Les grandes idées sur la protection de l’environnement tels qu’elles ressortent de la COP21 Paris à la lumière de l'encyclique du Pape François « Laudato Si »
La résistance française à l'écologie - L'écologie peut-elle transformer posit...lafabriqueecolo
La nouvelle publication de La Fabrique Ecologique, La résistance française à l'écologie - L'écologie peut-elle transformer positivement le modèle français ?, est désormais disponible en ligne.
"Des solutions pour ma planète" le Livre Blanc de France Info et 1000 collégiensfranceinfo
"Des solutions pour ma planète" est le fruit du travail et de l’enthousiasme des élèves et des équipes pédagogiques de 35 établissements scolaires engagés dans un projet commun pour inventer les solutions de demain et lutter contre le réchauffement climatique.
Les grandes idées sur la protection de l’environnement tels qu’elles ressortent de la COP21 Paris à la lumière de l'encyclique du Pape François « Laudato Si »
La résistance française à l'écologie - L'écologie peut-elle transformer posit...lafabriqueecolo
La nouvelle publication de La Fabrique Ecologique, La résistance française à l'écologie - L'écologie peut-elle transformer positivement le modèle français ?, est désormais disponible en ligne.
"Des solutions pour ma planète" le Livre Blanc de France Info et 1000 collégiensfranceinfo
"Des solutions pour ma planète" est le fruit du travail et de l’enthousiasme des élèves et des équipes pédagogiques de 35 établissements scolaires engagés dans un projet commun pour inventer les solutions de demain et lutter contre le réchauffement climatique.
Il a été préparé par un groupe de travail animé par Jean-Marie Brom, physicien au CNRS, et Anne Henry, ingénieure de recherche chez EDF.
Il a été rendu public à l'occasion de la journée de l'écologie de la France insoumise organisée le samedi 25 février 2017.
Cours Public 5 et 6: LA QUATRIÈME VOIE : LES POLITIQUES DE LA TERRE FACE À L'...EcoleUrbaineLyon
Nous prenons conscience de l’avènement d’un nouvel âge de la Terre. La croissance continue dont dépend la pérennité politique du système socio-économique mondial bouleverse, par un jeu complexe et non linéaire de rétroactions, les conditions physiques, chimiques et biologiques des écosystèmes qui régulent la biosphère depuis des millénaires, au point de compromettre son habitabilité pour les générations futures, en affectant irréversiblement l’évolution des espèces et la dynamique géologique de la planète.
Ce vertigineux changement d’échelle, qui explicite les liens de co-viabilité entre les organisations sociales et leurs contextes écologiques, produit des effets de convergence inouïs qui effacent la séparation établie par la modernité entre l’histoire humaine et l’ordre de la nature. Malgré le péril existentiel sans précédent auquel nous expose la poursuite du modèle de développement dominant, l’examen critique du paradigme sécuritaire inhérent aux scénarios dits "globaux" (Global Scenario Group, SRES, MEA…) montre pourtant une incapacité structurelle à imaginer une recomposition symbiotique des interactions entre les humains et les autres vivants. Or nous savons désormais que la biosphère est à la fois la condition et le produit de toutes les formes de vie qui la constituent. C’est pourquoi ni l’appropriation ordolibérale du globe, ni le gouvernement technoscientifique de la planète, ni le projet cosmopolitique d’édification du monde ne suffiront pour répondre aux défis de l’Anthropocène. Nous proposons, dans ce cours, d’explorer concrètement la possibilité d’une « quatrième voie », celle des politiques de la Terre.
En savoir plus sur la neutralité en termes de dégradation des terres (LDN/NDT)Fatoumata Chérif
A l’heure actuelle, le coût de la dégradation des terres atteint les 490 milliards USD chaque année, dépassant de loin celui de la prévention. Bien qu’étant un risque généralisé, quelques 40 % des terres dégradées de la planète se situent dans les régions où l’incidence de la pauvreté est la plus forte. La dégradation des terres a un impact direct sur la santé et les moyens de subsistance d’environ 1,5 milliard de personnes.
.
Land degradationneutrality fr_web
UNCCD
"Le climat, ma planète... et moi !" est un projet d'éducation au développement durable, destiné à sensibiliser enseignants, enfants et parents à une des principales menaces écologiques, sanitaires et sociales du XXIe siècle : le changement climatique.
http://www.leclimatmaplaneteetmoi.fr
La désertification est la dégradation persistante d’écosystèmes des zones sèches.
Elle menace les moyens d’existence de populations parmi les plus pauvres et les plus vulnérables de la planète. La désertification est en grande partie le résultat d’une utilisation non durable de ressources rares.
Quelles options existe-t-il pour éviter ou inverser le processus de désertification et ses impacts négatifs ?
L'Insoutenabilité de notre modèle de développementAlain Ducass
Synthèse du MOOC de l'AFD + ENS sur la transition énergétique des pays du Sud. Semaine 1 : L’insoutenabilité écologique de notre modèle de développement
Les forêts recouvrent un tiers des terres de notre planète.
Elles fournissent des matières premières, contribuent à maintenir la biodiversité, à protéger les terres et les ressources d’eau, et à atténuer le changement climatique.
Les forêts sont fortement exploitées, mais d’importants efforts sont consentis pour les exploiter et les gérer de manière plus durable.
Quel est l’état présent des forêts du monde ?
Le bien-être humain dépend fortement des écosystèmes et des bienfaits qu'ils fournissent, tels que les aliments et l'eau potable. Or, au cours des 50 dernières années, l'Homme a eu un impact considérable sur son environnement.
Afin de mieux comprendre les conséquences des modifications actuelles des écosystèmes et d'évaluer des scénarios pour le futur, le secrétaire général de l'ONU Kofi Annan a lancé une étude scientifique exhaustive, L'Evaluation des écosystèmes pour le Millénaire.
Quelles actions pourrait-on prendre pour limiter les conséquences néfastes de la dégradation des écosystèmes?
Pour en savoir plus sur la non-violence et sur la résolution non-violente de conflits, sur les « chercheurs d’humanité » (non-violence, alternatives économiques, écologie, changement sociétal, spiritualité) : www.irnc.org, rubrique « Diaporamas »
Pourquoi le concept d'altercroissance ?
Historique de la décroissance et de l'altercroissance
Le développement durable, c’est réussir à concilier les activités des entreprises tout en préservant l’environnement. De nombreux pays se sont engagés dans cette voie, avec des objectifs concrets pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et préserver la planète. Tour d’horizon des principaux engagements, des acteurs et des grandes dates.
Il a été préparé par un groupe de travail animé par Jean-Marie Brom, physicien au CNRS, et Anne Henry, ingénieure de recherche chez EDF.
Il a été rendu public à l'occasion de la journée de l'écologie de la France insoumise organisée le samedi 25 février 2017.
Cours Public 5 et 6: LA QUATRIÈME VOIE : LES POLITIQUES DE LA TERRE FACE À L'...EcoleUrbaineLyon
Nous prenons conscience de l’avènement d’un nouvel âge de la Terre. La croissance continue dont dépend la pérennité politique du système socio-économique mondial bouleverse, par un jeu complexe et non linéaire de rétroactions, les conditions physiques, chimiques et biologiques des écosystèmes qui régulent la biosphère depuis des millénaires, au point de compromettre son habitabilité pour les générations futures, en affectant irréversiblement l’évolution des espèces et la dynamique géologique de la planète.
Ce vertigineux changement d’échelle, qui explicite les liens de co-viabilité entre les organisations sociales et leurs contextes écologiques, produit des effets de convergence inouïs qui effacent la séparation établie par la modernité entre l’histoire humaine et l’ordre de la nature. Malgré le péril existentiel sans précédent auquel nous expose la poursuite du modèle de développement dominant, l’examen critique du paradigme sécuritaire inhérent aux scénarios dits "globaux" (Global Scenario Group, SRES, MEA…) montre pourtant une incapacité structurelle à imaginer une recomposition symbiotique des interactions entre les humains et les autres vivants. Or nous savons désormais que la biosphère est à la fois la condition et le produit de toutes les formes de vie qui la constituent. C’est pourquoi ni l’appropriation ordolibérale du globe, ni le gouvernement technoscientifique de la planète, ni le projet cosmopolitique d’édification du monde ne suffiront pour répondre aux défis de l’Anthropocène. Nous proposons, dans ce cours, d’explorer concrètement la possibilité d’une « quatrième voie », celle des politiques de la Terre.
En savoir plus sur la neutralité en termes de dégradation des terres (LDN/NDT)Fatoumata Chérif
A l’heure actuelle, le coût de la dégradation des terres atteint les 490 milliards USD chaque année, dépassant de loin celui de la prévention. Bien qu’étant un risque généralisé, quelques 40 % des terres dégradées de la planète se situent dans les régions où l’incidence de la pauvreté est la plus forte. La dégradation des terres a un impact direct sur la santé et les moyens de subsistance d’environ 1,5 milliard de personnes.
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Land degradationneutrality fr_web
UNCCD
"Le climat, ma planète... et moi !" est un projet d'éducation au développement durable, destiné à sensibiliser enseignants, enfants et parents à une des principales menaces écologiques, sanitaires et sociales du XXIe siècle : le changement climatique.
http://www.leclimatmaplaneteetmoi.fr
La désertification est la dégradation persistante d’écosystèmes des zones sèches.
Elle menace les moyens d’existence de populations parmi les plus pauvres et les plus vulnérables de la planète. La désertification est en grande partie le résultat d’une utilisation non durable de ressources rares.
Quelles options existe-t-il pour éviter ou inverser le processus de désertification et ses impacts négatifs ?
L'Insoutenabilité de notre modèle de développementAlain Ducass
Synthèse du MOOC de l'AFD + ENS sur la transition énergétique des pays du Sud. Semaine 1 : L’insoutenabilité écologique de notre modèle de développement
Les forêts recouvrent un tiers des terres de notre planète.
Elles fournissent des matières premières, contribuent à maintenir la biodiversité, à protéger les terres et les ressources d’eau, et à atténuer le changement climatique.
Les forêts sont fortement exploitées, mais d’importants efforts sont consentis pour les exploiter et les gérer de manière plus durable.
Quel est l’état présent des forêts du monde ?
Le bien-être humain dépend fortement des écosystèmes et des bienfaits qu'ils fournissent, tels que les aliments et l'eau potable. Or, au cours des 50 dernières années, l'Homme a eu un impact considérable sur son environnement.
Afin de mieux comprendre les conséquences des modifications actuelles des écosystèmes et d'évaluer des scénarios pour le futur, le secrétaire général de l'ONU Kofi Annan a lancé une étude scientifique exhaustive, L'Evaluation des écosystèmes pour le Millénaire.
Quelles actions pourrait-on prendre pour limiter les conséquences néfastes de la dégradation des écosystèmes?
Pour en savoir plus sur la non-violence et sur la résolution non-violente de conflits, sur les « chercheurs d’humanité » (non-violence, alternatives économiques, écologie, changement sociétal, spiritualité) : www.irnc.org, rubrique « Diaporamas »
Pourquoi le concept d'altercroissance ?
Historique de la décroissance et de l'altercroissance
Le développement durable, c’est réussir à concilier les activités des entreprises tout en préservant l’environnement. De nombreux pays se sont engagés dans cette voie, avec des objectifs concrets pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et préserver la planète. Tour d’horizon des principaux engagements, des acteurs et des grandes dates.
Sous la direction d’Alain Coulombel, chargé du projet, et de Marie Toussaint, déléguée à l’Europe, Bien vivre est le résultat d’une réflexion collective issue des commissions thématiques d’Europe Écologie-Les Verts, menée sur plusieurs mois, et des propositions d’une plateforme participative ouverte à la société civile et qui a rassemblé plusieurs centaines de contributions. Il actualise le projet écologiste à l’aune des évolutions de l’environnement politique et économique de ces dernières années, tout en mettant l’accent sur les dimensions européennes et internationales.
Une introduction à la redirection écologique - Bastien MarchandBastien Marchand
Une introduction à le redirection écologique : tentative de définition de l'Anthropocène, critiques de la transition écologique, explications de la redirection écologique (apprendre à hériter, à se détacher de la technosphère, à renoncer et à fermer des entités) et sources pour aller plus loin.
Reporters d’Espoirs, ONG de journalistes, s intéresse au traitement médiatique du climat et porte l’initiative MédiasClimat qui recouvre la présente étude ainsi qu'un guide interactif à destination des journalistes souhaitant bénéficier de bonnes pratiques partagées par leurs pairs , recommandations, cas d’études pour traiter de ces questions.
Reporters d’Espoirs, ONG reconnue d'intérêt général, s'intéresse au traitement médiatique du climat et présente l'étude MédiasClimat ainsi qu'un guide interactif à destination des journalistes et des citoyens souhaitant bénéficier de bonnes pratiques, recommandations, cas d’études pour traiter de ces questions.
KIT DE SURVIE GRATUIT POUR ANTICIPER L’EMERGENCE D’UN NOUVEAU MONDERené Duringer
KIT DE SURVIE GRATUIT POUR ANTICIPER L’EMERGENCE D’UN NOUVEAU MONDE
Les meilleurs ouvrages actuels pour décrypter les mutations actuels, tenter d'identifier un fil rouge dans les soubresauts chaotiques pour contribuer à un monde meilleur !!!
Le CESE a souhaité s'ouvrir vers l'extérieur et sensibiliser les jeunes générations aux problèmes liés au réchauffement climatique en abordant la situation sous l'angle du Conseil économique, social et environnemental.
Dans cette perspective, 3 classes ont été approchées et invitées à participer à un travail de réflexion sur cette lutte contre le réchauffement climatique.
Découvrez le travail de la classe de CM/CM de l'école Notre Dame à Landéan
1. le climat parlons-en!!
Du 22 au 26 mars 2010
Remise en cause de la légitimité du GIEC, interrogations répétées sur
l’origine humaine du changement climatique voire sur sa réalité tout
simplement, depuis quelques semaines, la question climatique échauffe
le débat public. L’échec de la conférence de Copenhague semble avoir
ouvert une ère de doutes et de soupçons remettant progressivement en
cause ce qui semblait être acquis : la nécessité d’agir.
Face à cette situation, deux options s’offraient pour le monde associatif.
La première était le déni de cette nouvelle réalité et la tentation de faire
comme si de rien n’était. La seconde était d’ouvrir le débat en acceptant
sereinement la confrontation de points de vue pour essayer de convaincre
celles et ceux qui restent dubitatifs. C’est le pari qu’ont décidé de faire
la Fondation GoodPlanet, la Fondation Nicolas Hulot, le Réseau
Action Climat, la Société Météorologique de France (SMF) et le
WWF en organisant la climateweek, la semaine de débat sur le climat.
Cette première édition a l’honneur d’avoir comme parrain Jean Jouzel,
président de la SMF, médaille d’or du CNRS et vice-président du Groupe 1
du GIEC.
« Le climat, parlons-en »
• Comment ?
En organisant, du 22 au 26 mars, une semaine de débat sur le climat
appelée Climateweek.
• La climateweek, c’est quoi ?
C’est un temps d’échange et de réflexion, initiative open source ouvert à
tous pour débattre de la question climatique.
• Avec qui ?
Avec tous les experts du climat (scientifiques et bloggeurs) qui souhaitent
prendre la parole pour débattre de façon percutante de la question
climatique.
2. Programme
22 au 26 mars : Organisation d’une suite de 5 débats thématiques
opposant deux intervenants (pro/contre) chaque soir devant une dizaine de
bloggeurs et journalistes spécialisés dans les questions environnementales.
Le débat sera diffusé en live et visionnable sur :
www.earthhour.fr et www.planete-attitude.fr
Lieu :
« LA CANTINE »
151 passage Montmartre, Passage des Panoramas
12, galerie Montmartre, 75002 Paris
Horaire : de 19h à 21h
Thèmes des débats :
22/03 : La biodiversité, notre assurance-vie face au changement climatique ?
23/03 : La région est-elle la solution au post-Kyoto ?
24/03 : Robin des Bois va-t-il sauver le climat ? La taxe pour les transac-
tions financières est-elle la solution pour la solidarité Nord/Sud ?
25/03 : Gouvernance démocratique, débat public et climat : comment la
société civile peut-elle s’engager ?
26/03 : Le changement climatique est-il une arnaque ? Quand les scepti-
ques échauffent le débat scientifique
3. Intervenants
(en attente de confirmation)
22/03 : La biodiversité : notre assurance-vie face au changement
climatique ?
Patrice Halimi est chirurgien-pédiatre à Aix-en-Provence.
Secrétaire Général de l’Association Santé Environnement
France, il est très fortement engagé pour le maintien d’un
environnement sain, gage d’une santé durable. Dans cet
objectif, il a récemment co-initié le «Pacte écologique pour
Aix» qui vise à mettre en place des politiques durables et à
préserver la santé des habitants de la ville. Dans le cadre du Plan National
Santé Environnement 2, il a également été nommé Vice-Président du
groupe de suivi dédié aux inégalités environnementales.»
Philippe Dubois est ornithologue scientifique et ingénieur
écologue à la Ligue Pour La Protection des Oiseaux. Il est
l’auteur de plusieurs ouvrages sur la nature et éditeur.
23/03 : la région est-elle la solution au post-Kyoto ?
Julien Berthier est membre du Réseau Action Climat-France
et spécialisé sur les questions « climat-énergie et collectivités
territoriales », il est l’auteur du Kit d’information sur les Plans
Climat-Energie Territoriaux intitulé : « Comment réduire les
émissions de gaz à effet de serre au niveau local et adapter les
territoires aux effets des changements climatiques ? » paru en
2008. Il est aujourd’hui ingénieur « énergie » au Conseil régional
Ile-de-France.
4. Ronan Dantec est le représentant des réseaux des autorités
locales au niveau international. Il s’efforce de faire reconnaître
la place déterminante que jouent et veulent jouer les autorités
locales dans la lutte contre le changement climatique. Il est
Adjoint au Maire de Nantes et Vice Président de Nantes
Métropole.
24/03 : Robin des Bois va-t-il sauver le climat ?
La taxe pour les transactions financières est-elle la solution pour la
solidarité Nord/Sud ?
François Gemenne est chercheur à l’Institut du
développement durable et des relations internationales (Iddri),
et il enseigne également la géopolitique du changement
climatique et la gouvernance internationale des migrations à
Sciences Po Paris.
Thomas Coutrot est un économiste et un statisticien français.
Militantaltermondialiste, il est co-président de l’association
Attac depuis décembre 2009 et membre de son conseil
scientifique.
25/03 : Gouvernance démocratique, débat public et climat :
comment la société civile peut-elle s’engager ?
Karine Gavand est chargée de campagne Energie-Climat
Greenpeace France. Cette militante écologiste est également
porte-parole des enjeux et négociations climatiques de
l’organisation non gouvernementale.
Emmanuel Guerrin a rejoint l’Iddri en septembre 2007. Au sein
de l’équipe climat, il suit certaines des questions stratégiques
en vue d’un nouveau régime climatique pour la période post-
2012, notamment celles relatives à l’investissement et à
l’architecture financière, au développement et à la diffusion
des technologies, et aux approches et accords sectoriels.
Il est à présent coordinateur du programme Climat de l’Iddri.
5. 26/03 : Le changement climatique est-il une arnaque ?
Quand les sceptiques échauffent le débat scientifique
Benoît Rittaud est mathématicien et maître de conférences
à l’université Paris-XIII. Il est l’auteur du livre « le mythe
climatique » paru en 2010 dans lequel il tente de démontrer
que le consensus sur la responsabilité de l’humanité quant au
changement climatique est en train de s’effriter.
Hervé Le Treut est un climatologue français, membre de
l’Académie des sciences. Il est directeur de l’Institut Pierre-
Simon Laplace. Entré à l’École Normale Supérieure (ENS)
en 1976, il entame en 1978 une thèse de doctorat sur la
modélisation des nuages dans le système climatique, qu’il
soutiendra en 1985. Entre temps, il travaille sur la modélisation
des climats du passé avec Michael Ghil.
Pour plus d’information : retrouvez le programme de la climateweek sur
earthhour.fr et sur le groupe facebook climateweek.
Contacts :
climateweek@wwf.fr
Pauline Dame, coordinatrice de la climateweek : +33155258437 / pdame@wwf.fr
Camille Lajus, Responsable relations presse : 01 55 25 84 61 / clajus@wwf.fr
Blanche Martin, Attachée de presse : 01 55 25 84 70 / bmartin@wwf.fr