Pétition pour exiger l'abrogation de la niche fiscale qui permet aux journalistes de déduire, sans aucun contrôle, 7650 euros de leur revenu imposable.
L'Union des villes et communes wallonnes réunit ce jeudi matin son assemblée générale annuelle. Au centre des préoccupations des municipalistes: les finances des pouvoirs locaux soumises à des tensions négatives très fortes qui ne sont pas toujours à mettre à charge des élus de proximité.
L'Union des villes et communes wallonnes réunit ce jeudi matin son assemblée générale annuelle. Au centre des préoccupations des municipalistes: les finances des pouvoirs locaux soumises à des tensions négatives très fortes qui ne sont pas toujours à mettre à charge des élus de proximité.
Dites non au droit de vote des étrangersOlivier Vial
Le 6 mai, dites non au droit de vote des étrangers.
Voter Hollande, voter blanc ou s'abstenir le 6 mai, c'est donner mandat à la gauche pour donner le droit de vote aux étrangers.
http://www.uni.asso.fr/spip.php?article10465
Non à la suppression du quotient familialOlivier Vial
Pétition contre la suppression ou la modulation du quotient famillial, dont serait victime toute les familles avec au moins un enfant et dont chaque parent gagne plus de 1600 euros.
Le 29 juillet prochain, les Français commenceront enfin à travailler pour eux-mêmes !
Les Français auront travaillé 209 jours en moyenne pour financer les dépenses de l’Etat, de la Sécurité sociale et des collectivités territoriales.
Ce n’est qu’à partir du 29 juillet 2013, Jour de libération des contribuables, qu’ils pourront profiter librement de leurs revenus.
Depuis 1999, Contribuables Associés calcule cette date à partir des dernières données économiques publiées par l’OCDE, qui montre le poids de la dépense publique totale par rapport au PIB.
Cette année, la dépense publique représente 57,1% de la richesse créée par les Français. Ce pourcentage équivaut à 209 jours de travail.
Depuis 1999 jamais le Jour de libération des contribuables n’est arrivé aussi tard dans l’année. En 14 ans, cette date symbolique est passée du 17 au 29 juillet.
Les contribuables français sont parmi les plus mal lotis dans l’OCDE, puisque la France est au 2e rang des Etats les plus dépensiers. Depuis 2009, seul le Danemark reste plus dépensier que la France, ses contribuables n’étant libérés que le 2 août. Même la Grèce fait mieux que la France.
Diminuant le pouvoir d’achat des Français, pesant sur la productivité des entreprises, la dépense publique contribue à détruire des milliers d’emplois. Contribuables Associés estime que le Jour de libération des contribuables devrait impérativement être avancé au mois de juin, ce qui passe obligatoirement par une réduction des dépenses publiques.
Chômage des députés: 2 poids, 2 mesures
des mesures de faveur "auto-votées" par la Droite-Gauche unies pour maintenir leurs privilèges à l'heure où les Français se serrent la ceinture...
Les Députés - Sénateurs repus qui peinent à voter une Loi sur le non-cumul des mandats
Chaque député Français coûte 978 000 euros par an aux contribuables
La démocratie a un prix : Les 577 députés qui vont être élus les 10 et 17 juin disposeront d'un budget annuel de 564 millions d'euros pour exercer leur mandat. Soit 978 000 euros par député à l’Assemblée nationale en 2012
Sur le budget de l'Assemblée, les indemnités des députés proprement dites ne représentent que 50 millions d'euros auxquels il convient cependant d'ajouter 61 millions pour leurs charges sociales payées par l'Etat. A cela s'ajoutent 45 millions de frais de mandat accordés à chaque député, soit plus de 6000 euros par mois.
L'Assemblée rembourse également sept millions par an à l'ensemble des élus pour leurs frais de voyage. Elle prend aussi en charge 3,3 millions de dépenses téléphoniques engagées par les parlementaires.
Les frais de secrétariat des députés (qui peuvent recruter quatre collaborateurs) atteignent 106 millions d'euros plus 10 millions pour les frais supportés par les groupes parlementaires.
1351 agents au Palais Bourbon
Pour les épauler dans leur mission, les députés peuvent compter sur les 1351 fonctionnaires du Palais Bourbon, soit 2,3 agents pour un député (hors assistants).
Leurs rémunérations et charges sociales s'élèvent à 170 millions d'euros, dont 49 millions pour les primes liées aux "travaux supplémentaires", essentiellement les séances de nuit.
Dites non au droit de vote des étrangersOlivier Vial
Le 6 mai, dites non au droit de vote des étrangers.
Voter Hollande, voter blanc ou s'abstenir le 6 mai, c'est donner mandat à la gauche pour donner le droit de vote aux étrangers.
http://www.uni.asso.fr/spip.php?article10465
Non à la suppression du quotient familialOlivier Vial
Pétition contre la suppression ou la modulation du quotient famillial, dont serait victime toute les familles avec au moins un enfant et dont chaque parent gagne plus de 1600 euros.
Le 29 juillet prochain, les Français commenceront enfin à travailler pour eux-mêmes !
Les Français auront travaillé 209 jours en moyenne pour financer les dépenses de l’Etat, de la Sécurité sociale et des collectivités territoriales.
Ce n’est qu’à partir du 29 juillet 2013, Jour de libération des contribuables, qu’ils pourront profiter librement de leurs revenus.
Depuis 1999, Contribuables Associés calcule cette date à partir des dernières données économiques publiées par l’OCDE, qui montre le poids de la dépense publique totale par rapport au PIB.
Cette année, la dépense publique représente 57,1% de la richesse créée par les Français. Ce pourcentage équivaut à 209 jours de travail.
Depuis 1999 jamais le Jour de libération des contribuables n’est arrivé aussi tard dans l’année. En 14 ans, cette date symbolique est passée du 17 au 29 juillet.
Les contribuables français sont parmi les plus mal lotis dans l’OCDE, puisque la France est au 2e rang des Etats les plus dépensiers. Depuis 2009, seul le Danemark reste plus dépensier que la France, ses contribuables n’étant libérés que le 2 août. Même la Grèce fait mieux que la France.
Diminuant le pouvoir d’achat des Français, pesant sur la productivité des entreprises, la dépense publique contribue à détruire des milliers d’emplois. Contribuables Associés estime que le Jour de libération des contribuables devrait impérativement être avancé au mois de juin, ce qui passe obligatoirement par une réduction des dépenses publiques.
Chômage des députés: 2 poids, 2 mesures
des mesures de faveur "auto-votées" par la Droite-Gauche unies pour maintenir leurs privilèges à l'heure où les Français se serrent la ceinture...
Les Députés - Sénateurs repus qui peinent à voter une Loi sur le non-cumul des mandats
Chaque député Français coûte 978 000 euros par an aux contribuables
La démocratie a un prix : Les 577 députés qui vont être élus les 10 et 17 juin disposeront d'un budget annuel de 564 millions d'euros pour exercer leur mandat. Soit 978 000 euros par député à l’Assemblée nationale en 2012
Sur le budget de l'Assemblée, les indemnités des députés proprement dites ne représentent que 50 millions d'euros auxquels il convient cependant d'ajouter 61 millions pour leurs charges sociales payées par l'Etat. A cela s'ajoutent 45 millions de frais de mandat accordés à chaque député, soit plus de 6000 euros par mois.
L'Assemblée rembourse également sept millions par an à l'ensemble des élus pour leurs frais de voyage. Elle prend aussi en charge 3,3 millions de dépenses téléphoniques engagées par les parlementaires.
Les frais de secrétariat des députés (qui peuvent recruter quatre collaborateurs) atteignent 106 millions d'euros plus 10 millions pour les frais supportés par les groupes parlementaires.
1351 agents au Palais Bourbon
Pour les épauler dans leur mission, les députés peuvent compter sur les 1351 fonctionnaires du Palais Bourbon, soit 2,3 agents pour un député (hors assistants).
Leurs rémunérations et charges sociales s'élèvent à 170 millions d'euros, dont 49 millions pour les primes liées aux "travaux supplémentaires", essentiellement les séances de nuit.
Le père hollande est une ordure BD de NoëlOlivier Vial
Le père Hollande est une ordure, il distribue des cadeaux qu'il fera payé aux contribuables et aux générations futures.
Cette BD de Noël vous est offerte par les superzéros. htpp://.www.lessuperzeros.fr
Echec scolaire et immigration, la vérité des chiffresOlivier Vial
Une tribune d'Olivier Vial, directeur du CERU, suite à la polémique autour des propos de Claude Guéant sur l'échec scolaire des enfants issus de l'immigration.
Suppression des notes à l'école est un échecOlivier Vial
La suppression des notes à l'école est un échec. Après avoir expérimenté cette idée, plusieurs pays sont en train de revenir à une évaluation à base de notes.
1. METTons fin Aux
PRIVILEGES FISCAUX
DES JOURNALISTES
Tous les Français sont censés être "égaux" devant l’impôt. L’article 13 de
la Déclaration universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen rappelle que
les impôts « doivent être également répartis entre tous les citoyens en
raison de leurs facultés ». Voilà, le principe inscrit dans notre
constitution, mais en réalité, certains bénéficient de passe-droits très
avantageux, c’est le cas des journalistes. Ces derniers bénéficient encore
aujourd’hui d’une "niche fiscale" créée en 1934.
une déduction d’impôt corporatiste coûteuse pour les contribuables !
Inscrite à l’article 81 du code général des impôts, cette disposition
permet aux journalistes de déduire directement 7 650 euros de leur revenu
imposable pour « les frais inhérents à leur fonction ». Peu importe que
l’activité de journaliste soit exercée à temps plein ou à temps partiel ! Peu
importe que le journaliste soit détenteur d’une carte de presse ou non !
Concrètement, un journaliste gagnant 3 000 euros par mois verra, grâce à ce
dispositif, le montant de ses impôts être divisé par près de deux. Il ne
paiera que 2 125 € d’impôts par an, alors qu’un autre contribuable avec les
mêmes revenus que lui sera imposé à hauteur de 4 153 euros. Le manque à
gagner pour l’Etat est, dans cet exemple, de 2 028 € par journaliste.
un privilège qui n’a plus de justifications !
A l’origine, cette mesure se justifiait en raison de l’impossibilité pour
la plupart des journaux français d’après guerre de disposer des ressources
financières suffisantes pour rembourser l’intégralité des frais
professionnels. Dans ce contexte, l’Etat a accepté d’assumer ces
défraiements.
Cependant, depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, les conditions
salariales des journalistes ont évolué. Désormais, les frais professionnels
de la plupart d’entre-eux sont pris en charge par leurs journaux. Les
journalistes peuvent donc cumuler les remboursements effectués par leur
entreprise et celui de l’Etat !
une garantie anti-contrôle fiscal
Ce double remboursement est d’autant plus scandaleux que l’article 81 du Code
général des impôts précise que les frais professionnels des journalistes « sont
Association loi 1901 - 34 rue Emile Landrin - 92100 Boulogne-Billancourt - Tél. : 01 78 16 40 30 - www.uni.asso.fr
2. toujours réputés utilisés conformément à leur objet et ne peuvent donner lieu à
aucune vérification de la part de l’administration ». Cela veut donc dire que
les défraiements de journalistes ne peuvent faire l’objet d’aucun contrôle
fiscal !
Et les journalistes en veulent plus : - 40 % d’impôts pour usage de mascara !
Dernièrement, les journalistes de l’audiovisuel ont réclamé le droit à un
abattement fiscal de 40 % de leur revenu, dont 10% au titre du remboursement des
« frais esthétique ». Pour reprendre notre exemple d’un journaliste gagnant 3
000 euros par mois, si cette mesure était appliquée, il ne paierait plus que 1
180 euros d’impôts soit 2 973 euros de moins qu’un autre contribuable disposant
des mêmes revenus...
Les stars du JT apprécieront cette attention. Les mieux payés de nos « stars du
petit écran » profiteront d’un cadeau fiscal pouvant atteindre 80 000 euros.
Durant la campagne présidentielle, François Hollande a reçu des représentants
syndicaux de journalistes et n’a écarté aucune de leurs revendications. Cela
explique sans doute la bienveillance d’une grande partie des médias vis-à-vis de
sa campagne.
Alors que le nouveau gouvernement s’apprête à élaborer une loi de finance
rectificative prévoyant des augmentations d’impôts et la suppression de
nombreuses "niches fiscales" dont certaines bénéficient aux familles, nous
exigeons de Pierre Moscovici, le nouveau ministre de l’économie, des finances et
du commerce extérieur qu’il mette fin à ces privilèges exorbitants qui
bénéficent aux seuls journalistes.
Si vous pensez donc qu’en période de crise il est anormal que les membres d’une
corporation donneuse de leçons en matière de solidarité bénéficient d’une niche
fiscale aussi avantageuse, signez cette pétition pour exiger sa suppression.
siGnEZ LA PETiTion
À remplir et à renvoyer à l’UNI, 34 rue Emile Landrin - 92100 Boulogne Billancourt. Merci !
Madame Mademoiselle Monsieur
Nom : Prénom :
Adresse :
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Téléphone : Email :
oui, je souhaite : Signer la pétition de l’UNI « Mettons fin aux privilèges fiscaux des journalistes »
Soutenir l’action de l’UNI en faisant un don de :
15 € 30 € 50 € 100 € Autre :
Merci de libeller votre chèque à l’ordre de l’UNI. Un reçu fiscal vous sera adressé dès réception de votre don et vous permettra
d’obtenir une réduction d’impôt de 66 % du montant de votre don.
Date : Signature :
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