Dix récits d’initiatives illustrent des façons concrètes de s’emparer et de mettre en pratique des principes de l’économie sociale et solidaire dans le champ des arts et de la culture.
Recueil rédigé par Opale avec le soutien notamment de la Fondation Crédit Coopératif.
Organiser un événement artistique dans l'espace public - Guide des bons usagesLa French Team
Ce guide des bons usages, référence depuis sa première édition en 2007, paraît aujourd’hui dans une nouvelle version actualisée et augmentée. Il est destiné aux organisateurs d’événements, élus, compagnies, services municipaux, artistes et responsables
techniques.
Forte de 46 incubateurs, dont la moitié accueille des start-ups culturelles, de plus de 80 espaces de coworking et de 20 fablabs,
Paris dispose en effet d’atouts exceptionnels.
Ce guide doit permette aux entrepreneurs culturels de mieux
les connaitre et les utiliser.
Organiser un événement artistique dans l'espace public - Guide des bons usagesLa French Team
Ce guide des bons usages, référence depuis sa première édition en 2007, paraît aujourd’hui dans une nouvelle version actualisée et augmentée. Il est destiné aux organisateurs d’événements, élus, compagnies, services municipaux, artistes et responsables
techniques.
Forte de 46 incubateurs, dont la moitié accueille des start-ups culturelles, de plus de 80 espaces de coworking et de 20 fablabs,
Paris dispose en effet d’atouts exceptionnels.
Ce guide doit permette aux entrepreneurs culturels de mieux
les connaitre et les utiliser.
3 formes innovantes de mutualisation dans le secteur culturelLa French Team
La Nacre s’intéresse depuis plusieurs années au lien entre culture et économie sociale et
solidaire. Elle s’est vue confier par la Région Rhône-Alpes une mission ESS et entrepreneuriat
culturel dans le cadre de l’axe « entrepreneuriat et développement économique » du contrat
économique et sectoriel ESS 2014-2016.
Hier, les Hommes ont créé la ville, aujourd'hui, la ville conditionne les Hommes. La ville se doit d'être envisagée en terme de fait urbain, en tant que phénomène, mécanique. Elle est un produit de la modernité, le fruit d'une évolution économique et sociale. La métropole aussi est issue de transformations à la suite des révolutions industrielles comme numérique. Elles traversent les décennies, voire les siècles et s'autonomisent, se complexifient. La ville devient un organisme où s'organisent des dynamiques internes qui s'entrecroisent. Ce phénomène intéresse depuis plus d'une centaine d'années des sociologues qui s'interrogent sur ce fait urbain.
DES PISTES CONSTRUITES AVEC UNE HAUTE INTENSITE DE MAIN D’OEUVREregiosuisse
Avec le programme « Pistes rurales, désenclavement à l’Est, PrEst, la Suisse a accompagné les communautés de la région de l’Est dans la construction de plus de 360 km de pistes rurales. Près de 126 ouvrages (radiers, ponts de franchissement, barrières de pluies, etc.) ont été directement réalisés dans 14 communes rurales, désenclavant près de 500’000 personnes.
Les pistes ont été réalisées avec l’approche de Haute Intensité de Main d’Oeuvre (HIMO) qui, bien que plus lente que l’approche mécanisée, permet d’offrir des revenus à la population tout en faisant des progrès en matière de développement économique, d’équité des genres et de démocratie locale.
Ce programme a été capitalisé sous la forme d’une brochure et d’un film que l'on trouve à l'adresse : https://youtu.be/dFzW07X9F5I
Culture à l’ère du numérique. Cultiver l’offre légale, désherber le terrain d...La French Team
Dix ans après le vote de la loi DADVSI élaborée à partir de l’idée fausse du consommateur-pirate par nature, l’UFC-Que Choisir rend publique aujourd’hui une étude exclusive consacrée à l’accès à la culture et au financement de la création à l’ère du numérique. Cette étude met en évidence que les consommateurs ont adapté leurs comportements face à l’amélioration de l’offre légale, bien que des freins à son développement soient toujours présents.
Constatant la hausse des revenus des industries culturelles tirés du numérique et la baisse des pratiques illicites,
l’UFC-Que Choisir dénonce la multiplication des taxes destinées au monde de la culture pesant sur le pouvoir d’achat des consommateurs et appelle la Commission européenne à proposer une révision de la directive 2001/29 intégrant pleinement les intérêts des consommateurs.
Où sont les femmes dans la culture ? Toujours pas là...La French Team
Depuis cinq ans, en partenariat avec le mouvement HF, le Laboratoire de l’Égalité et le Deuxième Regard, la SACD publie chaque année la brochure « Où sont les femmes ? » consacrée à la place des femmes dans les milieux culturels.
Depuis cinq ans, la SACD compte méthodiquement, saison par saison, le nombre d’œuvres de femmes programmées dans le spectacle vivant, l’audiovisuel et le cinéma.
Depuis cinq ans, elle observe avec la même régularité les évolutions du nombre de femmes dirigeant des établissements culturels et audiovisuels.
Aujourd’hui, pour cette cinquième édition, outre l’analyse des chiffres de la saison 2016-2017, la SACD a décidé de réaliser une édition bilan*, en forme de comparatif chiffré sur ces cinq années afin de dégager des tendances profondes.
Le ministère chargé de la vie associative propose un "Guide d’usage de la subvention". Ce guide est destiné aux élus et décideurs locaux, à leurs collaborateurs ainsi qu’aux acteurs associatifs et leurs structures d’accompagnement. Il a pour objectif de décliner de façon opérationnelle la circulaire du premier ministre du 29 septembre 2015 relative aux nouvelles relations entre les pouvoirs publics et les associations.
Atelier-Rencontre CHARENTES Terres créatives du 4 mars 2014 à Vénérand (17)PRIMA TERRA
Atelier-Rencontre "Charentes Terres créatives" organisé le 04 mars 2014 à L'Ogre rouge, bar associatif et culturel, à Vénérand (Saintes 17).
Une action du réseau citoyen "Charentes Terres créatives", initiative de l'association "Terres créatives".
La rencontre était organisée et animée par Prima Terra l'Agence en la personne de Monsieur Alexis Durand Jeanson et par la Plateforme nationale "Créativité et Territoires" en la personne de Monsieur Jacky Denieul, avec les soutiens de L'Ogre rouge, de l'Espace Mendès France - Poitiers et du programme de Recherche-Action sur l'espace public du COPA - Via Paysage.
3 intervenants furent invités sur les thèmes du Design, de l'Innovation et du Génie vivant et des Patrimoines.
2 tables rondes furent réalisées sur "l'émergence de projets créatifs sur les territoires" et sur "l'organisation de projets innovants".
Plus d'informations sur le réseau "Charentes Terres créatives" ici :
http://charentes-terrescreatives.fr/
3 formes innovantes de mutualisation dans le secteur culturelLa French Team
La Nacre s’intéresse depuis plusieurs années au lien entre culture et économie sociale et
solidaire. Elle s’est vue confier par la Région Rhône-Alpes une mission ESS et entrepreneuriat
culturel dans le cadre de l’axe « entrepreneuriat et développement économique » du contrat
économique et sectoriel ESS 2014-2016.
Hier, les Hommes ont créé la ville, aujourd'hui, la ville conditionne les Hommes. La ville se doit d'être envisagée en terme de fait urbain, en tant que phénomène, mécanique. Elle est un produit de la modernité, le fruit d'une évolution économique et sociale. La métropole aussi est issue de transformations à la suite des révolutions industrielles comme numérique. Elles traversent les décennies, voire les siècles et s'autonomisent, se complexifient. La ville devient un organisme où s'organisent des dynamiques internes qui s'entrecroisent. Ce phénomène intéresse depuis plus d'une centaine d'années des sociologues qui s'interrogent sur ce fait urbain.
DES PISTES CONSTRUITES AVEC UNE HAUTE INTENSITE DE MAIN D’OEUVREregiosuisse
Avec le programme « Pistes rurales, désenclavement à l’Est, PrEst, la Suisse a accompagné les communautés de la région de l’Est dans la construction de plus de 360 km de pistes rurales. Près de 126 ouvrages (radiers, ponts de franchissement, barrières de pluies, etc.) ont été directement réalisés dans 14 communes rurales, désenclavant près de 500’000 personnes.
Les pistes ont été réalisées avec l’approche de Haute Intensité de Main d’Oeuvre (HIMO) qui, bien que plus lente que l’approche mécanisée, permet d’offrir des revenus à la population tout en faisant des progrès en matière de développement économique, d’équité des genres et de démocratie locale.
Ce programme a été capitalisé sous la forme d’une brochure et d’un film que l'on trouve à l'adresse : https://youtu.be/dFzW07X9F5I
Culture à l’ère du numérique. Cultiver l’offre légale, désherber le terrain d...La French Team
Dix ans après le vote de la loi DADVSI élaborée à partir de l’idée fausse du consommateur-pirate par nature, l’UFC-Que Choisir rend publique aujourd’hui une étude exclusive consacrée à l’accès à la culture et au financement de la création à l’ère du numérique. Cette étude met en évidence que les consommateurs ont adapté leurs comportements face à l’amélioration de l’offre légale, bien que des freins à son développement soient toujours présents.
Constatant la hausse des revenus des industries culturelles tirés du numérique et la baisse des pratiques illicites,
l’UFC-Que Choisir dénonce la multiplication des taxes destinées au monde de la culture pesant sur le pouvoir d’achat des consommateurs et appelle la Commission européenne à proposer une révision de la directive 2001/29 intégrant pleinement les intérêts des consommateurs.
Où sont les femmes dans la culture ? Toujours pas là...La French Team
Depuis cinq ans, en partenariat avec le mouvement HF, le Laboratoire de l’Égalité et le Deuxième Regard, la SACD publie chaque année la brochure « Où sont les femmes ? » consacrée à la place des femmes dans les milieux culturels.
Depuis cinq ans, la SACD compte méthodiquement, saison par saison, le nombre d’œuvres de femmes programmées dans le spectacle vivant, l’audiovisuel et le cinéma.
Depuis cinq ans, elle observe avec la même régularité les évolutions du nombre de femmes dirigeant des établissements culturels et audiovisuels.
Aujourd’hui, pour cette cinquième édition, outre l’analyse des chiffres de la saison 2016-2017, la SACD a décidé de réaliser une édition bilan*, en forme de comparatif chiffré sur ces cinq années afin de dégager des tendances profondes.
Le ministère chargé de la vie associative propose un "Guide d’usage de la subvention". Ce guide est destiné aux élus et décideurs locaux, à leurs collaborateurs ainsi qu’aux acteurs associatifs et leurs structures d’accompagnement. Il a pour objectif de décliner de façon opérationnelle la circulaire du premier ministre du 29 septembre 2015 relative aux nouvelles relations entre les pouvoirs publics et les associations.
Atelier-Rencontre CHARENTES Terres créatives du 4 mars 2014 à Vénérand (17)PRIMA TERRA
Atelier-Rencontre "Charentes Terres créatives" organisé le 04 mars 2014 à L'Ogre rouge, bar associatif et culturel, à Vénérand (Saintes 17).
Une action du réseau citoyen "Charentes Terres créatives", initiative de l'association "Terres créatives".
La rencontre était organisée et animée par Prima Terra l'Agence en la personne de Monsieur Alexis Durand Jeanson et par la Plateforme nationale "Créativité et Territoires" en la personne de Monsieur Jacky Denieul, avec les soutiens de L'Ogre rouge, de l'Espace Mendès France - Poitiers et du programme de Recherche-Action sur l'espace public du COPA - Via Paysage.
3 intervenants furent invités sur les thèmes du Design, de l'Innovation et du Génie vivant et des Patrimoines.
2 tables rondes furent réalisées sur "l'émergence de projets créatifs sur les territoires" et sur "l'organisation de projets innovants".
Plus d'informations sur le réseau "Charentes Terres créatives" ici :
http://charentes-terrescreatives.fr/
Etude ICC France 2015 - 2e panorama de l’économie de la culture et de la créa...yann le gigan
>>[Etude] ICC France 2015 - 2ème Panorama économique de la culture et de la création en France (EY-France Créative)
[EY – octobre 2015]
Les dix secteurs analysés par EY : arts visuels, musique, spectacle vivant, cinéma, télévision, radio, jeu vidéo, livre, presse, publicité et communication
Livre : L’édition fait de la résistance p. 66- 71
Publicité et communication : le futur sera numérique ou ne sera pas (p.78- 83)
http://www.francecreative.fr/wp-content/uploads/2015/11/VDEFINITIVE-Etude-ICC-France-2015-Basse-def.pdf
Un jour, un territoire - Chapitre "Excursions hors piste" : CDLA PasserelleConseilDeveloppementLA
Découvrez dans cet extrait de la publication "Un jour, un territoire" toutes les propositions 2013-2014 des groupes Passerelle du Conseil de développement de Loire-Atlantique.
Cette publication offre un survol des activités et des thèmes de débat couverts cette année 2013-2014. Elle permet également de dévoiler les propositions des groupes de réflexion Passerelle. Les diffuser le plus largement possible sur le territoire est l’affaire de toutes et tous. cdla.loire-atlantique.fr
Enjeux et perspectives du renouvellement de la gouvernance collective dans le...La French Team
Ce rapport vise à porter un regard sur les formes collectives de la gouvernance associative dans leur capacité d'implication des personnes dans une logique horizontale, participative et accompagnée.
Synthèse de la concertation du spectacle vivant en Rhône-AlpesLa French Team
Menée en Rhône-Alpes de mai 2014 à mai 2015, la concertation régionale sur le spectacle vivant a réuni, à l’invitation d’une quinzaine d’organisations professionnelles – fédérations, syndicats, réseaux – et avec le concours de La Nacre, plus de cent soixante personnes. Au travers de cinq ateliers, elle a entrepris d’analyser les politiques culturelles sur lesquelles repose le spectacle vivant dans la région. Objectif : au regard d’une actualité institutionnelle, budgétaire et sociale fortement préoccupante, produire de la pensée collective et engager un processus régulier d’échanges et de dialogue.
Copyrights & US tech giants - Expectations in EuropeLa French Team
This document summarizes the results of a survey of 8,000 Europeans regarding their perceptions of major US tech giants and their impact in Europe. The key findings include:
- Over 65% of French respondents believe US tech giants like Google and Facebook have more power than the European Union.
- Around 75% of French think the tech giants compromise democracy in Europe and do not fairly compensate artists for use of their content.
- 88% of French support new EU rules to ensure artists are paid for content distributed online by platforms.
- 80% of French think platforms should pay media companies when reusing their articles, photos and videos.
5. Comité de rédaction : Luc de Larminat, Lucile Rivera-‐Bailacq, Réjane Sourisseau
Direction éditoriale : Réjane Sourisseau
Rédaction :
Graphisme : Tina Tictone
Photographies : Romain Moussel, Fréderick Guerri, JC Milhet, Lucile Rivera-‐Bailacq
Suivi de fabrication et iconographie :
Révision : Nicolas Emmanuel Granier
Impression :
6. Avant-propos
Introduction
Le 6b, Saint Denis (93) / www.le6b.fr
Artenréel, Strasbourg (67) / www.artenreel.com
La Chambre d’eau, Le Favril (59) / www.lachambredeau.com
Geiq Théâtre, Lyon (69) / www.compagnonnage-theatre.org
Galapiat cirque, Langueux (22) / www.galapiat-cirque.fr
Les Matapeste, Niort (79) / www.clownsmatapeste.com
SOMMAIRE
7. 7
Mesh, Montmorency (95) / www.mesh.asso.fr
Mezzanine admin, Paris (75) / www.mezzanineadmin.fr
Péniche Cancale, Dijon (21) / www.penichecancale.com
Les Têtes de l’art, Marseille (13) / www.lestetesdelart.fr
Pour aller plus loin :
secteur culturel
8. AVANT-PROPOS
À LA RENCONTRE D’ACTEURS CULTURELS
ET D’ARTISTES ENGAGÉS DANS L’ÉCONOMIE
SOCIALE ET SOLIDAIRE
-‐
au-‐delà
du
seul
statut,
un
ensemble
d’éléments
se
combinent
pour
rendre
compte
de
l’ap-‐
-‐
-‐
Culture et économie soli-‐
9. 9
Pour une autre économie de l’art
-‐
Pour une autre économie de l’art et de la
Avec ces -‐
teurs qui illustrent, chacun à sa manière, des
façons
concrètes
de
s’emparer
et
-‐
-‐
-‐
Pour une autre économie de l’art et de la culture,
10. -‐
1
Jurisart etc o
i
l’économie
sociale
et
solidaire
(ESS)
et
la
culture
ont
beaucoup
à
partager
et
-‐
S
INTRODUCTION
QUAND L’ÉCONOMIE SOCIALE ET
SOLIDAIRE ET LA CULTURE SE RENCONTRENT
11. 11
Une même quête de reconnaissance
des
regroupements
de
personnes
et
non
de
capitaux,
-‐
-‐
l’ESS
ne
s’est
structurée
de
manière
Charte de l’économie sociale
e
siècle
dédié
-‐
CNCRES, Atlas commenté de l’économie sociale et solidaire 2014, hors-‐série
13. 13
-‐
-‐
, un acteur national au cœur
des dynamiques de rapprochement
-‐
-‐
-‐
-‐
-‐
une autre économie de la culture, -‐
14. ESS
Nouvelles pratiques
plutôt que nouveaux moyens économiques
En réalité,
-‐
Pour une autre économie de l’art et de la culture,
15. 15
-‐
-‐
pour
soutenir
ou
dans
des
processus
de
-‐
mais
il
per-‐
-‐
-‐
-‐
culture et ESS, car il souligne et alimente la
au
sens
du
déploiement
et
de
la
redistribu-‐
17. 17
sociale -‐
-‐
ment ,
se révèle inclusive et laissant ainsi
peut
faire
espérer
-‐
-‐
-‐
o
Id., o
Id., o
er
o
o
18.
19. 19
-‐
-‐
-‐
LE 6B
LIEU DE TRAVAIL PARTAGÉ POUR LES ARTISTES
ET LES CRÉATIFS
L
Présence artistique
et aménagement urbain
-‐
mande une au col-‐
no man’s land indus-‐
-‐
installent
leurs
ateliers
dans
le
lieu,
-‐
Des
artistes,
des
associations,
mais
aussi
des
entreprises
de
l’économie
sociale
et
20. » Le lieu entend aussi
»
-‐
« ,
la FAR
-‐
-‐
reuse »,
-‐
dans la un -‐
et un
-‐
plus
de
170
per-‐
-‐
-‐
21. 21
Artistes-plasticiens :
des travailleurs culturels
particulièrement précaires
-‐
-‐
-‐
-‐
jettis » y cotisent mais leurs revenus
6
7
.
Langlois-‐Mallet,
-‐
une -‐
nome
de
la
culture,
Consolidation des parcours
des plasticiens
Ainsi,
-‐
22. territoire,
-‐
de
statut
ou
de
moyens
de
subsistance
pépinière
rompre
l’isolement des
des
micro-‐entreprises
Une salle de sérigraphie
en partage
Pensée
-‐
-‐
-‐
-‐
-‐
23. 23
-‐
tion conjointe des résidents à la vie du
-‐
-‐
muns, voire les
-‐
-‐
Croissance rapide
et effets de seuil
-‐
-‐
-‐
-‐
saisonniers,
-‐
-‐
-‐
25. 25
Au cœur du développement
territorial à venir
-‐
»,
à la croisée de la convivialité, de la créa-‐
-‐
-‐
ment
-‐
contrat
de
se retrouver -‐
dont ils ont été les
territoire
-‐
Id.
26. Facteurs de réussite
-‐
-‐
Gouvernance autogestionnaire et
CONTACTS
À RETENIR
-‐
Freins/questions
-‐
27.
28.
29. 29
culturel
Créée en
ARTENRÉEL
UN ÉCOSYSTÈME COOPÉRATIF
P
Une audace récompensée
-‐
-‐
un
cadre
pro-‐
-‐
aux
30. -‐
-‐
comme le souligne une
De l’entreprise partagée...
-‐
qui souhaitent
ou
culturelle
en
-‐
-‐
miné un salaire dont le montant est lissé
-‐
la CAE donne accès à un
ensemble
de
-‐
relate une conteuse entrée en
31. 31
Des métiers très divers
-‐
décorateur, mosaïste, ingénieur du
-‐
Fonctionnement de la CAE, étape du parcours de l’entrepreneur
entrepreneur,
ça
a
du
sens
à
présent.
J’ai
une
démarche
plus
structurée
Notre
compagnie,
ce
n’est
pas
individuelles, elle entre aussi en résonance
avec
-‐
-‐ Suivi à distance -‐ Atelier
-‐ Séminaires
échéant
échéant
échéant
32. ... à l’entreprise collective
parcours grandeur nature
mutua-‐
coopéra-‐
-‐
lisateur de la CAE
-‐
-‐
».
personnes
ne
se
limitent
pas
au
sociéta-‐
riat,
des
formes
de
solidarité -‐
tanées
-‐
-‐
des
mécanismes
de
cou-‐
-‐
Elles consistent aussi à partager
des
com-‐
-‐
33. 33
-‐
-‐
Une démarche en constante
évolution
De
réalités
territoriales,
-‐
-‐
-‐
-‐
ciens, -‐
-‐
34. Relever les défis
contrant
la
persistance
des
comporte-‐
-‐
Parallèlement,
une visant à
-‐
le
regroupement
de
CAE
permet
de
gagner
en
poids
et
de
sécuriser
notre
écosystème.
-‐
ice Le
a
été
un
facteur
déterminant
SCIC
COOPÉNATES
ARTENRÉEL
conseil
culture
35. 35
-‐
-‐
-‐
-‐
et Pour
des
entrepreneurs-‐salariés
demeurent
-‐
-‐
-‐
le
-‐
haiterions qu’il soit inscrit dans le cadre de
-‐
l’inté-‐
-‐
36. -‐
-‐
-‐
Elle a ainsi directement ou indirectement
en Poitou-‐Charentes
À propos des financements
-‐
-‐
cer ou celles qui risqueraient d’échouer,
-‐
-‐
Budget
2014
37. 37
Facteurs de réussite
Ancrage territorial, reconnaissance
Freins/questions
CONTACTS
À RETENIR
38.
39. 39
à
tra-‐
LA CHAMBRE D’EAU
DYNAMIQUES ARTISTIQUES ET CITOYENNES
EN MILIEU RURAL
D
Immersion d’artistes
-‐
-‐
-‐
40. -‐
de
façon
sensible
-‐
-‐
sont mis
-‐
çais
et
étrangers ont été à ce jour accueillis
-‐
-‐
41. 41
Les différents types de résidences
OBJECTIFS
CONTENUS
DURÉE
MOYENS
EXEMPLES
-‐
OBJECTIFS
CONTENUS
DURÉE
MOYENS
EXEMPLES
43. 43
Partager le sensible
-‐
un
lieu
y
résidences
-‐
sont aussi -‐
-‐
-‐
dans
réseau
de
-‐
-‐
Le
nomadisme, la pluridisciplinarité, les
tâchons de
-‐
Pour les
structures sociales,
-‐
»
sur
le
-‐
laisser
des
traces
sensibles
-‐
-‐
«
Nicolas Bourriaud les Presses du
44. raconte
faciliter
un
-‐
-‐
Elle a également accueilli le MuMo , Musée
Engagements citoyens
-‐
-‐
-‐
été inaugurées
-‐
-‐
-‐
ne
pas
se
cantonner
au
champ
de
la
culture
mais
-‐
-‐
-‐
45. 45
-‐
du chercheur Laurent Gardin,
-‐
-‐
-‐
centrale,
Encourager la réciprocité
-‐
appui
des sur
-‐
tenariat avec les acteurs généralistes de la
Eclectic Campagne(s) 14
qui se déroule tous les
-‐
-‐
46. -‐
-‐
-‐
-‐
-‐
Ce travail au long cours
Clea
-‐
mais dans une logique d’échanges.
apports
non
monétaires
de
nos
partenaires
-‐
Constructions collectives
à différentes échelles
Cette capacité
d’ingénierie, ce rôle de
-‐
-‐
-‐
ulture -‐
51. 51
coresponsabilité
et
l’en-‐
GEIQ THÉÂTRE COMPAGNONNAGE
POUR L’EMPLOI DES JEUNES COMÉDIENS
A
Un dispositif pionnier
gnies
-‐
-‐
-‐
-‐
La démarche
la
52.
Les groupements d’employeurs
pour l’insertion et la qualification
(Geiq)
-‐
-‐
-‐
sion centrale
-‐
Contrairement
-‐
-‐
-‐
était donc (de
-‐
Geiq
-‐
-‐
-‐
-‐
53. 53
L'emploi au cœur
des préoccupations
Les jeunes sont employés
comme
comé-‐
diens
permanents
de
deux
ans
-‐
-‐
-‐
5
».
-‐
-‐
-‐
le
54.
Les Trois-Huit,
pilier du Geiq
-‐
-‐
-‐
-‐
s’en-‐
Les
Le contenu du parcours
-‐
-‐
socioéconomique et juridique du
55. 55
continuité
d’enga-‐
-‐
et la culture
est
-‐
Marie Nachury et Marie-‐Emmanuelle
La compagnie des Trois-Huit
-‐
teur en scène
-‐
-‐
-‐
-‐
-‐
e
-‐
-‐
-‐
-‐
56. Les autres sont, volontairement,
-‐
cours,
-‐
-‐
Un dispositif unique,
à l’avenir incertain ?
sachant que
-‐
-‐
-‐
Malgré des résultats
probants, le Geiq a
moyenne, son
,
-‐
secteurs, des Geiq
notre
modèle
écono
57. 57
-‐
-‐
sement, car si le ministère de la Culture
-‐
sion menée dans le cadre du DLA
-‐
-‐
-‐
reste
Rappels des chiffres clés
-‐
-‐
58. Facteurs de réussite
avec
Contrat de travail de comédiens
Présence majoritaire de
CONTACTS
À RETENIR
Freins/questions
59.
60.
61.
ancrage
local
-‐
GALAPIAT CIRQUE
COLLECTIF ITINÉRANT AUTOGÉRÉ
C
Du rêve à la réalité
que
-‐
de
-‐
désir
-‐
62. Risque Zér0, un
premier
spectacle dont le succès ouvre la
voie de la reconnaissance dans le milieu du
le
Risque Zér0, elle
-‐
-‐
-‐
sions Pour nous, le
cirque est un
art
populaire
fédérateur, un
Quelques dates
Risque Zér0.
-‐
-‐
-‐
-‐
63. Des projets de territoire
liés à l’artistique
autres, d’échanger.
vont
-‐
-‐
de
-‐
-‐
moyenne
une
centaine
de
Tant qu’il y aura des mouettes
64. L‘apprentissage de la collégialité
-‐
Or
-‐
-‐
-‐
-‐
-‐
-‐
Une association organisée
en collectif autogéré
Contrairement à une association clas-‐
-‐
-‐
le
collectif
permanente Les
-‐
Des « séminaires » sont organisés
-‐
-‐
-‐
sable dans le cadre de ses
-‐
En
65. Des réflexions récurrentes
sur le fonctionnement
-‐
-‐
-‐
gnement ),
-‐
-‐
-‐
-‐
ciation a conservé notamment la gestion
Une nouvelle étape :
SCIC ou pas SCIC ?
mais la
place
prépondé-‐
rante
des
professionnels
et inter-‐
rogent le
mener
des
pro-‐
-‐
rester
66. Partenaires et budgets 2013
-‐
-‐
-‐
-‐
-‐
-‐
de
s’asso
»
-‐
avantages, inconvénients,
-‐
-‐
67. Facteurs de réussite
CONTACTS
À RETENIR
Freins/questions
Concilier ouverture, nouvelles
71. 71
-‐
-‐
Deux clowns en CDI
du Très Grand Conseil mondial des clowns,
-‐
-‐
étaient requis
-‐
nus mais le changement est vécu comme
-‐
-‐
-‐
prendre
conscience
et
à
assumer
notre
responsa
nous sommes
-‐
-‐
-‐
-‐
-‐
-‐
-‐
-‐
72. Au-delà du statut juridique
,
« est
. Ils
au détriment
9
-‐
-‐
-‐
10
-‐
-‐
Activités
-‐
-‐
-‐
73. 73
Des fragilités peu à peu
dépassées
-‐
-‐
-‐
-‐
-‐
-‐
-‐
-‐
-‐
-‐
-‐
on
échange
d’égal
à
égal -‐
-‐
74. Profession de foi clownesque
le
monde...
-‐
-‐
Montrer
le
clown
sous
toutes
les
coutures.
Et
surtout,
sans
hiérarchie
de
styles
!
traditionnel, culturel ou commer-‐
S’ouvrir et intégrer
d’autres artistes
-‐
-‐
-‐
-‐
-‐
-‐
77. 77
-‐
-‐
son et son crise interne
MESH
L’ACCÈS DES PERSONNES HANDICAPÉES
AUX PRATIQUES MUSICALES
I
Un projet précurseur issu
de musiciens passionnés
-‐
les édu-‐
-‐
« Je
-‐
-‐
-‐
gie
adaptée,
Magali devient un élé-‐
-‐
78. Les fondateurs de Mesh
-‐
-‐
, musicologue, cri-‐
-‐
musicien, directeur
-‐
-‐
-‐
e
Magali
Viallefond, -‐
-‐
musiciens
professionnels rejoignent Mesh en tant
-‐
-‐
des auditeurs. »
-‐
-‐
musicales réunissant des
mu
siciens
pro-‐
-‐
-‐
Loi no
XY Animuse
80. La charte du Réseau national
musique et handicap
« Dans le cadre du
le
-‐
pour
tout
citoyen,
des secteurs
de la culture, du sanitaire et social,
-‐
gies,
préparation
des
-‐
-‐
»
de la Culture reconnaît Mesh en tant que
accès à la musique en « milieu ordinaire »
-‐
marque leur en-‐
, ils
-‐
81. 81
Une période
de crise interne
-‐
-‐
-‐
certains
, malgré
-‐
taires
-‐
« mené en 2010 sur les conseils d’un
-‐
-‐
-‐
que les ressources diminuent, des salariés,
-‐
-‐
et nous
83. 83
Renouveau du projet
associatif
-‐
Une
réflexion
de
-‐
tout
amène
-‐
-‐
dent et la
bases
d’un
nou-‐
réduits, nous nous sommes interrogés sur
Malgré la crise, le soutien
des
parte-‐
Les
sur
la
remise
à
plat
-‐
-‐
-‐
des
87. 87
structures
de
est un
groupement
d’employeurs
-‐
MEZZANINE ADMIN
SE REGROUPER POUR PARTAGER DES EMPLOIS
C
De Mezzanine films
à Mezzanine admin
-‐
courts métrages -‐
,
créer
Ce montage intéresse le milieu des socié-‐
-‐
88. Qu’est ce qu’un groupement
d’employeurs ?
-‐
-‐
de ses adhérents,
-‐
-‐
dateurs,
-‐
Un développement rapide
-‐
prin-‐
sociétés de
-‐
emplois sont partagés, -‐
89. 89
Les adhérents,
45 « pépites créatives »
-‐
-‐
-‐
-‐
-‐
la vision stratégique
-‐
-‐
-‐
-‐
) qui
90. rai sonné -‐
-‐
est
-‐
Les salariés au centre
structu-‐
comme le
-‐
-‐
est de
Assurer
-‐
crits dans notre charte.
-‐
conscience
-‐
10
-‐
solidarité
entre
les
.
l quels que
-‐
En vertu de la clause de solidarité, si un adhérent
91. 91
Mezzanine admin n’est pas un
prestataire de services
-‐
-‐
-‐
-‐
-‐
sont
spécialisés
-‐
une
organi
-‐
des
personnes
-‐
la
ce
car nous sommes sur de l’humain,
Un cadre de travail
stimulant
-‐
-‐
-‐
le
-‐
les interlo
cuteurs
sont démultipliés
-‐
92. Mais, la les sala-‐
-‐
longue durée
Lors de la
-‐
-‐
Essaimer plutôt
que grossir
réussir
à
-‐
adapter
les
postes
-‐
97. 97
une
PÉNICHE CANCALE
UNE SCIC AU SERVICE DES DROITS CULTURELS
B
Résolument ancrée
dans le quartier
et Côme Gallay, anciens camarades de col-‐
faire
-‐
-‐
-‐
98. Aide à l’investissement
et au démarrage
-‐
-‐
-‐
-‐
-‐
-‐
2
. » Sou-‐
-‐
sociale et solidaire, le documentaire Péniche
-‐
Documentaire signé Damien Maheu à retrouver sur
99. 99
À la carte
-‐
À l’affiche
-‐
Bistrot gourmand
et cabaret flottant
-‐
-‐
-‐
-‐
créer
un
lieu
accueillant,
à
taille
humaine,
-‐
100. Brève définition des
« droits culturels »8
les traditions, institutions et modes
-‐
-‐
-‐
Une programmation
collégiale
-‐
-‐
-‐
gulière
de
80
personnes
-‐
relier
amateurs
et
professionnels,
de
les
groupes
locaux -‐
sans hiérarchie
7
Lawrence Culture d’en haut,
101. 101
un
terrain
d’ex-‐
De l’association à la SCIC,
de la SARL à la SA
10
. »
-‐
-‐
-‐
11
. »
groupe
-‐
-‐
-‐
-‐
12
-‐
102. Quelques chiffres-clés sur la SCIC
-‐
-‐
14
. »
Un équipement plébiscité
-‐
15
. »
rencontrer les gens en chair et en os, et ils
réunissent régulièrement les voisins, les
-‐
-‐
sive Boutaric
104. Facteurs de réussite
Pas de directeur artistique mais une
Freins/questions
CONTACTS
À RETENIR
105.
106.
107. 107
-‐
gnement
transparence et une ,
-‐
en cohérence avec
LES TÊTES DE L’ART
L’ART DE LA PARTICIPATION
À
Un cœur de métier
historique
-‐
organiser des classes
culturelles et des
-‐ un
solide
-‐
une
108. pro
-‐
sont les maîtres mots de
est ainsi
toujours -‐
-‐
-‐
chage scolaire
e
arrondissement de
Un tel
demandes
,
109. 109
Aperçu de projets participatifs
-‐
-‐
Les partenaires mul-‐
et ont
vise à
-‐
-‐
e
arrondissement, elle est
Un accompagnement
à 360 degrés
-‐
-‐
, il
temps
col-‐
Sont travaillées
-‐
-‐
-‐
-‐
veuses -‐
ment
-‐
vices car, insiste-‐t-‐elle,
110. Partenaire du service public
-‐
sion vie associative à la région,
-‐
-‐
-‐
niques” et “sectorielles” qui lui sont
est
et non comme
-‐
-‐
.
-‐
-‐
Des
synergies
se
un
succès
,
-‐
secteur
culturel. -‐
-‐
et solidaire
111. 111
-‐
Cinq principes clefs
d’une gouvernance participative
-‐
Un
-‐
-‐
Quand fonctionnement
interne rime avec valeurs
-‐
-‐
culturel
une
réforme
statutaire passage
d’un
conseil
-‐
cement du
112. -‐
Une
-‐
-‐
souligne
Quelques
-‐
tés. »
-‐
La place
des
salariés
-‐
-‐
,
mais
aussi car
-‐
20 ans, un nouveau cap !
l’association
est
sélection-‐
la
culture
« Connecting Culture, Communities and
113. 113
une rencontre internationale en vue de
-‐
-‐
-‐
-‐
ter,
rebondir
-‐
-‐
nuera à
-‐
quelques classes et séjours
-‐
-‐
menés chaque saison, une
-‐
Accueil de SMart dans les
Changement gouvernance,
G
ÉMERGENCE PROFESSIONNALISATION MATURITÉ
ACTIVITÉINTERNE
1996E 2000 2009 2015