S4 revue de presse kylia - semaine du 20 au 26 janvier 2020
Revue de presse de la semaine 47 2012
1. LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE
Du 19 au 25 Novembre 2012
LES ARTICLES DE LA SEMAINE
Immobilier : il faut en moyenne 50.000 euros
d'apport pour emprunter
Le 19/11/2012
L'apport personnel des futurs propriétaires atteint un montant record : il se porte à 50.465
euros en moyenne nationale et à 82.840 euros en Ile-de-France. Le prix d'un studio il y a quinze
ans.
AFP
Qui peut aujourd'hui emprunter pour investir dans la pierre ? Le rêve de l'accession à la propriété
s'éloigne de plus en plus pour la majorité des Français. Selon la dernière enquête publiée par
Empruntis.com, le montant moyen de l'apport personnel bat cette année tous les records. Il s'établit
en moyenne à 50.465 euros, un niveau jamais atteint même en 2010. « C'est la première fois que
La revue de Presse KYLIA
1
2. l'apport moyen franchit la barre des 50.000 euros, et si ce chiffre est certes hautement symbolique, il
faut se rappeler qu'il y a une petite quinzaine d'années, cette somme correspondait à un bien
immobilier correct en province et au prix d'un studio à Paris », commente Maël Bernier, directrice de la
communication d'Empruntis.com.
Il ne s'agit que d’une moyenne pour l'ensemble du territoire. Dans des zones plus chères, comme l'Ile-
de-France, l’apport moyen grimpe à 82.840 euros. Un somme encore relativement modique par
rapport à celle dont les acheteurs disposent à Paris intra muros : 274.579 euros en moyenne.
Les primo-accédants exclus du marché
Selon Empruntis, la hausse de l'apport moyen n'est pas seulement la conséquence d'une exigence
supplémentaire des banquiers, « mais bien et c'est ce qui est inquiétant de la représentation
grandissante des secundo-accédants dans nos dossiers au détriment des primo-accédants ne
disposant que d'un très faible apport. »
Difficile de savoir quelle est la part de la frilosité des banquiers et celle des doutes des futurs
acquéreurs qui hésitent à solliciter des crédits. Reste que de plus en plus de ménage sont exclus du
marché de l'accession. Empruntis observe aussi une diminution de la durée moyenne des crédits à 20
ans contre 20 ans et 9 mois l'an passé. « Cette baisse est la conséquence directe de la raréfaction
des durées longues dans les produits bancaires, associée au recul de la part de primo-accédants
dans les emprunteurs », analyse la société.
L'emprunteur gagne plus de 4.000 euros nets par mois
Parallèlement, l'âge moyen de l'emprunteur reste identique : 36 ans. Ses revenus nets moyens par
foyer s'élèvent à 4.430 euros nets/mois et 5.213 euros en Ile-de-France. Des montants très supérieurs
au revenu médian des Français. Paradoxalement, ce montant est en baisse de 4% par rapport au
plafond atteint en 2010 (revenus nets moyens de 4.634 euros). La baisse des prix dans certaines
régions conjuguée à la baisse des taux pourrait expliquer ces chiffres.
Source : LesEchos.fr
La revue de Presse KYLIA
2
4. Immobilier neuf : avantage à l’outre-mer
Le dispositif d’investissement locatif Duflot qui doit remplacer le Scellier, à compter du 1er janvier
2013, sera bonifié pour les investissements outre-mer.
Dès l’an prochain, les particuliers, qui achètent dans l’immobilier neuf pour louer, dans les Dom-Tom,
devrait pouvoir bénéficier d’une réduction d'impôt égale à 29 % du montant investi dans la limite de
300.000 euros (contre 18% pour les investissements en métropole).
Rappelons également que l’avantage fiscal Scellier a été prolongé de quelques mois, sous conditions.
Les acheteurs désirant encore profiter de ce dispositif d’investissement locatif auront jusqu’au 31 mars
2013 pour signer l’acte authentique devant le notaire. A condition de signer la promesse de vente
avant le 31 décembre de cette année.
Source : Capital.fr
La revue de Presse KYLIA
4
5. L’accès au logement, préoccupation numéro 1
des 18-29 ans
Le 21/11/2012
Selon une étude du bailleur social Polylogis, le logement est la première préoccupation des
jeunes de 18 à 29 ans.
Selon une étude du bailleur social Polylogis, le logement est la première préoccupation des jeunes de
18 à 29 ans. Revelli Beaumont Sipa
Etudiants, jeunes actifs ou en recherche d’emploi, autonomes ou vivant chez leurs parents, les 18-29
ans sont confrontés à de fortes difficultés pour se loger, à tel point que, selon un sondage CSA réalisé
par le bailleur social indépendant Polylogis, l’accès au logement est la préoccupation numéro 1 des
18-29 ans. Près de 8 jeunes sur 10 estiment en effet qu’il est très difficile de trouver un logement pour
un jeune en France, une perception renforcée chez ceux vivant chez leurs parents (87 %), et que la
situation est bien plus difficile aujourd’hui comparativement à celle vécue par leurs parents. 35 % des
jeunes classent le logement comme leur priorité n° 1, avant celle de « se nourrir » (30 %), de «
travailler » (25 %), et loin devant « se soigner » (6 %) ou « s’amuser » qui arrive en bon dernier (5 %).
« Nous observons depuis plusieurs années la précarisation grandissante des jeunes face à la
nécessité de se loger. Les résultats incontestables de cette étude confirment notre perception
La revue de Presse KYLIA
5
6. d’une situation préoccupante pour la jeune génération », constate Daniel Biard, Président du
Comité Exécutif du Groupe Polylogis.
Trop de garanties demandées
Bien évidement, les difficultés rencontrées dans l’accès au logement tournent autour de la question de
son financement : 71 % des sondés citent en premier lieu l’apport des garanties nécessaires aux
propriétaires ou aux agences, suivi pour 54 % des jeunes interrogés par le paiement du loyer ou du
remboursement d’emprunt et le règlement des frais d’entrée. Une fois en place, les difficultés
s’atténuent mais 11 % des jeunes se sont déjà trouvés dans l’incapacité de payer au moins une fois
leur loyer ou leur mensualité de crédit, tandis que 32 % affirment éprouver des difficultés de
règlement. Une part qui augmente chez les étudiants qui sont 44 % à rencontrer cette difficulté et
chez les jeunes vivant dans des « zones tendues » (Ile-de-France, Provence-Alpes-Côte d’Azur). Pour
améliorer la situation, plusieurs pistes sont évoquées : un assouplissement des règles de constitution
des dossiers de location (43 % des interrogés), une incitation à la construction de logements sociaux
(32 % et 40 % chez les étudiants), l’encadrement des loyers dans le parc locatif privé (32 %) ou
encore une hausse des aides (27 % et 38 % chez les étudiants).
562 euros de budget moyen
Afin de se loger, les jeunes disposent d’un budget moyen de 562 euros et ils sont 43 % à disposer
d’au moins une aide financière : aides sociales (34 %) et/ou soutien de la famille (23 %). Ce dernier
joue un rôle important du fait de son montant moyen plus élevé que les aides sociales (291 euros
contre 188 euros). Il concerne toutes les catégories de jeunes : étudiants et chômeurs, pour qui il joue
un rôle clé, mais aussi pour les actifs (14 % des cadres et 16 % des employés en bénéficient) et les
25-29 ans. Face à la contrainte financière, 43 % des personnes interrogées ont déjà envisagé de
retourner vivre chez leurs parents, et parmi eux, 13 % sont retournés effectivement au domicile des
parents.
V.G.
Source : LeNouvelObs.com
La revue de Presse KYLIA
6
8. Premier poste de dépenses, les frais de chauffage représentent 30% des charges courantes.
Pour réduire la facture, un premier conseil de bon sens consiste à soigner l’entretien de l’immeuble :
certains travaux sur les parties communes (ravalement de façades, travaux de toiture…), permettront,
en effet, d’améliorer l’isolation des immeubles dont la plupart restent de véritables passoires
thermiques.
Les copropriétés équipées de chauffages collectifs peuvent aussi espérer réaliser de substantielles
économies en faisant régler régulièrement leurs chaudières par un spécialiste. Une récente enquête
de Capital montrait qu’un rééquilibrage effectué par une société spécialisée permettait ainsi de réduire
la facture de combustible de 10%.
Frais de personnel : 8,5 euros par mètre carré et par an
Les frais de personnel représentent près de 18% des charges courantes, constituant ainsi le
deuxième poste de dépenses.
Ce poste est souvent gonflé par l’emploi de gardiens d’immeuble, dont le coût avoisine 40.000 euros
par an par copropriété. Pour Claude Pouey, responsable de l’Observatoire des charges de copropriété
de l’Arc, « les petites copros de moins de 50 logements, ont donc tout intérêt à opter pour les services
d’un prestataire externe qui prendra en charge le nettoyage de l’immeuble »
Entretien de l’immeuble : 8,3 euros par mètre carré et par an
Le poste d’entretien est en hausse de 3% chaque année et représente près de 18% du total des
charges.
Problème : entre le nettoyage des parties communes, l’entretien du chauffage… la plupart des
copropriétés reconduisent, année après année, leurs contrats de prestataires sans penser à vérifier
s’ils sont encore compétitifs. En faisant jouer la concurrence et en renégociant tous les ans vos
différents contrats, vous pouvez espérer de belles économies : « il est, par exemple, possible de faire
baisser la note de 20 % sur un contrat d’entretien et de maintenance d’extincteurs non renouvelé
depuis cinq ans », explique Bruno Dhont, directeur de l’association des responsables de copropriétés.
Eau froide : 4,8 euros par mètre carré et par an
Chaque année, la facture d’eau (11% des charges en moyenne) coule aussi les budgets de bon
nombre de copropriétés. En 2011, ces frais ont encore augmenté de 2 à 3%.
La revue de Presse KYLIA
8
9. Il faut dire que dans la plupart des immeubles, les dépenses d’eau sont facturées au prorata de la
superficie des appartements… et non de la consommation réelle des différents habitants. Pour limiter
le gaspillage, un conseil : faites installer des compteurs individuels, chacun sera ainsi facturé selon
ses propres dépenses. Et donc incité à plus de retenue.
Frais de syndic : 4,1 euros par mètre carré et par an
Année après année, les frais de syndic gonflent au point de représenter aujourd’hui plus de 9% du
total des charges courantes. La faute à la multiplication des prestations facturées hors forfait.
Pour éviter de tels dérapages, veillez notamment à ce que la tenue de l’assemblée générale soit bien
intégrée au forfait de base (y compris lorsqu’elle se tient en dehors des heures ouvrables). La
déclaration de sinistres, la transmission des archives ou la mise à jour du carnet d’entretien ne doivent
pas non plus être surfacturées… Surveillez aussi les frais de photocopies : certains syndics n’hésitent
pas à facturer jusqu’à 40 centimes d’euros la page (deux fois plus que la moyenne).
Enfin, prenez l’habitude de renégocier le contrat tous les ans. D’une année sur l’autre, les syndics
peuvent ajouter de nouvelles prestations au forfait.
Ascenseur : 2,3 euros par mètre carré et par an
A eux seuls, les frais d’entretien d’ascenseurs constituent 5% du budget des copropriétés.
Or il faut le savoir : entre deux ascensoristes, les écarts de tarifs peuvent atteindre plus 1.000 euros à
l’année ! Pour contenir la facture, faîtes donc là aussi jouer la concurrence régulièrement. En
moyenne, une telle prestation ne dépasse pas 2.000 euros par an, selon l’Arc.
Assurance : 1,7 euro par mètre carré et par an
Le poste assurance (3,8% des charges) varie en fonction de la sinistralité. Un entretien régulier de
l’immeuble (étanchéité des terrasse, de la toiture…) permettra de limiter la hausse des primes.
Si cela ne suffit pas, n’hésitez pas à changer compagnie : les contrats sont renouvelables tous les
ans.
Guillaume Chazouillères
Source : Capital.fr
La revue de Presse KYLIA
9
10. Les loueurs de meublés sous pression à Paris
Le 22/11/2012
La municipalité estime en effet que cette activité prive de nombreux Parisiens de logement et
contribue à la hausse des loyers. Crédits photo: ‘wok sous licence Creative Commons
Alors que la mairie de Paris s'attaque aux locations meublées inférieures à un an, les
professionnels proposent des réformes pour maintenir cette activité et ses emplois.
Ils en ont assez d'être montrés du doigt, les professionnels parisiens de la location d'appartements
meublés. Plusieurs agences spécialisées, regroupées au sein de l'association France meublés
dénoncent le «matraquage de la mairie de Paris» dont elles feraient l'objet. La municipalité estime en
effet que cette activité prive de nombreux Parisiens de logement et contribue à la hausse des loyers.
S'appuyant sur des dispositions du Code de l'habitat, elle poursuit des propriétaires effectuant des
locations de moins d'un an car ils devraient pour cela effectuer une transformation de leur logement
en local commercial, une procédure coûteuse et complexe. Plusieurs condamnations ont déjà été
prononcées et s'élèvent jusqu'à 10.000 euros d'amende par logement concerné.
La revue de Presse KYLIA
10
11. De son côté France meublés estime que la Ville se trompe de cible. «Nous sommes transparents,
n'effectuons pas de locations de moins d'une semaine et payons la TVA, souligne Maud Velter, vice
présidente de l'association. Nous faire disparaître, c'est pousser cette activité vers la clandestinité et
les nombreux sites Internet basés à l'étranger.» Sur le modèle du site américain Airbnb.com, de
nombreux acteurs multiplient en effet depuis quelques années les offres de logements meublés à la
journée.
Chiffres à l'appui, France meublés estime se démarquer de cette offre touristique et répondre à un
besoin spécifique de location de moyenne durée. Selon une étude Opinionway, le temps moyen de
séjour en meublé est de 80 jours et les premiers clients sont les étudiants et enseignants 42 % du
temps) devant les cadres en missions (34 %) et seulement 4 % pour le tourisme. Quant à l'ampleur du
phénomène, elle ne concernerait que 20.000 logements (selon l'Atelier parisien d'urbanisme) alors
que la capitale compte 116.000 appartements vacants. Et pour ce qui est des loyers: ils ne seraient
que de 15 à 20 % supérieurs à leurs homologues vides.
Afin de préserver une activité qui selon France meublés représente 1100 emplois directs et 1000
emplois indirects, l'association propose des pistes de réforme. Elle serait prête à envisager la fixation
d'une durée minimale de location supérieure à une semaine et surtout souhaite voir la mise en place
d'une procédure d'agrément pour les loueurs, comme pour les professions libérales. Elle estime aussi
que certaines catégories de propriétaires devraient être exclues de cette procédure, notamment les
personnes louant leur résidence principale lorsqu'elles ne l'occupent pas ou celles n'exploitant qu'un
appartement pour ce genre d'activité. L'appel au dialogue de ces professionnels n'a pour l'instant pas
encore trouvé d'écho auprès des autorités.
Source : LeFigaro.fr
La revue de Presse KYLIA
11
12. Les tarifs d'assurance vont augmenter à
nouveau en 2013
Le 23/11/2012
La hausse sera comprise entre 1% et 4% dans l'automobile, 2% et 7% pour l'habitation. En
2013, les tarifs d'assurance automobile ne pourront plus être différenciés en fonction des
sexes.
Pas de différenciation des tarifs d'assurance en 2013 pour les jeunes conductrices et conducteurs.
Flick'r/ zigazou76
Les primes d'assurance vont augmenter une nouvelle fois en 2013. Les revalorisations des tarifs
automobiles seront modérées mais augmenteront plus significativement pour l'habitation, d'après un
article publiée vendredi par Les Echos.
Pour l'automobile, les augmentations au 1er janvier vont de + 0,9% pour MAAF à + 4% chez Swiss
Life. Une hausse qui s'explique par la revalorisation des rentes versées aux accidentés de la route,
jusqu'alors prise en charge par le Fonds de garantie des assurances obligatoires. "Cette charge
nouvelle représente environ 7 euros sur une cotisation moyenne de 400 euros", explique Etienne
Couturier, directeur général délégué de la MAAF, au quotidien économique.
La revue de Presse KYLIA
12
13. Côté habitation, les réévaluations seront plus sensibles: elle s'échelonne de 2% pour la MAAF à 6%,
pour la MACF et 7% pour Swiss Life. En cause, notamment une vague de froid de février qui a coûté
500 millions de dollars aux assureurs.
La fin des tarifs différenciés selon les sexes
La Cour de justice de l'Union européenne a statué: à partir du 21 décembre, les assureurs ne pourront
plus différencier leurs tarifs en fonction des sexes. Le quotidien précise néanmoins que cette décision
ne va pas bouleverser outre mesure le marché global de l'assurance automobile. D'abord parce
qu'elle n'est pas rétroactive, ensuite parce que la différence hommes-femmes ne se concentre que sur
les deux à trois années suivant l'obtention du permis.
En revanche, ce sont les jeunes conductrices, qui payaient jusque là des primes moins élevées que
les jeunes conducteurs, qui risquent de pâtir le plus de ce changement. "Là où une jeune femme
payait 130 euros, les conducteurs payaient 200. Comme nous aurons désormais une obligation
d'égalité de traitement, cela fera un tarif à 165", selon le quotidien.
Source : L’Expansion.fr
La revue de Presse KYLIA
13
14. A propos de KYLIA
KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau 100% web composé d’une famille
d’enseignes immobilières toutes spécialisées dans un domaine de transaction.
Le concept KYLIA repose sur 3 idées fortes :
• La dématérialisation de l’agence avec vitrine permettant une meilleure rémunération des agents et la
pratique de taux de commission jusqu’à deux fois inférieurs par rapport aux agences immobilières
traditionnelles.
• L’hyperspécialisation des agents engendrant une plus grande réactivité sur le terrain, plus de
professionnalisme mais surtout plus d’efficacité vis-à-vis des clients.
• La culture du partage permettant de fédérer l’ensemble des équipes autour d’un objectif commun :
La croissance !
Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com
Contact Presse : KYLIA Immobilier
Marie LAURENT / pub@kylia-immo.com / 01 46 51 93 39
La revue de Presse KYLIA
14