La promotion de la bientraitance et son corolaire la prévention de la maltraitance sont des enjeux majeurs pour le système de santé aujourd’hui. Elle favorise :
- l’implication des usagers dans leurs soins, dimension centrale de la qualité, de la sécurité des soins ;
- la qualité de vie au travail, en se centrant sur le sens du travail ;
- le développement de la démocratie sanitaire.
La HAS et la FORAP (Fédération des Organismes régionaux d’Amélioration des Pratiques et des Organisations en santé) proposent un guide dont l’objectif est d’accompagner les établissements dans le déploiement de la bientraitance en leur donnant les outils stratégiques et opérationnels nécessaires.
Pour consulter ce guide : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_915130/fr/promotion-de-la-bientraitance
Support cours : Comment rédiger un rapport ?SmartnSkilled
Rédigez facilement votre rapport scientifique !
Lors de ce tutoriel, vous allez découvrir la structure et la méthodologie de la rédaction, ainsi que les erreurs à éviter et les règles clés de rédaction.
Vous allez apprendre à valoriser vos résultats, à rédiger une bonne introduction et conclusion et à attirer votre lecteur dès les premières lignes.
Ce tutoriel va vous dévoiler comment choisir un titre convenable mais aussi comment présenter une bonne bibliographie.
Votre formatrice Hiba ZOUAGHI va vous donner ainsi quelques conseils pour rédiger un rapport clair et bien structuré mais aussi va vous lister les erreurs à éviter.
Tutoriel en ligne :
https://www.smartnskilled.com/tutoriel/formation-en-ligne-comment-rediger-un-rapport
Voici les slides de mon atelier sur la confiance en soi, Dans ce document, vous trouverez des informations sur les croyances limitantes, le discours intérieur et sur l'importance de recoder certaines souvenirs.
Avoir confiance en soi c’est avant tout se connaître, c’est croire en son potentiel et en ses capacités.
L'ensemble de l'atelier peut être organisé à nouveau si vous souhaitez le suivre. Rejoignez moi sur mon site internet www.williamroy.fr
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Avoir confiance en soi c’est avant tout se connaître, c’est croire en son potentiel et en ses capacités.
L'ensemble de l'atelier peut être organisé à nouveau si vous souhaitez le suivre. Rejoignez moi sur mon site internet www.williamroy.fr
Le "Profil des 5 Eléments" est un outil psychométrique qui a été créé par Pascale Baumeister. Il est présenté dans son dernier livre "Développez vos talents de manager", paru aux éditions Leduc S. sans la collection Zen Business
Cette présentation donne des indications sur l'élaboration de cv et stratégies de recherche d'emploi aux jeunes diplômés dans leurs premières expériences sur le marché de l'emploi.
Les jeunes et les adultes qui souffrent de TDAH (trouble déficitaire de l'attention avec ou sans hyperactivité) sont souvent critiqués et jugés. Cette situation affecte directement sur leur estime de soi, leur motivation et leurs espoirs.
Pourtant, ils ont une intelligence souvent supérieure à la moyenne, une créativité fertile, des qualités et des talents uniques.
En fait, le "Manuel de développement de l'estime de soi" propose une saine réflexion à toute personne qui se soucie de développement personnel.
L'estime de soi c’est la conscience de ses capacités et de ses talents et la conviction intime d'avoir de la valeur en tant que personne.
Ce manuel a été écrit par Geneviève Turcotte, une enseignante passionnée et très appréciée.
Les Techniques de Recherche D'Emploi.
Ce document permettra à toute personne qui le parcourt de:
- Rédiger un cv et une lettre de motivation selon les standards.
- Améliorent leur compréhension des exigences de la recherche d’un emploi.
Démarche qualité dans un projet de formation continueHicham El Khalifi
Cet article est publié dans « Actes du colloque Euro Maghreb sur la formation tout au long de la vie : Transformations, contraintes et enjeux », publications de la faculté des lettres et des sciences humaines, université Ibn Zohr d’Agadir, Maroc, Edition 2010.
Petite boîte à outils pour réunions difficilesPhilippe Vallat
Petite boîte à outils pour réunions difficiles: de la préparation à la facilitation, en passant par l'engagement des participants et la gestion de l'agressivité.
Dans le cadre du séminaire de comportement organisationnel, nous avions eu l'opportunité, mes amies et moi, de travailler sur une thématique aussi intéressante qu'utile: les pratiques du leadership.
Année universitaire : 2018/2019
Dans cette présentation, retrouvez tous les elements caracteristiques de la communication: de la transmission du message à la communication non verbale et gestuelle.
La communication est un élément clé dans la construction de la relation soignant-soigné. Le défaut de communication a un impact direct sur la qualité et la sécurité des patients.
Pour en savoir plus : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1660975/fr/communiquer-impliquer-le-patient
Le "Profil des 5 Eléments" est un outil psychométrique qui a été créé par Pascale Baumeister. Il est présenté dans son dernier livre "Développez vos talents de manager", paru aux éditions Leduc S. sans la collection Zen Business
Cette présentation donne des indications sur l'élaboration de cv et stratégies de recherche d'emploi aux jeunes diplômés dans leurs premières expériences sur le marché de l'emploi.
Les jeunes et les adultes qui souffrent de TDAH (trouble déficitaire de l'attention avec ou sans hyperactivité) sont souvent critiqués et jugés. Cette situation affecte directement sur leur estime de soi, leur motivation et leurs espoirs.
Pourtant, ils ont une intelligence souvent supérieure à la moyenne, une créativité fertile, des qualités et des talents uniques.
En fait, le "Manuel de développement de l'estime de soi" propose une saine réflexion à toute personne qui se soucie de développement personnel.
L'estime de soi c’est la conscience de ses capacités et de ses talents et la conviction intime d'avoir de la valeur en tant que personne.
Ce manuel a été écrit par Geneviève Turcotte, une enseignante passionnée et très appréciée.
Les Techniques de Recherche D'Emploi.
Ce document permettra à toute personne qui le parcourt de:
- Rédiger un cv et une lettre de motivation selon les standards.
- Améliorent leur compréhension des exigences de la recherche d’un emploi.
Démarche qualité dans un projet de formation continueHicham El Khalifi
Cet article est publié dans « Actes du colloque Euro Maghreb sur la formation tout au long de la vie : Transformations, contraintes et enjeux », publications de la faculté des lettres et des sciences humaines, université Ibn Zohr d’Agadir, Maroc, Edition 2010.
Petite boîte à outils pour réunions difficilesPhilippe Vallat
Petite boîte à outils pour réunions difficiles: de la préparation à la facilitation, en passant par l'engagement des participants et la gestion de l'agressivité.
Dans le cadre du séminaire de comportement organisationnel, nous avions eu l'opportunité, mes amies et moi, de travailler sur une thématique aussi intéressante qu'utile: les pratiques du leadership.
Année universitaire : 2018/2019
Dans cette présentation, retrouvez tous les elements caracteristiques de la communication: de la transmission du message à la communication non verbale et gestuelle.
La communication est un élément clé dans la construction de la relation soignant-soigné. Le défaut de communication a un impact direct sur la qualité et la sécurité des patients.
Pour en savoir plus : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1660975/fr/communiquer-impliquer-le-patient
Financement de l'économie, organisation des marchés et intermédiation, épargne des ménages et gestion collective : l'AMF a présenté le 9 juillet 2015 à la presse sa cartographie des risques et tendances sur les marchés financiers et pour l'épargne, en présence de Benoit de Juvigny, Secrétaire général de l'AMF, Stéphane Gallon, chef économiste à l'AMF, et Christian de Boissieu, vice-président du conseil scientifique et membre du collège de l’AMF.
Depuis septembre 2015, chaque patient hospitalisé peut donner son avis sur son séjour dans un hôpital ou une clinique en France grâce à un questionnaire de satisfaction sécurisé en ligne (e-Satis).
Pour en savoir plus : http://www.has-sante.fr:8080/portail/jcms/c_2660702/fr/donner-son-avis-sur-son-hospitalisation
Le Programme National pour la Sécurité des Patients (PNSP) est une volonté nationale d’intensifier la mobilisation de tous, patients et professionnels, pour progresser en matière de sécurité du patient
Le programme, conjointement piloté par la Direction générale de l’offre de soins et la Direction générale de la santé en association avec la Haute Autorité de santé (HAS) a pour objectifs de mieux structurer et de renforcer les actions dans le domaine de la sécurité des patients et d’orienter l’ensemble des acteurs de santé vers des priorités d’actions.
Ainsi le PNSP s’articule autour de 4 axes
Quatre thématiques structurent le projet. Elles présentent entre elles de nombreuses interfaces et convergences :
- renforcement de l’information du patient et de la relation soignant-soigné afin de mieux permettre au patient d’être co-acteur de sa sécurité (Axe 1)
- mise en place d’une déclaration et d’une prise en compte des évènements indésirables associés aux soins dans une logique d’apprentissage et d’amélioration des pratiques, via l’analyse des causes systémiques et le retour d’expérience en équipe, avec valorisation aux niveaux régional et national (Axe 2)
- amélioration de la culture de sécurité par la mise en place de formations à la sécurité des soins; le recours à des méthodes pédagogiques innovantes comme la simulation en santé; ou encore l’appui des professionnels de santé par des structures expertes (Axe 3)
- développement de la recherche sur la sécurité des soins et amélioration de la sécurité des personnes participant à la recherche clinique (Axe 4)
Pour en savoir plus sur le Programme National pour la Sécurité des Patients (PNSP) : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/r_1505131/fr/programme-national-pour-la-securite-des-patients-pnsp?xtmc=&xtcr=3
Présentation faite par Pilar Saenz d'Espagne pendant l'atelier sur Le rôle de la Cour des comptes dans la lutte contre la fraude et la corruption. Cet atelier a été organisé conjointement par SIGMA et la Cour des comptes d'Algérie à Alger les 8-9 avril 2015. Plus d'informations: contacter bianca.breteche@oecd.org.
Césarienne programmée à terme Optimiser la pertinence du parcours patient : E...Haute Autorité de Santé
Quel changement mettre en œuvre en priorité ? Comment initier la démarche ?
- Prenez le temps d’une réunion ; vous en gagnerez beaucoup par la suite. Il est nécessaire de réfléchir en commun, avec des représentants de tous les professionnels intervenant dans le suivi de grossesse. Le changement passe par l’implication de chacun.
- Faites simple ; vous pouvez choisir un objectif de qualité directement à partir d’une discussion entre vous sur quelques dossiers. Référez-vous aux recommandations principales.
- Décrire qui fait quoi à quel moment dans le suivi de grossesse permet de comprendre quelle étape améliorer en priorité selon l’organisation locale. Le guide vous propose des parcours génériques en fonction des facteurs de risque pouvant nécessiter une césarienne programmée à terme.
- Soyez réalistes ; commencez par une action faisable rapidement. Mettez-vous d’accord sur un critère de réussite sur lequel communiquer pour valoriser la démarche.
Pour consulter le guide sur la césarienne programmée à terme de la Haute Autorité de santé : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1294171/fr/cesarienne-programmee-a-terme-optimiser-la-pertinence-du-parcours-de-la-patiente?xtmc=&xtcr=3
Matinale OPCALIA Centre « LES RISQUES PSYCHOSOCIAUX ET LA QUALITE DE VIE AU T...MUTACTION
Comment préserver la santé des salariés et allier la performance de l’entreprise ? Risques professionnels, pénibilité, maintien dans l’emploi. Le travail a des effets sur la santé des salariés mais également sur la santé de l’entreprise au niveau organisationnel et économique.
Comme chaque année, le rapport annuel d’activité de la Haute Autorité de Santé présente les chiffres clés de l’année passée et propose des focus sur ses productions et quelques faits marquants.
En 2013, la HAS a adopté son nouveau projet stratégique pour les 3 années à venir et poursuit son ambition de participer à la régulation du système de santé par la qualité et l’efficience. Elle a notamment débuté ses avis médico-économiques pour certains médicaments et dispositifs médicaux, créé une mission dédiée à la sécurité des patients, expérimenté le compte-qualité de la V2014 de la certification des établissements de santé et lancé le site d’information sur les hôpitaux et cliniques français, Scope Santé (www.scopesante.fr), à destination du grand public.
Le patient traceur : une méthode d’évaluation de la réalité de l’activité des...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de santé a procédé à une relecture du manuel autour de 20 thématiques auxquelles sont rattachés chacun des critères du manuel V2010. La liste des thématiques correspond à des choix opérés par la HAS au regard de la structuration actuelle du manuel.
Avec la certification V2014, la HAS a souhaité renforcer la performance de la visite et orienter son regard sur la réalité de l’activité. C’est la raison pour laquelle elle a choisi d’avoir recours à l'audit de processus et à la méthode du patient traceur afin d’apprécier au mieux les facteurs humains et organisationnels ayant un impact sur la prise en charge de chaque patient.
Les investigations structurées par audit de processus visent à évaluer l’organisation autour de chaque processus pour s’assurer de sa maîtrise et de vérifier son application sur le terrain.
Les investigations réalisées selon la méthode du patient traceur viennent alimenter chaque processus retenu pour une évaluation lors de la visite.
L’impact de la démocratie sanitaire : le patient et sa sécurité, point de vue...Haute Autorité de Santé
Soignants et soignés évoluent dans un système complexe qui rend parfois la communication entre ces deux partenaires difficile. Les patients ne comprennent pas toujours les messages qui leur sont délivrés, assimilant mal ce qui concerne leur prise en charge. Par crainte de faire perdre du temps, mais aussi parce que la relation soignant-soigné est par essence asymétrique, les patients n’osent pas poser des questions. Et pourtant, un patient qui communique avec les soignants, qui est attentif à son environnement, qui ose interpeller lorsqu’il ne comprend pas, permet d’améliorer sa sécurité lors des soins.
Rencontres régionales HAS 2013 (Lyon) - Certification des établissements de s...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 7 février 2013 à l’École Normale Supérieure de Lyon une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Auvergne et Rhône-Alpes sur des thèmes les mobilisant.
Ces Rencontres ont débuté par les allocutions de :
- Gilles de Lacaussade, Directeur général adjoint, ARS Rhône-Alpes
- Charles-Henry Guez, Secrétaire général, URPS Médecins Rhône-Alpes
- Philippe Michel, Directeur de l’organisation, de la qualité et des relations avec les usagers,Hospices Civils de Lyon
- Dominique Maigne, Directeur, Haute Autorité de Santé
Puis, elles se sont articulées autour d’une séance plénière :
- Sécurité du patient, des défis à relever en région
et de trois tables rondes :
- Parcours de soins, un enjeu de transformation pour la ville et l'hôpital
- Qualité de vie au travail, un enjeu d’équipe
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite
Prévention vasculaire après un infarctus cérébral ou un accident ischémique t...Haute Autorité de Santé
Les recommandations portent sur la prévention secondaire de l’ensemble des événements vasculaires (accident vasculaire cérébral, infarctus du myocarde et décès d’origine vasculaire), parce que l’IC confère non seulement un risque élevé de récidive, mais aussi un risque conséquent d’infarctus du myocarde et de décès d’origine vasculaire.
Elles concernent les patients adultes ayant eu un AIT ou un IC après la phase aiguë, alors que le diagnostic a déjà été établi.
La durée de la phase aiguë varie de quelques jours à plusieurs semaines en fonction de la taille et de la sévérité de l’IC . La prévention vasculaire comprend une prévention globale par le contrôle des facteurs de risque et un traitement spécifique en fonction de l’étiologie de l’IC ou de l’AIT. L’éducation thérapeutique fait partie intégrante de la prévention secondaire après un IC ou un AIT . Toutes les recommandations, un particulier celles relatives au contrôle des facteurs de risque ou à l’observance médicamenteuse, peuvent entrer dans une démarche d'éducation thérapeutique du patient.
Pour consulter la recommandation de la HAS : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1252051/fr/prevention-vasculaire-apres-un-infarctus-cerebral-ou-un-accident-ischemique-transitoire
L’audit de processus : Une méthode d’évaluation de la réalité de l’activité d...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de santé a procédé à une relecture du manuel autour de 20 thématiques auxquelles sont rattachés chacun des critères du manuel V2010. La liste des thématiques correspond à des choix opérés par la HAS au regard de la structuration actuelle du manuel.
Avec la certification V2014, la HAS a souhaité renforcer la performance de la visite et orienter son regard sur la réalité de l’activité. C’est la raison pour laquelle elle a choisi d’avoir recours à l'audit de processus et à la méthode du patient traceur afin d’apprécier au mieux les facteurs humains et organisationnels ayant un impact sur la prise en charge de chaque patient.
Les investigations structurées par audit de processus visent à évaluer l’organisation autour de chaque processus pour s’assurer de sa maîtrise et de vérifier son application sur le terrain.
Les investigations réalisées selon la méthode du patient traceur viennent alimenter chaque processus retenu pour une évaluation lors de la visite.
Le site d’information des usagers sur la qualité des prises en charge dans les établissements de santé. S'informer pour bien choisir > http://www.scopesante.fr
Césarienne programmée à terme : Optimiser la pertinence du parcours de la pa...Haute Autorité de Santé
Synthèse de l'expérimentation 2013 - 2014
Devant l’hétérogénéité des pratiques de césarienne programmée à terme, la HAS a développé un programme d’optimisation de sa pertinence. Les travaux sont menés en partenariat avec les professionnels, gynécologues obstétriciens (Collège national des gynécologues et obstétriciens de France CNGOF), sages-femmes (Collège national des sages-femmes), qualiticiens, pédiatres ; les femmes représentées par l’association Césarine ; les réseaux de périnatalité (réunis en Fédération FFRSP) et certaines structures régionales d’évaluation ; la Direction générale de l’offre de soins (DGOS) et les Agences régionales de santé (ARS).
Pour consulter les pages traitant de la césarienne programmée à terme sur le site de la HAS : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1726022/fr/cesarienne-programmee-a-terme-optimiser-la-pertinence-du-parcours-de-la-patiente
Making use of various information systems to disseminate HTA knowledge in FranceHaute Autorité de Santé
In addition to developing HTA knowledge, the French National Authority for Health (HAS) places an emphasis on formatting the developed content in order to improve its use by health care professionals. Towards this effort, the HAS produces: summary
reports that clarify the added value and place in a therapeutic strategy for new drugs, and appropriate-use documents that highlight the proper use of drugs at risk of prescription issues.
The HAS does not use proactive means of dissemination such as mailings, alerts, seminars, or workshops.
The HAS strives to increase HTA knowledge visibility: its website serves as the primary tool to disseminate HTA knowledge; additional information systems have recently been used to further dissemination efforts.
Making use of various information systems to disseminate HTA knowledge in Fra...Haute Autorité de Santé
Illustrations in complement to the poster
Adapting to Internet trends and development
Search engine optimization
Newsletter subscription
Social media
HAS’ Website Mobile Version
Capitalizing on the use of the public body drug database
Capitalizing on the use of prescription software
Ce webinaire nous amène à nous concentrer non pas sur ce que nous faisons sur le plan de l'amélioration, mais plutôt sur la MANIÈRE dont nous le faisons!
Conférence d'Alexandre Berkesse, conseiller sénior à la Direction collaboration et partenariat patient de la Faculté de médecine de l’UdeM - 24 novembre 2015
Béatrice Falise-Mirat, ANAP : L'hôpital sans murs et territoires de santéTélécom Paris
Les premières Rencontres consacrées aux Objets communicants & intelligents pour la santé, le handicap et le médical se sont tenues le 19 octobre 2010 à Télécom ParisTech. Industriels, chercheurs, médecins, usagers et pouvoirs publics ont décrit leur vision de l’avenir, leurs innovations, leurs collaborations.
Convergence entre économie sociale et solidaire (ESS) et responsabilité socia...David VALLAT
Nous proposons de comparer les pratiques partenariales d’établissements médico-sociaux relevant du secteur de l’ESS et du secteur privé lucratif à travers leur prise en compte des parties prenantes. Ce thème de recherche s’inscrit dans un programme plus vaste centré sur la RSE dans établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) et les services de soins infirmiers à domicile (SSIAD). Une enquête nationale est en cours de réalisation auprès d’un échantillon de 4600 EHPAD et SSIAD afin de mettre en évidence les leviers et les freins perçus à la mise en place de démarches de RSE. Il s’agit notamment de cerner les pratiques des dirigeants en termes de RSE, de comprendre les motivations à la base des projets initiés et d’obtenir éventuellement un premier retour (managérial et financier) sur les réalisations effectuées. Ce projet de recherche intitulé ADD’AGE (Action Développement Durable au service du grand âge) est porté par la FNAQPA (Fédération Nationale Avenir et Qualité de vie des Personnes Agées) et est soutenue par la CNSA (Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie) et l’organisme de retraite complémentaire AGIRC ARCCO. Dans cette présentation, nous nous centrons sur les EHPAD et analysons les premières données disponibles de notre enquête par questionnaire afin de vérifier si les établissements mutualistes et associatifs, décrits dans la littérature comme plus vertueux que les établissements du secteur privé lucratif, ont davantage initié de politiques de RSE.
Expérience Centre Hospitalier de Troyes : l'accueil, le premier soinAcadémie du Service
Dans le cadre d’un projet de création d’un nouveau bâtiment, le Centre Hospitalier de Troyes (CH Troyes) a mis en place un ambitieux projet d’établissement qui place la qualité de son accueil au coeur. Les piliers :
Aider le centre hospitalier à changer de regard et à se démarquer sur son territoire.
Repenser sa stratégie d’accueil en améliorant ses espaces et ses processus d’accueil.
Grâce à ce nouveau projet d'établissement, le CH de Troyes développe une nouvelle culture dans son établissement. La qualité de l’accueil, l’attention portée à chaque client devient une nouvelle valeur du «service public» qui les anime.
Frédéric Lutz (Directeur de l’Accueil et de l’Hôtellerie du CH Troyes), Claire Bonniol (Directrice associée à l'Académie du Service) et Mélanie Desvaux (chef de projet à l'Académie du Service) nous racontent les étapes clés de cette démarche de service.
Présentation réalisée par Marie-Thérèse Lussier et claude Richard dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé le 3 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
Cette séance présentera un survol d’une revue exploratoire rapide, réalisée en 2022 par le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils (CCNMO) en collaboration avec le Centre de collaboration nationale des maladies infectieuses (CCNMI), sur le rôle de la santé publique en partenariat avec des refuges offrant des services aux personnes en situation d’itinérance. La revue fait état d’exemples de collaborations entre la santé publique et des refuges pour offrir des programmes et des services de santé publique, ou pour soutenir le personnel des refuges relativement à des sujets de santé publique. Le CCNMI a utilisé cette revue dans le cadre d’un Institut explorant les possibilités d’améliorer les communications et les programmes afin qu’ils soient utiles aux clients et au personnel des refuges. Joignez-vous à nous pour en apprendre davantage sur les résultats de cette revue exploratoire rapide et pour discuter des moyens d’accroître la collaboration entre la santé publique et les refuges.
Deux jours pour l’appropriation du guide pour l’auto-évaluation annuelle d’un...Haute Autorité de Santé
Présentations du 22 juin 2012 - Saint-Denis La Plaine
La Haute Autorité de Santé (HAS) souhaite aller au-delà de la simple publication du guide en proposant deux journées dont l’objectif est de faciliter l’appropriation du contenu du guide pour être en capacité d’accompagner les équipes dans son utilisation. Ces journées, proposées à Saint-Denis le 22 juin 2012 et à Bordeaux le 26 juin 2012, ont rassemblé plus d’une centaine de professionnels pouvant être un relais auprès des coordonnateurs de programmes.
Chaque journée s’est organisée autour de deux temps. Le premier a été consacré à la présentation des préconisations du guide : finalités, démarche, fiches pratiques, exemples. Un format2 clics du guide a été présenté et mis à disposition des participants sur le site web de la HAS. Dans un second temps, des professionnels ayant participé à l’élaboration du guide et à son test sur le terrain ont partagé leur expérience d’utilisation du guide avec les participants.
Développement d'un travail collaboratif entre PPR et soignantsTHE3P
Développement d'un travail collaboratif entre PPR et soignants.
L'exemple de la mise en oeuvre de programmes d'ETP en hémophilie.
Verheye.jc, AFH
Observations, séance ETP 2015.
Congrès ABF 2015
Vendredi 12 juin à 11h
Intervention du docteur Valérie Verger - Médecin directeur du Service médecine préventive professionnelle et sécurité du travail de Mulhouse
Similaire à HAS - Déploiement de la bientraitance en établissement de santé et en EHPAD - 2013 (20)
Formation des usagers sur l'évaluation des produits de santé et des actes - B...Haute Autorité de Santé
2 modules pour aider les associations de patients et d'usagers à participer à l’évaluation d’un médicament, d’un dispositif médical ou d’un acte professionnel à la HAS.
Contenu :
• Introduction : Définitions clés
• Module 5 : Votre participation en pratique (définitions et modalités de participation)
• Module 6 : Attentes de la HAS et conseils de méthode (y compris le conseil pour vos contributions)
• Glossaire
Pour en savoir plus : https://www.has-sante.fr/jcms/p_3385205/fr/comprendre-l-evaluation-des-technologies-de-sante
Formation des usagers sur l'évaluation des produits de santé et des actes - B...Haute Autorité de Santé
4 modules pour aider les associations de patients et d'usagers à comprendre l'évaluation des technologies de santé (médicament, dispositif médical et acte professionnel) et le rôle de la HAS dans ces évaluations.
Contenu :
• Introduction : Définitions clés
• Module 1 : La HAS (ses missions et valeurs, organisation et définitions et valeurs relatives aux usagers)
• Module 2 : L’ETS (les définitions clés et son contexte dans le système de santé français)
• Module 3 : Parcours d’une technologie de santé (médicament, dispositif médical et acte professionnel)
• Module 4 : Évaluation des technologies de santé dans le cadre du nouveau règlement européen (son contexte et calendrier)
• Glossaire
Pour en savoir plus : https://www.has-sante.fr/jcms/p_3385205/fr/comprendre-l-evaluation-des-technologies-de-sante
De l'autorisation au remboursement : le parcours d'un nouveau médicament
HAS - Déploiement de la bientraitance en établissement de santé et en EHPAD - 2013
1. Déploiement de la bientraitance en
établissement de santé et en EHPAD
2. Groupe Bientraitance FORAP-HAS
(Basse-Normandie)
(Franche-Comté)(Aquitaine)
(Rhône Alpes)(Nord-Picardie)
Le groupe de travail Bientraitance est composé des membres issus de six structures
régionales pour l’évaluation et l’amélioration des pratiques et des organisations
(SRE) adhérentes à la Fédération des organismes régionaux et territoriaux pour
l’amélioration des pratiques et organisations en santé (FORAP) et de la Haute
Autorité de Santé (HAS)
3. Des travaux sur la bientraitance menés en
partenariat à partir de 2010 – la HAS
• Forte implication de la HAS
• Pourquoi la HAS a-t-elle investi sur le sujet ?
• Un engagement ancien de certification envers les usagers
• Un décalage entre les constats des EV et les plaintes des usagers
• Des travaux internationaux qui promeuvent la place du patient
comme une condition de la qualité et sécurité des soins
• Suite des travaux sur la maltraitance ordinaire
• Critère 10a sur la prévention de la maltraitance et la promotion
de la bientraitance
• Annonce d’un guide sur la bientraitance
• Temps dédié chef de projet
4. Des travaux sur la bientraitance menés en
partenariat à partir de 2010 – la FORAP
• Qu’est-ce que la FORAP ?
• Missions institutionnelles
• Représenter les structures régionales adhérentes notamment auprès du Ministère de
la Santé (DGOS, DGS, DREES), des ARS, des établissements publics d’état (HAS,
ANESM, ANAP, ANSM, InVS)
• Faire reconnaître la valeur ajoutée de ces structures, notamment en matière
d’évaluations en santé, d’amélioration continue de la qualité et de la sécurité en santé,
de DPC
• Activités collaboratives
• Mutualiser des documents, des outils et des méthodes
• à l'initiative d’une SRE: ENEIS, Theorem, High 5's, Clarté, etc.
• par décision concertée : Bientraitance
• Participer à des groupes de travail nationaux (circulaire gestion des risques, Sécurité
de l'opéré, Evaluation des programmes d'ETP...)
• Pourquoi la FORAP a-t-elle investi le sujet ?
• Premier thème de travail commun au sein de la FORAP
• Thème de travail prioritaire dans les régions
• Attente forte des établissements de santé
• Etat d’avancement comparable entre les SRE
5. Objectifs du partenariat
• Objectif général : proposer un
accompagnement
• Pour aider les professionnels des établissements de
santé et EHPAD…
• … À déployer de façon opérationnelle…
• … Des actions en faveur de la bientraitance
• Objectifs spécifiques
• Proposer une acception partagée de la bientraitance
• Définir une stratégie de déploiement de la bientraitance
• Développer des outils correspondant aux besoins
identifiés
6. Principes de travail
• Mutualisation des travaux dans les régions
• Complémentarité des réflexions
• Relecture par des représentants des
professionnels, des institutions et des usagers
• Composition : Agence nationale d’appui à la performance,
Agence nationale de l’évaluation et de la qualité des
établissements et services sociaux et médico-sociaux, Alliance
nationale des associations en milieu de santé, Collectif
interassociatif sur la santé, Société française de gérontologie,
fédérations de santé et médico-sociales…
7. Construction des outils par les SRE
• Groupes de travail régionaux
bientraitance
• ES (MCO, SSR, HAD, santé mentale)
• EHPAD
• Méthodologie de travail
• Recherche documentaire et analyse des outils existants
• Choix des objectifs et de la nature de l’outil à développer
• Développement de l’outil
• Utilisation dans la région ayant développé l’outil
7
8. Tests inter-régionaux des outils
• Partage des outils avec les autres régions
(ES, Ehpad)
• Test individuel et collectif des outils
• Grille commune d’évaluation : faisabilité, pertinence,
lisibilité, acceptabilité, réponse aux objectifs….
• Synthèse des tests => Ajustement des outils
8
9. Structuration du guide
• Définition opérationnelle de la
bientraitance
• Stratégie de déploiement d’une
politique de bientraitance
• Présentation synthétique des outils
10. 10
10
Définition opérationnelle de la bientraitance
• La bientraitance est :
• Une démarche globale dans la prise en charge de
l’usager et dans l’accueil de son entourage,
• Visant à promouvoir le respect de ses droits et libertés,
son écoute et la prise en compte de ses attentes,
• Tout en prévenant la maltraitance.
• Elle repose sur :
• Un questionnement tant collectif que individuel de la part
des acteurs,
• Une responsabilité partagée entre les professionnels et
l’institution,
• Une participation des usagers.
11. Les principes de l’action
• Implique une mobilisation de l’ensemble de l’établissement
• Déploiement dans les services et les unités de soins, et au niveau des
instances de gouvernance et de la direction
• Projet transversal : soignants, administratifs et logistiques
• Inscription dans la politique de l’établissement
• S’inscrit dans un changement culturel
• Impact sur les organisations, les pratiques, les attitudes.
• Remise en question constante des pratiques professionnelles et de
l’organisation, quelque soit sa place dans l’institution
• Implique d’associer les usagers et leurs proches
• Promouvoir leur autonomie
• Risque de résurgence du paternalisme
• Construire avec les usagers et leurs représentants
12. Les points de vigilance
• Susciter la prise de conscience et la parole implique de se
donner les moyens d’agir ensuite
• Dévoilement de situation de maltraitance => souffrance des soignants
• Lien entre politique de bientraitance et implication du
management
• Le personnel sera en capacité d’être bientraitant, si lui-même se sent
bientraité par l’institution, s’il se sent sécurisé, entendu et soutenu par
sa hiérarchie.
• Parler de bientraitance ne doit pas pour autant faire l’impasse
sur les situations de maltraitance
• Anticiper ces situations afin de permettre aux équipes de réagir et de
rebondir
• Sinon source de souffrance pour les équipes et renforcement du déni
13. Le déploiement stratégique à partir de la
CRUQPC et du CVS
• Pourquoi la CRUQPC ou le CVS ?
• Privilégier l’expression des usagers
• Renforcer la place de ces instances
• Démarche en 3 temps
• Poser un diagnostic
• Construire l’action
• Evaluer
14. Poser un diagnostic
• Recueillir le récit du quotidien des personnes
hospitalisées ou des résidents
• Passer d’un traitement individuel ou singulier
des réclamations à une analyse systémique
• Repérer les indicateurs ou critères qui informent
sur certains aspects et les mettre en débat
• Rassembler les documents et informations liés
au fonctionnement de l’établissement
• Réaliser des enquêtes spécifiques sur certains
sujets
15. Construire l’action
• Construire/renforcer la collaboration
entre usagers et professionnels
• Porter le débat et les échanges dans les
services
• Organiser régulièrement des points
spécifiques sur la question
• Impulser ou relayer une réflexion
institutionnelle
16. Evaluer
• Assurer un suivi du témoignage des
usagers
• Recueillir leur satisfaction
• Recueillir le point de vue des
professionnels
• Définir les priorités
• Évaluer les indicateurs
17. Outils développés
• Outils d’auto-évaluation
• EPP promotion de la bientraitance (RéQua)
• Auto-évaluation bientraitance (RQS)
• Outils de prévention du risque de maltraitance
• Auto-contrôle des pratiques professionnelles (CEPPRAL)
• Cartographie des risques de maltraitance (RSQ)
• Outil de management
• Animation d’équipe – bientraitance en questions
(CCECQA)
• Cahier des charges formation bientraitance (RQS)
• Charte bientraitance (RéQua, RBNSQ)
17
19. Promotion de la bientraitance
Préparation de l’établissement à un dispositif
d’évaluation externe
Françoise PAPO - Réseau Santé Qualité Nord / Picardie
Patricia MINARY DOHEN – Réseau Qualité Franche-Comté
Groupe de travail FORAP – HAS « Bientraitance »
20. Groupe Bientraitance FORAP-HAS
(Basse-Normandie)
(Franche-Comté)
(Loire-Atlantique)
(Aquitaine)
(Rhône Alpes)
Le groupe de travail Bientraitance est composé des membres issus de six structures régionales
pour l’évaluation et l’amélioration des pratiques et des organisations adhérentes à la Fédération
des organismes régionaux et territoriaux pour l’amélioration des pratiques et organisations en
santé (FORAP) et de la Haute Autorité de Santé (HAS)
(Nord-Picardie)
21. Vous êtes en charge de l’auto-évaluation dans le
cadre de la démarche d’évaluation externe de votre
établissement (certification HAS, inspection,
évaluation externe EHPAD…).
Vous souhaitez en profiter pour faire un bilan sur la
bientraitance au sein de votre structure.
Quelle(s) méthode(s), quel(s) outil(s) ?
Préparation de l’établissement à un dispositif
d’évaluation externe
22. OBJECTIFS VISES
• Structuration d’une démarche pérenne
• Précision du diagnostic
• Transversalité – contribution et
implication de tous les personnels
• Commande institutionnelle /
accompagnement par l’institution
• Rendre compte de la démarche et
communiquer
23. 2 outils
Tableau de bord de la bientraitance :
la cartographie des risques
EPP Bientraitance
Préparation de l’établissement à un dispositif
d’évaluation externe
25. LA CARTOGRAPHIE DES RISQUES
• Quelles sont les causes de risques ?
• Quelles actions sont déjà en place ?
• Quelles améliorations sont nécessaires ?
Identifier les risques
26. Une démarche projet
• Informer
• Constituer un groupe projet
• Définir le calendrier
Spécificité de la méthode
• Analyser les processus
• Réaliser la cartographie
• Analyser les critères
• Coter les critères
• Evaluer la maîtrise du risque
LA CARTOGRAPHIE DES RISQUES
27. Informer
– Les instances
• Implication de la Direction
• Mobilisation de l’encadrement
– Le personnel
• Imprégnation de la culture risque
• Diffusion de la méthode
LA CARTOGRAPHIE DES RISQUES
28. Constituer un groupe projet : avec qui et
pour quoi faire ?
– Quels métiers doivent être représentés ?
– Quelle est la place de la direction de
l’établissement (du pôle) ?
– Quelle est la place des usagers ?
– Quel est le rôle de l’animateur ?
LA CARTOGRAPHIE DES RISQUES
29. L’analyse des processus
– Quels processus sont impliqués dans le périmètre choisi ?
• Management
o Pilotage, recrutement et accompagnement des personnels, animation
et coordination des équipes, communication avec le patient et son
entourage, organisation du travail
• Prise en charge
o Accueil, prise en charge, respect des droits des patients/résidents,
comportement des professionnels, vie sociale, sortie
• Fonctions supports
o Adéquation des locaux et équipements, politique des achats,
interventions techniques
LA CARTOGRAPHIE DES RISQUES
31. • Identifier toutes les causes de risques
– Risques potentiels (a priori) et risques avérés (a posteriori)
– Pour les patients, l’entourage, les professionnels, l’organisation…
– Maltraitance « ordinaire » et faits exceptionnels (violences)
Vision transversale et globale des risques de maltraitance
dans la structure
• Recenser les réponses déjà en place
Faire le lien avec les démarches Qualité Gestion des risques
• Définir un plan d’actions d’amélioration
Objectifs, méthode, indicateurs
Elaborer un outil opérationnel de gestion des risques par l'analyse,
l’évaluation et le suivi de l’organisation et des pratiques
LA CARTOGRAPHIE DES RISQUES
Réaliser la cartographie des risques de maltraitance
Objet de la cartographie
32. - Avant la première réunion
- Recensement préalable des informations disponibles :
plaintes, fiches EI, rapports CRUQPC…
- Identification des actions déjà en place (PAQ, auto-
évaluation pour certification…)
- Pendant les réunions
- Identification des risques (lecture active des critères)
- Cotation des risques
• Fréquence
• Gravité
• Maîtrise des risques
- Priorisation des actions d’amélioration à mettre en place
- Elaboration des indicateurs
LA CARTOGRAPHIE DES RISQUES
Réaliser la cartographie des risques de maltraitance
Méthodologie
criticité
33. Plan
La cartographie
des risques
La démarche
•Informer
•Constituer un
groupe projet
•L’analyse des
processus
•Réaliser la
cartographie
•L’analyse des
critères
•La cotation des
critères
•Le calendrier
Réaliser la cartographie des risques de maltraitance
L’analyse des critères
Non respect des souhaits des patients quant à l'information donnée
Défaut de discrétion dans les échanges des professionnels
Inadaptation du lieu par rapport aux échanges des professionnels
Informations médicales données à un membre de la famille sans
autorisation
Consultation, soin ou discussion en présence d'un tiers sans autorisationRespect de la
confidentialité
Absence de planification de l'organisation des soins et de la surveillance
Défaut de proposition d'intervention d'un professionnel spécifique
(psychologue, diététicien, assistant social, addictologue, ergothérapeute,
etc.)
Actes de soins inadaptés à l'état du patient (soins systématiques et/ou non
personnalisés, température et pulsations systématiques, ...)
Actes de soins inadaptés aux rythmes de vie du patient (prises de sang très
tôt le matin, lors des horaires de repas, visites,...)
Organisation et
coordination des
interventions des
professionnels
Prise en charge
Non respect des souhaits des patients quant à l'information donnée
Défaut de discrétion dans les échanges des professionnels
Inadaptation du lieu par rapport aux échanges des professionnels
Informations médicales données à un membre de la famille sans autorisation
Consultation, soin ou discussion en présence d'un tiers sans autorisationRespect de la
confidentialité
Absence de planification de l'organisation des soins et de la surveillance
Défaut de proposition d'intervention d'un professionnel spécifique
(psychologue, diététicien, assistant social, addictologue, ergothérapeute,
etc.)
Actes de soins inadaptés à l'état du patient (soins systématiques et/ou non
personnalisés, température et pulsations systématiques, ...)
Actes de soins inadaptés aux rythmes de vie du patient (prises de sang très
tôt le matin, lors des horaires de repas, visites,...)
Organisation et
coordination des
interventions des
professionnels
Prise en charge
LA CARTOGRAPHIE DES RISQUES
34. 4 = On découvre le
risque
4 =
Toujours
4 =
Irréversibilité
du dommage
3 = On est en alerte3 = Souvent
3 = Dommage
important
2 = On a tout prévu
2 =
Occasionne
l
2 = Dommage
modéré
1 = On sait faire face,
bonne maîtrise
1 = rare
1 = Sans
dommage
Maîtrise
* criticité
Maîtrise du
risque
Actions à mettre en œuvre
(précisez court / moyen /
long terme et le cas échéant,
les cibles patient/personnel)
Criticité
(Gravité *
Fréquence)
Fréquenc
e
Gravité
Actions déjà en place
LA CARTOGRAPHIE DES RISQUES
Réaliser la cartographie des risques de maltraitance
La cotation des critères
35. Maîtriser le calendrier pour réussir le projet
• Présentation aux instances
• Information des équipes
• Constitution du groupe projet
• Réunions de travail
• Présentation des résultats de la cartographie
• Présentation du plan d’action
• Périodicité de révision de la cartographie
• Elaboration du tableau de bord de la bientraitance
LA CARTOGRAPHIE DES RISQUES
Réaliser la cartographie des risques de maltraitance
Le calendrier
38. OBJECTIF
Evaluer la promotion de la bientraitance de la
part des professionnels, chez toute personne
admise en établissement sanitaire ou médico-
social
EPP BIENTRAITANCE
39. EPP BIENTRAITANCE
2 questionnaires
accompagnés d’un guide de remplissage
Un questionnaire institutionnel
Evalue l’organisation interne pour la promotion de la
bientraitance
Un questionnaire individuel
Réalise un état des lieux
Amène les professionnels à s’interroger personnellement sur
leurs pratiques
40. EPP BIENTRAITANCE
Comporte deux parties :
- Partie 1 : recueil des besoins des patients /résidents et mise
en oeuvre du projet personnalisé
- Partie 2 : organisation générale de l’établissement
Questionnaire rempli une seule fois pour l’établissement par
consensus au sein d’un groupe de travail
Le questionnaire institutionnel
41. Accueil et Evaluation initiale des attentes et des
besoins : Il a été fait le choix de se centrer sur l’accueil du patient
et l’évaluation initiale de ses besoins et attentes car une arrivée
réussie est souvent synonyme d’un séjour de qualité.
Projet personnalisé (projet de vie, projet de
soins…)
Ce projet paraît un incontournable du respect « de la globalité de la
personne »
Evaluation du projet personnalisé
EPP BIENTRAITANCE
Le questionnaire institutionnel – Partie 1
42. 1. Selon vous, les éléments suivants sont-ils collectés lors de L’ÉVALUATION INITIALE
Jamais Parfois Souvent Toujours
Les attentes de la personne
Les attentes de l’entourage
Les besoins en soins
Les habitudes, les centres d’intérêt, les potentialités
2. Projet personnalisé
Un projet personnalisé est élaboré
en équipe avec la personne accueillie.
Un projet personnalisé est élaboré
en équipe avec l’entourage de la personne accueillie
Le projet est-il réévalué
EPP BIENTRAITANCE
Le questionnaire institutionnel – Partie 1
Quelques exemples
43. EPP BIENTRAITANCE
OUI NON NA
La promotion de la bientraitance figure dans :
Le projet d’établissement
Les PV du Conseil de surveillance
Les comptes rendus de CME, de CSIRMT
Les comptes rendus de CRU/CVS
Il existe une charte de la bientraitance
La bientraitance est discutée en réunions
pluridisciplinaires
L’établissement informe les nouveaux agents sur le
respect de la bientraitance
L’établissement a inscrit la bientraitance dans son plan
de formation
Le questionnaire institutionnel – Partie 2
Quelques exemples
44. Anonyme
Rempli par auto-évaluation
Un questionnaire par agent au contact du patient /
résident dans les services retenus pour l’enquête
Une réponse OUI n’appelle que des souvenirs
positifs, que de réponses favorables. Toute
situation de doute appelle une réponse NON
EPP BIENTRAITANCE
Le questionnaire individuel
45. EPP BIENTRAITANCE
Le questionnaire individuel
Quelques exemples
Respect de l’intimité, la dignité et la confidentialité
Je favorise l’estime de soi des patients / résidents à travers leurs habillements
et habitudes de vie Oui Non NA
Pendant la toilette des patients / résidents je respecte l’intimité et la dignité Oui Non NA
Je respecte la confidentialité des informations concernant le Patient/Résident Oui Non NA
Prise en charge de la douleur
Je prends en compte la douleur Oui Non NA
Je note toujours l’absence de douleur Oui Non NA
Le confort du patient / résident
J’évite le bruit / la lumière la nuit Oui Non NA
Le respect de l’autonomie
Je favorise l’autonomie des patients/résidents
(privilégie le « faire faire » plutôt que « faire à la place de » Oui Non NA
Organisation des services
La pause des personnels dans mon service est organisée à tour de rôle Oui Non NA
Les délais d’attente aux sonnettes sont évalués dans mon service Oui Non NA
Avez-vous des suggestions pour améliorer les pratiques dans votre service ?
………………
46. EPP BIENTRAITANCE
Critères d’inclusion
des agents : ensemble des agents au contact d’un patient/résident
durant son séjour
des services : ensemble des services de l’établissement prenant
en charge des patients/résidents.
Critères d’exclusion
des agents : agent non au contact des patients /résidents durant
tout le séjour (ex : jardinier, électriciens, services techniques….)
des services : les services ne prenant pas en charge de
patients/résidents
Le questionnaire individuel
47. EPP BIENTRAITANCE
Echantillon
Le nombre de 30 « questionnaires individuels » remplis par
le personnel apparaît comme le seuil minimal pour que
l’échantillon soit représentatif.
Plus le nombre de retour sera important, plus les données
recueillies seront représentatives des pratiques de « la
population étudiée ».
Le questionnaire individuel
48. EPP BIENTRAITANCE
Mise en œuvre
Comité de pilotage
- Elaboration du plan de communication
- Suivi de l’avancement du projet
- Validation des actions à mettre en œuvre
Groupe de travail
- Remplissage du questionnaire institutionnel
- Diffusion et récupération des questionnaires individuels
- Saisie et analyse des données
- Proposition du plan d’actions
49. EPP BIENTRAITANCE
Calendrier
- Information des instances
- Appropriation de la méthodologie, des outils par le groupe
de travail
- Recueil des données
- Saisie et analyse des données
- Définition des actions d’amélioration par le groupe de travail
- Validation du plan d’actions par le comité de pilotage
- Mise en œuvre et suivi du plan d’actions
- Mesure d’impact des actions
50. EPP BIENTRAITANCE
Résultats (fin 2012)
12 établissements participant
1877 questionnaires individuels analysés
Quelques différences
- Bientraitance abordée dans les entretien annuel d’évaluation :
65% MS / 35% S
- Affichage plus fréquents dans le MS : 62% MS / 38 % S
- Horaires de visites plus libres dans le MS : 57%
51. EPP BIENTRAITANCE
Axes d’amélioration
Elaboration et mise en œuvre d’une charte de
bientraitance
Intervention institutionnalisée de la psychologue
auprès des équipes
Réflexion sur le projet de vie/projet de soins
Mise en place d’une formation/action sur site
Mise en place d’une nouvelle EPP ciblée sur les
problématiques de l’établissement
Modification du questionnaire de satisfaction ou de
de sortie (introduction du « respect de l’intimité ou la dignité »)
Quelques exemples
52. Cartographie des risques
Évalue l’organisation et les pratiques
EPP Bientraitance
Évalue la maturité culturelle de
l’institution et des professionnels
2 outils complémentaires
Préparation de l’établissement à un dispositif
d’évaluation externe
53. Promotion de laPromotion de la bientraitancebientraitance
«« Remobiliser lesRemobiliser les ééquipesquipes »»
Regards croisés sur la Bientraitance
Charte Bientraitance
Outil d’aide à la décision - formation
Marie José D’Alché-Gautier – Réseau Bas Normand Santé Qualité
Noémie Terrien – Réseau QualiSanté
Groupe de travail FORAP – HAS « Bientraitance »
54. Remobiliser les équipes
54
Vous êtes directeur de soins, cadre de santé, en
situation managériale dans l’établissement. Une
démarche de promotion de la bientraitance est mise en
place mais elle s’essouffle..
Vous souhaitez remobiliser les professionnels.
Quelle(s) méthode(s), quel(s) outil(s) ?
55. Recensement des besoins pour mettre
en lien avec les outils
55
• Impulser et structurer une démarche pérenne
• Repositionner la bientraitance dans la démarche
globale d’amélioration de la qualité et de la sécurité
• Favoriser les échanges et la réflexion entre les
professionnels
• Communiquer vers les professionnels et les usagers
pour se réapproprier la démarche de bientraitance.
56. Remobiliser les équipes
56
3 Outils
• Outil d’auto-évaluation « Regards croisés sur la
Bientraitance »
• Principes de Bientraitance : déclinaison d’une
charte
• Outil d’aide à la décision : cahier des charges pour
une formation
58. 58
58
Place dans le déploiement de la Bientraitance
• Outil d’évaluation à l’attention de l’établissement
• Outil d’évaluation à l’attention des professionnels
Identifier les leviers et faiblesses au sein de son établissement
Regards croisés : volet organisationnel et point de vue des professionnels
Identifier les leviers et faiblesses au sein de sonIdentifier les leviers et faiblesses au sein de son éétablissementtablissement
Regards croisRegards croiséés : volet organisationnel et point de vue des professionnelss : volet organisationnel et point de vue des professionnels
• Impulser la démarche, poser un état des lieux
• Apprécier l’impact des actions d’amélioration mises en œuvre.
59. 59
59
But de l’outil
• Etablir un état des lieux de la Bientraitance dans l’établissement
• Apprécier les écarts et cohérences entre le ressenti du personnel et la
mise en œuvre des méthodes et supports par l’établissement.
• Définir et prioriser la mise en place d’actions opérationnelles en faveur
de la Bientraitance
Un outil dans une démarche globale et participativeUn outil dans une dUn outil dans une déémarche globale et participativemarche globale et participative
60. 60
60
Cibles de l’évaluation
• Etablissements de santé et Ehpad
• Professionnels médico-soignants
à l’échelle de l’établissement, d’une filière, d’un pôle, d’un service
Hors personnels techniques et administratifs
61. 61
61
Principe de l’évaluation (1)
• Savoirs, savoir-être, savoir-faire du professionnels
• Processus de prise en charge du patient, de l’usager
• Processus de pilotage et supports de l’établissement
• Implication du patient, de l’usager, de l’entourage
Construction de l’évaluation à partir des premiers travaux du groupe de travail
sur l’approche du concept Bientraitance :
62. 62
62
Posture professionnelle
Regard du soignant sur les pratiques de son service
Qualité de vie au travail
Auto-questionnaire à l’attention des professionnels de santé en 3 parties
Principe de l’évaluation (2)
Un kit « évaluation Bientraitance structuré autours de deux questionnaires :
63. 63
63
Approche processus (pilotage et supports)
Auto-questionnaire des méthodes et supports de l’établissement
Principe de l’évaluation (3)
64. 64
64
Un accent porté sur le volet sensibilisation / informationUn accent portUn accent portéé sur le volet sensibilisation / informationsur le volet sensibilisation / information
Principe de l’évaluation (4)
65. 65
65
Méthode de mise en œuvre (1)
Engagement de l’établissement dans la démarche
Identification d’un interlocuteur privilégié
Définition du protocole (cadre pré-défini)
Engagement de lEngagement de l’é’établissement dans la dtablissement dans la déémarchemarche
Identification d’un interlocuteur privilégié
Définition du protocole (cadre pré-défini)
1
Mise à disposition du kit Bientraitance
Questionnaires, méthodologie, supports
d’information / sensibilisation
MiseMise àà disposition du kitdisposition du kit BientraitanceBientraitance
Questionnaires, méthodologie, supports
d’information / sensibilisation
2
Communication autour de l’étude
Objectifs de l’évaluation
Caractère anonyme du questionnaire professionnel
Affiche, dépliant et support type
Communication autour de lCommunication autour de l’é’étudetude
Objectifs de l’évaluation
Caractère anonymeanonyme du questionnaire professionnel
Affiche, dépliant et support type
3
66. 66
66
Méthode de mise en œuvre (2)
Mise en œuvre de l’évaluation
Auto-évaluation établissement
Questionnaire à l’attention des professionnels
Mise enMise en œœuvre de luvre de l’é’évaluationvaluation
Auto-évaluation établissement
Questionnaire à l’attention des professionnels
4
Centralisation et recueil des données
Urnes / enveloppes retours (caractère anonyme) QP
Saisie des données par l’établissement (masque / site)
Centralisation et recueil des donnCentralisation et recueil des donnééeses
Urnes / enveloppes retours (caractère anonyme) QP
Saisie des données par l’établissement (masque / site)
5
Résultats
Rapport d’analyse
Plan de communication de l’établissement
Mise en place d’un plan d’actions opérationnelles
RRéésultatssultats
Rapport d’analyse
Plan de communication de l’établissement
Mise en place d’un plan d’actions opérationnelles
6
67. 67
67
Temps de mise en œuvre - établissement
Définition et
mise en
œuvre du
plan
d’actions
M1 M2 M3 M4 M5 M6
Engagement
Mise à
disposition
du kit
Communication
Déploiement
de l’évaluation
Centralisation
Saisie des
données
Rapport
d’analyse
Une démarche dans le temps associant l’implication de l’encadrement
dans un climat positif devant s’ouvrir à d’autres outils pour contribuer à
la réussite du projet Bientraitance de l’établissement.
68. 68
68
Exemples de perspectives
• Suite à l’état des lieux réalisé grâce à l’outil
d’autoévaluation :
Un plan d’actions d’amélioration est mis en
œuvre dont :
- Une charte de bientraitance
- Des formations ciblées bientraitance et
adaptées au contexte de l’établissement
69. Les principes de bientraitance :
Déclinaison d’une charte
Réseau Bas Normand Santé Qualité/ REQUA
70. 70
70
Place dans le déploiement de la Bientraitance
• Outil support dans le cadre d’un projet institutionnel
sur la bientraitance dans un établissement
• Outil clé dans la diffusion de la culture de
bientraitance au sein des services d’un établissement
• Outil intégré dans la réflexion éthique d’un
établissement
71. 71
71
But de la charte
• Mettre à disposition des établissements de
santé un outil partagé leur permettant de
développer les bonnes pratiques
• Aider à la réflexion et au partage des valeurs
professionnelles autour de la bientraitance
72. 72
72
Cibles de la charte
• Etablissements de santé
• Personnels médico-soignants et administratifs
• EHPAD
73. 73
Principe de la charte (1)
La bientraitance est une démarche volontariste, institutionnelle, collective
et individuelle d’amélioration continue des pratiques professionnelles
visant à promouvoir :
- Le respect de la liberté et des droits des usagers et de ses proches
- Le respect de sa dignité et de sa singularité
- Le respect de la prise en compte de ses besoins et de ses attentes
spécifiques
La charte s’appuie sur une définition de la bientraitance :
74. 74
74
Déclinaison de 10 engagements permettant identifier les
actions de bientraitance dans les différentes étapes du
parcours patient, par exemple :
Adopter en toute circonstance une attitude
professionnelle d’écoute et de discernement à
chaque étape du parcours de l’usager,
Mettre tout en œuvre pour respecter l’intégrité
physique et psychique, la dignité et l’intimité de
l’usager.
La charte de bientraitance
Principe de la charte (2)
75. Méthode de mise en œuvre (1)
• Définition par chaque établissement de sa stratégie
d’utilisation de la charte en concertation avec les
différentes instances de l’établissement.
• Plusieurs approches possibles qui ont en commun
les éléments suivants :
• Un groupe de travail bientraitance pluriprofessionnel
• Appui de la réflexion sur un modèle de charte
• Temps appropriation de l’outil indispensable
• Déclinaison des 10 points avec des situations propres
à l’établissement
76. Méthode de mise en œuvre (2)
• Modèle de charte régionale aménagée avec le
logo propre à l’établissement afin de faciliter
l’appropriation et la personnalisation
• Charte utilisée telle quelle avec ses 10 points
ou aménagée
• Charte illustrée avec des exemples de
situations propres à l’établissement, des
photographies, des poèmes….
77. Les illustrations sont
implémentées au fils du
temps lors de l’identification
d’exemples par une équipe,
ou par une personne, avec
accord de l’équipe : textes,
images, poèmes,
photographies…
Méthode de mise en œuvre (3)
Module d’Accompagnement
Les items de la charte Les illustrations propres à l’équipe
S’imposer le respect de la
confidentialité des informations
relatives à l’usager
Installation d’un lieu de
communication dans le service des
« Acacias »
78. Méthode de mise en œuvre (4)
Les items de la charte Les illustrations propres à l’équipe
Accompagner la personne et ses
proches dans la fin de vie
1. Mise en place d’une échelle
d’EDMONTON implémentée
autant que nécessaire pour toute
personne en fin de vie.
2. Evaluation des « manques » dans
l’accompagnement des famille de
toute personne accompagnée et
décédée.
3. Evaluation des difficultés
d’accompagnement des membres
de l’équipe après tout décès.
Les items de la charte
sont affichés dans des
lieux fréquentés et dans
un format permettant
une utilisation facile
79. Méthode de mise en œuvre (5)
• Les temps d’implémentation de la charte :
• La pause des pauses
• Le quart d’heure bientraitance
• La réflexion institutionnelle
• Les « comités de bientraitance »
80. Temps de mise en œuvre de la charte
• Démarche s’inscrivant dans le temps
avec des premières utilisations à environ
un an
81. Outil dOutil d’’aideaide àà la dla déécisioncision -- AppelAppel àà cahier des chargescahier des charges
FormationFormation BientraitanceBientraitance
82. 82
82
Place dans le déploiement de la Bientraitance
• En parallèle d’outils de sensibilisation : nécessité de temps de
formation ciblés sur la Bientraitance.
Adapter la formation au contexte et besoins de l’établissementAdapter la formation au contexte et besoins de lAdapter la formation au contexte et besoins de l’é’établissementtablissement
Impulser, dynamiser ou améliorer la démarche Bientraitance
83. 83
83
But de l’outil
Contribuer à l’adéquation des actions de formation
aux grands principes de la Bientraitance
et du contexte de l’établissement
ContribuerContribuer àà ll’’adadééquation des actions de formationquation des actions de formation
aux grands principes de laaux grands principes de la BientraitanceBientraitance
et du contexte de let du contexte de l’é’établissementtablissement
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Cibles de l’outil
• Etablissements de santé et établissements médico-sociaux
• Départements de formation en lien avec les équipes d’encadrement
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Principe de l’outil
• Accompagner l’élaboration de l’appel à cahier des charges d’une
formation Bientraitance,
• Accompagner le choix du prestataire de formation Bientraitance
• Inciter à l’évaluation de l’impact de la formation Bientraitance
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Méthode de mise en oeuvre (1)
• Outil d’aide à rédaction de l’appel à cahier des charges de
formation Bientraitance
• Outil d’aide à la décision sur le choix du prestataire
• Outil d’évaluation de la prestation délivrée
Outil développé sous Excel ® associé à son guide d’utilisation selon 3 volets :
Champs libres, listes déroulantes
Eléments d’aide à la rédaction
Interactions entre les étapes
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Méthode de mise en oeuvre (2)
Aide à rédaction de l’appel à cahier des charges de formation Bientraitance1
Poser et argumenter la demande de formationPoser et argumenter la demande de formation
Inciter les utilisateursInciter les utilisateurs àà identifier lesidentifier les ééllééments de contenu attendu, la mments de contenu attendu, la mééthodethode
ppéédagogique souhaitdagogique souhaitééee
Conserver un lienConserver un lien éétroit avec le contexte de ltroit avec le contexte de l’é’établissement et latablissement et la BientraitanceBientraitance
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Méthode de mise en oeuvre (2)
Aide à la sélection du prestataire de formation Bientraitance2
ApprAppréécier, coter, hicier, coter, hiéérarchiser les propositions des prestataires au regard desrarchiser les propositions des prestataires au regard des
ééllééments attendus dments attendus dééfinisfinis àà ll’é’étape 1tape 1
Obtenir un choix argumentObtenir un choix argumentéé et simplifiet simplifiéé
(Interaction entre l(Interaction entre l’é’étape 1 et 2)tape 1 et 2)
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Méthode de mise en oeuvre (3)
Evaluation de la prestation de formation3
ApprAppréécier lcier l’é’évaluationvaluation «« àà chaudchaud »» des stagiairesdes stagiaires
RRééaliser unealiser une éévaluationvaluation «« àà froidfroid »»
InciterInciter àà ddééfinir des critfinir des critèères dres d’é’évaluation de lvaluation de l’’impact de la formationimpact de la formation
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Temps de mise en œuvre - établissement
Outil utilisé en plusieurs temps
Intégration au dispositif habituel des établissements.
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Perspectives
A partir de l’étape 3
Invitation à définir des critères d’évaluation de l’impact de
la formation par l’intermédiaires d’indicateurs de suivi
(simples, acceptables, faciles à recueillir et avoir une
signification dans le temps.
Une nouvelle évaluation de la bientraitance permettra
d’identifier l’impact des actions de formations au sein de
l’établissement.
92. En conclusion
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UN OBJECTIF COMMUN : MOBILISER LES
ÉQUIPES
Trois outils complémentaires :
• Regards croisés sur la Bientraitance : évaluation de
l’implantation de la démarche et de la perception des
professionnels
• Charte Bientraitance : ancrer la démarche dans les valeurs
de l’établissement en suscitant la participation des
professionnels
• Outil pour la formation : adapter les actions de formation
au contexte de l’établissement et aux besoins des
professionnels
94. Etude de cas
•Le type d’établissement : situation d’une
EHPAD
•La plainte exprimée : Le résident se plaint
auprès du cadre infirmier d’un épisode
brutal avec un soignant lors d’un change.
95. Etude de cas
• Le contexte
• L’équipe relève que le patient demande souvent
à être changé alors qu’il n’est pas souillé.
• Le soignant est en difficulté, mais est protégé par
ses collègues, en effet il rend service en prenant
les remplacements
97. Les outils proposés :
• Une première sensibilisation par une interrogation
individuelle sur ses propres pratiques
• La bientraitance en questions : évaluation individuelle
• Concerne les situations quotidiennes de travail
• Permet la prise de conscience individuelle
• Une mobilisation avec un questionnement en équipe
• La bientraitance en situations de vie
• Non stigmatisant
• Renforce le collectif de travail
100. Principes
• Se questionner à partir de situations quotidiennes vécues par
le soignant
• Identifier les situations dans lesquelles le soignant risque d’être
maltraitant
• Remettre en question ses pratiques
• Interroger l’organisation du travail
• Se positionner au sein de l’équipe soignante
• Intégrer la démarche dans un projet de service
• Ne pas laisser les professionnels seuls face à leurs résultats
105. Comment choisir l’outil ?
• Pour qui ?
• Vous êtes Cadre d’une unité de soins, chef d’unité, chef de pôle,
• En situation de responsabilité managériale
• Quand?
• Vous souhaitez mobiliser à nouveau vos équipes
• Vous êtes confronté à des plaintes, à une situation difficile
• Vous souhaitez travailler en lien avec les associations
• Pourquoi ?
• Vous souhaitez redonner du sens au travail
• Avec qui ?
• Les professionnels, collègues du service
106. Finalité de l’outil
• Permettre aux équipes de réfléchir sur des
situations quotidiennes
• Identifier des situations et comportement à risques
de maltraitance ordinaire,
• Identifier des changements de comportement à
introduire au sein de l’équipe
• Ecouter l’équipe (et non l’entendre)
• Décider de prendre du temps
• Donner de l’attention
• Etre ouvert
107. Les principes de la démarche
• Animation de temps d’échanges dans un service
• Co-animation du cadre
• Tout acteur volontaire Professionnel Usager
• Temps limités et récurrents
• Supports pour des échanges collectifs
• 5 scenarii élaborés testés avec des professionnels & CISSA
• Des propositions de questions ouvertes
• Des mots clés
• Support pour une réflexion personnelle
• Auto-questionnaire (savoir, croyance, pratique) Avant/Après
• A distance séance collective, facultatif
108. Les principes de l’animation
• La co-animation
• Cadre et psychologue
• Posture favorisant
• Prise de parole respectueuse des autres
• Ecoute active (questionnement, reformulation, synthèse)
• Complémentarité des rôles
• Le cadre introduit la démarche, son déroulement , écoute et aide
éventuellement à contextualiser des faits
• Le psychologue lit la situation, conduit les échanges et propose
le questionnaire individuel
109. Cinq scenarii ciblés sur le quotidien
• Des situations concrètes pour une dynamique de groupe
• La prise en compte de ce qu’exprime un patient comme la douleur ; La
disponibilité et le vécu des professionnels ; Les repères des
professionnels ; La communication entre services ; La place de l’aidant
• Des situations non détaillées pour susciter le questionnement
• Perception différente d’une même réalité, source de vécu différent
• Des situations mettant en valeur le travail des équipes
• Des temps d’échanges non culpabilisant mais une prise de conscience
des automatismes et des besoins d’échanger entre professionnels
Un professionnel de santé mobilise délicatement une patiente dans son lit. La
patiente pousse un gémissement, comme si le professionnel lui avait fait mal. Ce
dernier lui dit gentiment : « Voyons, je ne vous ai pas fait mal »
110. Des questions proposées
• Ouvertes et non systématiques
• Laisser parler
• Demander clarifications
• Pas de réponse à apporter
• Les champs explorés
• Les faits : Ce qui est vu, entendu
• L’émotion : Ce qui a été ressenti
• L’opinion : Ce qui est pensé, jugé…
• Appropriation du cas proposé
• Situations similaires
•Que pensez-vous de
cette situation ?
•Qu’auriez-vous fait
dans cette situation ?
•Pourriez-vous citer des
situations similaires ?
111. Synthèse et pistes de discussion
possibles
Geste doux mais pas d’écoute ; interprétation du mot
‘délicatement’, banalisation de la plainte de la patiente,
non prise en compte de la douleur, non prise en
compte de la personne; conséquences pour la patiente
: ne se sent pas écoutée, communication difficile, perte
de confiance avec le professionnel, avec soi même;
autres attitudes possibles …
Marque la fin de la séance
Met en valeur les idées, les contradictions
112. L’auto questionnement proposé
• A distance, facultatif,
temps personnel
d’écriture
• Permettre à l’individu de
s’interroger sur ses
intentions
• Une opportunité à saisir
par une équipe
• Création nouvel outil
• Formaliser demandes
113. Situation 2
• Une maman répond au désir de sa fille de 30 ans de l’accompagner à
la consultation. Le diagnostic de maladie grave est tombé, il y a
quelques jours. Sa fille lui dit qu’elle se sent incapable de rencontrer,
seule, le médecin et de prendre la décision sur le traitement à adopter.
Elle l’accompagne donc à la consultation, à sa demande. Après une
longue attente, la mère et la fille sont reçues par le médecin. La mère a
recherché des informations sur la maladie et a préparé des questions
qu’elle pose au médecin avec l’accord de sa fille. Le médecin dit : «
Madame, votre fille est majeure, elle est assez grande pour poser ses
questions elle-même. Nous allons discuter ensemble. Est-ce que vous
pourriez sortir un instant ? ».
114. Situation 3
• Un soignant répond au plus vite à la sonnette d’un patient
alité et le découvre les yeux larmoyants, lui disant : « Je suis
désolé, je n’ai pas pu me retenir. » Le soignant lui répond en
s’approchant tout près de lui : « Je suis désolé, je n’étais
pas disponible ». Le soir le soignant relate l’événement à
ses collègues de nuit puis le lendemain à son cadre : « Vous
vous rendez compte, pauvre M. Dubois ».
115. Situation 4
• Une patiente fait très souvent l’inventaire de tout son
linge et de toutes ses affaires de toilette et cela plusieurs
fois par jour. Elle vient très souvent questionner les
membres de l’équipe : « Tout est là ? On a tout retrouvé ?
» et énumère un à un chaque élément de ses affaires
personnelles. Une fois de plus la patiente arrive dans le
bureau des soignants. En voyant la patiente, l’un des
soignants très agacé secoue son trousseau de clés
bruyamment devant elle pour la faire sortir. La patiente
effrayée quitte alors rapidement le bureau et dit « oui, oui
je vais être sage ». Les autres soignants poursuivent leur
travail. L’un d’eux accompagne la patiente dans la salle de
séjour.
116. Situation 5
• Une patiente (Valérie) reçoit la visite de son amie (Isabelle) en service de
réadaptation. Elle vient juste d’être transférée à la suite d’une intervention
chirurgicale.
• - Isabelle, sur un ton enjoué : « Alors, le plus dur est passé, tu dois te sentir
mieux maintenant ! ».
• - Valérie éclate en sanglots : « On vient de me dire que j’en avais pour bien
plus longtemps. Qu’est-ce que je vais devenir ? ».
• - Isabelle attend que son amie se calme et lui caresse les cheveux : « Qu’est-
ce qui t’inquiète, Valérie ? ».
• - Valérie, apaisée : « Je ne sais pas comment Paul va pouvoir s’occuper des
enfants. Ils croient que c’est facile, eux ».
• - Isabelle : « Qu’est-ce que l’on t’a dit qui te met dans un tel état ? ».
• - Valérie : « Hier on m’a parlé de 3 semaines d’hospitalisation, que ce serait
difficile mais qu’après tout irait mieux et que je rentrerais chez moi. Ce matin
en arrivant ils ont commencé à m’expliquer ce que j’allais faire ici et ils m’ont
fait comprendre que ce serait bien plus long. Ils ne se mettent pas à notre
place. J’ai envie de partir. Je veux rentrer chez moi ».
117. Conclusion
• Réflexion sur le contenu du travail, les pratiques,
les organisations, la place du patient, les
conditions de travail
• Différent d’une auto évaluation
• Traçabilité de données
• Quantification d’une information
• Poursuite de la réflexion par la rédaction en interne
de nouveaux scenarii ou d’autres outils…
• Inclure des représentants associatifs ou des
représentants des usagers ou des usagers