JDCHE 20-21 - Antilope : Vers un système bon marché de mesure des polluants ...
Benoit de mey - optiver
1. Projet First HE – OPTIVER
Journée des chercheurs - 23 novembre 2017
De Mey Benoît : Assistant de recherche
Rivière John : Chargé de recherche
Lanterbecq Déborah : Responsable
Laboratoire de biotechnologie et biologie appliquée
Haute Ecole Provinciale de
Hainaut Condorcet
CARAH asbl
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2. Plan de présentation
• But du projet
• Partenaires du projet
• Les différentes étapes du projet
• Essais préliminaires
• Tests paramétriques
• Proportion de LC
• Porosité de filtration
• Durée de brassage
• Mode de brassage
• Brassage laboratoire
• Développement d’un prototype
• Comparaison échelle labo / échelle prototype + conservation
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3. But : « Développement d'un fertilisant liquide à
base de lombricompost » 3
8. Les différentes étapes du projet OPTIVER
• Test paramétrique - ccl : 5% , 24H , 100µM , rotative
• Brassage laboratoire :
• Evaluer conservation des thés dans le temps
• Comparer le LC avec le TLC aux différentes dates d’extraction d’ADN
microbiologie chimie biomoléculaire
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9. Les différentes étapes du projet OPTIVER
• Développement d’un prototype de brasseur/extracteur
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11. Les différentes étapes du projet OPTIVER
• Comparaison entre l’échelle laboratoire et l’échelle prototype
VS
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12. Les différentes étapes du projet OPTIVER
• Conservation dans le temps des thés après filtration sur prototype
• Différences entre filtration « à plat » et « inclinée » pour le prototype
microbiologie chimie biomoléculaire NGS
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Le but du projet est vraiment de caractériser au maximum le thé de lombricompost et ce qui nous a aider à faire ça c’est le prototype.
Le but du projet est vraiment de caractériser au maximum le thé de lombricompost et ce qui nous a aider à faire ça c’est le prototype.
Qualités microbiologiques des LC et TLC : en plus d’être un fertilisant minéral, il apporte des microorganismes intéressants pour la plante et le sol.
Insister sur le fait que PURVER est parrain et non partenaire du projet, que la région wallonne a apporté les fonds et que Synhera apporte un soutien au projet.
Le premier gros problème est un problème logistique : La filtration (gâteau devient trop imposant) et ça sera encore pire au niveau industriel.
À 20% pas plus de bactéries qu’à 5% (on a une zone de stagnation entre 5 et 20%).
Au plus on augmente le %, au plus les coûts pour l’entreprise deviennent peu intéressants.
Éléments chimiques : en fonction de leur solubilité, la concentration d’éléments solubles vont augmenter dans le TLC au plus on augmente la quantité de LC au début. Au contraire de ceux qui ne sont pas très soluble, ce n’est pas parce qu’on va augmenter la matière première (LC) qu’ils vont se retrouver en plus grande quantité dans le TLC (au contraire ils vont saturer).
Microorganismes : au plus on augmente la concentration en LC, au plus la quantité de microorganismes se retrouvant dans le TLC augmente. MAIS quand on arrive vers 5% de LC, la quantité de microorganismes se retrouvant dans le TLC n’augmente plus ! On a une zone de stagnation vers 5, 10 et 20%.
On a filtré à 1000 µM pour s’assurer qu’on avait pas trop de pertes dans le TLC avec la filtration à 100 µM ok.
Du coup, on prend la filtration à 100 µM car la buse d’un pulvérisateur est de 150 µM et ainsi on est sûr de ne pas tout colmater les différentes buses de pulvérisations.
Pour industriel, le temps est de l’argent, le meilleur compromis est de 24H (Si on multiplie le temps par 2, le nombre de CFU va augmenter mais vraiment pas beaucoup, du coup ça ne sert à rien de prendre le temps 48H ni 96H).