Soignants et soignés évoluent dans un système complexe qui rend parfois la communication entre ces deux partenaires difficile. Les patients ne comprennent pas toujours les messages qui leur sont délivrés, assimilant mal ce qui concerne leur prise en charge. Par crainte de faire perdre du temps, mais aussi parce que la relation soignant-soigné est par essence asymétrique, les patients n’osent pas poser des questions. Et pourtant, un patient qui communique avec les soignants, qui est attentif à son environnement, qui ose interpeller lorsqu’il ne comprend pas, permet d’améliorer sa sécurité lors des soins.
Le Programme National pour la Sécurité des Patients (PNSP) est une volonté nationale d’intensifier la mobilisation de tous, patients et professionnels, pour progresser en matière de sécurité du patient
Le programme, conjointement piloté par la Direction générale de l’offre de soins et la Direction générale de la santé en association avec la Haute Autorité de santé (HAS) a pour objectifs de mieux structurer et de renforcer les actions dans le domaine de la sécurité des patients et d’orienter l’ensemble des acteurs de santé vers des priorités d’actions.
Ainsi le PNSP s’articule autour de 4 axes
Quatre thématiques structurent le projet. Elles présentent entre elles de nombreuses interfaces et convergences :
- renforcement de l’information du patient et de la relation soignant-soigné afin de mieux permettre au patient d’être co-acteur de sa sécurité (Axe 1)
- mise en place d’une déclaration et d’une prise en compte des évènements indésirables associés aux soins dans une logique d’apprentissage et d’amélioration des pratiques, via l’analyse des causes systémiques et le retour d’expérience en équipe, avec valorisation aux niveaux régional et national (Axe 2)
- amélioration de la culture de sécurité par la mise en place de formations à la sécurité des soins; le recours à des méthodes pédagogiques innovantes comme la simulation en santé; ou encore l’appui des professionnels de santé par des structures expertes (Axe 3)
- développement de la recherche sur la sécurité des soins et amélioration de la sécurité des personnes participant à la recherche clinique (Axe 4)
Pour en savoir plus sur le Programme National pour la Sécurité des Patients (PNSP) : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/r_1505131/fr/programme-national-pour-la-securite-des-patients-pnsp?xtmc=&xtcr=3
Programme pour l’Amélioration Continue du Travail en Equipe (PACTE) - HASHaute Autorité de Santé
Les objectifs de ce programme sont de
- Sensibiliser les professionnels aux pratiques collaboratives autour de la qualité et de la sécurité des soins ;
- Faire levier au niveau du microsystème clinique, là où les patients, les familles et les équipes se retrouvent,autour d’un programme d’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins,
- Élaborer un programme d’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins en équipe, là où la prise en charge réelle traduit la réalité de la pratique, suivre et évaluer les effets produits (individuel, patient, collectif, clinique, etc.)
Césarienne programmée à terme Optimiser la pertinence du parcours patient : E...Haute Autorité de Santé
Quel changement mettre en œuvre en priorité ? Comment initier la démarche ?
- Prenez le temps d’une réunion ; vous en gagnerez beaucoup par la suite. Il est nécessaire de réfléchir en commun, avec des représentants de tous les professionnels intervenant dans le suivi de grossesse. Le changement passe par l’implication de chacun.
- Faites simple ; vous pouvez choisir un objectif de qualité directement à partir d’une discussion entre vous sur quelques dossiers. Référez-vous aux recommandations principales.
- Décrire qui fait quoi à quel moment dans le suivi de grossesse permet de comprendre quelle étape améliorer en priorité selon l’organisation locale. Le guide vous propose des parcours génériques en fonction des facteurs de risque pouvant nécessiter une césarienne programmée à terme.
- Soyez réalistes ; commencez par une action faisable rapidement. Mettez-vous d’accord sur un critère de réussite sur lequel communiquer pour valoriser la démarche.
Pour consulter le guide sur la césarienne programmée à terme de la Haute Autorité de santé : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1294171/fr/cesarienne-programmee-a-terme-optimiser-la-pertinence-du-parcours-de-la-patiente?xtmc=&xtcr=3
Césarienne programmée à terme : Optimiser la pertinence du parcours de la pa...Haute Autorité de Santé
Synthèse de l'expérimentation 2013 - 2014
Devant l’hétérogénéité des pratiques de césarienne programmée à terme, la HAS a développé un programme d’optimisation de sa pertinence. Les travaux sont menés en partenariat avec les professionnels, gynécologues obstétriciens (Collège national des gynécologues et obstétriciens de France CNGOF), sages-femmes (Collège national des sages-femmes), qualiticiens, pédiatres ; les femmes représentées par l’association Césarine ; les réseaux de périnatalité (réunis en Fédération FFRSP) et certaines structures régionales d’évaluation ; la Direction générale de l’offre de soins (DGOS) et les Agences régionales de santé (ARS).
Pour consulter les pages traitant de la césarienne programmée à terme sur le site de la HAS : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1726022/fr/cesarienne-programmee-a-terme-optimiser-la-pertinence-du-parcours-de-la-patiente
HAS - Déploiement de la bientraitance en établissement de santé et en EHPAD -...Haute Autorité de Santé
La promotion de la bientraitance et son corolaire la prévention de la maltraitance sont des enjeux majeurs pour le système de santé aujourd’hui. Elle favorise :
- l’implication des usagers dans leurs soins, dimension centrale de la qualité, de la sécurité des soins ;
- la qualité de vie au travail, en se centrant sur le sens du travail ;
- le développement de la démocratie sanitaire.
La HAS et la FORAP (Fédération des Organismes régionaux d’Amélioration des Pratiques et des Organisations en santé) proposent un guide dont l’objectif est d’accompagner les établissements dans le déploiement de la bientraitance en leur donnant les outils stratégiques et opérationnels nécessaires.
Pour consulter ce guide : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_915130/fr/promotion-de-la-bientraitance
Le patient traceur : une méthode d’évaluation de la réalité de l’activité des...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de santé a procédé à une relecture du manuel autour de 20 thématiques auxquelles sont rattachés chacun des critères du manuel V2010. La liste des thématiques correspond à des choix opérés par la HAS au regard de la structuration actuelle du manuel.
Avec la certification V2014, la HAS a souhaité renforcer la performance de la visite et orienter son regard sur la réalité de l’activité. C’est la raison pour laquelle elle a choisi d’avoir recours à l'audit de processus et à la méthode du patient traceur afin d’apprécier au mieux les facteurs humains et organisationnels ayant un impact sur la prise en charge de chaque patient.
Les investigations structurées par audit de processus visent à évaluer l’organisation autour de chaque processus pour s’assurer de sa maîtrise et de vérifier son application sur le terrain.
Les investigations réalisées selon la méthode du patient traceur viennent alimenter chaque processus retenu pour une évaluation lors de la visite.
Rencontres régionales HAS 2013 (Lyon) - Parcours de soins, un enjeu de transf...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 7 février 2013 à l’École Normale Supérieure de Lyon une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Auvergne et Rhône-Alpes sur des thèmes les mobilisant.
Ces Rencontres ont débuté par les allocutions de :
- Gilles de Lacaussade, Directeur général adjoint, ARS Rhône-Alpes
- Charles-Henry Guez, Secrétaire général, URPS Médecins Rhône-Alpes
- Philippe Michel, Directeur de l’organisation, de la qualité et des relations avec les usagers,Hospices Civils de Lyon
- Dominique Maigne, Directeur, Haute Autorité de Santé
Puis, elles se sont articulées autour d’une séance plénière :
- Sécurité du patient, des défis à relever en région
et de trois tables rondes :
- Parcours de soins, un enjeu de transformation pour la ville et l'hôpital
- Qualité de vie au travail, un enjeu d’équipe
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite
Le Programme National pour la Sécurité des Patients (PNSP) est une volonté nationale d’intensifier la mobilisation de tous, patients et professionnels, pour progresser en matière de sécurité du patient
Le programme, conjointement piloté par la Direction générale de l’offre de soins et la Direction générale de la santé en association avec la Haute Autorité de santé (HAS) a pour objectifs de mieux structurer et de renforcer les actions dans le domaine de la sécurité des patients et d’orienter l’ensemble des acteurs de santé vers des priorités d’actions.
Ainsi le PNSP s’articule autour de 4 axes
Quatre thématiques structurent le projet. Elles présentent entre elles de nombreuses interfaces et convergences :
- renforcement de l’information du patient et de la relation soignant-soigné afin de mieux permettre au patient d’être co-acteur de sa sécurité (Axe 1)
- mise en place d’une déclaration et d’une prise en compte des évènements indésirables associés aux soins dans une logique d’apprentissage et d’amélioration des pratiques, via l’analyse des causes systémiques et le retour d’expérience en équipe, avec valorisation aux niveaux régional et national (Axe 2)
- amélioration de la culture de sécurité par la mise en place de formations à la sécurité des soins; le recours à des méthodes pédagogiques innovantes comme la simulation en santé; ou encore l’appui des professionnels de santé par des structures expertes (Axe 3)
- développement de la recherche sur la sécurité des soins et amélioration de la sécurité des personnes participant à la recherche clinique (Axe 4)
Pour en savoir plus sur le Programme National pour la Sécurité des Patients (PNSP) : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/r_1505131/fr/programme-national-pour-la-securite-des-patients-pnsp?xtmc=&xtcr=3
Programme pour l’Amélioration Continue du Travail en Equipe (PACTE) - HASHaute Autorité de Santé
Les objectifs de ce programme sont de
- Sensibiliser les professionnels aux pratiques collaboratives autour de la qualité et de la sécurité des soins ;
- Faire levier au niveau du microsystème clinique, là où les patients, les familles et les équipes se retrouvent,autour d’un programme d’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins,
- Élaborer un programme d’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins en équipe, là où la prise en charge réelle traduit la réalité de la pratique, suivre et évaluer les effets produits (individuel, patient, collectif, clinique, etc.)
Césarienne programmée à terme Optimiser la pertinence du parcours patient : E...Haute Autorité de Santé
Quel changement mettre en œuvre en priorité ? Comment initier la démarche ?
- Prenez le temps d’une réunion ; vous en gagnerez beaucoup par la suite. Il est nécessaire de réfléchir en commun, avec des représentants de tous les professionnels intervenant dans le suivi de grossesse. Le changement passe par l’implication de chacun.
- Faites simple ; vous pouvez choisir un objectif de qualité directement à partir d’une discussion entre vous sur quelques dossiers. Référez-vous aux recommandations principales.
- Décrire qui fait quoi à quel moment dans le suivi de grossesse permet de comprendre quelle étape améliorer en priorité selon l’organisation locale. Le guide vous propose des parcours génériques en fonction des facteurs de risque pouvant nécessiter une césarienne programmée à terme.
- Soyez réalistes ; commencez par une action faisable rapidement. Mettez-vous d’accord sur un critère de réussite sur lequel communiquer pour valoriser la démarche.
Pour consulter le guide sur la césarienne programmée à terme de la Haute Autorité de santé : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1294171/fr/cesarienne-programmee-a-terme-optimiser-la-pertinence-du-parcours-de-la-patiente?xtmc=&xtcr=3
Césarienne programmée à terme : Optimiser la pertinence du parcours de la pa...Haute Autorité de Santé
Synthèse de l'expérimentation 2013 - 2014
Devant l’hétérogénéité des pratiques de césarienne programmée à terme, la HAS a développé un programme d’optimisation de sa pertinence. Les travaux sont menés en partenariat avec les professionnels, gynécologues obstétriciens (Collège national des gynécologues et obstétriciens de France CNGOF), sages-femmes (Collège national des sages-femmes), qualiticiens, pédiatres ; les femmes représentées par l’association Césarine ; les réseaux de périnatalité (réunis en Fédération FFRSP) et certaines structures régionales d’évaluation ; la Direction générale de l’offre de soins (DGOS) et les Agences régionales de santé (ARS).
Pour consulter les pages traitant de la césarienne programmée à terme sur le site de la HAS : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1726022/fr/cesarienne-programmee-a-terme-optimiser-la-pertinence-du-parcours-de-la-patiente
HAS - Déploiement de la bientraitance en établissement de santé et en EHPAD -...Haute Autorité de Santé
La promotion de la bientraitance et son corolaire la prévention de la maltraitance sont des enjeux majeurs pour le système de santé aujourd’hui. Elle favorise :
- l’implication des usagers dans leurs soins, dimension centrale de la qualité, de la sécurité des soins ;
- la qualité de vie au travail, en se centrant sur le sens du travail ;
- le développement de la démocratie sanitaire.
La HAS et la FORAP (Fédération des Organismes régionaux d’Amélioration des Pratiques et des Organisations en santé) proposent un guide dont l’objectif est d’accompagner les établissements dans le déploiement de la bientraitance en leur donnant les outils stratégiques et opérationnels nécessaires.
Pour consulter ce guide : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_915130/fr/promotion-de-la-bientraitance
Le patient traceur : une méthode d’évaluation de la réalité de l’activité des...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de santé a procédé à une relecture du manuel autour de 20 thématiques auxquelles sont rattachés chacun des critères du manuel V2010. La liste des thématiques correspond à des choix opérés par la HAS au regard de la structuration actuelle du manuel.
Avec la certification V2014, la HAS a souhaité renforcer la performance de la visite et orienter son regard sur la réalité de l’activité. C’est la raison pour laquelle elle a choisi d’avoir recours à l'audit de processus et à la méthode du patient traceur afin d’apprécier au mieux les facteurs humains et organisationnels ayant un impact sur la prise en charge de chaque patient.
Les investigations structurées par audit de processus visent à évaluer l’organisation autour de chaque processus pour s’assurer de sa maîtrise et de vérifier son application sur le terrain.
Les investigations réalisées selon la méthode du patient traceur viennent alimenter chaque processus retenu pour une évaluation lors de la visite.
Rencontres régionales HAS 2013 (Lyon) - Parcours de soins, un enjeu de transf...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 7 février 2013 à l’École Normale Supérieure de Lyon une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Auvergne et Rhône-Alpes sur des thèmes les mobilisant.
Ces Rencontres ont débuté par les allocutions de :
- Gilles de Lacaussade, Directeur général adjoint, ARS Rhône-Alpes
- Charles-Henry Guez, Secrétaire général, URPS Médecins Rhône-Alpes
- Philippe Michel, Directeur de l’organisation, de la qualité et des relations avec les usagers,Hospices Civils de Lyon
- Dominique Maigne, Directeur, Haute Autorité de Santé
Puis, elles se sont articulées autour d’une séance plénière :
- Sécurité du patient, des défis à relever en région
et de trois tables rondes :
- Parcours de soins, un enjeu de transformation pour la ville et l'hôpital
- Qualité de vie au travail, un enjeu d’équipe
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite
Rencontres régionales HAS 2013 (Lyon) - Qualité de vie au travail, un enjeu d...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 7 février 2013 à l’École Normale Supérieure de Lyon une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Auvergne et Rhône-Alpes sur des thèmes les mobilisant.
Ces Rencontres ont débuté par les allocutions de :
- Gilles de Lacaussade, Directeur général adjoint, ARS Rhône-Alpes
- Charles-Henry Guez, Secrétaire général, URPS Médecins Rhône-Alpes
- Philippe Michel, Directeur de l’organisation, de la qualité et des relations avec les usagers,Hospices Civils de Lyon
- Dominique Maigne, Directeur, Haute Autorité de Santé
Puis, elles se sont articulées autour d’une séance plénière :
- Sécurité du patient, des défis à relever en région
et de trois tables rondes :
- Parcours de soins, un enjeu de transformation pour la ville et l'hôpital
- Qualité de vie au travail, un enjeu d’équipe
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite
Rencontres régionales HAS 2013 (Lyon) - Certification des établissements de s...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 7 février 2013 à l’École Normale Supérieure de Lyon une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Auvergne et Rhône-Alpes sur des thèmes les mobilisant.
Ces Rencontres ont débuté par les allocutions de :
- Gilles de Lacaussade, Directeur général adjoint, ARS Rhône-Alpes
- Charles-Henry Guez, Secrétaire général, URPS Médecins Rhône-Alpes
- Philippe Michel, Directeur de l’organisation, de la qualité et des relations avec les usagers,Hospices Civils de Lyon
- Dominique Maigne, Directeur, Haute Autorité de Santé
Puis, elles se sont articulées autour d’une séance plénière :
- Sécurité du patient, des défis à relever en région
et de trois tables rondes :
- Parcours de soins, un enjeu de transformation pour la ville et l'hôpital
- Qualité de vie au travail, un enjeu d’équipe
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite
Le site d’information des usagers sur la qualité des prises en charge dans les établissements de santé. S'informer pour bien choisir > http://www.scopesante.fr
Rencontres régionales HAS 2012 (Lille) - Certification des établissements de ...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 13 décembre 2012 au Grand Palais de Lille une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Basse-Normandie, Haute-Normandie, Nord-Pas-de-Calais et Picardie sur des thèmes les mobilisant.
Cette journée s'est articulée autour de deux séances plénières :
- Maladies chroniques, un enjeu de transformation pour la ville et l’hôpital,
- Sécurité du patient, des défis à relever en région,
et de trois tables rondes simultanées :
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite,
- Nouvelles modalités d’exercice : quels bénéfices pour le patient ?
- Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient.
Rencontres régionales HAS 2012 (Lille) - Nouvelles modalités d’exercice : que...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 13 décembre 2012 au Grand Palais de Lille une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Basse-Normandie, Haute-Normandie, Nord-Pas-de-Calais et Picardie sur des thèmes les mobilisant.
Cette journée s'est articulée autour de deux séances plénières :
- Maladies chroniques, un enjeu de transformation pour la ville et l’hôpital,
- Sécurité du patient, des défis à relever en région,
et de trois tables rondes simultanées :
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite,
- Nouvelles modalités d’exercice : quels bénéfices pour le patient ?
- Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient.
La communication est un élément clé dans la construction de la relation soignant-soigné. Le défaut de communication a un impact direct sur la qualité et la sécurité des patients.
Pour en savoir plus : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1660975/fr/communiquer-impliquer-le-patient
Objet de l’appel :
Pour en apprendre plus sur :
•Les stratégies et les approches gagnantes pour mobiliser les patients et les aidants en faveur du BCM
•La manière dont les équipes peuvent engager un dialogue constructif avec les patients et les aidants sur les avantages d’une liste mise à jour
•La conception d’outils et de ressources papier et électroniques destinés à aider patients et aidants à créer et mettre à jour leur liste de médicaments.
Cliquez ici pour visionner la vidéo http://bit.ly/1eenmWp (en anglais seulement)
Intervention :
Sepsis
Date :
Jeudi le 8 mai 2014
Commanditaires :
•Institut canadien pour la sécurité des patients
•Collboration canadienne des soins intensifsConférenciers :•John C. Marshall, MD FACS, Hôpital Saint Michael’s, Université de TorontoObjectif de l’appel :
Apporter les dernières nouvelles de la campagne Survivre au sepsis
Cliquer ici pour regarder la vidéo http://bit.ly/1pbrzEp
Objet de l’appel :
1.Fournir de l’information générale sur l’initiative PDiF, ses résulats et les leçons-clés qu’on en retient.
2.Identifier la manière dont une organisation s’est attaquée aux obstacles que
rencontrent les patients dans la gestion sécuritaire de leurs médicaments après avoir reçu leur congé de l’hôpital..
3.Inciter tous les professionnels de la santé à tenir compte du bilan comparatif des médicaments lors du congé dans leur évaluation, et ce, du jour de l’admission jusqu’à la fin du séjour du patient à l’hôpital.
4.Inciter les pharmaciens à étendre leur rôle dans le bilan comparatif des médicaments lors du congé.
Cliquez ici pour visionner la vidéo (en anglais seulement) http://bit.ly/1i5aqrU
Objectif de l’appel :
•Offrir un aperçu des composantes de la trousse MARQUIS, conçue sur la base des meilleures pratiques de bilan comparatif des médicaments et destinée à aider les hôpitaux à améliorer la qualité de leur processus de bilan comparatif des médicaments.
•Survoler les résultats préliminaores de l’étude MARQUIS, de manière à comprendre les effets d’une intervention encadrée en amélioration de la qualité sur le nombre d’erreurs en bilan comparatif des médicaments.
•Discuter des leçons à tirer des sites d’étude ayant mis en oeuvre le programme MARQUIS et de la manière dont elles s’appliquent aux hôpitaux canadiens et explorer les obstacles à leur application ainsi que les moyens de les surmonter.
•Expliquer pourquoi les provinces, les systèmes de soins et les hôpitaux doivent investir dans le bilan comparatif des médicaments et pourquoi les médecins doivent y contribuer de manière importante.
Cliquez ici pour visionner la vidéo (en anglais seulement) http://bit.ly/1dJquie
Présentation réalisée par Jérôme FOUCAULT dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé les 3 et 4 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
Objet de l’appel :
Soins de santé plus sécuritaires maintenant!, un programme de l’Institut canadien pour la sécurité des patients, vous invite à participer à la Vérification nationale de TEV 2014, qui vise à établir un bilan national des taux de thromboprophylaxie de la TEV et à sensibiliser à la prophylaxie efficace de la TEV.
La TEV est l’une des complications les plus courantes lors d’une hospitalisation, de même que l’une des plus faciles à prévenir. La prophylaxie de la TEV est l’une des pratiques organisationnelles requises (POR) d’Agrément Canada.
En participant à cette vérification nationale, vous prendrez part à un vaste mouvement cherchant à éviter la thrombose veineuse profonde (TVP) et l’embolie pulmonaire (EP) chez les patients des hôpitaux. Pour plus de renseignements sur la Journée canadienne de vérification de la TEV, joignez-vous à notre appel d’information gratuit.
Pour en savoir plus: http://bit.ly/1wg4Dos
Objet de l’appel :
Deux hôpitaux décriront la façon dont ils ont chacun mis en oeuvre le processus BCM avec le soutien de la technologie de l'information de santé. Toronto East, un grand hôpital urbain, décrira comment son système d'information hospitalier « Cerner » est utilisé en soutien au BCM à l'admission. L’Hôpital général de Whitehorse, un hôpital de 55 lits, expliquera comment le logiciel Iatric Systems fonctionne de pair avec son système d'information hospitalier, Meditech, pour soutenir le BCM au congé.
Plus précisément, ils décriront :
•Comment leurs technologies respectives soutiennent les processus BCM
•Les avantages perçus / démontrés et défis relatifs à l'utilisation de la technologie
•Les leçons apprises lors de la transition au BCM électronique
Pour en savoir plus: http://bit.ly/1qJC2HO
But de l’appel :
1.Étudier les dernières modifications aux lignes directrices canadiennes sur la PVA
2.Souligner les changements et les raisons qui justifient leur importance
Pour en savoir plus http://bit.ly/1sXDG9O
2014-02-06 ASIP Santé RIR "Le SI des infirmiers libéraux"ASIP Santé
Présentation "Le SI des infirmiers libéraux" par Nicolas SCHINKEL, infirmier libéral, chargé de mission Télésanté, Fédération Nationale des Infirmiers, URPS Infirmiers de Franche-Comté
Depuis septembre 2015, chaque patient hospitalisé peut donner son avis sur son séjour dans un hôpital ou une clinique en France grâce à un questionnaire de satisfaction sécurisé en ligne (e-Satis).
Pour en savoir plus : http://www.has-sante.fr:8080/portail/jcms/c_2660702/fr/donner-son-avis-sur-son-hospitalisation
Making use of various information systems to disseminate HTA knowledge in FranceHaute Autorité de Santé
In addition to developing HTA knowledge, the French National Authority for Health (HAS) places an emphasis on formatting the developed content in order to improve its use by health care professionals. Towards this effort, the HAS produces: summary
reports that clarify the added value and place in a therapeutic strategy for new drugs, and appropriate-use documents that highlight the proper use of drugs at risk of prescription issues.
The HAS does not use proactive means of dissemination such as mailings, alerts, seminars, or workshops.
The HAS strives to increase HTA knowledge visibility: its website serves as the primary tool to disseminate HTA knowledge; additional information systems have recently been used to further dissemination efforts.
Rencontres régionales HAS 2013 (Lyon) - Qualité de vie au travail, un enjeu d...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 7 février 2013 à l’École Normale Supérieure de Lyon une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Auvergne et Rhône-Alpes sur des thèmes les mobilisant.
Ces Rencontres ont débuté par les allocutions de :
- Gilles de Lacaussade, Directeur général adjoint, ARS Rhône-Alpes
- Charles-Henry Guez, Secrétaire général, URPS Médecins Rhône-Alpes
- Philippe Michel, Directeur de l’organisation, de la qualité et des relations avec les usagers,Hospices Civils de Lyon
- Dominique Maigne, Directeur, Haute Autorité de Santé
Puis, elles se sont articulées autour d’une séance plénière :
- Sécurité du patient, des défis à relever en région
et de trois tables rondes :
- Parcours de soins, un enjeu de transformation pour la ville et l'hôpital
- Qualité de vie au travail, un enjeu d’équipe
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite
Rencontres régionales HAS 2013 (Lyon) - Certification des établissements de s...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 7 février 2013 à l’École Normale Supérieure de Lyon une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Auvergne et Rhône-Alpes sur des thèmes les mobilisant.
Ces Rencontres ont débuté par les allocutions de :
- Gilles de Lacaussade, Directeur général adjoint, ARS Rhône-Alpes
- Charles-Henry Guez, Secrétaire général, URPS Médecins Rhône-Alpes
- Philippe Michel, Directeur de l’organisation, de la qualité et des relations avec les usagers,Hospices Civils de Lyon
- Dominique Maigne, Directeur, Haute Autorité de Santé
Puis, elles se sont articulées autour d’une séance plénière :
- Sécurité du patient, des défis à relever en région
et de trois tables rondes :
- Parcours de soins, un enjeu de transformation pour la ville et l'hôpital
- Qualité de vie au travail, un enjeu d’équipe
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite
Le site d’information des usagers sur la qualité des prises en charge dans les établissements de santé. S'informer pour bien choisir > http://www.scopesante.fr
Rencontres régionales HAS 2012 (Lille) - Certification des établissements de ...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 13 décembre 2012 au Grand Palais de Lille une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Basse-Normandie, Haute-Normandie, Nord-Pas-de-Calais et Picardie sur des thèmes les mobilisant.
Cette journée s'est articulée autour de deux séances plénières :
- Maladies chroniques, un enjeu de transformation pour la ville et l’hôpital,
- Sécurité du patient, des défis à relever en région,
et de trois tables rondes simultanées :
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite,
- Nouvelles modalités d’exercice : quels bénéfices pour le patient ?
- Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient.
Rencontres régionales HAS 2012 (Lille) - Nouvelles modalités d’exercice : que...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 13 décembre 2012 au Grand Palais de Lille une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Basse-Normandie, Haute-Normandie, Nord-Pas-de-Calais et Picardie sur des thèmes les mobilisant.
Cette journée s'est articulée autour de deux séances plénières :
- Maladies chroniques, un enjeu de transformation pour la ville et l’hôpital,
- Sécurité du patient, des défis à relever en région,
et de trois tables rondes simultanées :
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite,
- Nouvelles modalités d’exercice : quels bénéfices pour le patient ?
- Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient.
La communication est un élément clé dans la construction de la relation soignant-soigné. Le défaut de communication a un impact direct sur la qualité et la sécurité des patients.
Pour en savoir plus : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1660975/fr/communiquer-impliquer-le-patient
Objet de l’appel :
Pour en apprendre plus sur :
•Les stratégies et les approches gagnantes pour mobiliser les patients et les aidants en faveur du BCM
•La manière dont les équipes peuvent engager un dialogue constructif avec les patients et les aidants sur les avantages d’une liste mise à jour
•La conception d’outils et de ressources papier et électroniques destinés à aider patients et aidants à créer et mettre à jour leur liste de médicaments.
Cliquez ici pour visionner la vidéo http://bit.ly/1eenmWp (en anglais seulement)
Intervention :
Sepsis
Date :
Jeudi le 8 mai 2014
Commanditaires :
•Institut canadien pour la sécurité des patients
•Collboration canadienne des soins intensifsConférenciers :•John C. Marshall, MD FACS, Hôpital Saint Michael’s, Université de TorontoObjectif de l’appel :
Apporter les dernières nouvelles de la campagne Survivre au sepsis
Cliquer ici pour regarder la vidéo http://bit.ly/1pbrzEp
Objet de l’appel :
1.Fournir de l’information générale sur l’initiative PDiF, ses résulats et les leçons-clés qu’on en retient.
2.Identifier la manière dont une organisation s’est attaquée aux obstacles que
rencontrent les patients dans la gestion sécuritaire de leurs médicaments après avoir reçu leur congé de l’hôpital..
3.Inciter tous les professionnels de la santé à tenir compte du bilan comparatif des médicaments lors du congé dans leur évaluation, et ce, du jour de l’admission jusqu’à la fin du séjour du patient à l’hôpital.
4.Inciter les pharmaciens à étendre leur rôle dans le bilan comparatif des médicaments lors du congé.
Cliquez ici pour visionner la vidéo (en anglais seulement) http://bit.ly/1i5aqrU
Objectif de l’appel :
•Offrir un aperçu des composantes de la trousse MARQUIS, conçue sur la base des meilleures pratiques de bilan comparatif des médicaments et destinée à aider les hôpitaux à améliorer la qualité de leur processus de bilan comparatif des médicaments.
•Survoler les résultats préliminaores de l’étude MARQUIS, de manière à comprendre les effets d’une intervention encadrée en amélioration de la qualité sur le nombre d’erreurs en bilan comparatif des médicaments.
•Discuter des leçons à tirer des sites d’étude ayant mis en oeuvre le programme MARQUIS et de la manière dont elles s’appliquent aux hôpitaux canadiens et explorer les obstacles à leur application ainsi que les moyens de les surmonter.
•Expliquer pourquoi les provinces, les systèmes de soins et les hôpitaux doivent investir dans le bilan comparatif des médicaments et pourquoi les médecins doivent y contribuer de manière importante.
Cliquez ici pour visionner la vidéo (en anglais seulement) http://bit.ly/1dJquie
Présentation réalisée par Jérôme FOUCAULT dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé les 3 et 4 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
Objet de l’appel :
Soins de santé plus sécuritaires maintenant!, un programme de l’Institut canadien pour la sécurité des patients, vous invite à participer à la Vérification nationale de TEV 2014, qui vise à établir un bilan national des taux de thromboprophylaxie de la TEV et à sensibiliser à la prophylaxie efficace de la TEV.
La TEV est l’une des complications les plus courantes lors d’une hospitalisation, de même que l’une des plus faciles à prévenir. La prophylaxie de la TEV est l’une des pratiques organisationnelles requises (POR) d’Agrément Canada.
En participant à cette vérification nationale, vous prendrez part à un vaste mouvement cherchant à éviter la thrombose veineuse profonde (TVP) et l’embolie pulmonaire (EP) chez les patients des hôpitaux. Pour plus de renseignements sur la Journée canadienne de vérification de la TEV, joignez-vous à notre appel d’information gratuit.
Pour en savoir plus: http://bit.ly/1wg4Dos
Objet de l’appel :
Deux hôpitaux décriront la façon dont ils ont chacun mis en oeuvre le processus BCM avec le soutien de la technologie de l'information de santé. Toronto East, un grand hôpital urbain, décrira comment son système d'information hospitalier « Cerner » est utilisé en soutien au BCM à l'admission. L’Hôpital général de Whitehorse, un hôpital de 55 lits, expliquera comment le logiciel Iatric Systems fonctionne de pair avec son système d'information hospitalier, Meditech, pour soutenir le BCM au congé.
Plus précisément, ils décriront :
•Comment leurs technologies respectives soutiennent les processus BCM
•Les avantages perçus / démontrés et défis relatifs à l'utilisation de la technologie
•Les leçons apprises lors de la transition au BCM électronique
Pour en savoir plus: http://bit.ly/1qJC2HO
But de l’appel :
1.Étudier les dernières modifications aux lignes directrices canadiennes sur la PVA
2.Souligner les changements et les raisons qui justifient leur importance
Pour en savoir plus http://bit.ly/1sXDG9O
2014-02-06 ASIP Santé RIR "Le SI des infirmiers libéraux"ASIP Santé
Présentation "Le SI des infirmiers libéraux" par Nicolas SCHINKEL, infirmier libéral, chargé de mission Télésanté, Fédération Nationale des Infirmiers, URPS Infirmiers de Franche-Comté
Depuis septembre 2015, chaque patient hospitalisé peut donner son avis sur son séjour dans un hôpital ou une clinique en France grâce à un questionnaire de satisfaction sécurisé en ligne (e-Satis).
Pour en savoir plus : http://www.has-sante.fr:8080/portail/jcms/c_2660702/fr/donner-son-avis-sur-son-hospitalisation
Making use of various information systems to disseminate HTA knowledge in FranceHaute Autorité de Santé
In addition to developing HTA knowledge, the French National Authority for Health (HAS) places an emphasis on formatting the developed content in order to improve its use by health care professionals. Towards this effort, the HAS produces: summary
reports that clarify the added value and place in a therapeutic strategy for new drugs, and appropriate-use documents that highlight the proper use of drugs at risk of prescription issues.
The HAS does not use proactive means of dissemination such as mailings, alerts, seminars, or workshops.
The HAS strives to increase HTA knowledge visibility: its website serves as the primary tool to disseminate HTA knowledge; additional information systems have recently been used to further dissemination efforts.
Making use of various information systems to disseminate HTA knowledge in Fra...Haute Autorité de Santé
Illustrations in complement to the poster
Adapting to Internet trends and development
Search engine optimization
Newsletter subscription
Social media
HAS’ Website Mobile Version
Capitalizing on the use of the public body drug database
Capitalizing on the use of prescription software
L’audit de processus : Une méthode d’évaluation de la réalité de l’activité d...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de santé a procédé à une relecture du manuel autour de 20 thématiques auxquelles sont rattachés chacun des critères du manuel V2010. La liste des thématiques correspond à des choix opérés par la HAS au regard de la structuration actuelle du manuel.
Avec la certification V2014, la HAS a souhaité renforcer la performance de la visite et orienter son regard sur la réalité de l’activité. C’est la raison pour laquelle elle a choisi d’avoir recours à l'audit de processus et à la méthode du patient traceur afin d’apprécier au mieux les facteurs humains et organisationnels ayant un impact sur la prise en charge de chaque patient.
Les investigations structurées par audit de processus visent à évaluer l’organisation autour de chaque processus pour s’assurer de sa maîtrise et de vérifier son application sur le terrain.
Les investigations réalisées selon la méthode du patient traceur viennent alimenter chaque processus retenu pour une évaluation lors de la visite.
Pour de nombreux malades qui ont une insuffisance rénale grave, la greffe d'un rein est la solution qui apporte une meilleure qualité de vie et espérance de vie.
Comme chaque année, le rapport annuel d’activité de la Haute Autorité de Santé présente les chiffres clés de l’année passée et propose des focus sur ses productions et quelques faits marquants.
En 2013, la HAS a adopté son nouveau projet stratégique pour les 3 années à venir et poursuit son ambition de participer à la régulation du système de santé par la qualité et l’efficience. Elle a notamment débuté ses avis médico-économiques pour certains médicaments et dispositifs médicaux, créé une mission dédiée à la sécurité des patients, expérimenté le compte-qualité de la V2014 de la certification des établissements de santé et lancé le site d’information sur les hôpitaux et cliniques français, Scope Santé (www.scopesante.fr), à destination du grand public.
Prévention vasculaire après un infarctus cérébral ou un accident ischémique t...Haute Autorité de Santé
Les recommandations portent sur la prévention secondaire de l’ensemble des événements vasculaires (accident vasculaire cérébral, infarctus du myocarde et décès d’origine vasculaire), parce que l’IC confère non seulement un risque élevé de récidive, mais aussi un risque conséquent d’infarctus du myocarde et de décès d’origine vasculaire.
Elles concernent les patients adultes ayant eu un AIT ou un IC après la phase aiguë, alors que le diagnostic a déjà été établi.
La durée de la phase aiguë varie de quelques jours à plusieurs semaines en fonction de la taille et de la sévérité de l’IC . La prévention vasculaire comprend une prévention globale par le contrôle des facteurs de risque et un traitement spécifique en fonction de l’étiologie de l’IC ou de l’AIT. L’éducation thérapeutique fait partie intégrante de la prévention secondaire après un IC ou un AIT . Toutes les recommandations, un particulier celles relatives au contrôle des facteurs de risque ou à l’observance médicamenteuse, peuvent entrer dans une démarche d'éducation thérapeutique du patient.
Pour consulter la recommandation de la HAS : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1252051/fr/prevention-vasculaire-apres-un-infarctus-cerebral-ou-un-accident-ischemique-transitoire
La Haute Autorité de Santé (HAS) publie aujourd’hui son rapport annuel d’activité, qui revient sur les principaux faits marquants de l’année 2014. Elle y présente les principaux travaux et productions de ses services et de ses 3 commissions réglementaires qui évaluent les médicaments, dispositifs médicaux, actes et procèdent aux évaluations médico-économiques. Une synthèse du rapport et sa version longue sont disponibles sur le site de la HAS, www.has-sante.fr.
Pour en savoir plus, consultez le communiqué de presse : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_2043935/fr/publication-du-rapport-d-activite-annuel-la-has-revient-sur-son-annee-2014
Rencontres régionales HAS 2013 (Lyon) - Sécurité du patient, des défis à rele...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 7 février 2013 à l’École Normale Supérieure de Lyon une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Auvergne et Rhône-Alpes sur des thèmes les mobilisant.
Ces Rencontres ont débuté par les allocutions de :
- Gilles de Lacaussade, Directeur général adjoint, ARS Rhône-Alpes
- Charles-Henry Guez, Secrétaire général, URPS Médecins Rhône-Alpes
- Philippe Michel, Directeur de l’organisation, de la qualité et des relations avec les usagers,Hospices Civils de Lyon
- Dominique Maigne, Directeur, Haute Autorité de Santé
Puis, elles se sont articulées autour d’une séance plénière :
- Sécurité du patient, des défis à relever en région
et de trois tables rondes :
- Parcours de soins, un enjeu de transformation pour la ville et l'hôpital
- Qualité de vie au travail, un enjeu d’équipe
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite
Dicutons santé : Un site web pour aider les patients atteints de maladies chr...ComSanté
Le centre de recherche sur la communication et la santé a eu le plaisir de reçevoir, le 12 mars dernier Marie-Thérèse Lussier et Claude Richard dans le cadre d'un séminaire de recherche intitulé « Discutons Santé. Un site web pour améliorer l’efficacité des rencontres entre patients et professionnels de la santé ». Les conférenciers nous ont présenté les principales fonctionnalités du site, suivie d’une discussion de l’intérêt d’adopter cet outil web en pratique clinique.
Peu d’initiatives en e-santé sont dédiées à la formation à la communication des patients et des médecins. Or la gestion efficace des maladies chroniques repose, selon le modèle de Wagner, sur des interactions productives entre patients activés et des cliniciens préparés et proactifs. Discutons santé, un site web francophone, vise l'amélioration de la communication entre les patients atteints de maladies chroniques et les professionnels de la santé. Le site offre aux patients une formation à la communication PIVO (Présenter, s’Informer, Vérifier et Oser exprimer), un guide interactif de préparation aux visites médicales et un carnet de santé. Aux médecins, il propose un module d’autoformation à l’approche CIM (Convaincre, Implanter et Maintenir) pour les aider à mieux adapter leur intervention clinique à la disposition à se traiter de leur patient.
Les outils digitaux : Facilitateur de la relation médecin-malade : Exemple de...Adam M SELAMNIA
Cette conférence a été donnée le 17 Mars 2014 dans le cadre de la 6ème Journée Nationale de la Section Éducation Thérapeutique de la Société Française de Rhumatologie. Le thème de cette journée était :
"Nouvelles technologies et sciences sociales : quel bénéfice pour l’éducation thérapeutique du patient ?"
Revue Les Cahiers du SYNGOF n°107 Décembre 2016
Le lien avec le médecin traitant paraît une bonne piste pour à la fois diminuer le délai du rendez-vous et peutêtre conforter l’urgence ou l’importance de cette consultation.
E. PAGANELLI
Les deux représentantes de l’association Aides nous remettent le texte de leur revue concernant le testing des cabinets de gynécologie. La rencontre s’engage sur un échange de nos enquêtes respectives: Pour AIDES des précisions sont redonnées sur les conditions du testing en particulier:
• Sur les précautions prises afin que la question du refus de soins ne soit pas liée à une autre raison que la séropositivité (pas d’interférence sur CMU/AME pas d’interférence sur consonance du nom ou mauvaise maîtrise du français).
• Ont été testés les cabinets médicaux de gynécologues libéraux mais pas les hôpitaux ni les centres de santé.
• Sur la personne jointe qui a souvent été la secrétaire personnelle du médecin ou une plateforme téléphonique mais du point de vue des patients la secrétaire est mandatée par le médecin qui reste responsable de la réponse. Il faut noter qu’il y a eu des refus de soins alors que le rendez-vous avait été donné (essentiellement chez d’autres professionnels de santé comme les dentistes) et au moment même de la consultation. Le défenseur des droits a été saisi dans le cadre du refus de soins sur des sites de prises de rendez-vous qui exposent un refus CMU et/ou AME. (...)
http://www.reseauprosante.fr/
Présentation réalisée par Sabrina BOUTIN dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé le 3 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
Depuis une vingtaine d’années, l’approche paternaliste des soins, où les professionnels de la santé décident pour le patient ou l’usager, est remise en cause, car elle exclut les principaux intéressés de la prise de décision. Or, les patients souhaitent de plus en plus être impliqués dans leurs soins et services. Aussi, au cours des années 2000, les approches centrées sur le patient se sont renforcées afin que les personnes soient mises au centre des décisions et que leurs valeurs et vécus soient pris en considération. Certains patients souhaitent aller au-delà du partenariat dans leurs propres soins pour mettre leur expérience à la disposition d’autres patients ou d'organisations de soins. Différentes formes d'engagement sont alors apparues. On retrouve le patient comme ressource, comme formateur ou comme coach. Ce séminaire permettra de distinguer les différentes formes d’engagement du patient et quels types de finalités elles supposent.
Lors de la présentation de Mme Pomey il a été question de différents types d’engagements du patient (soins, parcours de soins, qualité des soins, expérience patient, évaluation, recherche, participation citoyenne, témoignage). Différents modèles existent et se déclinent de différentes façons. Les formes de l’engagement varient énormément selon les pays relativement au contexte culturel, structurel et politique (par exemple, le rôle et la place des associations de patients en France par rapport au Québec). La Grande-Bretagne, la France et la Suisse offrent des modèles inspirants.
Les vigilances sanitaires dans un établissement de santéADIPh
LES VIGILANCES SANITAIRES DANS UN ETABLISSEMENT DE SANTE:
ETAT DES LIEUX, ACTIONS ET PERSPECTIVES
COORDINATION OU INTEGRATION DANS UNE GESTION GLOBALE DES RISQUES?
Formation des usagers sur l'évaluation des produits de santé et des actes - B...Haute Autorité de Santé
2 modules pour aider les associations de patients et d'usagers à participer à l’évaluation d’un médicament, d’un dispositif médical ou d’un acte professionnel à la HAS.
Contenu :
• Introduction : Définitions clés
• Module 5 : Votre participation en pratique (définitions et modalités de participation)
• Module 6 : Attentes de la HAS et conseils de méthode (y compris le conseil pour vos contributions)
• Glossaire
Pour en savoir plus : https://www.has-sante.fr/jcms/p_3385205/fr/comprendre-l-evaluation-des-technologies-de-sante
Formation des usagers sur l'évaluation des produits de santé et des actes - B...Haute Autorité de Santé
4 modules pour aider les associations de patients et d'usagers à comprendre l'évaluation des technologies de santé (médicament, dispositif médical et acte professionnel) et le rôle de la HAS dans ces évaluations.
Contenu :
• Introduction : Définitions clés
• Module 1 : La HAS (ses missions et valeurs, organisation et définitions et valeurs relatives aux usagers)
• Module 2 : L’ETS (les définitions clés et son contexte dans le système de santé français)
• Module 3 : Parcours d’une technologie de santé (médicament, dispositif médical et acte professionnel)
• Module 4 : Évaluation des technologies de santé dans le cadre du nouveau règlement européen (son contexte et calendrier)
• Glossaire
Pour en savoir plus : https://www.has-sante.fr/jcms/p_3385205/fr/comprendre-l-evaluation-des-technologies-de-sante
De l'autorisation au remboursement : le parcours d'un nouveau médicament
L’impact de la démocratie sanitaire : le patient et sa sécurité, point de vue de la HAS
1. L’impact de la démocratie sanitaire :
le patient et sa sécurité,
le point de vue de la HAS
Dr Laetitia May-Michelangeli
Chef de service
Mission sécurité du patient
Haute Autorité de Santé
Avec la collaboration de Véronique Ghadi
et Alexandre Biosse Duplan
2. Haute Autorité de Santé (HAS)
1. Autorité publique indépendante à caractère scientifique
2. Son projet stratégique 2013- 2016 :
– Contribuer à la régulation tant par la qualité des soins et la
sécurité des patients que par l’efficience
– Efficience : meilleur usage des ressources collectives et
individuelles mobilisées
– La HAS remplit trois missions clés :
– aider les pouvoirs publics dans leurs prises de
décisions,
– aider les professionnels de santé à améliorer leurs
pratiques,
– aider la population à s’informer.
2Dr Laetitia May-Michelangeli - HAS
4. Cadre de coopération avec les associations
• Un statut d’expert pour les représentants des usagers
(RU) :
– Statut administratif commun aux RU et professionnels de
santé
– Modalités communes d’indemnisation et de remboursement
des frais
– Obligation de déclaration des conflits d’intérêts
• Une saisie possible de la HAS par les associations de
patients et d’usagers agréées au niveau national sur
des sujets de santé publique Pour être prises en compte
dans le programme de travail de la HAS, leurs demandes doivent
parvenir à la HAS avant le 25 juillet 2014
• Les patients et la certification
Dr Laetitia May-Michelangeli - HAS 4
5. La certification : un levier pour le respect
des droits individuels ?
• Un engagement ancien de l’ANAES puis de la
HAS en faveur des droits individuels
– Anticipation dès la V1
– V2010 :
• Les travaux sur la bientraitance - maltraitance
• 10 critères sur droits et place des patients dont deux PEP
• Une PEP sur gestion des plaintes (9a)
• Une place centrale de la CRUQPC (10e)
• Des limites à l’exercice
– Des critères sans décisions contradictoire avec les
témoignages des usagers
– Des plaintes récurrentes des usagers auprès de la HAS
Dr Laetitia May-Michelangeli - HAS 5
6. La certification : Un levier pour le respect
des droits collectifs ?
• Une implication des associations et des
représentants des usagers au niveau de la HAS
– dans la rédaction du manuel
– dans la commission certification
• Un soutien à l’implication des représentants
des usagers dans les établissements de santé
– Présent en V1
– Valorisé en V2
– Recul dans les pratiques en V2010, du fait de l’absence
de consignes méthodologiques
Dr Laetitia May-Michelangeli - HAS 6
8. Dr Laetitia May-Michelangeli - HAS
Sécurité du patient… De quoi parle-t-on ?
• Étroitement liée à la notion de qualité des soins,
• Se définit comme la réduction de tout risque de
préjudice évitable subi par le patient… Elle a
pour ambition première d’éviter toute inversion
du bénéfice/risque à se faire soigner en
subissant un évènement indésirable.
9. Dr Laetitia May-Michelangeli - HAS 9
Le risque médical : un risque qui demeure
très élevé dans l’absolu
Chirurgie Radiothérapie
Urgences Anesthésie ASA 1-2
Transfusion sanguine
Activités ULM
Agricole
Risque médical
Pêche artisanale
Vols charters Aviation Civile
Sécurité routière Rail (France)
Industrie chimique Industrie Nucléaire
Pasdesystèmesaprès
cepoint
Très peu sûr
10-1 10-2 10-3 10-4 10-5 10-6
10-7
Extrêmement sûr
Risque de
catastrophe
10. Contexte
National
Programme National pour la
Sécurité des Patients
Sur 5 ans (2013-2017)
4 axes déclinés
90 actions dont :
• 25 actions HAS en pilotage direct
ou en association y compris la
“ville”
International
Le projet PASQ Patient Safety and
Quality of Care - 2012
Des stratégies recommandées au
niveau international et adoptées en
France : exemple de l’adoption en
France des Check-List OMS - 2010
Le projet High5 « Agir pour la
sécurité des patients » - 2009
Recommandation du conseil de
l’union européenne relative à la
sécurité des patients – 2009
1999 : le rapport Américain To err is
Human de l’académie de médecine
publié en 1999 fréquence des
évènements indésirables associés
aux soins
Dr Laetitia May-Michelangeli - HAS 10
11. Le Programme National pour la Sécurité du
Patient 2013-2017 – 90 actions / 25 actions HAS
Dr Laetitia May-Michelangeli - HAS 11
Axe 1
Information du patient,
le patient co-acteur de
sa sécurité
Axe 2
Améliorer la déclaration
et la prise en compte
des EIAS
Axe 3
Formation, culture
sécurité, appui
Objectifs
mieux informer le patient,
améliorer la qualité de la
relation soignant soigné,
le patient acteur de sa
sécurité
Objectifs
Promouvoir et valoriser le
retour d’expérience et
l’apprentissage par l’erreur
Objectifs
Développement d’une
culture de la sécurité
et de la qualité
7 actions HAS dont
4 actions MSP
6 actions HAS dont
6 actions MSP
11 actions HAS dont
6 actions MSP +1 reprise
Sécurité des patients en ville : 13 actions
Axe 4 : Innovation et recherche
1 action HAS
12. Le patient, un partenaire…
Des études dans la littérature
• Weingart et al. (2004) : les infirmières déclarent que la
participation des patients est un bon moyen de prévenir des
erreurs médicales notamment les erreurs médicamenteuses
• L’étude d’Agoristas et al. (2005) , et Weissman et al. (2008) : le
signalement des patients concernant les évènements indésirables
permet une image plus réaliste.
• Les patients signalent des incidents qui, autrement, passeraient
inaperçus (Vincent & Davis 2012).
• Koutanji et al. (2005) font valoir que les patients ont un rôle clé à
jouer :
– pour aider à parvenir à un diagnostic précis,
– pour décider du traitement approprié, en veillant à ce que le
traitement est administré de façon appropriée, appliquée et
respectée,
– et pour identifier les évènements indésirables.
Dr Laetitia May-Michelangeli - HAS 12
13. Impliquer le patient : de quoi parle t-on ?
Impliquer patient et entourage,
C’est faire avec lui
Dr Laetitia May-Michelangeli - HAS 13
“Nothing About Me, Without Me” … phrase utilisée par différents
auteurs (Delbanco, Boufford, Berwick, Edgman-Levitan, Tye …)
14. Différents degrés d’implication du patient
Dr Laetitia May-Michelangeli - HAS 14
L’
informer
Le
consulter
L’
impliquer
Coopérer
Dépend de sa capacité et sa volonté
d'implication dans ses soins
15. Exemple du programme TEAMup (USA)
Point de départ pour la
participation des
patients dans une
équipe de soins…. Des
brochures pour aider les
patients à comprendre
les types d'actions et les
questions qu'ils doivent
engager pour optimiser
leurs soins….
Dr Laetitia May-Michelangeli - HAS 15
16. Coopération du patient une barrière de
sécurité… une histoire vécue
• Un service de pédiatrie accueille, Jessica, 4 mois, pour une
bronchiolite sévère.
• L’hospitalisation est décidée, en accord avec les parents;
traitement prescrit correspondant au protocole du service
• A J7 : l’évolution de l’état de santé est favorable, et le tableau
clinique s’est amélioré.
• Le traitement médicamenteux prescrit retient la VENTOLINE* en
bouffée 4 fois par jour et la poursuite de la kinésithérapie.
• L’infirmière de nuit, appelée par la maman, dispense le traitement
du soir, avant l’endormissement de l’enfant : VENTOLINE* et
FLIXOTIDE* : La mère laisse le soin se réaliser, et questionne la
soignante sur le FLIXOTIDE*non prescrit initialement.
• L’infirmière s’aperçoit alors que ce médicament n’est pas prescrit.
Elle prévient le pédiatre de garde qui vient rassurer la maman. La
nuit se termine sans autre incident. La prescription est revue le
lendemain
Dr Laetitia May-Michelangeli - HAS 16
18. Agir pour les droits collectifs et individuels
• Associer les RU aux travaux d’évaluation des médicaments,
et des actes et dispositifs médicaux :
– la HAS est favorable à la participation des RU à la CT et à la
Cnedimts
– Le statut de partie prenante permet des consultations ponctuelles
des associations prochainement traitement de l’hépatite C
• Agir sur la formation pour aider au renouvellement des RU
• Consolider le portage du dispositif CRUQPC par la certification
• Consolider l’association des RU au processus de certification
Première réunion du groupe de travail sur les modalités d’implication
des représentants des usagers dans la certification : 29 avril 2014
• Consolider le système de gestion des réclamations que les
usagers envoient à la HAS : 500 demandes/an
• Développer l'approche centrée patient et le recueil de
l’expérience patient , rendre le patient co-acteur de sa sécurité
Dr Laetitia May-Michelangeli - HAS 18
19. Améliorer la communication pour
Réduire le
déséquilibre
d'information et
de connaissance
entre les
professionnels et
les patients
= diminuer la
probabilité de
survenue
d’événements
indésirables
Brochure patient
« Oser parler avec
son médecin »
Auto-saisine : adaptation
aux pharmaciens S2
2014
Dr Laetitia May-Michelangeli - HAS 19
20. Améliorer la communication… des outils en
cours
Outil pour le patient « questions
préformulées » de type
« Ask me 3 »
Programme de formation des
usagers
Aider l’usager à poser des
questions aux soignants
Promouvoir 3 types de
questions
• Adaptées à un large spectre de
situation de prise en charge
• Facilement utilisable par la
majorité des usagers
Outil de reformulation de
typeTeach back
Expliquer (lentement, mots
simples, images, empathie,
respect)
Vérifier en demandant une
reformulation du patient
• « quelles questions avez-vous »
• « dites-moi dans vos mots ce
que vous avez compris de ce
que je viens de vous dire »
Réexpliquer si nécessaire et
répéter la reformulation en
prenant en compte les
problèmes particuliers de ce
patient, jusqu’à s’assurer de
sa compréhension
Dr Laetitia May-Michelangeli - HAS 20
« Docteur, quel est mon problème principal ? »
« Docteur, que dois-je faire ? »
« Docteur, pourquoi est-il important pour moi
de le faire ? »
21. Prendre en compte le point de vue du patient
Dr Laetitia May-Michelangeli - HAS 21
Enquête de
satisfaction
/Expérience
patient
Question-
naire
de sortie
Shadowing
Patient
traceur
Plainte
Association de patients,
Représentants des usagers,
autres…..
22. Exemple : méthode du patient-traceur
• Une méthode d’amélioration de la qualité des soins
en équipe qui analyse la qualité et la sécurité de la
prise en charge d’un patient tout au long de son
parcours ainsi que les interfaces et la collaboration
interprofessionnelle et interdisciplinaire et qui permet
d’identifier et de mettre en œuvre des actions
d’amélioration.
• Le dossier du patient est le fil conducteur de la
méthode.
• La méthode prend en compte l’expérience du patient
et de ses proches
Guide expérimental HAS – octobre 2013
Dr Laetitia May-Michelangeli - HAS 22
24. Est-ce que cela pourrait arriver dans vos
établissements ?
• Bonjour ! Ici l’accueil de l’hôpital
• Bonjour, j’aimerais avoir des nouvelles de Mr Jean Dupont chambre 302, hospitalisé depuis 3
semaines
• Je vous passe l’infirmière.
Après une longue attente :
• Bonjour, ici Françoise l’infirmière du service. Que puis-je pour vous ?
• J’aimerais connaître l’état du patient Jean Dupont de la chambre 302.
• Un instant je vais essayer de trouver le médecin de garde.
Après une plus longue attente :
• Ici Le Dr. Michel, le médecin de garde ; je vous écoute.
• Bonjour Docteur, je voudrais savoir quel est l’état de Monsieur Jean Dupont, qui se trouve chez
vous depuis 3 semaines à la chambre 302.
• Un instant, je vais consulter le dossier du patient.
Après encore une autre attente :
• Il a bien mangé aujourd’hui, …/…il réagit bien aux médicaments prescrits et normalement on va
lui enlever le monitoring cardiaque demain. Si tout continue comme ça encore 48 heures, son
médecin signera sa sortie d’ici le week-end.
• Aahh ! Ce sont des bonnes nouvelles. Merci.
• A votre façon de parler je suppose que vous devez être quelqu’un de très proche, certainement
de la famille ?
• Non, Monsieur ! Je suis Jean Dupont moi-même. Et je vous appelle du 302 ! Tout le monde entre
et sort ici de ma chambre et personne ne me dit rien… Je voulais juste savoir comment je me
porte ! Merci bien
Dr Laetitia May-Michelangeli - HAS 24
Mais aussi le droit
à la confidentialité !!!
25. Se tenir informé
Nouvelle rubrique site web HAS :
sécurité du patient
Lettre Sécurité du Patient &
Pratiques
B.A.L. pour écrire à la mission
sécurité : contact.msp@has-
sante.fr
www.scopesante.fr
Dr Laetitia May-Michelangeli - HAS 25