Revenu de Base Inconditionnel initiative Suisse. Pour ou contre ?Mathieu Despont
Que serait votre vie si vous n'aviez plus à la gagner ?
Prochainement le peuple suisse devra choisir en votation s'il veut introduire un Revenu de Base Inconditionnel.
C'est une somme d'argent versé à toute personne vivant en suisse, sans aucune contrepartie, juste pour le fait de vivre.
Au premier abord, chacun se dit que c'est une idée folle. Que ça ne peut pas fonctionner:
- Plus personne ne travaillera...
- Qui fera les sales boulots ?
Quand on le connait mieux, le Revenu de Base Inconditionnel se révèle un véritable couteau suisse, un outil aux multiples facettes pour surmonter les multiples crises (écologique, économique, financière, de sens, etc...) auxquelles notre société doit faire face.
Venez apprendre comment il peut diminuer les coûts de la santé, donner aux femmes plus d'autonomie, favoriser les études et les reconversions professionnelles, libérer la créativité de chacun(e) d'entre nous, que ce soit une créativité artistique ou entrepreneuriale, et bien d'autres choses encore...
Note d'analyse - Quelle évolution de la ségrégation résidentielle en France ?France Stratégie
Comment se répartissent cadres et ouvriers, immigrés d’Europe et d’ailleurs, ou encore logements sociaux, entre les quartiers de France métropolitaine ? Cette répartition est-elle plus inégale aujourd’hui qu’il y a 25 ans ?
En savoir plus :
https://strategie.gouv.fr/publications/evolution-de-segregation-residentielle-france
Pénitentiaire, le plan choc de la Fondation iFRAPFondation iFRAP
Le budget de l’administration pénitentiaire est l’un des rares budgets en France qui n’ait pas fait l’objet de coupes drastiques. Jugé prioritaire par le président de la République et intégré au sein de la mission « Justice », il représente un programme qui a été largement sanctuarisé dans ses crédits, en constante augmentation. Entre 2005 et 2015, les crédits de paiement de l’administration pénitentiaire seront passés de 1,55 milliard d’euros à près de 3,4 milliards d’euros. En 10 ans, le budget a atteint une croissance de près de 12 % par an.
Cependant, qu’ont les Français en face de ces dépenses budgétaires en forte hausse ?
• les plafonds d’emploi de personnel en augmentation sont théoriques dans l’administration pénitentiaire. La réalité est plus prosaïque avec un déficit (une sous-exécution) de - 455 emplois sur les quatre dernières années (2011-2014) ;
• les dépenses de personnel pour autant sont galopantes, et il n’est pas rare qu’elles dépassent même les crédits disponibles, obligeant à prélever ailleurs pour les financer (ce qui atteste un problème de pilotage de la masse salariale) ;
• Les programmes pénitentiaires ne parviennent cependant pas à lutter efficacement contre la surpopulation carcérale. Les comparaisons internationales sont impitoyables pour la France. Les rapports du Conseil de l’Europe montrent en effet, que sur une longue période, l’Allemagne, les Pays-Bas, l’Italie et la Grande-Bretagne (pour l’Irlande du Nord, l’Angleterre et le pays de Galles) font mieux que nous. La Grande-Bretagne parvient même (sauf l’Écosse), à conjuguer densité carcérale faible et taux de mises sous écrou fort ;
• la France, elle, a décidé de lâcher le programme pénitentiaire initial lancé par Nicolas Sarkozy, de 80 000 places à horizon 2017, pour lui substituer un programme visant à atteindre 63 500 places à cette même date à l’initiative de Christiane Taubira, garde des Sceaux. L’enjeu était de faire baisser la population incarcérée par la création de peines ou de sanctions alternatives (contrainte pénale, bracelets électroniques, etc.), tout en redimensionnant la construction de places de prison supplémentaires. Dans le même temps cependant, les dates butoirs liées à l’objectif d’encellulement individuel ont constamment été repoussées ;
• À l’heure où la lutte contre la radicalisation en prison suppose de « prioriser » l’encellulement individuel, il importe de définir et de chiffrer un nouveau programme pénitentiaire capable capable d’atteindre rapidement cet objectif prioritaire.
Baromètre Ipsos/Secours Populaire de la pauvreté et de la précarité - Vagu...Ipsos France
Pour la dix-septième année consécutive, Ipsos et le Secours Populaire dévoilent les résultats du Baromètre français de la pauvreté et de la précarité. Pour la deuxième année consécutive, ce baromètre est complété par une grande enquête européenne, illustrant les enjeux de précarité à l’échelle du continent.
En savoir plus : https://www.ipsos.com/fr-fr/barometre-de-la-pauvrete-ipsos-secours-populaire-pres-dun-francais-sur-cinq-declare-vivre-decouvert
Baromètre de la pauvreté Ipsos / Secours Populaire 2021Ipsos France
Chaque année depuis 2007, le baromètre Ipsos / Secours Populaire de la pauvreté permet de faire le point sur la précarité en France : la manière dont elle est définie et crainte par les Français, mais aussi vécue au quotidien par une partie de la population française.
Cette quinzième vague du baromètre intervient dans un contexte de déconfinement après une année difficile tant sur un plan sanitaire qu’économique, alors que l’horizon semble enfin s’éclaircir grâce à l’action combinée de la montée en puissance de la vaccination et de la reprise de l’activité.
Mais alors que les prévisions économiques sont révisées à la hausse, de nombreux économistes alertent sur les dangers d’une « reprise en K » , avec certains secteurs, certaines entreprises, et certaines parties de la population qui prospèrent tandis que d’autres s’enfoncent.
Comment les Français ont-ils vécu l’année écoulée et abordent la reprise ? Et surtout, quel a été son impact pour les plus de 9 Millions de personnes vivant sous le seuil de pauvreté en France ? Comment vit-on au quotidien quand on est dans la précarité dans notre pays ? Quels sont les sacrifices auxquels on doit se résoudre quand on a déjà le sentiment de n’avoir conservé que l’essentiel ?
Pour réaliser cette enquête qui constitue la 15ème vague du Baromètre de la pauvreté, Ipsos a interrogé comme lors des vagues précédentes un échantillon représentatif de 1000 Français âgés de 16 ans et plus par téléphone. Mais pour la première fois, l’Institut a complété cette interrogation par une enquête par internet auprès de plus de 600 personnes sous le seuil de pauvreté.
En savoir plus : https://www.ipsos.com/fr-fr/barometre-de-la-pauvrete-ipsos-secours-populaire-2021
Baromètre Ipsos/Secours Populaire de la Pauvreté et de la Précarité - Vague 1...Ipsos France
Pour la 16ème année consécutive, Ipsos et le Secours populaire dévoilent les résultats du Baromètre de la pauvreté, dans un contexte social particulièrement difficile et préoccupant. L’inflation très importante que connait la France et le reste du monde a entrainé de fortes tensions économiques sur le budget des ménages. Cette hausse des prix a des conséquences importantes sur la situation sociale des Français, notamment celle des plus fragiles. Elle rappelle également la nécessité, plus que jamais d’actualité, de la solidarité afin d’aider ceux qui en ont le plus besoin.
En savoir + : https://www.ipsos.com/fr-fr/barometre-de-la-pauvrete-ipsos-secours-populaire-57-des-francais-disent-avoir-deja-vecu-une
Marché du travail : la grande fracture - RésuméHortense Billot
Analysant la polarisation induite par le progrès technologique entre les métiers très qualifiés, d’une part, et les emplois de service, plus précaires et moins bien rémunérés, d’autre part, cette étude interroge les conditions de la création d’emplois dans une économie post-industrielle.
Revenu de Base Inconditionnel initiative Suisse. Pour ou contre ?Mathieu Despont
Que serait votre vie si vous n'aviez plus à la gagner ?
Prochainement le peuple suisse devra choisir en votation s'il veut introduire un Revenu de Base Inconditionnel.
C'est une somme d'argent versé à toute personne vivant en suisse, sans aucune contrepartie, juste pour le fait de vivre.
Au premier abord, chacun se dit que c'est une idée folle. Que ça ne peut pas fonctionner:
- Plus personne ne travaillera...
- Qui fera les sales boulots ?
Quand on le connait mieux, le Revenu de Base Inconditionnel se révèle un véritable couteau suisse, un outil aux multiples facettes pour surmonter les multiples crises (écologique, économique, financière, de sens, etc...) auxquelles notre société doit faire face.
Venez apprendre comment il peut diminuer les coûts de la santé, donner aux femmes plus d'autonomie, favoriser les études et les reconversions professionnelles, libérer la créativité de chacun(e) d'entre nous, que ce soit une créativité artistique ou entrepreneuriale, et bien d'autres choses encore...
Note d'analyse - Quelle évolution de la ségrégation résidentielle en France ?France Stratégie
Comment se répartissent cadres et ouvriers, immigrés d’Europe et d’ailleurs, ou encore logements sociaux, entre les quartiers de France métropolitaine ? Cette répartition est-elle plus inégale aujourd’hui qu’il y a 25 ans ?
En savoir plus :
https://strategie.gouv.fr/publications/evolution-de-segregation-residentielle-france
Pénitentiaire, le plan choc de la Fondation iFRAPFondation iFRAP
Le budget de l’administration pénitentiaire est l’un des rares budgets en France qui n’ait pas fait l’objet de coupes drastiques. Jugé prioritaire par le président de la République et intégré au sein de la mission « Justice », il représente un programme qui a été largement sanctuarisé dans ses crédits, en constante augmentation. Entre 2005 et 2015, les crédits de paiement de l’administration pénitentiaire seront passés de 1,55 milliard d’euros à près de 3,4 milliards d’euros. En 10 ans, le budget a atteint une croissance de près de 12 % par an.
Cependant, qu’ont les Français en face de ces dépenses budgétaires en forte hausse ?
• les plafonds d’emploi de personnel en augmentation sont théoriques dans l’administration pénitentiaire. La réalité est plus prosaïque avec un déficit (une sous-exécution) de - 455 emplois sur les quatre dernières années (2011-2014) ;
• les dépenses de personnel pour autant sont galopantes, et il n’est pas rare qu’elles dépassent même les crédits disponibles, obligeant à prélever ailleurs pour les financer (ce qui atteste un problème de pilotage de la masse salariale) ;
• Les programmes pénitentiaires ne parviennent cependant pas à lutter efficacement contre la surpopulation carcérale. Les comparaisons internationales sont impitoyables pour la France. Les rapports du Conseil de l’Europe montrent en effet, que sur une longue période, l’Allemagne, les Pays-Bas, l’Italie et la Grande-Bretagne (pour l’Irlande du Nord, l’Angleterre et le pays de Galles) font mieux que nous. La Grande-Bretagne parvient même (sauf l’Écosse), à conjuguer densité carcérale faible et taux de mises sous écrou fort ;
• la France, elle, a décidé de lâcher le programme pénitentiaire initial lancé par Nicolas Sarkozy, de 80 000 places à horizon 2017, pour lui substituer un programme visant à atteindre 63 500 places à cette même date à l’initiative de Christiane Taubira, garde des Sceaux. L’enjeu était de faire baisser la population incarcérée par la création de peines ou de sanctions alternatives (contrainte pénale, bracelets électroniques, etc.), tout en redimensionnant la construction de places de prison supplémentaires. Dans le même temps cependant, les dates butoirs liées à l’objectif d’encellulement individuel ont constamment été repoussées ;
• À l’heure où la lutte contre la radicalisation en prison suppose de « prioriser » l’encellulement individuel, il importe de définir et de chiffrer un nouveau programme pénitentiaire capable capable d’atteindre rapidement cet objectif prioritaire.
Baromètre Ipsos/Secours Populaire de la pauvreté et de la précarité - Vagu...Ipsos France
Pour la dix-septième année consécutive, Ipsos et le Secours Populaire dévoilent les résultats du Baromètre français de la pauvreté et de la précarité. Pour la deuxième année consécutive, ce baromètre est complété par une grande enquête européenne, illustrant les enjeux de précarité à l’échelle du continent.
En savoir plus : https://www.ipsos.com/fr-fr/barometre-de-la-pauvrete-ipsos-secours-populaire-pres-dun-francais-sur-cinq-declare-vivre-decouvert
Baromètre de la pauvreté Ipsos / Secours Populaire 2021Ipsos France
Chaque année depuis 2007, le baromètre Ipsos / Secours Populaire de la pauvreté permet de faire le point sur la précarité en France : la manière dont elle est définie et crainte par les Français, mais aussi vécue au quotidien par une partie de la population française.
Cette quinzième vague du baromètre intervient dans un contexte de déconfinement après une année difficile tant sur un plan sanitaire qu’économique, alors que l’horizon semble enfin s’éclaircir grâce à l’action combinée de la montée en puissance de la vaccination et de la reprise de l’activité.
Mais alors que les prévisions économiques sont révisées à la hausse, de nombreux économistes alertent sur les dangers d’une « reprise en K » , avec certains secteurs, certaines entreprises, et certaines parties de la population qui prospèrent tandis que d’autres s’enfoncent.
Comment les Français ont-ils vécu l’année écoulée et abordent la reprise ? Et surtout, quel a été son impact pour les plus de 9 Millions de personnes vivant sous le seuil de pauvreté en France ? Comment vit-on au quotidien quand on est dans la précarité dans notre pays ? Quels sont les sacrifices auxquels on doit se résoudre quand on a déjà le sentiment de n’avoir conservé que l’essentiel ?
Pour réaliser cette enquête qui constitue la 15ème vague du Baromètre de la pauvreté, Ipsos a interrogé comme lors des vagues précédentes un échantillon représentatif de 1000 Français âgés de 16 ans et plus par téléphone. Mais pour la première fois, l’Institut a complété cette interrogation par une enquête par internet auprès de plus de 600 personnes sous le seuil de pauvreté.
En savoir plus : https://www.ipsos.com/fr-fr/barometre-de-la-pauvrete-ipsos-secours-populaire-2021
Baromètre Ipsos/Secours Populaire de la Pauvreté et de la Précarité - Vague 1...Ipsos France
Pour la 16ème année consécutive, Ipsos et le Secours populaire dévoilent les résultats du Baromètre de la pauvreté, dans un contexte social particulièrement difficile et préoccupant. L’inflation très importante que connait la France et le reste du monde a entrainé de fortes tensions économiques sur le budget des ménages. Cette hausse des prix a des conséquences importantes sur la situation sociale des Français, notamment celle des plus fragiles. Elle rappelle également la nécessité, plus que jamais d’actualité, de la solidarité afin d’aider ceux qui en ont le plus besoin.
En savoir + : https://www.ipsos.com/fr-fr/barometre-de-la-pauvrete-ipsos-secours-populaire-57-des-francais-disent-avoir-deja-vecu-une
Marché du travail : la grande fracture - RésuméHortense Billot
Analysant la polarisation induite par le progrès technologique entre les métiers très qualifiés, d’une part, et les emplois de service, plus précaires et moins bien rémunérés, d’autre part, cette étude interroge les conditions de la création d’emplois dans une économie post-industrielle.
Présentation d'introduction au revenu de base inconditionnel : ses justifications économiques & philosophiques, son financement, les expérimentations existantes, réponse aux objections fréquentes.
Fiche de lecture - Lutte contre la pauvreté et incitations à l’emploi : quel...Clara Delcroix
Une fiche de lecture réalisée dans le cadre de ma licence en économie et gestion à l'université de Lille. Elle porte sur un article de Vincent Vergnat : «Lutte contre la pauvreté et incitations à l’emploi : quelle politique pour les jeunes ? » (Revue économique, 2019).
2. Question 1
Le seuil de risque de pauvreté pour une personne
seule s'élève à :
Cliquez sur la bonne réponse
1000 €
973 €
777€
3. Correct
Selon le dernier rapport bruxellois sur l’état de la pauvreté (lien), le
seuil de risque de pauvreté est de 973€ par mois pour un isolé. Ce
seuil de risque de pauvreté équivaut à 60% du salaire median. Il
varie d’un pays à l’autre. Le salaire médian est le palier divisant
l’ensemble des salairiés en deux parties égales: 50% des salariés
gagnent moins que le salaire median et l’autre moitié gagne plus.
Question suivante
4. Faux
Selon le dernier rapport bruxellois sur l’état de la pauvreté (lien), le
seuil de risque de pauvreté est de 973€ par mois pour un isolé. Ce
seuil de risque de pauvreté équivaut à 60% du salaire median. Il
varie d’un pays à l’autre. Le salaire médian est le palier divisant
l’ensemble des salairiés en deux parties égales: 50% des salariés
gagnent moins que le salaire median et l’autre moitié gagne plus.
Question suivante
5. Question 2
Quelle proportion de la population bruxelloise vit
sous le seuil de risque de pauvreté ?
27,8 %
37,8 %
17,8 %
6. Correct
L’étude de l’Observatoire de la Santé et du Social de Bruxelles-
Capitale sur l’état de la pauvreté rapporte que plus d’un quart de la
population bruxelloise vit avec un revenu inférieur à celui du seuil
de pauvreté. Cette proportion est bien plus élevée que dans le
reste du pays, indique le rapport sur l’état de la pauvreté à
Bruxelles. Ce n'est pas moins que 27,8% des Bruxellois qui vivent
avec moins de 973 € par mois pour être exact. En Wallonie, ils
sont 18,4% à gagner moins de 973€ par mois contre 10,1% pour la
Flandre ce qui fait une moyenne de 14,6% de Belges sous le seuil
de risque de pauvreté.
Question suivante
7. Faux
L’étude de l’Observatoire de la Santé et du Social de Bruxelles-
Capitale sur l’état de la pauvreté rapporte que plus d’un quart de la
population bruxelloise vit avec un revenu inférieur à celui du seuil
de pauvreté. Cette proportion est bien plus élevée que dans le
reste du pays, indique le rapport sur l’état de la pauvreté à
Bruxelles. C’est à 27,8% des Bruxellois qui vivent avec moins de
973 € par mois pour être exact. En Wallonie, ils sont 18,4% à
gagner moins de 973€ par mois contre 10,1% pour la Flandre ce
qui fait une moyenne de 14,6% de Belges sous le seuil de risque
de pauvreté.
Question suivante
8. Question 3
La mobilité de l'emploi est un frein à l'évolution
salariale :
Vrai
Faux
Ni vrai ni faux
9. Correct
C’est parfois vrai dans le cas d’une personne qui enchaîne les jobs par intérim
et qui se retrouve au chômage , pour quelques semaines ou quelques mois le
temps de trouver un nouvel emploi. Il y a aussi une catégorie de jeunes
travailleurs précaires ou “nomades” sur le marché de l’emploi, ils sont très
flexibles mais vivent dans la précarité. C’est le cas par exemple des jeunes
journalistes pigistes.
C’est parfois faux, au contraire, la mobilité inter-entreprises peut être vue
comme un point positif dans la carrière. Il est toujours bien d’avoir un CV bien
rempli qui montre qui a acquis des compétences et des aptitudes en multipliant
les expériences dans différentes entreprises Il y a aussi la mobilité à l’intérieur
de l’entreprise. Celle-ci ne rime pas du tout avec précarité mais plutôt avec
“progrès” , quand on monte en grade, le salaire augmente en conséquence En
bref, rester au même poste dans la même entreprise pendant 20 ans c’est-à-
dire “faire partie des meubles”, ça peut être vu comme une manque d’ambition
et de flexibilité. (ITW actiris)
Question suivante
10. Faux
C’est parfois vrai dans le cas d’une personne qui enchaîne les jobs par intérim
et qui se retrouve au chômage , pour quelques semaines ou quelques mois le
temps de trouver un nouvel emploi. Il y a aussi une catégorie de jeunes
travailleurs précaires ou “nomades” sur le marché de l’emploi, ils sont très
flexibles mais vivent dans la précarité. C’est le cas par exemple des jeunes
journalistes pigistes.
C’est parfois faux, au contraire , la mobilité inter-entreprises peut être vue
comme un point positif dans la carrière. Il est toujours bien d’avoir un CV bien
rempli qui montre qui a acquis des compétences et des aptitudes en multipliant
les expériences dans différentes entreprises Il y a aussi la mobilité à l’intérieur
de l’entreprise. Celle-ci ne rime pas du tout avec précarité mais plutôt avec
“progrès” , quand on monte en grade, le salaire augmente en conséquence En
bref, rester au même poste dans la même entreprise pendant 20 ans c’est-à-
dire “faire partie des meubles”, ça peut être vu comme une manque d’ambition
et de flexibilité. (ITW actiris)
Question suivante
11. Question 4
Plus de 50 % des emplois à Bruxelles sont
occupés par des étudiants
Vrai
Faux
12. Correct
Selon la rapport de 2011 sur la pauvreté à Bruxelles de
l’Observatoire de la santé et du social de Bruxelles-Capitale,les
universitaires occupent 53% des emplois à Bruxelles. En Wallonie,
ils sont 35,3% et en Flandre, ils sont 34,5%. Pourquoi? Parce que
Bruxelles est une ville qui draîne les emplois les plus qualifiés.
Question suivante
13. Faux
Selon la rapport de 2011 sur la pauvreté à Bruxelles de
l’Observatoire de la santé et du social de Bruxelles-Capitale,les
universitaires occupent 53% des emplois à Bruxelles. En Wallonie,
ils sont 35,3% et en Flandre, ils sont 34,5%. Pourquoi? Parce que
Bruxelles est une ville qui draîne les emplois les plus qualifiés.
Question suivante
14. Question 5
A Bruxelles, le taux de chômage des
universitaires est :
Deux fois moins élevé qu'ailleurs en Belgique
Aussi élevé qu'ailleurs en Belgique
Deux fois plus élevé qu'ailleurs en Belgique
15. Correct
A Bruxelles, le taux de chômage est de 17,4%.Il est deux fois plus
élevé que la moyenne nationale qui est de 8,4%. En effet,
Bruxelles offre de nombreuses facilités comme un réseau de
transports en commun bien développé , des aides sociales
facilement accessibles, les opportunités d’emploi sont plus
nombreuses. C’est une ville qui attire les personnes pauvres.
Malgré, ces facilités, il est difficile de se débrouiller dans cette ville
car le prix des loyers est affolant! (ITW actiris) ou baromètre
pauvreté 2011 (P.36)
Question suivante
16. Faux
A Bruxelles, le taux de chômage est de 17,4%. Il est deux fois plus
élevé que la moyenne nationale qui est de 8,4%. Pourtant,
Bruxelles offre de nombreuses facilités comme un réseau de
transports en commun bien développé, des aides sociales
facilement accessibles et des opportunités d’emplois nombreuses.
ré, ces facilités, il est difficile de se débrouiller dans cette ville car
le prix des loyers est affolant! (ITW actiris) ou baromètre pauvreté
2011 (P.36)
Question suivante
17. Question 6
Les salaires à Bruxelles sont en moyenne :
15 % moins élevés qu'ailleurs en Belgique
Les mêmes qu'ailleurs en Belgique
15 % plus élevés qu'ailleurs en Belgique
18. Correct
Les Bruxellois et ceux qui travaillent à Bruxelles gagnent en
moyenne 15% de plus qu’ailleurs en Belgique mais cela est
compensé par les côuts inhérents à la vie dans une ville comme
Bruxelles. (ITW actiris)
Question suivante
19. Faux
Les Bruxellois et ceux qui travaillent à Bruxelles gagnent en
moyenne 15% de plus qu’ailleurs en Belgique mais cela est
compensé par les côuts inhérents à la vie dans une ville comme
Bruxelles. (ITW actiris)
Question suivante
20. Question 7
En règle générale, quel âge faut-il atteindre pour
gagner plus que la moyenne nationale ?
37 ans
47 ans
57 ans
21. Correct
En règle générale, il faut attendre 37 ans pour gagner plus que la
moyenne nationale qui s’élève 3027€, selon les chiffres du Service
Public federal de l’économie. (p.6)
Question suivante
22. Faux
En règle générale, il faut attendre 37 ans pour gagner plus que la
moyenne nationale qui s’élève 3027€, selon les chiffres du Service
Public federal de l’économie. (p.6)
Question suivante
24. Correct
A Bruxelles , les salaires moyens mensuels bruts sont de 3 493 €
par mois selon les chifffres du SPF de l’économie. Ce qui fait de
notre capitale, l’arrondissement belge avec les salaires moyens les
plus élevés, 15,4% supérieurs à la moyenne nationale qui est 3
027€(ITW actiris)
Question suivante
25. Faux
A Bruxelles , les salaires moyens mensuels bruts sont de 3 493 €
par mois selon les chifffres du SPF de l’économie. Ce qui fait de
notre capitale, l’arrondissement belge avec les salaires moyens les
plus élevés, 15,4% supérieurs à la moyenne nationale qui est 3
027€(ITW actiris)
Question suivante
26. Question 9
Jeff est barman, il gagne 2002 euros net par
mois. Combien gagne-t-il en brut ?
1461, 24 €
1720,68 €
1386,76 €
27. Correct
Le salaire net est donc le salaire après qu'on ai déduit les
cotisations et précomptes. Ce qui pèse le plus entre le brut et le
net sont le précompte professionnel (456,68 euros pour Jeff) et les
cotisations personnelles (287,54 euros dans ce cas ci). Si Jeff était
marié et qu'il apportait le seul revenu du ménage, il aurait alors
touché 1668,24 euros net.
Question suivante
28. Faux
Le salaire net est donc le salaire après qu'on ai déduit les
cotisations et précomptes. Ce qui pèse le plus entre le brut et le
net sont le précompte professionnel (456,68 euros pour Jeff) et les
cotisations personnelles (287,54 euros dans ce cas ci). Si Jeff était
marié et qu'il apportait le seul revenu du ménage, il aurait alors
touché 1668,24 euros net.
Question suivante
29. Question 10
Quelles sont les professions les moins bien
rémunérées ?
Serveurs, barmen, coiffeurs, esthéticiens
Messagers, porteurs de journaux,
Aides ménagères, agents d'entretien
30. Correct
Avec 2.002 euros bruts par mois, les serveurs, barmen, coiffeurs et
esthéticiens sont les quatre professions les moins bien
rémunérées, selon le rapport de 2011 publié par l'observatoire de
la santé et du social. Ils doivent travailler quatre mois pour arriver
au salaire mensuel d'un directeur de société. Sans compter que
bien souvent, ils ne peuvent suffisamment d'heure pour prester un
plein temps. Ce constat doit être nuancé car, parfois, un mi-temps
déclaré est en réalité un plein temps avec de nombreuses heures
prestées en noir...
Question suivante
31. Faux
Avec 2.002 euros bruts par mois, les serveurs, barmen, coiffeurs et
esthéticiens sont les quatre professions les moins bien
rémunérées, selon le rapport de 2011 publié par l'observatoire de
la santé et du social. Ils doivent travailler quatre mois pour arriver
au salaire mensuel d'un directeur de société. Sans compter que
bien souvent, ils ne peuvent suffisamment d'heure pour prester un
plein temps. Ce constat doit être nuancé car, parfois, un mi-temps
déclaré est en réalité un plein temps avec de nombreuses heures
prestées en noir...
Question suivante
32. Question 11
Quelle est la particularité de Bruxelles ?
C'est une ville riche mais plus d'un
quart de ses habitants sont pauvres
C'est une ville pauvre mais plus d'un
quart de ses habitants sont riches
C'est la ville la plus riche d'Europe car
c'est le siège des institutions européennes
33. Correct
Oui, Bruxelles est une ville riche. En effet, la capitale est la
troisième capitale la plus riche d'Europe, notamment grâce à la
présence des institutions européennes, de nombreux sièges
sociaux d'entreprises et enfin de services administratifs. Mais cela
n'empêche pas qu'il y existe une pauvreté considérable (un quart
de la population bruxelloise gagne moins de 973 euros/mois) et
des inégalités salariales.
Question suivante
34. Faux
Oui, Bruxelles est une ville riche. En effet, la capitale est la
troisième capitale la plus riche d'Europe, notamment grâce à la
présence des institutions européennes, de nombreux sièges
sociaux d'entreprises et enfin de services administratifs. Mais cela
n'empêche pas qu'il y existe une pauvreté considérable (un quart
de la population bruxelloise gagne moins de 973 euros/mois) et
des inégalités salariales.
Question suivante
35. Question 12
Qu'est-ce que l'index ?
C'est un doigt de la main
Un mécanisme qui permet de réajuster les
salaires en fonction du coût de la vie
Un mécanisme qui permet de protéger les bas
salaires contre l'augmentation du coût de la vie
36. Correct
L'indexation des salaires se calcule sur un panier de produits et
services qui constitue un indice appelé indice santé. Si les prix de
ces références augmente, l'index suivra la hausse. L'essence, le
diesel, l'alcool et le tabac ne sont pas pris en compte. L'indexation
des salaires s'applique au secteur public et au secteur privé.
Question suivante
37. Faux
L'indexation des salaires se calcule sur un panier de produits et
services qui constitue un indice appelé indice santé. Si les prix de
ces références augmente, l'index suivra la hausse. L'essence, le
diesel, l'alcool et le tabac ne sont pas pris en compte. L'indexation
des salaires s'applique au secteur public et au secteur privé.
Question suivante
38. Question 13
A quoi correspond le concept de déprivation
matérielle ?
Un indicateur de pauvreté
Une saisie d'huissier
Une allocation cédée aux personnes
les plus pauvres
39. Correct
Le concept a été conçu car certains considéraient que les mesures de pauvreté
monétaire étaient jugées comme insuffisantes, notamment en raison du fait qu'elles se
focalisaient sur l'individu.
On la définit comme l’incapacité à se fournir des biens et/ou services et/ou de se livrer
aux activités
qui sont ordinaires dans la société dans laquelle on vit et qui sont perçues comme des
nécessités.
Les indicateurs de déprivation matérielle se fondent sur neuf objets relatifs au fait que le
ménage n'a pas la capacité financière :
de faire face à des dépenses imprévues
de manger tous les deux jours un repas comprenant des protéines
de chauffer correctement son logement
de partir une semaine par an en vacances
d'éviter les arriérés de crédit, de loyer et de paiement
de disposer si désiré : d'une voiture, d'un téléphone, d'une télévision, d'une machine à
laver.
Question suivante
40. Faux
Le concept a été conçu car certains considéraient que les mesures de pauvreté
monétaire étaient jugées comme insuffisantes, notamment en raison du fait qu'elles se
focalisaient sur l'individu.
On la définit comme l’incapacité à se fournir des biens et/ou services et/ou de se livrer
aux activités
qui sont ordinaires dans la société dans laquelle on vit et qui sont perçues comme des
nécessités.
Les indicateurs de déprivation matérielle se fondent sur neuf objets relatifs au fait que le
ménage n'a pas la capacité financière :
de faire face à des dépenses imprévues
de manger tous les deux jours un repas comprenant des protéines
de chauffer correctement son logement
de partir une semaine par an en vacances
d'éviter les arriérés de crédit, de loyer et de paiement
de disposer si désiré : d'une voiture, d'un téléphone, d'une télévision, d'une machine à
laver.
Question suivante
42. Correct
Le Revenu d'Intégration Sociale est fonction de la composition du
ménage. Des enfants à charge le feront augmenter. A l'inverse, avoir un
conjoint bénéficiant d'un revenu le fera diminuer. A Bruxelles, de 2004 à
2010, le nombre de personnes bénéficiant du RIS a augmenté de 40%.
C'est pourquoi de nombreux CPAS nécessitent des besoins humains et
financiers supplémentaires. Parmi eux, notamment des exclus du
chômage.
En 2000, le montant du Revenu d'Intégration s'élevait à 528 euros pour
une personne isolée. En septembre 2011, il passait à 770,18 ce qui reste
inférieur au seuil de risque de pauvreté. Selon le baromètre social de
2011 (LIEN), le RIS protège mieux les isolés que les couples avec
enfants.
Notons que le nombre de jeunes (18-24 ans) dépendant de l'allocation
du CPAS a augmenté de 40% à Bruxelles sur la période 2004-2011.
C'est le groupe d'âge le plus représenté (voir graphique).
Question suivante
43. Faux
Le Revenu d'Intégration Sociale est fonction de la composition du
ménage. Des enfants à charge le feront augmenter. A l'inverse, avoir un
conjoint bénéficiant d'un revenu le fera diminuer. A Bruxelles, de 2004 à
2010, le nombre de personnes bénéficiant du RIS a augmenté de 40%.
C'est pourquoi de nombreux CPAS nécessitent des besoins humains et
financiers supplémentaires. Parmi eux, notamment des exclus du
chômage.
En 2000, le montant du Revenu d'Intégration s'élevait à 528 euros pour
une personne isolée. En septembre 2011, il passait à 770,18 ce qui reste
inférieur au seuil de risque de pauvreté. Selon le baromètre social de
2011 (LIEN), le RIS protège mieux les isolés que les couples avec
enfants.
Notons que le nombre de jeunes (18-24 ans) dépendant de l'allocation
du CPAS a augmenté de 40% à Bruxelles sur la période 2004-2011.
C'est le groupe d'âge le plus représenté (voir graphique).
Question suivante
44. Question 15
Quel est le rapport entre les titres-services et le
CPAS ?
Aucun rapport
Il arrive que les personnes travaillant au
titre-service bénéficient d'une allocation
complémentaire au CPAS
Le CPAS refuse les personnes qui travaillent
au titre-service
45. Correct
Le secteur du nettoyage consacré notamment par les titres-
services est très compétitif. Aux titres-services, il est souvent
difficile pour ceux qui y travaillent de cumuler plus de 20 heures de
travail. C'est pourquoi, il est fréquent qu'ils sollicitent une aide
complémentaire du CPAS.
Question suivante
46. Faux
Le secteur du nettoyage consacré notamment par les titres-
services est très compétitif. Aux titres-services, il est souvent
difficile pour ceux qui y travaillent de cumuler plus de 20 heures de
travail. C'est pourquoi, il est fréquent qu'ils sollicitent une aide
complémentaire du CPAS.
Question suivante
47. Question 16
Qu'est-ce que l'article 60 ?
Un article de la Constitution belge qui fixe
le salaire minimum
Un emploi proposé par le CPAS
à un de ses allocataires
Une loi interdisant l'accès au CPAS
aux personnes travaillant au noir
48. Correct
Si le CPAS est l'employeur des personnes travaillant sous le
régime de l'article 60, il arrive qu'il mette à disposition d'autres
entreprises les personnes engagées. Le CPAS paie alors les
cotisations patronales pour l'asbl, le service public ou l'entreprise
extérieure. Et en échange, l'allocataire bénéificie d'une formation et
d'une ré-insertion dans le monde du travail.
Question suivante
49. Faux
Si le CPAS est l'employeur des personnes travaillant sous le
régime de l'article 60, il arrive qu'il mette à disposition d'autres
entreprises les personnes engagées. Le CPAS paie alors les
cotisations patronales pour l'asbl, le service public ou l'entreprise
extérieure. Et en échange, l'allocataire bénéificie d'une formation et
d'une ré-insertion dans le monde du travail.
Question suivante
50. Question 17
A Bruxelles, les inégalités de revenus sont
élevées :
Les 20% les plus riches déclarent 25%
de l’ensemble des revenus
Les 10% les plus riches déclarent 25%
de l’ensemble des revenus
Les 10% les plus riches déclarent 35%
de l’ensemble des revenus
51. Correct
La région Bruxelloise compte une grande proportion de déclaration
fiscale de moins de 20000 euros. Ce chiffre est le témoin d'un
niveau de salaire relativement faible pour une partie de la
population dans la capitale.
Question suivante
52. Faux
La région Bruxelloise compte une grande proportion de déclaration
fiscale de moins de 20000 euros. Ce chiffre est le témoin d'un
niveau de salaire relativement faible pour une partie de la
population dans la capitale.
Question suivante
53. Question 18
A Bruxelles, qu'est-ce qui constitue la part la plus
importante dans un budget de 1000 euros ?
La nourriture
Le transport
Le logement
54. Correct
Pour une personne seule, il est difficile de se loger à moins de 500
euros par mois. Le calcul est vite fait, avec un revenu inférieur à
mille euros, le logement grèvera considérablement le budget des
petits revenus. Certaines personnes ont la chance de bénéficier
d'un logement social, mais ceux ci ne sont qu'une minorité. Ainsi,
la majorité des personnes bénéficiant du Revenu d'Intégration
Sociale (RIS) se tournent vers les propriétaires privés. (un dossier
sera prochainement consacré à la problématique du logement à
Bruxelles).
Question suivante
55. Faux
Pour une personne seule, il est difficile de se loger à moins de 500
euros par mois. Le calcul est vite fait, avec un revenu inférieur à
mille euros, le logement grèvera considérablement le budget des
petits revenus. Certaines personnes ont la chance de bénéficier
d'un logement social, mais ceux ci ne sont qu'une minorité. Ainsi,
la majorité des personnes bénéficiant du Revenu d'Intégration
Sociale (RIS) se tournent vers les propriétaires privés. (un dossier
sera prochainement consacré à la problématique du logement à
Bruxelles).
Question suivante
56. Question 19
Avec moins de mille euros par mois, il est :
Totalement impossible de vivre correctement
à Bruxelles
Possible, mais difficile de vivre correctement
à Bruxelles
Possible de vivre à Bruxelles sans problème
57. Correct
Avec moins de 1000 €, il est possible de vivre à Bruxelles mais il
faut se serrer la ceinture. Après avoir payé l’eau , le gaz,
l’électricité et le loyer, il ne reste plus que 200 € la ceinture. Après
avoir payé l’eau , le gaz, l’électricité et le loyer, il ne reste plus que
200 ou 300 €. Pour une personne seule c’est suffisant mais elle
doit se débrouiller , trouver les bons plans pour manger, se vêtir ou
se déplacer à petit prix. (ITW observatoire social..ou actiris)
Question suivante
58. Faux
Avec moins de 1000 €, il est possible de vivre à Bruxelles mais il
faut se serrer la ceinture. Après avoir payé l’eau , le gaz,
l’électricité et le loyer, il ne reste plus que 200 € la ceinture. Après
avoir payé l’eau , le gaz, l’électricité et le loyer, il ne reste plus que
200 ou 300 €. Pour une personne seule c’est suffisant mais elle
doit se débrouiller , trouver les bons plans pour manger, se vêtir ou
se déplacer à petit prix. (ITW observatoire social..ou actiris)
Question suivante