Les coulisses de la marque Nespresso, le score de l'Assurance Maladie du nouveau panel 366, la rubrique "Ca bouge", et la PQR de Jean-Luc Chétrit, président de Dentsu Carat France et président de l'UDECAM.
2. 2 impact N° 49 MARS 2016
PASCALE MIGUET
Directrice générale de Zénith
«Comment ne pas être fiers
de travailler aux côtés de
Nespresso? C’est une
marque qui réunit beaucoup
de valeurs, avec, avant tout,
l’innovation et la modernité.
Pour réussir, en quelques
années, à imposer aux
Français ce nouvel usage du
café, avec cette capsule et
cette machine qui prennent
leur place plaisir au cœur des
foyers, ils ont su fédérer tout
le monde et manager la
complexité.»
«C’est une entreprise éthique
sur toute la ligne, et ce sont
tous de grands passionnés. Il
faut entendre le président
parler des métiers et du
produit Nespresso, c’est
fascinant!»
«Ils nous nourrissent de
toutes les infos possibles et
sont très généreux dans leur
façon de travailler. C’est très
important. Je considère qu’il
est essentiel pour nous de
viser une connaissance en
profondeur, d’être curieux,
regardants et exigeants sur la
culture de marque.»
«Nous avons eu des réunions
de travail communes entre
Nespresso et l’agence
Australie. C’est le schéma
idéal: il nous est très utile
d’avoir vite accès aux pistes
créatives et de suivre le
processus créatif. À l’inverse,
je pense qu’Australie dirait la
même chose. Le développe-
ment du digital, notamment,
accélère ce besoin de
collaboration étroite, parce
que les médias sont très
novateurs sur le web, avec
des offres qui sont sans
cesse mouvantes. Les usages
de consommation des
médias s’additionnent et non
s’opposent. Plus que jamais,
avec une “délinéarisation” de
la consommation des
médias, il n’y a pas d’un côté
le message et de l’autre la
stratégie média!»
Au cœur des foyers,
tout comme
la machine Nespresso!
«Nous avions plusieurs cibles
pour cette campagne RSE:
influenceurs, journalistes,
mais aussi spécialistes du
développement durable... Et
puis, bien sûr, le grand public,
invité à découvrir et à
partager les valeurs de
Nespresso, induites par cette
salve de grands sujets
écologiques et sociétaux. Le
PQR 66, avec son prolonge-
ment Web 66, répondait à
une motivation forte: agir
avec puissance au niveau
local, là où cela se passe. Le
journal local a toute sa place
au cœur des foyers, tout
comme la machine
Nespresso!»
LEDISPOSITIFMÉDIA
PQR 66 (en 2 vagues)
PQN, dont presse éco
News magazines
Presse spécialisée développement durable
(Nespresso a obtenu le Trophée des défis de
responsabilité sociale en entreprise)
Volet web, de façon fine, avec notamment
le Web 66 (wallpaper associé à un 300-600)
DELACULTUREDESCAFÉIERS
AURECYCLAGEDESCAPSULES...
Préservation et enrichissement de la biodiver-
sité (partenariat avec Rainforest Alliance)
Agroforesterie
Formation des fermiers
Rémunération des caféiculteurs
Plan d’épargne retraite pour les caféiculteurs
Aluminium recyclable
Recyclage des capsules
Réparation des machines: non à l’obsolescence
programmée!
Découvrir le site dédié
Nespresso entreprise durable
www.nespresso.com/entreprise
VERBATEAM
STRATÉGIE ET PQR
De la boutique jusqu’au bout du
monde, de la cerise de café jusqu’au recy-
clage des capsules, tout, absolument tout,
est regardé et pensé à l’aune du développe-
ment durable. Pour Nespresso, le dévelop-
pement durable, ce n’est donc pas “en plus”,
mais bien “au centre”, au cœur même de nos
initiatives. Il est la condition sine qua non de
notre activité, avec nos enjeux croisés de qua-
lité, de pérennité et de productivité. Si l’on ne
travaille pas comme cela, on perd la qualité
produit qui fait Nespresso.
Des exemples qui explicitent ce lien
étroit entre approche développement
durable et enjeux économiques
Nespresso?
N. G. : Nous travaillons directement avec
63 000 caféiculteurs, avec lesquels nous
sommes exigeants, mais en les rémuné-
rant 40 % au-dessus du marché. Le prix de
“la prima a la qualidad Nespresso” ! Ces
“agriculteurs du café” sont de petits entre-
preneurs autonomes. Au contact de réalités
différentes (agronomiques, écologiques, cli-
matiques, économiques et sociales...), ils ont
besoin d’être conseillés pour
progresser et assurer la qua-
lité requise. Ce travail essentiel
est assuré par nos 300 agro-
nomes Nespresso, qui sillonnent le monde
toute l’année pour les aider, avec des forma-
tions et du conseil, sachant que les besoins
diffèrent selon que l’on est au Costa Rica, au
Guatemala, en Éthiopie, au Brésil...
Entre autres initiatives, citons nos pro-
grammes d’agroforesterie. Planter des arbres
sur les parcelles, c’est tout à la fois protéger
du soleil les caféiers eux-mêmes (ce sont
des arbustes) et favoriser le confort de travail
pour les récoltes. Cela génère de la biodiver-
sité, tout en favorisant un rééquilibrage glo-
bal des émissions de carbone... 10 millions
d’arbres seront plantés au sein des fermes
d’ici 2020.
Autre exemple, sur un registre écono-
mique et social : en Colombie, nous tra-
vaillons à un fonds de retraite pour les
caféiculteurs. Il s’agit de répondre à la ques-
tion de la transmission des lopins de terre de
production de café d’une génération à l’autre,
un sujet à fort enjeu. Ne pas agir en ce sens,
ce serait risquer pour Nespresso de voir par-
tir 15 ans de travail sur une terre (parfois pas
plus grande qu’un terrain de foot !) pour un
café de haute qualité.
Bien d’autres sujets pour-
raient être évoqués ici,
comme la création de mou-
lins communautaires avec
des coopératives, la ges-
tion des déchets, nos par-
tenariats institutionnels... La
campagne décline déjà huit
thèmes, correspondant à huit
de nos initiatives!
Concernant les enjeux de recyclage
des capsules, qu’en est-il?
N. G.: Chez Nespresso France, nous sommes
en avance sur cette question importante.
L’aluminium est, comme le verre par
exemple, entièrement recyclable. La vraie
question tient donc avant tout à la récupéra-
tion de ces capsules pour les traiter ensuite.
Déjà plus de 5500 points de collecte dédiés
sont proposés en France, en plus de nos
31 boutiques. Parallèlement, nous dévelop-
pons depuis trois ans un très important pro-
jet de partenariat public-privé, qui réunit
Eco-Emballages et l’Association des maires
de France. Celui-ci consiste à équiper les
centres de tri de machines spéciales qui
recyclent les petits métaux, dont l’aluminium.
Déjà effective dans cinq départements, cette
solution simplifie tout pour le consommateur,
son seul effort consistant à jeter ses capsules
dans sa “deuxième poubelle”. Nous avons
lancé le CELAA (Club du recyclage de l’em-
ballage léger en aluminium et acier), qui réu-
nit déjà de nombreux acteurs économiques.
L’objectif est de déployer ce système qui per-
met l’élargissement du tri sélectif aux embal-
lages métalliques.
Un dernier exemple non communiqué
qui vous tiendrait à cœur?
N. G.: Nous avons réussi à créer la première
récolte de Nespresso issue du Sud-Soudan.
Parvenir à réinstaller la culture du café dans
un pays éminemment fragile, c’est très satis-
faisant. J’espère que l’on va développer cela
dans les années qui viennent, car c’est un fac-
teur de stabilisation économique qui n’est pas
neutre sur place...
Enjeux de qualité,
de durabilité,
de productivité
Intensité
et personnalisation
de la relation
Tous titres de presse concernés, cette campagne a décliné
8 annonces. Simplement et créativement encapsulés,
autant de thèmes d’information et d’engagement pour
révéler toute l’âme durable de Nespresso.
Entièrement recyclables, les capsules “consommées”
sont très bien accueillies dans les 31 magasins Nespresso.
Mais aussi dans les 5500 points de recyclage dédiés.
Et demain, partout dans notre “2e
poubelle”?
Le standard
d’exigence Nespresso
est tel qu’il concerne
moins de 2%
de la production
mondiale de café.
Les 63000
caféiculteurs
concernés sont
rémunérés par
Nespresso 40%
au dessus des prix
du marché.
Que retenez-vous de la place du PQR
66 et du Web 66 dans votre dispositif
média global?
N. G. : Le fait d’aller en presse régionale est
tout sauf anodin. Cela a un grand sens pour
nous, et pour une marque de luxe comme
Nespresso, c’est nouveau. Originaire de la
région lyonnaise, je sais ce que veut dire
sur place Le Progrès ou Le Dauphiné, qu’il
s’agisse du papier ou de leur site! J’ai la plus
haute estime pour cette presse régionale, que
je trouve à la fois proche, exigeante, émotion-
nelle, et avec un respect pour le lecteur. L’in-
tensité et la personnalisation de la relation
que propose la PQR, cela résonne avec Nes-
presso. Pour moi, il y a même un parallélisme
entre la lecture de son journal local et l’ex-
périence client Nespresso,
qui, elle aussi, est faite de
grande proximité, d’implica-
tion et d’attention.
Autre aspect : par ce
qu’elle relate chaque
jour dans ses colonnes, de façon tangible,
concrète et avec puissance, la PQR touche
particulièrement à la fibre sociétale et à la
conscience citoyenne de ses lecteurs. Ce
que l’on fait pour le recyclage ou pour la
réparation des machines, par exemple, c’est
affaire de terrain, de décision personnelle et
de vie réelle. Tout cela légitime totalement
la PQR en tant que média impliquant et très
proche de chacun.
Propos recueillis par Emmanuel de Chevigny.
edechevigny@verbahuit.com
3. 3impact N° 49 MARS 2016
LeTélégrammelance
unespacedédié
audatajournalisme
sursonsiteInternet
Baptisée Dataspot, cette nouvelle proposi-
tion de contenus numériques vise à expliquer
et décrypter l’actualité bretonne, de manière
ludique et exigeante. Le slogan de cette nou-
velle rubrique: “On défriche, on déchiffre, on
décrypte”. Pour développer ces nouveaux
contenus, tous appelés à trouver une décli-
naison dans le journal papier, la rédaction du
Télégramme a mis en place une cellule pilo-
tée par un journaliste issu de la rédaction et
formé au data journalisme. « Les données
aujourd’hui disponibles ou
les données que l’on éla-
bore nous-mêmes sont une
vraie source d’informations
régionales, locales, voire
hyperlocales », explique
Samuel Petit, rédacteur
en chef. L’ambition de
cette première cel-
lule data implantée
au sein d’une rédac-
tion de presse quoti-
dienne régionale est
de s’ouvrir à tous les
acteurs de l’opendata
en Bretagne.
366lance#METEO,
lapremièreoffre
conditionnelleprint
Parce qu’en France plus de 50% de l’activité
commerciale est “météo-sensible”, 366 lance
#METEO. Pour la première fois sur le média
print, cette offre propose de communiquer en
fonction des événements météorologiques.
#METEO permet de déclencher une cam-
pagne qui prend en compte, au juste endroit,
la réalité météo du jour!
Exclusive et inédite en print, #METEO
permet de toucher une cible 100 % utile et
réceptive.
LaRép’desPyrénéesenmode100%bimedia
Nouvelle version ambitieuse du site larepubliquedespyrenees.fr, refonte
complète des applis iOS et Android La Rep’, lancement d’un portail pro-
posant 70 ans d’archives en ligne: le 3 février dernier, Pyrénées Presse
(groupe Sud Ouest) a créé l’événement en modernisant et en enrichis-
sant son offre freemium de nouveaux services. Entièrement bimédia, la
rédaction de Pyrénées Presse (La Rep’ des Pyrénées et L’Éclair) est suivie
par 143000 lecteurs LNM sur le print, tandis que l’environnement numé-
rique représente une
audience moyenne
de 3 millions de visites
par mois.
SudOuest :l’applicationfaitpeauneuve
L’application de Sud Ouest a été totalement rénovée, autant sur mobile
que sur tablette. Avec un nouveau design et des couleurs pour chaque
thématique, elle propose une lecture et une navigation plus fluides,
intuitives et rapides.
La nouvelle version adopte le système dit des “cards”, qui met davan-
tage l’image en valeur et permet de repérer en un coup d’œil les infor-
mations les plus importantes.
De plus, les mobinautes peuvent recevoir en temps réel des informa-
tions sur le thème ou le département qui les intéresse, mais aussi rece-
voir les informations de proximité en se géolocalisant. Il est également
possible de suivre en direct et de commenter les matchs des clubs
sportifs de la région, et de consulter le journal en PDF même hors ligne.
Cette application est disponible gratuitement sur l’App Store et sur
le Google Play store.
Ouest-France :
unegammed’étudespour
lemarchépublicitaire
Après avoir mené une étude
d’audience plurimé-
dia locale sur l’aire
urbaine de Nantes
en 2014, le groupe
Sipa Ouest-France
et sa régie Precom
poursuivent leur poli-
tique d’études locales
(labellisées Territoires &
Communication). En présentant une étude
média-marché sur l’aire urbaine de Rennes,
les comportements des consommateurs ont
été scrutés de près, et leur relation (client,
prospect…) a été mesurée auprès de plus
de 500 lieux de consommation (centres com-
merciaux, boutiques, agents immobiliers,
concessions automobiles, cinémas, salles
de spectacles…) présents à Rennes. En croi-
sant ces données avec les fréquentations
média, l’étude constitue un outil précieux
pour orienter les stratégies de communi-
cation et les choix média des annonceurs
locaux.
Ce dispositif complète la gamme d’étu-
des déjà développée pour la mesure
des audiences locales et de l’impact
publicitaire.
LA PROVENCE CRÉE SON TOUR
Le groupe La Provence lancera le
23 février 2016 la 1re
compétition cycliste
professionnelle internationale en Provence,
sous l’égide de l’ensemble des hautes
instances du monde du vélo (Union
cycliste internationale, Ligue nationale de
cyclisme et la Fédération française de
cyclisme). Cette épreuve sera composée de
3 étapes d’environ 180 km chacune,
alternant plaine et moyenne montagne à
travers les paysages variés. Elle partira
d’Aubagne en passant par les calanques
des Bouches-du-Rhône, pour une arrivée
en fanfare à la mairie de Marseille. Au-delà
de l’aspect sportif, cette manifestation a
également pour vocation d’être une grande
fête populaire
réunissant les
Provençaux. De
nombreuses
animations sont
prévues au sein des
villes-étapes et des
villages traversés.
L’ÉVEIL CHANGE DE FORMAT
Le titre L’Éveil du groupe Centre France
change de format et se modernise.
Ce nouveau design est aussi appliqué à
la maquette du site du quotidien depuis
janvier 2016.
UNE NOUVEAU DESIGN
POUR LE BIEN PUBLIC
Depuis mercredi 13 janvier, Le Bien Public
a changé de formule. Il sera suivi dès le
17 février par Le Journal de Saône-et-
Loire. Imprimé sur les rotatives du Progrès,
c’est le passage tout en couleur qui
caractérise le mieux les changements
de structure de cette nouvelle formule.
De plus, les sites Internet des quotidiens
sont aussi concernés et une nouvelle
maquette de site en responsive design est
déjà consultable sur bienpublic.com.
LA NOUVELLE FORMULE DU PROGRÈS
Quatre ans après sa formule précédente,
Le Progrès poursuit sa mutation. Avec une
maquette plus aérée donnant davantage de
place à l’image, la cohérence graphique a
été renforcée entre le journal papier et son
site Internet.
Sur le plan technique, cette nouvelle
mouture s’appuie sur du responsive web
design.
ÇA BOUGE
LaVoixMédiasetl’EURO2016SAS
s’associentdanslacommercialisation
delogesprivatives“Hospitalité”
Alors que se profile l’UEFA EURO 2016, La Voix Médias s’associe à l’EURO 2016 SAS en proposant aux entreprises régio-
nales des prestations privatives pour un moment d’exception. Reconnu comme étant le 3e
événement sportif planétaire,
l’UEFA EURO 2016 accueille les 24 meilleures nations européennes de football et est suivi par 2,5 millions de spectateurs.
Avec 7,6 milliards de téléspectateurs cumulés (dans 230 zones de diffusion), l’UEFA EURO 2016 présente une puissante
résonnance internationale. La Voix Médias et l’EURO 2016
SAS offrent l’occasion aux entreprises de développer leurs
réseaux et de fidéliser leurs clients dans un cadre exception-
nel et au travers de services prestigieux dans les deux stades
où se déroulent une partie des matchs.
toulouseadomicile.fr:leparidelalivraison
àdomicileinitiéparLaDépêcheduMidi
toulouseadomicile.fr est une plateforme web qui met en relation les res-
taurateurs et les internautes désirant se faire livrer leur repas. Grâce à
un système de géolocalisation, une fois son adresse entrée, l’application
donne la liste de la quarantaine de restaurants qui livrent dans le sec-
teur. En partenariat avec Drivoo, pour les restaurants ne disposant pas de
service de livraison, ce service s’étend pour le moment à Toulouse et sa
proche banlieue.
Cette application
se développera
vers d’autres pro-
fessions, telles que
les fleuristes, les
cavistes ou encore
les libraires, avant
de se développer
dans d’autres villes
de France.
aujourd’hui disponibles ou
les données que l’on éla-
bore nous-mêmes sont une
vraie source d’informations
régionales, locales, voire
hyperlocales », explique
Samuel Petit, rédacteur
en chef. L’ambition deen chef. L’ambition de
cette première cel-
lule data implantée
acteurs de l’opendata
en Bretagne.
0,0 2,5 5,0 7,5 10,0 12,5 15,0 17,5 20,0 2
Le Parisien 15,2 M
Ouest France 10,4 M
Sud Ouest 5,6 M
La Dépêche du Midi 4,8 M
La Voix du Nord 4,5 M
Le Dauphiné Libéré 3,9 M
Le Progrès 3,4 M
Midi Libre 2,9 M
La Provence 2,4 M
Le Télégramme 2,3 M
La Nouvelle République 2,3 M
Nice Matin 2,0 M
L’Est Républicain 2,0 M
La Montagne 1,9 M
L’Indépendant 1,8 M
Les DNA 1,7 M
Le Républicain Lorrain 1,5 M
L’Union / L’Ardennais 1,4 M
Le Courrier Picard 1,3 M
Paris Normandie 1,3 M
L’Alsace - Le Pays 1,2 M
Le Courrier de l’Ouest 1,1 M
La Charente Libre 1,1 M
Var Matin 1,1 M
Le Bien Public 1,0 M
Le Journal de Saône et Loire 0,9 M
La République du Centre 0,9 M
366,1re
BrandOneGlobal
avec42,8millionsdelecteurs
(OneGlobal2015V4)(OneGlobal2015V4)(OneGlobal2015V4)(OneGlobal2015V4)(OneGlobal2015V4)
Audience par titre
des marques de PQR
(brand 30 jours)
PQR 66, brand leader avec
42,8 millions d’individus ayant
consulté la marque au cours des 30 derniers
jours (version papier ou numérique).
Cette nouvelle vague de l’étude observe une
expansion de la lecture digitale qui repré-
sente désormais 46 % du total des lectures
presse.
Les Français lisent de plus en plus la presse
sur leur mobile, puisque la lecture sur ce
device a progressé de 40 % en un an. Les
tablettes apportent 6 % d’audience au glo-
bal. Les quotidiens régionaux, représen-
tés par le PQR 66, augmentent de 3,5% leur
audience globale.