Kantar et onepoint s'associent pour offrir une vision exhaustive des études électorales consacrées aux élections municipales, et pour analyser leur contenu et les éclairages qu'elles offrent sur les tendances nationales et les enjeux locaux.
Kantar et onepoint s'associent pour offrir une vision exhaustive des études électorales consacrées aux élections municipales, et pour analyser leur contenu et les éclairages qu'elles offrent sur les tendances nationales et les enjeux locaux.
Kantar et onepoint s'associent pour offrir une vision exhaustive des études électorales consacrées aux élections municipales, et pour analyser leur contenu et les éclairages qu'elles offrent sur les tendances nationales et les enjeux locaux.
Kantar et onepoint s'associent pour offrir une vision exhaustive des études électorales consacrées aux élections municipales, et pour analyser leur contenu et les éclairages qu'elles offrent sur les tendances nationales et les enjeux locaux.
Municipales 2020 - Intention de vote à LilleIpsos France
Ipsos/Sopra Steria pour France Info, France Bleu et La Voix du Nord
En savoir + : https://www.ipsos.com/fr-fr/municipales-2020-lille-terrain-favorable-pour-martine-aubry
Kantar et Vox Populi a mené une analyse sémantique des tweets émis dans le cadre des Municipalest, à Paris et dans les 10 plus grandes villes de France.
Municipales 2020 - Intention de vote à NiceIpsos France
A 5 mois des élections municipales, l’enquête Ipsos/Sopra Steria réalisée pour France Info, France Bleu et Nice Matin fait appar aître un contexte largement favorable au Maire sortant, Christian Estrosi, tant en ce qui concerne le rapport de force pré électoral que l’appréciation du bilan de son équipe depuis le précédent scrutin de 2014.
En savoir + : https://www.ipsos.com/fr-fr/municipales-2020-christian-estrosi-en-position-de-favori
Municipales 2020 - Intention de vote à LilleIpsos France
Ipsos/Sopra Steria pour France Info, France Bleu et La Voix du Nord
En savoir + : https://www.ipsos.com/fr-fr/municipales-2020-lille-terrain-favorable-pour-martine-aubry
Kantar et Vox Populi a mené une analyse sémantique des tweets émis dans le cadre des Municipalest, à Paris et dans les 10 plus grandes villes de France.
Municipales 2020 - Intention de vote à NiceIpsos France
A 5 mois des élections municipales, l’enquête Ipsos/Sopra Steria réalisée pour France Info, France Bleu et Nice Matin fait appar aître un contexte largement favorable au Maire sortant, Christian Estrosi, tant en ce qui concerne le rapport de force pré électoral que l’appréciation du bilan de son équipe depuis le précédent scrutin de 2014.
En savoir + : https://www.ipsos.com/fr-fr/municipales-2020-christian-estrosi-en-position-de-favori
Kantar et onepoint s'associent pour offrir une vision exhaustive des études électorales consacrées aux élections municipales, et pour analyser leur contenu et les éclairages qu'elles offrent sur les tendances nationales et les enjeux locaux.
Européennes : alerte rouge sur la macronie, selon Odoxa-MascaretJihel1
Avis de tempête sur le camp présidentiel : le dernier baromètre Odoxa-Mascaret pour La Voix du Nord témoigne d’un net recul de Renaissance aux européennes tandis que le RN conforte son avance. La cote de popularité du couple exécutif Macron-Borne est en repli également.
Municipales 2020 - Le climat politique à MarseilleIpsos France
Ipsos/Sopra Steria pour France Info, France Bleu et La Provence
En savoir + : https://www.ipsos.com/fr-fr/municipales-2020-marseille-un-contexte-electoral-largement-ouvert
Gabriel Attal, grand gagnant de la rentrée, selon Odoxa-MascaretJihel1
Si Édouard Philippe reste le « chouchou » des Français, le nouveau ministre de l’Education nationale Gabriel Attal a réussi une rentrée parfaite en se hissant à la deuxième place du baromètre politique Odoxa-Mascaret pour « La Voix du Nord » en ce mois de septembre. Un nouveau concurrent pour 2027?
Les préférences des Français pour la Présidence de l'UMP et la primaire à DroiteLCP Assemblée nationale
> Présidence de l’UMP : Alain JUPPE devance Nicolas SARKOZY
> Primaire à Droite : Nicolas SARKOZY a la préférence des sympathisants de Droite (à 32 %), mais l’ensemble des Français privilégient Alain JUPPE (à 21 %)
La dernière vague du baromètre Kantar-onepoint pour le Figaro Magazine, réalisée du 24 au 28 septembre 2020, intervient au lendemain de l’annonce de nouvelles mesures de restrictions de la part du Gouvernement suite à l’aggravation de la situation épidémique de la Covid 19.
Réalisée du 27 au 31 août 2020, cette vague de rentrée du baromètre Kantar-onepoint pour le Figaro Magazine est la première pour le nouveau Premier ministre, Jean Castex, après sa nomination le 3 juillet 2020 en remplacement d’Edouard Philippe. Un mois de septembre qui s’annonce à haut risque sur le plan aussi bien social, économique que sanitaire.
Réalisée du 25 juin au 29 juin 2020, la première vague post-confinement du baromètre Kantar-onepoint pour le Figaro Magazine révèle une nette augmentation de la confiance accordée par les Français au président de la République et au Premier ministre en 4 mois. Alors que la précédente édition, réalisée en face-à-face, avait eu lieu deux semaines avant le premier tour des élections municipales, celle-ci intervient à l’issue de cet exceptionnel et très long entre-deux-tours. Si le parti présidentiel ressort largement défait de ce scrutin, qui a vu une poussée écologiste dans les grandes villes et un certain maintien de l’ancrage local du PS et de LR, notre enquête montre que l’exécutif – et en particulier le Premier ministre – bénéficie aujourd’hui d’une plus grande confiance auprès de la population qu’avant le déclenchement de la crise du Covid-19.
Approbation des gouvernements face au Covid-19. Le Royaume-Uni quitte le club des bons élèves (Allemagne, Canada, Italie) et rejoint le groupe des pays où la population est sceptique, voire critique (France, USA, Japon).
Notre étude, réalisée pour la CFDT, recueille la perception des Français sur l'impact de la crise sur leur situation professionnelle et leur vison de l'avenir.
Quoique relativement épargnés par rapport aux Italiens et Américains, 31% des Français constatent un impact de la crise sur leurs revenus personnels. Pour autant, comme les autres citoyens des pays du G7, ils privilégient la santé sur l’économie et ne s’attendent pas à un retour rapide à la normale.
Kantar, leader mondial des études et du conseil, publie les résultats d’une vaste étude sur l’impact du coronavirus, menée dans l’ensemble des pays du G7 (Canada, France, Allemagne, Japon, Italie, Grande-Bretagne, États-Unis).
Intentions de vote pour les élections européennes de 2024 - 7 juin 2024Ipsos France
A 48h du scrutin, Ipsos prend une dernière fois pour Le Monde le pouls de l'électorat avant le vote du 9 juin.
En savoir plus : https://www.ipsos.com/fr-fr/europeennes-2024-hayer-et-glucksmann-au-coude-coude-deux-jours-du-scrutin
Européennes 2024 : Intentions de vote - Mai 2024Ipsos France
Selon le sondage Ipsos réalisé du 5 au 6 juin pour Le Parisien et Radio France, la liste du Rassemblement National menée par Jordan Bardella rassemblerait 32% des intentions de vote, devant la liste Renaissance, LREM, Modem, Horizons et UDI de Valérie Hayer à 15,5% et la liste PS-Place Publique de Raphaël Glucksmann à 13,5%.
En savoir + : https://www.ipsos.com/fr-fr/europeennes-2024-les-dynamiques-3-jours-du-scrutin
Européennes 2024 : Comprendre le vote des FrançaisIpsos France
La grande enquête réalisée par Ipsos pour ses partenaires de l'audiovisuel public auprès de près de 9000 électeurs détaille les déterminants et les motivations du vote. Dans un climat de forte inquiétude, les enjeux nationaux et le thème de l'immigration ont énormément compté. L'étude nous projette aussi sur l'après-scrutin, avec des Français relativement partagés sur ce qu'il conviendrait de faire. La tentation de "tout changer", par un remaniement ou une dissolution de l'Assemblée, est loin de faire l'unanimité.
En savoir plus : https://www.ipsos.com/fr-fr/europeennes-2024/comprendre-le-vote-des-francais-2024
Européennes. Valérie Hayer et Raphaël Glucksmann au coude-à-coude, selon le d...Jihel1976
Alors que la large victoire aux européennes du RN apparaît certaine, l’incertitude est totale pour la deuxième place, au soir du 9 juin. Le candidat PS-PP n’est plus qu’à un point de la tête de liste de la majorité présidentielle, selon Odoxa qui, pour « La Voix du Nord », augure d’une abstention semblable à celle de 2019.
Européennes 2024 : Enquête électorale - Vague 5 - Mai 2024Ipsos France
Pour mieux comprendre les logiques de la décision électorale et dans la perspective des élections européennes de juin 2024, Ipsos, le Cevipof, La Fondation Jean Jaurès, l'Institut Montaigne et le Monde ont mis en place un dispositif d'enquête exceptionnel basé sur un panel de plus de 10 000 personnes : l'Enquête électorale Européennes.
En savoir plus : https://www.ipsos.com/fr-fr/europeennes-2024-le-rassemblement-national-en-tete-une-semaine-du-vote
Présentation concernant la modification du règlement de zonage visant à permettre les remises de jardins pour certains usages et modification du règlement de zonage visant à permettre des usages dans la zone P-800 dans le secteur de l'île Saint-Bernard.
Européennes 2024 : sociologie des électorats et profil des abstentionnistes
Municipales 2020 : Nice
1. MAIRE SORTANT
(étiquette)
POPULATION
RÉSULTATS À LA
PRÉSIDENTIELLE 2017
(5 premiers candidats)
CANDIDATS DÉCLARÉS
(étiquettes)
ÉLECTIONS
MUNICIPALES
2020 Nice
Contexte et
enjeux
L’ancrage à droite de la ville de Nice est
établi depuis les années 1960 : elle est
la plus grande ville de France à avoir
été dirigé uniquement par la droite
depuis plus de 50 ans. La préfecture
des Alpes-Maritimes se distingue
également des autres grandes villes
françaises par une extrême-droite
particulièrement bien implantée.
Le localisme demeure une variable
importante du jeu politique niçois
longtemps demeuré sous l’emprise de
la dynastie Médecin et de la droite non-
gaulliste. Ce localisme est
généralement assorti de la présence
d’un « homme fort » tel qu’incarné par
Jean et Jacques Médecin (1966-1990),
puis Jacques Peyrat (1995-2008) et
enfin Christian Estrosi (depuis 2008).
On assiste depuis 2014 à un
rééquilibrage du rapport de forces au
sein des droites niçoises. Lors des
municipales de mars 2014, Nice reste
encore dominée par la droite classique :
pour son second mandat Christian
Estrosi y recueille 49% des suffrages
contre 21% pour Marie Christine
Arnautu (FN). Mais un premier
basculement s’opère à partir des
européennes de mai 2014, qui voient le
début d’une montée en puissance de
l’extrême-droite à Nice : la liste du FN
sort en tête du scrutin avec 32 % des
suffrages, devant la liste UMP (27,2 %).
Marine Le Pen, pour le second tour de
l’élection présidentielle de 2017, obtient
à Nice un score de 40% contre 34% au
niveau national. Et si, lors des
législatives de la même année, Jean-
Pierre Daugreilh, candidat RN arrive en
3e position lors du 1er tour (12%), aux
élections européennes de 2019, la liste
« Prenez le pouvoir » soutenue par le
RN arrive en tête dans la ville avec 28%
des voix contre 22% pour la liste de
Nathalie Loiseau (LaREM, Modem et
partenaires).
En manque d’ancrage dans la ville,
LaREM n’a pas encore investi de
candidat à mi-février. Cette retenue
pourrait s’expliquer par les déclarations
de C. Estrosi qui suite à la défaite de la
liste LR lors des dernières législatives,
s’était dit favorable à l’ouverture,
posture qu’il confirme aujourd’hui en
déclarant que sa liste sera une liste de
rassemblement composée non pas
selon l’étiquette politique mais selon la
compétence de ses représentants.
Position critiquée par LR qui s’inquiète
qu’un trop grand nombre de candidats
LaREM présents sur les listes des
candidats LR n’affaiblisse la droite lors
des élections sénatoriales (où seuls les
grands électeurs votent).
ꟷ Christian Estrosi (LR)
ꟷ Philippe Vardon (RN)
ꟷ Benjamin Michaud (UPR)
ꟷ Patrick Allemand (PS)
ꟷ JM Governatori (Alliance
écologiste indépendante et
Europe Écologie - Les Verts )
ꟷ Jean-Marc Chipot (DLF)
ꟷ M. Damiano (lViva ! - FI PCF)
ꟷ B.Kandel (liste droite et
indépendants)
ꟷ F. Fillon (26%)
ꟷ M. Le Pen (25%)
ꟷ E. Macron (21%)
ꟷ J-L.Mélenchon (17%)
ꟷ B. Hamon (4%)
340 017 hab. (2017)
Christian Estrosi (LR)
12 février 2020
2. ÉLECTIONS
MUNICIPALES
2020
Face au maire sortant, plusieurs
candidats se sont déclarés :
Phillipe Vardon (vice-président RN au
conseil régional PACA) sera candidat
pour l’extrême droite. Porté par la
dynamique des dernières européennes
lors desquelles la liste LR n’avait
obtenu que 12%, il devient le principal
opposant au maire sortant. Figure des
mouvements identitaires, il avait été
banni du FN en 2013 puis réintégré lors
des régionales de 2015 par Marion
Maréchal. Elu à la région, avant de
participer à la campagne présidentielle
de Marine Le Pen en 2017, il entre au
bureau national du RN lors du congrès
de 2018, et prend la direction adjointe
de la campagne des européennes en
2019. Déjà candidat en 2008 et 2014
sous la bannière des identitaires niçois,
il avait obtenu 3 et 4%.
Alors qu’en 2014, une liste d’union de
la gauche avait été menée par le
représentant PS Patrick Allemand (pour
un score de 15%), en 2020, la gauche
est marquée par la désunion : hormis la
liste PS toujours conduite par Patrick
Allemand, la liste « Viva ! », menée par
Mireille Damiano, regroupe FI, PCF et
divers gauche et souhaite co-construire
son programme en écoutant les
propositions des Niçois. Enfin la Liste
« Nice écologique » menée par Jean-
Marc Governatori rassemble les partis
Génération Écologie, Cap21, Europe
Écologie Les Verts et l'Alliance
écologiste indépendante (AEI) .
A droite, Debout la France est
représentée par Jean-Marc Chipot,
entrepreneur de 53 ans. Le parti pro-
Frexit UPR (Union populaire
républicaine), présidé par François
Asselineau, est représenté par
Benjamin Michaud. La liste « Droite et
indépendants » est menée par le
colonel (ER) Benoît Kandel qui se
présente contre le maire sortant dont il
a été le premier adjoint pendant cinq
ans de 2008 à 2013.
Notons enfin qu’Eric Ciotti (député LR),
sans se déclarer officiellement, avait
affirmé en octobre 2018 s’engager
dans la préparation des municipales de
2020. Un sondage Elabe réalisé le 27
mars 2019 sur cette hypothèse le
plaçait à quasi égalité avec Christian
Estrosi. Le 14 novembre 2019, Eric
Ciotti annonçait qu’il ne serait
finalement pas candidat et expliquait «
refuser le risque de conflit et de
division » que sa candidature pourrait
entraîner. E. Ciotti avait notamment
accusé C. Estrosi de pratiquer
un double langage » et de solliciter
l'investiture LaREM/Modem en même
temps que celle des Républicains.
LaREM - deux candidats déclarés sans
investiture se sont finalement retirés :
Cédric Roussel (Député de la 3e
circonscription des Alpes-Maritimes)
renonce à se présenter fin janvier et
déclare « nous sommes à trois
semaines de la date du début de dépôt
des listes pour les prochaines élections
municipales, six semaines du premier
tour et mon mouvement ne s’est
toujours pas prononcé sur Nice, 5e ville
de France. Dans le même temps, le
maire sortant clame haut et fort rejeter
le soutien et les valeurs que pourrait lui
apporter notre mouvement, rendant
ainsi impossible toute co-construction
d’un projet commun ». De son côté,
Joëlle Martinaux, ex-adjointe au maire
de Nice qui après avoir demandé
l’investiture LREM avait été démise de
ses délégations puis démissionnée de
son poste d’adjointe, a annoncé le 30
janvier suivre les directives de LaRem
« de ne pas présenter de candidat face
à Christian Estrosi. Et est disponible
pour accompagner le maire sortant sur
les dossiers de la santé et du social ».
Ce que disent
les sondages
4 sondages ont été rendu publics
depuis mars 2019 par Elabe, Ipsos et
Ifop, ce dernier datant de décembre
2019 :
Il montre d’abord que Christian Estrosi
pourrait remporter le scrutin dès le 1er
tour (51% - 49% en cas de non
investiture de Cédric Roussel)
améliorant ainsi son score de 2014.
Le candidat RN Phillipe Vardon
obtiendrait 17% (19% en cas de non
investiture de Cédric Roussel)
confortant les résultats observés lors
des européennes.
La liste écologiste menée par Jean-
Marc Governatori arriverait en 3e
position (13%)
Les listes PS et Viva étant créditées
respectivement de 7% et 6% ne leur
permettant d’accéder à un second tour.
Cédric Roussel, candidat LREM non
investi à mi-janvier, obtiendrait 4% en
cas d’investiture, 2% sinon.
Ces résultats montrent que Christian
Estrosi, aidé par sa promesse de
rassemblement et d’ouverture à la
majorité, mais surtout depuis le
renoncement d’Éric Ciotti, devrait
remporter aisément le scrutin de mars
prochain.
Pourquoi
suivre l’élection
municipale à
Nice ?
ꟷ Parce que le positionnement à venir
de LaREM sera signifiant : si le parti
présidentiel soutient Cédric Roussel,
cela n’aura pas d’effet sur les
équilibres en place ni sur le scrutin
mais ne mécontentera pas ses élus
locaux, au contraire, s’il soutient
Christian Estrosi, il sera associé à
son succès, représenté au sein de
l’équipe municipale conformément à
la promesse du maire et pourra
renforcer, à défaut d’un ancrage, à
tout le moins sa présence dans la
région.
ꟷ Parce que Christian Estrosi pourrait
cependant décider de suivre les
directives LR et ne pas intégrer à sa
liste de candidats LaREM/Modem.
D’ailleurs, ce rapprochement rendu
nécessaire par le risque présenté par
la candidature d’E. Ciotti n’est peut-
être plus d’actualité.
ꟷ Pour confirmer ou infirmer la montée
en puissance à Nice du RN depuis
les européennes de 2019.
Nice
12 février 2020