Campagne Animaux de compagnie distribuée le 31 Mars 2015 à 47'934 exemplaires dans le journal Le Matin et touchant 293'000 lecteurs en Suisse Romande ainsi que sur www.animaux-info.ch
Interview principale: Sandrine Arcizet & Elodie Ageron, animatrices de l'émission TV "Les animaux de la 8" sur D8.
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amis de l’Homme !
Rencontre avec Sandrine Arcizet & Elodie Ageron,
animatricesdes«animauxdela8».
A découvrir
Éducation
Comment bien choisir
un éducateur canin?
Tiques
Comment éviter les risques
au printemps?
N.A.C.
Vivre avec un reptile
Animaux de Compagnie
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pour prendre
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animal
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Edito
«Aimerlesanimauxnesuffit
pas:ilfautrespecterleurs
besoinsetleurintégrité»
A
vant d’acquérir tout
animal,ilfautbiense
renseigner car c’est
une grande respon-
sabilité: il s’agit d’un
achat qui demande
réflexion.Lecadrelé-
galest définidanslaLoi fédéralesurla
protection des animaux et ses ordon-
nances; y sont décrites les nombreu-
ses obligations que le détenteur doit
connaître.Et selon l’espèce choisie,les
connaissances et les besoins diffèrent:
avez-vous assez de temps à consacrer
à votre animal, pour ses soins, pour
ses besoins? Un chien, par exemple,
ne devrait pas rester plus d’une demi-
journée enfermé: il doit être prome-
né, a besoin d’occupation, de contact
social et d’attention de la part de son
propriétaire.Par exemple,en vertu de
l’ordonnancesurlaprotectiondesani-
maux, les futurs détenteurs de chien
doivent fournir un certificat de con-
naissances sur la détention des chiens
et sur la manière de les traiter. Dans
l’année suivant l’acquisition du chien,
ledétenteurdoitfournirlapreuvequ’il
contrôle son chien dans les situations
quotidiennes. Par ailleurs, pour dé-
tenir un animal exotique (par exem-
ple certaines espèces de serpents ou
d’oiseaux),il est nécessaire d’avoir une
autorisationcarleurdétentionestcon-
traignante et demande des connais-
sancespréalables.
Ne pas oublier ou négliger le coût
d’un animal de compagnie: le prix
d’acquisitionnereprésentequ’unepart
minime;lesanimauxontbesoind’être
nourris, de disposer d’infrastructures
etd’êtresuivisparunvétérinaire.
Ne pas acquérir un animal
en ligne sans connaître son
origine exacte
Si Internet peut vous permettre de ré-
colter de bonnes informations et vous
donner de bonnes adresses, il faud-
raitàtoutprixéviterd’acheterunani-
mal en ligne!Vous devez connaître ex-
actement son origine et l’avoir vu: si-
non,outre le fait de prendre un risque,
cela peut éventuellement vous faire
enfreindre la loi.Pour ces mêmes rai-
sons,etpourleschiensetchatsenpar-
ticulier,il faut notamment renoncer à
acheterunanimalsurunparking,mê-
me s’il semble très mignon…et ne pas
vouloir en rapporter un devacances.Il
est important devoir un animal avant
desedécider,unchoixtroprapidepeut
engendrer des situations très doulou-
reusescarl’animalpeutêtreconfisqué
ou même mourir de maladie.En effet,
l’animal ainsi acquis peut être porteur
d’une grave maladie infectieuse com-
me la rage par exemple. Il peut aussi
avoir été mal nourri,mal élevé ou sev-
rétropjeune;cequipeutentraînerplus
tard de gros problèmes de comporte-
ment.
L’objectif de Mediaplanet est d’amener
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motivant et de haute qualité rédactionnelle.
Animaux de compagnie
5ème
édition, 31 Mars 2015
Managing Director: FredrikColfach
Production et Direction Editoriale:
Marcel Koller
Layout et retouche d images:
Janine Simmen
Project Manager: ThomasAlostery
Téléphone: +41(0)213200081
E-mail:
thomas.alostery@mediaplanet.com
Contact Mediaplanet:
Virginie Loertscher
Téléphone: +41 (0)21 320 67 22
E-mail:
virginie.loertscher@mediaplanet.com
Impression: CIE Centre
d’Impression Lausanne | Tamedia Group
Distribué avec: Le Matin
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Fabien Loup
Responsable protection des animaux
domestiques et sauvages, OSAV
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On peut aujourd’hui détec-
ter, comprendre et soigner des
pathologies qui étaient sou-
vent synonyme «d’arrêt de
mort» pour nos compagnons,
il y a encore quelques dizaines
d’années, faute de moyens et
de connaissances.
Sur bien des plans,vivre dans notre
pays et à notre époque est une gran-
de chance; c’est aussi le cas pour les
animaux: notre manière de les voir,
d’essayer de les comprendre, le lien
qui nous unit à eux et les soins qu’on
leur porte y contribuent.L’art vétéri-
naire en fait partie.Grâce à un déve-
loppement spectaculaire,autant sur
le plan des méthodes diagnostiques,
que sur celui des techniques thé-
rapeutiques, l’art vétérinaire a fait
d’immenses progrès ces dernières
années. Les connaissances sont à la
fois de plus en plus vastes et de plus
enpluspointues.
Les médecines complémen-
taires ou alternatives
La Médecine Traditionnelle Chi-
noise (dont l’acupuncture fait par-
tie), l’homéopathie, la phytothéra-
pie,la physiothérapie,la chiropraxie,
l’ostéopathieetlabiorésonnancefont
partie des médecines complémen-
taires ou alternatives qui enrichis-
sentetrenforcentl’ensembledespos-
sibilités de soinsvétérinaires,tout en
améliorantlapriseenchargedesani-
maux.
Chacune de ces disciplines requiert
une formation et des études appro-
fondies, qui viennent compléter la
formation médicale de base du vété-
rinaire. Ce dernier a les connaissan-
ces indispensables à une évaluation
complète de l’animal, ce qui lui per-
met de poser un diagnostic précis,
voire une série de diagnostics possib-
les (diagnostic différentiel) et de sé-
parer les cas faisant partie de ses pro-
pres compétences, des cas ayant be-
soin de soins en médecine classique,
enparticulierencasd’urgence.
Bien choisir son praticien
Le réseau entrevétérinaires traitants
généralistes et vétérinaires spéciali-
sés en médecines complémentaires
est aujourd’hui excellent.La plupart
sont très ouverts et à l’écoute des de-
mandes de leur clientèle. Les plus
jeunes d’entre eux ont même reçu un
cours d’introduction aux principales
médecines complémentaires pen-
dantleursétudesàl’université.
Ils connaissent les indications im-
portantesetleslimitesdetelleoutel-
le technique, ainsi que les collègues
vétérinaires qui les pratiquent.Il en
existe de plus en plus en Suisse ro-
mande.
Seuls les vétérinaires ont les com-
pétences médicales de base pour
prescriredessoinsenmédecinecom-
plémentaire.Etre capable d’effectuer
un bon diagnostic différentiel
lorsqu’on se trouve face à un animal
souffrant appartient à l’art vétérin-
aire et c’est la première condition in-
dispensable à des soins complémen-
tairesdequalité.
Marina Borriello
redaction.ch@mediaplanet.com
Une grande palette de soins
vétérinaires pour nos amis les animaux
Médecine alternative
L’acupuncture est également utilisée comme
médecine complémentaire pour les animaux.
PHOTO: ISTOCK
Bien choisir
son praticien
5. 5 www.animaux-info.ch
Technique encore récemment
réservée aux humains, la chir-
urgie endoscopique est de plus
en plus répandue, notamment
pour stériliser son animal en
douceur.
Les soins vétérinaires évoluent à
grands pas et pour le plus grand bon-
heur de nos compagnons à quat-
re pattes puisque la quasi-totalité
des possibilités existant en méde-
cine humaine peut être également
pratiquée en médecine vétérinai-
re. Parmi ces applications, la chir-
urgie mini-invasive. Appelée lapa-
roscopie, elle consiste à introduire
à l’intérieur du corps des caméras et
des appareils chirurgicaux miniatu-
risés.Le chirurgien ne pratique alors
que de minuscules incisions, rédui-
sant très fortement le traumatisme
pourl’organisme.Cettetechniqueest
fréquemment utilisée pour stériliser
les chiens et les chats en lieu et place
d’unechirurgieclassique.
Les avantages
Les avantages sont les mêmes qu’en
médecine humaine, explique le Dr
Antoine Adam, spécialiste instal-
lé à Saint-Prex: «une hospitalisation
moins longue,un temps de récupéra-
tion plus court,moins de douleurs et
quasiment pas de cicatrices.Les ani-
maux repartent deux à trois heures
après l’opération et dès que les effets
de l’anesthésie se sont estompés, ils
reprennent unevie normale.Plus be-
soin de collerette,ni de pansements
et l’animal peut courir dès le jour de
l’intervention».Les résultats specta-
culairesdelachirurgieendoscopique
font qu’elle est de plus en plus prati-
quée par les vétérinaires,pour retirer
des calculs dans la vessie ou pour ef-
fectuer une gastropexie, c’est-à-dire
fixer l’estomac dans la cavité abdo-
minale pour prévenir son retourne-
ment.Dans le même domaine,ajoute
le Dr Adam,«l’endoscopie-diagnostic
nous permet de faire des diagnostics
beaucoup plus pointus et moins in-
vasifs, puisqu’en introduisant une
caméra dans les cavités naturelles
de l’animal, on peut vérifier s’il y a,
ou pas,un corps étranger ou une tu-
meur.»
Un prix accessible
Pour les vétérinaires, la pratique de
ce type de chirurgie implique un fort
engagement. Il s’agit de se former
et de s’équiper. Le prix du matériel
avoisine les 100 000 francs.Toutefois,
le DrAdam se montre rassurant: «ce-
la ne se répercute que faiblement sur
la facture d’une intervention chir-
urgicale.Dans la majorité des cas,le
coût supplémentaire par rapport à
une opération traditionnelle tourne
autour des 20 %.» Pas grand-chose,en
effet,comparé aux bénéfices pour les
animauxetleurspropriétaires.
Laparoscopie
Antoine Adam
Docteur, vétérinaire
Opérée comme
un être humain !
Une petite chienne de
6 mois stérilisée par
endoscopie.
PHOTO: Corine Cuendet
Marina Borriello
redaction.ch@mediaplanet.com
La stérilisation et
la chirurgie par laparoscopie
6. 6 www.animaux-info.ch
On les appelle les «N.A.C.» compre-
nez les nouveaux animaux de com-
pagnie,avec moins de poils et parfois
plus d’écailles, les N.A.C. regroupent
defaçonplusoumoinsclairetousces
animaux qu’il est possible d’adopter
en dehors d’un chien ou d’un chat.
Oiseaux,rongeurs,reptiles,amphibi-
ens,porcs,insectes,etc.
La tendance est au lézard
La plus grosse tendance reste les rep-
tiles, en particulier le Pogona Vitti-
ceps,qui est un lézard australien vi-
vantenpetitgroupe.
C’est un animal très à la mode par-
ce qu’il est extrêmement docile,peu
craintif,et comme un chat il se laisse
prendreetcaresser.
Comme beaucoup de ces animaux
exotiques, il nécessite cependant
une infrastructure qui lui permette
de reproduire ses conditions de vie
à l’état sauvage: un terrarium assez
grand,des plantes,des lampes chauf-
fantes et une nourriture adaptée.Le
tout peut atteindre un bon millier de
francs et sachant que le Pogona est
un animal qui peine à vivre seul, il
faudra même penser à lui fournir un
colocataire.
Il est donc très important de bien
se renseigner sur lavie et l’entretien
de ces animaux avant de succom-
ber à un effet de mode,pourquoi pas
en allant d’abord visiter un viva-
rium ou un tropiquarium pour en
apprendre davantage. C’est un bon
moyen pour éviter de menacer lavie
de ces animaux, déjà victimes des
marchés parallèles.
Commerce opaque
Tout amateur peut acheter des ani-
maux sauvages exotiques dans les
animaleries, les bourses aux ani-
maux, auprès d’éleveurs privés
ousurInternet.L’accèsunpeu
trop facile aux N.A.C. doit
vouspousseràvousmé-
fier. Certaines es-
pèces de reptiles
ou d’araignées
sont venime-
uses et peuvent tomber entre des
mains inexpérimentées, un con-
seil donc: ne jamais céder à un
achat spontané.
SOS N.A.C.
Il peut arriver,bien que l’on se soit
très bien renseigné, qu’un pro-
blème survienne. Dans ce cas, il
existe en Suisse des professionnels
de la
détention de la faune qui mettent à
disposition leur expérience via des
lignes téléphoniques d’urgence. Il
est possible, en effet, qu’un vétéri-
naire ne soit pas habitué à prend-
re en charge un N.A.C.; il est donc
conseillé de faire appel à des spé-
cialistes.
Les NAC
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Marina Borriello
redaction.ch@mediaplanet.com
Faut-il craquer pour
un lézard de compagnie?
Attention aux effets de mode! Sileslézardsontlacote,iln’estpassifacile
d’enposséderun.Moded’emploidecesnouveauxcompagnonsd’intérieur.
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Couple de Pogona Vitticeps qui lézarde
tranquillement sur leur rocher.
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Vaccination
u n e s p a c e u n i q u e d é d i é à v o t r e a n i m a l
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échantillon à disposition
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PHOTO: ISTOCK
En Suisse, deux tiers des
chats ne sont pas vaccinés
selon les recommandations
des vétérinaires, ce qui aug-
mente le risque de contracter
une maladie infectieuse.
Attentionauxidéesreçues!Mêmesans
avoirdecontactavecd’autreschats,un
chat d’intérieur risque d’attraper une
maladie contagieuse.Ainsi,lavaccina-
tion est toujours nécessaire.Pourtant,
trop de maîtres sont encore convain-
cus du contraire.Pour Jean-Luc Perre-
noud,vétérinaire,c’est très probléma-
tique car «on expose son animal à des
maladiesparfoismortellesetonaccroît
lerisquedelespropager.»
Des risques mortels
Lesprincipalesmaladiesquimenacent
lechatsontlecoryza,lapanleucopénie
félineetlaleucose.
Le coryza contagieux,c’est le «rhu-
me du chat» qui est loin d’être inof-
fensif comme chez l’être humain. En
effet, les chats peuvent développer
une infection chronique pouvant êt-
re à l’origine de nouvelles maladies.En
éternuant, un chat peut contaminer
sescongénères;ilreprésentedoncune
véritable menace, en particulier pour
les chatons,dont le taux de mortalité
peut atteindre les 20 %,et pour les au-
tres chats,ceux qui sortent et ceux qui
viventenrefuge.
Lapanleucopéniefélineestuneaut-
remaladietrèsdangereuse,hautement
contagieuse et pouvant être mortelle.
«Dans90%descas,onnepeutplussau-
ver les chatons atteints, insistent les
vétérinaires; même les chats exclusi-
vement d’intérieur ne sont pas à l’abri
d’uneinfection,cettemaladiepouvant
êtrevéhiculéeparl’homme»
Enfin,laleucoseestégalementforte-
mentcontagieuseetmortelle,mêmesi,
grâceàlavaccination,elledevientplus
rare. Le danger de cette maladie c’est
qu’elle passe souvent inaperçue, tous
les chats malades ne présentant pas
systématiquementdesymptômes.
«Pour protéger son chat et ses con-
génères contre toutes ces maladies,on
conseille donc de vacciner les chatons
dès l’âge de deux mois,car ils ne sont
plus protégés par les anticorps de leur
mère,puisunefoisparan.»
Les vaccins sans adjuvants
Depuisquelquesannées,ilexistesurle
marchédesvaccinsquinecontiennent
plus d’adjuvants, potentiellement to-
xiquesetsuscitantdescraintesderéac-
tions secondaires. Ces vaccins stimu-
lentlesystèmeimmunitairedemaniè-
re plus naturelle.Au-delà des aspects
scientifiques, certains vétérinaires
travaillent avec ces vaccins sans adju-
vantscarilspermettentderassurerles
clients,en particulier ceux qui étaient
réfractairesàfairevaccinerleurchat.
Marina Borriello
redaction.ch@mediaplanet.com
Votre chat:
l’aimer c’est le vacciner
faites
vacciner
votre animal
8. 8 www.animaux-info.ch
Interview
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D’où vous vient cette passion
pour les animaux
de compagnie?
Sandrine: Petite, j’ai eu un poisson
rouge que j’avais appelé Christopher
puis une tortue et un lézard.De mon en-
fance à mon adolescence, à la maison,
chez mes parents, nous avons eu Ulys-
se,Titoune et Doggy,une chienne de la
SPA,etdeuxchats:Tiffin,unchatrouxet
blanc et Fripouille,un chat noir et blanc
que mon frère avait trouvé errant dans
larue.
Selon vous, le grand public
a-t-il suffisamment
d’informations au sujet des
animaux de compagnie?
Sandrine: Je pense que l’information
doit commencer dès le plus jeune âge à
l’écolepourqu’aujourd’huietdemainles
animaux reçoivent toute notre attenti-
on. Mais il nous reste encore beaucoup
de chemin à faire pour que le grand pub-
licsoitcorrectementinformésurnospe-
titscompagnons.
Sur quelles thématiques
voulez-vous
particulièrement sensibiliser
vos téléspectateurs?
Elodie: Aujourd’hui, un foyer sur
deux a un animal de compagnie,c’est
dire l’importance des animaux, mais
il convient de bien choisir son ani-
mal en fonction de son mode de vie
et pas simplement selon son coup de
cœur. Je pense notamment aux nou-
veaux animaux de compagnie qui
sont de plus en plus nombreux.
La prise de conscience
sur notre propre manière
de nous nourrir s’est-elle
étendue aux animaux?
Elodie: Oui,on le remarque au cours
de nos émissions. Les propriétaires
d’animaux sont de plus en plus exi-
geants sur cet aspect et au-delà, on
constate qu’ils sont prêts à tout pour
leurs animaux.
Sandrine Arcizet &
Elodie Ageron
Passionnées d’animaux,
elles présentent chaque
semaine
«Les animaux de la 8»
Le tournage avec des
animaux, c’est parfois un peu
compliqué? Vous avez une
anecdote à ce sujet?
Sandrine: Je me rappelle d’une fois où
nous étions chez un amoureux des chiens
avec lesquels il fait des spectacles.Un bor-
der collie placé dans mon dos devait sauter
par-dessusmonbras,étantausolsurlesge-
noux.Le chien,au lieu de sauter me pous-
sait en posant ses pattes sur mon dos.Tira-
ge de cheveux par les singes,crachat de la-
ma ou chute avec un chien qui vient dans
nos jambes.Les animaux sont imprévisib-
les!
Le respect de la faune
et de la nature est-il lié, selon-
vous, à sa connaissance?
Elodie: Très clairement! Je résumerais la
chose en disant que connaître,c’est proté-
ger et c’est d’ailleurs un des messages que
nousfaisonspasserdansnosémissions.
Ilnousresteencore
beaucoupdecheminà
fairepourquelegrand
publicsoitcorrecte-
mentinformésurnos
petitscompagnons. Quentin Honsberger
redaction.ch@mediaplanet.com
Rencontre avec Sandrine Arcizet et Elodie Ageron, lesdeuxprésentatricesde
l’émission«LesAnimauxdela8»surD8,lanouvellegrandechaînedeCanalPlus.
Les propriétaires
d’animaux les adorent
La passion
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CHIENS, CHATS, CHEVAUX...
Sur les routes de France, Elodie Ageron et Sandrine Arcizet
partent à la rencontre des passionnés d’animaux.
Photo: Arnaud SOURDEAU/D8
L’animal n’est pas un
jouet, quel qu’il soit.
1
Avez-vous du temps pourvot-
re animal? Comment allez-
vousfairepourlesvacances?Est-ce
que toute la famille est d’accord?
Avez-vous les moyens pour assurer
les soins, la nourriture, les acces-
soires nécessaires au bien-être de
votrenouveaucompagnon?
Bien réfléchir avant
d’adopter un animal.
2
Tous les ans, énormément
d’animaux sont abandonnés.
Il est important,lorsquevous déci-
dez d’adopter ou d’acheter un ani-
mal,devousposerlesbonnesques-
tions.
Ne jamais offrir un
animal en cadeau
3
sans être sûr de l’implication
du futur propriétaire, enfant
ou adulte. C’est trop souvent un
présentempoisonné.
Privilégier l’adoption
à l’achat,
4
car il y a beaucoup trop
d’animaux dans les refuges.
Ceux-ci doivent même parfois être
tués car ils ne trouvent pas de nou-
veaupropriétaire.
CONSEILS
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Éducation
« Le chien a
l’incroyable
capacité de
deviner
nos pensées
et nos sentiments »
Brian Vesey-Fitzgerald
Armande Reymond -
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Eduquer son chien est un de-
voir en Suisse mais comment
trouver le bon instructeur ca-
nin? Voici quelques conseils
pour vous aider à faire votre
choix.
Le chien occupe une place toujours
plus importante au sein de la famil-
le suisse.Et,selon les lois en vigueur
depuis 2008 dans notre pays,les pro-
priétaires ont l’obligation de suiv-
re une formation,quel que soit le ty-
pe de chien.De ce fait,les personnes
qui n’ont jamais possédé de chien doi-
vent effectuer une formation théo-
rique avant d’en acquérir un.Ce cours,
d’une durée de quatre heures permet
de sensibiliser le futur propriétaire
sur les besoins de son animal, la fa-
çon de le traiter correctement,les re-
sponsabilitésquecelaengendreetsur
l’investissement, en temps et en ar-
gent,que demande un chien.Celles et
ceuxquiontdéjàeuunchienn’ontpas
besoin de suivre cette formation. En
revanche, toute personne qui prend
un nouveau chien doit suivre une for-
mation pratique dans l’année qui suit
l’acquisition de l’animal.Elle est com-
posée de quatre séances de travail
d’une heure et permet de transmett-
re au propriétaire quelques notions
debasesurlecontrôledesoncompag-
nonetsursonéducation.Pourêtrere-
connus valables,ces cours doivent êt-
re dispensés par un éducateur canin
devotre choix,dont la formation a été
agrééeparl’OSAVàBerne.
Comment choisir un
éducateur canin compétent?
Que l’éducateur exerce à titre privé
ou au sein d’un club cynologique n’a
aucune incidence sur la qualité des
cours dispensés. En revanche, vo-
ici quelques petites astuces pour re-
pérer la personne compétente. Il ne
suffit pas,en effet,d’aimer les chiens
pourêtreunbonenseignantsurleter-
rain! L’éducateur doit tout d’abord fai-
re preuve d’empathie, de respect et
d’écoutevis-à-visdevous,propriétaire.
Ildoitêtreenmesuredevousguideret
devousaideràdevenirlepartenairede
votre chien,et cela sans vous juger ni
voustraiterd’ignorantoud’incapable!
Son approche du chien adulte ou du
chiot doit également être bienveil-
lante.Son cours doit tenir compte de
la nature même de l’animal tout en
ayantpourobjectifdefaireprogresser
ensemble le chien et son maître. Un
bon éducateur doit également prend-
retouteslesmesuresnécessairespour
créer un climat de confiance et un en-
vironnement sécurisé sur son terrain
d’entraînement.
Quentin Albaran
redaction.ch@mediaplanet.com
J’éduque mon chien!
Éducation canine
Un devoir pour les suisses.
PHOTO: ISTOCK
11. Un projet innovant pour un refuge en Valais
La Ligue valaisanne pour la protection des animaux (LVPA) cherche à financer
un refuge qui place la relation homme-animal au cœur de sa structure.
L’animal de compagnie occupe une place de plus en plus
importante dans la société contemporaine, engendrant
une révision profonde de son statut et, par conséquent,
des structures qui lui sont dévolues. Parmi elles, le
refuge: ce lieu qui, selon Biliana Perruchoud, Présidente
de la LVPA, devrait se transformer et passer d’un lieu
d’abandon à un lieu d’accueil et d’échange autour de la
relation homme-animal.
Un projet innovant
La nouvelle vision du refuge propose un modèle dit «zoo-
anthropologique» où les animaux ne sont plus dans un lieu
de «stockage» mais d’échange, explique Mme Perruchoud,
«c’est-à-dire qu’il sera possible de prendre des cours au
refuge pour apprendre à connaître le comportement de
l’animal que j’aurai choisi d’adopter ou pour améliorer la
relation que j’ai déjà avec mon animal de compagnie. Il s’agit
de mieux comprendre les besoins des animaux et de prendre
conscience de la signification que prennent pour eux certains
de nos gestes quotidiens. Tout ceci avec l’objectif de vivre en
meilleure harmonie».
Changer les mentalités
Ainsi, le refuge acquiert une valeur sociale, comme le souligne
le Dr Bonvin, responsable de la commission sanitaire LVPA,
«il devient une structure d’information et d’éducation capable
de donner du relief à nos campagnes de sensibilisation,
comme la castration des chats errants qui nous tient à cœur.»
Ce programme qui vise à faire évoluer la notion même de
refuge constituera sans doute un pôle d’interaction sociale au
bénéfice de tous.
DR : Christian Miraillès
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MiseengardedeQUATRE
PATTES:bienregarder
lorsqu’onachètedeschiots!
La rage: l’achat de chiots en provenance de
l’étranger peut entraîner un risque mortel pour
les hommes et les animaux. QUATRE PATTES
tire la situation au clair.
L’importation et le trafic illégal de chiots de race représentent des millions
de francs en Suisse. Pourtant, peu de gens se doutent de la souffrance,
des escroqueries et de la corruption qui se cachent derrière ce trafic. Les
chiennes vivent dans des conditions déplorables en Europe de l’Est. Les
chiots sont séparés de leur mère bien trop tôt, puis transportés des jours
entiers à travers l’Europe. Souvent, de mauvaises surprises sont réservées
aux acheteurs qui ne se doutent pas des tortures subies par les chiots: de
nombreux chiots sont gravement malades et meurent quelque temps après.
La rage est un risque souvent sous-estimé mais que l’on prend lorsqu’on
achète à des personnes peu fiables un chien en provenance de l’étranger.
Cette maladie nerveuse incurable a disparu en Suisse depuis 1999 mais le
risque qu’un chien infecté réintroduise la rage en Suisse existe. Les pays à
risques sont par exemple la Serbie, l’Albanie, l’Ukraine et le Maroc. La rage
est une maladie mortelle, contagieuse pour les hommes et les animaux.
Lorsque l’on importe en Suisse un chien provenant de pays à risques, il est
souvent euthanasié aux frais de son détenteur.
Même si vous achetez un chien en Suisse, vous devez regarder
scrupuleusement son passeport. Il permet de connaître immédiatement
le pays d’origine du chien. Il est également important de vérifier qu’il ne
s’agisse pas d’un passeport falsifié.
QUATRE PATTES vous conseille, avant d’acheter un chien, de bien vous
informer en consultant le site Internet de QUATRE PATTES et d’obtenir les
certificats d’aptitude en temps utile, obligatoires en Suisse.
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Ce n’est pas pour rien qu’on
l’appelle: le «couple maître-
chien»; ils sont deux mais en
réalité ils ne forment qu’un et
pour cause: la collaboration, la
proximité et les relations entre
l’homme et le chien remontent à
la nuit des temps. En 1976, dans le
gisement magdalénien et azilien
de Pont d’Ambon (Dordogne,Fran-
ce), un squelette de canidé fossi-
lisé a été découvert. Une datation
au radiocarbone de ces ossements,
ainsi que d’autres indices,les font
remonter au Paléolithique supé-
rieur, confirmant la présence de
chiens de petite taille en Europe,
il y a au moins 15 000 ans. A quoi
servaient-ils? A chasser, à monter
la garde ou peut-être à se réchauf-
fer. Peu importe, cette découver-
te sera appuyée par d’autres fouil-
les qui ont mis à jour de nouveaux
ossements et révélé des signes de
domestication qui font, effective-
ment,du chien le plus vieil ami de
l’homme.
Le chien au service
de l’homme
Depuis, la relation entre l’homme
et le chien n’a pas cessé d’évoluer
et les partenariats se sont multi-
pliés. On a fait appel aux chiens
pour nous aider à surveiller,à chas-
ser, à garder nos troupeaux, à sau-
ver les victimes d’avalanches,à dé-
tecter les produits illicites et mê-
me à faire la guerre,puisqu’il exis-
te des chiens militaires. Puis on a
aussi demandé à nos amis à quat-
re pattes de nous conduire,comme
les chiens d’aveugles qui reflètent
sans doute le lien le plus profond
pouvant exister entre l’homme et
l’animal.
L’homme partenaire
de son chien
Aujourd’hui, difficile d’imaginer
un monde où les chiens ne vivrai-
ent pas à nos côtés.Une réalité qui
a aussi ses dérives,puisqu’on a par-
fois tendance à trop vouloir les hu-
maniser.Malgré tout,le fait de con-
sidérer le chien comme un mem-
bre de la famille a permis de faire
évoluer les mentalités. Désormais
il n’est pas rare de voir un chien
avec une prothèse ou de constat-
er que la médecine vétérinaire fait
appel à des techniques jusqu’ici ré-
servées aux humains. Une façon
pour l’homme de rendre la pareille
à son ami de toujours.
Marina Borriello
redaction.ch@mediaplanet.com
L’Homme et le chien:
un couple inséparable
C’est une histoire d’amour qui dure depuis la préhistoire:
l’hommeetlechienontapprisàvivreensemble,mieux,às’entraider,unpartenariatunique.
Relation Homme - Animal
Une relation fusionnelle unis l’homme et
les animaux depuis toujours.
PHOTO: ISTOCK
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Inspirées de la chirurgie hu-
maine, les nouvelles technolo-
gies de chirurgie mini-invasive
sont maintenant au service de
la santé de votre animal.
Contrairement à la chirurgie tra-
ditionnelle qui nécessite de réali-
ser des incisions larges, ces tech-
niques permettent au chirurgien
d’intervenir, via l’introduction de
minicaméras, par des ouvertures
de quelques millimètres seulement.
Ce type d’intervention requiert une
formation spécifique des vétérin-
aires ainsi qu’un matériel minia-
turisé souvent très coûteux, ce qui
explique qu’elles soient encore peu
disponibles sur le marché.
Les applications sont
pourtant nombreuses
En orthopédie, l’arthroscopie permet
à la fois de diagnostiquer et traiter des
pathologies articulaires (dysplasies du
coude, de l’épaule, etc.) sans avoir be-
soind’ouvrirl’articulation.Enchirurgie
destissusmous,onutiliseuncœliosco-
pe lorsque l’intervention concerne la
cavité abdominale (stérilisation par
cœlioscopie, laparoscopie exploratri-
ce,etc.).Les endoscopes,fibroscopes et
urétéroscopes permettent quant à eux
l’exploration de divers organes (esto-
mac,intestins,bronches,urètre,vessie,
etc.)sansincisionetdoncsansdouleur.
Ilspeuventêtreutilisésàdesfinsdiag-
nostiques (biopsie,visualisation de tu-
meur,lavage broncho-alvéolaire,etc.)
ou thérapeutiques (retrait de corps
étrangers,de tumeurs,etc.).
Les principes des chirurgies mi-
ni-invasives ont récemment été ap-
pliqués en chirurgie orthopédique,
via l’utilisation d’implants spéci-
aux dits «verrouillés», qui permet-
tent de traiter des fractures par ab-
ord mini-invasif. Avec ce nouveau
système, les fragments d’os ne sont
plus abordés mais simplement pon-
tés par la plaque. On respecte ain-
si l’intégrité des tissus avoisinant la
fracture (vaisseaux, nerfs, muscles,
ligaments,…); ce qui permet une in-
tervention chirurgicale plus courte
et une cicatrisation osseuse nette-
ment plus rapide et efficace.On par-
le d’ostéosynthèse biologique.
Les avantages
Ils sont nombreux: moins d’agression
chirurgicale, donc moins de douleurs
postopératoires; moins d’ouverture
des parois, donc moins de risque in-
fectieux; moins de saignements hé-
morragiques, donc moins de risque
d’adhérences; moins de cicatrices,
donc moins de complications posto-
pératoires; moins de convalescence
d’où la reprise d’une activité norma-
le plus rapide. Le développement de
ces nouvelles stratégies chirurgica-
les dans le monde vétérinaire apporte
d’extraordinairesavancéespourlecon-
fortetlebien-êtredevotreanimal.
Marina Borriello
redaction.ch@mediaplanet.com
La chirurgie mini-invasive, maxirésultat
Cas concret:
Arthroscopie chez un labrador atteint de
dysplasie du coude.
PHOTO: DR
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5 à 6 mois contre les phlébotomes (vecteurs de la leishmaniose), 6 mois contre les
moustiques culex (vecteurs de la maladie des vers du coeur) et 4 mois contre les puces.
Ceci est un médicament, lisez la notice d’emballage. Vous obtiendrez de plus amples informations chez votre vétérinaire.
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En Suisse mais également dans
toute l’Europe, les tiques et les
moustiques sont des vecteurs
de maladies redoutés pour vot-
re chien. Il est important de pro-
téger votre animal de compag-
nie du printemps à l’automne,
avec des produits répulsifs.
Elles ne mesurent que quelques mil-
limètres,se fixent sur la peau de votre
chien,avant de le piquer et de se nour-
rirdesonsang.Lestiquessonttrèsdan-
gereusespourvotreanimaldecompag-
nie: elles peuvent provoquer de graves
maladies.
Les tiques,
ennemies du chien
La plus connue est la piroplasmose.
Cette infection parasite les globules
rouges devotre toutou.Ce dernier pré-
sente alors une forte température,un
ictère–unejaunisse–etuneurinefon-
cée.Lechiensembleabattuetpeutpar-
fois vomir.Mais les ehrlichioses,ana-
plasmoses, hépatozoonose et myco-
plasmose,mettent également en péril
la vie de votre bête.En vacances aussi,
laprudenceestdemise.Lorsdevoyages
dans le bassin méditerranéen,les chi-
ens peuvent contracter des maladies
transmisesparlatiquebrune,nommée
Rhipicephalussanguineus.
Piqûres potentiellement
fatales
Les moustiques peuvent aussi
transmettre de graves pathologies
aux animaux domestiques. Par ex-
emple, les phlébotomes, qui sé-
vissent dans les pays du Sud, sont
connus pour provoquer la leish-
maniose. Cette maladie incurable
affaiblit peu à peu le système im-
munitaire de votre chien. Les ani-
maux atteints finissent par mou-
rir. Les moustiques peuvent égale-
ment transmettre le ver du cœur.
Inoculé lors de la piqûre, le ver ef-
fectue divers détours avant de par-
venir au cœur et de s’y installer.Les
chiens infestés deviennent faibles
et peuvent succomber à leurs sym-
ptômes.
Des traitements efficaces
Heureusement, des produits exis-
tent pour lutter efficacement con-
tre ces parasites.Par exemple,la di-
rofilariose et la leishmaniose sont
transmises immédiatement lors de
la piqûre du moustique. Dans ces
cas, il faut privilégier un produit
aux propriétés répulsives.Deux so-
lutions sont proposées.D’une part,
le produit est administré sous la
forme de pipette ou de spray.A ba-
se de perméthrine et d’amitraz, il
protège jusqu’à quatre semaines
contre les tiques. D’autre part, le
chien est protégé par le port d’un
collier.A base de deltaméthrine, il
permet de lutter contre les phlébo-
tomes et d’empêcher la transmis-
sion de la leishmaniose.Il offre six
mois de protection.
Nicolas BURNENS
redaction.ch@mediaplanet.com
Ne laissez aucune chance aux parasites
Les tiques
Ennemies du chien.
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à protéger
votre animal
contre
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Qui sommes-nous ? :
Notre fondation a été créée en 2006. Nous sommes implantés à Cernier
(NE) sur le site d’Evologia.
Notre écurie accueille :
• 2 poneys
• 2 poneys shetland
• 7 chevaux
• 2 chèvres, 2 chats et 2 chiens.
Educateurs et thérapeute équestre, nous avons fait de nos deux passions
(l’être humain et le cheval), un outil de travail que nous entretenons au
quotidien.
Les activités que nous proposons s’inscrivent dans les domaines :
Thérapeutiques et Pédagogiques :
La relation au cheval-poney :
Elle oblige l’homme à créer un lien, à l’entretenir et à l’adapter en perma-
nence. Elle l’amène aussi à ressentir des émotions témoignant de son
existence.
Notre travail est de permettre à la personne de comprendre son ressenti et
de devenir acteur de ce qu’elle vit.
Gérer ses peurs, vivre ses envies, apprivoiser ses craintes,
ressentir de la fierté, énoncer des doutes, construit l’individu.
Seule la sécurité émotionnelle et affective permet l’apprentissage et
l’intégration sur les plans sociaux, scolaires et professionnels.
La relation au cheval, au travers d’un accompagnement, amène à :
• Prendre soin de soi en prenant soin du cheval.
• Prendre confiance en soi en faisant confiance à l’animal.
• Se respecter en respectant ses besoins.
• Installer une relation en créant un lien avec l’animal
pour exister soi-même.
Notre volonté est de rendre accessible ce qui, à priori de l’est pas…
Prestations proposées :
• Thérapie équestre.
• Equitation adaptée aux personnes handicapées.
• Foyer d’accueil avec encadrement et aide aux actes quotidiens /
personnes au bénéfice d’une rente AI.
• Organisation de manifestations et d’anniversaires
• Leçons d’équitations de groupe.
• Approche et découverte du cheval - journées enfants.
• Attelage (roulotte tzigane et char pour poney shetland).
• Vacances – Week-ends pour personnes handicapées
(individuels et groupes).
Et pour réaliser tout cela
sans subvention, nous avons
BESOIN de sponsors et de donateurs
Informations sur notre site web
Merci d’avance !
www.handicheval.ch • cheval@handicheval.ch
079 240 62 55 • 079 240 41 66
Fondation « Cheval pour tous »
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Seule la sécurité émotionnelle et affective permet l’apprentissage et
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PUBLIREPORTAGE
Pêchés par millions, les poissons coralliens
sont arrachés à leur biotope pour finir
dans les aquariums marins d’Europe et
d’Amérique. Un an plus tard, un seul sur
cinquante est encore en vie.
L’industrie de l’aquariophilie contribue à la surpêche, nuit
gravement aux écosystèmes et provoque l’extinction
d’espèces marines. Les poissons coralliens sont pêchés dans
leur milieu naturel, souvent à l’aide de poisons, pourtant
interdits. En raison de ces méthodes de capture, et du
transport, jusqu’à 80 % des animaux pêchés périssent. Seul un
poisson sur 50 survit ensuite à sa première année en aquarium
marin. Pour remplacer les «pertes», l’on se ressert simplement
dans la nature. Pour exemple, le poisson-clown, une espèce
très populaire depuis la sortie du «Monde de NEMO» en 2003,
a complètement disparu de certains récifs.
En raison des souffrances dont ils sont victimes sur le chemin
des aquariums puis en captivité, les poissons développent
d’importants troubles du comportement. Non seulement
les milieux naturels sont détruits, mais aucun objectif de
sensibilisation ou d’éducation n’est atteint. Quel enseignement
tirer en effet de l’observation d’animaux tristes et souffrant
derrière une vitre?
Ce commerce est indéfendable. Il est temps de trouver
une solution adaptée: la Fondation Franz Weber propose
Vision NEMO, un aquarium virtuel et interactif. Son but est
d’emmener le public sous les océans grâce aux nouvelles
technologies, sans avoir à capturer des animaux. Mêlant
divertissement, éducation, recherche et haute technologie,
ce projet est l’avenir des aquariums marins, dans le respect
de l’environnement et des animaux!
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