De l'expérience patient au patient expert...Amah KOUEVI
Intervention du 17 janvier 2019 au CNAM. Amah KOUEVI, fondateur de l'Institut de l'expérience patient et Catherine Tourette-Turgis, Fondatrice de l'université des patients
De l'expérience patient au patient expert...Amah KOUEVI
Intervention du 17 janvier 2019 au CNAM. Amah KOUEVI, fondateur de l'Institut de l'expérience patient et Catherine Tourette-Turgis, Fondatrice de l'université des patients
Parcours administratif et hôtelier à l’hôpital : quelle importance ?Amah KOUEVI
Comment s’inscrivent les aspects administratifs et hôteliers dans l’expérience globale d’un patient ? Quelles sont les sources d’inquiétude ou de frustration, les vecteurs de bien-être, de confort et de confiance ? A quels enjeux le personnel est-il confronté ? Autant de questions qu’il est nécessaire d’aborder quand on poursuit l’objectif d’améliorer le vécu des patients et de leurs proches.
Dicutons santé : Un site web pour aider les patients atteints de maladies chr...ComSanté
Le centre de recherche sur la communication et la santé a eu le plaisir de reçevoir, le 12 mars dernier Marie-Thérèse Lussier et Claude Richard dans le cadre d'un séminaire de recherche intitulé « Discutons Santé. Un site web pour améliorer l’efficacité des rencontres entre patients et professionnels de la santé ». Les conférenciers nous ont présenté les principales fonctionnalités du site, suivie d’une discussion de l’intérêt d’adopter cet outil web en pratique clinique.
Peu d’initiatives en e-santé sont dédiées à la formation à la communication des patients et des médecins. Or la gestion efficace des maladies chroniques repose, selon le modèle de Wagner, sur des interactions productives entre patients activés et des cliniciens préparés et proactifs. Discutons santé, un site web francophone, vise l'amélioration de la communication entre les patients atteints de maladies chroniques et les professionnels de la santé. Le site offre aux patients une formation à la communication PIVO (Présenter, s’Informer, Vérifier et Oser exprimer), un guide interactif de préparation aux visites médicales et un carnet de santé. Aux médecins, il propose un module d’autoformation à l’approche CIM (Convaincre, Implanter et Maintenir) pour les aider à mieux adapter leur intervention clinique à la disposition à se traiter de leur patient.
#PATIENT #EXPERT
✅ Chers membres, un article rappelant le rôle essentiel du patient-expert, paris-aidants comme partenaires permettant de contribuer à améliorer la qualité et la sécurité des soins.
⏩ Une expertise mise à contribution pour former des professionnels de santé en France, en Suisse ou au Québec ainsi dans les projets de recherche.
良 Complémentaires des professionnels de santé, ils mettent à disposition leurs savoirs fondés sur leur expérience.
Le partenariat en santé et la démocratie sanitaire doivent être pensés par la coconstruction pour améliorer l'organisation du système de santé et la prise en soin.
Rencontres régionales HAS 2013 (Lyon) - Parcours de soins, un enjeu de transf...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 7 février 2013 à l’École Normale Supérieure de Lyon une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Auvergne et Rhône-Alpes sur des thèmes les mobilisant.
Ces Rencontres ont débuté par les allocutions de :
- Gilles de Lacaussade, Directeur général adjoint, ARS Rhône-Alpes
- Charles-Henry Guez, Secrétaire général, URPS Médecins Rhône-Alpes
- Philippe Michel, Directeur de l’organisation, de la qualité et des relations avec les usagers,Hospices Civils de Lyon
- Dominique Maigne, Directeur, Haute Autorité de Santé
Puis, elles se sont articulées autour d’une séance plénière :
- Sécurité du patient, des défis à relever en région
et de trois tables rondes :
- Parcours de soins, un enjeu de transformation pour la ville et l'hôpital
- Qualité de vie au travail, un enjeu d’équipe
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite
Rencontres régionales HAS 2012 (Lille) - Nouvelles modalités d’exercice : que...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 13 décembre 2012 au Grand Palais de Lille une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Basse-Normandie, Haute-Normandie, Nord-Pas-de-Calais et Picardie sur des thèmes les mobilisant.
Cette journée s'est articulée autour de deux séances plénières :
- Maladies chroniques, un enjeu de transformation pour la ville et l’hôpital,
- Sécurité du patient, des défis à relever en région,
et de trois tables rondes simultanées :
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite,
- Nouvelles modalités d’exercice : quels bénéfices pour le patient ?
- Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient.
La communication est un élément clé dans la construction de la relation soignant-soigné. Le défaut de communication a un impact direct sur la qualité et la sécurité des patients.
Pour en savoir plus : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1660975/fr/communiquer-impliquer-le-patient
Programme pour l’Amélioration Continue du Travail en Equipe (PACTE) - HASHaute Autorité de Santé
Les objectifs de ce programme sont de
- Sensibiliser les professionnels aux pratiques collaboratives autour de la qualité et de la sécurité des soins ;
- Faire levier au niveau du microsystème clinique, là où les patients, les familles et les équipes se retrouvent,autour d’un programme d’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins,
- Élaborer un programme d’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins en équipe, là où la prise en charge réelle traduit la réalité de la pratique, suivre et évaluer les effets produits (individuel, patient, collectif, clinique, etc.)
Conférence d'Olivia Gross, chercheuse associée, et Jean-Charles Verheye, ingénieur de formation continue, Laboratoire Educations et Pratiques de Santé, Bobigny, France - Département de Pédagogie des Sciences de la Santé Ufr SMBH-Université Paris 13 - 25 novembre 2015
L’impact de la démocratie sanitaire : le patient et sa sécurité, point de vue...Haute Autorité de Santé
Soignants et soignés évoluent dans un système complexe qui rend parfois la communication entre ces deux partenaires difficile. Les patients ne comprennent pas toujours les messages qui leur sont délivrés, assimilant mal ce qui concerne leur prise en charge. Par crainte de faire perdre du temps, mais aussi parce que la relation soignant-soigné est par essence asymétrique, les patients n’osent pas poser des questions. Et pourtant, un patient qui communique avec les soignants, qui est attentif à son environnement, qui ose interpeller lorsqu’il ne comprend pas, permet d’améliorer sa sécurité lors des soins.
HAS - Déploiement de la bientraitance en établissement de santé et en EHPAD -...Haute Autorité de Santé
La promotion de la bientraitance et son corolaire la prévention de la maltraitance sont des enjeux majeurs pour le système de santé aujourd’hui. Elle favorise :
- l’implication des usagers dans leurs soins, dimension centrale de la qualité, de la sécurité des soins ;
- la qualité de vie au travail, en se centrant sur le sens du travail ;
- le développement de la démocratie sanitaire.
La HAS et la FORAP (Fédération des Organismes régionaux d’Amélioration des Pratiques et des Organisations en santé) proposent un guide dont l’objectif est d’accompagner les établissements dans le déploiement de la bientraitance en leur donnant les outils stratégiques et opérationnels nécessaires.
Pour consulter ce guide : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_915130/fr/promotion-de-la-bientraitance
Conférence d'Antoine Boivin, professeur adjoint, Département de médecine familiale à l’UdeM, chercheur régulier IRSPUM et CRCHUM, médecin clinicien à l’UMF Notre-Dame - 25 novembre 2015
Rencontres régionales HAS 2013 (Lyon) - Certification des établissements de s...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 7 février 2013 à l’École Normale Supérieure de Lyon une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Auvergne et Rhône-Alpes sur des thèmes les mobilisant.
Ces Rencontres ont débuté par les allocutions de :
- Gilles de Lacaussade, Directeur général adjoint, ARS Rhône-Alpes
- Charles-Henry Guez, Secrétaire général, URPS Médecins Rhône-Alpes
- Philippe Michel, Directeur de l’organisation, de la qualité et des relations avec les usagers,Hospices Civils de Lyon
- Dominique Maigne, Directeur, Haute Autorité de Santé
Puis, elles se sont articulées autour d’une séance plénière :
- Sécurité du patient, des défis à relever en région
et de trois tables rondes :
- Parcours de soins, un enjeu de transformation pour la ville et l'hôpital
- Qualité de vie au travail, un enjeu d’équipe
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite
Ce webinaire nous amène à nous concentrer non pas sur ce que nous faisons sur le plan de l'amélioration, mais plutôt sur la MANIÈRE dont nous le faisons!
Parcours administratif et hôtelier à l’hôpital : quelle importance ?Amah KOUEVI
Comment s’inscrivent les aspects administratifs et hôteliers dans l’expérience globale d’un patient ? Quelles sont les sources d’inquiétude ou de frustration, les vecteurs de bien-être, de confort et de confiance ? A quels enjeux le personnel est-il confronté ? Autant de questions qu’il est nécessaire d’aborder quand on poursuit l’objectif d’améliorer le vécu des patients et de leurs proches.
Dicutons santé : Un site web pour aider les patients atteints de maladies chr...ComSanté
Le centre de recherche sur la communication et la santé a eu le plaisir de reçevoir, le 12 mars dernier Marie-Thérèse Lussier et Claude Richard dans le cadre d'un séminaire de recherche intitulé « Discutons Santé. Un site web pour améliorer l’efficacité des rencontres entre patients et professionnels de la santé ». Les conférenciers nous ont présenté les principales fonctionnalités du site, suivie d’une discussion de l’intérêt d’adopter cet outil web en pratique clinique.
Peu d’initiatives en e-santé sont dédiées à la formation à la communication des patients et des médecins. Or la gestion efficace des maladies chroniques repose, selon le modèle de Wagner, sur des interactions productives entre patients activés et des cliniciens préparés et proactifs. Discutons santé, un site web francophone, vise l'amélioration de la communication entre les patients atteints de maladies chroniques et les professionnels de la santé. Le site offre aux patients une formation à la communication PIVO (Présenter, s’Informer, Vérifier et Oser exprimer), un guide interactif de préparation aux visites médicales et un carnet de santé. Aux médecins, il propose un module d’autoformation à l’approche CIM (Convaincre, Implanter et Maintenir) pour les aider à mieux adapter leur intervention clinique à la disposition à se traiter de leur patient.
#PATIENT #EXPERT
✅ Chers membres, un article rappelant le rôle essentiel du patient-expert, paris-aidants comme partenaires permettant de contribuer à améliorer la qualité et la sécurité des soins.
⏩ Une expertise mise à contribution pour former des professionnels de santé en France, en Suisse ou au Québec ainsi dans les projets de recherche.
良 Complémentaires des professionnels de santé, ils mettent à disposition leurs savoirs fondés sur leur expérience.
Le partenariat en santé et la démocratie sanitaire doivent être pensés par la coconstruction pour améliorer l'organisation du système de santé et la prise en soin.
Rencontres régionales HAS 2013 (Lyon) - Parcours de soins, un enjeu de transf...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 7 février 2013 à l’École Normale Supérieure de Lyon une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Auvergne et Rhône-Alpes sur des thèmes les mobilisant.
Ces Rencontres ont débuté par les allocutions de :
- Gilles de Lacaussade, Directeur général adjoint, ARS Rhône-Alpes
- Charles-Henry Guez, Secrétaire général, URPS Médecins Rhône-Alpes
- Philippe Michel, Directeur de l’organisation, de la qualité et des relations avec les usagers,Hospices Civils de Lyon
- Dominique Maigne, Directeur, Haute Autorité de Santé
Puis, elles se sont articulées autour d’une séance plénière :
- Sécurité du patient, des défis à relever en région
et de trois tables rondes :
- Parcours de soins, un enjeu de transformation pour la ville et l'hôpital
- Qualité de vie au travail, un enjeu d’équipe
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite
Rencontres régionales HAS 2012 (Lille) - Nouvelles modalités d’exercice : que...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 13 décembre 2012 au Grand Palais de Lille une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Basse-Normandie, Haute-Normandie, Nord-Pas-de-Calais et Picardie sur des thèmes les mobilisant.
Cette journée s'est articulée autour de deux séances plénières :
- Maladies chroniques, un enjeu de transformation pour la ville et l’hôpital,
- Sécurité du patient, des défis à relever en région,
et de trois tables rondes simultanées :
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite,
- Nouvelles modalités d’exercice : quels bénéfices pour le patient ?
- Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient.
La communication est un élément clé dans la construction de la relation soignant-soigné. Le défaut de communication a un impact direct sur la qualité et la sécurité des patients.
Pour en savoir plus : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1660975/fr/communiquer-impliquer-le-patient
Programme pour l’Amélioration Continue du Travail en Equipe (PACTE) - HASHaute Autorité de Santé
Les objectifs de ce programme sont de
- Sensibiliser les professionnels aux pratiques collaboratives autour de la qualité et de la sécurité des soins ;
- Faire levier au niveau du microsystème clinique, là où les patients, les familles et les équipes se retrouvent,autour d’un programme d’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins,
- Élaborer un programme d’amélioration continue de la qualité et de la sécurité des soins en équipe, là où la prise en charge réelle traduit la réalité de la pratique, suivre et évaluer les effets produits (individuel, patient, collectif, clinique, etc.)
Conférence d'Olivia Gross, chercheuse associée, et Jean-Charles Verheye, ingénieur de formation continue, Laboratoire Educations et Pratiques de Santé, Bobigny, France - Département de Pédagogie des Sciences de la Santé Ufr SMBH-Université Paris 13 - 25 novembre 2015
L’impact de la démocratie sanitaire : le patient et sa sécurité, point de vue...Haute Autorité de Santé
Soignants et soignés évoluent dans un système complexe qui rend parfois la communication entre ces deux partenaires difficile. Les patients ne comprennent pas toujours les messages qui leur sont délivrés, assimilant mal ce qui concerne leur prise en charge. Par crainte de faire perdre du temps, mais aussi parce que la relation soignant-soigné est par essence asymétrique, les patients n’osent pas poser des questions. Et pourtant, un patient qui communique avec les soignants, qui est attentif à son environnement, qui ose interpeller lorsqu’il ne comprend pas, permet d’améliorer sa sécurité lors des soins.
HAS - Déploiement de la bientraitance en établissement de santé et en EHPAD -...Haute Autorité de Santé
La promotion de la bientraitance et son corolaire la prévention de la maltraitance sont des enjeux majeurs pour le système de santé aujourd’hui. Elle favorise :
- l’implication des usagers dans leurs soins, dimension centrale de la qualité, de la sécurité des soins ;
- la qualité de vie au travail, en se centrant sur le sens du travail ;
- le développement de la démocratie sanitaire.
La HAS et la FORAP (Fédération des Organismes régionaux d’Amélioration des Pratiques et des Organisations en santé) proposent un guide dont l’objectif est d’accompagner les établissements dans le déploiement de la bientraitance en leur donnant les outils stratégiques et opérationnels nécessaires.
Pour consulter ce guide : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_915130/fr/promotion-de-la-bientraitance
Conférence d'Antoine Boivin, professeur adjoint, Département de médecine familiale à l’UdeM, chercheur régulier IRSPUM et CRCHUM, médecin clinicien à l’UMF Notre-Dame - 25 novembre 2015
Rencontres régionales HAS 2013 (Lyon) - Certification des établissements de s...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 7 février 2013 à l’École Normale Supérieure de Lyon une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Auvergne et Rhône-Alpes sur des thèmes les mobilisant.
Ces Rencontres ont débuté par les allocutions de :
- Gilles de Lacaussade, Directeur général adjoint, ARS Rhône-Alpes
- Charles-Henry Guez, Secrétaire général, URPS Médecins Rhône-Alpes
- Philippe Michel, Directeur de l’organisation, de la qualité et des relations avec les usagers,Hospices Civils de Lyon
- Dominique Maigne, Directeur, Haute Autorité de Santé
Puis, elles se sont articulées autour d’une séance plénière :
- Sécurité du patient, des défis à relever en région
et de trois tables rondes :
- Parcours de soins, un enjeu de transformation pour la ville et l'hôpital
- Qualité de vie au travail, un enjeu d’équipe
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite
Ce webinaire nous amène à nous concentrer non pas sur ce que nous faisons sur le plan de l'amélioration, mais plutôt sur la MANIÈRE dont nous le faisons!
La règle selon laquelle l'absence de réponse de l'administration à une demande implique son acceptation s'accompagne de nouvelles restrictions qui impactent directement les chirurgiens-dentistes, notamment dans le cadre des demandes d'autorisation d'exercice.
La grande consultation des médecins / ELABE pour l'Ordre des médecinscontact Elabe
L’institut ELABE a réalisé pour l’Ordre des médecins la grande consultation des médecins.
Cette consultation en ligne ouverte à tous les médecins inscrits au tableau de l’Ordre des Médecins, menée du 12 octobre au 22 novembre 2015 sur le site lagrandeconsultation.medecin.fr (accès sécurisé par renseignement du numéro RPPS et date de naissance) aura permis de recueillir l’opinion de 35 000 MEDECINS PARTICIPANTS pour 30 058 QUESTIONNAIRES COMPLETS ET ENREGISTRES dans les délais.
Tous les modes d’exercice et toutes les spécialités médicales sont représentés.
En miroir, un sondage en ligne a été mené par l’institut ELABE du 20 au 27 novembre 2015 auprès de 4 060 individus représentatifs des Français âgés de 18 ans et plus (méthode des quotas sur le sexe, l’âge et la catégorie socioprofessionnelle de l’individu, après stratification géographique).
Un très fort sentiment de malaise
Le premier enseignement de la grande consultation est la prégnance d’un sentiment de malaise chez l’ensemble des médecins. En effet, si 89% d’entre eux se disent « fiers » d’appartenir à une profession qui constitue avant tout une vocation, ils estiment que l’exercice du métier est aujourd’hui trop contraint et dévalorisé : 97% des médecins estiment subir « trop de contraintes réglementaires, économiques et administratives », qui empiètent sur leur temps médical, et 91% d’entre eux estiment que « leur mission de service public est mal reconnue ».
En conséquence, ils sont trois médecins sur quatre (74%) à se déclarer inquiets pour l’avenir de la profession, un très fort pessimisme qui s’étend par ailleurs au système de santé dans son ensemble, et que leur patientèle partage : 82% des médecins et 63% des Français considèrent que le système de santé se détériore, et 86% des médecins sont pessimistes quant à son avenir (pour 69% des Français). En cause, un pilotage de la santé par les pouvoirs publics jugé insatisfaisant par 93% des médecins, et le sentiment pour 53% des Français que la santé n’est pas « une priorité des pouvoirs publics ».
La nécessité de réformer le système… avec les médecins
Si médecins comme patients s’inquiètent d’un système en fin de cycle, c’est un net volontarisme des médecins qui se dégage de cette consultation : 95% d’entre eux appellent à une réforme partagée du système de santé (pour 87% des Français). Avec, pour première priorité, retrouver le temps médical : 98% des médecins estiment qu’ « augmenter le temps médical en réduisant la complexité administrative » est une piste de réforme importante ; il s’agit même d’une priorité pour 86% d’entre eux.
Par ailleurs, lorsque l’on demande aux Français quel est l’acteur en qui ils font le plus confiance pour réformer le système en leur nom, c’est sans équivoque le médecin, référent santé, qui est cité : 86% des Français font en effet confiance aux médecins pour faire évoluer le système de santé dans l’intérêt des patients.
Le Parcours de soins du patient FrançaisIpsos France
Le 20 octobre dernier, Coopération Santé a présenté lors de son colloque sur le thème “Parcours de soins du patient : des mots à la réalité”, les résultats de la première enquête réalisée par Ipsos pour MSD France, autour du parcours de soins vu par le grand public et en regards croisés avec les professionnels de santé.
A l’occasion de la conférence nationale « Travail & SEP, des solutions pour une entreprise inclusive », organisée par le collectif Travail & SEP, Harris Interactive a réalisé une étude pour mieux connaître la perception qu’ont les Français des enjeux liés aux maladies chroniques évolutives (MCE).
Les Français et la médecine de ville.
Quelle image les Français ont-ils du corps médical ? Et plus particulièrement des médecins généralistes et spécialistes ?
Objet de l’appel :
•Réviser les données récentes et le statut de la LVSC
•Discuter du rôle de la communication et du travail d’équipe en sécurité des patients
•Définir des moyens de mesurer l’efficacité de la LVSC
Pour en savoir plus: http://bit.ly/1wjN7Bs
État de la collaboration interprofessionnelle dans les GMF estriensComSanté
La collaboration interprofessionnelle (CIP) gagne en popularité dans les soins de santé. Au Québec, elle est devenue obligatoire comme mode de fonctionnement à la suite des réformes récentes aux soins primaires, surtout dans les groupes de médecine de famille (GMF), où de nouveaux groupes de professionnels doivent apprendre à travailler ensemble. Si la nécessité et la plus-value de la collaboration interprofessionnelle sont généralement admises, on en sait peu sur les pratiques réelles de la CIP. Ce projet pilote a pour but une meilleure compréhension de la réalité actuelle de la CIP dans 4 GMF estriens. S’appuyant sur une combinaison innovante de méthodes, dont des questionnaires ciblés, l’analyse d’emploi et la filature (shadowing) ethnographique, les résultats du projet décrivent les besoins et les contributions de collaboration de 4 groupes de professionnels (médecins, infirmières, pharmaciens et travailleurs sociaux) ainsi que les manières nuancées par lesquelles ces organisations positionnent le médecin ou le patient au centre de leur collaboration.
Conférenciers : Stéphanie Fox, professeure au Département de communication, Université de Montréal ; Isabelle Gaboury, professeure associée, Département de médecine de famille et de médecine d’urgence, Université de Sherbrooke ; François Chiocchio, professeur agrégé, École de gestion Telfer, Université d’Ottawa ; et Brigitte Vachon, Ph.D., Professeure agrégée, École de réadaptation, Université de Montréal.
Discutant : Ewan Oiry, professeur au Département d'organisation et ressources humaines, ESG, Université du Québec à Montréal.
Date : Jeudi 9 novembre 2017
Horaire : 12h30 à 13h45 (apportez votre lunch)
Lieu : UQAM, 405 rue Ste-Catherine Est, Pavillon Judith-Jasmin, local J-4435
INTERVIEW Anne-marie ARMENTERAS DE SAXCE - Directrice générale DGOSRéseau Pro Santé
Revue "Le Mag de l'INPH" n°8 - INPH - Décembre 2016
Comment devient-on directrice générale de l’offre de soins ?
Pour le côté formel des choses, il s’agit d’une nomination en conseil des ministres. Pour ce qui est du choix de la personne - et en particulier me concernant - il est difficile de répondre à la place des intéressés, au premier rang desquels la ministre. L’analyse que je peux en faire n’est pas spécifique au poste : c’est la rencontre entre d’un côté les besoins spécifiques d’un moment et, de l’autre, l’expérience et les compétences acquises.
Sous l’angle du parcours professionnel et de l’engagement personnel pour exercer des responsabilités d’équipes et de programmes, les fonctions de directrice de l’offre de soins et médico-sociale à l’ARS d’Ile-de-France, après une carrière hospitalière variée, auront été déterminantes. Ma nomination est venue rencontrer un moment particulier, celui de la préparation puis de la création des GHT, des nombreuses mesures de la loi de modernisation de notre système de santé, de la poursuite du plan triennal, de la concertation avec toutes les parties prenantes. Mais surtout - car le sens est important - la projection d’une vision fondamentale pour ce qui concerne la DGOS : celle de l’organisation territoriale de l’offre de soins. (...)
http://www.reseauprosante.fr
Interview Anne Marie Armenteras De Saxce - Directrice générale DGOSRachel Bocher
Comment devient-on directrice générale de l’offre de soins ?
Quelles sont les missions de la directrice générale et qui concernent directement les PHs ?
Conseil et vaccination du voyageur en pharmacieIpsos France
Valneva a fait appel à l'expertise d'Ipsos Healthcare pour réaliser une étude sur les comportements et les attentes des Français en matière de santé dans le cadre d'un voyage prévu hors de l'Union Européenne dans les 12 prochains mois. Les résultats révèlent le rôle essentiel des pharmaciens dans la préparation sanitaire des voyages à l'international.
Organisé par le CIIRPO, ce webinaire fait le point sur les différents types de boiteries chez les brebis et les béliers illustrées de photos. Les modes de prévention et les traitements possibles sont cités.
1. Pour un système de santé + accueillant, + à l’écoute, + humain,
qui réponde pleinement aux attentes des citoyens
experiencepatient.fr
Le baromètre de l’expérience patient
Présentation des résultats et débats
Commission Qualité - Conférence des DG de CHU, à Lille
Jeudi 24 janvier 2019, 8h30
2.
3. QUI SOMMES-NOUS ?
L’Institut français de l’expérience patient, un organisme indépendant à but non
lucratif
• Un organisme capable de faire converger les expertises
• Santé/hors santé
• Sanitaire/médico-social
• Nationales/internationales
• Un acteur dédié à un thème unique mais transversal
• Un partenaire de confiance pour les institutions
• Fédérations
• HAS
• Ministère
• Ecoles, universités
4. LE CONCEPT D’«EXPÉRIENCE PATIENT»
« L’ensemble des interactions et des situations vécues par une personne
susceptible d’influencer sa perception au cours de son parcours de santé
Ces interactions sont façonnées par les attitudes des intervenants mais aussi
par l’histoire de vie de chacune des personnes accueillies. »
(*) : Définition inspirée de celle du Beryl Institute, Bedford.Texas.
5. L’EXPÉRIENCE PATIENT AU QUOTIDIEN
L’expérience patient est faite de petites et grandes choses qui ont un
impact sur le vécu des patients :
La diminution de l’angoisse de l’hospitalisation, par une organisation
qui donne plus de visibilité aux interventions tout au long du parcours
du patient
Une atténuation de l’asymétrie soignant/soigné, notamment pour les
personnes porteuses de maladies chroniques, qui deviennent parfois
des experts de la vie avec la maladie
Une organisation réactive qui s’ajuste aux attentes des patients, une
organisation pro-active qui stimule la construction de solutions
pratiques avec l’aide des patients
Des technologies innovantes qui rendent service aux patients et à
leurs proches (Identification visuelle de l’équipe soignante,
géoguidage vers les lieux de consultations,…)
Système de santé
Moins angoissant
Moins
condescendant
Plus à l’écoute
Plus pratique
6.
7. Une étude de référence en France
• Quelle est la place de l’expérience patient dans la stratégie
des établissements ?
• Quel est le degré de maturité du sujet dans les
établissements de santé / ESMS ?
• Comment la gouvernance s’adapte-t-elle pour mieux
prendre en charge cet enjeu ?
• Quel est l’impact perçu de l’expérience patient sur la qualité
du service rendu et sur l’organisation des établissements ?
• Quels sont les leviers de développement et les freins
rencontrés ?
TOUS les professionnels
Médecins, directeurs, paramédicaux,
personnels médico-techniques
Cadres, non-cadres
Public / Privé / Associatif
Secteur sanitaire /
Secteur médico-social
8. Une étude de référence en France
3 objectifs :
• Mesurer l’évolution de la dynamique en
France, vs international
• Analyser l’appropriation par les professionnels
des leviers de l’amélioration de l’expérience
patient
• Elaborer des recommandations pour
accélérer la mise en pratique
9.
10. Enquête online réalisée entre le 4 octobre et le 15 novembre 2018.RECUEIL
Un échantillon de 886 personnes travaillant dans des établissements de santé, des établissements médicosociaux ou
dans le milieu de la santé en général, constitué à partir des contacts de l’Institut français de l’expérience patient et de ses
relais.
Après étude, aucun redressement n’a été appliqué à ces résultats, qui représentent la photographie à instant T de la
perception de l’expérience patient en France. Plusieurs raisons justifient ce choix :
- Le méthode de recueil à partir des contacts de l’institut correspond à celle employée par le Beryl Institute
- Pour cette première édition ce sont principalement les secteurs public et privé non lucratif qui ont participé, la
représentation du privé lucratif est faible et la corriger nécessiterait une trop grande pondération.
- De plus, une petite part des répondants ne travaillent pas dans un établissement.
ÉCHANTILLON
Mentions particulières :
• relai ADH (emailing 17 octobre) ;
• relai Unicancer (réseaux sociaux, news, web) ;
• relai GHT Savoie
12. 41%
37%
19%
3%
Gestionnaire, Membre de
l’administration
Paramédical
Médecin
Autre
S1. Quel est votre métier, votre place dans l’établissement ?
Question à réponse unique | Base : 886
S2. Et plus précisément, avez-vous une fonction de direction ou
d’encadrement ?
Question à réponse unique | Base : 886
19%
37%
44%
Direction
(PCME, DG, DGA, Directeur de soins…)
Encadrement
(Dir. Adjoint, Cadre de santé, chef de service…)
Aucune de ces fonctions
Total soignants : 56%
13. S3. Dans quel type d’établissement travaillez-vous ou êtes-vous bénévole en ce moment ?
Question à réponse unique | Base : 886
48%
32%
6%
3%
Etablissement de santé public
ESPIC
Clinique privée
Autre établissement de santé
Etablissements de santé
Etablissements médicosociaux
Autre (hors ES, EMS)
Type d’établissement de santé
89%
10% 1%
Base : 788
14. 13%
22%
30%
21%
14%
S4. Veuillez indiquer la taille de votre établissement :
Question à réponse unique | Base : 886
0 à 100 ETP
101 à 500 ETP
501 à 2 000 ETP
2 001 à 5 000 ETP
Plus de 5 000 ETP
Clé de lecture
13% des répondants font
partie d’un établissement de
100 ETP ou moins
15. S7. Vous personnellement, quelle part de votre temps de travail passez-vous habituellement auprès des [patients/personnes accompagnées] ?
Question à réponse unique | Base : 886
52%
15%
16%
17%
Peu ou pas de temps (0% à 20%)
Moins de la moitié de votre temps (20% à 50%)
Plus de la moitié de votre temps (50% à 80%)
Tout votre temps ou presque (80% à 100%)
Moyenne
L’échantillon s’équilibre entre
professionnels en back-office et
professionnels au contact des patients
(dont 2/3 passe plus de la moitié de leur
temps avec les patients)
17. Oui, régulièrement
Oui, occasionnellement
Non
Etablissement de santé 56%
Public 53%
ESPIC 59%
Clinique 67%
Etablissement médico-social 48%
Q1. Avant de participer à cette étude, aviez-vous déjà entendu l’expression « expérience patient » ?
Question à réponse unique | Base : 886
28%
27%
45%
Total oui
Clé de lecture
67% des professionnels exerçant en clinique
connaissent l’expression « expérience patient »
vs. 55% sur l’ensemble des répondants
+
–
–
18. Q2. Depuis quand connaissez-vous ce terme ?
Question à réponse unique | Base : 491 ceux qui ont entendu parler d’expérience patient
30%
49%
21%
Moins de 1 an
Entre 1 à 3 ans
Plus de 3 ans
Clé de lecture
Parmi ceux qui avaient entendu le
terme « expérience patient » avant de
participer à l’étude, 30% le connaissent
depuis moins de 1 an
19. 1%
18%
55%
26%
Q5. Parmi les propositions suivantes, laquelle décrit le mieux l’état de la politique de votre établissement en matière d’expérience patient ?
Question à réponse unique | Base : 886
7%
31%
41%
21% Rien n’a été fait à ce jour
Cela commence à peine
C’est en place/cela progresse
C’est bien installé
20. Q9. Selon vous, l’expérience patient comprend-elle chacun des éléments suivants ?
Question à réponse unique | Base : 886
Oui, tout à fait
Oui, plutôt
Total Oui
97% -
97% 98%
97% 98%
97% 98%
93% 96%
48% 88%
73%
71%
63%
62%
52%
11%
24%
26%
34%
35%
41%
37%
La relation aux [patients, personnes accompagnées]
La qualité [des soins / de l’accompagnement]
Sécurité des [patients/ personnes accompagnées]
L'implication des [patients, personnes accompagnées] /des
familles
Engagement des personnels
Maîtrise des coûts
22. Q10. Existe-t-il dans votre établissement un service ou un poste spécifique dédié à l’amélioration de l’expérience patient ?
Question à réponse unique | Base : 697 ceux dont l’établissement a commencé à travailler sur l’expérience patient
Oui
Non
Vous ne savez pas
Etablissement de santé 22%
Public 22%
ESPIC 22%
Clinique 30%
Etablissement médico-social 19%
NB. Aucune différence significative
22%
42%
36%
23. 25%
25%
11%
11%
28%
12%
36%
18%
35%
0 (aucun)
1 à 2
3 à 4
5 et plus
Vous ne savez pas
Q13. Combien de collaborateurs (ETP) travaillent sur l’expérience patient ?
Question à réponse unique | Base : 397 ceux qui connaissent l’organisation de l’expérience patient dans l’établissement (filtre selon Q5, Q10 et Q11)
25. La volonté d’améliorer la santé des [patients, personnes accompagnées]
La nécessité de mieux coopérer avec les autres acteurs de santé sur le territoire
La volonté de bien faire
L’opportunité d’en faire un avantage concurrentiel, d’améliorer sa réputation
Un mécanisme d’évaluation externe
Q14. Dans la liste ci-dessous, quels sont les 3 principaux facteurs qui poussent votre établissement à agir pour améliorer l’expérience patient ?
Jusqu'à 3 réponses possibles | Base : 886
57%
40%
38%
37%
23%
To p 5
1
2
3
4
5
40%
-
40%
41%
58%
NB. Le soutien de la hiérarchie fait partie du top 5 américain (50%)
26. Q16. Parmi les propositions suivantes, quels sont les 3 principaux freins à l’amélioration de l’expérience patient au sein de votre établissement ?
Jusqu'à 3 réponses possibles | Base : 886
La situation des personnels soignants (en burnout, stressés…)
Un budget, des ressources insuffisant(e)s
L’établissement a d’autres priorités qui devancent l’expérience patient
La formation des équipes
Les personnes responsables de l’expérience patient ont beaucoup d’autres missions
43%
40%
30%
20%
20%
To p 5
1
2
3
4
5
27. Q17. Parmi les propositions suivantes, quels sont les 3 principaux leviers pour l’amélioration de l’expérience patient ?
Jusqu'à 3 réponses possibles | Base : 886
Une culture d’établissement positive (où il fait bon travailler)
La prise en compte de la voix des [patients, personnes accompagnées] et des familles
La formation des équipes
Une définition formalisée de l’expérience patient
Une vision claire, une gouvernance volontariste
46%
39%
36%
33%
30%
To p 5
1
2
3
4
5
Clé de lecture
Une grande cohérence entre
les freins identifiés et les
leviers à actionner selon les
participants
28. Q18. Dans la liste ci-dessous, quels sont selon vous les 3 axes prioritaires d’investissement de votre établissement pour les 3 prochaines années
pour améliorer l’expérience patient (qu’il s’agisse de nouveaux postes de dépense ou d’augmentions des ressources allouées) ?
Jusqu'à 3 réponses possibles | Base : 886
La formation et le développement des personnels
L’amélioration des conditions de travail des collaborateurs
Une prise en compte plus importante des patients, personnes accompagnées et des familles
Le développement de la mesure de l’expérience patient
La modernisation des équipements, rénovation, aménagement des espaces
40%
36%
34%
28%
26%
To p 5
1
2
3
4
5
29. Q20. Dans la mesure de vos possibilités, êtes-vous prêt à contribuer aux projets d’amélioration de l’expérience patient de votre établissement?
Question à réponse unique | Base : 886
Oui, tout à fait
Oui, plutôt
Non, plutôt pas
Non, pas du tout
48%
48%
Total Oui
96%
Etablissement de santé 96%
Public 95%
ESPIC 96%
Clinique 93%
Etablissement médico-social 99%
30. ABONNEZ-VOUS ET SUIVEZ NOTRE ACTUALITÉ EN LIGNE !
https://twitter.com/xp_france
https://twitter.com/xpr_patient www.experiencepatient.fr
31. Pour un système de santé + accueillant, + à l’écoute, + humain,
qui réponde pleinement aux attentes des citoyens
experiencepatient.fr
Notes de l'éditeur
Pas de comparaison internationale
L’item « relation aux patients » n’a pas été mesuré par le Beryl Institute qui propose en lieu est la place l’item « Service »
TOP 5 Beryl
Evaluation (government mandated surveys)
Leaders
Reputation
Volonté de bien faire (right thing to do)
Améliorer la santé (better overall outcomes)
Rappel des items comparés en anglais
1 Desire to provide better overall outcomes
2 (RIEN)
3 Right thing to do
4 Becoming provider of choice/community reputation
5 Government mandated surveys
L1 = F1
L3 = F4
Pas de comparaison internationale possible, la question existe bien dans le questionnaire américain mais n’apparaît pas dans leur rapport