Lors du France Digitale Day qui marquait le premier anniversaire de l'association, l'Agence Ondine a réalisé le sketch board des conférences. Retrouvez en cartoon Jean-Baptiste Rudelle, Philippe Colombel ou encore Fleur Pellerin !
Biotechnologie imprimante 3 d - imprimer des greffons… une fictionRéseau Pro Santé
Revue "Pharmacien demain" n°26 - ALEE-
Notre société connait une révolution en matière de technologies numériques depuis une cinquantaine d’années. Et si la médecine en profitait également ? Si l’impression 3D commence à faire parler d’elle, son utilisation dans le domaine médical pourrait s’avérer indispensable pour répondre aux besoins, et notamment dans le domaine de la greffe.
L’impression 3D, qu’est-ce que c’est ?
Il s’agit de procédés de fabrication additive ; elle repose sur l’assemblage couche par couche de constituants des tissus biologiques.
Par exemple, en matière d’impression d’organe, il s’agit d’utiliser des techniques basiques d’ingénierie pour proposer des tissus humains. On dépose de l’encre biologique, constituée de cellules humaines, dans une boite de pétri puis on les irradie dans l’ultra-violet pour les stériliser. Si les recherches depuis dix ans ont permis d’améliorer des aspects pratiques comme l’encre à utiliser, la technique pose encore des questions.
Quelle est son utilisation aujourd’hui ?
Actuellement, ce principe est utilisé pour la conception et la fabrication de dispositifs médicaux tels que les prothèses. Celles-ci sont ainsi faites sur mesure, adaptées à chaque patient tant par leur forme que par leur structure (densité…). Des sociétés comme la Coopérative Technologies Dentaires réalisent des prothèses dentaires grâce à cette technologie en moins de 24 heures. Récemment, un patient atteint d’un cancer des os a dû subir une ablation de la moitié de son bassin et une prothèse imprimée lui a permis de pouvoir remarcher avec une canne. Le bilan pour ce patient resté dans l’anonymat reste positif même après un recul de trois ans.
La technologie 3D est également employée afin d’améliorer la précision de l’emplacement des implants dentaires ; sont ainsi créés de véritables guides chirurgicaux.
...
reseauprosante.fr
Programme Med Connect 16 octobre 2018 à Evreux (27)Jan-Cedric Hansen
Premier congrès de médecine connecté organisé par le CH Eure-Seine, le département de l'EURE (27), le Collège Normand de Médecine d'Urgence, la ville d'Evreux et l'agglomération Seine-Normandie
Programme Med Connect du 16 octobre 2018 à Evreux (27)Jan-Cedric Hansen
Premier congrès de médecine connecté organisé par le CH Eure-Seine, le département de l'EURE (27), le Collège Normand de Médecine d'Urgence, la ville d'Evreux et l'agglomération Seine-Normandie - soutenu par StratAdviser
Lors du France Digitale Day qui marquait le premier anniversaire de l'association, l'Agence Ondine a réalisé le sketch board des conférences. Retrouvez en cartoon Jean-Baptiste Rudelle, Philippe Colombel ou encore Fleur Pellerin !
Biotechnologie imprimante 3 d - imprimer des greffons… une fictionRéseau Pro Santé
Revue "Pharmacien demain" n°26 - ALEE-
Notre société connait une révolution en matière de technologies numériques depuis une cinquantaine d’années. Et si la médecine en profitait également ? Si l’impression 3D commence à faire parler d’elle, son utilisation dans le domaine médical pourrait s’avérer indispensable pour répondre aux besoins, et notamment dans le domaine de la greffe.
L’impression 3D, qu’est-ce que c’est ?
Il s’agit de procédés de fabrication additive ; elle repose sur l’assemblage couche par couche de constituants des tissus biologiques.
Par exemple, en matière d’impression d’organe, il s’agit d’utiliser des techniques basiques d’ingénierie pour proposer des tissus humains. On dépose de l’encre biologique, constituée de cellules humaines, dans une boite de pétri puis on les irradie dans l’ultra-violet pour les stériliser. Si les recherches depuis dix ans ont permis d’améliorer des aspects pratiques comme l’encre à utiliser, la technique pose encore des questions.
Quelle est son utilisation aujourd’hui ?
Actuellement, ce principe est utilisé pour la conception et la fabrication de dispositifs médicaux tels que les prothèses. Celles-ci sont ainsi faites sur mesure, adaptées à chaque patient tant par leur forme que par leur structure (densité…). Des sociétés comme la Coopérative Technologies Dentaires réalisent des prothèses dentaires grâce à cette technologie en moins de 24 heures. Récemment, un patient atteint d’un cancer des os a dû subir une ablation de la moitié de son bassin et une prothèse imprimée lui a permis de pouvoir remarcher avec une canne. Le bilan pour ce patient resté dans l’anonymat reste positif même après un recul de trois ans.
La technologie 3D est également employée afin d’améliorer la précision de l’emplacement des implants dentaires ; sont ainsi créés de véritables guides chirurgicaux.
...
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Programme Med Connect 16 octobre 2018 à Evreux (27)Jan-Cedric Hansen
Premier congrès de médecine connecté organisé par le CH Eure-Seine, le département de l'EURE (27), le Collège Normand de Médecine d'Urgence, la ville d'Evreux et l'agglomération Seine-Normandie
Programme Med Connect du 16 octobre 2018 à Evreux (27)Jan-Cedric Hansen
Premier congrès de médecine connecté organisé par le CH Eure-Seine, le département de l'EURE (27), le Collège Normand de Médecine d'Urgence, la ville d'Evreux et l'agglomération Seine-Normandie - soutenu par StratAdviser
TLM n°108 : Entretien avec le Dr Eric Bouchard : E-Santé, le médecin gardien ...TLM
LA 3E ÉDITION DE CYBERMED, FORUM
CONSACRÉ À LA CYBERMÉDECINE, SE
TIENDRA LE 23 SEPTEMBRE PROCHAIN,
COMME CHAQUE ANNÉE À ANTIBES.
TROIS THÈMES PHARES CETTE ANNÉE :
LA ROBOTIQUE, L’INTELLIGENCE
ARTIFICIELLE ET LA RÉALITÉ VIRTUELLE,
AVEC COMME ENTRÉE EN MATIÈRE UNE
MATINÉE CONSACRÉE AUX ENJEUX
ÉTHIQUES DE LA E-SANTÉ. ENTRETIEN
AVEC LE DR ERIC BOUCHARD, PRÉSIDENT
DU COMITÉ D’ORGANISATION
Etat des lieux sur les objets connectés en santé tassy alainAlain Tassy
Après avoir analysé l'impact des technologies numériques, nous évoquons l'environnement réglementaire du marché des objets connectés de santé. Nous exposons ensuite les débats et les conclusion de la première réunion du club Telecom Paristech Santé
Big Data en santé : De la technologie à la thérapie, en passant par la confi...Alain Tassy
Avec la multiplication du nombre de médicaments, l’évolution des méthodes de diagnostic, l’apparition des objets connectés de santé et la médecine participative, le traitement des données devient un élément clef de la médecine. Avec les évolutions technologiques tant en traitement qu’en stockage, le big data ouvre des voies thérapeutiques nouvelles qui vont nécessairement modifier en profondeur la pratique médicale.
Utiliser des algorithmes mathématiques sans pouvoir vérifier explicitement les résultats pose au médecin et au patient un premier problème de confiance. Le partage des données de santé qui sont sensibles, pose des problèmes de sécurité et donc un deuxième problème de confiance. Mettre des règles sur le traitement des données est nécessaire pour établir la confiance. Mais légiférer de façon très restrictive risque de nuire à l’innovation. Imposer un consentement explicite avec obligation de mémoriser ce consentement sur plusieurs années, est un frein au développement du big data car cela tue le business model des industriels. Un consentement a priori, avec liberté de refuser le partage des données pour les personnes qui le souhaitent semble plus adapté au développement de la médecine prédictive et personnalisée.
L’implémentation de l’impression 3d en interne, au sein des hôpitaux, quels...FantsouLalaina
Mémoire de fin d'études
Titre :
L’implémentation de l’impression 3d en interne, au sein des hôpitaux : quels impacts pour la chirurgie maxillo-faciale ?
Dans quelle mesure le service de chirurgie maxillo-faciale de l'hôpital peut se munir d'imprimante 3D pour la planification chirurgicale et la fabrication de dispositifs médicaux ? Que dit la règlementation ? Quels enjeux économiques et organisationnels ?
Résumé :
L’impression 3D est de plus en plus utilisée dans les établissements de santé, elle fait partie intégrante de la pratique quotidienne des chirurgiens maxillo-faciaux. La mise en application de la nouvelle règlementation Européenne (UE) 2017/745 a bouleversé cette pratique, limitant ainsi la production de dispositifs médicaux en interne dans les établissements de santé. L’impression 3D en interne constitue un enjeu règlementaire, économique, et organisationnel majeur pour l’établissement de santé. Cette pratique nécessite dorénavant la mise en place d’une plateforme interne règlementée et performante. Cependant, c’est une démarche complexe, longue et coûteuse. Sur la base des données recueillies en analysant la littérature et en menant des interviews auprès de professionnels dans le secteur médical, le succès d’un projet de mise en place d’une plateforme d’impression 3D hospitalière repose sur le soutien de la direction et la collaboration entre les acteurs pour en faire un projet d’établissement, ainsi que sur l’accompagnement de spécialistes dans la conduite de ce genre de projet.
Abstract :
3D printing is increasingly used in healthcare facilities and is an integral part of the daily practice of maxillofacial surgeons. The implementation of the new European regulation (EU) 2017/745 has changed this practice, thus limiting the production of medical devices in-house in healthcare institutions. In-house 3D printing is a major regulatory, economic, and organizational challenge for healthcare institutions. This practice now requires the implementation of a regulated and efficient internal platform. However, this is a complex, time-consuming and costly process. Based on the data collected by analyzing the literature and conducting interviews with professionals in the medical sector, the success of a project to set up a hospital 3D printing platform depends on the support of management and collaboration between the players to make it an institutional project, as well as on the support of specialists in conducting this type of project.
Imagerie Médical: De la prévention à la thérapieAlain Tassy
Compte rendu de la 3ième réunion thématique du groupe Telecom Paristech Santé.
Point sur les dernières innovations.
Des sytèmes toujours plus nombreux, toujours plus sophistiqués et toujours plus chers.
Le problème des radiations.
De l'Image au Big data
"L’imagerie médicale : De la prévention à la thérapie "Alain Tassy
Compte rendu de la 3ieme réunion thématique du groupe santé.
Point sur les dernières innovations.
Des systèmes toujours plus nombreux, toujours plus sophistiqués et plus chers.
Le problème des radiations.
De l'Image au Big Data
L’ADN et la vocation du congrès AIME c’est l’INNOVATION en médecine et en chirurgie esthétique avec une place centrale accordée à l’anti-âge (médecine régénérative, préventive et prédictive). Il est organisé par des universitaires le Professeur Jean-Paul Meningaud, chef du service de chirurgie plastique et maxillo-faciale CHU Henri Mondor (Créteil) et le Dr. Barbara Hersant, chirurgien plasticien & esthétique CHU Henri Mondor, qui recherchent les niveaux de preuve scientifique les plus élevés et avérés. Après une 1ère édition couronnée de succès, en 2020 le congrès AIME s’est bien tenu du 1er au 5 juillet, mais sous la forme d’un web-congrès.
Sa dimension transversale faisant appel à toutes les spécialités pratiquant des gestes esthétiques (chirurgie plastique, maxillo-faciale, ORL, gynécologie, dermatologie, médecine...) lui confère une place unique en son genre dans le monde des congrès.
L’innovation est aujourd’hui planétaire, voilà pourquoi le congrès AIME est international et en 3 langues, français, anglais et russe. En raison de toutes ces exclusivités, AIME vient enrichir le corpus des connaissances des congrès esthétiques déjà existants.
Compte rendu de la réunion Telecom Paris Santé du 21 novembre 2019Alain Tassy
Quels rôles jouent les technologies numériques dans l’évolution de la médecine du travail ?
Les enjeux de la médecine du travail
La prévention
Les données de santé
Situation internationale
Autres apports des technologies digitales.
Big Data en santé
De la technologie à la thérapie, en passant par la confiance
Cette conférence fait suite à quatre réunions thématiques de Télécom Paristech Santé sur les objets connectés en santé, la sécurité numérique, l’imagerie médicale et la gamification (Pour plus d’information consulter le site de l’association ou Slideshare Telecom-Paristech-Santé). Nous avons donc concentré les débats sur le big data et évité les digressions très naturelles sur les objets connectés qui seront certainement les sources principales des données de santé.
Talk Siliadin " 3D Print Medecine Afrique "LAfricaine
Vendredi 27 décembre 2013 dans la salle de conférence de ESGIS à Bè s'est tenue la première table ronde sur l'impression à trois dimensions (impression 3D) et les applications médicales en Afrique. La conférence est organisée par le WɔɛLab en marge de son gros événement annuel le BootWoeCamp, une rencontre de tous les makers du continent africain. Le WɔɛLab est un espace d'innovation partagée où s'élaborent au quotidien de nouvelles approches de la collaboration productive vertueuse en contexte africain, suivant le cahier des charges : #LowHighTech. Ses prérogatives sont : Centre de Ressources Numériques, incubateur de Technologie."Petite république numérique" au quartier Djidjolé à Lomé, définitivement "Fablab à niveau de rue",... le WɔɛLab est maintenant la "Silicon Villa". C'est aussi un lieu ouvert avec de la technologie, de la logistique mais aussi une philosophie de communauté basée sur des valeurs humaines. L'objectif de la table ronde est de mener une réflexion collégiale sur la technologie de l'impression 3D et ses applications dans le monde médical.
Pour le Dr. Siliadin, médecin Directeur de District sanitaire, l'application de la 3D dans le domaine médical peut s'étendre sur deux (2) aspects : la fabrication de dispositifs médicaux et les enjeux économiques. Selon lui, grâce à une imprimante 3D on peut fabriquer entre autres des objets/outils comme les lames bistouri, des fils de coutures, des seringues, des couronnes dentaires mais aussi des prothèses totales de hanche, des mains robotiques ou encore des plaques chirurgicales. Les enjeux économiques ne sont pas non plus négligeables. Il s'agit de : « l'accessibilité financière avec la production sur place, la réduction du coût de revient des produits ; la réduction de la fracture technologique ; la lutte contre la pauvreté » a précisé le docteur Siliadin.
Les outils digitaux : Facilitateur de la relation médecin-malade : Exemple de...Adam M SELAMNIA
Cette conférence a été donnée le 17 Mars 2014 dans le cadre de la 6ème Journée Nationale de la Section Éducation Thérapeutique de la Société Française de Rhumatologie. Le thème de cette journée était :
"Nouvelles technologies et sciences sociales : quel bénéfice pour l’éducation thérapeutique du patient ?"
Revue " H n°7 " septembre - octobre 2014
Depuis l’arrivée des nouvelles technologies dans le domaine médical, les start-up se multiplient. Le secteur est porteur, mais elles vont devoir s’imposer face aux géants des télécommunications et du numérique.
COPAINS — En septembre 2011, la voiture de Julien Artu heurte un pilier de pont. S’ensuivent cinq mois d’hospitalisation, dont trois d’alitement. Loin de ses proches, le jeune homme se sent seul et il s’ennuie ferme. Regrettant de ne pas pouvoir échanger avec les autres malades, il se met alors à imaginer un réseau social permettant aux personnes hospitalisées de se retrouver autour de leurs centres d’intérêt. L’idée de My Hospi Friends est née. Trois ans plus tard, l’hôpital Foch à Suresnes (92) est le premier à souscrire au service. Il a déboursé 10 000 euros pour une licence valable deux ans. « Nous leur apportons une image de modernité tout en leur permettant d’améliorer le bien-être des patients », explique Julien Artu, qui espère s’implanter dans une quinzaine d’établissements à l’horizon 2015. Les start-up comme la sienne se multiplient dans le domaine de la e-santé, terme qui recouvre deux domaines distincts. D’un côté, les milliers d’applications liées au bien-être, s’adressant au grand public. De l’autre, les dispositifs numériques destinés aux professionnels. Un secteur en pleine croissance, qui représenterait entre 200 et 300 millions d’euros par an en France selon le syndicat professionnel Syntec Numérique.
reseauprosante.fr
Les objets connectés : Gadgets ou technologie indispensable à l’excellence en...Alain Tassy
Synthèse de la conférence organisée par Telecom ParisTech SAnté et Télécom Evolution le 22 juin 2017 .
En 2015, nous avons fait un état des lieux sur les objets connectés de santé et la segmentation entre préventif et curatif. Depuis un an nous réfléchissons aux évolutions de la médecine vers une médecine 4P (Préventive, Participative, Personnalisée et Prédictive), à l’évolution des parcours de santé et aux conséquences que cela aura sur le système de santé.
Après un aperçu sur les évolutions du marché des objets connectés et sur l’appropriation de cette technologie par le corps médical, nous évoquons la nécessité de labélisation et de standardisation.
Les objets connectés ne sont qu’un élément de la médecine numérique de demain. Son évolution va impacter tous les acteurs du système de santé. Parmi eux, les complémentaires santé voient leur métier se modifier profondément et elles deviennent des acteurs du marché des objets connectés de santé.
Enfin nous verrons comment d’autres acteurs, hors du corps médical mais impactant sur la santé, se sont appropriés très tôt ces objets connectés et les ont intégrés dans leurs protocoles dans un objectif d’excellence.
Les tendances 2016 de la eSanté lors des Signaux Numériques 2016.
Les tendances 2016 dans le eTourisme lors des Signaux Numériques 2016.
La conférence annuelle d’AEC vous délivre les résultats d’une année de veille et d’analyse des tendances mondiales du numérique. Les Signaux Numériques permettent ainsi d’anticiper à court et à moyen terme les futurs enjeux technologiques, sociétaux et territoriaux impulsés par le numérique.
TLM n°108 : Entretien avec le Dr Eric Bouchard : E-Santé, le médecin gardien ...TLM
LA 3E ÉDITION DE CYBERMED, FORUM
CONSACRÉ À LA CYBERMÉDECINE, SE
TIENDRA LE 23 SEPTEMBRE PROCHAIN,
COMME CHAQUE ANNÉE À ANTIBES.
TROIS THÈMES PHARES CETTE ANNÉE :
LA ROBOTIQUE, L’INTELLIGENCE
ARTIFICIELLE ET LA RÉALITÉ VIRTUELLE,
AVEC COMME ENTRÉE EN MATIÈRE UNE
MATINÉE CONSACRÉE AUX ENJEUX
ÉTHIQUES DE LA E-SANTÉ. ENTRETIEN
AVEC LE DR ERIC BOUCHARD, PRÉSIDENT
DU COMITÉ D’ORGANISATION
Etat des lieux sur les objets connectés en santé tassy alainAlain Tassy
Après avoir analysé l'impact des technologies numériques, nous évoquons l'environnement réglementaire du marché des objets connectés de santé. Nous exposons ensuite les débats et les conclusion de la première réunion du club Telecom Paristech Santé
Big Data en santé : De la technologie à la thérapie, en passant par la confi...Alain Tassy
Avec la multiplication du nombre de médicaments, l’évolution des méthodes de diagnostic, l’apparition des objets connectés de santé et la médecine participative, le traitement des données devient un élément clef de la médecine. Avec les évolutions technologiques tant en traitement qu’en stockage, le big data ouvre des voies thérapeutiques nouvelles qui vont nécessairement modifier en profondeur la pratique médicale.
Utiliser des algorithmes mathématiques sans pouvoir vérifier explicitement les résultats pose au médecin et au patient un premier problème de confiance. Le partage des données de santé qui sont sensibles, pose des problèmes de sécurité et donc un deuxième problème de confiance. Mettre des règles sur le traitement des données est nécessaire pour établir la confiance. Mais légiférer de façon très restrictive risque de nuire à l’innovation. Imposer un consentement explicite avec obligation de mémoriser ce consentement sur plusieurs années, est un frein au développement du big data car cela tue le business model des industriels. Un consentement a priori, avec liberté de refuser le partage des données pour les personnes qui le souhaitent semble plus adapté au développement de la médecine prédictive et personnalisée.
L’implémentation de l’impression 3d en interne, au sein des hôpitaux, quels...FantsouLalaina
Mémoire de fin d'études
Titre :
L’implémentation de l’impression 3d en interne, au sein des hôpitaux : quels impacts pour la chirurgie maxillo-faciale ?
Dans quelle mesure le service de chirurgie maxillo-faciale de l'hôpital peut se munir d'imprimante 3D pour la planification chirurgicale et la fabrication de dispositifs médicaux ? Que dit la règlementation ? Quels enjeux économiques et organisationnels ?
Résumé :
L’impression 3D est de plus en plus utilisée dans les établissements de santé, elle fait partie intégrante de la pratique quotidienne des chirurgiens maxillo-faciaux. La mise en application de la nouvelle règlementation Européenne (UE) 2017/745 a bouleversé cette pratique, limitant ainsi la production de dispositifs médicaux en interne dans les établissements de santé. L’impression 3D en interne constitue un enjeu règlementaire, économique, et organisationnel majeur pour l’établissement de santé. Cette pratique nécessite dorénavant la mise en place d’une plateforme interne règlementée et performante. Cependant, c’est une démarche complexe, longue et coûteuse. Sur la base des données recueillies en analysant la littérature et en menant des interviews auprès de professionnels dans le secteur médical, le succès d’un projet de mise en place d’une plateforme d’impression 3D hospitalière repose sur le soutien de la direction et la collaboration entre les acteurs pour en faire un projet d’établissement, ainsi que sur l’accompagnement de spécialistes dans la conduite de ce genre de projet.
Abstract :
3D printing is increasingly used in healthcare facilities and is an integral part of the daily practice of maxillofacial surgeons. The implementation of the new European regulation (EU) 2017/745 has changed this practice, thus limiting the production of medical devices in-house in healthcare institutions. In-house 3D printing is a major regulatory, economic, and organizational challenge for healthcare institutions. This practice now requires the implementation of a regulated and efficient internal platform. However, this is a complex, time-consuming and costly process. Based on the data collected by analyzing the literature and conducting interviews with professionals in the medical sector, the success of a project to set up a hospital 3D printing platform depends on the support of management and collaboration between the players to make it an institutional project, as well as on the support of specialists in conducting this type of project.
Imagerie Médical: De la prévention à la thérapieAlain Tassy
Compte rendu de la 3ième réunion thématique du groupe Telecom Paristech Santé.
Point sur les dernières innovations.
Des sytèmes toujours plus nombreux, toujours plus sophistiqués et toujours plus chers.
Le problème des radiations.
De l'Image au Big data
"L’imagerie médicale : De la prévention à la thérapie "Alain Tassy
Compte rendu de la 3ieme réunion thématique du groupe santé.
Point sur les dernières innovations.
Des systèmes toujours plus nombreux, toujours plus sophistiqués et plus chers.
Le problème des radiations.
De l'Image au Big Data
L’ADN et la vocation du congrès AIME c’est l’INNOVATION en médecine et en chirurgie esthétique avec une place centrale accordée à l’anti-âge (médecine régénérative, préventive et prédictive). Il est organisé par des universitaires le Professeur Jean-Paul Meningaud, chef du service de chirurgie plastique et maxillo-faciale CHU Henri Mondor (Créteil) et le Dr. Barbara Hersant, chirurgien plasticien & esthétique CHU Henri Mondor, qui recherchent les niveaux de preuve scientifique les plus élevés et avérés. Après une 1ère édition couronnée de succès, en 2020 le congrès AIME s’est bien tenu du 1er au 5 juillet, mais sous la forme d’un web-congrès.
Sa dimension transversale faisant appel à toutes les spécialités pratiquant des gestes esthétiques (chirurgie plastique, maxillo-faciale, ORL, gynécologie, dermatologie, médecine...) lui confère une place unique en son genre dans le monde des congrès.
L’innovation est aujourd’hui planétaire, voilà pourquoi le congrès AIME est international et en 3 langues, français, anglais et russe. En raison de toutes ces exclusivités, AIME vient enrichir le corpus des connaissances des congrès esthétiques déjà existants.
Compte rendu de la réunion Telecom Paris Santé du 21 novembre 2019Alain Tassy
Quels rôles jouent les technologies numériques dans l’évolution de la médecine du travail ?
Les enjeux de la médecine du travail
La prévention
Les données de santé
Situation internationale
Autres apports des technologies digitales.
Big Data en santé
De la technologie à la thérapie, en passant par la confiance
Cette conférence fait suite à quatre réunions thématiques de Télécom Paristech Santé sur les objets connectés en santé, la sécurité numérique, l’imagerie médicale et la gamification (Pour plus d’information consulter le site de l’association ou Slideshare Telecom-Paristech-Santé). Nous avons donc concentré les débats sur le big data et évité les digressions très naturelles sur les objets connectés qui seront certainement les sources principales des données de santé.
Talk Siliadin " 3D Print Medecine Afrique "LAfricaine
Vendredi 27 décembre 2013 dans la salle de conférence de ESGIS à Bè s'est tenue la première table ronde sur l'impression à trois dimensions (impression 3D) et les applications médicales en Afrique. La conférence est organisée par le WɔɛLab en marge de son gros événement annuel le BootWoeCamp, une rencontre de tous les makers du continent africain. Le WɔɛLab est un espace d'innovation partagée où s'élaborent au quotidien de nouvelles approches de la collaboration productive vertueuse en contexte africain, suivant le cahier des charges : #LowHighTech. Ses prérogatives sont : Centre de Ressources Numériques, incubateur de Technologie."Petite république numérique" au quartier Djidjolé à Lomé, définitivement "Fablab à niveau de rue",... le WɔɛLab est maintenant la "Silicon Villa". C'est aussi un lieu ouvert avec de la technologie, de la logistique mais aussi une philosophie de communauté basée sur des valeurs humaines. L'objectif de la table ronde est de mener une réflexion collégiale sur la technologie de l'impression 3D et ses applications dans le monde médical.
Pour le Dr. Siliadin, médecin Directeur de District sanitaire, l'application de la 3D dans le domaine médical peut s'étendre sur deux (2) aspects : la fabrication de dispositifs médicaux et les enjeux économiques. Selon lui, grâce à une imprimante 3D on peut fabriquer entre autres des objets/outils comme les lames bistouri, des fils de coutures, des seringues, des couronnes dentaires mais aussi des prothèses totales de hanche, des mains robotiques ou encore des plaques chirurgicales. Les enjeux économiques ne sont pas non plus négligeables. Il s'agit de : « l'accessibilité financière avec la production sur place, la réduction du coût de revient des produits ; la réduction de la fracture technologique ; la lutte contre la pauvreté » a précisé le docteur Siliadin.
Les outils digitaux : Facilitateur de la relation médecin-malade : Exemple de...Adam M SELAMNIA
Cette conférence a été donnée le 17 Mars 2014 dans le cadre de la 6ème Journée Nationale de la Section Éducation Thérapeutique de la Société Française de Rhumatologie. Le thème de cette journée était :
"Nouvelles technologies et sciences sociales : quel bénéfice pour l’éducation thérapeutique du patient ?"
Revue " H n°7 " septembre - octobre 2014
Depuis l’arrivée des nouvelles technologies dans le domaine médical, les start-up se multiplient. Le secteur est porteur, mais elles vont devoir s’imposer face aux géants des télécommunications et du numérique.
COPAINS — En septembre 2011, la voiture de Julien Artu heurte un pilier de pont. S’ensuivent cinq mois d’hospitalisation, dont trois d’alitement. Loin de ses proches, le jeune homme se sent seul et il s’ennuie ferme. Regrettant de ne pas pouvoir échanger avec les autres malades, il se met alors à imaginer un réseau social permettant aux personnes hospitalisées de se retrouver autour de leurs centres d’intérêt. L’idée de My Hospi Friends est née. Trois ans plus tard, l’hôpital Foch à Suresnes (92) est le premier à souscrire au service. Il a déboursé 10 000 euros pour une licence valable deux ans. « Nous leur apportons une image de modernité tout en leur permettant d’améliorer le bien-être des patients », explique Julien Artu, qui espère s’implanter dans une quinzaine d’établissements à l’horizon 2015. Les start-up comme la sienne se multiplient dans le domaine de la e-santé, terme qui recouvre deux domaines distincts. D’un côté, les milliers d’applications liées au bien-être, s’adressant au grand public. De l’autre, les dispositifs numériques destinés aux professionnels. Un secteur en pleine croissance, qui représenterait entre 200 et 300 millions d’euros par an en France selon le syndicat professionnel Syntec Numérique.
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Les objets connectés : Gadgets ou technologie indispensable à l’excellence en...Alain Tassy
Synthèse de la conférence organisée par Telecom ParisTech SAnté et Télécom Evolution le 22 juin 2017 .
En 2015, nous avons fait un état des lieux sur les objets connectés de santé et la segmentation entre préventif et curatif. Depuis un an nous réfléchissons aux évolutions de la médecine vers une médecine 4P (Préventive, Participative, Personnalisée et Prédictive), à l’évolution des parcours de santé et aux conséquences que cela aura sur le système de santé.
Après un aperçu sur les évolutions du marché des objets connectés et sur l’appropriation de cette technologie par le corps médical, nous évoquons la nécessité de labélisation et de standardisation.
Les objets connectés ne sont qu’un élément de la médecine numérique de demain. Son évolution va impacter tous les acteurs du système de santé. Parmi eux, les complémentaires santé voient leur métier se modifier profondément et elles deviennent des acteurs du marché des objets connectés de santé.
Enfin nous verrons comment d’autres acteurs, hors du corps médical mais impactant sur la santé, se sont appropriés très tôt ces objets connectés et les ont intégrés dans leurs protocoles dans un objectif d’excellence.
Les tendances 2016 de la eSanté lors des Signaux Numériques 2016.
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La conférence annuelle d’AEC vous délivre les résultats d’une année de veille et d’analyse des tendances mondiales du numérique. Les Signaux Numériques permettent ainsi d’anticiper à court et à moyen terme les futurs enjeux technologiques, sociétaux et territoriaux impulsés par le numérique.
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Projet soumis à l'Elysée et a la chambre des députés. le Député Nicolas Demoulin en a la charge, une économie sur les frais de déplacement et une meilleur assiduité aux travaux et votes
1. Mardi 16 février 2016 de 9h à 13h
Organisation : Caroline LE GOFFIC, Maître de conférences à l’Université Paris Descartes
2016
La technologie révolutionnaire de l’impression 3D est porteuse d’un immense potentiel dans
le domaine de la santé : prothèses, organes, médicaments… peuvent être imprimés par des
imprimantes 3D, ce qui permet une conception sur mesure, en fonction des caractères et des
besoins individuels de chaque patient.
Juridiquement, l’usage de l’impression 3D dans le domaine de la santé soulève des questions
essentielles, que ce soit en termes d’éthique, quant à la nature des différentes responsabilités
encourues, ou encore quant à l’impact de l’impression 3D sur la réglementation des produits
de santé, en particulier concernant la distinction médicament/dispositif médical.
Le colloque « Impression 3D et santé » a pour objet de faire un état des lieux des pratiques
médicales et pharmaceutiques liées à l’utilisation de la technologie de l’impression 3D en santé,
et d’étudier les problématiques juridiques qui s’y rattachent.
2. CONTACT
PROGRAMME
9h-9h30
Accueil des participants
Allocution de bienvenue (Jérôme Peigné, Institut Droit et Santé)
Présentation générale des pratiques de l’impression 3D dans le domaine de la santé :
Alexandre Martel, 3D Natives
9h30–10h30
Etat des lieux et pratiques de l’impression 3D dans le domaine de la santé
La bioimpression 3D au laser : Fabien Guillemot (Chargé de recherche Inserm Unité
1026 Bio ingénierie tissulaire (BIOTIS) (Inserm/Université de Bordeaux)
L’impression 3D au service de la chirurgie : Narcisse Zwetyenga (CHU Dijon)
L’impression 3D au service de la conception de prothèses dentaires : Bertrand
Busson (Wishape)
10h30-10h45
Débat
10h45-11h
Pause café
11h-13h
Questions juridiques liées à l’usage de l’impression 3D dans le domaine de la santé
L’impression 3D, l’éthique et les essais cliniques : Clémentine Lequillerier, IDS
L’impression 3D et la responsabilité : Caroline Le Goffic, IDS
L’impression 3D et son impact sur la réglementation des produits de santé
(quelle frontière entre médicament et dispositif médical ?) : intervenant à confirmer
L’impression 3D, la santé et le droit des brevets : Aude Vivès-Albertini, avocat
13h-13h15
Débat
http://www.institutdroitsante.com/inscripcolloque38.phphttp://www.institutdroitsante.com/inscripcolloque38.php
Université Paris Descartes
Salle du Conseil (1er
étage)
12 rue de l’Ecole de médecine 75006 Paris
M° Odéon
LIEU
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Institut Droit et Santé
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