutter de front contre la maladie ; il s’agira de prévenir et de retarder sa propagation, afin de sauver des vies maintenant et à l’avenir.
La seconde consiste à établir un plan de sauvetage économique pour payer la hausse considérable des dépenses de santé publique et aider le citoyen ordinaire à faire face aux énormes coûts économiques générés par ce virus.
Des députés déposent une proposition de loi pour créer un fonds d'indemnisati...Jean-michel Neugate
Portée par le député dunkerquois Christian Hutin (Mouvement des citoyens), une proposition de loi du groupe socialiste et apparentés demande la création d’un fonds d’indemnisation des victimes du Covid-19. Une initiative qui se heurte à la reconnaissance nécessaire par l’État de sa responsabilité dans la crise sanitaire.
Le Cinquième risque s’invite sur le web
A – Permettre à l’ensemble des personnes en situation de perte d’autonomie de rester à domicile dans toute la mesure du possible.
B – Augmenter le nombre de places en établissements médicalisés et alléger le reste à charge pour les familles.
C – Assurer le financement du cinquième risque pour aujourd’hui et demain.
D – Mettre en place une gouvernance renouvelée pour le cinquième risque.
Synthèse des pistes de réflexion
Dans le cadre du colloque « Questions de Priorité – Questions de Dignité »
1ère piste de réflexion : Non discrimination entre personnes handicapées et personnes âgées
2ème piste de réflexion : Solidarité entre les générations
3ème piste de réflexion : Le bien vieillir pour tous
4ème piste de réflexion : Unifier les plans personnes âgées, Alzheimer et maladies apparentées
5ème piste de réflexion : Mise en œuvre d’un partenariat public/privé
6ème piste de réflexion : Renforcer la solidarité nationale par un financement entre actifs et retraités et, parallèlement, mettre en place un contrat de dépendance obligatoire
7ème piste de réflexion : Création d’un observatoire et d’assises nationales de la solidarité
DISPOSITIF DE COMMUNICATION DE PREVENTION 2017 CHIKUNGUNYA/DENGUE/ZIKA -METRO...Jan-Cedric Hansen
Ce dispositif s’applique à toutes les maladies transmises par les moustiques vecteurs du genre Aedes. Il détermine la stratégie de communication (objectifs, partis-pris et messages clés) à mettre en œuvre dans les départements ou régions concernés pendant la période à risque (mai à novembre), en matière de lutte contre la dissémination du moustique Aedes albopictus en métropole. L’objectif est de prévenir l’apparition de cas autochtones de chikungunya, de dengue ou de zika et, le cas échéant, d’empêcher la transmission de la maladie au sein de la population.
Comment aborder la catastrophe du coronavirus : Le plan mondial de santé publ...Jamaity
Le coronavirus a un impact sur le monde entier. On craint pour sa propre santé et pour celle de ses proches. Le virus s’attaque surtout aux populations vulnérables et pauvres, chez soi comme partout ailleurs. Il menace de faire des millions de victimes et de plonger des milliards dans la pauvreté.
Oxfam propose deux initiatives que le G20 et les autres dirigeants peuvent prendre simultanément.
La première consiste à élaborer un plan mondial de santé publique et une intervention d’urgence pour lutter de front contre la maladie ; il s’agira de prévenir et de retarder sa propagation, afin de sauver des vies maintenant et à l’avenir.
La seconde consiste à établir un plan de sauvetage économique pour payer la hausse considérable des dépenses de santé publique et aider le citoyen ordinaire à faire face aux énormes coûts économiques générés par ce virus.
Des députés déposent une proposition de loi pour créer un fonds d'indemnisati...Jean-michel Neugate
Portée par le député dunkerquois Christian Hutin (Mouvement des citoyens), une proposition de loi du groupe socialiste et apparentés demande la création d’un fonds d’indemnisation des victimes du Covid-19. Une initiative qui se heurte à la reconnaissance nécessaire par l’État de sa responsabilité dans la crise sanitaire.
Le Cinquième risque s’invite sur le web
A – Permettre à l’ensemble des personnes en situation de perte d’autonomie de rester à domicile dans toute la mesure du possible.
B – Augmenter le nombre de places en établissements médicalisés et alléger le reste à charge pour les familles.
C – Assurer le financement du cinquième risque pour aujourd’hui et demain.
D – Mettre en place une gouvernance renouvelée pour le cinquième risque.
Synthèse des pistes de réflexion
Dans le cadre du colloque « Questions de Priorité – Questions de Dignité »
1ère piste de réflexion : Non discrimination entre personnes handicapées et personnes âgées
2ème piste de réflexion : Solidarité entre les générations
3ème piste de réflexion : Le bien vieillir pour tous
4ème piste de réflexion : Unifier les plans personnes âgées, Alzheimer et maladies apparentées
5ème piste de réflexion : Mise en œuvre d’un partenariat public/privé
6ème piste de réflexion : Renforcer la solidarité nationale par un financement entre actifs et retraités et, parallèlement, mettre en place un contrat de dépendance obligatoire
7ème piste de réflexion : Création d’un observatoire et d’assises nationales de la solidarité
Communiqué de presse du 26/07/21_ renforcement vaccination nièvreDircomARSBFC
Face à la reprise des contaminations de la Covid-19, la campagne de vaccination se poursuit dans la Nièvre où de nombreux créneaux de rendez-vous sont disponibles
Malgré l’avalanche de nouvelles rapportées par des “experts” toujours plus nombreux, il est difficile de prévoir l’évolution du virus à la rentrée. Une seule certitude, le phénomène de la pandémie de grippe 2009 fait couler beaucoup d’encre!
A l’heure où nous écrivons ces lignes, le gouvernement vient d’envoyer la réserve sanitaire d’intervention en Nouvelle Calédonie et en Polynésie Française, où la pandémie bat son plein. En métropole, on redoute désormais l’arrivée de l’hiver. Les autorités françaises prévoient un passage en phase 6 à la rentrée scolaire avec une circulation beaucoup plus active du virus.
Le niveau d’alerte maximal du plan français de prévention et de lutte pandémie grippale propose tout un catalogue de mesures, parfois drastiques, comme la fermeture des écoles, la suppression des activités collectives, le port de masque dans les espaces publiques... mais n’impose pas l’application systématique de l’ensemble des mesures.
Le plan de vaccination de masse
L’action la plus probable en un premier temps sera la vaccination de masse, dont le gouvernement a préparé un plan, applicable dès que les vaccins seront disponibles. Des centres de vaccination spéciaux seront mis en place à cet eff et, afin de permettre aux hôpitaux et cabinets de médecin de rester disponibles pour soigner les malades, et assurer la continuité du bon fonctionnement du système de soins.
reseauprosante.fr
Leadrship féminin richesse en temps de criseJamaity
Cette crise sanitaire et économique a mis en lumière une vérité indéniable: le leadership des femmes est essentiel pour créer efficacement un monde, pour trouver des solutions à des situations de crise et pour développer une intelligence collective. Si la crise a mis en évidence des lacunes flagrantes dans la préparation à la réponse à une pandémie et dans les infrastructures sanitaires et autres, elle nous a permis de nous rappeler du rôle prépondérant de la femme au sein de la société. En effet, la pandémie de la COVID-19 a généré une crise sanitaire, humanitaire et de développement sans précédent à travers le monde mais a également révélé l’efficacité du leadership des femmes, c’est ce que n’a cessé de rappeler la Vice-Secrétaire générale des Nations Unies Amina Mohammed. Pour elle «Au cours des derniers mois, les gens du monde entier ont pu voir ce que beaucoup d’entre nous savaient déjà: le leadership des femmes fait une différence profonde».
C’est dans ce contexte que la femme tunisienne s’est aussi démarquée en apportant son savoir-faire à cette lutte acharnée contre la crise sanitaire. Un rôle nettement identifiable dans des secteurs précis, notamment ceux de la santé, de la recherche scientifique et de l’enseignement.
On l’a tous constaté, la femme tunisienne a pris le devant de la scène en matière de lutte contre le coronavirus notamment dans le secteur sanitaire. Médecins, infirmières, responsables, hauts-cadres, elles ont, toutes, pu témoigner d’un savoir-faire inégalé notamment dans la gestion des crises sanitaires et notamment d’une capacité hors pair de travailler sous pression. Alors que tout le système hospitalier frôlait l’épuisement voire l’effondrement à cause d’un flux important de malades atteints par la COVID-19, ces femmes ont répondu présentes pour atténuer ces risques de débordement de nos hôpitaux en gérant les vagues de patients parfois interminables.
Eradication du paludisme: est-elle possible? - Présentation de la 6e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - RAKOTONDRAZAFY Simon - Médecin Entomologiste - Madagascar - simonhpa2@yahoo.fr
LEÇONS DE L'EXPÉRIENCE MONDIALE AVEC LA PANDÉMIE DU NOUVEAU CORONAVIRUSFernando Alcoforado
Cet article vise à présenter les leçons apportées par la nouvelle pandémie de coronavirus à partir de l'expérience tirée des impacts du nouveau coronavirus sur la santé de la population mondiale et sur l'économie mondiale qui se sont propagées depuis 2019 dans le monde. Depuis le déclenchement de la nouvelle pandémie de Coronavirus, nous avons effectué plusieurs recherches et études approfondies sur les pandémies qui se sont produites dans le monde et sur la question du nouveau Coronavirus qui ont été publiées sur de nombreux sites internet qui nous ont permis de dessiner conclusions sur la manière de faire face à la pandémie actuelle et aux pandémies futures. Les recherches et études que nous avons menées sur les pandémies passées et le nouveau Coronavirus nous ont permis de tirer des conclusions sur: 1) les causes des pandémies; 2) la dynamique de la propagation des pandémies; 3) la nécessité impérative de renforcer les systèmes de santé pour faire face aux pandémies; 4) les impacts de la pandémie du nouveau Coronavirus sur le monde du travail; 5) le besoin urgent de restructurer le système éducatif; 6) le besoin urgent de restructurer le système de transport public; 7) les changements imposés par la pandémie du nouveau Coronavirus dans les relations sociales; 8) la nécessité d'un urbanisme sur de nouvelles bases imposé par la pandémie du nouveau Coronavirus; 9) la nécessité de changements dans le processus de développement de la société imposé par la pandémie du nouveau Coronavirus; 10) la fin du processus de mondialisation contemporain avec la pandémie du nouveau Coronavirus; 11) la nécessité d'une autosuffisance nationale imposée par la pandémie du nouveau Coronavirus; 12) la nécessité impérative d'investir dans la recherche de nouveaux vaccins contre les pandémies actuelles et futures; 13) le besoin impératif de gouvernements engagés dans la lutte contre les pandémies actuelles et futures. Les conclusions présentées ci-dessous de manière synthétique permettront aux gouvernements nationaux et à la société en général de procéder à des changements profonds dans toutes leurs activités pour faire face aux pandémies actuelles et futures.
Pour en savoir plus sur la non-violence et sur la résolution non-violente de conflits : www.irnc.org, rubrique « Diaporamas »
Les conditions d'une défense civile non-violente
La préparation d'une défense civile non-violente
Le transarmement
Sophie Wilmès heeft op 26 maart niet willen antwoorden op de vraag van Tom Van Grieken. Wilmès: 'Ik wil verder niet teveel tijd besteden aan de verkeerde informatie die een bepaald lid hier net heeft gegeven want anders zou mijn spreektijd snel op zijn.'
Communiqué de presse du 26/07/21_ renforcement vaccination nièvreDircomARSBFC
Face à la reprise des contaminations de la Covid-19, la campagne de vaccination se poursuit dans la Nièvre où de nombreux créneaux de rendez-vous sont disponibles
Malgré l’avalanche de nouvelles rapportées par des “experts” toujours plus nombreux, il est difficile de prévoir l’évolution du virus à la rentrée. Une seule certitude, le phénomène de la pandémie de grippe 2009 fait couler beaucoup d’encre!
A l’heure où nous écrivons ces lignes, le gouvernement vient d’envoyer la réserve sanitaire d’intervention en Nouvelle Calédonie et en Polynésie Française, où la pandémie bat son plein. En métropole, on redoute désormais l’arrivée de l’hiver. Les autorités françaises prévoient un passage en phase 6 à la rentrée scolaire avec une circulation beaucoup plus active du virus.
Le niveau d’alerte maximal du plan français de prévention et de lutte pandémie grippale propose tout un catalogue de mesures, parfois drastiques, comme la fermeture des écoles, la suppression des activités collectives, le port de masque dans les espaces publiques... mais n’impose pas l’application systématique de l’ensemble des mesures.
Le plan de vaccination de masse
L’action la plus probable en un premier temps sera la vaccination de masse, dont le gouvernement a préparé un plan, applicable dès que les vaccins seront disponibles. Des centres de vaccination spéciaux seront mis en place à cet eff et, afin de permettre aux hôpitaux et cabinets de médecin de rester disponibles pour soigner les malades, et assurer la continuité du bon fonctionnement du système de soins.
reseauprosante.fr
Leadrship féminin richesse en temps de criseJamaity
Cette crise sanitaire et économique a mis en lumière une vérité indéniable: le leadership des femmes est essentiel pour créer efficacement un monde, pour trouver des solutions à des situations de crise et pour développer une intelligence collective. Si la crise a mis en évidence des lacunes flagrantes dans la préparation à la réponse à une pandémie et dans les infrastructures sanitaires et autres, elle nous a permis de nous rappeler du rôle prépondérant de la femme au sein de la société. En effet, la pandémie de la COVID-19 a généré une crise sanitaire, humanitaire et de développement sans précédent à travers le monde mais a également révélé l’efficacité du leadership des femmes, c’est ce que n’a cessé de rappeler la Vice-Secrétaire générale des Nations Unies Amina Mohammed. Pour elle «Au cours des derniers mois, les gens du monde entier ont pu voir ce que beaucoup d’entre nous savaient déjà: le leadership des femmes fait une différence profonde».
C’est dans ce contexte que la femme tunisienne s’est aussi démarquée en apportant son savoir-faire à cette lutte acharnée contre la crise sanitaire. Un rôle nettement identifiable dans des secteurs précis, notamment ceux de la santé, de la recherche scientifique et de l’enseignement.
On l’a tous constaté, la femme tunisienne a pris le devant de la scène en matière de lutte contre le coronavirus notamment dans le secteur sanitaire. Médecins, infirmières, responsables, hauts-cadres, elles ont, toutes, pu témoigner d’un savoir-faire inégalé notamment dans la gestion des crises sanitaires et notamment d’une capacité hors pair de travailler sous pression. Alors que tout le système hospitalier frôlait l’épuisement voire l’effondrement à cause d’un flux important de malades atteints par la COVID-19, ces femmes ont répondu présentes pour atténuer ces risques de débordement de nos hôpitaux en gérant les vagues de patients parfois interminables.
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LEÇONS DE L'EXPÉRIENCE MONDIALE AVEC LA PANDÉMIE DU NOUVEAU CORONAVIRUSFernando Alcoforado
Cet article vise à présenter les leçons apportées par la nouvelle pandémie de coronavirus à partir de l'expérience tirée des impacts du nouveau coronavirus sur la santé de la population mondiale et sur l'économie mondiale qui se sont propagées depuis 2019 dans le monde. Depuis le déclenchement de la nouvelle pandémie de Coronavirus, nous avons effectué plusieurs recherches et études approfondies sur les pandémies qui se sont produites dans le monde et sur la question du nouveau Coronavirus qui ont été publiées sur de nombreux sites internet qui nous ont permis de dessiner conclusions sur la manière de faire face à la pandémie actuelle et aux pandémies futures. Les recherches et études que nous avons menées sur les pandémies passées et le nouveau Coronavirus nous ont permis de tirer des conclusions sur: 1) les causes des pandémies; 2) la dynamique de la propagation des pandémies; 3) la nécessité impérative de renforcer les systèmes de santé pour faire face aux pandémies; 4) les impacts de la pandémie du nouveau Coronavirus sur le monde du travail; 5) le besoin urgent de restructurer le système éducatif; 6) le besoin urgent de restructurer le système de transport public; 7) les changements imposés par la pandémie du nouveau Coronavirus dans les relations sociales; 8) la nécessité d'un urbanisme sur de nouvelles bases imposé par la pandémie du nouveau Coronavirus; 9) la nécessité de changements dans le processus de développement de la société imposé par la pandémie du nouveau Coronavirus; 10) la fin du processus de mondialisation contemporain avec la pandémie du nouveau Coronavirus; 11) la nécessité d'une autosuffisance nationale imposée par la pandémie du nouveau Coronavirus; 12) la nécessité impérative d'investir dans la recherche de nouveaux vaccins contre les pandémies actuelles et futures; 13) le besoin impératif de gouvernements engagés dans la lutte contre les pandémies actuelles et futures. Les conclusions présentées ci-dessous de manière synthétique permettront aux gouvernements nationaux et à la société en général de procéder à des changements profonds dans toutes leurs activités pour faire face aux pandémies actuelles et futures.
Pour en savoir plus sur la non-violence et sur la résolution non-violente de conflits : www.irnc.org, rubrique « Diaporamas »
Les conditions d'une défense civile non-violente
La préparation d'une défense civile non-violente
Le transarmement
Sophie Wilmès heeft op 26 maart niet willen antwoorden op de vraag van Tom Van Grieken. Wilmès: 'Ik wil verder niet teveel tijd besteden aan de verkeerde informatie die een bepaald lid hier net heeft gegeven want anders zou mijn spreektijd snel op zijn.'
Solidarité et subventions croisées pour le financement de l’assurance santé d...valéry ridde
AFFICHE. Solidarité et subventions croisées pour le financement de l’assurance santé du Burkina Faso : des concepts compris par les populations de Kaya mais des inquiétudes sur leur mise en œuvre. Présentée lors de la Conférence Régionale «Politiques d’exemption pour les services de santé maternelle en Afrique: évaluation, expériences et partage des connaissances ». Ouagadougou, du 25 au 28 novembre 2013
Les dispositifs d’accès aux soins et de couverture sociale : des chiffres et ...Rachel Bocher
Le droit à la santé comprend l’accès, en temps utile, à des soins de santé acceptables, d’une qualité satisfaisante et d’un coût abordable ».
En France, la couverture sociale, donnant droit à la prise en
charge des frais de santé (prestations en nature) est accessible.
http://www.intersyndicat-des-praticiens-hospitaliers.com/
Nouveau modèle de la communication des risques en 2008mickymiel
Analyse d'une campagne de communication marketing sous l'angle de la communication des risques.
En période de risque de pandémie d'Influenza au Québec, les principes de bonnes pratiques de communication de risque sont applicables par une agence de communication dans l'élaboration de la stratégie marketing d'une campagne pour un client vendant des produits d'origine aviaire.
Médecin, Académicien, Humain
Alfred Spira (MD, PhD) est professeur honoraire de Santé Publique et d’Épidémiologie à la Faculté de Médecine de l’Université Paris Sud, membre de l’Académie nationale de
Médecine. Chef de service à l’hôpital de Bicêtre, il a dirigé une unité de recherche de l’Inserm et l’Institut de Recherche en
santé Publique (IReSP).
http://www.intersyndicat-des-praticiens-hospitaliers.com/
Circulaire n°6-2020, la BCT a incité les banques et les institutions financières à différer le paiement des échéances de crédits (en principal et en intérêt), par les entreprises et les professionnels
LIVRE BLEU : sauver l’économie pour réussir la transition démocratiqueL'Economiste Maghrébin
Le livre bleu regroupe une contribution modeste de la part des économistes tunisiens au débat économique pour sortir de la grisaille actuelle, ouvrir de nouvelles perspectives à l’économie tunisienne
AVIS D’APPEL A MANIFESTATION D’INTERET - Cession de la société Alpha FordL'Economiste Maghrébin
le consortium Attijari Finances Tunisie - Attijari Finances Corp. (conjointement la « Banque Conseil») a été retenu comme conseiller exclusif de Al Karama Holding pour la réalisation de l’ensemble de l’opération de cession envisagée.
Bourse de Tunis : Horaires de Cotation pour le mois de Ramadhan
Lettre destinée au Chef du Gouvernement sur la gestion de la crise actuelle.
1. 1
Tunis, le 2 Avril 2020
À L’ATTENTION DE MONSIEUR LE CHEF DU GOUVERNEMENT
PLACE DU GOUVERNEMENT
LA KASBAH
TUNIS
Monsieur le chef du gouvernement,
La Tunisie, comme le reste du monde, fait face à une pandémie due à un virus
inconnu jusque-là le SRAS-CoV-2. Cette pandémie a déjà occasionné dans de
multiples pays, y compris ceux riches et développés, des dégâts considérables,
aussi bien sur le plan sanitaire que social ou économique. Notre pays serait bien
incapable de faire face à cette pandémie, si nous l’affrontions avec les mêmes
stratégies que ces pays. Nous devons tirer les leçons des expériences des autres,
retenir les meilleures pratiques et éviter les erreurs commises. Nous devons
adopter une stratégie qui tienne compte de nos moyens et de notre contexte
économique et social.
Comme vous avez eu l’occasion de l’affirmer, les défis que nous devons affronter,
en priorité, sont :
- Sanitaires afin de protéger le maximum de personnes, sauver le maximum
de vies et endiguer au plus vite la propagation du virus,
- Sociaux afin d’aider les couches les plus défavorisées, les ouvriers qui
risquent de perdre leur travail, les journaliers et ceux qui travaillent dans le
secteur informel.
- Économiques afin de préserver au maximum notre tissu économique et en
particulier nos artisans, nos commerçants, nos paysans, nos start-ups, TPE,
PME et PMI qui doivent continuer à jouer leur rôle social et surtout reprendre
leurs activités à la sortie de la crise.
Notre démarche en tant que membres de la société civile, du monde médical, du
monde académique, hommes et femmes politiques n’a pour but que d’aider les
autorités à mobiliser au mieux nos forces en tenant compte de nos nombreux
points faibles.
2. 2
La situation nous commande une union de toutes les forces du pays,
indépendamment de leur positionnement politique.
C’est dans cet objectif que nous avons décidé d’apporter notre contribution par
des propositions concrètes.
Le gouvernement a pris des décisions précoces et urgentes afin de limiter la
propagation du virus comme la fermeture des frontières, le confinement général
de la population et le suivi du confinement individuel des personnes rentrant de
l’étranger. Nous saluons ces mesures, ainsi que toutes celles destinées à alléger
l’impact financier sur les catégories fragiles. Elles sont nécessaires et salutaires.
Leur mise en œuvre, malgré certaines limites, n’a été possible que grâce à
l’engagement sans limite de l’ensemble du personnel médical, des forces de
sécurité et de l’armée. Nous rendons, ici, à tous, un hommage appuyé et nous leur
exprimons toute notre reconnaissance pour leur mobilisation sans faille depuis le
début de la crise.
Notre stratégie pour les jours à venir doit viser à protéger au maximum la
population et à essayer de circonscrire au maximum la durée du confinement en
anticipant le meilleur scénario de dé-confinement progressif et ciblé, pour alléger
la souffrance des couches les plus démunies et éviter le risque de
mécontentement sinon d’une explosion sociale. Ce risque serait d’autant plus à
craindre si le confinement devait être prolongé au-delà du 19 Avril, sans que des
mesures très fortes d’accompagnement n’aient été prises de manière urgente en
faveur des plus démunis.
Sur le plan sanitaire :
La décision de confinement général de la population, adoptée pour une période
initiale de 15 jours et prorogée de deux semaines supplémentaires, est la bonne
décision. Il faut la maintenir, la renforcer et la compléter afin d’assurer les
conditions de son application. Les mesures coercitives sont probablement
nécessaires, mais l’adhésion de la population passe plus par la pédagogie,
l’encadrement et l’appui économique. Devant les difficultés à faire admettre à la
population la nécessité d’un confinement général, la stratégie doit, en complément
au confinement nécessairement limité dans le temps, viser à isoler d’une manière
ferme les personnes infectées et à diminuer leur contagiosité afin de limiter la
propagation du virus mais aussi et surtout les personnes à risques. Les mesures
suivantes devraient être prises :
1. Confinement de toute personne porteuse du virus dans des hôtels
réquisitionnés ou mis, par leurs propriétaires, à la disposition du ministère
de la santé. Cette mesure doit être ferme et s’appliquer à toute personne
contaminée, avec une surveillance médicale sur place, assurée par rotation
par des médecins de la première ligne. Dans la mesure du possible ces
hôtels doivent être dans une zone à l’écart des centres urbains. Le nombre
de lits à réserver peut-être estimé, dans l’état actuel des choses, à 1000.
3. 3
2. Traitement de tous les malades, qui présentent des formes pauci
symptomatiques et sous contrôle médical, notamment par l’association
Hydroxy chloroquine, Azithromycine. Cette administration doit se faire selon
le protocole et la surveillance préconisés. L’objectif est de diminuer
l’apparition des formes graves mais aussi la négativation rapide de la charge
virale afin de limiter la période de confinement. Il est impératif de s’assurer
que le malade n’est plus contagieux avant de décider de la fin de son
confinement.
3. Hospitalisation, dans des services dédiés, de toute personne présentant le
moindre signe de gravité. Il est nécessaire que tous les services choisis pour
recevoir ces patients soient bien préparés à cet effet : personnel,
équipements et consommables.
4. Généralisation du dépistage ciblé dans l’entourage des patients mais aussi,
d’une manière aléatoire, dans les régions les plus touchées. Atteindre 1500
tests par jour doit être un objectif à court terme, en mettant les moyens pour
aller bien au-delà et au plus vite. Il est nécessaire de mettre à contribution
notre diplomatie afin de se procurer les kits nécessaires.
5. Mise à la disposition du personnel soignant, public et privé, de tous les
équipements nécessaires à sa protection. Il faut saluer à ce propos l’effort
de la société civile qui vient en appui au ministère de la santé.
6. Renforcer les campagnes de sensibilisation pour le respect des règles
d’hygiène, de distanciation sociale et des gestes barrages. Une opération
« masque pour tous » doit être lancée, où des masques en tissu seront
utilisés par les citoyens et les masques chirurgicaux et autres matériels de
protection réservés à l'usage des soignants.
Avec toutes ces mesures prises d’une manière concomitante et beaucoup de
fermeté nous espérons arriver à la date du 19 Avril à limiter au maximum le nombre
de personnes infectées et à lever progressivement le confinement général pour
imposer un confinement ciblé.
Sur le plan social :
La Tunisie compte aujourd’hui près de deux millions de personnes qui vivent en
dessous du seuil de la pauvreté. Le nombre de personnes vulnérables, vivant au-
dessus du seuil de la pauvreté mais susceptibles d’y retomber, suite à des
difficultés conjoncturelles, s’élève à plusieurs autres centaines de milliers. La
pandémie fragilise toutes ces populations. Le confinement, inéluctable sur le plan
sanitaire, les fragilise encore plus. Il les prive de sources de revenus. Il est
essentiel que le confinement soit le plus strict possible pour pouvoir être le plus
efficace et le plus court possible et il est fondamental que ces populations soient
secourues correctement pendant le confinement. Ces populations, quand elles ont
la chance de travailler, n’ont pas d’épargne. Elles vivent au jour le jour. Il est
important, si nous voulons que le confinement soit respecté que l’État mette à
disposition de l’ensemble des personnes concernées, quotidiennement de quoi
4. 4
leur permettre de survivre. Un panier familial de référence devrait être défini,
acheminé par l’armée et distribué avec l’appui des autorités et les associations
locales ayant une bonne connaissance du terrain et des besoins réels des
habitants. À défaut de capacité d’acheminement, une aide financière équivalente
doit être distribuée aux familles nécessiteuses, à travers les mêmes circuits, dans
la proximité. Il y a là une opportunité pour mettre à la disposition des bénéficiaires
et sur un réseau de commerçants partenaires un porte-monnaie électronique qui
pourrait éviter les risques de regroupement autour des points de distribution des
aides en numéraire ou en nature. Des dépassements et des détournements de
cette aide, matérielle ou financière, vont nécessairement avoir lieu. Ils sont
inévitables et valent bien mieux que des oublis ou des omissions. Le coût de cette
opération, pour les trois semaines de confinement qui sont encore devant nous,
sont tout à fait à notre portée. Nous les estimons autour de 250 à 300 millions de
dinars. Des établissements publics, devenus vacants par l’effet du confinement,
devraient être ouverts pour recevoir les « sans domicile fixe » que nous voyons se
multiplier dans nos villes pour les héberger, les soigner et les nourrir, le temps du
confinement. Il faut aussi renforcer les efforts pour l’accès universel aux moyens
de communication et permettre l’éducation à distance pour le plus grand nombre.
La protection du pouvoir d’achat reste un élément important, surtout dans des
périodes de difficultés d’approvisionnement et de distribution. Un suivi des
différents circuits pour éviter une flambée des prix est indispensable.
Sur le plan économique :
Le monde a mis de longues semaines pour se rendre compte de l’ampleur, de la
gravité et de la violence de la pandémie qui le frappe et de ses effets dévastateurs
sur son économie. Les économistes et les financiers les plus optimistes parlent
d’une récession violente qui verrait le PIB des grands pays (Chine, États-Unis,
Europe…) reculer de plusieurs points et s’installer, hormis peut-être la Chine, en
territoires négatifs.
La Tunisie doit faire que sa gestion sanitaire de la crise soit exemplaire et que sa
sortie progressive du confinement soit rapide pour éviter un effondrement de son
économie. La pandémie intervient à un moment où la croissance était déjà
poussive, où le chômage était durablement installé à des niveaux inacceptables,
où l’inflation restait à des niveaux élevés malgré une inflexion récente, où le
pouvoir d’achat des populations était érodé, où les entreprises publiques
cumulaient les déficits pendant que celles privées ployaient sous le poids des
impôts, des charges sociales et des tracasseries administratives, où les caisses
sociales menaçaient d’effondrement, où le système sanitaire chancelait, où la
désindustrialisation était en marche depuis plusieurs années… Nous avons
conscience que les marges de manœuvre au niveau du budget de l’État sont
limitées sinon inexistantes. Et pourtant l’État doit voler au secours de tous ses
opérateurs économiques. Le Chef du Gouvernement a déjà fait des annonces
inusitées en termes de soutien à l’activité économique. Une enveloppe globale
pour un stimulus économique de plus de 2% du PIB : du jamais vu. Pourtant, il va
falloir faire plus et surtout, mettre cette enveloppe le plus rapidement possible à la
disposition de tous les opérateurs économiques concernés mais également
5. 5
imaginer d’autres interventions d’ampleur, en faveur de tous les opérateurs
économiques que les mesures annoncées ne concerneront pas.
1. Il faut publier sans délai tous les textes d’application, sans lesquels les
mesures annoncées restent sans effets. Il faut donner, sans plus tarder, à
ces mesures leur acte de naissance légal,
2. Il faut faire que les critères d’éligibilité des entreprises au bénéfice des
mesures annoncées soient connus de manière objective et que le bénéfice
des mesures ne soit pas tributaire d’une commission livrée à elle-même ou
qui chercherait à minimiser les dépenses de l’État dans une conjoncture de
disette,
3. Afin d‘assurer le maximum de chances de succès à cette démarche de
soutien aux entreprises, il est essentiel qu’elle se fasse dans la proximité.
L’instruction des dossiers des entreprises impactées par la crise devrait être
menée par les banques commerciales. Il leur reviendra de faire remonter les
dossiers étudiés à la commission, régionale ou nationale, dans un délai
maximum de 15 jours. L’objectif devrait être d’assurer à chaque entreprise
une trésorerie minimale correspondant à un minimum de 45 jours de son
besoin en fonds de roulement. L’intervention de l’État devrait se faire, sans
décaissement, à travers une garantie donnée à la banque de l’entreprise
bénéficiaire.
4. En parallèle à toutes ces mesures, il est essentiel de permettre aux
entreprises, qui le souhaitent et qui présentent les garanties sanitaires
nécessaires, une reprise plus rapide de leurs activités. Ces garanties
pourraient être, une distanciation physique suffisante sur site, le transport du
personnel dans des conditions agréées, des procédures barrière sur le lieu
de travail et une visite médicale quotidienne avec des tests aléatoires et
permanents. Les coûts induits par ces mesures restent évidemment à la
charge de l’entreprise.
5. Des traitements appropriés et des mécanismes précis doivent être identifiés
pour toucher tous les travailleurs journaliers, les ouvriers agricoles, les
artisans et les petits métiers de l’informel, ceux qui partent quotidiennement
à la recherche d’un revenu, ceux-là mêmes, ne bénéficient ni d’assurance
chômage, ni de congés payés, ni de couverture sociale. Ces acteurs
économiques fragiles et vulnérables échappent aux recensements des
bénéficiaires traditionnels de l’aide sociale. Ils ne sont, d’ailleurs, pas
demandeurs d'aide sociale, mais d'accompagnement pour faire face aux
contraintes du confinement.
6. Notre diaspora à l’étranger devra être sollicitée pour contribuer à l’effort
national de lutte contre la pandémie. En même temps, nous devons être
attentifs à la situation difficile de certains de ses membres. Souvent, rien
dans les pays hôtes ne permet de les prendre en charge et de soulager leur
souffrance économique, dans la dignité. Cela est notamment le cas de
beaucoup de nos étudiants, dans l’incapacité d’exercer les petits métiers qui
6. 6
les faisaient vivre et financer leurs études. Cela est également le cas de
certains expatriés, encore retenus à l’étranger.
7. Nous devons être attentifs également à la communauté des étudiants
étrangers majoritairement africains et autres étrangers présents sur notre sol
légalement ou illégalement pour gagner leur vie. Sachons faire preuve de
solidarité à leur égard.
8. Il faut donner à la microfinance les moyens de se porter solidaire de ses
450.000 bénéficiaires. Les institutions de microfinance apportent leur
soutien à ces opérateurs économiques vulnérables et à la lisière de l’informel
pour un volume d'intervention supérieur à un milliard de dinars. Il est
important que l’État facilite leur refinancement et qu’il assouplisse, de
manière transitoire, les règles prudentielles qui régissent le secteur, à la
manière de ce qui a été fait avec les banques.
9. À l’image des grands pays confrontés à cette pandémie, sachons nous
exonérer des contraintes traditionnelles des équilibres budgétaire et
extérieur. Sachons apporter l’appui nécessaire à la sauvegarde des vies
humaines tout autant que de celles de nos entreprises et de tous nos acteurs
économiques. Sachons en même temps faire preuve de responsabilité et
appliquons à nous-mêmes l’exigence de l’efficacité et de la pertinence.
Ayons le courage de revoir à la baisse toutes les dépenses budgétées mais
qui ne contribuent pas, dans la conjoncture actuelle, aux trois objectifs
simples de sauvegarde des vies humaines, de secours et de soutien aux
populations pauvres et vulnérables et de sauvegarde de notre tissu
économique.
10.Le Fonds Monétaire et la Banque Mondiale viennent de saisir le G20 d’une
demande de gel de la dette des pays pauvres. Certes, la Tunisie n’émarge
pas sur cette catégorie de pays. Mais nous avons été éprouvés, toutes ces
dernières années, par bien des considérations géopolitiques sur lesquelles
nous n’avions aucune prise. Nous devons, avec l’appui de quelques pays
proches et amis, nous engouffrer dans cette brèche que les institutions de
Bretton Woods entrouvrent pour d’autres.
11.Le service de la dette devient insupportable, en temps de paix. Il risque de
nous étouffer dans la guerre que nous engageons contre le coronavirus. Il
est urgent que la Tunisie engage avec ses bailleurs de fonds des
discussions solidaires et responsables pour une meilleure gestion de sa
dette extérieure. Une telle démarche n’entacherait en rien la crédibilité de la
Tunisie et son attachement permanent à honorer ses engagements. Elle
pourrait lui permettre de dégager une fenêtre budgétaire pour renouer avec
des investissements plus soutenus en matière d’infrastructures et de
restauration de sa compétitivité.
12.La chute des prix pétroliers donne une bouffée d’oxygène au budget de l’Etat
en 2020. Il est important d’optimiser les achats avec une politique judicieuse
d’achats à terme, après consultation avec les experts dans ce domaine
7. 7
La gouvernance économique et diplomatique du sujet COVID (intérieure pour les
entreprises et extérieure pour la diplomatie : demandes d’aides, meilleure gestion
de la dette) doit être confiée à des équipes dédiées qui centralisent tout l’effort.
Ces équipes devraient associer des représentants de l’État, de la société civile et
des organisations nationales, sous le contrôle conjoint et fortement coordonné des
Ministères des finances, de la coopération internationale et des affaires
étrangères. Elles devraient bénéficier de procédures exceptionnelles pour faire
face à une situation exceptionnelle.
Nous ne devrons pas attendre la sortie de la pandémie pour définir un plan de
relance et de repositionnement stratégique de la Tunisie. La crise nous confronte
à de multiples défis. Elle n’en présente pas moins des opportunités considérables.
Nous devons d’ores et déjà, mettre en place des équipes pluridisciplinaires,
identifier ces opportunités et avoir l’ambition d’anticiper les mutations vers un
monde plus solidaire, plus inclusif et plus durable.
Les coordinateurs de l’appel : Radhi MEDDEB et Slaheddine SELLAMI
Signataires par ordre alphabétique :
Houcine ABASSI Prix Nobel de la Paix, ancien secrétaire général
de l’UGTT,
Saïd AÏDI Ancien ministre de la santé
Mohamed ALOULOU Médecin, ancien ministre
Naceur AMMAR Professeur, président du conseil
d'administration du Groupe ESPRIT, ancien
ministre.
Sonia BAHRI Ancienne Chef de la Section des Politiques
Scientifiques à l’UNESCO
Khaldoun BARDI Chirurgien, membre de l’académie européenne
Rafika BARDI Professeur en immunologie, ancien directeur
général du CNPTO
Sadok BELAÏD Ancien doyen de la faculté de droit et de
sciences économiques de Tunis
Faouzi BEN ABDERRAHMANE Ancien ministre
Mohamed Salah BEN AMMAR Professeur de médecine, ancien ministre de la
santé
8. 8
Sonia BEN HAMED Professeur de médecine, maladies
infectieuses
Zohra BEN LAKHDAR Professeur universitaire, Prix L’Oréal-Unesco
pour les femmes et la science
Kamel BENNACEUR Ancien ministre et professeur à Sciences-Po,
Paris
Haykel BEN MAHFOUDH Professeur de droit public
Abdessattar BEN MOUSSA Prix Nobel de la Paix, ancien président LTDH
Slim BEN SALAH Chirurgien pédiatre
Nabila BEN SALEM Professeur de médecine, maladies
infectieuses
Raja BEN SLAMA Professeure de l’enseignement supérieur
Béchir BEN YAHMED Directeur, fondateur du groupe Jeune Afrique
Sophie BESSIS Historienne
Mohamed BOUANANE Directeur de conseil en management
Ouided BOUCHAMAOUI Prix Nobel de la Paix, ancienne présidente de
l’UTICA,
Habiba BOUHAMED-CHAABOUNI Médecin généticienne, Directeur département
des Sciences Académie des Sciences, des
Lettres et des Arts Beit Al-Hikma
Nabil CHAÏBI Entrepreneur
Faouzi CHARFI Chirurgien, secrétaire général Al Massar
Faouzia CHARFI Physicienne, membre de l’Académie des
Sciences, des Lettres et des Arts Beit Al-Hikma
Mounir CHARFI Journaliste et actif dans la société civile
Ahmed Nejib CHEBBI Personnalité politique, ancien ministre
Afif CHELBI Ancien ministre, ancien président du CAÉ
Tarak CHERIF Entrepreneur
Lobna CHTIR Présidente de l’association tounes bensaha
Mohamed DOAGGI Président de la société de pédiatrie et chef de
service à l’hôpital militaire
Mohamed ELJERI Ancien ministre
Nafâa ENNAIFER Chef d’entreprise, membre du BD et président
du Centre de Veille et d’Intelligence
Économique de l’IACE
9. 9
Mondher GASTLI Médecin infectiologue
Sana GHENIMA Chef d'entreprise et présidente Femmes &
Leadership
Neziha GOUIDER-KHOUJA Professeur en neurologie, anciennement chef
de service à l’Institut National de Neurologie,
Présidente du Collège de Neurologie
Taïeb HADHRI Ancien ministre
Abdelkader HAMDOUNI Professeur universitaire
Nabila HAMZA Présidente Foundation For the Future
Radhi HAMZA Professeur émérite de radiologie
Donia Hedda ELLOUZE Avocat à la cour de cassation, membre de la
société civile
Abdelhamid JLASSI Personnalité politique
Khaled KADDOUR Ancien ministre
Lamia KALLEL Professeur en Hépato-gastro-entérolgie Chef
de service à l'hôpital Mahmoud El Matri,
l'Ariana, Présidente du Conseil Régional de
l’Ordre des Médecins de Tunis
Habib KAZDAGHLI Professeur d’histoire contemporaine, ancien
doyen de la faculté des lettres
Ridha KECHRID Médecin, ancien ministre de la santé
Fayza KEFI Ancien ministre
Mhamed KILANI Secrétaire général du Parti Socialiste
Ali KLEBI Président Fondateur VITALAIT
Hédi LARBI Ancien ministre
Mohamed LOUZIR Entrepreneur, membre de la société civile
Selma MABROUK Médecin, Membre de l'Assemblée Nationale
Constituante
Mohamed Fadhel MAHFOUDH Prix Nobel de la Paix, ancien bâtonnier
Rym Mahjoub MASMOUDI Médecin radiologue, ancienne députée et
constituante, présidente du bureau politique
Afek Tounes.
Sara MASMOUDI CEO Groupe Kilani et Présidente de la
Chambre Nationale de l’Industrie
Pharmaceutique
Aziz MEBAREK Private Equity Managing Partner
10. 10
Radhi MEDDEB Administrateur de sociétés, membre de la
société civile
Emna MENIF Médecin radiologue, ancien professeur à la
Faculté de Médecine de Tunis, ancien Chef de
Service de Radiologie, membre de la société
civile
Fadhel MOUSSA Professeur émérite, ancien doyen de la faculté
des sciences juridiques politiques et sociales
de Tunis
Lassaâd MSAHLI Pharmacien clinicien, membre de l’INLCC
Faouzi NOUIRA Professeur de médecine
Slaheddine SELLAMI Professeur de médecine, ancien ministre de la
santé
Amor TOUMI Président de la société des sciences
pharmaceutiques
Sami ZAOUI Membre de la société civile
Abderrazak ZOUARI Professeur d’économie, ancien ministre
Fayçal ZOUITEN Professeur de médecine, maladies
infectieuses
Mohamed ZIADI Docteur en économie, professeur associé des
universités Lyon 3, Président de l’association
HENDI France Tunisie Méditerranée