Cette conférence a été donnée le 17 Mars 2014 dans le cadre de la 6ème Journée Nationale de la Section Éducation Thérapeutique de la Société Française de Rhumatologie. Le thème de cette journée était :
"Nouvelles technologies et sciences sociales : quel bénéfice pour l’éducation thérapeutique du patient ?"
Présentation réalisée par Michel LABRECQUE et Pierre BEAUPRÉ dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé le 3 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
Présentation réalisée par Pierrik Fostier et Bernard Millette dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé le 3 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
Présentation réalisée par Christine THOËR dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé le 3 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
Présentation réalisée par Danielle Rose dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé le 3 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM). Cette session parallèle a été réalisée conjointement avec Danielle Rose et Monique Clar.
Présentation de Monique Clar: http://fr.slideshare.net/communication-e-sante/clar-monique
Présentation de Danielle Rose: http://fr.slideshare.net/communication-e-sante/rose-anielle
Présentation réalisée par Alain VADEBONCOEUR et Olivier BERNARD dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé le 3 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
Présentation réalisée par Michel LABRECQUE et Pierre BEAUPRÉ dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé le 3 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
Présentation réalisée par Pierrik Fostier et Bernard Millette dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé le 3 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
Présentation réalisée par Christine THOËR dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé le 3 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
Présentation réalisée par Danielle Rose dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé le 3 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM). Cette session parallèle a été réalisée conjointement avec Danielle Rose et Monique Clar.
Présentation de Monique Clar: http://fr.slideshare.net/communication-e-sante/clar-monique
Présentation de Danielle Rose: http://fr.slideshare.net/communication-e-sante/rose-anielle
Présentation réalisée par Alain VADEBONCOEUR et Olivier BERNARD dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé le 3 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
La Pharmacovigilance et les réseaux sociaux: Aspects pratiques et réglementa...Evelyne Pierron
Le système de pharmacovigilance classique (via la notification spontanée) semble s'essouffler. De nouvelles sources d'informations telles que les forums de discussion patient, blogs, réseaux sociaux (Facebook, twitter) ont été récemment identifiées comme possible sources complémentaires dans le processus de surveillance des effets indésirables susceptibles d'être liés à l'usage d'un médicament.
Les moteurs de recherche et les forums Internet spécialisés apparaissent à ce titre comme une mine infinie de renseignements à explorer. Être à l'écoute des réseaux sociaux pourrait permettre de détecter des signaux faibles.
Offre de santé "Patient Centric" d'OCTO TechnologyOCTO Technology
Si la transformation digitale du secteur santé s’accélère, c’est parce qu’elle est désormais insufflée par les utilisateurs eux-mêmes : les patients s’emparent de leur santé et de leur suivi ! L’accès à l’information n’est plus réservé aux professionnels : réseaux sociaux, mobilité, objets connectés, utilisation des data, font évoluer les comportements des patients, les rendant acteurs de leur propre santé.
Ce nouveau souffle entraîne de nombreux changements dans l’écosystème santé (changement de paradigme, arrivée de nouveaux acteurs…). Devenir “patient centric” n’est plus une option mais un objectif à court terme !
Mais comment procéder ?
Découvrez l'article lié à cette présentation sur notre blog OCTO : http://bit.ly/2sLsyks
Revue SPH n°11 Juin 2016
COMMUNIQUÉ COMMUN SPH USP 17 mai 2016
Psychiatrie Infanto-juvénile en danger
Depuis plusieurs années, la psychiatrie publique constate que les représentants de son ministère de tutelle disqualifient de manière plus ou moins explicite ses professionnels arguant de références scientifiques qui seraient refusées ou ignorées dans leurs pratiques dans le domaine de l'autisme.
Cette attitude connaît son apogée avec la consigne de Mme Neuville, Secrétaire d'État chargée des Personnes handicapées et de la Lutte contre l'exclusion, pour que les agences régionales de santé (ARS) procèdent à l'inspection des hôpitaux de jour accueillant des enfants avec diagnostic d’autisme. Cette inspection, qui néglige les visites planifiées de certification des hôpitaux menées par la HAS, doit être improvisée par les ARS pour vérifier l'application de simples recommandations consensuelles à valeur faible sur le plan scientifique de bonnes pratiques. (...)
COMMUNIQUÉ DE PRESSE DE LA FÉDÉRATION FRANÇAISE DE LA PSYCHIATRIE, DU COLLÈGE NATIONAL DES UNIVERSITAIRES DE PÉDOPSYCHIATRIE ET DU COLLÈGE NATIONAL POUR LA QUALITÉ DES SOINS EN PSYCHIATRIE 12 mai 2016
La prise en charge de l’autisme en France a toujours manqué de moyens quels que soient les âges des personnes concernées.La psychiatrie, dans le système de santé et de protection sociale français a, depuis des décennies, assuré deux fonctions.D’une part, elle réalise et accompagne des prises en charges actives, désaliénantes, basées sur les acquisitions scientifiques pertinentes et successives. (...)
http://www.reseauprosante.fr/
Un niveau de confiance dans les médicaments qui se maintient, une défiance vi...Ipsos France
C’est dans un climat de polémiques sur le prix des médicaments et l’accès aux traitements que s’est déroulée la 6e vague de l’Observatoire sociétal du médicament (Etude Ipsos pour le Leem, réalisée auprès de 1 000 personnes, interrogées par Internet entre le 09 et le 16 juin 2016 (échantillon âgé de 18 ans et plus, représentatif de la population nationale).du Leem. L’enquête dresse un bilan nuancé de la perception et du rapport des Français au médicament. Si le niveau de confiance reste très élevé dans les médicaments, il se dégrade pour les vaccins qui font l’objet d’un scepticisme de plus en plus préoccupant.
Revue "What's Up Doc" n°24 - Janvier Février 2016
Speed-dating ou relation durable, lorsque le smartphone nous met en contact avec nos patients, c’est souvent moins de stress, moins d’appels, une fl exibilité importante, des patients satisfaits et un renouvellement de la patientèle… Alors, vous êtes plutôt Doctolib, RDVmedicaux, MonDocteur ou myDocteo ?
Doctolib
Doctolib, c’est un peu le Tinder du service de gestion de rendez-vous médicaux, avec 2,5 millions de patients par mois et 6 025 praticiens ! Leader sur le secteur, l’offre est simple et sans engagement (eh oui, on oublie la bague au doigt : on arrête quand on veut). Les rendez-vous manqués sont réduits avec les SMS et e-mails de rappel, et les patients les plus goujats sont même bloqués u bout de 3 rendez-vous non honorés. Les lapins, la hantise de tout médecin !
Et vous pouvez même opter pour un service de secrétariat en sus (1,20 € TTC/appel) !
.....
reseauprosante.fr
Sulphasalazine Induced Toxic Epidermal Necrolysis A Case Reportiosrphr_editor
Toxic Epidermal Necrolysis (TEN) is a rare and life threatening mucocutaneous reaction
characterized by extensive necrosis and detachment of epidermis. The Worldwide incidence of TEN is 0.9 to 1.4
per million populations per year [1]. Here we have discussed a case of Toxic Epidermal Necrolysis secondary
to Sulfasalazine managed with fluid replacement, analgesics, anti-infective therapy aggressive nutritional
support and intravenous high dose steroid therapy.
Keywords- Toxic Epidermal Necrolysis, Sulfasalazine
Земельні ділянки КП "Паркування та ринок" (МАФи і інвестори) Олександр Гашпар
Перелік земельних ділянок, які перебувають в постійному користуванні Комунального підприємства "Паркування та ринок" Чернігівської міської ради та перелік "інвесторів", які фактично ними користуються і здіюснюють свою підприємницьку діяльність.
La Pharmacovigilance et les réseaux sociaux: Aspects pratiques et réglementa...Evelyne Pierron
Le système de pharmacovigilance classique (via la notification spontanée) semble s'essouffler. De nouvelles sources d'informations telles que les forums de discussion patient, blogs, réseaux sociaux (Facebook, twitter) ont été récemment identifiées comme possible sources complémentaires dans le processus de surveillance des effets indésirables susceptibles d'être liés à l'usage d'un médicament.
Les moteurs de recherche et les forums Internet spécialisés apparaissent à ce titre comme une mine infinie de renseignements à explorer. Être à l'écoute des réseaux sociaux pourrait permettre de détecter des signaux faibles.
Offre de santé "Patient Centric" d'OCTO TechnologyOCTO Technology
Si la transformation digitale du secteur santé s’accélère, c’est parce qu’elle est désormais insufflée par les utilisateurs eux-mêmes : les patients s’emparent de leur santé et de leur suivi ! L’accès à l’information n’est plus réservé aux professionnels : réseaux sociaux, mobilité, objets connectés, utilisation des data, font évoluer les comportements des patients, les rendant acteurs de leur propre santé.
Ce nouveau souffle entraîne de nombreux changements dans l’écosystème santé (changement de paradigme, arrivée de nouveaux acteurs…). Devenir “patient centric” n’est plus une option mais un objectif à court terme !
Mais comment procéder ?
Découvrez l'article lié à cette présentation sur notre blog OCTO : http://bit.ly/2sLsyks
Revue SPH n°11 Juin 2016
COMMUNIQUÉ COMMUN SPH USP 17 mai 2016
Psychiatrie Infanto-juvénile en danger
Depuis plusieurs années, la psychiatrie publique constate que les représentants de son ministère de tutelle disqualifient de manière plus ou moins explicite ses professionnels arguant de références scientifiques qui seraient refusées ou ignorées dans leurs pratiques dans le domaine de l'autisme.
Cette attitude connaît son apogée avec la consigne de Mme Neuville, Secrétaire d'État chargée des Personnes handicapées et de la Lutte contre l'exclusion, pour que les agences régionales de santé (ARS) procèdent à l'inspection des hôpitaux de jour accueillant des enfants avec diagnostic d’autisme. Cette inspection, qui néglige les visites planifiées de certification des hôpitaux menées par la HAS, doit être improvisée par les ARS pour vérifier l'application de simples recommandations consensuelles à valeur faible sur le plan scientifique de bonnes pratiques. (...)
COMMUNIQUÉ DE PRESSE DE LA FÉDÉRATION FRANÇAISE DE LA PSYCHIATRIE, DU COLLÈGE NATIONAL DES UNIVERSITAIRES DE PÉDOPSYCHIATRIE ET DU COLLÈGE NATIONAL POUR LA QUALITÉ DES SOINS EN PSYCHIATRIE 12 mai 2016
La prise en charge de l’autisme en France a toujours manqué de moyens quels que soient les âges des personnes concernées.La psychiatrie, dans le système de santé et de protection sociale français a, depuis des décennies, assuré deux fonctions.D’une part, elle réalise et accompagne des prises en charges actives, désaliénantes, basées sur les acquisitions scientifiques pertinentes et successives. (...)
http://www.reseauprosante.fr/
Un niveau de confiance dans les médicaments qui se maintient, une défiance vi...Ipsos France
C’est dans un climat de polémiques sur le prix des médicaments et l’accès aux traitements que s’est déroulée la 6e vague de l’Observatoire sociétal du médicament (Etude Ipsos pour le Leem, réalisée auprès de 1 000 personnes, interrogées par Internet entre le 09 et le 16 juin 2016 (échantillon âgé de 18 ans et plus, représentatif de la population nationale).du Leem. L’enquête dresse un bilan nuancé de la perception et du rapport des Français au médicament. Si le niveau de confiance reste très élevé dans les médicaments, il se dégrade pour les vaccins qui font l’objet d’un scepticisme de plus en plus préoccupant.
Revue "What's Up Doc" n°24 - Janvier Février 2016
Speed-dating ou relation durable, lorsque le smartphone nous met en contact avec nos patients, c’est souvent moins de stress, moins d’appels, une fl exibilité importante, des patients satisfaits et un renouvellement de la patientèle… Alors, vous êtes plutôt Doctolib, RDVmedicaux, MonDocteur ou myDocteo ?
Doctolib
Doctolib, c’est un peu le Tinder du service de gestion de rendez-vous médicaux, avec 2,5 millions de patients par mois et 6 025 praticiens ! Leader sur le secteur, l’offre est simple et sans engagement (eh oui, on oublie la bague au doigt : on arrête quand on veut). Les rendez-vous manqués sont réduits avec les SMS et e-mails de rappel, et les patients les plus goujats sont même bloqués u bout de 3 rendez-vous non honorés. Les lapins, la hantise de tout médecin !
Et vous pouvez même opter pour un service de secrétariat en sus (1,20 € TTC/appel) !
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Sulphasalazine Induced Toxic Epidermal Necrolysis A Case Reportiosrphr_editor
Toxic Epidermal Necrolysis (TEN) is a rare and life threatening mucocutaneous reaction
characterized by extensive necrosis and detachment of epidermis. The Worldwide incidence of TEN is 0.9 to 1.4
per million populations per year [1]. Here we have discussed a case of Toxic Epidermal Necrolysis secondary
to Sulfasalazine managed with fluid replacement, analgesics, anti-infective therapy aggressive nutritional
support and intravenous high dose steroid therapy.
Keywords- Toxic Epidermal Necrolysis, Sulfasalazine
Земельні ділянки КП "Паркування та ринок" (МАФи і інвестори) Олександр Гашпар
Перелік земельних ділянок, які перебувають в постійному користуванні Комунального підприємства "Паркування та ринок" Чернігівської міської ради та перелік "інвесторів", які фактично ними користуються і здіюснюють свою підприємницьку діяльність.
Connected Sports and Fitness Apparel, Smart Footwear, Fashion Apparel, Baby and Pregnancy Monitors, Heart Rate Monitors, Headbands, Posture Monitors, 3D Trackers, Wrist Devices, Movement Sensors, and Wearable Patches: Market Analysis and Forecasts Smart clothing and body sensors can be considered the ultimate wearables, something that integrates into your life as a garment, footwear, or a sensor device that can track or measure a specific physiological or biometric attribute. Unlike fitness trackers, smart watches, or smart glasses, which have fairly well-defined form factors and use cases, smart clothing and body sensors are seeing a greater degree of experimentation and innovation in use cases. The applications for smart clothing and body sensors span multiple domains including sports, consumer, healthcare, public safety, industrial, and enterprise. The market for smart clothing and body sensors is developing rapidly, although the body sensors market is likely to be larger in the long run due to a wider variety of device types and application markets. Healthcare is expected to be one of the biggest drivers for body sensors, particularly connected wearable patches, but other key application markets will include consumer, sports, enterprise, and industrial. Tractica forecasts that total shipments of smart clothing will grow from 968,000 units in 2015 to 24.8 million units in 2021. Meanwhile, body sensor shipments are expected to increase from 2.7 million in 2015 to 68.0 million units annually by 2021.
Les médecins généralistes et l’usage des technologies de santé mobileRéseau Pro Santé
Revue "Jeune MG" SNJMG n°17 - Avril 2017
Avec la démocratisation des objets connectés et les cent milles applications mobiles dédiées à la santé qui ont été recensées dans le monde en 2013, le secteur de la santé connaît une révolution numérique qui se poursuit.
En 2011, selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), la mSanté « regroupe des pratiques médicales et de santé publique reposant sur des dispositifs mobiles tels que, téléphones portables, systèmes de surveillance des patients, assistants numériques personnels et autres appareils sans fils ». La mSanté est une sous-catégorie de la eSanté qui consiste selon l’OMS « à utiliser (…) les Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) à l’appui de l’action de santé et dans des domaines connexes, dont les services de soins de santé, la surveillance sanitaire, la littérature sanitaire et l’éducation, le savoir et la recherche en matière de santé ». Les TIC sont définies par l’Organisation de Coopération et de Développement Economique (OCDE) comme étant une « combinaison de produits et de services qui capturent, enregistrent et affichent des données et des informations, par voie électronique ».
Le contexte financier actuel des systèmes de santé rend complexe la gestion du vieillissement de la population et de l’augmentation du nombre de patients chroniques. En 2013, une étude réalisée par PriceWaterhouseCoopers (PwC) estimait que l’Union Européenne pourrait économiser jusqu’à 99 milliards d’euros grâce au déploiement des mSanté. (...)
http://www.reseauprosante.fr
Objectif de cette étude :
Répertorier et segmenter les solutions et services digitaux proposés actuellement aux médecins (état des lieux)

Analyser les facteurs favorables et les freins à la digitalisation des pratiques médicales

Mesurer les usages digitaux des médecins et l’utilité perçue des solutions/services digitaux actuellement proposés

Révéler les préférences des médecins quant aux modalités d’accès et d’utilisation des solutions/services digitaux proposés

Connaître les solutions/services qu’ils sont prêts à « prescrire »/recommander à leurs patients
Cette étude complète est disponible auprès des Echos Etudes sur ce lien http://j.mp/digidocs
Cahier annuel des entrepreneurs - année 2022 - Cinquième édition
Entretiens avec des entrepreneurs sur leur aventure de création d'entreprise et de startup, avec des articles :
Patrick Ragaru Hackuity
Jonathan Foureur et Laurence Fornari Phedone
Benjamin Hardy Biloba
Camille Corman 1Food1Me
Ilfynn Lagarde Youzd
Otto Nijdam Foodco'
Pierre Hornus Semeia
Victor Breban Noil
Florence Vasilescu FirmFunding
Arthur Verrez Flaneer
Adrien Rambaud Morio
De la e Santé à la m Santé : innovation mais attention aux donnéesDidier Mennecier
Synthèse sur l'évolution des nouvelles technologies dans le monde médicale où nous sommes passés de la e Santé à la m Santé avec l'apparition dans les pratiques médicales des objets connectés.
Présentation lors d'une audition à l'Académie Nationale de Médecine devant la Commission XX.
L’impact de la démocratie sanitaire : le patient et sa sécurité, point de vue...Haute Autorité de Santé
Soignants et soignés évoluent dans un système complexe qui rend parfois la communication entre ces deux partenaires difficile. Les patients ne comprennent pas toujours les messages qui leur sont délivrés, assimilant mal ce qui concerne leur prise en charge. Par crainte de faire perdre du temps, mais aussi parce que la relation soignant-soigné est par essence asymétrique, les patients n’osent pas poser des questions. Et pourtant, un patient qui communique avec les soignants, qui est attentif à son environnement, qui ose interpeller lorsqu’il ne comprend pas, permet d’améliorer sa sécurité lors des soins.
La révolution numérique et le parcours de santé Alain Tassy
La loi de modernisation du système de santé de janvier 2016 ouvre la porte à une véritable révolution en proposant de rebâtir tout le système autour du parcours de santé afin de mettre le patient au centre du dispositif et de favoriser la prévention.
Pour être mise en œuvre, cette nouvelle approche nécessite une évolution des pratiques et une coordination à distance de tous les professionnels de la santé. L’utilisation des technologies numériques représente alors une solution car elles permettent une coordination efficace. Le dossier médical partagé est absolument nécessaire et son appropriation par les professionnels est vital.
L’introduction du parcours de santé représente pour le monde médical une innovation organisationnelle comme le vivent de nombreux autres domaines du monde économique confrontés à la transformation digitale. On peut alors s’étonner que les projets gérés par les ARS soient lancés uniquement pour répondre à un problème identifié localement sans prendre en compte le passage à l’échelle nationale. On peut aussi s’étonner de l’absence de structure et d’un chef de projet responsables de la mise en place du parcours de santé.
Alcimed expose sa vision sur la e-santé au service des maladies rares...Les Filières de Santé Maladies Rares illustrent cette réalité avec des projets en cours.
Pour accompagner les acteurs de la santé dans leur compréhension des attentes des mobinautes en matière de m-santé, les experts Santé de l’Ifop ont développé un observatoire dédié – l’Observatoire de la m-santé - qui propose annuellement un suivi complet des usages et des comportements, ainsi qu’une mise à jour tous les 6 mois, se focalisant sur les applications utilisées, afin de suivre l’évolution du marché.
« Des petits riens du quotidien à l’homme augmenté : vivre sa santé au jour l...Harris Interactive France
Enquête 3/3 – Septembre 2017 : « Et demain, la santé ?»
Les zooms de L’Observatoire Cetelem s’intéressent aux nouveaux modes de vie et proposent d’investiguer en profondeur des grands thèmes de société, sollicitant l’avis des Français sur chacun de ces thèmes au travers de trois vagues de sondage. Les zooms viennent ainsi compléter et enrichir le dispositif d’observation et d’études existant de L’Observatoire Cetelem.
http://harris-interactive.fr/opinion_polls/theme-2-des-petits-riens-du-quotidien-a-lhomme-augmente-vivre-sa-sante-au-jour-le-jour-2/
Similaire à Les outils digitaux : Facilitateur de la relation médecin-malade : Exemple de Sanoia (20)
« Des petits riens du quotidien à l’homme augmenté : vivre sa santé au jour l...
Les outils digitaux : Facilitateur de la relation médecin-malade : Exemple de Sanoia
1. Les outils digitaux :
Facilitateur de la relation médecin-malade : Exemple de Sanoia
Adam M. SELAMNIA
Symposium UCB : Le patient acteur de sa santé : surmonter les craintes vers plus d’autonomie
Lundi 17 Mars 2014
Paris, Espace Saint-Martin
2. Contexte
Démographie médicale Démographie patients
➢ La relation médecin-patient est impactée par la
transition démographique.
Traitements pointus et les coûts
➢ Le patient est responsabilisé pour devenir “co-pilote” de
la gestion de sa maladie.
La e-santé peut-elle aider à accompagner ces changements ?
Quels outils peuvent faciliter l’activité médicale ?
4. Qui a un smartphone ?
Année Spécialiste
2010 36%
2011 48%
2012 61%
2013 78%
6ème baromètre sur l’utilisation professionnelle des supports
numériques par le corps médical (CESSIM, Sept. 2013)
5. Qui est sur Internet ?
http://w3.unece.org/pxweb/database/STAT/30-GE/09-Science_ICT/?lang=1
6. Internet et les Français
L‘information des médecins et la santé des patients passent aussi par internet
9. Evolution de la Médecine
modèle “paternaliste”
P1 medicine
“modèle délibératif”
P4 medicine
10. Médecin
➢ Accessible en activité
➢ Informé par le VM/VH, presse
➢ Echange régulier avec les pairs
➢ Médecin prescripteur
e-Médecin
➢ Accessible en dehors des CS
➢ Informé en plus par le Net
➢ Echange important les pairs
➢ Médecin partenaire
Médecin vs e-Médecin
11. Peurs
➢ La consultation va s’allonger
➢ Je vais être submergé(e) de données
➢ Cela va engendrer des coûts
Croyances
➢ Les séniors ne sont pas connectés
➢ Le patient n’est pas compétent
➢ Le patient va s’en lasser
Médecin
Evard Munch, “Le cri” Calendrier Maya
12. Patient vs e-Patient
Patient
➢ Rôle passif
➢ Reçoit l’information
➢ Receveur du soin
➢ Médecine paternaliste
e-Patient
➢ Rôle actif
➢ Recherche l’information
➢ Partenaire du soin
➢ Médecine participative
13. Peurs
➢ Mon médecin le prendra mal
➢ Ma vie privée sera sur Internet
➢ Je ne verrai plus mon médecin
Croyances
➢ Mon médecin est omniscient
➢ Mon médecin ne me dit pas tout
➢ Je vais trouver des réponses
auprès de mes amis
Patient
Gustave Courbet, “Le fou de peur”
Ed Wheeler revisite Jacques-Louis David
“Bonaparte franchissant le Grand-Saint-Bernard”
14. Rééquilibrer
“Les peurs et les croyances se nourrissent d’un déséquilibre
de la relation médecin-patient perturbée
par un mésusage des outils digitaux”
15. Evolution de la relation Médecin-Patient
PATIENT
Internet
Engagé
Eduqué
Equipé
Avant Après
Médecin
Médecin
17. Construction collaborative
pour mieux vaincre les peurs et dissiper les croyances
“Ce qui est fait pour nous,
sans nous est contre nous”
une dynamique collective
éditeur, patients et médecins.
18. Les services de la plate-forme Sanoia
La solution sécurisée et gratuite pour stocker vos données
essentielles, suivre votre santé, et contribuer à la
recherche.
● stocker ses données de santé présentes et passées
● s’informer sur ses traitements en cours et sa pathologie
● suivre sa pathologie/ son état de santé, en menant des auto-scores
validés par la communauté médicale
Sanoia, bénéfique pour le patient et le système de santé :
● Autonomisation du patient qui le rend acteur et responsable
● Partage des données avec le médecin pour un dialogue enrichi
● Contribution à la Recherche via ses données anonymes
✙
19. Fondamentaux : Ingénierie & Recherche
Sanoia, leader de la sécurité et du respect de la vie privée :
● Hébergeur de données agréé par le ministère de la santé.
● Anonymat absolu et prouvé.
● Correspondant Informatiques & Libertés.
● Labellisée Jeune Entreprise Innovante
Sanoia, acteur de la recherche médicale
● Statistiques Real-Life en direct : le vécu et le médical.
● Hébergeur d’enquêtes (Arthrose).
● Promoteur études observationnelles.
20. Extensions de Sanoia en Rhumatologie
● Rhumatismes Inflammatoires Chroniques :
○ Polyarthrite Rhumatoïde (2012)
○ Rhumatisme Psoriasique (2014)
○ Spondylarthrite Ankylosante (2014)
● Nouveaux outils pour le suivi “non-intrusif” des patients
○ Capteur du Sommeil
○ Capteur de l’Activité (podomètre)
Le Module PR développé avec la SFR et l'ANDAR
bénéficie du soutien institutionnel d'UCB & Nordic Pharma
21. Bénéfices de Sanoia en Rhumatologie
17
43
7
7
17
10
0 20 40 60 80 100
Très
Plutôt
Moyennement
Plutôt pas
Pas du tout intéressant
NR-patients n'ayant pas internet
Ce type de site est vraiment intéressant pour
faire avancer les connaissances sur la maladie
Ce type de site pourrait m'aider à mieux me
prendre en charge et suivre ma maladie
Je crains que ce type de site ne m'amène à
être trop centré sur ma maladie
74%
63%
33%
67%
Etude réalisée sur 30 patients PR - Présentation brève de SANOIA / Octobre 2012
Une solution plébiscitée par les patients
Quel intérêt y voyez-vous ? (n=30) Dans quelle mesure est-vous d'accord avec les propositions suivantes ? (n=27)
23. Premières validations
Nous avons montré que les patients sont capables
de rapporter correctement leurs données de santé
(60 patients sur 3 bras)ACR 2011
Nous avons montré que le profil des utilisateurs est
comparable à celui de l’étude de référence OPALE [1]
(1 696 patients en 06/12)SFR 2012
[1] Saraux et al. Survey of the therapeutic management of rheumatoid arthritis
in France: the OPALE study Clin Exp Rheumatol. 2010;28(3):325-32.
24. Etude observationnelle de type “soins courants” longitudinale sur 12 mois, multi-centrique, randomisée en 2 groupes parallèles.
• Groupe 1 : Internet + Sanoia (Avec Sanoia)
• Groupe 2 : Internet classique (Sans Sanoia)
• Nombre de centres : 11
• Nombre de patients : 330
Patients : PR consécutifs suivis en CHU, acceptant de participer à l’étude.
Etude randomisée contrôlée :
Automatique et aléatoire selon un pas 1/1 sur l’ensemble des centres recruteurs.
Pas de relance ou rappel par le médecin mais formulaires à remplir (e-CRF) à 3-6-12 mois.
Promoteur : Etude conduite dans le cadre d'un travail conjoint d’UCB et de l’AIMSU[1] (éditeur de SANOIA)
Coordonnateur : Dr. Laure GOSSEC (CHU Pitié-Salpétrière, Paris)
Une nouvelle étude : CARNet
Copilotage et Auto-suivi en Rhumatologie avec InterNet
[1] Association Accompagnement pour un Internet en Médecine et Santé au service des Usagers
25. Une nouvelle étude : CARNet
Copilotage et Auto-suivi en Rhumatologie avec InterNet
Objectif principal :
Mesurer l’impact du service SANOIA sur l’efficacité des échanges patient-médecin, tel que
perçu par le patient, au bout de 12 mois.
Critère Principal :
Questionnaire 5Q traduit en français PEPPI : Perceived efficacy in patient-physician interaction
(efficacité perçue par le patient de l’échange patient-médecin)
REFERENCES ;
1. Maly RC, Frank JC, Marshall GN, DiMatteo MR, Reuben DB.
Perceived efficacy in patient-physician interactions (PEPPI): validation of an instrument in older persons.
J Am Geriatr Soc. 1998 Jul;46(7):889-94.
2. ten Klooster PM, Oostveen JC, Zandbelt LC, Taal E, Drossaert CH, Harmsen EJ, van de Laar MA.
Further validation of the 5-item Perceived Efficacy in Patient-Physician Interactions (PEPPI-5) scale in patients with osteoarthritis.
Patient Educ Couns. 2012 Apr;87(1):125-30
27. Merci pour votre attention
mselamnia@sanoia.com
@mselamnia - @SanoiaFR
Les outils digitaux :
Facilitateur de la relation médecin-malade : Exemple de
Notes de l'éditeur
Il n'est un secret pour personne ici que notre système de santé fait face à la conjonction de deux éléments conjoncturels antagonistes :
d'un côté une baisse de la démographie médicale associée à une augmentation de la file active des patients chroniques avec le vieillissement de la population.
Cette double transition démographique impacte nécessairement la relation médecin-patient.
- de l'autre côté, la mise à disposition des patients de traitements de plus en plus pointus mais hélas souvent plus chers que les traitements conventionnels.
Cela prédispose et incite le patient à une action responsable.
Les technologies numériques sont de plus en présentes dans notre société et nous avons chercher à savoir si elle pouvaient participer à une relation médecin-patient efficace et à accompagner le patient dans sa prise de fonction dans ces nouveau rôles et le médecin à mieux appréhender leur apport dans le cadre la pratique courante.
Notre système reposant sur des principes égalitaire et universel, il est d'abord nécessaire de s'interroger sur la couverture et l'utilisation des nouvelles technologies en France.
A ce titre, puis-je vous demander combien parmi vous aujourd'hui ont un téléphone portable ? Combien d'entre vous ont un smartphone ?
Comme l'indique le tableau de gauche, et selon le 6ème baromètre du CESSIM sur l'utilisation du numérique par le corps médical, près de 80% avaient déclaré détenir un 2013 un Smartphone.
Cela est a comparé avec la population générale pour laquelle il s'est vendue près de 15 millions de Smartphones en France pour la seule année 2013 auxquels s'ajoutent plus d'1/3 de tablette. A noter les ventes de PC portables qui ne cessent de reculer et qui tend à indiquer que nous avons ou aurons une consommation numérique de plus en plus mobile.
En effet, on voit que la population française des moins de 55 ans, près de 90% ont accès à une ordinateur et près de 60% chez les 55-75 ans selon les statistiques de Nations unies.
Pour l'internet, on a une consommation de l'internet au moins hebdomadaire pour plus de 80% des moins de 55 ans et plus de 50% chez les plus de 55 ans.
Evidemment, l'ensemble de la population n'est pas couverte mais ces tendances continueront de progresser dans les années à venir.
D'ailleurs, à en croire la presse, professionnels et grand public utilisent internet pour s'informer ou accéder à des services en ligne. Nous sommes donc déjà entrés dans l'ère de l'e-santé.
Et puisque l'internet tend à être de plus en plus mobile, l'e-santé mais aussi la m-santé. Ces termes en anglais e-health et m-health font de plus en plus l'objet de requêtes sur Google.
De manière intéressante, on voit que les requêtes par exemple sur la Polyarthrite Rhumatoïde sont de plus en plus fréquentes, qu'elles soient émises par les médecins ou les patients.
Pour résumé cette première partie, une large proportion de Patients et médecins sont sur Internet et utilisent cet outil pour s'informer ou accéder à des services en ligne.
Etant sur Internet, patients et médecins sont donc susceptibles de se rencontrer sur ce nouvel espace et par conséquent de transformer la nature de leur relation.
Si tel est le cas, où allons nous ?
D'une manière générale, l'éducation de la population associée à la puissance des outils numérique impacte la relation médecin-patient et apportent des outils faisant évoluer la médecine d'un modèle dit paternaliste au sens positif du terme vers un modèle délibératif combinant prévention, prédiction, personnalisation, et participation du patient.
Dans les faits, les technologies numériques confère un nouveau statut au médecin, celui du e-medecin, plus accessible, plus informé par le net ou ses pairs et non seulement prescripteur mais partenaire d'un e-patient
Bien sûr, cette modification du statut même s'elle va dans un sens positif ne se fait pas sans certains freins qu'ils relèvent de la peur ou de certitudes de moins en moins évidentes.
Le patient voit lui aussi son statut ou son engagement modifié par les technologies numériques pour aboutir à un e-patient ou une e-patiente aspirant à s'investir efficacement dans la gestion de sa santé.
Là encore, cette modification de statut de ne se fait pas parfois sans craintes ou convictions erronées.
Ainsi, ces peurs et croyances exprimées soit par le médecin ou soit par le patient peuvent être potentialisées si on ne veille pas à une bonne utilisation des outils digitaux pour rétablir un équilibre profitable tant au médecin qu'au patient.
Pour résumé cette seconde partie, auparavant, le médecin le contact premier du patient, dans le cas du e-patient, passé par le prisme d'internet, le e-médecin sera celui qui l'aidera à mieux s'engager, à mieux s'éduquer voir à s'équiper.
Aussi, contrairement aux idées reçues, le médecin va non seulement reprendre sa place mais bien au contraire jouer un rôle de plus en plus important pour aider le patient à gérer ses données, à comprendre les nouvelles thérapies et la révolution à venir combinant les biotechnologies, les nanotechnologies et l'informatique et les sciences cognitives. En fait, le e-médecin n'est que la version 1.0 du médecin du futur.
Pour l'heure, de notre coté, nous nous sommes efforcés depuis 2008 d'accompagner ce mouvement en créant un outil universel et se plaçant justement au centre de la relation médecin-patient
Mais pour qu'un outil soit adopté et utilisé il doit être le fruit d'une construction collaboratives pour s'affranchir des peurs et croyances en fédérant et impliquant les différents acteurs de la chaîne du soin.
C'est ce que nous avons fait dans la polyarthrite rhumatoïde où la Société Française de Rhumatologie, l'association de patients ANDAR et des industriels UCB et Nordic Pharma ont mis leurs moyens et compétences respectives pour apporter un vrai service aux patients et patientes souffrant de cette pathologie.
Cet outil gratuit et sécurisé, vous le savez c'est la plateforme SANOIA, que j'ai eu plaisir à présenter dans quelques services de rhumatologie et j'espère prochainement dans d'autres.
Il apporte des bénéfices au patient, au médecin, au chercheur et à terme nous l'espérons au système de santé.
En un mot, ce travail repose sur de solides fondamentaux. Ayant pris à l'origine la question de la sécurité et du respect de la vie privée des usagers, nous en sommes aujourd'hui les leaders en France dans notre domaine.
Par ailleurs, notre origine et notre vocation scientifique nous conduit à conduire ou à produire des données utiles à la recherche.
Après une première expérience réussie dans la Polyarthrite Rhumatoïde avec nos partenaires industriels et institutionnels, nous avons pour projet de développer des fiches spécialisées sur d'autres rhumatismes inflammatoires chroniques avec de nouveaux industriels. Par ailleurs, pour augmenter l'expérience utilisateur, nous avons réussi à connecter un premier objet connecté sans remettre en cause notre architecture informatique préservant sa vie privée.
Et effectivement, je parlais d'expérience réussie puisque lors d'une étude qualitative réalisée sur 30 patients à qui l'on avait brièvement présenté SANOIA, près des deux tiers y voyaient un intérêt et notamment par sa capacité à faire avancer leur connaissance sur la maladie ou encore à les aider à mieux la gérer sans grandement perturber leur rapport à elle.
Mais au-delà de cette étude qualitative, il est important, si l'on souhaite qu'un outil, celui-ci ou un autre puisse s'inscrire dans une stratégie ou un parcours de soin, de le valider sur le plan scientifique et sur le plan de la pratique médicale
Effectivement, dès 2011, nous montrions à l'ACR dans le cadre d'une étude observationnelle, (c'est le poster de gauche) que les patients étaient capables de rapporter correctement des informations sur leur santé. Puis en 2012, lorsque le service commençait à être utiliser par un nombre significatif de patients, que la population qu'il constituait était assez représentative de la population française.
Nous avions donc d'une part démontré que notre site était utilisable facilement par les patients et que d'autre part, il n'y avait pas de barrière particulière auprès des patients atteints.
Aussi, forts de ces résultats, nous avons souhaité dans le cadre d'une nouvelle étude réalisée avec le soutien d'UCB et coordonnée par le Dr. Laure GOSSEC, si cet outil, que nous avions conçu pour se placer au centre de la relation médecin-patient pouvait positivement ou non l'impacter. Cette étude comparant deux groupes, l'un utilisant SANOIA, l'autre non et portant sur 330 patients répartis sur 11 centres recruteurs,
Elle aura pour objectif principal de mesurer l’impact du service SANOIA sur l’efficacité des échanges patient-médecin en utilisant un questionnaire validé traduit en français pour les besoins de cette étude, le PEPPI.
Les étapes de conception et d'obtention des avis réglementaires ayant eu lieu sur la période courant 2013 à début 2014, l'exécution sera sur la période 2014-2015 pour une communication des résultats attendue pour la fin 2015.
Ces résultats viendront s'ajouter aux précédents et surtout confirmer que
Les outils digitaux peuvent être facilitateurs de la relation médecin-patient pour peu d'avoir une démarche hautement fédératrice et bénéfique pour l'ensemble des acteurs de la chaîne du soin.