La mobilisation des ressources domestiques et la lutte contre les flux financiers illicites est devenue cruciale en Afrique du fait des besoins d’infrastructures et de la demande sociale de plus en plus pressante
Informations économiques et financières : Enjeux pour les chaînes de télévisi...Beaugas
En Afrique, l’information économique et financière est
devenue le moteur de la « nouvelle économie africaine ». Cette Afrique dont les potentialités en termes de ressources humaines et naturelles sont les plus immenses.
C’est cette nouvelle économie africaine que l’ensemble des
médias occidentaux s’empressent aujourd’hui de montrer ou de vouloir montrer. Quel rôle devraient jouer les médias publics audiovisuels africains dans ce nouveau contexte ?
Beaugas-Orain DJOYUM, directeur Afrique centrale de l'Agence Ecofin apporte un début de réponse.
Informations économiques et financières : Enjeux pour les chaînes de télévisi...Beaugas
En Afrique, l’information économique et financière est
devenue le moteur de la « nouvelle économie africaine ». Cette Afrique dont les potentialités en termes de ressources humaines et naturelles sont les plus immenses.
C’est cette nouvelle économie africaine que l’ensemble des
médias occidentaux s’empressent aujourd’hui de montrer ou de vouloir montrer. Quel rôle devraient jouer les médias publics audiovisuels africains dans ce nouveau contexte ?
Beaugas-Orain DJOYUM, directeur Afrique centrale de l'Agence Ecofin apporte un début de réponse.
Ce document a été élaboré lors du stage de contre partie effectué au Japon sous le thème: "Développement du Tourisme durable dans les pays africains francophones".
Dr Akinwumi a. Adesina: Nouveau Président de la BAD : Sa vision pour la BADFatoumata Chérif
Le candidat nigérian Dr Akinwumi Adesin, Ministre de l'Agriculture a été élu comme succésseur du rwandais KABERUKA. Il devient ainsi le 8ième président de la Banque Africaine de Développement depuis sa création le 4 août 1963.
Publication - "L'entreprise, moteur de la croissance africaine"AFRICA CEO FORUM
En préambule au lancement du AFRICA CEO FORUM 2015, les organisateurs publient « L’entreprise, moteur de la croissance africaine ». Ce document inédit a pour objectif de faire partager au plus grand nombre l’essentiel des thèmes d’actualité débattus à l’occasion des précédentes éditions du AFRICA CEO FORUM. Il porte la parole des PDG africains sur les conditions du développement du capitalisme africain.
www.theafricaceoforum.com
Livre de poche des statistiques de la BAD-Pocketbook 2017Fatoumata Chérif
Le livre de poche des statistiques de la BAD
Le livre de poche des statistiques de la BAD 2017 présente des sommaires des données économiques et sociales sur les pays membres régionaux et sur les opérations du Groupe de la Banque. La plupart des indicateurs cités sont extraits d'une autre publication de la Banque intitulé Compendium de statistiques sur les opérations du Groupe de la Banque, Indicateurs sur le genre, la pauvreté et l’environnement sur les pays africains.
Perspective future Agri Africaine WA Hub 2021 FR.pptxBenoît THIERRY
cette présentation indique les elements necessaires d áction et d'investissement pour nourrir la population croissante en afrique, compte tenu des elements economiques et du changement climatique.
YOUR BUSINESS IS YOUR PROFITABILITY IN CONCEPT HOTEL FUTURIST. SEE YOUR FUTURE AS YOUR PRESENT AND INVEST IN CREATIVITY THAT MAKES SENSE AND REALITY FOR BOTH GUESTS, MANAGEMENT AND STAFF. A NEW VISION AT SHORT TERM, MID TERM OR LONG TERM QUALITY AND TECHNOLOGY HOSPITALITY INDUSTRY.
L’épidémie frappe le continent africain à un moment où il est particulièrement vulnérable. Les conséquences sanitaires et économiques risquent d'être dramatiques.
Ce document a été élaboré lors du stage de contre partie effectué au Japon sous le thème: "Développement du Tourisme durable dans les pays africains francophones".
Dr Akinwumi a. Adesina: Nouveau Président de la BAD : Sa vision pour la BADFatoumata Chérif
Le candidat nigérian Dr Akinwumi Adesin, Ministre de l'Agriculture a été élu comme succésseur du rwandais KABERUKA. Il devient ainsi le 8ième président de la Banque Africaine de Développement depuis sa création le 4 août 1963.
Publication - "L'entreprise, moteur de la croissance africaine"AFRICA CEO FORUM
En préambule au lancement du AFRICA CEO FORUM 2015, les organisateurs publient « L’entreprise, moteur de la croissance africaine ». Ce document inédit a pour objectif de faire partager au plus grand nombre l’essentiel des thèmes d’actualité débattus à l’occasion des précédentes éditions du AFRICA CEO FORUM. Il porte la parole des PDG africains sur les conditions du développement du capitalisme africain.
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Livre de poche des statistiques de la BAD-Pocketbook 2017Fatoumata Chérif
Le livre de poche des statistiques de la BAD
Le livre de poche des statistiques de la BAD 2017 présente des sommaires des données économiques et sociales sur les pays membres régionaux et sur les opérations du Groupe de la Banque. La plupart des indicateurs cités sont extraits d'une autre publication de la Banque intitulé Compendium de statistiques sur les opérations du Groupe de la Banque, Indicateurs sur le genre, la pauvreté et l’environnement sur les pays africains.
Perspective future Agri Africaine WA Hub 2021 FR.pptxBenoît THIERRY
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L’épidémie frappe le continent africain à un moment où il est particulièrement vulnérable. Les conséquences sanitaires et économiques risquent d'être dramatiques.
Les données d’offres d’emplois en ligne d'entreprises telles que Vicinity Jobs servent de plus en plus de complément aux sources traditionnelles de données sur la demande de main-d'œuvre, telles que les enquêtes sur les postes vacants et les salaires (EPVS). Ibrahim Abuallail, candidat au Ph. D., Université d’Ottawa, a présenté la recherche relative aux biais dans les offres d’emploi en ligne et une approche proposée pour rajuster efficacement les données de ces offres d’emploi afin de compléter les données officielles existantes (telles que celles des EPVS) et d'améliorer la mesure de la demande de main-d'œuvre.
Dans un marché du travail tendu, les demandeurs d'emploi acquièrent un pouvoir de négociation qui leur permet d'améliorer la qualité de leurs emplois — c'est du moins ce que l'on croit généralement.
Michael Willcox, économiste, CIMT, a présenté des résultats qui révèlent un affaiblissement de la relation entre le resserrement du marché du travail et les indicateurs de qualité de l'emploi à la suite de la pandémie. Le resserrement du marché du travail a coïncidé avec la croissance des salaires réels pour une partie seulement des travailleurs : ceux qui occupent des emplois peu rémunérés nécessitant peu d'éducation. Plusieurs facteurs — notamment la composition du marché du travail, le comportement des travailleurs et des employeurs, et les pratiques du marché du travail — ont contribué à l'absence d'avantages pour les travailleurs. Ces facteurs feront l'objet d'une étude plus approfondie dans le cadre de travaux futurs.
Les offres d’emploi en ligne deviennent une ressource essentielle pour les décideurs et les chercheurs qui étudient le marché du travail. Le CIMT continue de travailler avec les données de Vicinity Jobs tirées des offres d’emploi en ligne, qui peuvent être analysées dans notre
tableau de bord des tendances de l'emploi au Canada. Notre analyse des données provenant des offres d’emploi en ligne a permis d'obtenir des informations précieuses, notamment le
récent rapport
de Suzanne Spiteri sur l'amélioration de la qualité et de l'accessibilité des offres d'emploi afin de réduire les obstacles à l'emploi pour les personnes neurodivergentes.
Les données de Vicinity Jobs englobent plus de trois millions d'offres d'emploi en ligne pour 2023 ainsi que des milliers de compétences. La plupart des compétences apparaissent dans moins de 0,02 % des offres d'emploi, de sorte que la plupart des offres reposent sur un petit sous-ensemble de termes couramment utilisés, comme le travail en équipe.
Laura Adkins-Hackett, économiste, CIMT, et Sukriti Trehan, scientifique de données, CIMT, ont présenté leurs recherches sur les tendances relatives aux compétences répertoriées dans les offres d’emploi en ligne afin de mieux comprendre les compétences les plus en demande. Ce projet de recherche utilise l'information mutuelle spécifique et d'autres méthodes pour extraire davantage d'informations sur les compétences communes à partir des relations entre les compétences, les professions et les régions.
Comment réindustrialiser la France et « sauver l’humanité » grâce à un club c...Nicolas Meilhan
Huit ans après la COP21, la transition énergétique est en panne sèche. Malgré les bonnes volontés, des normes de plus en plus sévères et des investissements pharaoniques dans les énergies renouvelables, nous échouons à décarboner l’économie mondiale. Huit ans après Le Bourget, l’Humanité persiste dans sa schizophrénie climatique. Alors que le réchauffement s’accélère en rythmant notre quotidien, la consommation mondiale de combustibles fossiles bat des records d’année en année.
Et le ciel continue de s’assombrir. Tandis que les pays émergents, Chine et Inde en tête, continuent de privilégier légitimement leur développement en augmentant significativement leur consommation de fossiles, une « bulle verte » est en train d’exploser en Europe. Eoliennes, panneaux solaires, hydrogène, voitures électriques et même Pompes à Chaleur tous les indicateurs sont dans le rouge vif. La faute notamment au prix des matières premières et aux taux d’intérêts qui ont érodé un peu plus la rentabilité déjà faible de projets verts.
Les politiques publiques aujourd’hui engagées nous dirigent vers le scénario SSP4 du GIEC correspondant à un réchauffement de 2,7° à l’horizon 2100. Un scénario principalement dans les mains des pays émergents. Comptant aujourd’hui pour 82% de la population mondiale, ils représenteront 90% des émissions à l’horizon 2050.
Face à cette situation il est impératif de changer de logiciel s’attaquant en priorité à l’électricité charbonnière (27% des émissions mondiales) concentrée à 93% dans un « club » de 14 pays produisant plus de 100 TWh/an. Parallèlement il faudrait constituer un « fonds climat » permettant d’aider les pays les plus pauvres à s’adapter aux conséquences du réchauffement dont 90% des victimes se situent dans les pays émergents.
Pour conjuguer les deux objectifs, nous proposons d’instaurer une taxe à l’importation égale à un quart du pourcentage électrique charbonnier sur les biens en provenance du « club des 14 ». Collectés par un organisme international, les fonds seraient ensuite redistribués aux pays les plus pauvres pour qu’ils puissent à la fois assurer leur transition et surtout s’adapter au réchauffement.
La méthode est triplement vertueuse. Renchérissant le prix des produits exportés, elle encouragerait le « Club 14 » à déplacer rapidement son électricité charbonnière vers des sources décarbonées, elle inciterait le consommateur à réorienter ses achats vers
des produits à empreinte carbone plus faible, elle permettrait aux pays les plus pauvres de financer massivement leurs projets d’atténuation et surtout d’adaptation indispensables à leur survie face au réchauffement climatique. Elle ne pourrait toutefois s’appliquer qu’avec un assentiment mondial voté au niveau de la Conférence des Parties.
Comment réindustrialiser la France et « sauver l’humanité » grâce à un club c...
Mobilisation des ressources domestiques et lutte contre les Flux financiers illicites & la corruption
1. CTS Finance, Affaires Economiques, Planification
Economique & Intégration
Mobilisation des ressources domestiques : Flux
financiers illicites et corruption
Commission de l’Union Africaine
Département des Affaires Economiques
Dr. Ing. Ligane J.M. Sène
Addis Abeba 12 avril 2018
4. Introduction
• Les flux financiers illicites et la corruption au cœur des discussions sur le
développement
• Le taux de croissance moyen est d'environ 5% depuis 2000 n’a pas réduit
substantiellement la pauvreté et les inégalités ni conduit à une création d'emplois
• Malgré les progrès réalisés, l’Afrique concentre plus de 50% des personnes vivant
avec moins de 1,9$/jour, soit 389 millions de personnes (BM, 2016)
• Face à ces constats au vu des ressources budgétaires actuelles limitées et à la
rareté de l’aide au développement, il convient pour les pays africains d’explorer
les options de mobilisation de ressources domestiques
• Lutte/récupération des pertes engendrées par les flux financiers illicites pour
engager des investissements dans les secteurs sociaux (éducation, santé, filets de
sécurité etc.)
• Etat des lieux des flux financiers illicites et de la corruption en Afrique avec une
présentation au niveau régional et à l’échelle des pays
5. Mobilisation des ressources en Afrique et
impacts des flux financiers
• La mobilisation des ressources domestiques est devenue cruciale en Afrique du fait des besoins
d’infrastructures et de la demande sociale de plus en plus pressante
• Une option de mobiliser davantage les ressources domestiques sera donc de réduire la taille du
secteur informel qui concentre 90% des emplois hors du secteur agricole et qui représente 38%
du PIB en Afrique sub-saharienne sur la période 2010-2014 (FMI, 2017)
• L’Afrique doit chercher à améliorer l’utilisation des ressources financières déjà à sa disposition
• Une réduction de l’allocation optimale entrainerait une augmentation du PIB dans les pays à
revenu faible de 0.9 point de pourcentage (FMI, 2017). Une efficacité publique augmenterait
l’élasticité des dépenses pub. Santé (0.04 point de %) et agriculture (0.15 point de %) (DEA,
forthcoming).
6. Mobilisation des ressources en Afrique et
impacts des flux financiers
• Les flux financiers illicites tendent aussi à augmenter les inégalités intra
pays et les inégalités de développement à l’échelle mondiale
• Le stock de capital de l’Afrique aurait augmenté de plus de 60% si les fonds
qui quittent l’Afrique illégalement étaient restés sur le continent, tandis
que le PIB par habitant aurait augmenté de 15% (Ndikumana et Boyce,
2012)
• La soutenabilité du financement interne du développement de l’Afrique
fortement tributaire de l’arrêt de l’hémorragie que connait le continent
avec les flux financiers illicites et à leur réaffectation optimale
7. Etat des lieux des FFIs en Afrique
• Les flux financiers sont généralement catégorisés en trois groupes:
FFIs et corruption, FFIs et activités criminelles et FFIs et activités
commerciales (voir Kar and Cartwright-Smith, 2010 ; UA/CEA, 2012
pour plus de détails)
• Les estimations sur les montants des flux financiers varient
considérablement d’un auteur à un autre et d’une organisation à une
autre suivant la méthodologie et les domaines couverts
• Nos calculs à partir des données de Global Financial Integrity
8. Graphique 1 : évolutions des FFIs et du GDP
0
200,000
400,000
600,000
800,000
1,000,000
1,200,000
IFFs all Developing Countries
(in millions of nominal U.S.
dollars)
-0.15
-0.1
-0.05
0
0.05
0.1
0.15
0.2
0.25
0.3
0.35
-4
-2
0
2
4
6
8
10
12
14
GDP and IFFs Growth rates (%)
GDP growth (annual %) Sub-Saharan Africa
GDP growth (annual %) World
IIFs (growth)
0.0%
20.0%
40.0%
60.0%
80.0%
100.0%
120.0%
Composition of IFFs
Trade Misinvocing Hot Money
9. Graphique 2 : Flux financiers illicites dans le
monde par région
Sub-Saharan Africa
Asia
Developing Europe
MENA+AP
North Africa
Africa
Western Hemisphere
Average 2004-2013 (millions of nominal US dollars)
10. Etat des lieux des FFIs en Afrique
• L’Asie est la région où les flux financiers illicites annuels moyens sont plus
élevés avec 305 milliards sur la période 2004-2013, avec une très grande
variabilité d’une année à un autre
• Elle est suivi par le groupe des pays en développement de l’Europe et la
région dénommée Hémisphère Ouest i.e. Amérique Latine avec
respectivement des valeurs moyennes de 199 et de 157 milliards
• Les flux financiers annuels moyens en Afrique s’établissent à l’ordre de 80
milliards et proviennent essentiellement de l’Afrique Sub-Saharienne dont
la moyenne est de 67 milliards tandis qu’elle s’établit à 12.5 milliards en
Afrique du Nord.
11. Graphique 3: Evolution FFIs en Afrique, par région
géographique
0
5000
10000
15000
20000
25000
30000
35000
40000
45000
FFI/region (in millions of nominal U.S. dollars)
West Africa Central Africa East Africa Southern Africa North Africa
12. Graphique 4 : Distribution FFIs dans le monde et
en Afrique Sub-saharienne
9%
39%
25%
7%
20%
0%
20%
40%
60%
80%
100%
120%
Cumulative 2004-2013
CUMULATIVE DEVELOPPING COUNTRIES, SHARE
Sub-Saharan Africa Asia Developing Europe MENA+AP Western Hemisphere
West Africa
39%
Central Africa
9%
East Africa
10%
Southern Africa
42%
CUMULATIVE, SUB-SAHARAN AFRICA, SHARE
REGIONS
13. Graphique 5: FFIs par pays et hétérogénéité par
zone
Guinea-Bissau
LiberiaGhana
Cote d'Ivoire
Guinea
Sierra Leone
BeninCabo Verde
Mali
Togo
Gambia, The
SenegalNigerBurkina Faso
Nigeria
Sao Tome and Principe
Chad
Congo, Democratic Republic ofCentral African Republic
Congo, Republic of
Equatorial Guinea
GabonCameroon
SomaliaDjibouti
Ethiopia
MadagascarTanzania
SeychellesComoros
Uganda
Eritrea
Rwanda
Sudan
MauritiusKenya
Namibia
LesothoSwazilandAngola
Zambia
Malawi
Burundi
BotswanaZimbabwe
South Africa
Mozambique
Egypt
Morocco
Tunisia
AlgeriaLibya
Mauritania
0
2000400060008000
10000
0 5000 10000 15000 20000
Average
West Africa Central Africa
East Africa Southern Africa
North Africa
IFFs per country - mu and sigma
Guinea-Bissau
Liberia
Ghana
Cote d'Ivoire
Guinea
Sierra Leone
Benin
Cabo Verde
Mali
Togo
Gambia, The
Senegal
Niger
Burkina Faso
Sao Tome and Principe
Chad
Congo, Democratic Republic of
Central African Republic
Congo, Republic of
Equatorial Guinea
Gabon
Cameroon
Somalia
Djibouti
Ethiopia
MadagascarTanzania
SeychellesComoros
Uganda
Eritrea
Rwanda
Sudan
Mauritius
Kenya
Namibia
Lesotho
Swaziland
Angola
Zambia
Malawi
Burundi
BotswanaZimbabwe
Mozambique
Egypt
Morocco
Tunisia
Algeria
Libya
Mauritania
West Africa
Central Africa
East Africa
Southern Africa
North Africa
0
500
100015002000
0 1000 2000 3000 4000
West Africa Central Africa
East Africa Southern Africa
North Africa
IFFs per country, NGA and SA excluded - mu and sigma
14. Graphique 6 : FFIs, % dans le commerce, moyenne
sur la période 2005-2014
7.5%
3.9%
5.7%
3.2%
5.9%
4.6%
IFFs,% of total trade, averaged over the 2005-2014 period
All Developing Countries Western Hemisphere MENA+AP Developing Europe Asia Sub-Saharan Africa
15. Graphique 7 : FFIs, % du commerce
Burkina Faso
LiberiaSierra Leone
Benin
Nigeria
Cote d'Ivoire
Ghana
Mali
Niger
Senegal
Guinea
Togo
Cabo Verde
Chad
Sao Tome and Principe
Congo, Republic of
Equatorial Guinea
Mauritius
Sudan
Ethiopia
Uganda
Seychelles
Djibouti
Kenya
Rwanda
Madagascar
Zambia
Burundi
Lesotho
South Africa
Malawi
Namibia
Botswana
Zimbabwe
Egypt
Algeria
Morocco
Mauritania
West Africa
Central AfricaEast Africa
Southern Africa
North Africa
0
.1.2.3.4.5
0 .05 .1 .15 .2
West Africa Central Africa
East Africa Southern Africa
North Africa
IFFs, % of trade flows, 2014
16. Angola
Benin
Botswana
Burkina Faso
Burundi
Cabo Verde
Cameroon
Central African Republic
Congo. Dem. Rep.
Congo. Rep.
Cote d'Ivoire
Equatorial Guinea
Ethiopia
Gambia. The
Ghana
Guinea-Bissau
KenyaLesotho
Liberia
Madagascar
Malawi
Mali
Mauritius
Mozambique
Namibia
Niger
Nigeria
Rwanda
Senegal
Seychelles
Sierra Leone
South Africa
Sudan
Swaziland
Tanzania
Togo
Uganda
Zambia
02468
10
-2 -1 0 1
Government Effectiveness
Growth Fitted values
Government Effectiveness and GDP growth
Angola
Benin
BotswanaBurkina Faso
Burundi
Cabo VerdeCameroonCentral African Republic
Congo. Dem. Rep.
Congo. Rep.
Cote d'Ivoire
Equatorial Guinea
Ethiopia
Gambia. The
Ghana
Guinea-Bissau
Kenya
Lesotho
Liberia
Madagascar
Malawi
Mali
Mauritius
Mozambique
NamibiaNiger
Nigeria
Rwanda
Senegal
Seychelles
Sierra Leone
South Africa
Sudan
Swaziland
Tanzania
Togo
Uganda
Zambia
-2
02468
-2 -1 0 1
Government Effectiveness
M_gdpcap_gr Fitted values
Government Effectiveness and GDP per capita growth
Angola
Benin
Botswana
Burkina Faso
Burundi
Cabo Verde
Cameroon
Central African Republic
ChadComoros
Congo. Dem. Rep.
Congo. Rep.
Cote d'Ivoire
Equatorial Guinea
Eritrea
Ethiopia
Gabon
Gambia. The
Ghana
Guinea
Guinea-Bissau
Kenya
Lesotho
Liberia
Madagascar
Malawi
Mali
Mauritania
Mauritius
Mozambique
Namibia
Niger
Nigeria
Rwanda
Sao Tome and Principe
Senegal
Sierra Leone
South Africa
Sudan
Swaziland
Tanzania
Togo
Uganda
Zambia
Zimbabwe
6789
1011
-2 -1 0 1
Log Labor Productivity Fitted values
Government Effectiveness and Productivity
Angola
Benin
Botswana
Burkina Faso
Burundi
Cabo Verde
Cameroon
Central African Republic
Chad
ComorosCongo. Dem. Rep.
Congo. Rep.
Cote d'Ivoire
Equatorial Guinea Eritrea
Ethiopia
Gabon
Gambia. The
Ghana
Guinea
Guinea-Bissau
Kenya Lesotho
Liberia
Madagascar
Malawi
MaliMauritania
Mauritius
Mozambique
Namibia
Niger
Nigeria
Rwanda
Sao Tome and Principe
Senegal
Seychelles
Sierra Leone
Somalia
South Africa
South Sudan
Sudan
Swaziland
Tanzania
Togo
Uganda Zambia
Zimbabwe
-3-2-1
01
-1.5 -1 -.5 0 .5 1
Control of Corruption
Government Effectiveness Fitted values
Government Effectiveness and Control of Corruption
18. Conclusion
• L’Union Africaine, les CER et les Etats Membres doivent établir un cadre de coopération avec la communauté
internationale dans le cadre de la lutte contre les flux financiers illicites & renforcer l’intégration régionale
avec en autres une rationalisation et une harmonisation des législations pour lutter contre la corruption
• Adopter des stratégies pour rendre plus efficient les systèmes de taxation en Afrique; renforcer la justice
fiscale et accompagner la transition de l’informel vers le formel
• Les administrations publiques et les systèmes impliqués dans la gestion des flux financiers illicites doivent
également être renforcés (douanes & forces de sécurité, services des impôts, services de renseignement,
institutions financières, administrations fiscales, parlementaires et tous les parties prenantes) & il convient
de promouvoir un environnement réglementaire favorable à la transparence dans les pratique commerciale
et dans les contrats
• Renforcer le rôle et les capacités d’organisations telles le Conseil Consultatif de l’Union Africaine sur la
Corruption et accélérer la mise en œuvre de la convention de l’Union Africaine sur la Prévention et la Lutte
contre la Corruption
19. Conclusion
• Mettre plus de moyens financiers et de ressources humaines pour repérer et démanteler les réseaux d’activités criminelles et
mettre en place des mesures très dissuasives contre la délinquance économique et éviter l’impunité
• Renforcer la transparence dans les secteurs publics et privés, notamment par un accès du public à l’information, la gestion et le
contrôle budgétaire et renforcer la transparence dans les systèmes financiers. Asseoir une bonne gouvernance économique à
travers une meilleure gestion macroéconomique et une coordination des politiques à l’échelle régionale
• Accompagner le travail accompli par des organisations de la société civile, les médias et les campagnes menés par des organismes
publics luttant contre la corruption par un changement des consciences collectives.
• Soutenir la création d’une croissance forte et inclusive, génératrice d’emplois décents et réductrice de la pauvreté et des inégalités
• Renforcer les systèmes statistiques dans la production d’information sur les FFIs et la corruption (volume, répartition &
composition)
The quality of the formulation and the
implementation of policies and the credibility of the government’s commitment in its policies.
Se doter de ressources humaines et financières pour pouvoir identifier les pratiques de fausses facturations sur les prix de transfert et commerciaux, la quantité et autres caractéristiques visant surtout à éviter les taxes
Intégrer les initiatives existantes dans une architecture mondiale cohérente, en intégrant au mieux les pays en développement dans lutte contre les flux financiers.
Soutenir la création d’une croissance forte et inclusive, génératrice d’emplois décents et réducteurs de la pauvreté et des inégalités dans la mesure où des facteurs sociaux, économiques et politiques sont susceptibles d’influencer la corruption et la criminalité, sources de FFI. Il faudrait soutenir les initiatives de lutte contre les inégalités et les stratégies de création d’emplois pour assurer ainsi la stabilité sociale et économique.