4. I. Historique du fédéralisme belge 1830 : Révolution belge Période Hollandaise (1815-1830) 1831: Indépendance
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6. 1962, fixation de la frontière linguistique basée en partie sur une réalité dépassée: le recensement de 1947… I. Historique du fédéralisme belge
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13. II. BHV : Quel enjeu pour les francophones? II. BHV : Quel enjeu pour les francophones ?
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26. IV. 13 JUIN 2010 - 12 janvier 2011: 7 mois d’efforts pour construire la Belgique de demain Du 04/09/10 au 05/10/10 : Flahaut et Pieters « médiateurs » Durant 4 semaines, les présidents de la Chambre et du Sénat, André Flahaut (PS) et Danny Pieters (N-VA), tentent de renouer la confiance entre les partenaires. Un « High Level Group » est également mis en place sur la modification de la loi spéciale de financement. Il est co-présidé par Jean-Claude Marcourt (PS) et Jan Jambon (N-VA). BDW refuse que les 2 médiateurs réunissent les 7 partis ensemble. Au terme de leur mission, les médiateurs constatent qu’il est « impossible de relancer les négociations » . Leur travail n’aura cependant pas été inutile : « il existait une certaine méfiance et il fallait se ré-apprivoiser » .
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36. Pour le PS, l’identité de la Région bruxelloise doit être renforcée. La Région de Bruxelles-Capitale doit être reconnue et respectée comme une Région à part entière . Bruxelles est une Région bilingue, avec 90% de FR et 10% de NL. Le PS veut consolider la Région de Bruxelles-Capitale, notamment via un refinancement structurel. Nous n’accepterons pas que Bruxelles soit cogérée par les 2 Communautés (Communauté flamande et Communauté française) ou par le fédéral. Bruxelles V. Que veut le PS ?
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38. VI. La Belgique fédérale Wallonie-Bruxelles : Plan B possible? Plusieurs personnalités socialistes ont évoqué ces derniers mois, de manière extrêmement prudente, l’éventualité d’un « Plan B » fondé sur une Belgique fédérale Wallonie-Bruxelles. Pour le PS, notre responsabilité à l’égard des citoyens est à la fois de chercher de toutes nos forces un compromis et de préparer toutes les éventualités. Prévoir l’avenir de tous les francophones et germanophones relève de notre responsabilité première. C’est de gérer le présent tout en anticipant l’avenir . Le PS fait le maximum pour aboutir à un accord équilibré ; nous sommes convaincus que la Belgique a une valeur ajoutée. Mais si certains partis veulent que la Flandre quitte la Belgique, ils doivent en assumer toutes les conséquences. Si c’était le cas, nous resterions avec une Belgique fédérale composée de la Wallonie, de Bruxelles et des 6 communes de la périphérie de Bruxelles si ses habitants le souhaitent. Ce n’est pas notre choix. Mais si on nous contraint à devoir discuter de l’inacceptable, il vaut mieux alors une solution honorable.