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Le « libre-service » dans les solutions clientes de GeoBI

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  1. 1. Le « libre-service » dans les solutions clientes de GéoBI Frédéric Hubert, Ph.D. Département des sciences géomatiques Université Laval Géomatique 2013 4 octobre 2013 1
  2. 2. Plan de la présentation •  BI & GéoBI •  Le « libre-service » •  Le BI & GeoBI en « libre-service » •  Étude comparative •  Résultats 2
  3. 3. BI (Business Intelligence) •  BI ou Intelligence d’affaires ou Informatique décisionnelle •  « Moyens, outils et méthodes pour collecter, consolider, modéliser, restituer des données d’une entreprise en vue d’offrir une aide à la décision et de permettre aux responsables de la stratégie d’entreprise d’avoir une vue d’ensemble de l’activité traitée » (wikipédia) à Gigantesque volume de données à manipuler à Prendre les meilleurs décisions possibles et rapidement 3
  4. 4. BI – Architecture Fichiers BD Services Web 4 Source : http://business-intelligence.developpez.com/tutoriels/presentation-pentaho
  5. 5. BI – Exemple de clients BI IBM Cognos – tableau de bord 5
  6. 6. BI – Exemple de clients BI JasperReports – générateur de rapport 6
  7. 7. BI – Exemple de clients BI Saiku – olap web 7
  8. 8. GéoBI (BI géospatial) •  80% des données stockées dans des SGBD font références à la composante spatiale [Franklin 92] sous différentes formes : –  Adresses civiques, Codes postaux, –  Coordonnées géodésiques, cartographiques, –  Noms de lieux (noms de villes, points d’intérêt, montagneux, lacs, rivières, …), –  Adresses IP, Numéros de téléphones, … è Le BI géospatial (ou GeoBI) est le domaine scientifique résultant de la combinaison des systèmes d’information géographique (SIG) aux solutions de BI. 8
  9. 9. GéoBI (BI géospatial) •  Le GéoBI vise à proposer des outils pour intégrer, analyser, représenter, naviguer avec des données géospatiales, avec comme finalité principale, une nouvelle fois, la carte et son pouvoir informationnel : « une image vaut mille mots ». •  Plusieurs domaines applicatifs : agriculture, assurances, immobilier, municipalité, santé, sécurité publique, … •  Intégration du géospatial à tous les niveaux d’une architecture BI 9
  10. 10. GéoBI – Architecture Geo-reporting Géo-fichiers Fichiers Tableaux de bord spatiaux BD spatiales Spatial ETL BD Services Web Entrepôts données spatiaux Services Web géospatiaux Spatial datamining Spatial OLAP 10 Source : http://business-intelligence.developpez.com/tutoriels/presentation-pentaho
  11. 11. GéoBI – Inventaire de clients 11
  12. 12. Clients GéoBI – Générateurs de rapport Source : Vanilla, BIRT (Actuate) 12 Source : Vantage Spot-on Systems
  13. 13. Clients GéoBI – Tableaux de bord Source : Dundas 13
  14. 14. Clients GéoBI – Tableaux de bord Source : CartoVista, DBx Geomatics 14
  15. 15. Clients GéoBI – Tableaux de bord Source : Spatial Viewer + Spatial Fusion, Spatialytics 15
  16. 16. Clients GéoBI – Spatial OLAP Source : SOVAT, Université de Pittsburgh 16
  17. 17. Clients GéoBI – Spatial OLAP Source : Map4Decision, Intelli3 17
  18. 18. Les utilisateurs BI … GéoBI •  2 catégories d’utilisateurs du BI (GéoBI) –  Utilisateurs moyens ou occasionnels utilisant les informations de BI pour faire leur travail quotidien. •  clients, fournisseurs, cadres, gestionnaires, employés de première ligne (sur le terrain) •  Profils CONSOMMATEUR (80%) –  Utilisateurs avancés ou en puissance travaillant directement dans le milieu BI pour, entre autres, produire de nouvelles informations. •  Super utilisateurs, statisticiens, professionnels IT, analystes d’affaire. •  Profils PRODUCTEUR (80%) 18
  19. 19. Le libre-service
  20. 20. Le libre-service Source : http://specialtyretail.com/issue/2010/01/retail-products/retailproduct-features/success_with_self_serve_kiosks/ Source : http://www.condenaststore.com/-sp/Extreme-SelfService-New-Yorker-Cartoon-Prints_i8474768_.htm 20
  21. 21. BI en libre-service •  Depuis plusieurs années, une tendance (ou « buzz-word ») est présente dans le marché BI afin de s’adresser plus directement aux utilisateurs finaux (occasionnel et /ou en puissance) : Il s’agit du BI en libre-service (ou self-service BI). 21
  22. 22. BI en libre-service •  « Donner le pouvoir aux utilisateurs finaux afin qu’ils prennent des décisions basées sur leurs propres analyses en exploitant des outils leur permettant de créer leurs propres rapports ou vues. Les utilisateurs doivent pouvoir obtenir ce qu’ils veulent, quand ils le veulent, comment ils le veulent, et ceci, sans recourir à l’aide du professionnel IT. » è  Faciliter l’accès aux données è Proposer des interfaces utilisateurs BI « utilisable », « user-friendly » et « personnalisable » pour s’adapter aux besoins de chacun. 22
  23. 23. BI en libre service … intérêts ? •  Intérêts utilisateurs –  Créer des vues personnalisées des données (rapports / tableaux de bord) –  Augmenter l’adoption d’outils BI –  Réduire la dépendance envers le personnel IT –  Générer de la valeur à partir des données organisationnelles inexploitées –  Satisfaire leurs besoins BI avec peu ou pas de formations •  Intérêts entreprises : –  Gain financier (réduction de coût, temps) –  Fidélisation de la clientèle –  Amélioration des performances opérationnelles et réduction des dépenses –  … Source: http://www.infodsi.com/articles/119905/bi-libre-service-source-profitabilite-entreprises-stephanejouaux-country-manager-information-builders-france.html?key=4c414b5d1b818a8d 23
  24. 24. BI en libre-service: 5 mythes [Hownson 2011] •  Mythe 1 : Les utilisateurs BI veulent créer leurs propres requêtes. –  Quelques difficultés à considérer : •  Besoins de connaître les langages SQL ou MDX pour interroger les données •  Besoins de connaissance sur les concepts de bases de données et leur contenu •  Besoins de connaissance sur les données et leurs nuances –  Les gestionnaires et les dirigeants ont besoin d'accéder rapidement aux données pour répondre à des questions parfois imprévisibles, mais ils n'ont pas les compétences et le temps d'utiliser des outils de requêtage. 24
  25. 25. BI en libre-service: 5 mythes [Hownson 2011] •  Mythe 1 : Les utilisateurs BI veulent créer leurs propres requêtes. •  Mythe 2 : Le BI est facile à utiliser, même les utilisateurs occasionnels vont l’adopter. –  Besoin d’interfaces d’outils BI différentes requises avec des innovations pour améliorer l’utilisabilité : BI Search, filtres progressifs, personnalisation. –  Privilégier des outils comme BI Search, plus facile d’utilisation que les interfaces traditionnelles. •  Au lieu de faire des « drag and drop » d’éléments pour construire une requête, un utilisateur, occasionnel ou en puissance, peut simplement saisir : « Ventes dans New-York 2010 ». 25
  26. 26. BI en libre-service: 5 mythes [Hownson 2011] •  Mythe 1 : Les utilisateurs BI veulent créer leurs propres requêtes. •  Mythe 2 : Le BI est facile à utiliser, même les utilisateurs occasionnels vont l’adopter. •  Mythe 3 : Le BI en libre-service est seulement pour les utilisateurs en interne. 26
  27. 27. BI en libre-service: 5 mythes [Hownson 2011] •  Mythe 1 : Les utilisateurs BI veulent créer leurs propres requêtes. •  Mythe 2 : Le BI est facile à utiliser, même les utilisateurs occasionnels vont l’adopter. •  Mythe 3 : Le BI en libre-service est seulement pour les utilisateurs en interne. •  Mythe 4 : « Je veux avoir accès à toutes mes données » –  Volonté d’utilisateurs suite à une frustration liées aux temps de réponses des personnes en IT. –  Pas de réel besoins pour toutes les données, mais permettre l’accès rapide à certaines données 27
  28. 28. BI en libre-service: 5 mythes [Hownson 2011] •  Mythe 1 : Les utilisateurs BI veulent créer leurs propres requêtes. •  Mythe 2 : Le BI est facile à utiliser, même les utilisateurs occasionnels vont l’adopter. •  Mythe 3 : Le BI en libre-service est seulement pour les utilisateurs en interne. •  Mythe 4 : « Je veux avoir accès à toutes mes données » •  Mythe 5 : « Une fois que nous avons notre outil de BI en libre-service, nous n’avons plus besoin de personnel IT » –  Le partenariat entre les gens de BI et ceux d’IT est important, car qui préparent les données en arrière dans les entrepôts de données, les serveurs OLAP, ou autres ?? 28
  29. 29. BI en libre-service … Quels besoins ou outils? •  Auto-modélisation : Proposer des modèles de données basés sur les types de données en entrée et leur contenu, car tous les utilisateurs n’ont pas d’expériences en modélisation de données. •  Mesures calculées : Ajout de mesures calculées sans l’assistance d’un développeur ou un professionnel. •  Collaboration : Intégration d’outils de collaboration pour les utilisateurs. •  Virtualisation de données et forage n’importe où : Avoir des données accessibles plus rapidement malgré la grande quantité de données d’entreprise. •  Filtres par colonnes : réduire le nombre de rapport préfabriqués à produire selon les données courantes comme les lieux ou les périodes de temps 29 Source : The Forrester WaveTM : Self-Service Business Intelligence Platforms, Q2, 2012
  30. 30. BI en libre-service … Quels besoins ou outils? •  Environnement de tests pour applications : Pour des déploiements rapide et sécuritaire. •  Écriture en retour (Write back): Créer en temps réel des scénarios éventuels basés sur les données existantes ou de nouvelles données pour les outils BI et OLAP par exemple. •  Exploration et découverte : Aller au delà du pré-fabriqué des solutions OLAP par exemple. •  Migration vers la production. •  Outil de recherche de type GUI : Sur le même principe que Google pour la recherche d’informations. Cela ne nécessite pas de formations. C’est l’opposé d’un « cliquodrome ». Cela permet aussi la navigation par facette. 30 Source : The Forrester WaveTM : Self-Service Business Intelligence Platforms, Q2, 2012
  31. 31. BI en libre-service … Quels besoins ou outils? •  Couches sémantiques : Représentation et regroupement d’objets métier qui aide les utilisateurs finaux à accéder aux données selon un langage commun et connu. Éviter aux utilisateurs d’utiliser des détails techniques sur les données stockées et leur permettre de créer des requêtes avec des termes familiers et sensés. •  Outils d’analyse de type bureau : Excel, PowerPivot, Lyzasoft •  Solution « in-memory »: Afin d’écourter les temps de réponses et ainsi accélérer les traitements, le stockage et la gestion des données se font dans la mémoire vive RAM. •  Outils de BI mashup : Assemblage à la volée de données sur le web et de données d’entreprise. 31
  32. 32. Le BI « libre-service » 32
  33. 33. Exemples - QlikView 33
  34. 34. Exemples – Tableau Ajout de mesures calculées 34
  35. 35. Exemple – EasyAsk Requête BI (BI Search) en langue naturelle 35
  36. 36. Exemple – InfoNav Q&A 36
  37. 37. GeoBI en libre-service •  Le GeoBI en libre-service peut être simplement défini comme étant une extension de BI en libre-service en tenant compte de la composante géospatiale dans les solutions à produire destinées aux utilisateurs finaux. •  Actuellement, on retrouve des solutions initialement de BI qui intègrent la composante spatiale, de manière légèrement ou fortement intégrée. •  Toutes les solutions ou besoins de BI en terme de « libreservice » sont transposables au GeoBI, moyennant quelques ajustements quant aux particularités et spécificités 37 de la donnée géospatiale.
  38. 38. Exemples – TIBCO
  39. 39. Exemples – Tableau 39
  40. 40. Exemples – GeoQlik (QlikView) 40
  41. 41. Sémiologie graphique & discrétisation 41
  42. 42. Étude comparative •  Travail effectué par un stagiaire (Yvann Revolte) •  7 solutions ont été identifiées et testées •  Démo en ligne ou installation sur ordinateur de bureau •  +25 critères d’évaluation retenus selon 3 catégories de fonctionnalité –  Business Intelligence –  Géomatique –  Self-service •  Évaluation –  Selon présence complète, partielle ou non pour Business Intelligence et Géomatique –  Selon des critères d’utilisabilité (efficacité, efficience, satisfaction) pour le self-service 42
  43. 43. Résultats 43
  44. 44. Résultats 44
  45. 45. Résultats •  Selon les composantes testées, les résultats sont très concluants : –  –  –  –  Scores finaux globalement bons. Filtrage par colonne par toutes les solutions. Résultats positifs pour les applications OLAP et les tableaux de bord. De plus en plus d’interfaces de configuration de la sémiologie graphique. •  Cependant, il ne faut pas aller trop vite en conclusion –  Simplicité de plusieurs composants de self-service (filtre par colonne). –  Pas de tests de toutes les composantes de self-service actuellement offertes sur le marché. –  Complexité d’usage de solutions Spatial OLAP au premier abord. –  La composante spatiale n’est pas le cœur de la majorité des applications testées. –  Pas de réelle adaptation des outils self-service en fonction de la composante géospatiale. –  Pas d’intégration de la composante recherche en langue naturelle, mais ça 45 s’en vient !
  46. 46. Mise en garde – actuellement à Les initiatives de BI libre service sont actuellement mal évaluées par les utilisateurs (moyens à faible = 64%). 46
  47. 47. Mise en garde – actuellement à Le BI libre-service est contre-intuitif ! 47
  48. 48. Conclusions •  Il reste du travail et de nombreux défis à relever si on veut proposer aux utilisateurs finaux des solutions fiables, intuitives, ergonomiques, efficaces, utilisables, rapides, précises, adaptées, adaptables, personnalisables ! 48
  49. 49. Merci de votre attention QUESTIONS ? frederic.hubert@scg.ulaval.ca http://frederic-hubert.scg.ulaval.ca 49

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