Souvent longues, complexes voire chronophages, les procédures de surendettement nécessitent de nombreux échanges notamment entre les commissions de la Banque de France et les back-offices de recouvrement des banques. L’automatisation du traitement constitue aujourd’hui une question centrale pour atteindre les objectifs de réduction des coûts, de délais et de préservation de l’image des entreprises.