Cet atlas donne un aperçu sur la situation hydrographique du Bénin. Il annonce les début d'un longue série de reformes qui vont s’opérer sur le système d'information sur l'eau au Bénin.
Projet de fin d'étude Ingénierie de conception en Génie CivilSeckou Fossar SOUANE
Le présent document a pour objet de faire une étude
comparative pour la conception et le dimensionnement des systèmes d’irrigation goutte à
goutte, par aspersion et californien pour le périmètre de Ngnith dans la zone du lac de
Guiers au Sénégal.
Il traite :
— La conception technique et le dimensionnement des réseaux d’irrigation au
goutte à goutte ; par aspersion et californien.
— Des propositions de devis quantitatifs et estimatifs des travaux à exécuter pour chaque
type d’irrigation ;
— L'identification des impacts environnemental et social des aménagements hydro-agricoles.
Contribution des Systèmes d’Informations Géographiques (SIG) à la gestion des...YOUSSOUPHA MBODJI
La décentralisation au Sénégal a une longue histoire. En effet, le processus a démarré bien
avant les indépendances, au 19ème siècle avec la création des communes de Gorée et de Saint-
Louis en 1872, elle s’est poursuivie jusqu’en 1972 avec la création des Communes
d’arrondissement et des communautés rurales. En 1996, le Plan est régionalisé et la région
érigée en CL au même titre que la Commune et la Communauté rurale. La décentralisation a
continué et a institué la communalisation intégrale en 2013 avec l’Acte III. Le processus de
décentralisation au Sénégal marqué par son caractère progressive et irréversible s’est spécifié
avec le transfert de neuf domaines de compétence (portés à 15 par l’Acte III) dont la gestion
et l’utilisation du domaine national, du domaine public et privé de l’Etat , aux collectivités
locales du pays que sont les départements et les communes. Pour ces dernières, l’exercice de
leurs compétences se heurte souvent à de nombreux problèmes surtout en ce qui concerne les
questions foncières. La commune de Ndiaffate n’est point épargnée par ces difficultés surtout
qu’elle n’a jamais disposé d’un SIG pour la gestion des questions foncières. Le foncier est en
effet un élément structurant aux enjeux multidimensionnels. Il est intrinsèquement lié au
territoire et de par ses relations avec les autres ressources naturelles du territoire et les
rapports qu’il anime entre les hommes, le foncier se présente comme facteur social
déterminant. Ainsi, il est le produit de rapports sociaux et s’administre selon les règles et
coutumes de la communauté qui l’exploite. Au Sénégal, notamment en milieu rural, une
dualité juridique s’exerce quant à la gestion de la terre. Le droit positif se greffe souvent à
celui dit coutumier, ce qui installe de réelles difficultés dans la gestion de la terre par les
autorités locales. Ces autorités qui ne disposent pas des outils adéquats pour la résolution des
conflits et problèmes fonciers, se voient vite limitées. Ces obstacles qui touchent pratiquement
toutes les C.L du pays, notamment les nouvelles communes ne font pas de Ndiaffate une
exception. Alors, ce présent Mémoire vise alors à pallier les difficultés rencontrées dans la
gestion foncières à Ndiaffate par la mise sur pied d’un Système d’information géographique
dénommée Urba’Sif. Urba’Sif est une application conçue spécifiquement pour la gestion
foncière dans les nouvelles communes du Sénégal et a pour but d’améliorer la gestion spatiale
dans la transparence, l’efficience et l’efficacité.
Utilisation de la télédétection pour le suivi de la dynamique des formations ...Eric Landry Konan
Etude dans les forêts du domaine rural de l'Etat en Côte d'Ivoire (Périmètre d'exploitation forestière) pour suivi l'évolution de l'occupation du sol en particulier des formations végétales, à partir d'images de télédétection.
Agence Urbaine Hoceima : Carte d'aptitude à l'urbanisationOECD Governance
OCDE : Atelier sur la prévention des risques, 17 mai 2017, Fès. info : www.oecd.org/gov/risk/Projet-appui-OCDE-gestion-risques-Maroc-atelier-mai-2017.htm
Projet de fin d'étude Ingénierie de conception en Génie CivilSeckou Fossar SOUANE
Le présent document a pour objet de faire une étude
comparative pour la conception et le dimensionnement des systèmes d’irrigation goutte à
goutte, par aspersion et californien pour le périmètre de Ngnith dans la zone du lac de
Guiers au Sénégal.
Il traite :
— La conception technique et le dimensionnement des réseaux d’irrigation au
goutte à goutte ; par aspersion et californien.
— Des propositions de devis quantitatifs et estimatifs des travaux à exécuter pour chaque
type d’irrigation ;
— L'identification des impacts environnemental et social des aménagements hydro-agricoles.
Contribution des Systèmes d’Informations Géographiques (SIG) à la gestion des...YOUSSOUPHA MBODJI
La décentralisation au Sénégal a une longue histoire. En effet, le processus a démarré bien
avant les indépendances, au 19ème siècle avec la création des communes de Gorée et de Saint-
Louis en 1872, elle s’est poursuivie jusqu’en 1972 avec la création des Communes
d’arrondissement et des communautés rurales. En 1996, le Plan est régionalisé et la région
érigée en CL au même titre que la Commune et la Communauté rurale. La décentralisation a
continué et a institué la communalisation intégrale en 2013 avec l’Acte III. Le processus de
décentralisation au Sénégal marqué par son caractère progressive et irréversible s’est spécifié
avec le transfert de neuf domaines de compétence (portés à 15 par l’Acte III) dont la gestion
et l’utilisation du domaine national, du domaine public et privé de l’Etat , aux collectivités
locales du pays que sont les départements et les communes. Pour ces dernières, l’exercice de
leurs compétences se heurte souvent à de nombreux problèmes surtout en ce qui concerne les
questions foncières. La commune de Ndiaffate n’est point épargnée par ces difficultés surtout
qu’elle n’a jamais disposé d’un SIG pour la gestion des questions foncières. Le foncier est en
effet un élément structurant aux enjeux multidimensionnels. Il est intrinsèquement lié au
territoire et de par ses relations avec les autres ressources naturelles du territoire et les
rapports qu’il anime entre les hommes, le foncier se présente comme facteur social
déterminant. Ainsi, il est le produit de rapports sociaux et s’administre selon les règles et
coutumes de la communauté qui l’exploite. Au Sénégal, notamment en milieu rural, une
dualité juridique s’exerce quant à la gestion de la terre. Le droit positif se greffe souvent à
celui dit coutumier, ce qui installe de réelles difficultés dans la gestion de la terre par les
autorités locales. Ces autorités qui ne disposent pas des outils adéquats pour la résolution des
conflits et problèmes fonciers, se voient vite limitées. Ces obstacles qui touchent pratiquement
toutes les C.L du pays, notamment les nouvelles communes ne font pas de Ndiaffate une
exception. Alors, ce présent Mémoire vise alors à pallier les difficultés rencontrées dans la
gestion foncières à Ndiaffate par la mise sur pied d’un Système d’information géographique
dénommée Urba’Sif. Urba’Sif est une application conçue spécifiquement pour la gestion
foncière dans les nouvelles communes du Sénégal et a pour but d’améliorer la gestion spatiale
dans la transparence, l’efficience et l’efficacité.
Utilisation de la télédétection pour le suivi de la dynamique des formations ...Eric Landry Konan
Etude dans les forêts du domaine rural de l'Etat en Côte d'Ivoire (Périmètre d'exploitation forestière) pour suivi l'évolution de l'occupation du sol en particulier des formations végétales, à partir d'images de télédétection.
Agence Urbaine Hoceima : Carte d'aptitude à l'urbanisationOECD Governance
OCDE : Atelier sur la prévention des risques, 17 mai 2017, Fès. info : www.oecd.org/gov/risk/Projet-appui-OCDE-gestion-risques-Maroc-atelier-mai-2017.htm
Projet d'appui de l'OCDE pour la gestion des risques au Maroc - 3-4 Avril 2017. Info : www.oecd.org/fr/gov/risques/projet-appui-ocde-gestion-risques-maroc-atelier-avril-2017.htm
عرض الدورة التاسعة للمجلس الإداري للوكالة الحضرية للصويرة الذي ترأسه السيد عبد الأحد فاسي فهري، وزير إعداد التراب الوطني والتعمير والإسكان وسياسة المدينة، يوم 01 مارس بعمالة الصويرة.
Memoire : Conversion des données POS/PLU au format CNIG et réalisation d'appl...Marine Faucher
Mémoire de fin d'étude réalisé sur une période de 5 mois au service SIG de la DSIT du Grand-Nancy. Missions : Standardisation des données géographiques de POS/PLU au format CNIG et réalisation de deux applications cartographiques de consultation (usage interne et grand public)
Nus utilisons une application SIG pour traiter l’information spatiale projetée sur un périphérique informatique.
Un SIG est constitué :
Base de données –– l’information géographique que vous visualiserez et analyserez en utilisant des composants matériels et logiciels informatiques.
Composants matériels –– ordinateurs utilisés pour stocker les données, afficher les graphiques et traiter les données.
Logiciel informatique –– programme informatique qui s’exécute sur un composant matériel informatique et qui vous permet de travailler avec des données numériques spatiales ou autre. Un programme informatique qui fait partie du SIG est appelé une application SIG.
Avec une application SIG vous pouvez ouvrir et afficher des cartes numériques sur votre ordinateur, créer de nouvelles données spatiales à ajouter sur une carte.
Cartographie de l'évolution spatio-temporelle de la ville de Niamey (Niger) e...Barkawi MANSOUR
L’étude des changements d’occupation du sol constitue un intérêt capital pour la connaissance, la gestion, le suivi et l’évaluation de notre environnement. En effet depuis quelques décennies, la ville de Niamey connait une croissance démographique exponentielle. Ce phénomène a entrainé une dynamique urbaine caractérisée par l’augmentation et la densification des espaces urbanisés (bâti plus infrastructure) qui entrainent l’occupation des espaces naturels.
A cet effet le but de cette étude consiste à cartographier les changements d’occupation du sol de la ville de Niamey à partir des images satellitaires Landsat (1985, 1994, 2003 et 2016) et d’évaluer l’état de sécheresse météorologique par l’indice de précipitation standardisé (SPI).
L’approche méthodologique adoptée se base sur la classification des images Landsat, puis par la comparaison de ces classifications à l’aide des matrices de transitions entre les périodes 1985-1994, 1994-2003 et 2003-2016 afin de cartographier les changements intervenus. A l’issus de ces résultats il ressort une extension de l’espace bâti principalement dans la direction Nord, Nord-ouest qui se fait aux désavantages des zones de cultures, du sol nu, de la végétation. Dans le souci de mieux justifier les changements du couvert végétal pendant la période d’étude, nous avons fait recours à un indicateur de sécheresse météorologique.
Concernant l’évaluation de l’état de cette sécheresse, nous avons procédé par l’approche de l’indice de précipitation standardisé qui se base uniquement sur les données de précipitations de longue durée. Ainsi les données de précipitations Chirps ont servi au calcul de cet indice sur une période de 34 ans (1981-2014). Les résultats de cet indice ont permis de mettre en évidence non seulement les périodes sèches et les périodes humides enregistrés depuis 1981, mais aussi de faire le lien entre l’évolution du couvert végétal et cette sécheresse.
Les résultats issus de ce projet de fin d’étude ont servi à la conception et l’élaboration d’une base de données spatiale afin de mieux appréhender l’évolution spatio-temporelle de la ville de Niamey.
Les impacts du changement climatique sur la securite alimentarieFAO
This module is part of a course elaborated in the context of the collaboration between FAO project named Communication for Sustainable Development Initiative (CSDI) and Openet S.p.A. Technologies in the Democratic Republic of Congo. CSDI and Openet Technologies S.p.A launched (2012) the initiative ‘Rural radio’ to support sustainable agricultural development in DRC. This initiative was part of the Satellite Way for Education Project funded by Openet and the European Space Agency (ESA): the main objective is to strengthen initiatives and preparedness interventions in the field of ComDev on climate change, food security and rural livelihoods. With the support of AMARC and thanks to Openet technical assistance, a number of rural radios have taken part in the initiative. Rural radios are one of the most widespread forms of media used in Congo and therefore can facilitate a community’s dialogue as well as knowledge-sharing on adaptation to climate change. At the same time, the project supported the creation of radio networks where people were able to share knowledge and experiences about the impact of climate change and food insecurity. In order to reinforce knowledge sharing, the project provided intensive training to 57 journalists of ten different rural radios based on broadcasting capabilities, participatory methodologies and technical notions regarding climate change and food nutrition. Openet and CSDI project increased the technology capacity of rural radios involved by providing them with lap-tops, modems and satellite connection.
Portail de l'eau du bassin versant de la rivière Saint-FrançoisACSG Section Montréal
Le COGESAF, organisme de bassin versant, doit réaliser un plan directeur de l’eau permettant d’améliorer la qualité de l’eau sur le bassin versant de la rivière Saint-François. Il doit concerter les acteurs de l’eau sur 10 230 km2 dont 15 % est en sol américain. Le COGESAF désire démocratiser l’accès à l’information nécessaire à la gestion intégrée de l’eau dans son Portail de l’eau du bassin versant de la rivière Saint-François : À la confluence de l’information et de l’action. Ce projet vise également à gérer les informations sur l’eau à partir de leur référence géographique, essentielle pour l’application de la gestion intégrée de l’eau. Ce portail contient un outil de cartographie dynamique et une base de données pour le suivi des actions du plan directeur de l’eau. L’outil de cartographie dynamique disponible gratuitement en ligne permet aux acteurs de l’eau de s’approprier leur territoire en fonction du bassin versant de la rivière Saint-François, mais aussi, de voir comment se dessinent les limites de bassin versant à l’intérieur de leur territoire d’action et de jouer avec l’affichage des informations pertinentes. L’outil de cartographie dynamique est développé avec des logiciels libres ce qui permet de transférer le produit à un autre organisme de bassin versant. Des grandes villes seront intéressées à y puiser de l’information, tandis que des petites municipalités seraient grandement intéressée à y insérer des informations pour planifier l’aménagement du territoire. Des requêtes peuvent être faites sur le réseau hydrographique (upstream/downstream), calcul de longueur de tronçon, de superficie de lac. Le projet trouve sa pertinence autant à l’échelle locale, régionale, provinciale, fédérale et même internationale. Rappelons que les cours d’eau ne s’arrêtent pas aux frontières. Le projet est développé en partenariat avec le Centre d’information topographique de Sherbrooke, relevant de ressources naturelles Canada, ainsi que le MDDEP. http://www.geobase.ca/cogesaf/cogesaf.html.
Projet d'appui de l'OCDE pour la gestion des risques au Maroc - 3-4 Avril 2017. Info : www.oecd.org/fr/gov/risques/projet-appui-ocde-gestion-risques-maroc-atelier-avril-2017.htm
عرض الدورة التاسعة للمجلس الإداري للوكالة الحضرية للصويرة الذي ترأسه السيد عبد الأحد فاسي فهري، وزير إعداد التراب الوطني والتعمير والإسكان وسياسة المدينة، يوم 01 مارس بعمالة الصويرة.
Memoire : Conversion des données POS/PLU au format CNIG et réalisation d'appl...Marine Faucher
Mémoire de fin d'étude réalisé sur une période de 5 mois au service SIG de la DSIT du Grand-Nancy. Missions : Standardisation des données géographiques de POS/PLU au format CNIG et réalisation de deux applications cartographiques de consultation (usage interne et grand public)
Nus utilisons une application SIG pour traiter l’information spatiale projetée sur un périphérique informatique.
Un SIG est constitué :
Base de données –– l’information géographique que vous visualiserez et analyserez en utilisant des composants matériels et logiciels informatiques.
Composants matériels –– ordinateurs utilisés pour stocker les données, afficher les graphiques et traiter les données.
Logiciel informatique –– programme informatique qui s’exécute sur un composant matériel informatique et qui vous permet de travailler avec des données numériques spatiales ou autre. Un programme informatique qui fait partie du SIG est appelé une application SIG.
Avec une application SIG vous pouvez ouvrir et afficher des cartes numériques sur votre ordinateur, créer de nouvelles données spatiales à ajouter sur une carte.
Cartographie de l'évolution spatio-temporelle de la ville de Niamey (Niger) e...Barkawi MANSOUR
L’étude des changements d’occupation du sol constitue un intérêt capital pour la connaissance, la gestion, le suivi et l’évaluation de notre environnement. En effet depuis quelques décennies, la ville de Niamey connait une croissance démographique exponentielle. Ce phénomène a entrainé une dynamique urbaine caractérisée par l’augmentation et la densification des espaces urbanisés (bâti plus infrastructure) qui entrainent l’occupation des espaces naturels.
A cet effet le but de cette étude consiste à cartographier les changements d’occupation du sol de la ville de Niamey à partir des images satellitaires Landsat (1985, 1994, 2003 et 2016) et d’évaluer l’état de sécheresse météorologique par l’indice de précipitation standardisé (SPI).
L’approche méthodologique adoptée se base sur la classification des images Landsat, puis par la comparaison de ces classifications à l’aide des matrices de transitions entre les périodes 1985-1994, 1994-2003 et 2003-2016 afin de cartographier les changements intervenus. A l’issus de ces résultats il ressort une extension de l’espace bâti principalement dans la direction Nord, Nord-ouest qui se fait aux désavantages des zones de cultures, du sol nu, de la végétation. Dans le souci de mieux justifier les changements du couvert végétal pendant la période d’étude, nous avons fait recours à un indicateur de sécheresse météorologique.
Concernant l’évaluation de l’état de cette sécheresse, nous avons procédé par l’approche de l’indice de précipitation standardisé qui se base uniquement sur les données de précipitations de longue durée. Ainsi les données de précipitations Chirps ont servi au calcul de cet indice sur une période de 34 ans (1981-2014). Les résultats de cet indice ont permis de mettre en évidence non seulement les périodes sèches et les périodes humides enregistrés depuis 1981, mais aussi de faire le lien entre l’évolution du couvert végétal et cette sécheresse.
Les résultats issus de ce projet de fin d’étude ont servi à la conception et l’élaboration d’une base de données spatiale afin de mieux appréhender l’évolution spatio-temporelle de la ville de Niamey.
Les impacts du changement climatique sur la securite alimentarieFAO
This module is part of a course elaborated in the context of the collaboration between FAO project named Communication for Sustainable Development Initiative (CSDI) and Openet S.p.A. Technologies in the Democratic Republic of Congo. CSDI and Openet Technologies S.p.A launched (2012) the initiative ‘Rural radio’ to support sustainable agricultural development in DRC. This initiative was part of the Satellite Way for Education Project funded by Openet and the European Space Agency (ESA): the main objective is to strengthen initiatives and preparedness interventions in the field of ComDev on climate change, food security and rural livelihoods. With the support of AMARC and thanks to Openet technical assistance, a number of rural radios have taken part in the initiative. Rural radios are one of the most widespread forms of media used in Congo and therefore can facilitate a community’s dialogue as well as knowledge-sharing on adaptation to climate change. At the same time, the project supported the creation of radio networks where people were able to share knowledge and experiences about the impact of climate change and food insecurity. In order to reinforce knowledge sharing, the project provided intensive training to 57 journalists of ten different rural radios based on broadcasting capabilities, participatory methodologies and technical notions regarding climate change and food nutrition. Openet and CSDI project increased the technology capacity of rural radios involved by providing them with lap-tops, modems and satellite connection.
Portail de l'eau du bassin versant de la rivière Saint-FrançoisACSG Section Montréal
Le COGESAF, organisme de bassin versant, doit réaliser un plan directeur de l’eau permettant d’améliorer la qualité de l’eau sur le bassin versant de la rivière Saint-François. Il doit concerter les acteurs de l’eau sur 10 230 km2 dont 15 % est en sol américain. Le COGESAF désire démocratiser l’accès à l’information nécessaire à la gestion intégrée de l’eau dans son Portail de l’eau du bassin versant de la rivière Saint-François : À la confluence de l’information et de l’action. Ce projet vise également à gérer les informations sur l’eau à partir de leur référence géographique, essentielle pour l’application de la gestion intégrée de l’eau. Ce portail contient un outil de cartographie dynamique et une base de données pour le suivi des actions du plan directeur de l’eau. L’outil de cartographie dynamique disponible gratuitement en ligne permet aux acteurs de l’eau de s’approprier leur territoire en fonction du bassin versant de la rivière Saint-François, mais aussi, de voir comment se dessinent les limites de bassin versant à l’intérieur de leur territoire d’action et de jouer avec l’affichage des informations pertinentes. L’outil de cartographie dynamique est développé avec des logiciels libres ce qui permet de transférer le produit à un autre organisme de bassin versant. Des grandes villes seront intéressées à y puiser de l’information, tandis que des petites municipalités seraient grandement intéressée à y insérer des informations pour planifier l’aménagement du territoire. Des requêtes peuvent être faites sur le réseau hydrographique (upstream/downstream), calcul de longueur de tronçon, de superficie de lac. Le projet trouve sa pertinence autant à l’échelle locale, régionale, provinciale, fédérale et même internationale. Rappelons que les cours d’eau ne s’arrêtent pas aux frontières. Le projet est développé en partenariat avec le Centre d’information topographique de Sherbrooke, relevant de ressources naturelles Canada, ainsi que le MDDEP. http://www.geobase.ca/cogesaf/cogesaf.html.
Stage ingénieur/master 2 pour 2019
Analyse des coûts associés à l'érosion des sols en contexte agricole (Haute-Normandie, France)
Envoyer CV et lettre de motivation
Date limite de candidature : 21/12/2018
Entretiens : 08/01/2019
La Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique de 340 kilomètres de long traverse 4 bassins versants (l’Indre, la Vienne, la Charente et la Dordogne) incluant chacun de nombreux cours d’eau, des zones humides ou encore des nappes d’eau souterraine.
Les bassins versants sont des entités hydrologiques cohérentes dans lesquels tous les écoulements des eaux convergent vers un même point, exutoire de ce bassin.
Les ressources en eau d’un bassin versant peuvent être soumises à de fortes pressions anthropiques (usages domestiques, agricoles, industriels, etc.) qui peuvent dégrader sa qualité et porter atteinte aux milieux aquatiques.
Potentiellement, la construction d’une infrastructure de transport comme la LGV SEA peut elle aussi avoir de nombreux impacts sur les ressources en eau aussi bien pendant la phase de travaux (2012-2016) que pendant la phase d’exploitation (à partir de 2017).
Afin d’évaluer ces impacts, des suivis des différentes ressources en eau sont nécessaires ; ils portent aussi bien sur des aspects quantitatifs que qualitatifs.
La Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique de 340 kilomètres de long traverse 4 bassins versants (l’Indre, la Vienne, la Charente et la Dordogne) incluant chacun de nombreux cours d’eau, des zones humides ou encore des nappes d’eau souterraine.
Les bassins versants sont des entités hydrologiques cohérentes dans lesquels tous les écoulements des eaux convergent vers un même point, exutoire de ce bassin.
Les ressources en eau d’un bassin versant peuvent être soumises à de fortes pressions anthropiques (usages domestiques, agricoles, industriels, etc.) qui peuvent dégrader sa qualité et porter atteinte aux milieux aquatiques.
Potentiellement, la construction d’une infrastructure de transport comme la LGV SEA peut elle aussi avoir de nombreux impacts sur les ressources en eau aussi bien pendant la phase de travaux (2012-2016) que pendant la phase d’exploitation (à partir de 2017).
Afin d’évaluer ces impacts, des suivis des différentes ressources en eau sont nécessaires ; ils portent aussi bien sur des aspects quantitatifs que qualitatifs.
La future Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique (LGV SEA) de 340 kilomètres de long traverse 4 bassins versants (l’Indre, la Vienne, la Charente et la Dordogne) incluant chacun de nombreux cours d’eau (884 cours d’eau au total), des zones humides ou encore des nappes d’eau souterraines.
Les bassins versants sont des entités hydrologiques cohérentes dans lesquels tous les écoulements des eaux convergent vers un même point, exutoire de ce bassin.
Les ressources en eau d’un bassin versant sont cependant soumises à de fortes pressions anthropiques (usages domestiques, agricoles industriels …) qui peuvent dégrader sa qualité et porter atteinte aux milieux aquatiques.
Potentiellement, la construction d’une infrastructure de transport comme la LGV SEA peut elle aussi avoir de nombreux impacts sur les ressources en eau aussi bien pendant la phase de travaux que pendant la phase d’exploitation.
Afin d’évaluer ces impacts, des suivis des différentes ressources en eau sont nécessaires ; ils portent aussi bien sur des aspects quantitatifs que qualitatifs.
Dans le cadre de la LGV SEA, la construction de près de 600 ouvrages hydrauliques (buses ou cadres pour les petits écoulements, viaducs ou ponts pour les cours d’eau les plus importants) est prévue sur l’ensemble du tracé afin de faciliter l’écoulement des eaux. Ils ont fait l’objet d’aménagements particuliers pour rétablir la circulation des poissons et des animaux à proximité. Au niveau du bassin de l’Indre, 3 viaducs ont été construits au-dessus de l’Indre (entre les communes de Veigné et de Montbazon), de la Manse (à Sepmes) et de la Vienne (entre Ports-sur-Vienne et Nouâtre).
Ces ouvrages hydrauliques sont prévus pour perturber le moins possible les écoulements naturels mais ne sont pas sans conséquence et peuvent porter atteinte au milieu aquatique et influer sur la continuité des cours d’eau. La réalisation des ouvrages et du rétablissement hydraulique doit respecter le principe de libre circulation des poissons (Code rural) et l’implantation de l’ouvrage doit se faire au plus proche du lit naturel du cours d’eau existant pour éviter une dérivation trop importante.
Inventaireet caractérisation des bas-fonds dans le bassin versant de l’Oti au...IJEAB
These last decades, the exploitation of the inlands valleys increased considerably in number and surface because of the fertility of their soils and their hydromorphycharacter. The present article aims to analyze the potential in inlands valleys in the south of the Otibasin pouring. The methodological approach rests on the semiautomatic method that took in account the indications of vegetation (NDVI, NDWI, TWI) and the parameters (slope and accumulation of water) generated from the pictures Landsat OLI and ASTER DEMS. Besides the characterization of the inland valley inventoried has been based on the cutoff phytogeographical, on the biophysical and socioeconomic data of the basin. The achieved analysis multi criteria permitted to estimate the surface of the inlands valleys identified to 359 894,92 ha is 44,79% of the total surface of the south part of the Oti basin pouring. About 28698 flexible inlands valley covering a surface of 53 588,06 ha have been inventoried and represent about 6,67% of the total surface. Also, it is noted that 6,33% of the surface of the inlands valley inventoried by the semiautomatic method, either 42,52% of the potential in flexible inlands valleys are known by the local authorities of the Townships of the departments of the Atacora and the Donga. To the total, three types of inlands valleys came out again after characterization. It is about the inlands valleys of the massive atacoriens (BFMA), the inlands valleys of the wavy peneplain (BFPO) and the inlands valleys of the gourmaplain (BFPG). The exploitation rational of these shallows became unavoidable considering the present necessities and for the future agricultural perspectives.
La future Ligne à Grande Vitesse Sud Europe Atlantique de 340 kilomètres de long traverse 4 bassins versants (l’Indre, la Vienne, la Charente et la Dordogne) incluant chacun de nombreux cours d’eau (884 cours d’eau au total), des zones humides ou encore des nappes d’eau souterraines.
Les bassins versants sont des entités hydrologiques cohérentes dans lesquels tous les écoulements des eaux convergent vers un même point, exutoire de ce bassin.
Les ressources en eau d’un bassin versant sont cependant soumises à de fortes pressions anthropiques (usages domestiques, agricoles industriels …) qui peuvent dégrader sa qualité et porter atteinte aux milieux aquatiques.
Potentiellement, la construction d’une infrastructure de transport comme la LGV SEA peut elle aussi avoir de nombreux impacts sur les ressources en eau aussi bien pendant la phase de travaux que pendant la phase d’exploitation.
Afin d’évaluer ces impacts, des suivis des différentes ressources en eau sont nécessaires ; ils portent aussi bien sur des aspects quantitatifs que qualitatifs.
Dans le cadre de la LGV-SEA, la construction de près de 600 ouvrages hydrauliques (buses ou cadres pour les petits écoulements, viaducs ou ponts pour les cours d’eau les plus importants) est prévue sur l’ensemble du tracé afin de faciliter l’écoulement des eaux. Ils ont fait l’objet d’aménagements particuliers pour rétablir la circulation des poissons et des animaux à proximité. Au niveau du bassin de la Vienne, 3 viaducs ont été construits : Auxance, Boivre et Vonne.
Ces ouvrages hydrauliques sont prévus pour perturber le moins possible les écoulements naturels mais ne sont pas sans conséquence et peuvent porter atteinte au milieu aquatique et influer sur la continuité des cours d’eau. La réalisation des ouvrages et du rétablissement hydraulique doit respecter le principe de libre circulation des poissons (Code rural) et l’implantation de l’ouvrage doit se faire au plus proche du lit naturel du cours d’eau existant pour éviter une dérivation trop importante.
1. Direction de l’Information sur l’Eau
Service de la Banque de données intégrées
Atlas hydrographique du Bénin
Un Système d’Information sur l’hydrographie
Ministère des Mines, de l’Energie et de l’Eau
DIRECTION GENERALE DE L’EAU
Septembre 2008
Equipe de réalisation
Félix AZONSI DIE
Aurélien TOSSA SBDI/DIE
Martin KPOMASSE C/SBDI/DIE
Flavien LANHOUSSI SH/DIE
Arnaud ZANNOU
Antoine GOHOUNGOSSOU
SH/DIE
C/SH/DIE
FINANCEMENT DANIDA
Programme d’appui au développement du secteur Eau et Assainissement
2. 2
PREFACE
Sous l’autorité du Ministre des Mines, de l’Energie et de l’Eau, la
Direction Générale de l’Eau (DG-Eau) a pour mission d’élaborer la politique
nationale de l’eau et de veiller à sa mise en œuvre. Elle est chargée entre autres
attributions : (i) d’assurer la collecte des données relatives à la gestion des
ressources en eau, aux ouvrages et aménagements hydrauliques et aux
différentes utilisations de l'eau ; (ii) de mettre en place et d’assurer le
fonctionnement du système d’information sur l’eau ; (iii) d’assurer la diffusion
des données et des connaissances en vue d’une gestion durable de l’eau.
Pour atteindre ces objectifs spécifiques, la DG-Eau a bénéficié, depuis
1998, d’un Programme d’Appui à la gestion des ressources en eau (AGRE)
dont les objectifs étaient le renforcement des systèmes d’information sur les
ressources en eau, et appui à la révision du code de l’eau.
Le programme AGRE s’est déroulé entre 2002 et 2005 et a permis de
mettre en place les outils (institutionnels et matériels) pour atteindre les
objectifs du programme.
En 2004 le Ministère chargé de l’hydraulique d’alors, actuellement
Ministère des Mines, de l’Energie et de l’Eau a mis en place le Secrétariat
Permanent de la GIRE. Les objectifs de ce secrétariat étaient entre autres : i-)
développer la ressource à travers une gestion globale confiée à une structure
unique regroupant toutes les fonctions techniques permettant à tout moment
de disposer des informations sur les ressources et d’envisager toute action à
leur égard ; ii-) Instaurer la gestion par bassin ce permettra de disposer de
schémas directeurs d’aménagement des eaux de chaque bassin et l’élaboration
des consignes d’exploitation des systèmes hydrauliques.
En 2006 la DPGE a repris les attributions du SP-GIRE comme
Direction Technique placée sous la responsabilité du Directeur Générale de
l’Eau.
Pour atteindre ces objectifs il s’avère indispensable de développer un
outil permettant de capitaliser les acquis du programme AGRE et d’avoir des
statistiques fiables sur la ressource en eau et ses différents usages. Ainsi la
Banque de données intégrées (BDI) a été créée et le Service de la Banque de
Données Intégrée (SBDI) qui en a la charge s’active au sein de la Direction de
3. 3
l’Information sur l’Eau pour collecter les données sur les ressources en eau et
les usages au Bénin.
Ce document intitulé Atlas hydrographique du Bénin présente les
données du système d’Information Hydrographique de la Banque de Données
Intégrée de la Direction Générale de l’Eau.
La réalisation de ce document a été rendue possible grâce à un appui
financier du Royaume de Danemark qui est l’un des plus importants
partenaires financiers du Bénin pour les différents programmes de Gestion
des Ressources en Eau.
Samari BANI
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Introduction
La Banque de données Intégrée sur l’eau est un outil stratégique qui doit
fournir l’information sur l’eau et proposer des outils adéquats pour sa gestion. Pour
ce faire, le Service de la Banque de données Intégrée, au-delà de sa mission de
coordination des données qui sont collectées par les Services spécifiques, doit
disposer des outils de gestion de l’information géographique qui permettent de
structurer et d’analyser l’information spatialisée nécessaire à toute prise de décision
au niveau territorial.
Ainsi, la réalisation d’un système d’information hydrographique à référence
spatiale s’inscrit dans ce cadre. Elle consiste à l’élaboration d’une base de données
numérique sur le réseau hydrographique du Bénin. Autrement, il s’agit de la mise en
place d’une plate forme d’informations géographiques «géoréférencées » avec
adressage précis sur le réseau hydrographique et les aménagements réalisés sur ce
réseau.
A- Contexte
Les informations sur l’hydrographie du Bénin dans ses aspects généraux :
tracé des drains, limites des bassins versants, toponymie, données morphologiques,
n’existent sur le Bénin qu’a travers les documents topographiques de l’IGN Bénin.
Ces documents sont en support papier. L’objectif de ce travail est la réalisation de
l’atlas hydrographique du Bénin qui sera une base de données électronique qui
renseigne sur le tracé des drains, les limites des bassins versants, la toponymie, les
données morphologiques et les ouvrages hydrauliques réalisés sur ces différents
drains.
En effet, le Service de la base de données intégrée enregistre souvent des
requêtes relatives aux données graphiques : localisation d’un cours d’eau ou d’un
plan d’eau, intersections entre les limites des localités administratives et les limites
des bassins versants, morphologie des bassins versants et autres. C’est pour
répondre à ces différentes sollicitations que la réalisation de cette activité a été
initiée. Elle consiste donc à la réalisation des tâches ci-après :
• Enquêter auprès des autorités locales (Maires chefs d’arrondissements sur le
potentiel hydrographique de leurs localités).
• Géoréférencer les aménagements hydrauliques (retenue d’eau des barrages et
surcreusements de mare) réalisés sur chaque drain du réseau hydrographique
qui irrigue leurs territoires administratifs.
• Identifier la toponymie des drains à écoulement pérenne ou semi pérenne
Pour accomplir ces différentes tâches, la méthodologie suivante à été adoptée :
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B- Méthodologie
La méthodologie adoptée, pour la réalisation de ce document s’est déroulée en
deux étapes : une première étape au bureau et une deuxième sur le terrain.
• Au bureau :
Le territoire du Bénin n’est couvert entièrement que par les cartes
topographiques à l’échelle de 1/200 000. Ces documents en support papier ont été
numérisés et ont servi de fond pour restituer la toponymie des drains obtenus à
partir d’un modèle numérique de terrain (MNT).
En effet, il existe un MNT (SRTM) établi par US force Army qui couvre tout
le Bénin et qui est disponible gratuitement sur Internet. Cette base de données
altimétriques permet l’extraction du réseau hydrographique et les limites des bassins
versants avec le logiciel ArcGIS (SIG). Les données obtenues à partir de ces deux
sources d’information sont vérifiées par les observations faites sur le terrain.
• Sur le terrain
Sur le terrain les démarches suivantes ont été adoptées :
i. Enquêter auprès des autorités locales (Maires chefs
d’arrondissements sur le potentiel hydrographique de leurs
localités.
ii. Prendre les références géographiques (Coordonnées) et les
attributs de toponymie convenables.
iii. Prendre les références géographiques des ouvrages
hydrauliques réalisés sur chaque drain.
iv. Faire le point des ouvrages recensés avec la liste des
ouvrages obtenue auprès de la Direction du Génie rural.
Quarte missions de terrain ont été nécessaires pour la couverture totale du
territoire. Le tableau ci-dessous fait le point des missions :
Tableau 1 : Rappel des missions de collecte de données
Mission Date Département
1 15 au 29 Mai 2007 Atacora-Alibori (sauf Gogounou)
2 17 juin au 03 juillet 2007 Alibori(Gogounou)Borgou Donga
3 19 Août au 04 Septembre 2007 Plateau, Mono, Zou, Collines
4 19 au 24 novembre 2007 Atlantique et l’Ouémé
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C- Rappel sur l’hydrographie du bénin
Le Bénin est délimité dans un ensemble de grands bassins de la sous région
Ouest Africaine : le bassin du Niger, le bassin de la Volta, et le grand ensemble
côtier composé du bassin du Mono et Couffo, le bassin de l’Ouémé et Yéwa. La
densité du réseau hydrographique offre des unités spatiales d’étude hydrologique de
tailles très variables. L’Organisation Mondiale de la Météorologie attribut à chaque
bassin un code. Ainsi l’indicatif pays pour le Bénin est le 111. Le bassin de l’Ouémé
porte le code 45, le bassin du Niger le code 15, le bassin de la Volta le code 27 et le
Bassin du Mono le code 40. Bassin du Couffo 35
D-Résultats
Les résultats de cette activité se présentent sous deux aspects : les résultats
concernant l’hydrographie et les résultats concernant les ouvrages hydrauliques et
sites touristiques liées à l’eau.
Pour l’hydrographie, le document présente, pour l’ensemble du pays, le réseau
hydrographique et les attributs de toponymies.
Les données graphiques (vecteur) concernent le réseau hydrographique et les
limites des bassins et sous-bassin versants des grands ensembles hydrographiques à
l’intérieur desquels les limites territoriales du Bénin sont tracées. A cela s’ajoute les
attributs (toponymie) du réseau hydrographique. Les données graphiques du réseau
hydrographique superposées aux limites des bassins versants permettent de faire la
représentation à différentes échelles des bassins hydrographiques et d’autres entités
physiques appartenant à ces territoires naturels d’action et de gestion des ressources
en eau.
Ce document contient un ensemble de planches qui présentent les grands
ensembles hydrographiques du Bénin. Ces grands ensembles sont composés de
basins versants des principaux cours d’eau du Bénin à savoir l’Ouémé et ses
principaux affluents que sont le Zou et l’Okpara, le Niger et ses affluents du Bénin
que sont l’Alibori, la Mékrou et la Sota, le Couffo et le Mono. Ces bassins versants
sont déclinés en sous-bassins versants dont un échantillon est présenté sous forme
de planches.
Au delà des attributs de toponymie la base de données qui vient d’être réée
renseigne sur la superficie, le périmètre des bassins versants, l’ordre et la longueur
des drains, les directions préférentielles des écoulements. A ces attributs peuvent
s’ajouter ou se déduire de multitudes d’autres pour définir d’autres paramètres
physiques comme le coefficient de compacité, la pente et les paramètres relatives à
la qualité de l’eau.
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Pour les ouvrages hydrauliques et sites touristiques liées à l’eau sur
l’ensemble du pays, sur les deux cent soixante (260) ouvrages hydrauliques recencés
et géoréférencés, cent quatre vingt sept (196) sont des barrages à usage
agropastoral, cinquante quatre (54) surcreusements de retenues d’eau à usage
pastoral et dix (10) sites touristiques (Chutes et cascades) dans les départements de
l’Atacora et de l’Alibori. Le tableau 2 récapitule la répartition de ces ouvrages et
sites par communes. Le tableau 2 présente la répartition des ouvrages par
circonscription administrative.
Les tableaux 3 et 4 présentent l’état des retenues et des digues observés lors de la
réalisation de ce travail en 2007. Pour l’ensemble des ouvrages visités, la majorité
des ouvrages sont dans un état qui nécessité une intervention urgente.
Sur les deux cents cinquante (250) ouvrages recensés, cent dix ouvrages (110) ont
besoin d’une réfection urgente de leurs digues.
La figure 1 présente la typologie du réseau hydrographique du Bénin. Cette
typologie montre que notre réseau hydrographique présente des potentialités de
navigabilité surtout dans la partie méridionale.
9. Tableau 3 : Etat des retenues
Etat de la retenue d’eau
Departement Type Abandonné Acceptable Bon Détruit Mauvais
Réfection
urgente
très
mauvais
Total
général
ALIBORI Barrage 1 15 26 42
Surcreusement
de mare 1 1 21 23
Total ALIBORI 1 16 1 47 65
ATACORA Barrage 2 10 3 36 51
Total ATACORA 2 10 3 36 51
BORGOU Barrage 1 17 1 10 32 1 62
Surcreusement
de mare 10 1 11 22
Total
BORGOU 1 27 1 11 43 1 84
COLLINES Barrage 1 1 24 1 1 28
Total COLLINES 1 1 24 1 1 28
COUFFO Barrage 4 4
Total COUFFO 4 4
DONGA Barrage 7 1 6 14
Surcreusement
de mare 1 1
Total DONGA 7 1 7 15
PLATEAU Barrage 2 1 3
Total
PLATEAU 2 1 3
Total général 5 1 90 2 16 135 1 250
10. Tableau 4 : Etat des digues
Etat de la digue
Departement Type Acceptable Bon Endommagé Inexistant Mauvais
Réfection
urgente
Réfection
urgente
Très
mauvais
Total
général
ALIBORI Barrage 19 1 22 42
Surcreusement
de mare 1 1 20 1 23
Total ALIBORI 20 1 1 42 1 65
ATACORA Barrage 11 2 12 26 51
Total ATACORA 11 2 12 26 51
BORGOU Barrage 30 2 8 21 1 62
Surcreusement
de mare 10 12 22
Total BORGOU 40 2 8 33 1 84
COLLINES Barrage 1 24 1 2 28
Total COLLINES 1 24 1 2 28
COUFFO Barrage 4 4
Total COUFFO 4 4
DONGA Barrage 7 1 1 5 14
Surcreusement
de mare 1 1
Total DONGA 7 1 1 6 15
PLATEAU Barrage 2 1 3
Total PLATEAU 2 1 3
Total général 1 108 3 3 23 110 1 1 250
11. Figure 1 : Réseau hydrographique (type d’écoulement et toponymie)
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Le réseau hydrographique est structuré en grands ensembles hydrographiques qui
sont des ensembles sous-régionaux. La figure 2 présente ces grands ensembles.
Figure 3 Les grands ensembles hydrographiques
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Quatre grands ensembles ont été identifiés : le bassin hydrographique du
Niger, les bassins hydrographique de la Volta, le bassin hydrographique côtier qui
comprend du coté Ouest l’ensemble Mono-Couffo et du coté Est l’ensemble
Ouémé-Yéwa. Tout l’ensemble côtier se jette dans un système lagunaire qui relie les
deux ensembles Ouest et Est. Ces grands ensembles hydrographiques sont
découpés en bassins versants, unité de gestion des ressources en eau
universellement reconnue. La figure 4 présente les bassins versants du Bénin.
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Figure 4 Les Bassins versants du Bénin
Les bassins versants sont découpés en sous-bassins hydrographiques (figure
5) qui sont les unités hydrologiques primaires les mieux indiquées pour les travaux
de modélisation. Au total, quatre vingt six (86) sous-bassins sont identifiés.
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Figure 6 : Ouvrages hydrauliques et Sites touristiques
La figure 6 présente la répartition des ouvrages hydrauliques et des sites
touristiques
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Dans l’ensemble, les objectifs fixés par cette activité sont atteints. L’atlas
hydrographique est réalisé et est disponible en version électronique. Le SBDI
dispose désormais des données sur le réseau hydrographique, les limites des bassins
versants, les références géographiques des ouvrages hydrauliques (barrages et
surcreusements) et les sites touristiques liés aux ressources en eau.
Remerciements
Le Service de la BDI remercie le Royaume du Danemark pour avoir financé ce
travail à travers le PASEA II. Il remercie également toutes les autorités de la DG-
Eau qui ont facilité l’accomplissement de cette mission. Nos remerciements vont
également aux Maires de toutes les Communes et particulièrement aux chefs des
Services Techniques qui nous ont apporté une très grande assistance.