Le but de ce mémoire a été de savoir si les différences dans les stratégies de communication de crise des entreprises peuvent s'expliquer par la différence de leur culture.
2. Le choix du thème
Des interrogations personnelles sur la gestion de crise
Des cours notamment dans le cadre de partenariats internationaux avec
l’ESGCI
La crise est une problématique globale et très souvent internationale et
semble omniprésente dans l’environnement des entreprises
Envisager la confrontation à une crise au sein de nos métiers futurs
La possibilité de pouvoir analyser de façon plus transverse une crise
autrement que par les yeux des médias
3. Le choix des entreprises
Avoir des exemples d’entreprise ayant des facettes culturelles différentes
permettant de mettre en exergue notre problématique
Les deux entreprises principales, Spanghero et TEPCO, restent des sujets
d’actualité encore aujourd’hui
Les deux entreprises secondaires, Findus et BP, permettent d’évaluer et
nuancer les conclusions apportées par l’analyse des 2 premières
entreprises
La possibilité d’avoir une analyse plus poussée sur l’origine des crises
4. Le fondement de
la problématique
Rappel de la problématique : « La gestion de crise diffère-t-elle selon
les cultures ? »
Partir à l’inconnu d’une problématique dont on ne connaissait pas
l’aboutissement
Constat de départ, nous serons amenés à travailler avec des
personnes de différentes cultures : mieux accepter les différences et
ne pas avoir des aprioris
Les réactions spontanées de chaque partie sont expliquées la plupart
du temps par la culture
5. Les recherches effectuées
Les crises choisies sont récentes et d’actualité : sources
d’informations faciles à trouver
Faire le tri des informations et des sources qui sont nombreuses puis
les synthétiser
Pertinence des informations par rapport au sujet
6. Le cheminement du plan
Différences entre le plan de départ et le plan final
Le choix d’une comparaison des cas
Trouver des points d’accroche et de similitude pour les crises qui nous
paraissent essentiels
Focus sur les cultures de chaque partie prenante
Les enjeux d’une gestion de crise défaillante
8. Les limites de la rédaction
Pas assez de détails sur les différents acteurs, moyens et supports
permettant d’anticiper la crise
Chiffres économiques avant et après la crise ne sont pas précisés
Pas de possibilité de communiquer avec les responsables des
entités
9. Les difficultés rencontrées en
général
Des informations nouvelles qui s’intègrent à la réflexion exigeant de
devoir remanier la rédaction
La synthétisation de la rédaction qui oblige à devoir écarter plusieurs
éléments
10. Ce que ce Mémoire nous a
apporté…
Une expérience supplémentaire dans le travail en équipe
Partir à l'inconnu et raisonner par l’absurde
Découverte et compréhension de l’environnement d’une entreprise
dans le cadre d’une crise
11. Conclusion du Mémoire
Caractéristiques communes avec des conséquences sur :
Pouvoir public
Conséquences à l’internationales
Conséquences sur les acteurs du secteur d’activité
Conséquences sur les salariés
Exposition médiatique
La culture entache la gestion de crise des entreprises et la réaction
des différents acteurs de la crise
12. Recommandations
La formation des employés est primordial pour anticiper une crise
Même les évènements les plus improbables doivent être pris en
compte
Faire preuve de rigueur dans l’analyse produit
Devancer le problème
Prendre en compte le facteur temps dans une gestion de crise
13. D’autres pistes de réflexion…
Une entreprise dont les salariés sont issus de différentes cultures,
est-elle mieux armée lors dune situation de crise?
Devons-nous pénaliser les entreprises qui ne mettent rien en place
pour anticiper les crises ?
Existe-t-il des cultures où les crises sont plus fréquentes que dans
d'autres cultures ?