Financement de l'économie, organisation des marchés et intermédiation, épargne des ménages et gestion collective : l'AMF a présenté le 9 juillet 2015 à la presse sa cartographie des risques et tendances sur les marchés financiers et pour l'épargne, en présence de Benoit de Juvigny, Secrétaire général de l'AMF, Stéphane Gallon, chef économiste à l'AMF, et Christian de Boissieu, vice-président du conseil scientifique et membre du collège de l’AMF.
Présentation sur la cartographie des risques faite par Kjell Larsson de Suède pendant l'atelier sur Le rôle de la Cour des comptes dans la lutte contre la fraude et la corruption. Cet atelier a été organisé conjointement par SIGMA et la Cour des comptes d'Algérie à Alger les 8-9 avril 2015. Plus d'informations: contacter bianca.breteche@oecd.org.
Présentation faite par Pilar Saenz d'Espagne pendant l'atelier sur Le rôle de la Cour des comptes dans la lutte contre la fraude et la corruption. Cet atelier a été organisé conjointement par SIGMA et la Cour des comptes d'Algérie à Alger les 8-9 avril 2015. Plus d'informations: contacter bianca.breteche@oecd.org.
Présentation de M. Arnaud Phelep au sujet de l’AEFEscipion
Après avoir brossé le décor général du budget de la France lors de la première partie de son intervention au cours de la 12ème session de l’AFE en mars 2010 à Paris, le représentant du ministère du Budget, Arnaud Phelep, a évoqué les enjeux auxquels est confrontée l’AEFE. En prise avec les préoccupations budgétaires des conseillers AFE, M. Phelep a porté un regard critique sur le réseau d’établissements de l’Agence pour l’enseignement du français à l’étranger (AEFE) en nous exhortant à réfléchir à son redéploiement vers plus d’efficience et d’économie.
Stratégie d'investissement : comment profiter de l'incertitudeportalm01
VolOption investit principalement sur la classe d’actif volatilité :
La volatilité matérialise la mesure de l’incertitude sur l’évolution du prix d’un actif
Le VIX mesure la volatilité de l’indice actions S&P 500
Le VIX existe depuis 1990
Il existe des ETFs et ETNs pour investir sur le VIX depuis 2006
Eleaur Patrimoine Flex, géré par Lazard Frères Gestion, et conseillé par Eleaur Family Office, a remporté le Trophée des Actifs d’Or 2017 de la Performance Agefi, dans la catégorie « Performance Absolue / Gestion Flexible Euro »
Présentation sur la cartographie des risques faite par Kjell Larsson de Suède pendant l'atelier sur Le rôle de la Cour des comptes dans la lutte contre la fraude et la corruption. Cet atelier a été organisé conjointement par SIGMA et la Cour des comptes d'Algérie à Alger les 8-9 avril 2015. Plus d'informations: contacter bianca.breteche@oecd.org.
Présentation faite par Pilar Saenz d'Espagne pendant l'atelier sur Le rôle de la Cour des comptes dans la lutte contre la fraude et la corruption. Cet atelier a été organisé conjointement par SIGMA et la Cour des comptes d'Algérie à Alger les 8-9 avril 2015. Plus d'informations: contacter bianca.breteche@oecd.org.
Présentation de M. Arnaud Phelep au sujet de l’AEFEscipion
Après avoir brossé le décor général du budget de la France lors de la première partie de son intervention au cours de la 12ème session de l’AFE en mars 2010 à Paris, le représentant du ministère du Budget, Arnaud Phelep, a évoqué les enjeux auxquels est confrontée l’AEFE. En prise avec les préoccupations budgétaires des conseillers AFE, M. Phelep a porté un regard critique sur le réseau d’établissements de l’Agence pour l’enseignement du français à l’étranger (AEFE) en nous exhortant à réfléchir à son redéploiement vers plus d’efficience et d’économie.
Stratégie d'investissement : comment profiter de l'incertitudeportalm01
VolOption investit principalement sur la classe d’actif volatilité :
La volatilité matérialise la mesure de l’incertitude sur l’évolution du prix d’un actif
Le VIX mesure la volatilité de l’indice actions S&P 500
Le VIX existe depuis 1990
Il existe des ETFs et ETNs pour investir sur le VIX depuis 2006
Eleaur Patrimoine Flex, géré par Lazard Frères Gestion, et conseillé par Eleaur Family Office, a remporté le Trophée des Actifs d’Or 2017 de la Performance Agefi, dans la catégorie « Performance Absolue / Gestion Flexible Euro »
Présentation de Pilar Saenz d'Espagne pendant l'atelier sur Le rôle de la Cour des comptes dans la lutte contre la fraude et la corruption. Cet atelier a été organisé conjointement par SIGMA et la Cour des comptes d'Algérie à Alger les 8-9 avril 2015. Plus d'informations: contacter bianca.breteche@oecd.org.
Des prisons en Afrique : expériences, modèles et circulations - Attestation d...Audrey Jacob
Ce cours a pour objectif de vous aider à mettre en perspective ces discours et ces actions. Il propose ainsi de donner à comprendre les dynamiques carcérales du continent africain dans leur diversité géographique et dans leurs régimes d’historicité pluriels. Il aborde l’expérience carcérale en s’appuyant sur des enquêtes de terrain. Il reviendra aussi sur les enjeux des politiques et des réformes pénitentiaires, et des stratégies des acteurs impliqués. Alternant des études de cas, des entretiens et des réflexions plus théoriques, ce cours doit vous aider à renforcer vos capacités d’analyse et d’action (recherche-action, plaidoyer, ...).
https://www.fun-mooc.fr/courses/course-v1:Paris1+16010+session01/about
Les outils de la banque européenne d'investissement - Elodie de RecyCEEI NCA
Fondée en 1958 (Traité de Rome). Actionnaires: les 28 Etats membres de l’Union européenne. Siège: Luxembourg, 23 bureaux dans l’UE et 19 bureaux en dehors de l’UE; Effectif d'environ 3 000 personnes. Banque publique au service des politiques de l’UE (‘Banque de l’UE’). Organisme sans but lucratif. Priorité: promouvoir le développement économique et l’intégration à l’échelle européenne. Volume de prêts annuel (83.8 Mrd EUR en 2016), 90% UE / 10% hors UE. Notation AAA. Capital souscrit 243 Mrd EUR (22 Mrd paid-in). Ratio de solvabilité des fonds propres Bâle III de 24 % (Dec 2015) . Actionnaire majoritaire du Fonds européen d’investissement.
Les financements européens pour les entreprises innovantes - Guillaume RotyCEEI NCA
Le plan d'investissement en quelques mots : Un objectif de plus de 315 milliards d'euros mobilisés en Europe d'ici 2018, étendu à 500 milliards d'euros d'ici 2020. Des nouveaux outils européens créés pour faciliter l'investissement : plateforme de conseil, portail de projet et un nouveau fonds. Une fort accent sur le financement des PME via l'action du FEI : > 75 milliards d'euros mobilisés
Les Français et leur épargne face à la crise du COVID-19Kantar
La crise des marchés financiers liée au Coronavirus inquiète fortement les épargnants et les encourage à gérer leur épargne en ligne.
La chute rapide et violente des places boursières inquiète les épargnants au moins autant, si ce n'est plus, que la crise financière de 2008-2009. En manque de confiance et d'accompagnement, ils traduisent une fois de plus leur réserve quant aux différents conseils traditionnels et se montrent d'autant plus intéressés par les outils de gestion de leur épargne en ligne.
Baromètre du capital risque France - 2e semestre 2013EY
Ce Baromètre recense les opérations de financement en fonds propres des entreprises en phase de création ou durant les premières années d’existence, en date d’opération du 1er juillet au 31 décembre 2013, publiées avant le 21 janvier 2013.
Pour plus d'informations visitez notre site: http://www.ey.com/FR/fr/Services/Strategic-Growth-Markets/EY-barometre-du-capital-risque-france
Baromètre du capital risque France - 1er semestre 2014EY
Cette deuxième édition du Baromètre EY du capital risque en France met en avant la vitalité du financement des startups françaises malgré une légère baisse des montants levés en comparaison avec les deux semestres précédents : 445 M€ levés en 188 opérations (vs. 487 M€ levés en 177 opérations au 2e semestre 2013 et 488 M€ en 211 opérations au 1er semestre 2013).
Pour en savoir plus : http://www.ey.com/FR/fr/Services/Strategic-Growth-Markets/EY-Barometre-du-capital-risque-France
[weave] Risk and Compliace - cartographie des risquesonepoint x weave
La cartographie des risques est devenue un outil réglementaire de premier plan suite à diverses
réglementations bancaires (Bale II, 3ième Directive) ou Assurance (Solvency II).
[Gestion des risques et conformite] gerer les risques operationnelsonepoint x weave
Les risques opérationnels doivent être considérés au-delà du simple spectre réglementaire, il s’agit également :
de piloter les processus au travers de l’appréciation des dysfonctionnements avérés ou potentiels,
de mesurer la qualité délivrée via la collecte d’indicateurs tels que les incidents.
Il est également opportun de capitaliser sur « l’outil » cartographie des risques opérationnels pour intégrer d’autres dimensions du risque tels que les risques de non-conformité, juridiques, blanchiment, … afin de créer un cockpit global de gestion.
Cette vision d’ensemble s’appuie sur l’appréciation des experts métiers et s’alimente à partir des « signaux » issus des processus : les incidents mais également les résultats de contrôle, les audits internes et externes, les réclamations clients … afin de migrer de la détection à la prévention des risques.
[Gestion des risques et conformite] mettre en place une demarche ermonepoint x weave
Le phénomène de complexification du système économique et financier dans lequel évoluent les entreprises tend à accroître l’incertitude qui porte sur l’atteinte des objectifs qu’elles se fixent.
La mise en place d’un dispositif de gestion globale des risques, ou programme ERM, permet aux entreprises de fiabiliser leurs résultats par le renforcement de leur système de pilotage. Cette démarche consiste en la prise en compte de l’incertitude dans les processus de management et de décision pour chaque niveau de leur organisation.
Weave vous accompagne dans votre programme ERM : de la réflexion stratégique à la mise en œuvre opérationnelle des solutions de traitement des risques.
HAS - Déploiement de la bientraitance en établissement de santé et en EHPAD -...Haute Autorité de Santé
La promotion de la bientraitance et son corolaire la prévention de la maltraitance sont des enjeux majeurs pour le système de santé aujourd’hui. Elle favorise :
- l’implication des usagers dans leurs soins, dimension centrale de la qualité, de la sécurité des soins ;
- la qualité de vie au travail, en se centrant sur le sens du travail ;
- le développement de la démocratie sanitaire.
La HAS et la FORAP (Fédération des Organismes régionaux d’Amélioration des Pratiques et des Organisations en santé) proposent un guide dont l’objectif est d’accompagner les établissements dans le déploiement de la bientraitance en leur donnant les outils stratégiques et opérationnels nécessaires.
Pour consulter ce guide : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_915130/fr/promotion-de-la-bientraitance
Présentation de Pilar Saenz d'Espagne pendant l'atelier sur Le rôle de la Cour des comptes dans la lutte contre la fraude et la corruption. Cet atelier a été organisé conjointement par SIGMA et la Cour des comptes d'Algérie à Alger les 8-9 avril 2015. Plus d'informations: contacter bianca.breteche@oecd.org.
Des prisons en Afrique : expériences, modèles et circulations - Attestation d...Audrey Jacob
Ce cours a pour objectif de vous aider à mettre en perspective ces discours et ces actions. Il propose ainsi de donner à comprendre les dynamiques carcérales du continent africain dans leur diversité géographique et dans leurs régimes d’historicité pluriels. Il aborde l’expérience carcérale en s’appuyant sur des enquêtes de terrain. Il reviendra aussi sur les enjeux des politiques et des réformes pénitentiaires, et des stratégies des acteurs impliqués. Alternant des études de cas, des entretiens et des réflexions plus théoriques, ce cours doit vous aider à renforcer vos capacités d’analyse et d’action (recherche-action, plaidoyer, ...).
https://www.fun-mooc.fr/courses/course-v1:Paris1+16010+session01/about
Les outils de la banque européenne d'investissement - Elodie de RecyCEEI NCA
Fondée en 1958 (Traité de Rome). Actionnaires: les 28 Etats membres de l’Union européenne. Siège: Luxembourg, 23 bureaux dans l’UE et 19 bureaux en dehors de l’UE; Effectif d'environ 3 000 personnes. Banque publique au service des politiques de l’UE (‘Banque de l’UE’). Organisme sans but lucratif. Priorité: promouvoir le développement économique et l’intégration à l’échelle européenne. Volume de prêts annuel (83.8 Mrd EUR en 2016), 90% UE / 10% hors UE. Notation AAA. Capital souscrit 243 Mrd EUR (22 Mrd paid-in). Ratio de solvabilité des fonds propres Bâle III de 24 % (Dec 2015) . Actionnaire majoritaire du Fonds européen d’investissement.
Les financements européens pour les entreprises innovantes - Guillaume RotyCEEI NCA
Le plan d'investissement en quelques mots : Un objectif de plus de 315 milliards d'euros mobilisés en Europe d'ici 2018, étendu à 500 milliards d'euros d'ici 2020. Des nouveaux outils européens créés pour faciliter l'investissement : plateforme de conseil, portail de projet et un nouveau fonds. Une fort accent sur le financement des PME via l'action du FEI : > 75 milliards d'euros mobilisés
Les Français et leur épargne face à la crise du COVID-19Kantar
La crise des marchés financiers liée au Coronavirus inquiète fortement les épargnants et les encourage à gérer leur épargne en ligne.
La chute rapide et violente des places boursières inquiète les épargnants au moins autant, si ce n'est plus, que la crise financière de 2008-2009. En manque de confiance et d'accompagnement, ils traduisent une fois de plus leur réserve quant aux différents conseils traditionnels et se montrent d'autant plus intéressés par les outils de gestion de leur épargne en ligne.
Baromètre du capital risque France - 2e semestre 2013EY
Ce Baromètre recense les opérations de financement en fonds propres des entreprises en phase de création ou durant les premières années d’existence, en date d’opération du 1er juillet au 31 décembre 2013, publiées avant le 21 janvier 2013.
Pour plus d'informations visitez notre site: http://www.ey.com/FR/fr/Services/Strategic-Growth-Markets/EY-barometre-du-capital-risque-france
Baromètre du capital risque France - 1er semestre 2014EY
Cette deuxième édition du Baromètre EY du capital risque en France met en avant la vitalité du financement des startups françaises malgré une légère baisse des montants levés en comparaison avec les deux semestres précédents : 445 M€ levés en 188 opérations (vs. 487 M€ levés en 177 opérations au 2e semestre 2013 et 488 M€ en 211 opérations au 1er semestre 2013).
Pour en savoir plus : http://www.ey.com/FR/fr/Services/Strategic-Growth-Markets/EY-Barometre-du-capital-risque-France
[weave] Risk and Compliace - cartographie des risquesonepoint x weave
La cartographie des risques est devenue un outil réglementaire de premier plan suite à diverses
réglementations bancaires (Bale II, 3ième Directive) ou Assurance (Solvency II).
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Les risques opérationnels doivent être considérés au-delà du simple spectre réglementaire, il s’agit également :
de piloter les processus au travers de l’appréciation des dysfonctionnements avérés ou potentiels,
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Il est également opportun de capitaliser sur « l’outil » cartographie des risques opérationnels pour intégrer d’autres dimensions du risque tels que les risques de non-conformité, juridiques, blanchiment, … afin de créer un cockpit global de gestion.
Cette vision d’ensemble s’appuie sur l’appréciation des experts métiers et s’alimente à partir des « signaux » issus des processus : les incidents mais également les résultats de contrôle, les audits internes et externes, les réclamations clients … afin de migrer de la détection à la prévention des risques.
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Le phénomène de complexification du système économique et financier dans lequel évoluent les entreprises tend à accroître l’incertitude qui porte sur l’atteinte des objectifs qu’elles se fixent.
La mise en place d’un dispositif de gestion globale des risques, ou programme ERM, permet aux entreprises de fiabiliser leurs résultats par le renforcement de leur système de pilotage. Cette démarche consiste en la prise en compte de l’incertitude dans les processus de management et de décision pour chaque niveau de leur organisation.
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HAS - Déploiement de la bientraitance en établissement de santé et en EHPAD -...Haute Autorité de Santé
La promotion de la bientraitance et son corolaire la prévention de la maltraitance sont des enjeux majeurs pour le système de santé aujourd’hui. Elle favorise :
- l’implication des usagers dans leurs soins, dimension centrale de la qualité, de la sécurité des soins ;
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La HAS et la FORAP (Fédération des Organismes régionaux d’Amélioration des Pratiques et des Organisations en santé) proposent un guide dont l’objectif est d’accompagner les établissements dans le déploiement de la bientraitance en leur donnant les outils stratégiques et opérationnels nécessaires.
Pour consulter ce guide : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_915130/fr/promotion-de-la-bientraitance
[Gestion des risques et conformite] conformite asset managementonepoint x weave
Le secteur de l’Asset Management est en mutation depuis plusieurs années : crise financière, baisse et forte volatilité des marchés, nouvelles réglementations...
L’Europe s’est récemment dotée d’un cadre législatif destiné à favoriser l’émergence de modes de fonctionnement communs (directives MIF, OPCVM, UCITS, AIFM...), modifiant ainsi les caractéristiques du secteur : nouveaux acteurs, évolution des rôles sur la chaine de valeur, nouveaux produits, évolution des business modèles...
Cela implique de nouveaux enjeux pour l’ensemble des acteurs :
Mise en conformité réglementaire
Excellence opérationnelle
Amélioration de la gestion des risques
Evolution de l’offre produits / services
Pour répondre à ces enjeux, weave vous accompagne dans vos projets de transformation et de mise en conformité à chaque étape.
[Gestion des risques et conformite] optimiser le dispositif de controle interneonepoint x weave
Le dispositif de contrôle interne est un outil indispensable de gestion des risques et suivi de la conformité réglementaire.
Il est également possible de le penser comme un véritable levier de pilotage des activités. Les contrôles sont des « sondes » au sein des processus qui peuvent être des instruments de mesure de l’activité et la qualité délivrée.
Notre constat ? Une majorité de contrôles peut également servir d’indicateurs de la qualité et de la performance des processus. De même, l’approche des risques par l’impact sur l’image de l’entité vis-à-vis de ses clients transforme la cartographie des risques en instrument d’efficience opérationnelle.
L’identification, l’analyse et l’évaluation des risques selon l’ISO 31000 : l...PECB
The webinar covers:
• Appréhender les sous étapes de l’étape appréciation des risques.
• Connaître les outils et techniques pour l’identification, l’analyse et l’évaluation des risques.
• Savoir choisir les outils et techniques à bon escient
Presenter:
Le webinaire est présenté par Zied Boudriga, formateur certifié par PECB et Directeur des risques Opérationnels et des Marchés à l’ArabTunisian Banket.
Link of the recorded session published on YouTube: https://youtu.be/nIFP9V5qzSM
«Le risque est l’effet de l’incertitude sur l'atteinte des objectifs » - Selon le référentiel ISO Guide 73 – Vocabulaire du management du risque .
Management des Risques : «Activités coordonnées dans le but de diriger et piloter un organisme vis-à-vis du risque» - Selon le référentiel ISO Guide 73 – Vocabulaire du management du risque.
Les cindyniques : sciences du danger. Elles regroupent les sciences qui étudient les risques. (plus particulièrement aux risques industriels, et plus spécifiquement aux risques majeurs).
Comment définir le risque et le gérer dans le cadre d'un projet Agile ?
• quel type de risque ?
• priorisation et risque
• quels outils et techniques ?
1-La gestion des risques achats
Cartographie des risques
Outils et moyens de gestion de risque achat
Processus d’intégration et de pilotage
2-La gestion des risques de la Supply chain
Définitions
Types de risques
Sources de risque
Méthodologie de gestion du risque
3-Étude de cas Dell: pour une culture globale de la gestion des risques logistiques
Le collège de supervision de l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) a adopté, le 13 novembre 2015, des lignes directrices conjointes ACPR-Tracfin sur les obligations de déclaration et d'information à Tracfin. Elles se substituent aux précédentes lignes directrices conjointes publiées en juin 2010.
"Parmi les nouveautés, un chapitre des lignes directrices est consacré au dispositif des communications systématiques d'informations relatives à la transmission de fonds."
Des exemples de typologies de blanchiment dans le secteur bancaire et celui des assurances figurent en annexe du document.
> Le ministre des Finances et des Comptes publics et le Gouverneur de la Banque de France, président de l'ACPR, ont rappelé dans un communiqué aux organismes financiers "les oblig ations qui pèsent sur eux en matière de lutte contre le financement du terrorisme et en appellent à leur vigilance extrême."
> En réponse au rappel du ministère, les banques françaises rappellent "leur engagement total dans la lutte contre le financement du terrorisme. Elles assurent aujourd'hui 80% des déclarations faites à Tracfin..."
Nouvelle étude de l'ACPR dans la série "Analyses et Synthèses".
Les cinq grands groupes bancaires qui font l'objet de cette étude [BNP Paribas (BNPP), Groupe BPCE (GBPCE), Groupe Crédit Agricole (GCA), Groupe Crédit Mutuel (GCM) et Société Générale (SG)] représentent, au 31 décembre 2013, un peu plus de 85 % du total de bilan du secteur bancaire français comptant par ailleurs environ 600 établissements de crédit.
En outre, avec un total de bilan équivalant à 280 % du Produit Intérieur Brut (PIB) français, l'envergure de ces cinq grands groupes bancaires dépasse largement le seul cadre national. Ce sont des acteurs internationaux qui entrent au niveau européen dans la catégorie des « banques significatives » dont la BCE est en charge de la supervision directe à partir du 4 novembre 2014. Au niveau mondial, les quatre premiers d'entre eux (BNPP, GBPCE, GCA et SG) figurent dans la catégorie beaucoup plus restreinte des banques d'importance systémique mondiale. [...]
Entre fin 2006 et fin 2013, les engagements internationaux des grands groupes bancaires français sont passés de 1 716 milliards à près de 2 550 milliards d'euros (soit, hors engagements en termes de garanties, de 26% à 35 % du total des actifs bancaires), avec une forte progression jusqu'en décembre 2010, suivi d'un recul marqué depuis en lien avec la crise financière et le contexte global de désendettement...
Le tableau de bord de l'économie françaiseCCI Loiret
Sondage réalisé par Viavoice pour l’ACFCI (Assemblée des Chambres Françaises de Commerce et d’Industrie) et Les Echos ;
Dates de réalisation des interviews : du 7 au 18 septembre 2009 ;
Interviews réalisées par téléphone auprès de deux échantillons : Un échantillon de 1003 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
Représentativité assurée par la méthode des quotas appliquée aux critères suivants : sexe, âge, profession du chef de famille, catégorie d’agglomération et région de résidence.
Un échantillon de 511 dirigeants d’entreprise, représentatif des entreprises de cinq salariés et plus.
Représentativité assurée par la méthode des quotas appliquée aux critères suivants : secteur d’activité de l’entreprise, taille de l’entreprise, région.
Ce numéro présente les résultats des tests de résistance conduits par l'Autorité bancaire européenne (EBA) et la Banque centrale européenne (BCE) en 2014. "Le secteur bancaire français se caractérise par un niveau de capitalisation élevé au point de départ (fin décembre 2013) et au terme de l'exercice de stress (fin 2016)..."
La 17e journée de formation des RCCI et des RCSI s'est tenue le 21 mars 2017. La matinée était consacrée à l’actualité réglementaire, avec un zoom sur les contrôles effectués par l’AMF.
Adopté en mai 2014, MIF 2 dessine le nouveau cadre des Marchés d’instruments financiers sous la forme d’une directive révisée (MIFID 2) et d’un règlement (MIFIR). Dans la perspective de sa mise en œuvre, l'AMF a organisé, le 19 janvier 2017, une matinée de formation s’adressant à un public large, permettant de faire un tour d'horizon des exigences en termes de trading, de transparence avant et après négociation et de reporting.
Le 17 novembre 2016, Benoît de Juvigny, secrétaire général et Martine Charbonnier, secrétaire générale adjointe, ont présenté les constats et recommandations de l’AMF sur la responsabilité sociale, sociétale et environnementale et sur le gouvernement d’entreprise et la rémunération des dirigeants des sociétés cotées.
Ce guide a pour objectif d’accompagner les sociétés de gestion de portefeuille dans la mise en œuvre des nouvelles dispositions issues de MIF 2. Il sera mis à jour en fonction des autres textes qui viendront compléter la directive. Gouvernance des produits, conseil en investissement « indépendant », rémunérations ou encore meilleure exécution, l’AMF reprend les thèmes clés de la directive pour les sociétés de gestion. Cette nouvelle version du guide tient, notamment, compte des principales dispositions des textes de niveau 2.
Adopté en mai 2014, MIF 2 dessine le nouveau cadre des Marchés d’instruments financiers sous la forme d’une directive révisée (MIFID 2) et d’un règlement (MIFIR). Dans la perspective de sa mise en œuvre, l'AMF a organisé, le 19 janvier 2017, une matinée de formation s’adressant à un public large, permettant de faire un tour d'horizon des exigences en termes de trading, de transparence avant et après négociation et de reporting
Le 27 octobre 2016, Benoît de Juvigny, secrétaire général de l'AMF, Yves Perrier, président de l'AFG, et Didier Le Menestrel, président de la commission compétitivité de l'AFG, ont présenté le rapport FROG pour une plus grande visibilité et distribution des fonds français à l’international
A l’occasion d’une conférence de presse, les quatre institutions se mobilisent ensemble pour la première fois, afin de dénoncer d’une seule voix le fléau des arnaques financières sur internet et notamment le trading très spéculatif visant les particuliers. Convaincues que la prévention et la communication sont les modes les plus efficaces pour protéger le grand public, elle rappellent un message essentiel : la promesse d’un gain facile est un leurre absolu.
ATELIER 1
La distribution de produits financiers en 2016 :
comment mettre en œuvre les nouvelles
obligations d’information des clients issues de
MIF II et de PRIIPS ?
L’objectif de cette journée est de permettre aux RCCI et RCSI d’approfondir leurs connaissances et d’améliorer leurs pratiques professionnelles, mais aussi de les sensibiliser aux enjeux auxquels ils sont confrontés dans l'exercice de leur métier. Elle est aussi l’occasion d’un dialogue régulier entre ces RCCI et RCSI et l’AMF.
Marielle-Cohen Branche a présenté à l’occasion d’une conférence de presse le rapport annuel 2015 de la Médiation de l’Autorité des marchés financiers. Avec un nombre de dossiers en forte hausse, l’année 2015 aura été particulièrement intense et marquée par l’entrée en vigueur de la directive européenne relative au règlement extrajudiciaire des litiges de consommation.
Ce document compile les chiffres clés 2014 de la gestion d’actifs, publiés par l’AMF chaque mois depuis juillet 2015, et intègre des annexes complémentaires. Il rassemble des informations sur les acteurs de l’industrie de la gestion, leurs profils, leurs encours gérés, leur activité, leur rentabilité ou encore leur dispositif de contrôle.
A l’occasion de son rapport annuel 2015 sur le gouvernement d’entreprise et la rémunération des dirigeants de sociétés cotées, l’Autorité des marchés financiers aborde plusieurs thématiques parmi lesquelles les indemnités de départ des dirigeants, l’indépendance des administrateurs au regard des relations d’affaires ou l’indépendance du président du conseil.
L’Autorité des marchés financiers (AMF) publie un état des lieux des pratiques en matière de stratégie et communication actionnariale des sociétés cotées. Première étude de cet ordre menée par les services de l’AMF, elle dresse le bilan et les bonnes pratiques étudiées auprès de 80 émetteurs. Fort de ces enseignements, le régulateur complète par ailleurs sa doctrine avec la publication d’une position et d’une recommandation.
A l'issue des consultations lancées par la Commission européenne, Guillaume Eliet, secrétaire général adjoint de l’AMF, a présenté à la presse les propositions de l’AMF sur l’Union des marchés de capitaux, sur la réforme de la directive Prospectus et pour promouvoir une titrisation simple, transparence et standardisée.
L'AMF organisait le 8 juin 2015 un point presse sur le thème "De la surveillance à l'enquête, méthodes et évolutions". Il s'agissait de présenter les missions, moyens et résultats des équipes des enquêtes et de la surveillance de l'AMF, et de dégager les enjeux et perspectives.
Ce rapport rappelle d’abord les étapes du développement de l’investissement socialement responsable (ISR) et les tentatives de définition de ce concept qui a évolué dans le temps. Il contient un état des lieux des pratiques en matière de commercialisation, en France, des fonds dits "ISR" (français ou non). Enfin, il liste les ajustements de la doctrine de l'AMF sur l’information à inclure dans la documentation commerciale et légale des organismes de placements collectifs ainsi que sur la cohérence, l’accessibilité et la fiabilité de l’information mise à disposition des investisseu
Plus de Autorité des marchés financiers - AMF (France) (19)
Rapport ISR - Conférence de presse - novembre 2015
Cartographie des risques 2015
1. Cartographie 2015
des risques et tendances sur les
marchés financiers et pour l’épargne
Benoît de Juvigny, secrétaire général
Christian de Boissieu, vice-président du conseil scientifique et membre
du collège de l’AMF
Stéphane Gallon, chef économiste
Conférence de presse – 9 juillet 2015
2. 2AMF – Cartographie des risques et tendances 2015
La démarche de l’AMF
Un rendez-vous annuel initié en 2007 : 9e édition de cette publication
Une analyse des tendances dans la sphère macro-financière pour
identifier les risques :
– Risques systémiques
– Risques entrant dans le champ du mandat légal de l’AMF
Le croisement de plusieurs perspectives et de nombreuses sources
d’information
Des sujets identifiés à l’agenda des régulateurs ou au cœur des
réflexions de la place
3. Les risques et tendances sur les marchés
financiers en 2015 (hors crise liée à la Grèce)
Informations nouvelles depuis la cartographie 2014
Politique de la BCE : baisse des taux et Quantitative Easing
Dépréciation de l’euro
Des marchés résilients malgré des chocs importants (chute du cours du pétrole de
50 %, appréciation du franc suisse de 15 %…)
3
Conséquences pour les risques 2015
Moindre risque de déflation en zone euro mais la reprise reste fragile et précaire
(l’investissement ne repart pas)
La faiblesse accentuée des taux d’intérêt renforce le risque déjà classé en tête dans la
cartographie 2014 :
- Fragilisation du modèle économique des banques et des assurances
- Perturbation de l’allocation de l’épargne, le risque n’étant pas correctement rémunéré
- Possible correction désordonnée des prix d’actifs, avec des sur-réactions en cas
d’insuffisante liquidité
Les autres risques apparaissent quant à eux stables ou en diminution
AMF – Cartographie des risques et tendances 2015
5. 5
Marchés obligataires : des conditions toujours
exceptionnelles
La faiblesse des taux d’intérêt
profite notamment aux sociétés
non financières européennes
La dégradation constatée aux Etats-Unis
à partir de la mi 2014 est due au secteur
pétrolier avec la chute du cours du baril.
La liquidité des marchés
obligataires fait l’objet
d’interrogations croissantes
Les coûts de financement réduits
ne suffisent pas à relancer
l’investissement en zone euro
Taux de croissance en % de la masse monétaire M3, du PIB en volume et de
la Formation Brute de Capital Fixe (FBCF) en volume - France
Spreads corporate selon les catégories de notation (en points de base)
Source : Bloomberg. Dernière observation 31/05/2015
Source : INSEE, Banque de France
AMF – Cartographie des risques et tendances 2015
6. 6
Marchés obligataires : des émissions dynamiques,
une titrisation atone en Europe
Une hausse de 9 % de 2013 à 2014
avec des records mondiaux
- Emissions d’obligations risquées
(catégorie spéculative) : 560 milliards
de dollars
- Emission de dette corporate dans les
pays émergents : 1 290 milliards de
dollars
- Obligations contingentes (CoCos,
secteur bancaire) : 75 milliards d’euros
dont 30 % par des banques asiatiques
(40 % même sur le début 2015)
Des fusions et acquisitions au plus
haut depuis 2007
Pas de relance de la titrisation en
Europe
- L’Union des Marchés de Capitaux
entend promouvoir une titrisation
simple, transparente, et standardisée
- Des facteurs structurels plaident pour le
transfert des risques depuis les
banques vers d’autres acteurs
Emissions mondiales de CoCos
(Contingent convertible capital instruments, en milliards d’euros)
Emissions de véhicules de titrisation en Europe et aux Etats-Unis
(données annualisées, en milliards d’euros)
Source : AFME.
Source : Bloomberg. Note * : Données au 22/05/2015
AMF – Cartographie des risques et tendances 2015
7. 7
Marchés actions : des valorisations en hausse et
le retour des introductions en bourse
La progression des cours de bourse
est portée par la recherche de
rendement hors obligataire
Facteurs d’attention :
- décalage avec la sphère réelle de
l’économie
- évolution des primes de risque
Les introductions en bourse ont crû
fortement de 2013 à 2014
- Monde : + 50 % (atteignant 250 milliards
de dollars)
- Europe : + 100 % (50 milliards d’euros)
- France : + 300 % (4 milliards d’euros)
Source : Bloomberg. Note : Données au 03/06/2015
Source : INSEE, Banque de France
Evolutions des principaux indices actions selon les zones géographiques
(indices MSCI au 03/06/2015, en %)
Levées de capitaux sur les marchés d’actions dans le monde
(milliards de dollars)
AMF – Cartographie des risques et tendances 2015
8. 8
Marchés actions : des volumes en hausse sur les
marchés régulés
La hausse du nombre de titres
échangés en bourse atteint 9 %
en Europe et 15 % aux Etats-Unis
en 2014 par rapport à 2013
Avec la hausse des cours,
l’augmentation des volumes
échangés (produit du nombre de
titres et de leur valeur) est plus
forte
- 20 % sur Euronext Paris
- 17 % au niveau mondial
- un pic en septembre-octobre 2014
AMF – Cartographie des risques et tendances 2015
9. 9
Marchés actions : fragmentation et opacité
semblent se stabiliser
La part du gré à gré (OTC)
s’inscrit en légère baisse
Hors OTC, la part d’Euronext
connaît une légère érosion au
profit des plateformes
alternatives
En forte croissance entre 2008 et
2012, les volumes négociés sur
les dark pools européens
connaissent en 2014-2015 une
croissance plus modeste
AMF – Cartographie des risques et tendances 2015
10. 10
Marchés dérivés : des changements structurels à
l’œuvre, avec la compression de portefeuille…
La baisse globale des montants
notionnels est due au repli des
montants sur dérivés de taux qui
représentent 80 % des montants
totaux
La baisse des montants notionnels
reflète le recours croissant aux
techniques de compression de
portefeuille
Les mesures de risque (valeurs de
marché brutes et expositions brutes
de crédit) augmentent quant à elles
Mais elles ne reflètent pas la
réduction du risque de contrepartie
lié à l’augmentation de la
collatéralisation des positions
AMF – Cartographie des risques et tendances 2015
11. 11
Marchés dérivés : … et le recours à la
compensation centrale
L’exemple des dérivés de taux
montre que
- la compensation centrale croît
- la migration des échanges vers les
plateformes est moins manifeste
La résilience des chambres de
compensation est cruciale dans
cet environnement
– en amont : 4 lignes de défense
– en aval : travaux en cours sur
les plans de redressement, les
procédures de résolution et les
opérations transfrontalières
AMF – Cartographie des risques et tendances 2015
12. 12
Système financier parallèle : un poids relatif
stable avec 25 % du système bancaire mondial
D’après le FSB, la finance parallèle
dans sa définition la plus large
reste stable
- 50 % du système bancaire
traditionnel : 75 000 milliards de
dollars fin 2013
- Avec une définition plus restreinte
(intermédiation de crédit présentant
des risques de type bancaire) son
poids est moitié moindre
En France, la finance parallèle
regroupe 1 144 milliards d’euros
soit 15% des actifs bancaires :
– Sociétés d’investissement et
titrisations sont majoritairement
consolidés prudentiellement
– Les principales entités sont les
fonds monétaires et les fonds
d’investissement hors actions
– La grande majorité des entités
est donc régulée
62,3
1,1
8,2
12,4
1,4
4,1
35,1
0
10
20
30
40
50
60
70
0
10
20
30
40
50
60
70
MUNFI Titrisations auto-
souscrites
Filiale Fonds actions Fonds
immobiliers
equity
Activités intra-
groupe
Définition étroite
De la mesure large à la mesure restreinte de la finance parallèle
au niveau mondial (en milliers de milliards de dollars)
Source : FSB
AMF – Cartographie des risques et tendances 2015
13. 13
Epargne des ménages : une allocation peu risquée
malgré un nouvel intérêt pour de l'assurance vie
Comportement des ménages en
terme de taux d’épargne
- Grande stabilité autour de 15 % pour
l’épargne totale depuis 1990
- Redressement du taux d’épargne
financière depuis la crise passant de
5 à 7 %
Reprise de l’assurance vie en
unités de compte
Une évolution qui semble parallèle à la
hausse de la bourse
Un patrimoine financier qui reste
peu risqué
La détention d’actions ne progresse pas
(10 % environ du patrimoine financier)
AMF – Cartographie des risques et tendances 2015
14. 14
Gestion collective : une collecte toujours dynamique
La progression reste vive dans
le monde, en léger
ralentissement aux Etats-Unis
Une industrie concentrée : au
niveau mondial, les 20 plus
grosses sociétés de gestion
comptent pour 41 % des actifs
sous gestion
En France, le poids des
Exchange Traded Funds croît
plus vite que la gestion active
Risques associés :
- Altération du mécanisme de
formation des prix ?
- Illusion de liquidité (gestion actif –
passif)
- Pro-cyclicité ?
Flux nets de collecte globaux par les fonds de gestion collective
(en milliards d’euros)
Sources : EFAMA, AMF
0
500
1 000
1 500
2 000
2 500
3 000
3 500
4 000
4 500
2012 2013 2014 T1 2015
ETF Gestion active Gestion indicielle
89,6 %
88,8 %
9,5 %
8,7 %
7,9 %
7,4 %
2,5 %2,5 %2,5 %2,2 %
88 %
90,3 %
Encours sous gestion des fonds commercialisés en France
(en milliards d’euros)
Sources : Lipper, Calculs AMF
AMF – Cartographie des risques et tendances 2015
15. 15
Gestion collective : le débat sur le risque systémique
AMF – Cartographie des risques et tendances 2015
Des travaux internationaux menés sous l’égide du Conseil de Stabilité
Financière (FSB)
Identification des entités susceptibles d’être globalement systémiques
Evaluation des risques pouvant émaner de l’industrie de la gestion dans son
ensemble
17 juin 2015
On asset management, the Board concluded that a full review of asset management activities and products in the
broader global financial context should be the immediate focus of international efforts to identify potential systemic
risks and vulnerabilities. Therefore, the Board believes that this review should take precedence over further work on
methodologies for the identification of systemically-important asset management entities. After the review is
completed, work on methodologies for the identification of such entities should be reassessed.
Des points de vigilance
Risque de rachats significatifs, à l’occasion d’ajustements de prix d’actifs sur les
marchés (évolutions de la prime de risque ou des taux d’intérêt)
Eventuelle réallocation d’actifs, la recherche de rendement pouvant par exemple
conduire à des investissements dans des classes d’actifs ou zones géographiques
plus risquées
Potentielle fragilité de certains fonds monétaires, la valeur liquidative constante
pouvant être difficile à assurer dans un contexte de taux d’intérêt très bas (débat
CNAV-VNAV)
Attention portée à la gestion actif – passif (ALM) et aux stress-tests
16. 16
Gestion collective : une connaissance accrue du
secteur grâce au reporting AIFM
Des informations riches
- 7900 FIA
- 450 lignes / FIA
Allocation
- à plus de 80 % sur l’Europe ou
l’euro
- très classique (actions, obligations,
monétaires)
Moins de 2 % de fonds se disant
spéculatifs (hedge funds)
Plus de 50 % des fonds ciblant
le grand public
Asie Pacifique
1%
Europe
hors
EEE
7%
Europe (EEE)
74%
Amérique du Nord
4%
Amérique du Sud
0%
Supra national
14%
Euro
85%
Dollar des États-Unis
11%
Livre Sterling
2%
Yen
1%
Franc Suisse
0%
Autres
1%
Exposition par principales devises des fonds soumis au reporting AIFM (en %)
Exposition par pays des fonds soumis au reporting AIFM (en %)
Source : AMF
Source : AMF
AMF – Cartographie des risques et tendances 2015
17. 17AMF – Cartographie des risques et tendances 2015
Des risques qui diffèrent en fonction de l’horizon
temporel
A court terme : croissance économique et prix d’actifs
Inversion des facteurs de soutien externe à la croissance (change de l’euro ; prix
du pétrole ; pays émergents…)
Réapparition des primes de risque et de terme
Changement brutal de prix d’actifs
Phénomène pouvant être aggravé par une faible liquidité, ou par des réallocations
massives des portefeuilles des gestionnaires de fonds
AMF – Cartographie des risques et tendances 2015
18. 18AMF – Cartographie des risques et tendances 2015
Des risques qui diffèrent en fonction de l’horizon
temporel
A moyen terme : normalisation de la politique monétaire
Hausse des taux longs trop rapide (sous l’influence de la Fed ?) : reprise avortée
en zone euro et correction des prix d’actifs
Hausse des taux trop lente : épuisement du modèle économique des banques et
assurances ; mauvaise allocation des actifs
A long terme : financement de la croissance
Côté offre : passage à un système désintermédié
Côté demande : préférence des ménages pour les actifs liquides et non risqués
alors que les investissements porteurs de croissance sont risqués ou à long terme
AMF – Cartographie des risques et tendances 2015
19. L’impact de la crise grecque
Risque direct : des effets a priori limités sur les marchés
- Défaut souverain : un événement déjà vécu par les marchés
- Montants en jeu à relativiser
Dette grecque (320 milliards d’euros) ~ 3 % PIB zone euro
Dette grecque portée par la France ~ 3 % dette publique France
- Pertes concentrées dans des institutions publiques pouvant les porter sans affecter directement les
marchés
Exposition des fonds d’investissement français < 1 milliard d’euros (contre 8 milliards d’euros en
2009)
- Choc survenant dans un secteur financier désormais plus résilient en Europe
Risque indirect : la question clef des changements d’anticipations
- Sortie non ordonnée d’une zone monétaire : jamais expérimentée
- Doutes sur la pérennité même de la zone euro : re-tarification du risque de sortie (= dévaluation) pour
certains pays (Espagne, Portugal…)
- Une protection : le programme Outright Monetary Transactions de la BCE
Constat actuellement : une certaine résilience à ce stade
- Taux de change de l’euro
- Taux d’intérêt souverains
- CDS bancaires
19AMF – Cartographie des risques et tendances 2015