Integrating climate change adaptation in development planning in Morocco - NAP-GSP.
What is the process to formulate and implement National Adaptation Plans (NAPs)? How can it be used to reduce Morocco’s vulnerability to climate change and integrate climate change adaptation into ongoing development planning processes? How can decision makers include the gender lens to build more inclusive and more effective initiatives? What does Morocco’s current road map for conducting its NAP process look like, and how can it be further enhanced for effective delivery?
These were just some of the questions discussed at a workshop held in Marrakesh, 17-20 April 2017. The workshop was co-hosted by GIZ, UNDP and UNITAR, and supported through the GIZ Environment and Climate Governance project, and aimed at developing and strengthening the technical expertise of Morocco climate action focal points from several departments.
4. Atelier de formation
PNA Maroc
• Quantifier les risques actuels et futurs
et tenir compte de la nature
dynamique des dangers, de
l'exposition et de la vulnérabilité
(fortement affecté par les scénarios
de développement).
• Les évaluations des risques devraient
produire des informations ciblées
pour la prise de décision.
• La première étape de l'évaluation des
risques consiste à comprendre
pourquoi nous avons besoin de
l'évaluation, en identifiant les lacunes
d'information qui empêchent les
décisions de gestion des risques et en
identifiant les utilisateurs finaux.
5. Atelier de formation
PNA Maroc
Les évaluations intégrées des risques devraient
prendre en compte
Facteurs de
changement
climatique
Croissance
de la
population
Scenarios de
Developpement
Futurs
Conditions
Environnementales
Futures
Risques actuels
et futurs et leurs
évolutions
6. Atelier de formation
PNA Maroc
Hazards interaction
Easter Europe, Caucasus and Central Asia (EECCA)
Regional Workshop
Lenny – CAT 4 +
2 m SLR
Lenny – CAT 4
7. Atelier de formation
PNA Maroc
• Slide content
Easter Europe, Caucasus and Central Asia (EECCA)
Regional Workshop
Multi-hazard assessments
8. Etapes pour évaluation de risques
Etape1
• Definir l’objectif de l’evaluation. Comprendre la situation, les besoins
et les lacunes afin d’evaluer ce qui existe et eviter la duplication
d’effort
Etape 2
• Évaluer les aléas pour identifier la nature, la localisation, l’intensité et
la probabilité de survenue d’aléas majeurs dans une population ou
une société donnée
Etape 3
• Évaluer le degre d’exposition pour identifier les populations et les
biens à risque et pour délimiter les zones sujettes à des catastrophes
Etape 4
• Analyser la vulnérabilité afin de déterminer la capacité (ou son
absence) des éléments à risque de résister aux scénarios d’aléas
donnés
9. 27/09/2017
NAP country-level training
Etape 5
• Analyser les pertes/l’impact pour estimer les pertes potentielles parmi la
population, les biens, les services, les moyens de subsistance et
l’environnement exposés, ainsi que leurs impacts potentiels sur la société
Etape 6
• Établir un profil des risques et les évaluer afin d’identifier les possibilités
de réduction des risques présentant un bon rapport coût/efficacité
Etape 7
• Formuler ou réviser les stratégies et les plans d’action de RR/Adaptation
y compris la définition des priorités, l’allocation des ressources
(financières ou humaines)
10. Atelier de formation
PNA Maroc
Bonnes Pratiques d’Evaluations de Risques
• Définir clairement l'objectif de l'évaluation des risques avant l'analyse
commence.
• Promouvoir et permettre la propriété du processus d'évaluation des risques et
des efforts pour atténuer les risques.
• Faire une meilleure communication des informations sur les risques comme
priorité.
• Favoriser la collaboration multidisciplinaire, multi-institutionnelle et
multisectorielle à tous les niveaux.
• Élaborer des évaluations des risques à risques multiples qui tiennent compte
du contexte de risque plus large.
• Rester informé de l'évolution du risque.Comprendre, quantifier et
communiquer les incertitudes et les limites des informations sur les risques.
• Assurer que les informations sur les risques sont crédibles et transparentes.
11. Atelier de formation
PNA Maroc
Slide title
Easter Europe, Caucasus and Central Asia (EECCA)
Regional Workshop
12. Atelier de formation
PNA Maroc
L'information géographique et les technologies - un
facilitateur potentiel de l'intégration.
13. Atelier de formation
PNA Maroc
Envisager de développer une plate-forme centrale et accessible de partage de données et de
gestion des connaissances pour répondre aux besoins des différents acteurs
Easter Europe, Caucasus and Central Asia (EECCA)
Regional Workshop
21. Atelier de formation
PNA Maroc
/ reduce
(e.g. adjusting development planning)
(e.g. adaptation/DRM)
Identification des Risques: Modèle mental partagé
La condition préalable à la sensibilisation
Analyse de Risque: Quantification: Base pour la prise de Décision
Modeles de Risque: l’expression quantitative du modele mental partage
Permet d’evaluer les mesures d’adaptation
Reduction de Risque: Priorization basees sur des criteres. Les options sont de:
- Eviter (Ajuster la planification de developpement
- Prevenir / Reduire (mesures techniques d’adaptations, RR)
- Transferer : Assurances
- Retenir
Notes de l'éditeur
INSTRUCTIONS FOR PRESENTERS:
SLIDE 1 – TITLE SLIDE
[Fill in the details on the title page: your country / main relevant initiative / your name / your ministry / country flag]
This presentation will contribute relevant experiences and lessons learnt from your country towards Element C: Implementation strategies
Main steps under Element C in the UNFCCC/LEG technical guidelines are as follows:
Prioritizing climate change adaptation in national planning.
Developing a (long term) national adaptation implementation strategy.
Enhancing capacity for planning and implementation of adaptation.
Promoting coordination and synergy at the regional level and with other multilateral environmental agreements.
Dimensions et composantes de la vulnérabilité au changement climatique
Pour identifier les personnes, les régions et / ou secteurs qui pourraient être les plus affectés par le changement climatique (afin que l'aide pertinente pour l'adaptation puisse être canalisée en conséquence), il est important de comprendre en quoi consiste la vulnérabilité au changement climatique et par quoi elle est déterminée.
Le concept de «vulnérabilité au changement climatique» nous aide à mieux comprendre les relations de cause à effet derrière le changement climatique et son impact sur les gens, les secteurs économiques et les systèmes socio-écologiques.
Il n'existe aucune définition généralement acceptée de la vulnérabilité au CC, mais de nombreuses définitions différentes de la vulnérabilité et des termes liés existent.
La définition la plus largement utilisée a été fournie par le quatrième rapport d'évaluation du GIEC (RE4). ). Elle se réfère à la vulnérabilité comme: (. y compris la variabilité et aux extrêmes climatiques) (...) la mesure dans laquelle un système est sensible à, et incapable de faire face aux, effets néfastes du changement climatique,
RAPPEL: Définition RE4 vs RE5 (risque):
Dans son cinquième rapport d'évaluation, le GIEC a présenté une nouvelle approche et terminologie. Il y a encore de nombreuses incohérences et ambiguïtés dans le concept RE5 quand il s'agit de l'application pratique. (Il adopte le concept RRC (réduction des risques de catastrophes) qui est conçu pour des événements individuels bien définis qui affectent généralement des zones bien définies et des éléments et peut être exprimée statistiquement comme une probabilité. Cependant, le changement climatique porte sur les tendances à long terme qui affectent le monde entier avec des différences spatiales graduées, sans probabilité statistique.) Dans la formation des PNA, les différents modules sont donc basés sur la terminologie du GIEC RE4.
Schéma:
Cependant, même si la terminologie est utilisée pour décrire les changements de vulnérabilité, les hypothèses sous-jacentes de base suivent une logique similaire. Un système préoccupant (par exemple une exploitation agricole) est affecté par le stress liés au climat tels que des conditions météorologiques extrêmes (dans RE4: exposition). Ce stress produit un préjudice potentiel pour le système (vulnérabilité). Le dommage est modéré par les attributs du système lui-même, qui peuvent être physiques (par exemple, type de sol et sensibilité) ou (par exemple, des moyens financiers pour améliorer les systèmes d'irrigation ou en utilisant différentes variétés de cultures à Capacité adaptative / capacité d'adaptation) peut-être socio-économiques. Les mesures d'adaptation peuvent influencer ces attributs et ainsi réduire les dommages causés au système.
(Impact potentiel: combinaison d' exposition et de sensibilité (par exemple de fortes pluies + sensibilité à l'érosion = érosion))
Avant d'agir, il est important de connaître les étapes pour accéder à l'information climatique pertinente. (Les principales étapes sont :)
Étape 1: Il est important de définir vos zones d'intérêt géographiques, temporelles et sectorielles afin que votre recherche puisse être aussi précise que possible.
Qu’est-ce qui est préoccupant? (Production alimentaire, approvisionnement en eau, santé? Les préoccupations ne peuvent pas être exprimés en termes de climat, par exemple, des températures extrêmes, mais dans les conséquences du climat pour les gens.) Qui est préoccupé? Quelles sont les préoccupations? (Note: les préoccupations peuvent se concentrer sur les risques actuels (qui pourraient être aggravés par le changement climatique).
Étape 2: La prochaine étape est de recueillir les informations dont vous avez besoin. Il y a plusieurs façons pour cela, qui sont regroupés ici en trois approches (sera décrit dans une minute):
- Évaluation rapide de la littérature
- Utilisation d'outils d'analyse de données en ligne
- Expertise et institutions sur le changement climatique
Ils devraient être considérés comme complémentaires; (ils diffèrent essentiellement par leur niveau de détail, la participation d'experts et les coûts connexes.)
Étape 3: La dernière étape consiste à consolider les données d'une manière claire et transparente: Rassembler les informations obtenues d'une manière compréhensible et transparente, et les rendre disponibles aux autres.
Clearly define the purpose of the risk assessment before analysis starts.
Risk assessments initiated without first defining a question and an end-user often become scientific and engineering exercises that upon completion must find a use case. Moreover, a risk assessment that is not properly targeted may not be fit for its intended purpose or may be over-engineered and/ or over-resourced. Where risk assessments have been commissioned in response to a clear and specific request for information, they have tended to be effective in reducing fiscal or physical risk.
Promote and enable ownership of the risk assessment process and efforts to mitigate risk.
Ownership is critical for ensuring that knowledge created through a risk assessment is authoritative and therefore acted upon. It is certainly possible for risk specialists to generate risk analysis without ever engaging with local authorities; but regardless of the sophistication or accuracy of their analysis, there will likely be very limited uptake of this information.
Experience shows that data generated are more likely to be used when the authorities are also engaged and feel an ownership of the process.
Make better communication of risk information a priority.
Clear communication throughout the risk assessment process—from initiation of the assessment to delivery of results and the development of plans in response—is critical for successfully reducing risk.
Another point about communicating risk information has to do with the type of information communicated, and to whom. Metrics like average annual loss and probable maximum loss, for example, are of interest and relevant to the financial sector, but they are poor metrics for communicating with almost all other decision makers involved. Far preferable are interactive tools that enable people to answer "what if?" questions robustly and simply. There is still immense opportunity to develop a bigger toolbox of interactive, highly graphical visualization tools, which would enable all decision makers, from individuals to national governments, to meaningfully interact with risk information.
Foster multidisciplinary, multi-institutional, and multi-sectoral collaboration at all levels.
To generate a usable risk assessment product, technical experts and decision makers must consult with one another and reach agreement on the risk information that is required by the relevant development sector or program, and more broadly on the purpose and process of the risk assessment. The actual development of risk information is clearly a multidisciplinary effort that takes place through collaborations ranging from international efforts to multi-institutional arrangements at national and subnational levels. There are many efforts currently under way that speak to the success of this approach. However, success has been comparatively limited in merging community-level understanding of risk with a national or subnational understanding of risk. This is a missed opportunity wherein a common understanding of the risks and necessary steps to reduce these risks could trigger greater action.
Develop multi-hazard risk assessments that consider the broader risk Context.
Rarely do countries, sectors or communities face potential risks from only one hazard, or even from natural hazards alone. Our complex environments and social structures are such that multiple and often connected risks—from financial hazards, multiple or cascading natural hazards, and anthropogenic hazards—are the norm. Just as multi-peril risk calculations are required for many financial applications, territorial planning should draw on information from assessments of multiple hazards (flood, landslide, and earthquake, for example) in order to reduce risk. We know that failure to consider the full hazard environment can result in maladaptation (heavy concrete structures with a ground-level soft story for parking can protect against cyclone wind, for example, but can be deadly in an earthquake), whereas adopting a multi-hazard risk approach leads to better land-use planning, better response capacity, greater risk awareness, and increased ability to set priorities for mitigation actions. Particular caution should be taken with risks in food security and the agricultural sector, and we recommend that these risks be considered alongside flood and drought analysis.
Keep abreast of evolving risk.
Risk assessments need to account for temporal and spatial changes in hazard, exposure, and vulnerability, particularly in rapidly urbanizing areas or where climate change impacts will be felt the most. A risk assessment that provides an estimation of evolving or future risk is a way to engage stakeholders in carrying out actions now in order to avoid or mitigate the risk that is accumulating in their city or country. For example, risk analysis offers an opportunity to quantify the decrease in future risk that arises from better urban planning to avoid risky areas, and hence to demonstrate the benefit of spending additional funds on amending spatial planning regulations.
Because risk is likely to evolve under climate change, there is increasing interest in understanding climate change’s impacts and calculating losses under future adverse climate events. Using the modeling techniques and approaches developed to model disaster risk, experts have demonstrated the potential to determine future loss under climate change. However, since the fundamental data sets that enable the risks of today to be quantified are the same as those required to determine the impacts of adverse events in the future, it is critical for both the disaster and climate change communities to work together and invest jointly in fundamental data and innovation.
Understand, quantify, and communicate the uncertainties and limitations of risk information.
Once risk information is produced, all users must be aware of and knowledgeable about its limitations and uncertainties, which can arise from uncertainties in the exposure data, in knowledge of the hazard, and in knowledge of fragility and vulnerability functions. Failure to consider these can lead to flawed decision-making and inadvertently increase risk. A risk model can produce a very precise result—it may show, for example, that a 1-in-100-year flood will affect 388,123 people—but in reality the accuracy of the model and input data may provide only an order of magnitude estimate. Similarly, sharply delineated flood zones on a hazard map do not adequately reflect the uncertainty associated with the estimate and could lead to decisions such as locating critical facilities just outside the "flood line," where the actual risk is the same as if the facility was located inside the flood zone. It is incumbent upon specialists producing risk information to clearly and simply communicate uncertainties and limitations.
Ensure that risk information is credible and transparent.
Risk information must be scientifically and technically rigorous, open for review, and honest regarding its limitations and uncertainties, which may arise from uncertainties in the exposure data, in knowledge of the hazard, and in knowledge of fragility and vulnerability functions. The best way to demonstrate credibility is to have transparent data, models, and results open for review by independent, technically competent individuals.
When integrating climate and disaster risk planning, it is important to consider how to enable and facilitate the exchange and sharing of data between a number of stakeholders and at the same time reduce duplication in data acquisition and maintenance and any cost related to it.
This potential can be achieved through developing an infrastructure that shares decision support and analysis tools for climate and disaster-risk management. Such infrastructure should encompass three elements: (1) data and information, (2) decision support and analysis tools, and (3) access tools and protocols.