Genève 2050 - Comment nous déplacerons-nous en 2050? Evolution des modes de travail, transition numérique, augmentation des déplacements de loisir, quelles nouvelles solutions pour demain?
30 minutes pour demain - La décarbonation et financement de la mobilité : enj...Leonard
Le changement climatique constitue un défi majeur pour l’humanité. Avec les modes de production d’énergie, les transports sont au centre de l’attention et des stratégies d’action déployées pour tenter d’atteindre cet objectif. Pour cause, le secteur représente aujourd’hui près du quart des émissions à l’échelle mondiale. Les objectifs ambitieux en matière de décarbonation de la mobilité appellent d’importantes transformation de nos modes de déplacements. Le temps d’action est court et les solutions coûteuses au regard de l’effort à fournir.
Pourtant, les enjeux de la décarbonation de la mobilité et de son financement sont liés : décarboner la mobilité passe une réflexion sur son financement ; le financement de la mobilité de demain ne peut l’impasse sur l’impératif de décarbonation. Dès lors, comment penser les deux enjeux de pair ? Quels enseignements peut-on retirer des expériences internationales en la matière ? Comment rendre la transformation du système de financement de la mobilité, et avec elle la décarbonation du secteur, acceptable ?
Camille Combe est chargé de mission au sein de La Fabrique de la Cité depuis 2016.
Il travaille sur les différents projets liés aux mobilités et au numérique. Il a précédemment travaillé au département Stratégie et innovation de Transdev (Groupe Caisse des Dépôts) où il a aidé au pilotage de projets de réaménagement de parcs-relais, de développement du covoiturage et de l’autopartage.
Diplômé de l’École Urbaine de l’Institut d’Études Politiques de Paris, Camille s’intéresse particulièrement au rôle des nouveaux acteurs de l’innovation et des nouvelles technologies dans les villes. Attentif à l’évolution des cadres urbains, Camille s’intéresse aux impacts de la donnée sur les dynamiques urbaines.
Genève 2050 - Comment nous déplacerons-nous en 2050? Evolution des modes de travail, transition numérique, augmentation des déplacements de loisir, quelles nouvelles solutions pour demain?
30 minutes pour demain - La décarbonation et financement de la mobilité : enj...Leonard
Le changement climatique constitue un défi majeur pour l’humanité. Avec les modes de production d’énergie, les transports sont au centre de l’attention et des stratégies d’action déployées pour tenter d’atteindre cet objectif. Pour cause, le secteur représente aujourd’hui près du quart des émissions à l’échelle mondiale. Les objectifs ambitieux en matière de décarbonation de la mobilité appellent d’importantes transformation de nos modes de déplacements. Le temps d’action est court et les solutions coûteuses au regard de l’effort à fournir.
Pourtant, les enjeux de la décarbonation de la mobilité et de son financement sont liés : décarboner la mobilité passe une réflexion sur son financement ; le financement de la mobilité de demain ne peut l’impasse sur l’impératif de décarbonation. Dès lors, comment penser les deux enjeux de pair ? Quels enseignements peut-on retirer des expériences internationales en la matière ? Comment rendre la transformation du système de financement de la mobilité, et avec elle la décarbonation du secteur, acceptable ?
Camille Combe est chargé de mission au sein de La Fabrique de la Cité depuis 2016.
Il travaille sur les différents projets liés aux mobilités et au numérique. Il a précédemment travaillé au département Stratégie et innovation de Transdev (Groupe Caisse des Dépôts) où il a aidé au pilotage de projets de réaménagement de parcs-relais, de développement du covoiturage et de l’autopartage.
Diplômé de l’École Urbaine de l’Institut d’Études Politiques de Paris, Camille s’intéresse particulièrement au rôle des nouveaux acteurs de l’innovation et des nouvelles technologies dans les villes. Attentif à l’évolution des cadres urbains, Camille s’intéresse aux impacts de la donnée sur les dynamiques urbaines.
Voici le joli mois de mai, accompagné de ses arbres en fleurs et de son lot de jours fériés. Mais, dans le monde de l’énergie, pas question de flâner. En effet, le défi de la transition énergétique n’attend pas et ce mois-ci c’est l’Agence Internationale pour les Energies Renouvelables (IRENA) qui dévoile sa feuille de route pour une transition énergétique mondiale, intitulée « Global Energy Transformation : A Roadmap to 2050 ». Au sein de ce rapport l’IRENA insiste sur l’importance d’une production d’électricité renouvelable et estime que cette dernière pourra couvrir 86 % de la demande mondiale d’électricité à l’horizon 2050. Des retombées bénéfiques en termes d’émissions de GES et en termes économiques sont annoncées au sein de ce rapport. Enfin, il est rappelé que cette transition énergétique mondiale ne pourra se faire que si nous adaptons nos modes de vie et de consommation et, à cet effet, l’IRENA encourage les Etats à s’engager sur des trajectoires de neutralité carbone à long terme.
L’Inf’Ose de ce mois-ci se laisse donc porter par le vent de la transition et vous propose de faire le point sur le futur de la rénovation énergétique des bâtiments avec l’arrivée du carnet numérique du logement. Ensuite, nous irons faire un tour du côté de la mobilité urbaine, qui connaît une révolution avec l’arrivée des Nouveaux Véhicules Electriques Individuels. Mais, si l’idée d’une transition vers une société plus durable et neutre en carbone a de quoi séduire, dans les faits la conduite du changement s’avère plus compliquée que prévu. Pour traiter cette thématique, nous nous intéresserons aux perspectives d’un instrument d’incitation au changement qui a suscité la polémique dernièrement, la Contribution Climat-Energie, plus connue sous le nom de taxe carbone. Enfin, nous ferons un point sur les marchés de l’électricité en traitant du devenir de l’ARENH (Accès Régulé à l’Electricité Nucléaire Historique) en commençant par une présentation des différents mécanismes de stabilité du réseau. L’inf’OSE se terminera par l’actualité de l’entreprise minière Glencore au sujet de son engagement pour l’environnement.
Nous vous souhaitons une bonne lecture !
Voici le joli mois de mai, accompagné de ses arbres en fleurs et de son lot de jours fériés. Mais, dans le monde de l’énergie, pas question de flâner. En effet, le défi de la transition énergétique n’attend pas et ce mois-ci c’est l’Agence Internationale pour les Energies Renouvelables (IRENA) qui dévoile sa feuille de route pour une transition énergétique mondiale, intitulée « Global Energy Transformation : A Roadmap to 2050 ». Au sein de ce rapport l’IRENA insiste sur l’importance d’une production d’électricité renouvelable et estime que cette dernière pourra couvrir 86 % de la demande mondiale d’électricité à l’horizon 2050. Des retombées bénéfiques en termes d’émissions de GES et en termes économiques sont annoncées au sein de ce rapport. Enfin, il est rappelé que cette transition énergétique mondiale ne pourra se faire que si nous adaptons nos modes de vie et de consommation et, à cet effet, l’IRENA encourage les Etats à s’engager sur des trajectoires de neutralité carbone à long terme.
L’Inf’Ose de ce mois-ci se laisse donc porter par le vent de la transition et vous propose de faire le point sur le futur de la rénovation énergétique des bâtiments avec l’arrivée du carnet numérique du logement. Ensuite, nous irons faire un tour du côté de la mobilité urbaine, qui connaît une révolution avec l’arrivée des Nouveaux Véhicules Electriques Individuels. Mais, si l’idée d’une transition vers une société plus durable et neutre en carbone a de quoi séduire, dans les faits la conduite du changement s’avère plus compliquée que prévu. Pour traiter cette thématique, nous nous intéresserons aux perspectives d’un instrument d’incitation au changement qui a suscité la polémique dernièrement, la Contribution Climat-Energie, plus connue sous le nom de taxe carbone. Enfin, nous ferons un point sur les marchés de l’électricité en traitant du devenir de l’ARENH (Accès Régulé à l’Electricité Nucléaire Historique) en commençant par une présentation des différents mécanismes de stabilité du réseau. L’inf’OSE se terminera par l’actualité de l’entreprise minière Glencore au sujet de son engagement pour l’environnement.
Nous vous souhaitons une bonne lecture !
Benoit Roussey a témoigné lors de l'atelier "Energies renouvelables et Transport Public" organisé le 6 novembre dernier au salon de la croissance verte à Poitiers.
Le projet REPUTE (Renewable Energy in Public Transport Enterprise) vise à promouvoir au sein de l’Espace Atlantique européen l’usage des énergies renouvelables dans les transports publics.
Transition énergétique, Grand Annecy, Ou en est-on ?Gabriel Julé
Consommation d’énergie, émissions de gaz à eff et de serre, pollution atmosphérique, production d’énergies renouvelables : où se situe notre territoire ?
État des lieux en quelques chiffres-clés.
Du 10 octobre au 26 novembre 2015, près de 100 conférences gratuites à destination des établissements de l’enseignement supérieur seront animées par les experts bénévoles de l’association Avenir Climatique sur tout le territoire.
Baptisé le CliMarathon, cet événement a pour ambition de former des milliers d’étudiants aux enjeux Climat - Énergie, en vue de la COP21.
Organisée par l'association Avenir Climatique, dont l'objet est de faire des enjeux climatiques et énergétiques une priorité nationale, le CliMarathon est réalisé en étroite collaboration avec le Réseau Français des Étudiants pour le Développement Durable (REFEDD), 1e association étudiante sur les problématiques de développement durable, et la Coalition Climat qui regroupe plus de 130 organisations et mouvements.
Le CliMarathon reçoit le soutien de :
Jean JOUZEL, climatologue et vice-président du GIEC (Groupe d'experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat) ;
la Conférence des Grandes Ecoles (CGE) ;
la Conférence des Présidents d’Université (CPU) ;
du Collectif pour l’Intégration de la Responsabilité Sociétale et du Développement Durable dans l’Enseignement Supérieur (CIRSES) ;
de la Fondation pour la Nature et l’Homme ;
de la Fondation de France.
Vous trouverez des informations pratiques sur le site internet d’Avenir Climatique, l'affiche de l'évènement et une plaquette de présentation.
Le CliMarathon en bref :
Objectif : 100 conférences gratuites
Public : étudiants de l'enseignement supérieur (universités / écoles)
Sujets : Climat - Énergie - Négociations Internationales
Durée des conf' : 1h30 (y compris séance de questions)
Champ d'action : Territoire national
Période : début octobre à fin novembre
Conférence Plan climat Brest métropole océane 05 10 2011Brest métropole
Cette présentation accompagnait l'exposé sur le dérèglement climatique et ses conséquences de Bruno Rebelle, Directeur du Cabinet Synergence et spécialiste des plans climat.
Http://plan-climat.brest.fr
Construire l'économie circulaire ici et maintenant !Leonard
Loi anti-gaspillage pour une économie circulaire, RE2020, responsabilité élargie du producteur à l’horizon 2023 : le secteur de la construction – responsable d’environ un quart des émissions de CO2 et premier producteur de déchets en Europe – est appelé à accélérer sa transition vers une économie plus sobre en ressources naturelles et en émissions de gaz à effet de serre. Un effort d’autant plus crucial à l’heure des nouvelles instabilités géopolitiques et des tensions persistantes sur la chaîne logistique après deux ans de pandémie, qui rendent plus complexe l’approvisionnement sur les marchés mondiaux. Comment alors lever les freins au développement de l’économie circulaire dans la construction et réussir la transformation des métiers des villes et des territoires ?
Présentation de Jean-Marc Jancovici, président du Shift Project, dans le cadre des Ateliers du Shift du 10 novembre 2015, du projet du Shift sur la décarbonation de l'économie à travers des recommandations de mesures politiques, lors de la table ronde "« Libérer l’Europe du Carbone en quelques propositions de politiques publiques »
Accélérer les transitions écologique et énergétique avec un cadre propicePaperjam_redaction
Le 9 février dernier, la Chambre de commerce présentait, en vue de nourrir le débat électoral en cette année de double scrutin, ses 30 propositions concrètes «pour la prospérité et la croissance des entreprises». Ses propositions sont rassemblées dans six livrets thématiques comprenant des états des lieux, des constats sur les besoins et des solutions, dont celui-ci concernant les transitions écologique et énergétique.
Rapport d'activité 2016-2017 des fondations LISEALISEA
Depuis 2013, LISEA a souhaité s’inscrire en tant que réel partenaire des territoires que la LGV SEA traverse. Les deux fondations d’entreprise LISEA Carbone et LISEA Biodiversité sont une composante majeure de cette volonté d’accompagner les territoires et leurs acteurs. Depuis 4 ans, ce sont 184 projets qui ont fait l’objet d’un financement des Fondations.
En 2016, LISEA et MESEA se sont associés pour compléter leurs actions par un volet social et solidaire, en prenant en charge la gestion du Fonds de dotation Sillon Solidaire, piloté jusqu’alors par COSEA. Ce fonds finance et accompagne par un système de parrainage des projets luttant contre l’exclusion sociale sur les
départements traversés.
Voici le joli mois de mai, accompagné de ses arbres en fleurs et de son lot de jours fériés. Mais, dans le monde de l’énergie, pas question de flâner. En effet, le défi de la transition énergétique n’attend pas et ce mois-ci c’est l’Agence Internationale pour les Energies Renouvelables (IRENA) qui dévoile sa feuille de route pour une transition énergétique mondiale, intitulée « Global Energy Transformation : A Roadmap to 2050 ». Au sein de ce rapport l’IRENA insiste sur l’importance d’une production d’électricité renouvelable et estime que cette dernière pourra couvrir 86 % de la demande mondiale d’électricité à l’horizon 2050. Des retombées bénéfiques en termes d’émissions de GES et en termes économiques sont annoncées au sein de ce rapport. Enfin, il est rappelé que cette transition énergétique mondiale ne pourra se faire que si nous adaptons nos modes de vie et de consommation et, à cet effet, l’IRENA encourage les Etats à s’engager sur des trajectoires de neutralité carbone à long terme.
L’Inf’Ose de ce mois-ci se laisse donc porter par le vent de la transition et vous propose de faire le point sur le futur de la rénovation énergétique des bâtiments avec l’arrivée du carnet numérique du logement. Ensuite, nous irons faire un tour du côté de la mobilité urbaine, qui connaît une révolution avec l’arrivée des Nouveaux Véhicules Electriques Individuels. Mais, si l’idée d’une transition vers une société plus durable et neutre en carbone a de quoi séduire, dans les faits la conduite du changement s’avère plus compliquée que prévu. Pour traiter cette thématique, nous nous intéresserons aux perspectives d’un instrument d’incitation au changement qui a suscité la polémique dernièrement, la Contribution Climat-Energie, plus connue sous le nom de taxe carbone. Enfin, nous ferons un point sur les marchés de l’électricité en traitant du devenir de l’ARENH (Accès Régulé à l’Electricité Nucléaire Historique) en commençant par une présentation des différents mécanismes de stabilité du réseau. L’inf’OSE se terminera par l’actualité de l’entreprise minière Glencore au sujet de son engagement pour l’environnement.
Nous vous souhaitons une bonne lecture !
Voici le joli mois de mai, accompagné de ses arbres en fleurs et de son lot de jours fériés. Mais, dans le monde de l’énergie, pas question de flâner. En effet, le défi de la transition énergétique n’attend pas et ce mois-ci c’est l’Agence Internationale pour les Energies Renouvelables (IRENA) qui dévoile sa feuille de route pour une transition énergétique mondiale, intitulée « Global Energy Transformation : A Roadmap to 2050 ». Au sein de ce rapport l’IRENA insiste sur l’importance d’une production d’électricité renouvelable et estime que cette dernière pourra couvrir 86 % de la demande mondiale d’électricité à l’horizon 2050. Des retombées bénéfiques en termes d’émissions de GES et en termes économiques sont annoncées au sein de ce rapport. Enfin, il est rappelé que cette transition énergétique mondiale ne pourra se faire que si nous adaptons nos modes de vie et de consommation et, à cet effet, l’IRENA encourage les Etats à s’engager sur des trajectoires de neutralité carbone à long terme.
L’Inf’Ose de ce mois-ci se laisse donc porter par le vent de la transition et vous propose de faire le point sur le futur de la rénovation énergétique des bâtiments avec l’arrivée du carnet numérique du logement. Ensuite, nous irons faire un tour du côté de la mobilité urbaine, qui connaît une révolution avec l’arrivée des Nouveaux Véhicules Electriques Individuels. Mais, si l’idée d’une transition vers une société plus durable et neutre en carbone a de quoi séduire, dans les faits la conduite du changement s’avère plus compliquée que prévu. Pour traiter cette thématique, nous nous intéresserons aux perspectives d’un instrument d’incitation au changement qui a suscité la polémique dernièrement, la Contribution Climat-Energie, plus connue sous le nom de taxe carbone. Enfin, nous ferons un point sur les marchés de l’électricité en traitant du devenir de l’ARENH (Accès Régulé à l’Electricité Nucléaire Historique) en commençant par une présentation des différents mécanismes de stabilité du réseau. L’inf’OSE se terminera par l’actualité de l’entreprise minière Glencore au sujet de son engagement pour l’environnement.
Nous vous souhaitons une bonne lecture !
Benoit Roussey a témoigné lors de l'atelier "Energies renouvelables et Transport Public" organisé le 6 novembre dernier au salon de la croissance verte à Poitiers.
Le projet REPUTE (Renewable Energy in Public Transport Enterprise) vise à promouvoir au sein de l’Espace Atlantique européen l’usage des énergies renouvelables dans les transports publics.
Transition énergétique, Grand Annecy, Ou en est-on ?Gabriel Julé
Consommation d’énergie, émissions de gaz à eff et de serre, pollution atmosphérique, production d’énergies renouvelables : où se situe notre territoire ?
État des lieux en quelques chiffres-clés.
Du 10 octobre au 26 novembre 2015, près de 100 conférences gratuites à destination des établissements de l’enseignement supérieur seront animées par les experts bénévoles de l’association Avenir Climatique sur tout le territoire.
Baptisé le CliMarathon, cet événement a pour ambition de former des milliers d’étudiants aux enjeux Climat - Énergie, en vue de la COP21.
Organisée par l'association Avenir Climatique, dont l'objet est de faire des enjeux climatiques et énergétiques une priorité nationale, le CliMarathon est réalisé en étroite collaboration avec le Réseau Français des Étudiants pour le Développement Durable (REFEDD), 1e association étudiante sur les problématiques de développement durable, et la Coalition Climat qui regroupe plus de 130 organisations et mouvements.
Le CliMarathon reçoit le soutien de :
Jean JOUZEL, climatologue et vice-président du GIEC (Groupe d'experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat) ;
la Conférence des Grandes Ecoles (CGE) ;
la Conférence des Présidents d’Université (CPU) ;
du Collectif pour l’Intégration de la Responsabilité Sociétale et du Développement Durable dans l’Enseignement Supérieur (CIRSES) ;
de la Fondation pour la Nature et l’Homme ;
de la Fondation de France.
Vous trouverez des informations pratiques sur le site internet d’Avenir Climatique, l'affiche de l'évènement et une plaquette de présentation.
Le CliMarathon en bref :
Objectif : 100 conférences gratuites
Public : étudiants de l'enseignement supérieur (universités / écoles)
Sujets : Climat - Énergie - Négociations Internationales
Durée des conf' : 1h30 (y compris séance de questions)
Champ d'action : Territoire national
Période : début octobre à fin novembre
Conférence Plan climat Brest métropole océane 05 10 2011Brest métropole
Cette présentation accompagnait l'exposé sur le dérèglement climatique et ses conséquences de Bruno Rebelle, Directeur du Cabinet Synergence et spécialiste des plans climat.
Http://plan-climat.brest.fr
Construire l'économie circulaire ici et maintenant !Leonard
Loi anti-gaspillage pour une économie circulaire, RE2020, responsabilité élargie du producteur à l’horizon 2023 : le secteur de la construction – responsable d’environ un quart des émissions de CO2 et premier producteur de déchets en Europe – est appelé à accélérer sa transition vers une économie plus sobre en ressources naturelles et en émissions de gaz à effet de serre. Un effort d’autant plus crucial à l’heure des nouvelles instabilités géopolitiques et des tensions persistantes sur la chaîne logistique après deux ans de pandémie, qui rendent plus complexe l’approvisionnement sur les marchés mondiaux. Comment alors lever les freins au développement de l’économie circulaire dans la construction et réussir la transformation des métiers des villes et des territoires ?
Présentation de Jean-Marc Jancovici, président du Shift Project, dans le cadre des Ateliers du Shift du 10 novembre 2015, du projet du Shift sur la décarbonation de l'économie à travers des recommandations de mesures politiques, lors de la table ronde "« Libérer l’Europe du Carbone en quelques propositions de politiques publiques »
Accélérer les transitions écologique et énergétique avec un cadre propicePaperjam_redaction
Le 9 février dernier, la Chambre de commerce présentait, en vue de nourrir le débat électoral en cette année de double scrutin, ses 30 propositions concrètes «pour la prospérité et la croissance des entreprises». Ses propositions sont rassemblées dans six livrets thématiques comprenant des états des lieux, des constats sur les besoins et des solutions, dont celui-ci concernant les transitions écologique et énergétique.
Rapport d'activité 2016-2017 des fondations LISEALISEA
Depuis 2013, LISEA a souhaité s’inscrire en tant que réel partenaire des territoires que la LGV SEA traverse. Les deux fondations d’entreprise LISEA Carbone et LISEA Biodiversité sont une composante majeure de cette volonté d’accompagner les territoires et leurs acteurs. Depuis 4 ans, ce sont 184 projets qui ont fait l’objet d’un financement des Fondations.
En 2016, LISEA et MESEA se sont associés pour compléter leurs actions par un volet social et solidaire, en prenant en charge la gestion du Fonds de dotation Sillon Solidaire, piloté jusqu’alors par COSEA. Ce fonds finance et accompagne par un système de parrainage des projets luttant contre l’exclusion sociale sur les
départements traversés.
Le document présenté ici constitue l’actualisation 2013 du plan climat de la France et fait état des actions les plus structurantes mises en oeuvre au niveau national pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, notamment au travers d’efforts d’amélioration de l’efficacité énergétique.
Il constitue une synthèse des éléments présentés dans le rapport 2013 sur l’état des lieux des politiques d’atténuation du changement climatique qui peut être consulté sur http://www.developpement-durable.gouv.fr – rubriques Énergie, air et climat – Effet de serre et changement climatique – Lutter contre le changement climatique – Engagements et politique nationale ; et s’appuie également sur des éléments présentés dans le plan national d’action efficacité énergétique qui peut être consulté sur http://www.developpement-durable.gouv.fr – rubriques Énergie, air et climat – Economies d’énergie – Stratégie française d’efficacité énergétique.
Il est complété par le plan national d’adaptation au changement climatique, couvrant la période 2011-2015, qui a fait l’objet d’une évaluation à mi-parcours en juin 2013, http://www.developpement-durable.gouv.fr – rubriques Énergie, air et climat – Effet de serre et changement climatique – Impacts et adaptation (ONERC).
Arbres à Palabres avril 2016 - journal interne de Prêt à Partir par François ...François Piot
Journal interne de Prêt à Partir. Nos actions en développement durable, transport par autocars et agences de voyages. Notre production d'énergies renouvelables (panneaux photovoltaïques, méthanisation et centrales hydro-électriques) et nos actions humanitaires au Niger avec Niger ma Zaada. Notre engagement de compenser 100% de nos émissions de CO2 d'ici 2025. Innovation et pépinières d'entreprise. Réduction de notre consommation de gas-oil, production d'électricité propre et de bio-méthane, reforestation au Niger et programme de conservation de la girafe.
Journal interne de Prêt à Partir Avril 2016. Compensation de nos émissions carbone et développement durable dans l'autocar. Energies renouvelables (photovoltaïque, hydro-électrique, méthanisation). Actions humanitaires au Niger (Niger ma Zaada). Bio-méthane, effet de serre, charte CO2 de l'ADEME, écologie et agences de voyages. François Piot.
Rapport d'activité et liste des projets 2015-2016 - Fondation LISEA CarboneLISEA
La Fondation LISEA Carbone a pour objet de financer des projets liés à la réduction des émissions de gaz à effet de serre au sein des départements traversés par la LGV SEA. La fondation s'est tourné vers 3 axes : la performance énergétique des bâtiments, l'écomobilité, et la transition énergétique du monde agricole.
La dotation de la Fondation est de 5 millions d’euros pour la période 2012-2017.
Le CompteEpargneCO2.com incite les foyers et les entreprises à réduire leurs émissions de CO2.
Sur CompteEpargneCO2.com, un foyer (ou une entreprise) peut calculer ses émissions de CO2, enregistrer ses actions de réductions (isolation, voiture moins polluante, ...), et ainsi être crédité chaque année jusqu'en 2020 en "kg de CO2" (1000 kg pour l'isolation, 5000 kg pour une Pompe à Chaleur). Ces kg de CO2 peuvent ensuite être échangés, contre des biens et services (billets de train, de spectacles, bons d'achats bas carbone), ou contre de l'argent provenant d
2017/2027 - Le véhicule propre au secours du climat - Actions critiquesFrance Stratégie
Pour éviter une hausse des températures synonyme de graves dérèglements climatiques, l’humanité doit fortement réduire ses émissions de gaz à effet de serre dans les prochaines décennies. L’Accord de Paris a récemment fixé des objectifs ambitieux en ce sens. La France, dont la production d’électricité est déjà largement décarbonée, doit concentrer ses efforts sur quelques secteurs d’activité, dont celui du transport, à commencer par la voiture particulière. Il lui faudra choisir entre deux scénarios.
En savoir plus : http://strategie.gouv.fr/publications/20172027-vehicule-propre-secours-climat-actions-critiques
La gouvernance de la transition énergétique et écologique des pays du Sud vue par l'AFD et l'ENS (extrait du Mooc) : rôle des Etats, des villes, des institutions multilatérales et des banques.
La trajectoire de la transition énergétique des pays du Sud : décarboner le PIB. D'après le Mooc de l'AFD, l'ENS et Coursera sur la transition énergétique et écologique des pays du Sud
COMMENT FAIRE DE L’UTOPIE DE CONSTRUIRE DES VILLES VERTES ET SMART UNE RÉALIT...Faga1939
Cet article vise à présenter comment concrétiser l’utopie de construire des villes vertes et intelligentes dans tous les pays pour éliminer la dystopie représentée par des villes de plus en plus dégradées dans la grande majorité des pays du monde. Construire des villes vertes signifie rendre les villes durables. Chaque ville atteint la condition de ville intelligente lorsque ses gestionnaires la considèrent comme un système et utilisent les technologies de l’information dans son processus de planification et de contrôle. Les villes durables sont des villes qui mènent une politique de développement économique et social compatible avec l'environnement naturel et bâti. Construire une ville durable n’est pas une tâche facile, mais ce n’est pas non plus une tâche impossible. Le grand défi est de penser toutes les parties liées à la construction d’une ville de manière systémique, englobant les aspects économiques, sociaux et environnementaux. Chaque ville atteint la condition de ville intelligente lorsque ses gestionnaires la considèrent comme un système et utilisent les technologies de l'information dans son processus de planification et de contrôle, en comptant sur le soutien efficace de sa population. Les technologies de l'information permettent aux gestionnaires municipaux d'interagir directement avec leurs agences d'exécution et avec la population et de suivre ce qui se passe dans la ville et son évolution en temps réel. On peut dire que la plupart des problèmes environnementaux mondiaux proviennent des villes, ce qui rend difficile leur durabilité sans être en même temps des villes intelligentes. Il est donc impératif que les villes soient durables et intelligentes.
151127 a collignon_climate change presentation administration communale de Sc...Marcel van Meesche
Des fonctionnaires engagés pour combattre les changements climatiques au quotidien à Schaerbeek !
Au cours des 2 dernières semaines, Julie et Manu ont donné plusieurs formations sur les changements climatiques pour les employés de la commune de Schaerbeek. Ce cycle de formations s'est clôturé par une conférence sur la changements climatiques donnée par Arnaud Collignon, ancien responsable de la campagne climat chez Greenpeace.
151127 a collignon_climate change presentation administration communale de Sc...
Co2Solidaire
1. Communiqué de presse
Àubagne, le 13 octobre 2006
Deux ans d'existence de COzSolidaire: des résultats encourageants
Alors que lês changements climatiques sont plus que jamais
-
d'actualité avec,
notamment, la sortie sur nos écrans du film d Al Gore « Une vérlté qui dérange »,
Co,Solidaire, dlspositif de compen§ation volontaire de§ gaz à effet de se're (GES),
dresse un bilan au teme de ses deux premièrea années d'existence.
Les résultâts de l'opération Corsolidalre s'avèrent très positifs. En eff€t' 1 073 tonnes de
CO, ont été compensées sur les deux années écoulées' ce qui est loin d'être négligeable
quand on sait qu;un trajet Paris-Mârseille en voiture équivaut à unê émission de 0,15 t de
ôO,. Ces compensations conespondenl à 23 3oo € de dons affectés à des projets dê
développement économes en co2.
Autre point encourageant : les compensations volontaires de Co, enregistrent une
progression très nette, et ce aussi bien au niveau des particuliers que des entreprises
Lejorganismes participanl à l'opération et bénéficiant du Label Co2Solidaire ont ainsi
compe;sé 750 tonnes de CO2, dont 624 en 2006. Parmi les structures labeliséês : TCC'
Cemagref, le GIE Navette Aubagnê.Marseille ou encore Allibert Voyages, et
demiè;ement, le Ministère de l'écologie et du développement durable Ce demier s'est
effectivement engagé à compenser les émissions de CO, liées aux missions
intemationales dè ses agênts : en 2005, 347 voyages ont êté réalisés dâns 50 pays, ce
qui représente 34ô tonnes de CO,.
co?solidairê, premier dispositifde compensalion volontaire des GES à voir le jour en
France, présente un double objectif. o'une patt, l'opéIation sensibilise le publicaux
problèmes du changement climatique et l'invite à réduire ses consommations d'énergie'
'D'autre
part, pour limiter I'impact des émissions de CO, qui ne peuvent é1re évitées,
l'opération propose aux particuliers, aux entreprises et aux collectivités de compenser
volontairement leurs émissions de cO, liées aux différenls modes de déplacemenl et, en
particulier, la voiture et l'âvion.
Le GERES, ONG qui a mis au point l'opération Co,Solidaire, porte les quatre projets
actuetlement soutenus par cette initiative. Le GERES met ainsi ses 30 ans d'experti§e
dans les domaines de l'énergie et de l'environnement au profit de ces projets : êconomie
de bois énergie au Cambodge, maltrise de l'éneEie au Maroc, etficacité énergétique pour
la reconstruction et le développement en Afghanistan, et énergie solaire et
développement ruralen lnde himalayenne. Parailleurs, les éGonomies de CO, Éalisées
dans le cadre de ces projets font I'objel d'évaluaüon externes par des instances
reconnues, telle que la fondation Myclimate.
Plus d'lnformatiors sur www.Co2solidaite.oIg
Ç!Iltact])ressC
04 42 18 55 88
Angela CRISTINA, a.cristinâ@geres.eu
Thomas MANSOURI, t.mansouri@geres.eu